LA DEMANDE D'ASSURANCE NON-VIE: : L'ETAT ACTUEL DE LA THEORIE
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- Jean-Charles Papineau
- il y a 8 ans
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1 LA DEMANDE D'ASSURANCE NON-VIE: : L'ETAT ACTUEL DE LA THEORIE par Jean-Jacques JeanJacques Rosa * Les fonctions de demande définies ddfinies par les économistes dconomistes paraissent trés trb irréalistes irrdalistes au praticien. Pour ce dernier le concept de demande est assez evident: : c'est la quantitc quantitd effectivement absorb6e absorbée par le le march6 marché au prix courant. L'économiste L'konomiste fera remarquer qu'il ne s'agit là 18, que d'un point, d'ailleurs le le seul directement observable, d'une fonction de demande. L'analyse de la demande consistant a B recenser et a 8, isoler les determinants dkterminants économiques rniques des quantités quantitks vendues d'un bien ou d'un service, on définira dkfinira tine une telle relation b fonctionnelle B a partir d'un ensemble de réponses rdponses a 8, des questions hypothctiques hypothdtiques du genre: : <<Que a feraient les consommateurs si si les prix (ou les dépenses ddpenses de publicit6, publicité, ou tout autre effort de marketing) étaient dtaient différents diffdrents de ce qu'ils sont actuellement??*. p. La fonction de demande resume donc un ensemble d'informations &informations sur le cornporternent portement potentiel du consommateur face B a des situations que ce dernier peut n'avoir comjamais rencontrbes rencontrées dam dans la r6alitd. réalitc. Ceci paraftra paraitra au praticien tres trés voisin d'une pure speculation spkculation intellectuelle sans portde portée réelle. rdelle. Nous voulons rappeler brièvement brii?vement qu'ii qu'il s'agit d'un instrument indispensable pour les responsables de la politique commerciale des grandes entreprises, soit qu'ils veuillent prdvoir prévoir l'dvolution l'évolution de la Ia demande, soit qu'ils veuillent arr6ter arréter une politique de prix, de promotion, ou autre. En effet, la construction d'une fonction de demande suppose a) que l'on ait répertone les principales variables exercant exergant tine une influence sur les choix du consommateur rkpertori6 et b) que l'on precise de facon fagon quantitative l'influence Sinfluence propre de chacune d'elles sun stir les quantités quantitb achetkes. achetées. 11 II est clair clak que l'omission Somission d'une ou plusieurs variables dans dam la phase thkorique théorique a) entrainera tine une erreur dans l'estimation I'estimation éconornétnique dconomdtrique des parametres paramètres de la fonction de demande dans dam la phase empinique empirique b). Si par exemple l'effort de marketing exerce un tin effet rkl reel et séparé skpar6 sur les quantités quantitds demandées, demanddes, mais que la variable marketing soit exclue du modéle modkle théorique, thkorique, l'influence Sinfluence de dépenses ddpenses croissantes de marketing au cours des dernières dernieres années anndes pourra transparaitre dans le le coefficient d'une autre variable, tel le revenu, dont l'évolution l'6volution aura été 6t6 parallèle paralli?le au cours cows de Ia la même m6me pdriode. période. Ce qui conduira a B surestimer suresther l'influence du revenu, et a 8, de de mauvaises previsions, prdvisions, ou de mauvaises decisions. dkisions. La bonne specification spdcification thdorique thcorique de la fonction est donc indispensable pour l'utili- sation pratique. Par ailleurs l'aspect tr&s trés subjectif et irréaliste irrbaliste de la fonction de demande disparait disparaft lorsque l'on Son mesure empiriquement les coefficients qui la caractérisent. caractdrisent. Ii I1 n'est meat ment besoin pour cela d'interroger le le consommateur sur son comportement hypothc. hypothb tique dans dam des circonstances inconnues de lui 1. Ii 11 sufilt sat d'observer d'obse~er les series s6ries temporelles temporelks * Professeur de Science Ewnomique Economique B a l'université I'UniversitB Paris 11. II. 1 Bien que cette mcthode m6thode soit couramment employee employ6e en marketing par exemple, cue elle nulleintervient inte~ent surtout lorsque lonque la la thcorie thhrie Cconomique Bwnomique est absente ou insuffisamment insufliisamment élaborée. 6laborb. 35
