Analyse des réponses au questionnaire des «Assises des associations» de la ville de Champigny- sur- Marne
|
|
- Josiane Chabot
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Analyse des réponses au questionnaire des «Assises des associations» de la ville de Champigny- sur- Marne Octobre
2 Rappel relatif à la démarche : Avec plus de 400 associations, Champigny est une ville riche par le niveau d engagement citoyen de ses habitants et par la diversité de ses associations. Dans tous les domaines, sport, culture, humanitaire, éducation, logement, écologie, vivre ensemble, loisirs, solidarité, culture de la Paix les associations contribuent à créer du lien et de la solidarité entre les habitants et donnent du souffle à la vie de la cité. Au moment même où les difficultés sociales, économiques et culturelles bouleversent notre façon de voir et de faire les choses, où la baisse des moyens des collectivités territoriales pèse sur les budgets des villes, il semble plus que jamais nécessaire de réfléchir à des manières nouvelles et adaptées de répondre aux attentes des citoyens et des membres des associations. Les associations, les services municipaux et les élus ont donc décidé de lancer les Assises des associations. Le 16 avril dernier, a été ainsi lancée une démarche dont l objectif est de réfléchir à la façon de favoriser le rôle du mouvement associatif et à la manière dont la ville peut être un soutien pour les associations et leur fournir un accompagnement au- delà des subventions, du prêt de matériel et de locaux. Pour ce faire, un questionnaire a été élaboré par les associations elles- mêmes. Ce rapport présente les principales informations tirées de ce questionnaire. Il y a eu 356 répondants. Ce questionnaire n a pas vocation à être un recensement de la population impliquée dans la vie associative, en dépit de la quantité importante de personnes ayant répondu. L absence d informations précises relatives aux associations campinoises (qu elles soient aidées, accompagnées ou pas par la ville, etc) ne permet pas de corriger de manière certaine l ensemble des biais possibles de cette enquête. Néanmoins le nombre très important de questionnaires remplis autant que le mode d administration, en grande partie autoporté par les membres des associations eux- mêmes (comme lors de la dernière Consult action avec la participation active des habitants) permet une information statistique de qualité, représentative de la population en mouvement sur la ville et significative des positions et des attentes de Campinois engagés dans la vie associative. Dans un premier temps, on tentera de mieux connaître les répondants : qui sont- ils? Que font- ils au sein des associations de Champigny? Dans une seconde partie on analysera leurs réponses afin de mieux connaître leur perception de la ville de Champigny et de ses associations. Notamment, quelles sont les attentes des associatifs envers la ville de Champigny? Sont- ils satisfaits des actions menées? Quels sont leurs besoins? 2
3 1. Vers une meilleure connaissance des répondants... Tout d abord, quel est le profil de la population associative de Champigny ayant répondu au questionnaire? Qui sont- ils? Environ les deux tiers des répondants au questionnaire sont des femmes, contre seulement un tiers de répondants masculins. Ainsi nous pouvons supposer que : soit les femmes sont davantage impliquées dans la vie associative de la ville de Champigny, soit qu elles ont été plus impliquées dans cette démarche et l administration du questionnaire. De plus, 80% des répondants vivent à Champigny. 3
4 Âge des répondants au questionnaire De 15 à 29 ans 17% De 30 à 44 ans 19% De 45 à 59 ans 22% 60 ans et plus 42% Questionnaire Enfin, 42% des répondants au questionnaire sont situés dans la tranche d âge de 60 ans et plus. Nous pouvons supposer que soit les personnes de cette tranche d âge sont celles qui s investissent le plus dans les associations ou soit elles se sont plus impliquées dans la démarche et l administration du questionnaire. À l inverse, les autres tranches d âge sont moins représentées avec 22% de 45 à 59 ans, 19% de 30 à 44 ans et 17% de 15 à 29 ans. Que font- ils au sein des associations de Champigny? Les répondants au questionnaire sont pour la plupart des adhérents de leur association (43%). 29% sont membres du bureau ou du conseil d administration. Enfin 22% sont bénévoles, et seulement 6% sont salariés au sein de leur association. En savoir plus sur leurs associations... À présent, on souhaite en savoir davantage sur les associations : combien d adhérents ont- elles en moyenne? Quels sont les principaux domaines d intervention des associations? Et ont- elles des aides? Tout d abord, 36% des répondants appartiennent à une association ayant entre 50 à 100 adhérents. Peu de personnes font partie de petites associations (moins de 10 adhérents) ou au contraire de grandes associations (plus de 250 adhérents). Ainsi, il semble que la majorité des associations dont les membres ont répondu au questionnaire aient entre 10 et 100 adhérents. 4
