DOSSIER THEMATIQUE LES INFLUENCES SUR LES GROUPES Xavier BEILLAS
|
|
- Ségolène David
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DOSSIER THEMATIQUE LES INFLUENCES SUR LES GROUPES Xavier BEILLAS En psychologie lorsque l'on étudie des groupes on parle de psychologie sociale. Mais qu'est ce que la psychologie sociale? «La psychologie sociale s intéresse à un certain nombre d évènements psychologiques qui sont les comportements, les jugements, les affects et les performances des êtres humains en tant qu ils sont membres de collectifs sociaux ou en tant qu ils occupent des positions sociales.» Jean-Léon Beauvois On peut définir plusieurs types de collectifs sociaux : 1. LA FOULE On peut parler de foule quand des individus se trouvent réunis en grand nombre au même endroit, sans avoir cherché explicitement à se réunir. La situation de foule développe un état psychologique propre : - Passivité des gens réunis envers tout ce qui n est pas la satisfaction immédiate de leur motivation individuelle. - Absence ou faible niveau des contacts sociaux et des relations inter-humaines. - Contagion des émotions et propagation rapide à l ensemble d une agitation née en un point. - Stimulation latente produite par la présence massive des autres, qui peut éclater sous forme d actions collectives passagères et paroxystiques (violente ou enthousiaste), ou apathie collective imperméable à presque toutes les interventions. 2. LA BANDE Ce sont des individus réunis volontairement, pour le plaisir d être ensemble, par recherche du semblable. «La foule a la solitude en commun, une bande a la similitude.» - Chez l animal isolé qui s agglutine à une bande, on note un changement de taille, de couleur, de forme de certains organes pour ressembler aux autres animaux. - Même phénomène chez les humains : membres d une bande tendent à multiplier les signes extérieurs de ressemblance : posture, habillement, toilette (coiffure), le langage, objets exhibés 3. LE GROUPEMENT On parle de groupement à partir du moment ou des personnes se réunissent, que ce soit en nombre petit, moyen ou élevé, avec une fréquence de réunions plus ou moins grande, avec une permanence relative des objectifs dans l intervalle des réunions. Exemples : associations loi 1901 : club, école, amicale, classe, coopérative, corporation, fédération, parti, syndicat On distingue deux types de groupement : 3.1. Groupe primaire - Nombre restreint de membres, tel que chacun puisse avoir une perception individualisée de chacun des autres, être perçu réciproquement par lui et que de nombreux échanges inter-individuels puissent avoir lieu. - Poursuite en commun et de façon active des mêmes buts, dotés d une certaine permanence, assumés comme buts du groupe, répondant à divers intérêts des membres et valorisés.
2 - Relations affectives pouvant devenir intenses entre les membres (sympathies, antipathies ) et constituer des sous groupes d affinités. - Forte interdépendance des membres et sentiments de solidarité ; union morale des membres du groupe en dehors des réunions et des actions en commun. - Différenciation des rôles entre les membres. - Constitution de normes, de croyances, de signaux et de rites propres au groupe (langage et code du groupe). Exemple : brigade, clan, comité, commando, commission, communauté, jury, patrouille, noyau, secte, tribu, famille et équipe. Par les échanges affectifs intenses qui se nouent entre ses membres, la famille est l exemple même du groupe primaire. Mais à cause des institutions sociales qui la régissent, elle est aussi un groupe secondaire Le groupe secondaire C est un système social qui fonctionne selon des institutions (juridiques, économiques, politiques, ) à l intérieur d un segment particulier de la réalité sociale (marché, administration, sport, recherche scientifique ). Exemple : Une entreprise industrielle, un hôpital, une école, un parti politique, famille élargie La distinction de ces cinq catégories ne doit pas masquer l existence de phénomènes groupaux communs : - l émergence de leaders - l identification des membres les uns aux autres à des degrés divers - l adhésion inconsciente à des représentations sociales imaginaires, des clichés, des stéréotypes. 