2 de quantités quantitks vendues ainsi que les series des variables u explicatives ))* retenues dans l'analyse théorique, theorique, pour determiner économétriquement Bconom6triquement la fonction precise qui relie les unes aux autres 2, La justification de cette démarche demarche tient a & ce que l'on Son suppose que les preferences pr6f6rence.s subjectives du consommateur s'expriment dans ses choix, et qu'elles sont relativement stables. Ainsi lorsque le niveau des variables determinant les quantités quantites demandees vane, varie, les quantités quantites effectivement achetées achetees varient aussi mais ceci n'implique nullement que les préférences preferences du consommateur aient change, bien au contraire. Lorsque l'on constatera une modification apparente des preferences du consomma- teur, c'est-à-dire c'est-&-dire lorsque l'évolution l'6volution des variables expilcatives explicatives retenues ne suflira suffira pas, dans le cadre de Ia la fonction estimée estimee sur le le passe, a B cerner l'evolution l'6volution effective desi d& quantites achetkes, achetees, c'est en general général que l'on aura omis d'inclure dans le modèle modhle une uns variable explicative significative. Donc, Done, 8 a la limite, liinite, un modèle modkle cornplet complet et bien spéciflé specific permet d'obtenir une stabilité stabilite parfaite des comportements et done donc permet aussi d'obtenir une prevision tr&s très fiable si l'on sait anticiper le niveau des variables explicatives. Cette stabilité stabilit6 est tout a B fait compatible avec des variations importantes de Ia la quantité quantite absorbee absorbée par le march6 marché au prix courant. Ce qui pourrait passer pour une una instabilité instabilite de la demande aux yeux du praticien ne sera en fait que la la manifestation des modifications des autres variables explicatives, c'est-à-dire c'est-&-dire de l'environnement éco- 6co- nomique dans lequel s'effectue le choix du consommateur. Remarquons aussi que la presentation traditionnelle la plus simple de la fonction de demande, (1) Q=f(P) Q, = f <Pi) f<o f'<o soit la quantité quantite demandée demandee Q5 Q. du produit i i est fonction seulement du du prix Pi P de ce produit, favorise l'equivoque l'6quivoque a & propos de la stabilite. La variable prix est sans doute la la plus importante mais pas la la seule variable explicative. La fonction simple presentee présentée ci-dessous se se deplacera déplacera dans l'espace Q, Q - Pi chaque fois que le niveau des autres variables explicatives - absentes de cette formu- lation - se se modifiera, par exemple le le niveau du du revenu disponible. Le passage du point A au point B a B prix inchange n'implique aucune modification des preferences du consommateur mais seulement une augmentation du revenu. Dans Dam ce contexte de l'analyse économique Bconomique on pourrait envisager, au premier abord, de traiter la demande d'assurance de la même m&me facon faqon que la demande de tout autre bien ou Service, service, comme un element de l'optimisation de l'utilite l'utilit6 du consomma- consornrna- teur. Celui-ci dispose d'un revenu disponible R qu'il peut rkpartir répartir entre n biens et services dont les prix sont respectivement PI, F1, P,, F2,...,., P,. P. 2 L'estimation soulève soul&ve le probleme problkme bien connu de de 1' I'.xidentification uidentiiication s. >. dont le traitement figure dans les manuels de statistique et d'économ&rie. d16conom6trie. Signalons seulement que cette mesure des paramètres parambtres caractérisant caractkrisant la fonction n'est pas toujours possible. PAle Elle nécessite nkcessite parfois une estimation simultance simultan6e des fonctions de demande et d'offre. 3 On peut aussi. aussi, a B cété cat6 de de ce ce procédc proc6d6 d'analyse des << séries s6ries temporelles~,, utiiser utiliser l'étude l'6tude de cfe ar coupe instantanée instantanbe D portant sur des populations ayant des niveaux de variables (expliquées (expliquks et explicatives) trbs trés diffkrents. différents. Le choix de la la mkthode méthode d6pend depend en partie de l'objectif que l'on poursuit dans dam l'étude. l'ktude. 36