5 Loisirs, sport 35% Culture 34% Solidarité, entraide 28% Education, accompagnement des jeunes 16% Seniors 15% Accès aux droits, lutte contre les discriminations 11% Propreté, qualité de vie 11% Formation, accompagnement au projet (jeunes et adultes) Principaux thèmes des associations 11% Santé 8% International, humanitaire 8% Parentalité 7% Prévention 6% Travail sur la mémoire historique 4% Urbanisme 4% Ecologie, développement durable 4% Petite enfance 3% Développement économique, emploi 2% Les thèmes couverts par les associations de Champigny qui ont pris part à la démarche sont nombreux. Les associations couvrent en moyenne entre 2 et 4 thèmes. Certains sont cependant plus récurrents que d autres. Le thème le plus fréquent au sein des associations est celui des loisirs, sports, qui est couvert par 35% des associations qui ont répondu. Les thèmes de la culture et solidarité, 5
6 entraide sont également très récurrents avec respectivement 34% et 28% d associations abordant ces thèmes. Les Campinois semblent donc être très intéressés par ces domaines. Viennent ensuite l éducation, accompagnement des jeunes (16%), et les séniors (15%). Enfin, la majeure partie des associations dispose d aides municipales puisque 78% des répondants affirment appartenir à une association qui en reçoit. A l inverse, 11% des répondants déclarent que leur association ne touche pas d aides municipales. Les personnes restantes ne se prononcent pas (11%). Ces résultats montrent l implication de la municipalité de Champigny dans l aide aux associations. Mais quelles sont les aides les plus récurrentes? Parmi les répondants faisant partie d une association qui dispose d aides municipales, les deux tiers d entre eux indiquent que ces aides se font en partie sous forme de subventions. Vient ensuite la mise à disposition d équipement public, puis la mise à disposition de matériel. Aides municipales accordées Subvention 66% Mise à disposition ponctuelle ou permanente d équipement public Aides municipales accordées 55% Mise à disposition de matériel 24% Ne se prononce pas 7% Aide au projet 7% 6
7 2. Que pensent les répondants de la ville de Champigny et de ses associations? À présent, nous souhaitons connaître les sentiments des Campinois sur leur ville et leurs associations. Tout d abord, quelle vision de la ville de Champigny possèdent les répondants? Champigny : une ville agréable à vivre Pour près de 80% des répondants, Champigny est une ville plutôt agréable à vivre ou très agréable. Plus précisément, les habitants décrivent leur ville comme étant populaire, grande et agréable à vivre. Diriez- vous que Champigny est une ville Très agréable à vivre 22% Plutôt agréable à vivre 56% Plutôt difficile à vivre 15% Très difficile à vivre 2% Ne se prononce pas 5% Voici plusieurs qualificatifs concernant Champigny, pour c est Une ville populaire 61% Une grande ville 42% Une ville où il est agréable de vivre 26% Une belle ville 20% Une ville à fort potentiel économique 19% Une ville en déclin 19% Une ville pauvre 18% Une ville où il est difficile de vivre 10% Ne se prononce pas 4% Mais comment les répondants perçoivent Champigny dans le Val- de- Marne? Et en Ile- de- France? Pour la majorité, elle compte comme les autres villes en d Ile- de- France. Mais 43% des répondants pensent tout de même que Champigny compte beaucoup dans le Val- de- Marne. 7
8 Aujourd hui, pensez- vous que Champigny est une ville Dans le Val- de- Marne En Ile- de- France Qui compte beaucoup 43% 16% Qui compte comme les autres villes 46% 57% Qui compte peu 8% 22% Ne se prononce pas 3% 4% Et à l avenir? Plus de la moitié des répondants pense que Champigny est une ville qui va compter de plus en plus dans le Val- de- Marne et en Ile- de- France. Les habitants sont donc positifs vis- à- vis de l avenir de leur ville. Pour l avenir, pensez- vous que Champigny sera une ville Des adhérents satisfaits de leurs actions Pour 40% des répondants, leur association est importante, mais n est pas centrale dans leur vie personnelle et pour 40% d autres répondants, c est central dans leur vie. De plus, près de la moitié des répondants pense que chaque association doit s occuper de ce qui est au cœur de son activité, mais doit également s intéresser à d autres sujets (47%). Ainsi les Campinois répondants semblent intéressés par l ouverture des domaines couverts par leurs associations, tout en gardant leur domaine de prédilection. Au- delà de l importance qu ont les associations pour les répondants, on remarque que la majorité d entre eux sont satisfaits des actions qu ils mènent (69%). A contrario seuls 2% des individus déclarent ne pas être satisfaits de leurs actions. La satisfaction personnelle des adhérents est un point très important : on peut donc supposer que les habitants semblent heureux de s impliquer dans la vie associative de leur ville. 8
9 Et ils sont également satisfaits de la place faite aux associations au sein de Champigny. En effet, 77% des répondants sont assez satisfaits ou très satisfaits de la place faite aux associations à Champigny. Ces éléments sont donc très positifs. La moitié des répondants pense que les difficultés économiques et sociales de la ville rendent les actions des associations encore plus nécessaires (55%). Ainsi, les associations semblent contribuer à la «bonne santé» de la ville de Champigny, leurs actions doivent donc perdurer et même se renforcer. Concernant le rôle et la place de votre (des) association(s) dans votre vie, diriez- vous que C est important mais ce n est pas central dans ma vie personnelle 40% Mon association compte beaucoup dans ma vie personnelle 40% C est nécessaire pour faire valoir mon point de vue 9% C est utile mais c est un engagement très fatigant 9% Ne se prononce pas 2% Concernant le rôle et la place de votre association, êtes- vous satisfait des actions que vous menez? 9
