Comment les chercheurs et les résultats de leur travail peuvent-ils influencer au mieux les politiques gouvernementales en matière de finance rurale?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Comment les chercheurs et les résultats de leur travail peuvent-ils influencer au mieux les politiques gouvernementales en matière de finance rurale?"

Transcription

1 Comment les chercheurs et les résultats de leur travail peuvent-ils influencer au mieux les politiques gouvernementales en matière de finance rurale? Les chercheurs, et le fruit de leur travail, peuvent constituer une des principales sources de connaissances qui alimentent le processus d élaboration des politiques de finance rurale. La recherche peut revêtir diverses formes: fondamentale, académique ou appliquée, chacune avect des buts, des procédures de fonctionnement et des résultats différents (Wampfler et al., 2006). En définitive, les connaissances (issues de ces recherches) sont une composante essentielle pour les décideurs si elles sont actuelles et pertinentes (CRDI, 2007). Ces recherches peuvent à la fois soutenir de nouvelles politiques de finance rurale et de microfinance et aider à formuler de nouvelles technologies financières axées sur la prestation de services financiers efficaces et adaptés. (Coffey, 1998) Cette note de recherche entend fournir des éclaircissements sur la façon dont les chercheurs et les résultats de leur travaux peuvent infléchir le plus efficacement possible les politiques en matière de finance rurale et de microfinance 1. Elle s adresse principalement à tous les types de chercheurs, mais peut aussi s avérer utile pour les dirigeants et autres acteurs s occupant du financement du développement, afin de mieux comprendre comment ils peuvent faciliter la communication et le dialogue. La note énonce les huit points fondamentaux suivants destinés à aider les chercheurs qui souhaitent influencer les décisions en matière de finance rurale et de microfinance: 1. Comprendre le processus d élaboration des politiques et distinguer les différents acteurs pouvant y être associés, impliqués et/ou rivaux. 2. Comprendre le public, les délais et les pressions auxquels sont confrontés les décideurs. 3. Créer des stratégies de communication dès le démarrage du processus de recherche. 4. Avoir un objectif clair. 5. Faire intervenir les parties prenantes durant tout le processus de recherche. 6. Offrir des orientations de qualité, pratiques et concrètes. 7. Instaurer des liens informels et formels avec les décideurs, associations et autres organes intermédiaires. 8. Reconnaître l économie politique et la nécessité de faire des compromis. 1 Cette note de recherche se base sur les discussions tenues lors de la Conférence internationale sur la recherche et la finance rurale: Transformation des résultats en politiques et actions, qui a eu lieu en mars 2007 à Rome (Italie). Pour de plus amples informations sur la conférence et ses résultats, veuillez consulter:

