Prévision des ventes
|
|
- David Chassé
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Prévision des ventes Séance d information du 19 septembre 2014 Prévision et caractérisation Direction Tarifs et conditions de service Dossier tarifaire R HQD-4, document 2.1
2 Plan de la présentation Prévision de la demande Mises à jour des modèles (point 1 de l ordre du jour) - Changements conjoncturels (point 2 de l ordre du jour) - Ventes par tarifs - Besoins en puissance Performance prévisionnelle - Balisage mensuel des prévisions économiques (point 4 de l ordre du jour) - Bilan de la performance des modèles de prévision (point 5 de l ordre du jour) Aléas climatiques et normalisation des ventes (point 3 de l ordre du jour) - Normale climatique - Normalisation des ventes - Revenus marginaux 2
3 Prévision de la demande 2015 Mises à jour des modèles de prévision Présentation de la méthodologie de prévision de la demande dans le cadre des audiences sur le Plan d approvisionnement du Distributeur (dossier R ) du 16 juin 2014 Mises à jour apportées dans le dossier R pour les fins de la prévision de la demande 2015 (perspectives de mai 2014) : Ajout d une année climatique (2013) Ajout des statistiques économiques réelles de 2013 et du 1 er trimestre 2014 lorsque disponibles Ajout des résultats de ventes réels de 2013 pour l ensemble des secteurs de consommation et tarifs Ajout des résultats de besoins réels de 2013 en énergie et en puissance Remplacement des variables Emploi manufacturier et Taux de change par la variable PIB - première transformation des métaux dans le modèle de prévision des ventes du secteur des mines 3
4 Prévision de la demande 2015 Changements conjoncturels : contexte économique et démographique Contexte économique reflétant l ensemble des informations économiques disponibles en avril 2014 : Croissance prévue du PIB aux États-Unis : 2,8 % en 2014 et 3 % en 2015* Reprise, mais moindre, dans la zone Euro Exportations des pays émergents devraient être stimulées Risque : instabilité des systèmes financiers de certains pays émergents Prix des produits de base (notamment le pétrole) pas sous pression : offre dépasse la demande Prix du gaz à la baisse après l hiver aux États-Unis et maintenant stabilisé En l'absence d'une hausse du prix des produits de base, dollar canadien toujours sous la parité du dollar américain Risques : phénomènes géopolitiques et conditions climatiques pour l hiver similaires à celles de l hiver * Source : Fond Monétaire international, avril
5 Prévision de la demande 2015 Changements conjoncturels : contexte économique et démographique (suite) Croissance prévue du PIB du Québec similaire à celle des pays avancés 5
6 Prévision de la demande 2015 Changements conjoncturels : contexte économique et démographique (suite) Perspectives économiques plus favorables au Québec en 2015 grâce essentiellement à la croissance anticipée aux États-Unis : Croissance prévue du PIB Québec : 1,7 % en 2014 et 2 % en 2015 Essentiellement soutenue par les exportations et la croissance du PIB du secteur des services à 2,3 % en 2015 Répit pour le secteur manufacturier grâce à la reprise manufacturière américaine et canadienne et le taux de change sous la parité : Croissance prévue du PIB manufacturier : 1,8 % en 2014 et 1,9 % en 2015 Taux de change ( CAN/ US) : 90,9 en 2014 et 92,4 en 2015 Risques toujours présents dans le secteur des pâtes et papiers (par exemple, concurrence avec les pays émergents, impact des prix des matières premières et incertitude en matière d'investissements) Croissance de la population de 15 ans et plus : 0,7 % en 2015 Mises en chantier stables en 2014 et 2015 : et unités respectivement 6
7 Prévision de la demande 2015 Changements conjoncturels : contexte climatique Année 2013 plus froide que la normale en raison essentiellement des conditions climatiques survenues en novembre et décembre 2013 Mise à jour de la normale pour la prévision des ventes 2015 (ajout des données de température de l année 2013) : Impact de -170 GWh Température normale plus froide pour la prévision de la pointe de l hiver (-20,7 0 C / -20,4 0 C) : Impact de 130 MW 7
8 Prévision de la demande 2015 Ventes par tarifs Croissance prévue des ventes aux tarifs D et DT : 763 GWh Croissance prévue des ventes aux tarifs G, G9 et M : 261 GWh Baisse anticipée des ventes aux Grands clients industriels : -203 GWh Risque présent pour le secteur des pâtes et papiers (-616 GWh), mitigé par une croissance des ventes au secteur minier (+225 GWh) Croissance prévue des ventes aux contrats spéciaux : 315 GWh 8
9 Prévision de la demande 2015 Besoins en puissance Taux de pertes prévu : 7,9 % Croissance des besoins en énergie prévue de 1 TWh par rapport aux besoins en énergie normalisés de 2014 Prévision de la puissance pour l hiver : MW Croissance normalisée par rapport à l hiver : +374 MW Mise à jour de la normale climatique (+130 MW), besoins de puissance des grandes entreprises industrielles (-105 MW), besoins associés aux autres secteurs (+350 MW) 9
10 Performance prévisionnelle Balisage mensuel des prévisions économiques Balisage mensuel des prévisions économiques : consiste à suivre les mises à jour des statistiques économiques réelles mensuelles ou trimestrielles lorsque disponibles et les prévisions émises par d autres prévisionnistes en cours d année Consensus économique fourni à titre de référence seulement Variables économiques : retenues dans les modèles en fonction de leur lien avec les secteurs de consommation et de leur pouvoir explicatif de l évolution des ventes Prévision du PIB Québec plus basse que celle du consensus sur la période , mais la plus proche du PIB réalisé 10