10 A Champigny, avez- vous le sentiment que la place qui est faite aux associations est : Etant donné les difficultés économiques et sociales, pensez- vous que : Cela rend encore plus nécessaire l action des associations 55% Cela n a pas de conséquence sur le rôle et la place des associations 4% Cela fragilise les associations 36% Ne se prononce pas 5% Les associations ont besoin de bénévoles et de moyens Quels sont les besoins des associations? 62% des répondants déclarent être en recherche de bénévoles. Parmi eux, la majorité reconnaît avoir des difficultés à recruter des bénévoles (60%). Les deux raisons principales de ces difficultés semblent être le manque d information sur les associations et leurs activités, ainsi que le manque de temps. Cependant, près d un tiers des répondants ne se prononce pas sur cette question. 10
11 Pour quelles raisons avez- vous des difficultés à recruter des bénévoles? Manque d information sur les associations et leurs activités 33% Manque de temps 33% Ne se prononce pas 27% Manque d intérêt pour l action collective et l implication citoyenne 23% Manque d intérêt des Campinois pour les associations 12% Manque d intérêt des Campinois pour la ville 5% Autre 5% Au- delà des bénévoles et toujours dans le but de mener à bien ce qu elles font, les associations ont également besoin de : Pour pouvoir mener à bien ce qu elles font, les associations ont en priorité besoin De moyens financiers 64% De moyens humains 53% D un local, d une salle 41% D être considérées et reconnues de la population et des élus 24% D un accompagnement, d information, de formation 15% D aide au projet 15% De favoriser leur mise en réseau et leur connaissance mutuelle 13% D un accès facile aux services publics municipaux 11% De moyens de communication (numérique, etc.) 10% De connaître les aides disponibles et les critères d attribution 10% D un accompagnement administratif et juridique 9% Ne se prononce pas 2% Enfin, concernant le projet de créer la Maison des citoyens, 29% des répondants ne se prononcent pas quand on leur demande s ils souhaiteraient participer à la réflexion et/ou à l élaboration de ce projet. En revanche, 52% répondent positivement à cette question. De nombreux répondants semblent donc prêts à s investir dans ce projet. 11
12 Maintenant que nous avons une idée plus précise de la perception de la ville et des associations dans la vie des Campinois, on peut s intéresser aux relations entre ces associations, puis aux relations entre les associations et la ville de Champigny. Sont- elles bonnes? Sont- elles à améliorer, ou est- ce que tout va déjà très bien? Quelles sont les raisons de ces relations? Des relations entre associations bien existantes, mais à renforcer Tout d abord, plus de la moitié des répondants déclare que leur association travaille déjà avec une autre association. Il existe donc déjà de nombreux liens entre les associations de la ville. La réponse à la question «Avec qui?» est cependant plus partagée : 32% des associations qui ont répondu semblent travailler avec des associations du même domaine, 24% avec des associations d un autre domaine et 44% avec les deux. Ainsi les associations semblent ouvertes à travailler avec tout type d association. De plus, ces relations sont la plupart du temps pour la création d évènements, pour la mise en commun des pratiques ou des moyens humains. Est- ce que votre association travaille déjà avec d autres associations? Si oui, avec 12
13 Si oui, pour La création d évènements 65% La mise en commun des pratiques 40% La mise en commun des moyens humains 36% La mise en commun des outils 10% L achat de matériel 7% Autre 2% Concernant les rapports entre les associations de Champigny, seuls 12% des individus déclarent que «tout se passe bien». Les répondants semblent partagés entre les différentes solutions proposées. Ils sont d ailleurs 9% à n avoir pas répondu à cette question et, parmi les répondants, 16% ne se sont pas prononcés. Cependant, 38% pensent tout de même que les associations devraient plus travailler ensemble afin d être plus efficaces. Concernant les rapports entre les associations de Champigny Tout se passe bien 12% Il faudrait que les associations travaillent plus ensemble pour être plus efficaces 38% Elles peuvent travailler ensemble mais seulement dans certains domaines précis 26% C est irréaliste de vouloir faire travailler ensemble des associations dont chacune a sa propre logique Ne se prononce pas 16% Ainsi, les relations entre les associations existent d ores et déjà, mais sont à développer encore davantage. 9% Qu en est- il des relations avec la ville de Champigny? Et de bonnes relations entre la ville et les associations Pour 56% des répondants au questionnaire, l accompagnement des associations par la ville est jugé satisfaisant. A l inverse, 18% estiment que ce dernier n est pas suffisant. Les répondants sont donc relativement satisfaits de cet accompagnement. On remarque tout de même qu environ un quart des répondants n a pas souhaité faire part de leur réponse à cette question. Durant ces dernières années, il n y a pas eu d évolution dans l accompagnement des associations par la ville pour 38% des répondants. De plus, seul 31% des répondants 13
