UIT-T Q.267 SECTEUR DE LA NORMALISATION DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DE L'UIT
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- Damien Gaulin
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1 UNION INTERNATIONALE DES TÉLÉCOMMUNICATIONS UIT-T Q.267 SECTEUR DE LA NORMALISATION DES TÉLÉCOMMUNICATIONS DE L'UIT SPÉCIFICATIONS DU SYSTÈME DE SIGNALISATION N 6 PROCÉDURES DE SIGNALISATION MESSAGES IRRATIONNELS ET SUPERFLUS Recommandation UIT-T Q.267 (Extrait du Livre Bleu)
2 NOTES 1 La Recommandation Q.267 de l'uit-t a été publiée dans le fascicule VI.3 du Livre Bleu. Ce fichier est un extrait du Livre Bleu. La présentation peut en être légèrement différente, mais le contenu est identique à celui du Livre Bleu et les conditions en matière de droits d'auteur restent inchangées (voir plus loin). 2 Dans la présente Recommandation, le terme «Administration» désigne indifféremment une administration de télécommunication ou une exploitation reconnue. UIT 1988, 1993 Droits de reproduction réservés. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite ni utilisée sous quelque forme que ce soit et par aucun procédé, électronique ou mécanique, y compris la photocopie et les microfilms, sans l'accord écrit de l'uit.
3 Recommandation Q.267 Fascicule VI.3 - Rec. Q MESSAGES IRRATIONNELS ET SUPERFLUS Considérations générales Les caractéristiques du système de signalisation sur voie commune peuvent donner lieu à un certain nombre d'irrégularités, telles que: des messages irrationnels, c'est-à-dire des messages: ayant un contenu d'information de signalisation incorrect, correspondant à une direction incorrecte de transmission pour le signal, arrivant dans un ordre incorrect dans la séquence des signaux; des messages superflus Tableaux de contrôle de vraisemblance Il faut définir des procédures particulières pour résoudre les difficultés qui peuvent en résulter. Ces procédures, dont certaines sont obligatoires, sont décrites dans les tableaux de contrôle de vraisemblance de l'annexe B aux présentes spécifications, qui couvrent toutes les phases possibles des séquences de signalisation. L'emploi de ces tableaux est justifié par les conditions relatives à la sécurité de fonctionnement (voir le de la Recommandation Q.276) Retransmissions et erreurs non décelées Exemples: Les trois cas ci-après peuvent être considérés comme causes d'apparition de messages irrationnels ou superflus: si une unité de signalisation reçue comme erronée fait l'objet d'une retransmission et si l'unité de signalisation suivante arrive avant l'unité de signalisation retransmise, les unités de signalisation arrivent selon un ordre inverse et semblent donc constituer un message irrationnel; une erreur non décelée peut modifier la signification d'une unité de signalisation et lui donner un caractère irrationnel; si l'accusé de réception d'une unité de signalisation n'est pas reçu (par suite d'une erreur dans l'acu reçue ou d'une compensation de dérive), cette unité de signalisation peut être reçue à deux reprises, en sorte que sa deuxième manifestation est superflue. a) Séquence de signalisation perturbée Cas dans lequel un signal de nouvelle réponse est reçu avant qu'un signal de raccrochage soit retransmis à la suite de la détection d'une erreur: Le signal de nouvelle réponse est accepté sous condition, en attendant la réception du signal de raccrochage. Fascicule VI.3 - Rec. Q.267 1
4 b) Erreur non décelée Cas dans lequel un signal d'intervention est reçu à un emplacement illogique dans une séquence ou dans une direction d'exploitation illogique, à la suite d'une erreur non décelée: c) Message superflu Réception de deux messages d'adresse initiaux faisant suite à la réception d'une ACU erronée ou à une compensation de dérive: La réception de deux messages d'adresse initiaux oblige à en comparer le contenu. S'ils sont identiques, l'un ou l'autre doit être rejeté Débordement de messages d'une communication sur une autre Il se peut que, si un deuxième appel suit immédiatement la fin d'un premier, on observe un débordement de messages du premier appel sur le second, par exemple, lorsqu'un signal du premier appel est correctement reçu une deuxième fois à la suite d'une retransmission. Il peut en résulter des situations ambiguës du type illustré dans les exemples ci-dessous. Les tableaux de contrôle de vraisemblance de l'annexe B indiquent la marche à suivre dans ce cas. Exemples: Cette séquence ressemble quelque peu à