4. LES GROUPES ET LEURS INFLUENCES Un groupe résiste au changement parce que tout changement déséquilibre ses fonctions habituelles, le contraignant à les réorganiser. Deux types d'influence : 4.1. L influence majoritaire (ou conformisme) C'est lorsqu'un individu change son comportement pour le mettre en adéquation avec le comportement d'un groupe majoritaire. Il existe trois aspects importants du conformisme qui permettent de le dissocier des autres formes d'influences sociales : - Le conformisme est un phénomène intra-groupe. - Le conformisme renvoie à une pression implicite (le groupe n'a pas une volonté explicite d'influencer un de ses membres, l'individu n'a pas toujours conscience d'être influencé). - Il n'y a pas de rapport hiérarchique entre la source et la cible d'influence. Les membres du groupe ont le même statut. La normalisation : - Évaluation du déplacement d un point lumineux dans le noir ; en groupe puis seul ou l inverse. - Les évaluations des sujets en groupe ont tendance à se rapprocher pour constituer une norme commune. La soumission à l autorité : MILGRAM Pour cette expérience, 600 sujets étaient recrutés par annonce de presse; L expérimentation se déroulait
3 dans un luxueux laboratoire de l université de Yales. La procédure est simple : On déclare aux participants que l on réalise une expérience sur la mémoire et que l on cherche à tester les effets de la punition sur le processus d apprentissage. On demande au sujet qui sera dans le rôle du professeur, de faire apprendre des paires de mots comme «chapeau ballon» à son élève. La consigne est simple : Si l élève donne une mauvaise réponse, le professeur doit lui administrer un choc électrique croissant de 15 volts à chaque erreur et cela de 15 jusqu à 450 Volts où il est d ailleurs indiqué «danger». L expérimentateur habillé de sa blouse blanche n a le droit de dire que quelques phrases telles que : «vous devez continuer» ou «il faut continuer» ou «continuez» ou «l expérience veut que vous poursuiviez» ; pour mettre quelques variantes.
4 Le conformisme : Expérience de Asch en 1951
5 But : montrer jusqu'à quel point l'individu peut changer son avis pour adhérer à celui défendu par la majorité. Des sujets entre dans une salle où 6 personnes sont déjà installées, se place sur l avant dernière chaise Tâche facile d évaluations de segments par rapport à un étalon Un par un les sujets répondent oralement à l expérimentateur Deux tours se passent normalement puis toutes les personnes répondent de façon erronée Que va faire le sujet??? Le sujet est en fait le naïf et les autres personnes des compères de l expérimentateur. 40% des cas les sujets naïfs ont suivi systématiquement l avis de la majorité. 25% des sujets ne se sont jamais ralliés aux fausses réponses 75% l ont fait systématiquement, une fois sur deux ou de temps en temps Comment expliquer le conformisme? Asch demande ensuite aux participants pourquoi ils ont abandonné leur avis personnel. Il obtient deux types de réponses : - La peur du ridicule, d'avoir l'air idiot, d'être rejeté (PEUR DE LA DESAPROBATION SOCIALE), - Le doute quant à la validité de sa propre réponse. Deux formes d'influences sociales expliquent le conformisme : - L'influence informationnelle : utilisation des réponses des autres pour avoir des informations sur l'exactitude de sa propre réponse. C'est un conflit cognitif. - L'influence normative : l'individu suit le groupe parce qu'il cherche à respecter les normes établies par celui-ci. C'est un conflit motivationnel. L'influence informationnelle est particulièrement importante quand on est confronté à une tâche que l'on ne maîtrise pas. L'influence normative est importante quand le groupe est important pour nous (des gens que l'on sera amené à revoir) Les facteurs qui influencent le conformisme - caractéristiques de la tâche : difficulté, ambigüité - caractéristiques de la personne (cible d'influence) : - caractéristiques personnelles, confiance en soi (confiance en ses propres compétences, estime de soi) - caractéristiques sociales : culture, sexe... (ex : le comportement conformiste ne se manifeste pas avec la même force dans une culture collectiviste ou dans une culture individualiste) - caractéristiques du groupe (source d'influence) : taille, unanimité - relations personne-groupe (attrait au groupe, statut de l'individu au sein du groupe, interdépendance individu-groupe) L'influence minoritaire (ou l'innovation) La majorité l'emporte souvent dans une situation de groupe, mais il n'y aurait jamais de changements