14 semblent être réellement conscients des efforts menés par la ville de Champigny. Ce résultat est donc plutôt mitigé. Cependant nous pouvons tout de même relever un point positif : les répondants pensant que l accompagnement s est dégradé sont nettement moins nombreux que ceux qui estiment que celui- ci s est amélioré. En effet, ils sont 31% à déclarer que l accompagnement des associations par la ville a connu une amélioration ces dernières années tandis que seulement 12% pensent que les relations se sont dégradées. Enfin environ un répondant sur 5 n a pas souhaité se prononcer sur la question. Concernant la façon dont les associations sont accompagnées par la ville... Perception de l évolution de l accompagnement ça s est amélioré 31% ça n a pas changé 38% ça s est dégradé 12% ne se prononce pas 19% Les relations entre la ville et les associations sont... Perception des relations entre la ville et les associations Bonnes et continuent de l être 47% Bonnes mais il faut faire attention 22% Affaiblies et à renforcer 17% Nettement dégradées 2% Inexistantes 3% Ne se prononce pas 9% Malgré cette évolution mitigée, les perceptions des relations entre la ville et les associations sont bonnes : près de la moitié des répondants estiment que ces relations sont bonnes et continuent de l être. Attention tout de même : pour 39% des répondants les relations sont bonnes mais il faut cependant faire attention, ou bien les relations sont affaiblies et auraient besoin d être renforcées. Enfin très peu de répondants voient les relations comme nettement dégradées ou inexistantes. 14
15 Les associations et la ville devraient travailler plus ensemble, mais sur quels sujets prioritaires? (4 réponses possibles) Sujets La solidarité, l entraide 30% La propreté, la qualité de vie 28% Le lien, la vie sociale 26% La citoyenneté 25% L éducation et l accompagnement des jeunes 22% La culture 20% Les loisirs, le sport 19% La prévention, la sécurité 19% La formation et l accompagnement des jeunes et des adultes 18% Les seniors 17% L accès aux droits 17% La lutte contre les discriminations 16% Le développement économique et l emploi 16% La santé 14% L urbanisme, le centre ville 13% L écologie, le développement durable 9% La parentalité, la famille 9% La parité, l égalité homme femme 7% L international, l humanitaire 6% Ne se prononce pas 6% Le travail sur la mémoire historique 4% La petite enfance 3% L étendue des sujets sur lesquels les répondants souhaiteraient voir travailler ensemble les associations et la ville est vaste. Le sujet le plus récurrent est celui de la solidarité, l entraide. Viennent ensuite les sujets de la propreté et de la qualité de vie, le lien, la vie sociale, la citoyenneté, l éducation et l accompagnement des jeunes, et la culture. Les autres sujets ont été cités par moins de 20% des répondants. 15
16 Attentes vis- à- vis des assises Une meilleure connaissance des associations par les campinois Attentes vis- à- vis des assises 47% De meilleures relations entre les associations et la ville 40% Une nouvelle dynamique du bénévolat et de l engagement citoyen 31% De meilleures relations entre les associations 31% Ne se prononce pas 8% Pour finir, 47% des répondants ont parmi leurs attentes celle d améliorer la connaissance des associations par les Campinois et souhaiteraient de meilleures relations entre les associations et la ville. Ils sont également 40% à vouloir de meilleures relations entre les associations et la ville, 31% à souhaiter une nouvelle dynamique du bénévolat et de l engagement citoyen, ainsi que de meilleures relations entre les associations. Pour conclure, les relations entre la ville et les associations sont bonnes. Cependant les personnes qui ont répondu sont finalement peu nombreux à penser qu elles se sont améliorées au cours de ces dernières années, et aimeraient une amélioration. De plus, les sujets qui semblent les intéresser le plus concernent la solidarité et la qualité de vie. Cet état des lieux est donc plutôt rassurant mais avec des points de vigilance : Question du bénévolat, Question de la mise en relation, Perception de ne pas être accompagné ou du moins pas suffisamment accompagné par la ville, Perception d être isolé par rapport aux habitants, aux autres associations, Dynamique enclenchée sur la vie associative et l avenir de la ville pas claire ou du mois pas suffisamment claire. 16
SONDAGE EXCLUSIF Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale
SONDAGE EXCLUSIF Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale COMMUNIQUE Deux ans et demi après son élection, les Français sont-ils convaincus par les actions du Président Hollande? Quelles sont les
Plus en détailUSAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS
USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS - Sondage de l'institut CSA - N 0501353 Novembre 22, rue du 4 Septembre BP 6571 75065 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44
Plus en détailBIPESS 2.0 format pdf - 2014
1. Fiche d identité du référent BIPESS et du groupe évaluateur Le statut du référent BIPESS (1 personne) de votre structure : Veuillez choisir toutes les réponses qui conviennent : Salarié Dirigeant Administrateur
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailTraitement et analyse des Questionnaires «citoyens agents»