3 A P1,. Q,,/ 1 Ql' 1. Qi = / f (pd) (pi) pour Revenu R2 Qi = / f (pt) (p,) pour Revenu R1 Qi Les préférences prtf6rences du consommateur sont représentées reprtsent6es par une fonction d'utilité d'utilitb dont les arguments sont les quantités quantitts consommées consommbes de chaque bien, 9 qj Le probléme est de maximiser U (q1, q2,..., q) sous Ia contrainte budgétaire: (2) Pq zplqi = R Soit en employant Ia la méthode mkthode des multiplicateurs de Lagrange, maximiser: LrU(qj,q2,...,q)+2(R-2'Pjqj) 9,) f A (R -zpiqi) (3) L = U(q1, 92, 6.. on obtient ainsi l'optimum du du consommateur, i. i. e. e. les les quantités quantitbs optimales consommées consommtses de chacun des n biens, en annulant les dérivées dkrivbes partielles de L par rapport ii chacun des n biens et par rapport au multiplicateur A. soit = 0 u (91. 92,. - Le probl6me est de maximiser U (ql, q,,..., qn) sous la contrainte budgetaire: Y 8q2 o 8L 82 Ces n + 1 equations 6quations permettent d'obtenir, par resolution rtsolution du du systéme, systhme, des fonctions de demande dites < (( théoriquement thboriquement plausibles >> $4, 4, de de la la forme: : (5) 41 = /(p1, f p.2, Pp +..., 9 pa, p. R) dans lesquelles les variables explicatives de de la la demande du du bien i i sont les prix de chacun des biens, y compris le prix de 1, et le revenu disponible du consommateur. chacun des biens, y compris le prix de i, et le revenu disponible du consommateur. 4 Houthakker, H. S., "Some calculations of Electricity Consumption in Great Britain ", Journal of the Royal Statistical Society (A), vol. 114, Part UI 111 (1951), p. p ). 4 Houthakker, H. S., " Some calculations of Electricity Consumption in Great Britain ", 37
4 On pourrait donc parfaitement envisager de faire figurer un ou plusieurs produits ct <<assurance>> u dans dans ce ce processus d'optimisation des choix du consommateur. L'application est immediate et l'on Son obtiendrait des fonctions de demande des diverses assurances du type de 1'6quation l'6quation (5). Cette approche n'est pourtant pas celle qui a 6té 6t6 retenue dans dam Ia la littérature Litterature écono- kono- mique de l'assurance. Les économistes bconomistes jugent en general ce cc traitement inadéquat. inadkquat. Une premikre premiere raison est fournie par Arrow 5 : l'assurance n'est pas un bien materiel comme un tin autre. Sa valeur pour le le consommateur diffcre diffkre fondamentalement de la valeur des soins medicaux médicaux ou du transport. Contrairement aux autres biens et et services, l'assurance consiste en un tin Bchange échange d'argent contre de I'argent l'argent et non d'argent contre quelque chose qui apporte tine une satisfaction directe des besoins. En d'autres termes, l'assurance n'est pas vraiment un tin bien de consommation mais un input utiisé utilis6 par le le consommateur pour obtenir satisfaction d'un besoin plus profond: : le besoin de sécurité. s6curite. Cette argumentation est tout a & fait contestable. La théorie thkorie récente rtcente du consomma- teur 6 suggère suggkre que la distinction entre biens et service achetb achetés sur le marché march6 et les besoins fondarnentaux fondamentaux qu'ils servent B a satisfaire n'est pas particuliere particulikre a & l'assurance male mais s'applique B a tous les biens et services. Dam Dans cette conception le consomrnateur consommateur (ou le ménage) menage) est une unite unit6 productive qui transforme les biens et services achetés achetks sur les marches (inputs) en satisfactions specifiques (outputs) au au m&me même titre que toute entre- prise. Le ménage menage est caractérisé caract6ris6 par une fonction de production de de satisfactions spéci- spkifiques, c'est-&-dire c'est-à-dire non Bchangeables echangeables sur stir des marches. La demande de produits taires est aussi bien une demande <<dérivée* c dbrivbe 1) que la demande d'assurances. alimentakes La théorie thborie moderne du consomniateur consommateur pousserait donc a B l'insertion de l'assurance dam le cadre