6 sans l'innovation. On définit l'innovation comme ceci : influence sociale minoritaire visant à créer des comportements nouveaux ou à modifier les comportements existants. Elle est d autant plus importante si le groupe minoritaire a les caractéristiques suivantes : - il est en conflit avec la majorité ; - il est vécu par la majorité comme appartenant pleinement au groupe ; - il est vécu par la majorité comme indépendant, c est à dire ni manipulé ; - ni soumis à des intérêts particuliers ; - il est consistant, c est à dire qu il fait preuve de fermeté dans l énoncé répété de ses arguments et opinions ; - il est flexible, c est à dire qu il fait de légères concessions; - il expose un point de vue cohérent avec les normes latentes de la majorité. Là où la majorité impose immédiatement l évidence de son point de vue, la minorité sape lentement les certitudes majoritaires en comptant sur la répétition et le temps L'expérience de Moscovici, Lage et Naffrechoux (1969) Expérience construite à l'image de l'expérience de Asch sur le conformisme : - Constitution de groupes de six personnes confrontées à une tâche perceptive relativement évidente (évaluer successivement la couleur et l'intensité lumineuse de six diapositives bleues). Quatre participants "naïfs", deux compères (qui joueront les innovateurs). Les participants et compères donnent à tour de rôle et à haute voix leur réponse, les compères sont en position 1 et 2. - Les deux compères donnent une réponse erronée quant à la couleur (vert) - Mise en place de groupe "contrôles" composés de 6 sujets naïfs qui donnent leur réponse par écrit (on connaît ainsi le pourcentage d'erreur). Dans la situation expérimentale, les participants se rallient à la mauvaise réponse donnée par les compères dans 8,25% des cas, contre 0,25% d'erreurs dans les groupes contrôles. Une majorité peut être cible d'influence, mais une minorité semble avoir plus de difficultés à influencer qu'une majorité. Deuxième étude, effectuée sur les mêmes participants que ceux de la première étude : But : analyser l'impact dû à l'influence minoritaire sur les plans psychologique et perceptif (pas sur le plan comportemental). Un expérimentateur présente aux participants une série de pastilles allant du bleu au vert. Leur tâche est de classer les pastilles en deux groupes bleu/vert. Suite à une influence minoritaire, les participants voient les couleurs plus vertes, ils ont abaissé leur seuil de détection du vert. Les participants classent plus de pastilles dans le vert que ceux du groupe contrôle. Il y a une modification plus ou moins inconsciente de la perception visuelle. L'influence minoritaire influence + les structures psychologiques que les structures comportementales Comment expliquer l'influence minoritaire? La minorité a une influence sur la majorité mais doit faire preuve de consistance (être catégorique, avoir et maintenir une position cohérente). Cette consistance se situe sur deux plans :
7 Expérience : Les compères ne sont pas toujours d'accord entre eux (pas de consistance sociale) et changent d'avis d'une fois sur l'autre (pas de consistance interne). Les résultats confirment l'absence d'influence (quasi égalité avec les groupes contrôle). Expérience : Les compères adoptent un comportement plus flexible mais toujours consistant. L'influence est encore plus importante (21% des participants suivent la réponse erronée). Face à une minorité consistante (interne + sociale), les individus se voient confrontés à des personnes qui semblent convaincues de leur position et qui semblent avoir raison d'être convaincues puisque cette position acquiert une certaine validité, étant partagée. L'individu se laisse donc influencer Comparaison conformisme/innovation
FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL
FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL Intro... 1 I. Caractéristiques des différents types de groupe... 1 A. Définitions... 1 B. Définition selon Anzieu et Martin... 2 C. Définition de Fisher...
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailPsychologie sociale. Cours élaboré par HADJ TAIEB Patricia - Maître-assistante ROUISSI Mourad- Assistant
Psychologie sociale Cours élaboré par HADJ TAIEB Patricia - Maître-assistante ROUISSI Mourad- Assistant Cours pour la validation des crédits Licence Fondamentale en Education Physique 1 Programme : 1.
Plus en détail7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision.