Traitement et analyse des Questionnaires «citoyens agents» Document émis par :, Anastasia MARY, étudiante stagiaire, Licence Professionnelle Gestion et Pilotage de Projets. Travaux suivi par Aurélie COURZADET,
Plus en détailEvaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées
Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées
Plus en détailLes artisans et leur banque
Chambre de métiers et de l artisanat de Région Nord - Pas de Calais Les artisans et leur banque Analyse des relations entre les artisans et leur banquier Enquête réalisée en août et septembre 2013 Octobre
Plus en détailENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP
OBSERVATOIRE DE LA VIE ÉTUDIANTE ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP Étudiants et entreprises ANNÉE 2008 PLAN GÉNÉRAL INTRODUCTION p. 2 I. Étudiants p. 3 A. Statistiques
Plus en détailCAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010
CAHIER DES CHARGES APPEL A PROJETS ACTIONS AU PROFIT DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP ET DE DÉPENDANCE THÈMES 2010 ACCÈS AU SPORT ACCÈS AUX LOISIRS ET/OU À LA CULTURE 1 PRÉAMBULE Définies dans le
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailANALY ANAL S Y E S PR
ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du
Plus en détailSondage 2012 auprès des leaders d opinion pour le compte de CBC/Radio-Canada
Sondage 2012 auprès des leaders d opinion pour le compte de CBC/Radio-Canada Faits saillants de la recherche Ce rapport sommaire présente quelques-uns des résultats du sondage en ligne mené par Phoenix
Plus en détailPerformance des mutuelles communautaires au Sénégal : le rôle de l offre de soins
CERDI 2 ème Colloque international «Financement de la santé dans les pays en développement» Clermont Ferrand, France, 1-2 décembre 2005 Performance des mutuelles communautaires au Sénégal : le rôle de
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailRèglement Intérieur du TCGA
Règlement Intérieur du TCGA Version 1 juin 2014 CLUB HOUSE DU TENNIS Stade Jean Rives 15 route de Ia Garenne 27600 GAILLON Association Sportive Loi 1901 Le règlement intérieur du Tennis Club GAILLON AUBEVOYE
Plus en détailLes Français et le pouvoir d achat
Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire
Plus en détailLE DOSSIER PHARMACEUTIQUE
LE DOSSIER PHARMACEUTIQUE Septembre 2011 Arnaud ZEGIERMAN Amandine MESSINA www.institut-viavoice.com Viavoice Tel : +33(0)1 40 54 13 71 Mieux comprendre l opinion pour agir 9 rue Huysmans 75006 Paris +33
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailNicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin. Août 2013
1 Nicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin Août 2013 Sommaire Contexte... 2 Les équipements TIC des mairies... 3 Les compétences présentes en mairie... 4 Les usages TIC des mairies... 5 La communication
Plus en détailEndettement des jeunes adultes
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS 20 Situation économique et sociale de la population Neuchâtel, Août 2012 Endettement des jeunes adultes Analyses complémentaires
Plus en détailLes Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité
Page 1 de 6 CRIME ET CHÂTIMENT Les Américains, les Britanniques et les Canadiens ont une position sévère envers la criminalité Les répondants du Québec sont plus enclins que tous les autres répondants
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détailAnalyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015
Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme
Plus en détail«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»
«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des
Plus en détailÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004
ÉTUDE SUR L EMPLOI DANS LES SCÈNES ADHÉRENTES DE LA FSJ Données portant sur l année civile 2004 Préambule La Fédération des scènes de jazz et de musiques improvisées (FSJ) regroupe depuis 1996, des lieux
Plus en détailFM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise
FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailLE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS
LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en
Plus en détailProjet éducatif vacances enfants et adolescents
Projet éducatif vacances enfants et adolescents SOMMAIRE 1- Présentation du mouvement 2- Valeurs et finalités 3- Nos objectifs 4- Nos orientations éducatives 5- L équipe d encadrement 6- Les activités
Plus en détailL OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014
L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00
Plus en détailAgence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010.
Octobre 00 Nobody s Unpredictable Sondage effectué pour : Agence Thomas Marko & Associés Echantillon : 000 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de
Plus en détailComité national d évaluation du rsa Annexes
Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont
Plus en détailLes associations financées par l Acsé au titre de la Politique de la Ville
Les associations financées par l Acsé au titre de la Politique de la Ville Septembre 2013 Les associations financées par l Acsé au titre de la Politique de la Ville Département Entreprises et Action Publique
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL
ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailPrincipaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?»