2 1 COMPRENDRE LE PROCESSUS D ÉLABORATION DES POLITIQUES ET DISTINGUER LES DIFFÉRENTS ACTEURS POUVANT Y ÊTRE ASSOCIÉS, IMPLIQUÉS ET/OU RIVAUX. La recherche fait souvent partie d un réseau complexe, de par ses liens avec les politiques où entrent en jeu de multiples facteurs (Barnard et al., 2006), et les chercheurs qui souhaitent influencer ces décisions doivent commencer par bien comprendre le processus d élaboration des politiques (ODI, 2004). Il a été souligné que «les chercheurs doivent comprendre le mode de penser des décideurs et le fonctionnement du processus. Souvent, la science la plus nécessaire aux chercheurs est la science politique» (CRDI, 2007). Influence POLITICIENS GOUVERNEMENT ex. Ministères de l agriculture, des Finances, du Commerce, Banque centrale Décisions Publications Conférences Communication Résultats des analyses de données Lobbying Recommandations COMITÉ DE POLITIQUES AGRICOLES / FINANCE RURALE (COMITÉ SPÉCIAL / GROUPE DE RÉFLEXION) Gouvernement / Représentants des parties prenantes, Universités Conseils Appui financier et technique CHERCHEURS Instituts de recherche Universités particuliers / consultants Organismes de développement Collaboration GROUPEMENTS D INTÉRÊT Associations d agriculteurs Chambres de commerce Agro-alimentaire et coopératives ONG Institutions de financement Organes et réseaux de pointe Décisions de financement BAILLEURS DE FONDS CONSEILLERS INTERNATIONAUX ex. FMI, Banque mondiale, USAID, CGAP Questions Problèmes POURVOYEURS DE SERVICES FINANCIERS AGRICULTEURS / ENTREPRISES RURALES / MÉNAGES Source: Adapté de Coffey (1998). Le diagramme ci-dessus illustre le cadre de base de l élaboration des politiques de finance rurale et montre comment la recherche peut jouer un rôle en fournissant des données et des résultats analytiques aux organisations du gouvernement et du secteur privé. Comprendre le processus d élaboration des politiques et les mesures gouvernementales influençant la finance agricole et rurale peut être plus problématique que pour d autres secteurs, car les politiques relatives au secteur rural peuvent impliquer divers ministères du gouvernement, par exemple, des politiques agricoles, financières et macroéconomiques. Ce diagramme montre non seulement où les chercheurs et leurs résultats peuvent intervenir dans le processus d élaboration des politiques, mais souligne qu ils sont parmi les nombreux acteurs qui rivalisent pour exercer une influence. De ce fait, le diagramme illustre également les interactions entre les multiples parties intéressées et la manière dont les résultats de la recherche peuvent au bout du compte contribuer à la formulation des politiques par différentes filières. 2 COMPRENDRE LE PUBLIC ET LES DÉLAIS ET PRESSIONS AUXQUELS SONT CONFRONTÉS LES DÉCIDEURS Dans le cadre de leur plan de travail général, les chercheurs doivent s attacher en particulier aux différents événements intervenant dans le calendrier politique (Barnard et al., 2006), aux délais impartis aux décisions de principe, et aux pressions et aux choix auxquels sont confrontés leurs publics (CRDI, 2007). Ceci devrait leur permettre de surveiller l apparition de fenêtres d opportunité et de s assurer de pouvoir y répondre de façon opportune (ODI, 2004). En même temps, il est important de reconnaître l existence de divers «marchés» pour la recherche en finance rurale et microfinance qui peuvent servir comme différentes voies d accès au décideur. En outre, chaque marché a des exigences différentes: il s agit notamment de la validation par les pairs et des revues académiques, des secteurs professionnels (donateurs et organismes publics, groupes de réflexion, revues populaires, fondations philanthropiques, etc.) et des praticiens «du monde réel» (politiciens, gérants/titulaires d intermédiaires financiers, organes de réglementation, investisseurs en actions, etc.).» 2 Par exemple, même au sein de la catégorie des décideurs, différentes fonctions peuvent dicter le meilleur moyen d avoir un impact à travers la recherche: 2 Déclaration de Mark Wenner, participant à la Conférence électronique sur la recherche en finance rurale, mai 2007.

3 Type de décideur Décideurs bureaucrates Décideurs technocrates Décideurs élus (niveau local/régional) Décideurs élus (niveau national) Impact de la recherche Comprennent la recherche pragmatique et sont souvent le point d entrée pour influencer les politiques. Ils pourraient s avérer des défendeurs ou pourfendeurs de certaines questions de politique. Requièrent une recherche scientifique, objective et sont généralement invités par la première catégorie à vérifier l authenticité de la recherche peuvent aider à faire pencher la balance en faveur ou contre des problèmes spécifiques. Ils ont des positions idéologiques qui sont parfois difficiles à changer. Probablement les moins connus et, par conséquent, difficiles à impliquer. Il est souvent difficile que la recherche serve à les convaincre à moins qu elle présente un intérêt direct. Ces élus sont généralement réceptifs à la recherche pragmatique et simple, mais il est souvent plutôt difficile de les convaincre car ils ont tendance à camper sur des positions très populistes. Décideurs ministériels En fonction de leur idéologie, peuvent être ouverts à la recherche; souvent influencés par les décideurs bureaucrates et vice-versa. Source: Tableau dressé par Ramesh Arunachalam, participant à la Conférence électronique sur la recherche en matière de finance rurale, mai INCORPORER LA COMMUNICATION DÈS LE DÉBUT DU PROCESSUS DE RECHERCHE Même si cela peut paraître évident, il vaut la peine de réitérer que l on ne peut pas tout simplement présumer que les décisions de politique sur la finance rurale et la microfinance utilisent les résultats de la recherche. Des mesures concrètes doivent être prises pour attirer l attention des gouvernants (CRDI, 2007). Il faudra notamment des stratégies de communication efficaces en mesure d informer les décisions de politique le cas échéant. Ceci peut nécessiter la programmation de consultations périodiques avec les décideurs au sein des départements gouvernementaux compétents (CRDI, 2007). Durant les phases de planification de la recherche, il est par conséquent important d envisager une stratégie de communication et ses implications pour l utilisation des ressources. Ceci peut même requérir la quête de financements supplémentaires, car le coût de la formulation et de la diffusion de stratégies de communication peut alourdir davantage un budget de recherche déjà restreint (Barnard et al., 2006). Ci-après, une série de points utiles à prendre en compte lors de la formulation d un plan d action pour une communication efficace: 3 p S entretenir avec des personnages influents au cours de réunions formelles et informelles. p Inviter les décideurs à des séminaires et des débats en petits groupes. p Participer aux réunions des comités spéciaux lors de la prise de décisions importantes. p Organiser des visites de terrain, des contacts avec la base (ceci aide à renforcer l engagement politique). p Soulever des questions dans les médias (à condition qu elles présentent un intérêt pour les lecteurs). p Lancer des exercices pilotes ou une recherche-action pour montrer ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. p Fournir aux politiciens des faits et chiffres dans un langage direct. p Garantir l intégration des communautés locales à la recherche. p Partager les résultats de la recherche avec les communautés locales, les groupes de pression, les associations d agriculteurs, les leaders d opinion et les commentateurs économiques qui peuvent mieux influencer les décideurs. p Créer un forum électronique où les chercheurs, les praticiens et les décideurs échangent leurs vues. 3 Liste créée à partir de la Conférence électronique sur la recherche en finance rurale, mai 2007.