général g6nkral des choix de consommation. Toutefois un second argument y fait obstacle. L'assurance en tant qu'échange qu'6change d'une somme some monétaire monbtaire actuelle contre tine une somme some monétaire monktake conditionnelle (dependant (dcpendant de de la Ia realisation réalisation hypothetique hypothétique d'un (( <état etat de la natures) est un actif financier. De ce fait l'assurance contribue a A modifier la distribution de probabilité probabilite de la richesse aléatoire aleatoire d'un agent dans tine une économie Cconomie d'incertitude. II 11 est clair que le Ic service d'assurance ne prend son sens scm que dam dans un monde incertain. Faisant intervenir Ia la richesse (aléatoire) (alkatoire) de l'agent, c'est-à-dire c'est-&-dire son Bpargne épargne et par 18 là ses decisions d'allocation intertemporelle en incertitude, l'assurance ne petit peut être &re analysée analysee que dam le cadre de la théorie theorie du choix des actifs financiers, i. e. la théorie theorie des choix de portefeuille. Cette theorie théorie a été kt6 développée, developpee, pour les actifs financiers en g6n6ral general et sans reference & a l'assurance, par Markowitz, Tobin, Sharpe et Liatner. Lintner. Levy a montré montre récemment recemment comment on pouvait denver deriver une demande d'actifs risqucs risques mdi- indi- viduels & a partir des conditions d'equilibre d'kquilibre de marches financiers en incertitude qui qul ont éte kt6 établies Ctablies par les auteurs cites ci-dessus. 11 II obtient par tine une procedure d'optimisation des choix de l'investisseur qui est l'equivalent, l'6quivalent. dam dans un monde incertain 0.51 oü les actifs sont définis dcfinis par l'espkrance l'espérance et la variance de do leur tour rentabilit6, rentabiité, de l'optimisatioa l'optimisation des choix du consommateur en certitude, des fonctions de demande des actifs individuels (Levy, p. 83). 56 Arrow, K. J., Aspects of the Theory llheory of Risk Bearing, 1965, 1%5, p. 45. * 6 de Muth, Lancaster, Becker et Michael. Michael, 38
5 La quantité quantitk demandée demandke Xi X de l'actif risque risquk i est fonction de: : - l'espérance l'espkrance de sa rentabiité, rentabilitk, Ui, U, - Ia la variance résiduelle rbsiduelle de cet actif dans l'équation l'bquation de regression rbgression de la rentabilitc rentabilitb de l'actif sur Ia la rentabilité rentabilitb combinée combin& de tous les autres actifs du du marchc, marchb, clj5. uia. l'espcrance l'esp6rance de rentabilitb rentabilité de chacun des autres actifs Uj pour j# j i - les les covariances partielles de l'actif avec chacun des autres actifs du marchk, marché, Qif Q. soit 01 Qii i=! j*i i*~ avec pi: pl : multiplicateur de Lagrange, et RF: R, : rentabilité rentabilitb de l'actif sans risque. L'assurance peut être &re insérée inskrke dans cc ce raisonnement comme un actif risque (i.e. ab rentabilitb rentabilité incertaine puisque si le sinistre ne se realise rkalise pas la la < 4 rentabilitc rentabilitk > $ de la prime d'assurance est nulle, alors que si le sinistre se realise rkalise la rentabilité, rentabilitk, qui est égale bgale au rapport du remboursement de sinistre a i la prime, est évidemment bvidemment positive) dit < t( de couverture )),, c'est-à-dire c'est-i-dire ayant une corrblation correlation kgale égale i a - 1 avec la rentabilitb rentabiité de l'actif assure. assurk. On pourrait envisager dans cette voie une determination siniultanée simultanke des quantités quantitks des divers contrats d'assurance achetks achetés et des achats d'autres actifs financiers qui cons- tituent le portefeuile portefeuille (en incluant dans les actifs de portefeuile portefeuille les placements immo- biliers et les biens durables). Cette voie n'a pas Cté kt6 suivie a i ce jour, sans doute parce qu'une difficulté difficult6 dérable provient de ce cc que les divers types d'assurances ne sont pas substituables entre eux. L'assurance dkggts dégâts des eaux ne remplace pas l'assurance responsabilité responsabilitk civile auto- consid6rablmobile et vice versa. Le modble modèle d'optirnisation d'optimisation globale n'est alors plus