7. Exemples de tests pour détecter les différents troubles de la vision. 7.1 Pour la myopie (mauvaise vue de loin) : Test de vision de loin Sur le mur d un pièce, fixez l illustration ci-dessous que vous
Plus en détailAPPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP
Résumé du rapport de recherche destiné au Centre Alain Savary, INRP APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Martine Méheut, Olivier Prézeau INRP, Centre Alain Savary Apprendre la chimie en ZEP Résumé 1 Dans une perspective
Plus en détailPERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE
GOBERT 1 PERCEPTION ET PERCEPTION SOCIALE 1. Perception et perception sociale Perception = processus par lequel l individu organise et interprète ses impressions sensorielles de façon à donner un sens
Plus en détailLes bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison
D après LES DEVOIRS ET LES LEÇONS de Marie-Claude Béliveau 1 1 Rappels et définitions. Officiellement, les devoirs à la maison sont interdits depuis 1956 2 à l école primaire mais leur pratique reste très
Plus en détailCOR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR
COR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR SABRINA CAMPANO DIRECTION: NICOLAS SABOURET ENCADREMENT : NICOLAS SABOURET, VINCENT CORRUBLE, ETIENNE DE SEVIN SOUTENANCE
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailTransformez votre relation au monde!
Transformez votre relation au monde! Formations certifiantes PNL QUEST interactive 2013-2014 Qu est-ce que la PNL? La PNL (Programmation Neuro-linguistique) est une discipline développée dans les années
Plus en détailLES BASES DU COACHING SPORTIF
LES BASES DU COACHING SPORTIF Module N 1 Motivation, concentration, confiance, communication Module N 2 L apprentissage : «Apprendre à apprendre» LES BASES DU COACHING SPORTIF APPRENTISSAGE PLAISIR PERFORMANCE
Plus en détailLe Leadership. Atelier 1. Guide du formateur. Atelier 1 : Le Leadership. Objectifs
Guide du formateur Atelier 1 Objectifs Obtenir un premier contact avec le groupe; présenter la formation Jeune Leader; transmettre des connaissances de base en leadership; définir le modèle de leader du
Plus en détailLes aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie.
Les aspects psychologiques de la paralysie cérébrale : répercussions et enjeux dans le parcours de vie. Sarah CAILLOT, Psychologue Réseau Breizh IMC- Pôle MPR St-Hélier (Rennes)- Journée Inter-régionale
Plus en détailIntérêt pour les personnes 1.9. 9.9 Club social. 5.5 Compromis 1.1. 9.1 Laisser-faire. Intérêt pour la tâche. Travail équipe.
Cours 12 Le pouvoir au sein d une organisation Les liens entre pouvoir, autorité et obéissance Le leadership et les traits personnels Les théories du leadership situationnel Pouvoir Capacité d un individu
Plus en détailBibliothèque des Compétences clés
Bibliothèque des Compétences clés Modules Jours Heures S exprimer oralement 3 21 S exprimer à l écrit 4 28 Manipuler les chiffres et les ordres de grandeur 5 35 Utiliser les principaux outils bureautiques
Plus en détailManagement Interculturel
Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.
Plus en détailL IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE
N 198 PETREIN Olivier L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE Introduction L'emploi des Nouvelles Technologies de l'information et de la Communication
Plus en détailQuelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?
Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailApplication en classe de la progression des apprentissages en musique 1 er cycle du secondaire
Application en classe de la progression des apprentissages en musique 1 er cycle du secondaire Quelques définitions des termes utilisés Nommer : Désigner par un nom. Identifier : Déterminer la nature de
Plus en détailModulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1
Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...