11 Performance prévisionnelle Balisage mensuel des prévisions économiques (suite) 11
12 Performance prévisionnelle Bilan de la performance des modèles de prévision Différence entre erreur de prévision et biais : celui-ci est systématique et répétitif dans le temps «A good forecast should not be systematically higher or lower than the actual values of the forecasted variable [...]. Otherwise there would be systematic forecast errors and the forecast would be biased.» Allan Timmermann et al., HandBook of economic forecasting, 2013, p. 297 Plan de suivi de la performance prévisionnelle déposé dans le cadre du Plan d approvisionnement (présentation du 16 juin 2014) Série d observations d écarts sur plusieurs années nécessaire pour déterminer la présence ou l absence de biais, afin de pouvoir réaliser les tests statistiques nécessaires Pour le moment, disponibilité uniquement des écarts de l année 2013 (entre la prévision des ventes 2013 réalisée lors du dossier R et les résultats réels) Suivi effectué également au niveau de la détermination des modèles R 2 et de la significativité des variables retenues Pour s assurer de la performance des modèles sur les données historiques au fur et à mesure de la disponibilité des résultats des ventes des années subséquentes 12
13 Performance prévisionnelle Bilan de la performance des modèles de prévision (suite) Coefficients de détermination toujours très élevés, stables voire améliorés pour certains secteurs 13
14 Performance prévisionnelle Bilan de la performance des modèles de prévision (suite) Écarts entre les ventes réelles et les ventes prévues relativement faibles 14
15 Performance prévisionnelle Bilan de la performance des modèles de prévision Plus de la moitié des écarts constatés dans le secteur des pâtes et papiers dus au redémarrage des usines Stadacona (août 2012) et Produits forestiers Résolu (octobre 2012 et mai 2013). Écarts dans les autres secteurs dus aux variations économiques 15
16 Performance prévisionnelle Bilan de la performance des modèles de prévision Écart expliqué essentiellement par un conflit de travail dans le secteur du silicium Pour 2013, écarts entre les ventes prévues et les résultats réels au tarif L causés principalement par des évènements fortuits et circonstanciels Pas de scénarios d encadrement de la demande industrielle dans un dossier tarifaire Cependant, sensibilités fournies des ventes au tarif L par rapport à la variation du PIB manufacturier : variation de 1 % du PIB manufacturier = variation des ventes de 150 GWh 16
17 Aléas climatiques et normalisation des ventes Normale climatique Analyse de 43 années de données historiques ( ) Données homogénéisées pour tenir compte des changements structurels des données historiques dus aux changements d équipements de mesure ou de leur emplacement Réchauffement climatique selon les tendances statistiques observées Méthodologie évolutive permettant de définir la normale à chaque année en tenant compte des dernières données climatiques enregistrées Analyse Détection des sauts dans la série de données 17
18 Aléas climatiques et normalisation des ventes Normale climatique (suite) Homogénéisation Série de données de température homogénéisée Procédure d homogénéisation : permet d obtenir des séries de données de température comparables dans le temps afin d avoir une meilleure lecture et analyse de l évolution de la tendance climatique 18
19 Aléas climatiques et normalisation des ventes Normale climatique (suite) Établissement des tendances de réchauffement sur les séries homogénéisées de températures Ajustement des données de température en fonction de la tendance de réchauffement Détermination des degrés-jours de chauffage et de climatisation sur plusieurs bases (par exemple, base 15) pour l historique des données de 1971 à 2013 Établissement de la normale sur la base des moyennes des degrés-jours 19
20 Aléas climatiques et normalisation des ventes Normalisation des ventes Construction des variables degrés-jours de chauffage et de climatisation sur différentes bases (par exemple, 18, 15 ou 13) afin d établir les variables climatiques pondérées réelles et normales spécifiques aux secteurs de consommation À partir des modèles de régression des ventes par secteurs, obtention de la normalisation des ventes par la différence entre les ventes simulées avec les variables climatiques normales et les ventes réelles 20
21 Aléas climatiques et normalisation des ventes Normalisation des ventes (suite) Répartition de la normalisation des ventes par secteurs de consommation entre les tarifs : Estimation directe de la normalisation du tarif DT Estimation de la normalisation pour les tarifs G et M afin de répartir la normalisation des ventes du secteur commercial, institutionnel et industriel PME Estimation directe de la normalisation des ventes au tarif LG (réseaux municipaux et secteur commercial et institutionnel) 21
22 Aléas climatiques et normalisation des ventes Revenus marginaux Révision de la méthode d'établissement des revenus unitaires depuis janvier 2013 En continuité avec le raffinement apporté à l évaluation de l impact des aléas climatiques sur les ventes Assure la cohérence entre les revenus réels générés par les tarifs et les revenus normalisés, grâce à : Utilisation des données réelles de chaque composante de facturation établies à partir de la lecture des factures historiques réelles de chacun des clients Intégration de la composante puissance des tarifs 22