4 4 AVOIR UN OBJECTIF CLAIR Le but et l objectif de la recherche doivent être clairs dès le départ car ceci peut déterminer la meilleure voie à emprunter pour informer l élaboration des politiques de finance rurale. Il serait utile de considérer les typologies suivantes: Orientation de la recherche sur les politques Formulation de programmes Formulation de stratégies Mise en oeuvre Objectif et Action Le but consiste à convaincre les décideurs que le problème requiert une attention de leur part (créer la volonté politique). Ceci nécessite des preuves pour renforcer la crédibilité de l argument et une campagne de propagande. Le but est d informer les décideurs des options disponibles et de les aider à faire des choix et/ou à dégager un consensus. Ceci requiert des preuves représentatives pour les autres choix qui sert ainsi de «banque de ressources», plus des collaborations à long terme entre les parties prenantes et les décideurs. Le but consiste à éliminer les goulets d étranglement bloquant la mise en oeuvre. Cette recherche pourrait porter sur les problèmes opérationnels et les solutions mettant en évidence les difficultés, les impacts, etc., et appuyer aussi d autres solutions. Évaluation Le but est de fournir des témoignages représentatifs de qualité et un feedback sur les programmes existants. Il s agit aussi de mettre les décideurs en contact avec les utilisateurs finaux pour les sensibiliser en recevant un retour d informations direct du terrain. Source: Tableau tiré des contributions de Ramesh Arunachalam à la Conférence électronique sur la recherche en matière de finance rurale, mai FAIRE INTERVENIR LES PARTIES PRENANTES DURANT LE PROCESSUS DE RECHERCHE En approfondissant le processus d élaboration des politiques et la connaissance de leurs publics, les chercheurs peuvent déterminer qui sont les principaux acteurs susceptibles de faire avancer leur recherche sur la finance rurale et microfinance de la phase stratégique à la mise en œuvre pratique. Entreprendre cet exercice de cartographie à un stade initial peut également stimuler la réflexion sur la meilleure façon de toucher ou de faire intervenir ces publics potentiels (Barnard et al., 2006). La participation des principaux acteurs à un stade initial peut aussi aider à créer un climat de confiance entre les différents groupes et à instaurer des liens à long terme pouvant faciliter la communication. En outre, la participation active des groupes clés peut également aider à garantir la pertinence et l utilité de la recherche pour le public cible, et offre un retour opportun d informations aux chercheurs (Barnard et al., 2006). Naturellement, les chercheurs devraient veiller à ce que cette étroite coopération ne lèse pas leur objectivité. Outre les décideurs et les participants au processus de recherche, comme les partenaires de recherche dans différents pays, ces parties prenantes peuvent être aussi, par exemple, des organismes internationaux, tels que la FAO, qui peuvent jouer un rôle central pour faciliter le dialogue entre les décideurs et autres acteurs principaux, comme les organisations non gouvernementales, les groupes de la société civile et les associations techniques (Trostle et al., 1999). 6 OFFRIR DES ORIENTATIONS DE QUALITÉ, PRATIQUES ET CONCRÈTES La recherche de qualité, avec des conclusions qui signalent la nécessité de changement, n est qu une phase du processus nécessaire pour influencer les décideurs. Certains ont fait remarquer que, «...influencer les politiques gouvernementales est un art qui requiert des arguments convaincants, qui montrent les avantages clairs aux électeurs». 4 Étant donné la pression significative exercée sur les autorités de tous côtés (institutions de financement, associations d agriculteurs et coopératives, organisations non gouvernementales et représentants du secteur privé), d autres estiment qu il est essentiel d émettre des recommandations cohérentes et bien structurées pour atteindre un objectif donné, plutôt que de simples objections à certaines politiques. 5 En formulant ces recommandations, il est utile de considérer si les mesures proposées sont caractérisées par leur «spécificité», leur «pragmatisme» et leur «rapport coût-efficacité» (Trostle et al., 1999). 4 Déclaration de Nara Hari Dhakal, participant à la Conférence électronique sur la recherche en finance rurale, mai Déclaration de Dale Lampe, contributeur à la Conférence électronique sur la recherche en finance rurale, mai 2007.