Plus en détailREPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT
REPONDRE AU BESOIN DE BOUGER CHEZ LE JEUNE ENFANT L enfant de deux, trois ans, a besoin de bouger pour développer ses capacités motrices. Aménagement des lieux dans l école et dans la classe La cour de
Plus en détailÉtablir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance
Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM
Plus en détailL'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme
IREDU-CNRS Ministère de la Culture et de la Communication Délégation aux Arts plastiques Magali Danner Gilles Galodé L'insertion professionnelle des diplômés DNSEP 2003 trois ans après le diplôme Enquête
Plus en détailECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES CORRIGÉ TYPE DE L EXAMEN
ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES Module : Marketing Fondamental Niveau : 1 ère Année Master Enseignant : KHERRI Abdenacer Date : 13/04/2015 Site web : www.mf-ehec.jimdo.com Durée : 1 heure 30 minutes
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION. Etre Coach professionnel en entreprise
PROGRAMME DE FORMATION Etre Coach professionnel en entreprise Buts : Former des coachs professionnels capables d intervenir dans le monde de l entreprise pour accompagner et développer l autonomie de salariés
Plus en détailESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile
ESAT Ateliers d'apprivoisement de la tablette tactile Dans un objectif d appropriation des technologies numériques par les travailleurs d ESAT, j ai choisi de réaliser des ateliers d apprivoisement de
Plus en détailChapitre 9 En quoi la dynamique d un groupe peut-elle construire sa cohésion?
RESSOURCES HUMAINES ET COMMUNICATION Thème 3 COHESION / CONFLITS Chapitre 9 En quoi la dynamique d un groupe peut-elle construire sa cohésion? Les groupes sont caractérisés par des tensions internes, des
Plus en détail5 semaines pour apprendre à bien jouer un morceau de piano
5 semaines pour apprendre à bien jouer un morceau de piano Ce guide peut être librement imprimé et redistribué gratuitement. Vous pouvez pouvez l'offrir ou le faire suivre à vos amis musiciens. En revanche,
Plus en détailIntervenir sur les interactions parents-enfants dans un contexte muséal scientifique
Intervenir sur les interactions parents-enfants dans un contexte muséal scientifique Rodica AILINCAI, doctorante, Laboratoire «Éducation et Apprentissages», Université Paris 5 René Descartes Annick WEIL-BARAIS,
Plus en détailcoaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur
coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailFiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique)
1 Fiche de synthèse sur la PNL (Programmation Neurolinguistique) La programmation neurolinguistique (PNL) fournit des outils de développement personnel et d amélioration de l efficacité relationnelle dans
Plus en détailLES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE
LES HABILETÉS DE SAVOIR ÊTRE Clémence Gauvin et Émilienne Laforge, professeures Module travail social Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue 2004-2005, modification mai 2006 Introduction La formation
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détail«Les acteurs du mieux-vivre en entreprise au service du bien-être au travail»
«Les acteurs du mieux-vivre en entreprise au service du bien-être au travail» Piloter une entreprise sous influence dans un environnement turbulent : quelles forces en présence? L entreprise, terrain du
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détailL analyse de la gestion de la clientèle
chapitre 1 - La connaissance du client * Techniques utilisées : observation, recherche documentaire, études de cas, études qualitatives (entretiens de groupes ou individuels, tests projectifs, analyses
Plus en détailPistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement
Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement Pistes d intervention pour les enfants présentant un retard global de développement, MELS, novembre 2011 Page 1 Document
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailDemande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire
Date d envoi : Demande d admission au Centre pédagogique Lucien-Guilbault Secteur primaire QUESTIONNAIRE AU TITULAIRE Ce document doit être complété par le titulaire de classe et/ou par l orthopédagogue
Plus en détailL autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?
L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée
Plus en détailExemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges. Ordinaires & ASH
Exemples de différenciations pédagogiques en classe. Elémentaires Collèges Ordinaires & ASH PRESENTATION ESPRIT DES OUTILS PRESENTES L objectif de cette plaquette est de proposer des tours de mains aux
Plus en détailEDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE CYCLE 4 HYPER TEXTE
EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTIVE CYCLE 4 HYPER TEXTE LE VOLET 1 DU CYCLE 4 est un texte général qui oriente toutes les disciplines et qui permet de cibler la singularité des axes de formation. LE VOLET 2
Plus en détailFORMATION FORMATION CERTIFIANTE AU METIER DE COACH. Public. Objectifs : Mode pédagogique : une formation avant tout pratique, novatrice et cohérente.