23 Aléas climatiques et normalisation des ventes Impact climatique et revenus marginaux par tarifs 23
24 ANNEXES
25 Variables utilisées Variables et significativité selon le secteur de consommation 25
26 Variables utilisées Variables et significativité selon le secteur de consommation (suite) 26
27 Variables utilisées Variables et significativité selon le secteur de consommation (suite) 27
Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailRevue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013
Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance
Plus en détailPerspectives de l industrie suisse Pierres et Terres
Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailVivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale
Vivre mieux au Québec? Mesurer et comparer le bien-être à l échelle internationale (Le Québec économique 2011, chap. 1) Luc Godbout et Marcelin Joanis Université de Sherbrooke 31 mai 2012 Forum de l Association
Plus en détailLe poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux
AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH
Plus en détailRépartition des coûts du compte de pass-on par catégorie de consommateurs
Répartition des coûts du compte de pass-on par catégorie de consommateurs Coûts et caractéristiques de la consommation Plan de travail 1. Retour sur le suivi de la rencontre du 17 mai 1.1 Illustration
Plus en détailLes politiques de réduction du coût salarial en Belgique
Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération
Plus en détailInvestissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?
28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailLa confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai
25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailINDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE
INDICE CPQ-LÉGER MARKETING DE CONFIANCE DANS L ÉCONOMIE QUÉBÉCOISE Juin 2003 Constats L indice CPQ-Léger Marketing de confiance des consommateurs et des entreprises dans l économie québécoise enregistre
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détailLe courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010
Le courrier publicitaire adressé en Belgique Chiffres clés de Janvier à Juin 2010 Un premier semestre en deux temps : recul au premier trimestre et stabilisation au second semestre. Les investissements
Plus en détailInvestir pour assurer notre prospérité
BUDGET 2013-2014 Investir pour assurer notre prospérité La vision économique du gouvernement NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne aussi bien les femmes que les hommes. Elle n est utilisée
Plus en détailUn gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé
Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailLE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS
LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN
Plus en détailAugust 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances
August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailOptimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF
Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire
Plus en détailAutomne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC
Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailL ÉTAT QUÉBÉCOIS STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE. L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008
L ÉTAT QUÉBÉCOIS EN P E R S P E C T I V E STRUCTURE ET TAILLE DE L ÉTAT LA DETTE L'Observatoire de l administration publique - ENAP Été 2008 Aucun élément du contenu du présent document ne peut être utilisé,
Plus en détailFormulaire d'opérations automatiques
Formulaire d'opérations automatiques Veuillez choisir la ou les options dont vous souhaitez convenir. Le montant total minimum pour chaque transaction automatique est de 100 $ 1 Veuillez préciser le type
Plus en détailPREMIER TRIMESTRE TERMINÉ LE 31 MARS 2010 CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI 2010 FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR
TERMINÉ LE 31 MARS CONFÉRENCE TÉLÉPHONIQUE DU 13 MAI FONDS DE PLACEMENT IMMOBILIER COMINAR MISE EN GARDE Cette présentation peut contenir des énoncés prospectifs concernant le Fonds de placement immobilier
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailRéduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles
Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détailComparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne
Comparaison des enjeux énergétiques de la France et de l Allemagne Dans la perspective de la première conférence franco-allemande sur l énergie qui se tiendra le 2 juillet prochain à Paris 1, il paraît
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailDeuxième trimestre 2015
Deuxième trimestre 2015 Contenu Perspectives économiques mondiales Perspectives sur les catégories d'actif Paul English, MBA, CFA vice-président principal, Placements Tara Proper, CFA vice-présidente adjointe,
Plus en détailLa dette des ménages canadiens demeure très élevée
12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États
Plus en détailConditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014
Conditions internationales de crédit et de paiement Information, V4.0, version 20 février 2014 Généralités Les crédits à l exportation assurés par la SERV doivent être conformes aux règles de l'arrangement
Plus en détailLa BDP. Système financier International. La Balance des Paiements I- Le Compte courant. Identité du Revenu National.