5 7 INSATURER DES LIENS INFORMELS ET FORMELS AVEC LES DÉCIDEURS, LES ASSOCIATIONS ET AUTRES ORGANES La création de liens solides avec les décideurs peut s avérer une stratégie très utile pour infléchir le processus décisionnel en matière de politique de finance rurale. Si des rapports, présentations, réunions officielles et autres modes d interaction sont indispensables, la création de filières de communication et de relations informelles peut s avérer extrêmement efficace sur le plus long terme et aider à mieux sensibiliser les décideurs à la recherche (Trostle et al., 1999). Le recours aux contacts et réseaux personnels peut aider à renforcer le climat de confiance et la légitimité avec les décideurs et, en même temps, servir à dégager un consensus autour des résultats de la recherche (Barnard et al., 2006). Expérience de l «Instituto de Estudios Peruanos» L intégration des résultats de la recherche dans le processus d élaboration des politiques devrait se fonder sur une stratégie conjuguant des liens formels et informels. Pour ce qui est des liens officiels, il est nécessaire mais non suffisant, de satisfaire à certaines normes de qualité en matière de résultats, d analyses, d idées, d évaluations et de propositions, ainsi que de maintenir une présence continue auprès des instances, conférences, ateliers, publications et, si possible, dans la presse. Il est indispensable de montrer que l institution et ses chercheurs sont des «spécialistes», et il est important qu ils soient reconnus comme tels. Toutefois, cela ne suffit pas. Les liens informels avec les décideurs sont un élément fondamental. Ils permettent, par exemple, aux chercheurs d appeler un décideur pour discuter d un nouveau résultat de recherche, ou pour trouver une réponse spécifique. Ces liens informels sont soutenus par les normes officielles citées ci-dessus, mais sont alimentés par la confiance recueillie dans des cadres informels. Les échanges les plus fructueux d idées, d information et de questions ont généralement lieu devant un café, au téléphone ou lors d une réunion fortuite et, la plupart du temps, les chercheurs ne peuvent s attribuer le mérite public de ces processus. Les conditions formelles sont le véhicule permettant de transformer la recherche en pratique, mais les relations informelles représentent le combustible qui fait avancer ce véhicule. Source: Déclaration personnelle de Carolina Trivelli, Directrice, Instituto de Estudios Peruanos Les chercheurs devraient adopter une démarche entrepreneuriale en identifiant et en entrant en relation avec des «vendeurs» et des groupes clés pouvant aussi faciliter la diffusion de leur message. Par exemple, les associations d entreprises en Inde, comme Sa-Dhan, contribuent activement à renforcer les liens entre décideurs et chercheurs par le biais de forums, comme leurs «sous-groupes de politique», la «Conférence annuelle de politique» et autres événements. 6 8 RECONNAÎTRE L ÉCONOMIE POLITIQUE ET LA NÉCESSITÉ DE FAIRE DES COMPROMIS Il est important d admettre que même les meilleures recherches peuvent n avoir aucun impact sur les politiques. «Nous ne devons pas sous-estimer le fait que l élaboration de politiques économiques relève d un cadre politique général touchant au populisme. Ainsi, il arrive souvent que même lorsque les lacunes d une approche spécifique sont manifestes, la politique sera tentée de la promouvoir comme elle apparaît, populiste ou séduisant les masses. Dans un scénario de ce type, le pragmatisme économique (qui implique souvent des décisions difficiles) se subordonne à l opportunité politique» 7. Ainsi, l impact potentiel de la recherche peut être lui-même influencé par l économie politique. Par exemple, des caractéristiques décisives pouvant déterminer l ampleur de l impact pourraient être: l étendue des libertés civiles et politiques dans un pays; la contestation politique, les pressions institutionnelles et les intérêts cachés; ainsi que les attitudes et encouragements parmi les autorités, leur marge de manoeuvre, l histoire locale, et les relations de pouvoir (ODI, 2004). Comme on l a vu précédemment, la recherche n est qu un des multiples facteurs, éventuellement antagoniques, qui influencent les décideurs dans le domaine de la finance rurale et de la microfinance. Il convient alors de se demander pourquoi certains sont-ils plus enclins que d autres à utiliser ces recherches? Les éléments suivants éclairent le cas de l Inde, où les décideurs semblent avoir été relativement réceptifs à la recherche. 6 Déclaration de Ramesh Arunachalam, participant à la Conférence électronique sur la recherche en finance rurale, mai Déclaration de Alok, contributeur à la Conférence électronique sur la recherche en finance rurale, mai 2007.