FORMATION Public Cette action de formation professionnelle au coaching s adresse à ceux et celles qui souhaitent soit devenir coach, soit intégrer les outils du coaching pour enrichir leur pratique professionnelle,
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailFusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48
Fusion et consolidation RFC - Réflexion -comptabilité - Décembre 2010-438 p. 44-48 Résumé de l article Les regroupements d entreprises peuvent se traduire en comptabilité par une fusion régie par le règlement
Plus en détailLE MARKETING SOCIAL ET
LE MARKETING SOCIAL ET LA PRÉVENTION DE LA MALTRAITANCE MARIE-HÉLÈNE GAGNÉ 6ème Colloque québécois sur la maltraitance envers les enfants et les adolescents Montréal, 29 octobre 2013 LE FARDEAU DE LA MALTRAITANCE
Plus en détailExemple 360. Questionnaire Leadership Thomas. Personnel & Confidentiel
Feed-back 360 Exemple 360 Questionnaire Leadership Thomas Personnel & Confidentiel Introduction Comment lire votre rapport Feed-back 360? Moyenne par compétence Représentation graphique des 5 meilleures
Plus en détailLe Leadership. Bass en 1996 : le leadership est un phénomène pas du tout stable. Il existe 3 grandes théories autour du leadership.
Le Leadership Un problème récurrent dit que l on a pas encore fait le tour de ce thème. Toulouse en 1986 a repereé 5000 publication sur le leadership. Les ecrits porte sur le pouvoir, l influence, la persuasion,
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailPrésentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage
Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage «La façon de nous voyons les choses est la source de la façon dont nous pensons et de la façon dont nous agissons Jamais nous
Plus en détailBien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie?
18 2 e semestre 2012/HesaMag #06 Dossier spécial 7/34 Bien-être des salariés et performance des magasins entrent-ils dans le même caddie? La protection du bien-être au travail est un droit des salariés.
Plus en détailRECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470
RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit
Plus en détailProjet d établissement
Projet d établissement Le Lycée Expérimental de Saint-Nazaire est un établissement public assurant une formation de second cycle de l enseignement secondaire. Il regroupe des enseignants volontaires qui
Plus en détailEXEMPLE DE RAPPORT D'AUDIT. Site Internet
EXEMPLE DE RAPPORT D'AUDIT Site Internet Important : Ceci est un exemple d'audit d'un site (factice) communément classé dans la catégorie "plaquette", c'est-à-dire présentant en moins de 10 pages l'activité
Plus en détailCEM: les comptes d épargne médicale
CEM: les comptes d épargne médicale 1. Situation Le financement du système suisse de santé est à l évidence en passe de devenir un des sujets les plus discutés au cours du siècle. Comme dans la plupart
Plus en détailA. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg
Sommeil de courte durée, vigilance et travail de nuit A. BONNEFOND Maître de conférences en neuroscience cognitive Laboratoire d imagerie et de neuroscience cognitive Université de Strasbourg Sommeil de
Plus en détailLa CCM vous remercie de lui offrir la possibilité de donner son avis sur la révision partielle de la LA Mal.
Par courriel Abteilung Leistungen@bag.admin.ch Office fédéral de la santé publique OFSP Division Prestations Schwarzenburgstrasse 165 3003 Berne Zurich, 3 octobre 2014 Consultation sur la révision partielle
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailTNS Behaviour Change. Accompagner les changements de comportement TNS 2014 TNS
Accompagner les changements de comportement TNS 2014 Comprendre et accompagner les changements de comportement Inciter et accompagner les changements de comportements des individus est un enjeu fondamental
Plus en détailRapidolect Les Productions de la Columelle (1998-2006) Page 1
Page 1 Page 2 Logiciel Rapidolect RATIONNEL DU JEU Un bon lecteur possède dans sa tête des images précises des mots écrits qu'il connaît. Lorsqu'il parcourt un texte, ses yeux se déplacent par saccades
Plus en détailmajuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot
majuscu conjugaison >>>, L orthographe singulier syllabe virgule mémoire lettres et son enseignement graphie suffixe usage accent ; écrire féminin temps voyelles mot point Renforcer l enseignement de l
Plus en détailLe Profiling SwissNova
Le Profiling SwissNova pour un coaching plus efficace Mme Jalila Ben Soltane, Business Coach Mme Rim Kassous, Professionnel Certified Coach PCC HR Expo Tunis, Palais des congrès, 2013 LE CONCEPT NOVA La
Plus en détailOrganiser l espace dans une classe de maternelle : Quelques idées. I - Les textes officiels : II - Les coins jeux : III - L enfant et le jeu :
Organiser l espace dans une classe de maternelle : I - Les textes officiels : Quelques idées «L aménagement des salles de classe doit offrir de multiples occasions d expériences sensorielles et motrices.