Nombre de réponses Principaux résultats du questionnaire «Les Villes-Santé : quels enjeux pour les politiques urbaines?» Erwan Le Goff Doctorant en Géographie aménagement de l espace UMR 9 CNRS Espaces
Plus en détailANALYSE DONNÉES 2012 DES CENTRES SOCIAUX. senacs SYSTÈME D ÉCHANGES NATIONAL. les centres sociaux. Allier
Allier ÉDITO 1 CE QU EST UN CENTRE SOCIAL 2 CARTE DE L ALLIER 3 PROJET 4 DYNAMIQUES LOCALES 10 VITALITÉ DÉMOCRATIQUE ET GOUVERNANCE 11 RESSOURCES HUMAINES 12 FINANCES 14 FICHE DÉPARTEMENTALE 15 Édito C
Plus en détailNOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6
NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints
Plus en détailSociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants.
Sociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants. Association d habitants et d acteurs du territoire (collectivités,
Plus en détailVotre Réseau est-il prêt?
Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie
Plus en détailLes Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012
NOTE DETAILLEE Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 Etude Harris Interactive pour le Syndicat National Unitaire des Instituteurs et Professeurs des
Plus en détailNotre offre ISR pour l Epargne Salariale. Document non contractuel
Notre offre ISR pour l Epargne Salariale Document non contractuel HSBC et le développement durable Un engagement de conviction Contribuer à développer un monde durable Parmi celles-ci, HSBC a apporté son
Plus en détailObservatoire National de la santé des jeunes. Accès aux droits et aux soins
Observatoire National de la santé des jeunes Accès aux droits et aux soins Données septembre 2012 «Observatoire santé UNHAJ - accès aux droits et aux soins» La santé des jeunes sous observationerreur!
Plus en détailCommunity Legal Information Association of PEI, Inc. Prince Edward Island, Inc. Vivre à deux
Community Legal Information Association of Prince Edward Island, Inc. Vivre à deux Introduction À l Île-du-Prince-Édouard, la définition d un conjoint comprend les conjoints de même sexe, les conjoints
Plus en détailCompte rendu de la réunion du 15 décembre
Compte rendu de la réunion du 15 décembre Nombre de présents : 23 personnes, dont : Correspondants régionaux 6 Présidents de CDTE 6 Permanents 4 Présidents de CRTE 3 Autres 3 Objectifs de la réunion: -
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailLes préoccupations des enseignants en 2014
Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle
Plus en détailLa protection sociale complémentaire C.C.A.S
La protection sociale complémentaire C.C.A.S 1 SOMMAIRE 1. Analyse du questionnaire 2. Orientations dégagées suite au comité préalable du 30 mai 2.1 Risque Santé Point sur la labellisation 2.2 Risque Santé
Plus en détailpanorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012
panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailDécision n 14-DCC-63 du 9 mai 2014 relative à la création de Pipeline Inspection Company par le groupe Onet et l Institut de Soudure Industrie
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 14-DCC-63 du 9 mai 2014 relative à la création de Pipeline Inspection Company par le groupe Onet et l Institut de Soudure Industrie L Autorité de la concurrence, Vu le dossier
Plus en détailEtude sur Le service de restauration scolaire
Etude sur Le service de restauration scolaire En accord avec les objectifs de l Association des Parents d Elèves de Génération ECOLE, une enquête de satisfaction de la cantine scolaire a donné les résultats
Plus en détailLa santé des jeunes Rhônalpins en insertion
La santé des jeunes Rhônalpins en insertion Diagnostic commun et actions partenariales URML, URHAJ et MFRA CRDSU (centre de ressources et d'échanges pour le développement social urbain) 12 octobre 2012
Plus en détailL assurance qualité N 4. Décembre 2014
N 4 L assurance qualité Décembre 2014 L es investissements dans les systèmes et services d orientation tout au long de la vie (OTLV) doivent démontrer le bénéfice pour les individus, les communautés et
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailPRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation
PRET DE LISEUSES EN BIBLIOTHEQUE Les principaux enseignements de l expérimentation CARACTERISTIQUES DU PROJET DE PRET DE LISEUSES Les partenaires : la BDY, bibliothèques des Yvelines, le MOTif, observatoire
Plus en détailBaromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2
Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Juin 2014 Contact - BVA Opinion Erwan LESTROHAN, directeur d études erwan.lestrohan@bva.fr - 01 71 16 90 9 Victor CHAPUIS, chargé d études Victor.chapuis@bva.fr
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailTa mutuelle t aide à trouver ton 1 er emploi. Bonne nouvelle! Pour toi, un coach en recrutement!* mutuelle mclr
mutuelle mclr Bonne nouvelle! Ta mutuelle t aide à trouver ton 1 er emploi Pour toi, un coach en recrutement!* (*) sous réserve du respect des conditions d accès à l offre Édito 40 ans d expérience à l
Plus en détailL Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ;
Loi n 96-022/ Régissant la mutualité en République du Mali. L Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 14 décembre 1996 1995 ; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur
Plus en détailS ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE
S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens
LES PROFESSIONNELS DE SANTE ET LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE Enquête Mut Santé/TNS Healthcare auprès de 150 pharmaciens Nouvel opérateur de la gestion du Tiers Payant Complémentaire, Mut Santé a souhaité
Plus en détailINSCRIPTION EN LIGNE COMMENT ÇA MARCHE?