6 LE RÔLE GRANDISSANT DE LA RECHERCHE DANS L ÉLABORATION DES POLITIQUES EN INDE Observation Professionnalisation accrue de la fonction de politique La responsabilité croissante des gouvernements et décideurs Le penchant naturel de certains décideurs pour les questions de finance rurale et de réduction de la pauvreté, y compris la recherche La grande diversité du pays requiert une recherche spécifique au contexte Les médias de plus en plus nombreux et de plus en plus inquisiteurs contraignent les décideurs à rester vigilants et remettent en question leurs décisions Notes Les décideurs bureaucrates recherche de manière proactive la recherche de qualité pour résoudre les problèmes d une économie libéralisée où l écart entre les nantis et les pauvres est encore énorme. A contraint les décideurs à rechercher constamment la recherche à l appui de leurs prises de décisions. Certains travaillent à leurs doctorats ou à des niveaux plus élevés dans ces domaines, tandis que d autres ont déjà mené une recherche-action active. Le tissu toujours plus multiculturel de la société indienne n admet pas une approche unique mais tend à s orienter vers des solutions spécifiques au contexte, qui demandent davantage de recherches. La recherche et les chiffres sont vus comme un moyen d obvier à des questions difficiles posées par les médias et autres parties prenantes. Disponibilité d un vaste réseau d institutions de recherche, de consultants indépendants, de donateurs, etc. pour travailler sur les travaux de recherche liés aux politiques Une démocratie forte et dynamique où les aspirations de divers groupes doivent être continuellement prises en compte et la recherche est considérée comme un moyen authentique d y parvenir. Source: Tableau tiré des contributions de Ramesh Arunachalam à la Conférence électronique sur la recherche en matière de finance rurale, mai RÉFÉRENCES BARNARD, G., CARLILE, L., et RAY, DB (2006). Maximising the Impact of Development Research: How can funders encourage more effective research communication?, Rapport final (projet) tiré d un atelier tenu à l Institute of Development Studies, octobre 2006, DFID Londres, IDS Brighton (Royaume-Uni), et CRDI, Ottawa (Canada). COFFEY, E. (1998). Agricultural Finance Revisited No.2 - Agricultural Finance: Getting the Policies Right, Organisation des Nations unies pour l alimentation et l agriculture, Rome (Italie). OVERSEAS DEVELOPMENT INSTITUTE (2004). Bridging Research and Policy in International Development: An analytical and practical framework, Briefing Paper: Research and Policy in Development, ODI, Londres (Royaume-Uni). THE INTERNATIONAL DEVELOPMENT RESEARCH CENTRE (CRDI) (2007). Introductory remarks at the Brown Bag Lunch session Informed Democracy: Advancing public engagement in Canada s policy process à: TROSTLE, J., BRONFMAN, M., et LANGER, A. (1999). How do researchers influence decision-makers? Case studies of Mexican policies, Health and Policy Planning, 14(2), pp , OUP Oxford (Royaume-Uni). WAMPFLER, B., GUÉRIN, I., et SERVET, J.M. (2006). The Role of Research in Microfinance, European Dialogue, n 36, pp7-22. Note de l auteur et clause de non responsabilité: L auteur principal de cette note est Akif Chaudhry, consultant en finance rurale et microfinance. Toute erreur ou omission est la responsabilité exclusive de l auteur. Les appellations employées dans cette publication et la présentation des données qui y figurent n impliquent de la part de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires, villes ou zones ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites. Les déclarations des personnes citées dans le présent document leur appartiennent et ne reflètent pas nécessairement les opinions officielles des organisations qu elles représentent. CONTACTS Cette note technique a été preparée par le Groupe des financements ruraux de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO), grâce à des financements de la Fondation Ford. Pour tous renseignements complémentaires, consultez le site de la FAO: ruralfinance/index.html et le Centre d apprentissage sur la finance rurale: Pour tout complément d information sur l assistance technique de la FAO, veuillez contacter le Bureau de la FAO dans votre pays ou le Service de la gestion, de la commercialisation et des financements agricoles de la FAO à: AGS-Registry@fao.org ou Tél.: (+39) ; Télécopie: (+39)