La BDP Système financier International La Balance des Paiements I- Le Compte courant ESC-Février 2015 Balance des paiements = relevé statistique annuel de toutes les transactions de biens, services et
Plus en détailLE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE
DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance
Plus en détailMÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL
MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL DE L AMORTISSEMENT ET DE LA VALEUR DU STOCK NET DOMICILIAIRE DIVISION DE L INVESTISSEMENT ET DU STOCK DE CAPITAL STATISTIQUE CANADA 15 FÉVRIER 2002 1 MÉTHODOLOGIE POUR LE CALCUL
Plus en détailTendances récentes dans les industries automobiles canadiennes
N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des
Plus en détailTable des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...
Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les
Plus en détailBudget du Québec de juin 2014 Faits saillants
des Services fiscaux Numéro 2014-26F Budget du Québec de juin 2014 Faits saillants Le 4 juin 2014 En bref Le ministre des Finances, M. Carlos Leitao, a présenté aujourd'hui, le 4 juin 2014, le budget 2014-2015
Plus en détailBarèmes des commissions et frais généraux
Barèmes des commissions et frais généraux En vigueur le 1 er décembre 2014 Barème des commissions Transactions effectuées par l entremise de nos systèmes électroniques (site Web et site mobile) Tarification
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailDélibération 1/8. Molène et Sein. 1 Corse, DOM, Saint-Martin, Saint-Barthélemy, Saint-Pierre et Miquelon et îles bretonnes des Glénans, Ouessant,
Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 9 octobre 2013 portant proposition relative aux charges de service public de l électricité et à la contribution unitaire pour 2014
Plus en détailTARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé
TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé Plan de l intervention 1 2 3 Généralités sur le fonctionnement de l assurance
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailL importance des investissements publics pour l économie. Analyse thématique Finances locales
L importance des investissements publics pour l économie Analyse thématique Finances locales Belfius Research Mars 2015 Introduction En septembre 2014, les normes SEC 2010 1 ont été appliquées intégralement
Plus en détailAPPEL A PROJETS. WE NETWORK Le Silicium - 3, Avenue du Bois L abbé - 49070 BEAUCOUZE MARS 2015
APPEL A PROJETS Appel à projets à destination des PME pour l émergence et l accompagnement de projets d innovation en Pays de Loire dans le domaine des objets et solutions communicants (Internet des objets,
Plus en détailQuébec. Société d habitation du Québec. Un portrait de la copropriété au Québec. Le bulletin d information de la société d habitation du québec
Société d habitation du Québec HABITATION Québec Le bulletin d information de la société d habitation du québec Volume 3, numéro 4, ÉTÉ 29 Un portrait de la copropriété au Québec Par Dany Dutil CONTEXTE
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailRésultats du premier trimestre 2015. SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 %
SCOR enregistre un résultat net de grande qualité de EUR 175 millions et un ROE annualisé de 12,1 % SCOR démarre l année avec de solides performances grâce à la mise en œuvre rigoureuse de son plan stratégique
Plus en détailSUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION
DOSSIER RETRAITES: MAI 2003 SUR LES RETRAITES PAR REPARTITION DU SECTEUR PRIVE ET LES FONDS DE PENSION 1. LE SYSTEME DE RETRAITES PAR REPARTITION 1.1. INTRODUCTION Les régimes de retraites des travailleurs
Plus en détailPREMIER TRIMESTRE CHIFFRE D AFFAIRES ET FAITS MARQUANTS
2013 PREMIER TRIMESTRE CHIFFRE D AFFAIRES ET FAITS MARQUANTS 1 Avertissement Cette présentation ne constitue pas une offre de vente de valeurs mobilières aux Etats-Unis ou tout autre pays. Aucune assurance
Plus en détailRAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415
RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge
Plus en détailLa Banque nationale suisse surprend les marchés
La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,
Plus en détailANANTA PATRIMOINE PRESENTATION
ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément
Plus en détailA PLUS FINANCE FONDS DE FONDS
FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le
Plus en détailTD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD
TD de Macroéconomie 2011-2012 Université d Aix-Marseille 2 Licence 2 EM Enseignant: Benjamin KEDDAD 1. Balance des paiements 1.1. Bases comptable ˆ Transactions internationales entre résident et non-résident
Plus en détailManuel de référence Options sur devises
Manuel de référence Options sur devises Groupe TMX Actions Bourse de Toronto Bourse de croissance TSX TMX Select Equicom Produits dérivés Bourse de Montréal CDCC Marché climatique de Montréal Titres à
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailPRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF
Société d Economie Mixte Energies POSIT IF : Promouvoir, Organiser, Soutenir et Inventer la Transition énergétique en Ile-de-France PRÉSENTATION DE L OFFRE D ENERGIES POSIT IF Ensemblier technique, financier
Plus en détailRégime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions
Régime de réinvestissement de dividendes et d achat d actions Circulaire d offre Compagnie Pétrolière Impériale Ltée Aucune commission de valeurs mobilières ni organisme similaire ne s est prononcé de
Plus en détailClimat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence
Climat des investissement et développement des entreprises pour l Emergence Mamadou Lamine BA, Directeur Environnement des Affaires APIX Promoteur African Investment Academy 3 ème Salon international des
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détail- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui
Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)
Plus en détailÉconomie américaine : est-ce grave?
Université d été 28 - CÉRIUM Montréal, 4 juillet 28 Économie américaine : est-ce grave? Francis Généreux Économiste senior L économie gâche la fête! 1. Un portrait de l économie américaine I. Structure
Plus en détailINCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L»
INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» INCIDENCE DU COMMERCE EXTÉRIEUR SUR LE COMMERCE INTÉRIEUR : NOUVELLE ANALYSE DE LA COURBE EN «L» ARTICLE
Plus en détail48,5 Bcf RAPPORT T1 2015 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR 2015 PÉTROLE ET GAZ NATUREL. Infrastructure de transport du gaz naturel
RAPPORT T1 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR PÉTROLE ET GAZ NATUREL Prix au détail moyens de l essence ordinaire et du diesel à l'échelle provinciale ($/L) Prix du gaz naturel en vigueur pour le commerce
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%)
COMMUNIQUE DE PRESSE 1 RESULTATS 2014 : Le 20 février 2015, 16 h 30 INFORMATION REGLEMENTEE Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailFONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES
FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détail«Vous accompagner de l idée à la réalisation»
Plan Climat des Alpes-Maritimes K. Daudin 15 Novembre 2013 «Vous accompagner de l idée à la réalisation» SOMMAIRE 1 Qu est-ce que le BIM? 2 Son concept 3 Son usage 4 Quelles sont les attentes? 5 Les enjeux
Plus en détailFAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE
FAITES AFFAIRE AVEC L ALLEMAGNE, PREMIÈRE ÉCONOMIE DE L UNION EUROPÉENNE - Occasions d affaires et secteurs d intérêt - Chambre canadienne allemande de l industrie et du commerce à Montréal Montréal 24
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailCOMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailLes critères d identification des pays les moins avancés
Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml
Plus en détailEcoTec Consultants. EcoTec. Les nouveaux marchés pour l énergie éolienne au Québec. Rapport final. Association canadienne de l énergie éolienne
Rapport final Association canadienne de l énergie éolienne EcoTec EcoTec Consultants Spécialistes en études de retombées économiques 2361 rue des Alpes, Québec (Québec), G1P 2L1 Pour obtenir des renseignements
Plus en détailRedressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance
Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de
Plus en détailProblèmes de crédit et coûts de financement
Chapitre 9 Problèmes de crédit et coûts de financement Ce chapitre aborde un ensemble de préoccupations devenues essentielles sur les marchés dedérivésdecréditdepuislacriseducréditde2007.lapremièredecespréoccupations
Plus en détailLettre d'information des porteurs de parts
Lettre d'information des porteurs de parts du FCPE CREDIT AGRICOLE MULTIPLE 2007 [CIVILITE] [PRENOM] [NOM] [ADRESSE 1] [ADRESSE 2] [CODE POSTAL] [VILLE] [PAYS] Paris, le.. Numéro de compte AMUNDI Tenue
Plus en détail