INSCRIPTION EN LIGNE COMMENT ÇA MARCHE? Une version haute définition de ce document sera prochainement publiée pour une meilleure qualité d affichage. L APSAP-VP modernise son processus d inscription et
Plus en détailAUTOMOBILE ET SPORTIVE D.A.S. COVEA RISKS, COVEA FLEET M.M.A IARD SA, M.M.A. VIE SA
ACCCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE DE L U.E.S. : La MUTUELLE DU MANS ASSURANCES I.A.R.D. M.M.A. I.A.R.D. La MUTUELLE DU MANS ASSURANCES VIE M.M.A. VIE La DEFENSE AUTOMOBILE ET SPORTIVE D.A.S. COVEA
Plus en détailLes lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés
COMMUNIQUE DE PRESSE Les lieux de travail d hier, d aujourd hui et de demain, vus par les salariés Sondage Harris Interactive pour Gecina Enquête réalisée en ligne du 5 au 11 mai 2011. Echantillon représentatif
Plus en détailCOMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 20 FEVRIER 2015
COMMUNE DE VAL-DE-FIER COMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 20 FEVRIER 2015 Présents : DERRIEN Patrice, BAU ROUPIOZ Valérie, BEAUD CATHELIN Gaëlle, BERAUD François, BLOUET Christine, BURGOD
Plus en détailLes aspects juridiques liés à la mise en place de «mutuelles communales»
Juillet 2015 Les aspects juridiques liés à la mise en place de «mutuelles communales» La présente note a pour objet de faire le point sur le cadre juridique applicable à la création de «mutuelles communales»
Plus en détailANNEXE 3 ANALYSE DU QUESTIONNAIRE «EGALITE FEMMES-HOMMES» EN DIRECTION DES AGENT-E-S DU CONSEIL GENERAL DE L ESSONNE (NOVEMBRE-DECEMBRE 2011)
ANNEXE 3 ANALYSE DU QUESTIONNAIRE «EGALITE FEMMES-HOMMES» EN DIRECTION DES AGENT-E-S DU CONSEIL GENERAL DE L ESSONNE (NOVEMBRE-DECEMBRE 2011) 76 INTRODUCTION En mai 2007, le Conseil général de l Essonne
Plus en détailRèglement intérieur de la Cité
Règlement intérieur de la Cité 19 mai 2015 p.1 PREAMBULE Objectifs La Cité est un équipement municipal de soutien à la vie associative. C est un lieu d accueil, de promotion, d information, de formation
Plus en détailFICHIER KISH Opinions de la personne Kish sur la vie associative
FICHIER KISH Opinions de la personne Kish sur la vie associative Nom de la Type Signification Modalités IDENT char Identifiant du logement ELIGAD num Nombre de personnes éligibles (15 ans et plus) POIDSF
Plus en détailL Economie Sociale et Solidaire
1 L Economie Sociale et Solidaire L ESS EST UNE ÉCONOMIE QUI SE VEUT ÊTRE DIFFÉRENTE DE L ÉCONOMIE CLASSIQUE. DES PRINCIPES FONDAMENTAUX ONT ÉTÉ DÉFINIS ET CONSTITUENT LES PILIERS DE CE SECTEUR. 2 LES
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailDate de diffusion publique : 4 septembre, 2012
En règle générale, les Canadiens sont confiants de pouvoir reconnaître les signes d une urgence médicale, mais ils sont moins certains d avoir les compétences nécessaires pour intervenir. Quatre Canadiens
Plus en détailÉtude sur la compétitivité des administrations cantonales
Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude
Plus en détailSOYONS TOUS CANDIDATS! www.touscandidats2012.fr
SOYONS TOUS CANDIDATS! www.touscandidats2012.fr ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Vous aussi devenez candidats en 2012
Plus en détailSECRÉTARIAT GÉNÉRAL SERVICE DES TECHNOLOGIES ET DES SYSTÈMES. Etude sur les usages des dispositifs TIC dans l enseignement scolaire.