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»

Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,

Plus en détail

Négociation ministérielle pour un prêt de la Banque mondiale

Négociation ministérielle pour un prêt de la Banque mondiale PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

Accès des populations rurales au capital en Agroland

Accès des populations rurales au capital en Agroland PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS AVANT-PROPOS 1. Le Programme des cadres dirigeants (PCD) est un programme de séminaire en résidence de quatre jours et demi à l intention des officiers

Plus en détail

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités

Cadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session

Plus en détail

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux

Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les

Plus en détail

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet

Plus en détail

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...

SOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL... Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du

Plus en détail

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE

RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE 9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement

S engager à agir pour le développement durable dans une période de changement Nations Unies Conseil économique et social Distr. générale 13 avril 2015 Français Original: anglais E/ECE/1471/Rev.1 Commission économique pour l Europe Soixante-sixième session Genève, 14-16 avril 2015

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques

Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques F SCT/31/8 REV.4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 23 MARS 2015 Comité permanent du droit des marques, des dessins et modèles industriels et des indications géographiques Trente et unième session Genève, 17 21

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

REFERENCES SUR LES INDICATEURS

REFERENCES SUR LES INDICATEURS L i s t e b i b l i o g r a p h i q u e REFERENCES SUR LES INDICATEURS E t u d e G C P Nathalie Wilbeaux Actualisée en Juillet 2007 Bibliographie sélective sur les «indicateurs» - Etude GCP 2003-2007-

Plus en détail

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf

Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France

Stages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

Le concept de leadership

Le concept de leadership Le concept de leadership Qu est ce qu un leadership? Le leadership d'un individu est, au sein d'un groupe ou d'une collectivité, la relation de confiance qui s'établit entre lui et la majorité des membres

Plus en détail

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,

Plus en détail

Fiche 6 : Les groupes citoyens

Fiche 6 : Les groupes citoyens Fiche 6 : Les groupes citoyens La Direction générale de la santé (DGS) a souhaité approfondir la question de la participation des usagers-citoyens au système de santé à travers plusieurs démarches. A cette

Plus en détail

FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE

FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE FORUM INTERNATIONAL DU DAKAR-AGRICOLE La fracture agricole mondiale : «Ouvrir des perspectives pour les espaces en développement» 4 et 5 février 2005 Rapport - ATELIER 2A Thème : Les modèles économiques

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader

Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc. Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Résumé du projet (french) http://www.univie.ac.at/phc Karl Krajic Jürgen Pelikan Petra Plunger Ursula Reichenpfader Institut Ludwig Boltzmann de sociologie de la santé et de la médecine Avril 2001 Introduction

Plus en détail

OBJECTIFS DU MILLÉNAIRE POUR LE DÉVELOPPEMENT

OBJECTIFS DU MILLÉNAIRE POUR LE DÉVELOPPEMENT ÉVALUER LE COÛT D ATTEINTE DE LA CIBLE 10 SUR L EAU ET L ASSAINISSEMENT Les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) et la Cible 10 sur l eau et l assainissement A l occasion du Sommet du Millénaire

Plus en détail

Sondage 2012 auprès des leaders d opinion pour le compte de CBC/Radio-Canada

Sondage 2012 auprès des leaders d opinion pour le compte de CBC/Radio-Canada Sondage 2012 auprès des leaders d opinion pour le compte de CBC/Radio-Canada Faits saillants de la recherche Ce rapport sommaire présente quelques-uns des résultats du sondage en ligne mené par Phoenix

Plus en détail

Technologies de l information

Technologies de l information 7a Technologies de l information Nouvelles technologies de l information : une clé pour apprendre à l âge adulte? 321 Thème 7 Education des adultes, culture, médias et nouvelles technologies Fascicules

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?

Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,

Plus en détail

TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ

TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ TABLE RONDE DE LA COMMUNAUTÉ CANADIENNE DE GÉOMATIQUE Renforcer le secteur de la géomatique au Canada à travers la communauté DIMENSION DU LEADERSHIP ET DE LA GOUVERNANCE DOCUMENT DE DISCUSSION DE LA COMMUNAUTÉ

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières

Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières DIRECTORATE FOR FINANCIAL AND ENTERPRISE AFFAIRS Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Principes et Bonnes Pratiques

Plus en détail

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!