Plus en détailDate : 18.11.2013 Tangram en carré page
Date : 18.11.2013 Tangram en carré page Titre : Tangram en carré Numéro de la dernière page : 14 Degrés : 1 e 4 e du Collège Durée : 90 minutes Résumé : Le jeu de Tangram (appelé en chinois les sept planches
Plus en détailMON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1
Nom : Prénom :.. MON LIVRET DE COMPETENCES EN LANGUE (Socle commun) Niveau A1/A2 / B1 Récapitulatif pour la validation du Diplôme National du Brevet (Attestation du Niveau A2 en Langue Vivante) : ACTIVITES
Plus en détailogiciel Véronique Messager
énie ogiciel Véronique Messager Préface de Bernadette Lecerf-Thomas Postface de Françoise Engrand Coacher une équipe agile Guide à l usage des ScrumMasters, chefs de projets, managers et de leurs équipes!
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailEtude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs
Octobre 2014 Etude OpinionWay pour Axys Consultants Les Réseaux Sociaux d Entreprise : degré d appropriation & bénéfices perçus par les utilisateurs Méthodologie de l étude Étude réalisée auprès d un échantillon
Plus en détailTABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse
TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20
Plus en détailLES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS
ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.
Plus en détailAgile Learning Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse
Comment faire face aux changements organisationnels? Une étude internationale réalisée par Lumesse Introduction Le monde du travail est plus que familier avec la notion de changement. Synonyme d innovation
Plus en détailMÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS
MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailNormes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité
Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan
Plus en détailBien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble
Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,
Plus en détailLe banquier idéal des Français et des Américains
pour Le banquier idéal des Français et des Américains Février 2011 1 La méthodologie 2 2 Note méthodologique Etude réalisée pour : Groupama Banque Echantillons : France : Echantillon de 1000 personnes,
Plus en détailECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION
ECOLE DE BOUMERDES (EBM) LANGUAGES & COMMUNICATION IAP-CU ECOLE DE BOUMERDES PROGRAMME FORMATION CONTINUE 2012 LANGUAGES & COMMUNICATION INDEX THEMES DUREE PERIODE _COM01 _COM02 _COM03 GÉRER ET PRE'VENIR
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détailL'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes
L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes Les 3 objectifs sont poursuivis aussi bien à l'école maternelle, qu'à l école primaire MATERNELLE * Favoriser la construction des actions motrices
Plus en détailMes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca
Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant
Plus en détailCahier du participant. 3 e édition. Une présentation de la ville de Vaudreuil-Dorion
Cahier du participant 3 e édition Une présentation de la ville de Vaudreuil-Dorion 23 Juin 2013 RÉSUMÉ DU PROJET Le défilé c est.. Avant tout, une création collective des citoyens de Vaudreuil-Dorion en
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailPartenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t
Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailLes Français et le pouvoir d achat
Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire
Plus en détailLa formule Leadership en Action TM. Améliorer de façon durable les compétences managériales de vos cadres. Leadership en Action TM
La formule Améliorer de façon durable les compétences managériales de vos cadres. Nous contacter : Monique Cumin, monique.cumin@lasting-success.com Tel : 06 95 09 10 31 La formule Formation-action : entraînement
Plus en détailTESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple
TESTS D'HYPOTHESES Etude d'un exemple Un examinateur doit faire passer une épreuve type QCM à des étudiants. Ce QCM est constitué de 20 questions indépendantes. Pour chaque question, il y a trois réponses
Plus en détailProgramme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE
Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailCompte rendu de la formation
Compte rendu de la formation «Expertise de vos pratiques en Méthode Naturelle de la Lecture et de l Ecriture (MNLE)» Animée par Sybille Grandamy Le 10 mars 2015 BILAN QUALITATIF ET QUANTITATIF 9 participant(e)s
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détail