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL SERVICE DES TECHNOLOGIES ET DES SYSTÈMES D INFORMATION SOUS-DIRECTION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION POUR L ÉDUCATION BUREAU DES USAGES Etude sur les usages
Plus en détailAffectation pour 2010
CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE CP 10-364 Soutien à l activité de microcredit pour la creation d entreprise en Ile-de-France Convention triennale 2008-2010 avec l ADIE Convention biennale 2009-2010 avec
Plus en détailMaison de l Emploi de Paris, 35 rue de la Gare, 75019 Paris Tél 01.48.11.28.00 - Fax 01.41.61.91.22 - www.maison-emploi-paris.fr
LES ENTREPRISES SOLIDAIRES PARISIENNES AGREEES PAR L ETAT (2003 2013) MOTIFS DU RECOURS A LA DEMANDE D AGREMENT, USAGES DE L AGREMENT ET REFLEXION SUR LE PROJET DE LOI RELATIF A L ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailSTATUTS-TYPE DES SOCIETES MUTUALISTES Décret du 18 février 1954 (14 djoumada II 1373) Sur les sociétés mutualistes
Arrêté des Secrétaires d Etat au plan et aux Finances et à la santé Publique et aux Affaires Sociales du 26 Mai 1961 (12 doulhaja 1380), portant établissement des statuts type des sociétés mutualistes
Plus en détailInternet modifie la relation des Français. ais à leurs banques. Présentation du 12 janvier 2010
Internet modifie la relation des Français ais à leurs banques Présentation du 12 janvier 2010 1 Objectif et méthodologie Objectif Mesurer le type de services bancaires possédé par les Français Analyser
Plus en détailUNE MUTUELLE POUR TOUS
Direction de la communication Tél. : 05 59 46 60 40 Courriel : communication@bayonne.fr Le 15 décembre 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE UNE MUTUELLE POUR TOUS LA PROPOSITION DE LA VILLE DE BAYONNE POUR UN EGAL
Plus en détailCe qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise
Centre de Recherche pour l Étude et l Observation des Conditions de vie CENTRE TECHNIQUE DES INSTITUTIONS DE PRÉVOYANCE Jeudi 12 février 2009 Ce qu attendent les employeurs et les de la complémentaire
Plus en détailQu est ce que l Economie Sociale?
Fiche n 2 Les entreprises : Qu est ce que l Economie Sociale? Les de toutes natures (salariés, usagers, ), les mutuelles (assurance ou prévoyance santé), les associations et les fondations constituent
Plus en détailPour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec
Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec Présentation à la ministre des Finances du Québec, Mme Monique Jérôme-Forget lors des consultations prébudgétaires le 14 février
Plus en détailL ostéopathie au service des professionnels
L ostéopathie au service des professionnels Parce que la performance de votre entreprise passe avant tout par la santé de vos collaborateurs info@proosteo.fr Les Troubles Musculo-Squelettiques Les TMS
Plus en détailDossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ»,
Partenaires fondateurs DOSSIER DE PRESSE Dossier de presse «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ» «Fais-nous rêver-fondation GDF SUEZ», Construisons ensemble des voies nouvelles pour un sport utile à tous
Plus en détailRecommandations pour développer une communauté locale participative Recueil de bonnes pratiques Sens et Autonomie (France) CIGL Esch-Sur-Alzette, Kalendula (Luxembourg) CRIE d Anlier (Belgique) Le contenu
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailObservatoire Orange Terrafemina vague 14. La ville connectée. Sondage de l institut CSA
Observatoire Orange Terrafemina vague 14 La ville connectée Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 14 ème vague d un baromètre portant
Plus en détailPOLITIQUE DE COMMUNICATION
POLITIQUE DE COMMUNICATION DU COMITÉ DE GESTION DE LA TAXE SCOLAIRE DE L ÎLE DE MONTRÉAL (Adoptée le 16 décembre 2004 par la résolution 19 par le Comité de gestion de la taxe scolaire de l île de Montréal)
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailGaranties bancaires Assurances de prêts Montant de l emprunt Taux d endettement
A l'attention de Septembre 2008 Garanties bancaires Assurances de prêts Montant de l emprunt Taux d endettement Au sujet de la garantie prise par la banque : Voici les caractéristiques et le coût des différents
Plus en détail72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!
Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détail[LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] Abidjan, le 02 Février 2015. MUGEFCI - TOURE Laciné. MUTREPCI - SERY Jean-Pierre
Abidjan, le 02 Février 2015 MUGEFCI - TOURE Laciné MUTREPCI - SERY Jean-Pierre PASS - HUCHET Jean-Philippe [LA PLUS-VALUE DES MUTUELLES DANS LE CADRE DE LA CMU] 1 Des mutuelles pour participer à la réussite
Plus en détailEnquête sur la réforme des rythmes scolaires
Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Une étude exclusive de l AMF Enquête sur la réforme des rythmes scolaires Près de 4 000 communes, soit 17% des municipalités scolarisant 22% des élèves du public,
Plus en détail