La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de

Plus en détail

Cas de la Plateforme du Niger

Cas de la Plateforme du Niger Plateformes Nationales de Dialogue entre Acteurs pour l Adaptation de l Agriculture au Changement Climatique Cas de la Plateforme du Niger M me HIMA Fatimatou, Plateforme Paysanne/Niger avril 2013 UNE

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

Le Marketing au service des IMF

Le Marketing au service des IMF Le Marketing au service des IMF BIM n 06-20 février 2002 Pierre DAUBERT Nous parlions récemment des outils d étude de marché et de la clientèle créés par MicroSave-Africa, qui s inscrit dans la tendance

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Office DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen

Plus en détail

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?

2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion? Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers

Plus en détail

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché

Plus en détail

L optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement

L optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement Pratiques en matière de partenariat n o 3b L optimisation des ressources : risques et possibilités pour la recherche au service du développement La Division des partenariats avec les bailleurs de fonds

Plus en détail

Notre approche pour les investissements en bourse

Notre approche pour les investissements en bourse TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*

Plus en détail

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée

Plus en détail

DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER

DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera

Plus en détail

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif

Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Rapport explicatif Protocole n 15 portant amendement à la Convention de sauvegarde des Droits de l'homme et des Libertés fondamentales (STCE n 213) Introduction Rapport explicatif 1. La Conférence de haut niveau sur l avenir

Plus en détail

Autonomisation du Consommateur et Pratiques Commerciales Stratégies nationales d éducation financière

Autonomisation du Consommateur et Pratiques Commerciales Stratégies nationales d éducation financière Consumer Empowerment and Market Conduct (CEMC) Working Group Autonomisation du Consommateur et Pratiques Commerciales Stratégies nationales d éducation financière Cette Note Directrice a été élaborée par

Plus en détail

Quels enseignements de l expérience française (1983-1990)

Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Développement des marchés de capitaux Quels enseignements de l expérience française (1983-1990) Séminaire de clôture Tunis, le 23 mai 2013 Françoise Drumetz Directeur de la coopération extérieure CONTEXTE

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail

COMITÉ DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA : ÉTUDE SUR LE CENTRE CANADIEN D ÉCHANGE DU RENMINBI

COMITÉ DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA : ÉTUDE SUR LE CENTRE CANADIEN D ÉCHANGE DU RENMINBI COMITÉ DES FINANCES DE LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA : ÉTUDE SUR LE CENTRE CANADIEN D ÉCHANGE DU RENMINBI Introduction Mémoire de la City of London Corporation Présenté par le bureau du développement

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation

Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Politique et critères de performance de l IFC en matière de viabilité sociale et environnementale Examen et actualisation Vue d ensemble du Processus de consultation et de participation Société financière

Plus en détail

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage

Gestionnaires. Parcoursd apprentissage Gestionnaires Parcoursd apprentissage V2 VOTRE PARTENAIRE EN APPRENTISSAGE L École de la fonction publique du Canada offre des produits d apprentissage et de formation qui contribuent au renouvellement

Plus en détail

Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708

Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Language: English Translations: French Country: Botswana

Plus en détail

Règlement intérieur du Conseil d administration

Règlement intérieur du Conseil d administration Règlement intérieur du Conseil d administration Le présent règlement intérieur a été adopté par le Conseil d administration à sa première session, le 14 décembre 1977. À sa cinquante-quatrième session,

Plus en détail

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC

PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA

Plus en détail

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Le 28 mars 2006 Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Nous sommes heureux d avoir l occasion de présenter nos commentaires

Plus en détail

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances

Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale. Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada. kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale Points de vue sur la situation des talents en finances au Canada kpmg.ca/lafonctionfinances Le talent redéfini en fonction de l économie mondiale

Plus en détail

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL

Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur DOCUMENT DE TRAVAIL PARLEMENT EUROPÉEN 2009-2014 Commission du marché intérieur et de la protection du consommateur 3.3.2010 DOCUMENT DE TRAVAIL sur la proposition de directive relative aux droits des consommateurs - COM(2008)614/3-2008/0196(COD)

Plus en détail

Créateur d opportunités

Créateur d opportunités Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale

Plus en détail

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques

Plus en détail

FAISABILITÉ D UN ORGANISME EUROPÉEN Supporters Direct RÉSUMÉ LONDRES, AOÛT 2008 RÉSUMÉ