celle qui existe lorsqu'un message d'adresse initial est reçu à deux reprises parce qu'une ACU est arrivée sous une forme erronée ou à la suite d'une compensation de dérive et sans qu'un signal de fin intervienne [voir l'exemple c) au 4.7.3]. Il convient de comparer le contenu des deux messages d'adresse initiaux. S'ils diffèrent, l'appel peut être rejeté par l'envoi d'un signal de confusion vers l'arrière. A réception du signal de confusion, le centre utilisant le système n 6 émettra un signal de fin sur le circuit en question et une tentative automatique de répétition de l'appel interviendra. b) Un autre cas de débordement peut se produire lorsqu'une ACU correspondant à un accusé d'un signal de fin est reçue sous une forme erronée et qu'un autre appel intervient sur le circuit qui vient d'être libéré. L'ordre des opérations serait: Le processeur, qui reçoit le signal de libération de garde, ignore si ce dernier est la réponse à un signal de fin retransmis ou s'il résulte d'une erreur à l'arrivée non détectée. 2 Fascicule VI.3 - Rec. Q.267
5 Dans ce cas, les deux centraux sont en désaccord en ce qui concerne l'état du circuit (prise ou libération) et il faut lever cette ambiguïté en appliquant la procédure spécifiée Autres situations ambiguës Une autre situation ambiguë peut se produire si, après émission d'un signal de fin, le processeur reçoit une ACU erronée, ce qui provoque la retransmission erronée du message d'adresse initial. Si ce message est suivi par un signal vers l'arrière, par exemple le signal d'encombrement, on peut avoir la séquence de signalisation suivante: Le processeur, qui reçoit le signal d'encombrement, constate que le circuit associé est en état de repos et considère ce signal comme non valable. Le processeur de l'autre extrémité maintient le circuit occupé dans l'attente du signal de fin. Dans ce cas, les centres sont en désaccord sur l'état du circuit (au repos ou occupé) et l'on peut appliquer la procédure spécifiée Modes de traitement des messages irrationnels et superflus Rejet Les messages ou unités de signalisation identifiés comme irrationnels ou superflus sont rejetés Mise en attente Les messages ou unités de signalisation irrationnels, qui peuvent prendre une signification par la suite, sont provisoirement conservés en mémoire. Le délai d'attente doit être supérieur au délai de retransmission du message retardé. Les unités de signalisation provisoirement stockées sont traitées si l'arrivée des signaux retransmis pendant la période d'attente leur donne une signification. Dans le cas contraire, si elles demeurent vides de signification à la fin du délai d'attente, elles sont rejetées, sauf si le signal mis en attente est un signal de fin. Dans ce cas, le signal de libération de garde doit être envoyé Libération Si, à la suite d'une séquence de signalisation anormale, une ambiguïté provoque le maintien prolongé d'un circuit en état d'occupation, ce circuit doit être libéré selon la procédure normale Emission du signal de confusion Si aucune des méthodes indiquées ci-dessus ne permet de résoudre les difficultés créées par la réception d'un message irrationnel ( 4.7.1), on enverra vers l'arrière le signal de confusion en direction du centre placé en amont utilisant le système n 6. Le signal de confusion n'est pas émis si on a déjà émis le signal de numéro complet ou un autre signal libérant l'information d'adresse et d'acheminement au centre précédent utilisant le système n 6 (voir le 4.8.1). A réception du signal de confusion, le centre précédent utilisant le système n 6 émet le signal de fin, après quoi il est procédé à une répétition automatique de la tentative comme indiqué au a); dans le cas contraire, le signal de fin doit être émis. Fascicule VI.3 - Rec. Q.267 3
6 4.7.7 Procédures obligatoires Parmi les procédures mentionnées dans les tableaux de contrôle de vraisemblance, seules celles qui concernent les situations spécifiées ci-dessous ont un caractère obligatoire: les processeurs situés à chaque extrémité du circuit ne s'accordent pas au sujet de l'état d'un circuit; une coopération est indispensable entre les processeurs des deux extrémités de la liaison pour résoudre une ambiguïté. Des séquences asservies (signal de fin signal de libération de garde, par exemple) doivent dans tous les cas être achevées, que l'apparition du premier signal de la séquence soit logique ou non. 4 Fascicule VI.3 - Rec. Q.267
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