FAISABILITÉ D UN ORGANISME EUROPÉEN Supporters Direct RÉSUMÉ LONDRES, AOÛT 2008 RÉSUMÉ FAISABILITÉ D UN ORGANISME EUROPÉEN Supporters Direct LONDRES, AOÛT 2008 RÉALISÉ POUR L UEFA PAR Supporters Direct Reconnaissons les supporters comme un élément essentiel de l identité des clubs. Michel

Plus en détail

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS

Plus en détail

LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR

LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Online Intelligence Solutions LES INDICATEURS CLÉ DE PERFORMANCE : DÉFINIR ET AGIR Comment intégrer les KPI à sa stratégie d entreprise? Par Jacques Warren WHITE PAPER WHITE PAPER A PROPOS DE JACQUES WARREN

Plus en détail

SÉMINAIRE CONCLUSIONS

SÉMINAIRE CONCLUSIONS RBB (2012) Conclusions SÉMINAIRE SUR LES BUDGETS BASÉS SUR DES RÉSULTATS: OBJECTIFS RÉSULTATS ATTENDUS ET INDICATEURS DE PERFORMANCE Strasbourg, 25 septembre 2012 CONCLUSIONS A l initiative du Comité du

Plus en détail

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO

DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DECLARATION UNIVERSELLE DE L UNESCO SUR LA DIVERSITE CULTURELLE CULTURELLE Adoptée par la 31 e session de la Conférence Générale de l UNESCO PARIS, 2 NOVEMBRE

Plus en détail

Étude sur la caractérisation des marchés publics du Québec. Sommaire exécutif

Étude sur la caractérisation des marchés publics du Québec. Sommaire exécutif Sommaire exécutif 1. Introduction Fondée en 2005, l Association des marchés publics du Québec a pour objectif de faire la promotion des marchés publics du Québec comme moyen alternatif de mise en marché

Plus en détail

Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK)

Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK) Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK) Projet de coopération déléguée présenté dans le cadre du PIC entre le Royaume de Belgique et la RD du Congo Durée 3 ans

Plus en détail

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.

Plus en détail

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos

Plus en détail

NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39

NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième

Plus en détail

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Dans ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE POSITION DE L AIIC

Plus en détail

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données

Impartition réussie du soutien d entrepôts de données La force de l engagement MD POINT DE VUE Impartition réussie du soutien d entrepôts de données Adopter une approche globale pour la gestion des TI, accroître la valeur commerciale et réduire le coût des

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni. Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur

Plus en détail

La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones

La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones Note d information La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones a été adoptée par l Assemblée Générales

Plus en détail

pas de santé sans ressources humaines

pas de santé sans ressources humaines Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent

Plus en détail

Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure urbaine

Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure urbaine v Renforcement des compétences opérationnelles dans le développement mené par la communauté 15 au 19 avril 2002 Washington, D.C. Expériences avec les contrats de la communauté dans les travaux d infrastructure

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

Evaluation de l organisation interne

Evaluation de l organisation interne Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission

Plus en détail

Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise

Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe. Cécile Lapenu, Cerise Avancées dans le domaine des performances sociales en microfinance, et applications en Europe Cécile Lapenu, Cerise Septembre 2008 1 Cécile Lapenu, CERISE Dans le secteur de la microfinance, les performances

Plus en détail

Rédiger une proposition de financement

Rédiger une proposition de financement PRESENTATION Résumé Cette boîte à outils se penche sur la planification et sur la recherche d une proposition de avant de l écrire ; comment rédiger la proposition ; et le suivi nécessaire une fois la

Plus en détail

Introduction en bourse de l'imf Compartamos

Introduction en bourse de l'imf Compartamos Introduction en bourse de l'imf Compartamos BIM n - 03 juillet 2007 Frédéric PONSOT Les actionnaires de Banco Compartamos, une IMF mexicaine récemment constituée sous forme bancaire ont mis en vente 30

Plus en détail

NATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques

NATIONS UNIES. Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques NATIONS UNIES Déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales ou ethniques, religieuses et linguistiques www2.ohchr.org/english/issues/minorities Droits des minorités Introduction

Plus en détail

La gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN

La gestion de l offre dans le secteur laitier, un mode de régulation toujours pertinent SOMMAIRE. Daniel-Mercier GOUIN Groupe de recherche en économie et politique agricoles, Département d économie agroalimentaire et des sciences de la consommation, Université Laval SOMMAIRE PRÉAMBULE Daniel-Mercier Gouin est directeur

Plus en détail

solutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020

solutions Investir dans des Plan stratégique 2015-2020 International Development Research Centre Centre de recherches pour le développement international Investir dans des solutions Plan stratégique 2015-2020 LE MOT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL Je suis très fier

Plus en détail