valable. I1 Ii faut introduire des contraintes supplémentaires supplkmentaires qui rendent l'analyse complexe. I1 Ii faudrait, en premiere premibre approximation, se demander si si l'on ne peut admettre adrnettre une certaine tuabilité entre contrats d'assurances. substituabilitk L'analyse de la demande d'assurance ne s'insère s'insbre donc pas de facon faqon satisfaisante dans le cadre classique des choix de budgets du consommateur, iii ni dans celui plus recent rbcent des choix de portefeuille des épargnants. kpargnants. Les etudes btudes qui ont été btb proposées proposkes (Mossin, 1968; ; Ehrlich et Becker, 1972) posent donc done le probléme problbme de la decision dbcision d'assurance pour un risque isolé, isolb, independamment indkpendarnment des choix de consommation et d'investissement effectu6s effectués par ailleurs par l'agent éco- kco- nomique considéré. considkrk. Pour cela, les deux principales approches de la théorie thborie des choix en incertitude ont été 6th retenues: : a) L'approche par le le critère crit2re espérance-variance espbrance-variance 7. Chaque actif risque risquk est défini dkfini par l'espérance lyesp6rance mathcmatique mathkmatique et la variance de sa rentabilitk. rentabilité. C'est l'approche utilisde utiisée par Mossin. Dans ce ens, cas, la Ia fonction d'utiité d'utilitb n'est I, n j' 7 ' C'est le courant dominant de la la thcorie thdorie flnanciire. financiere. Cf. Markowitz, Tobin, Sharpe, Lintner. 39
6 eonsidérée consid6rke qu'au niveau global des possibilités possibilites de consommation et le seul argument qui y figure est la richesse totale, et non plus les diverses consommations comme dans le choix du budget du consommateur. On fait l'hypothèse l'hypothese que Ia la riehesse richesse totale est équivalente Qquivalente B a un ensemble composite ou < (( panier )) > de consommation pour une structure donnée donnee des prix relatifs (Fama-Miller, p. 18). La fonction d'utilité d'utilitb de Ia la richesse implique une attitude ii a l'egard regard du risque. Comme Ic le sinistre éventuel Cventuel a pour effet de modifier La la perspective aléatoire aldatoire de richesse, on peut analyser La la decision dbcision &assurance d'assurance relative B a un type précis precis de sinistre dans cc ce cadre conceptuel. Ainsi Mossin détermine-t-il dbtermine-t-il suceessivement: successivement : La la prime maximale acceptable pour une couverture totale du sinistre; ; - Ia la couverture optimale pour une prime donnée; donnce ; - le le niveau optimal de de la la franchise. Par rapport aux fonctions de demande habituelles on obtient des résultats resultats assez sornrnaires sommaires dans lesquels le le choix de de l'assurance se se fait fait par tout ou rien dans le cas de La la couverture totale. Cependant le le veritable choix, plus nuand, nuance, est celui de la couverture optimale, qui, dans l'analyse de Mossin, ne doit jamais être &re totale. La variable explicative de Ia la demande de couverture (qui représente reprbsente ici ici La la quantitc quantit6 demandbe) demandée) est dans cette analyse l'attitude B a l'égard l'tgard du risque, déduite dbduite de la fonction d'utilité d'utilitk de la richesse. Il I1 s'agit donc d'expliquer les les differences interindividuelles de demande de couverture, plus que les fluctuations en fonction des variations de prix et de revenu. b) L'approche dite des <pré/êrence (( prdfe'rence r d'e'tat d'ktat *)) proposée proposde par Arrow et Hirshleifer. Elle consiste a considérer considbrer que les possibiités possibilites de consommation (ou La la richesse) sont conditionnelles par rapport a B Ia la réalisation realisation de de possibiités possibilitbs nombreuses, mutuellement exciusives exclusives et conjointenient conjointement exhaustives d' d' << (( Btats états de la nature >. )). L'avantage de cette approche, utilisce utilisée par Ehrlich et Becker, est de presenter prqenter les résultats resultats en termes de courbes d'indifférences d'indiffbrences entre les btats états favorables et les états btats défavorables. dkfavorables. Son inconvenient est que Ia la description exhaustive des nombreuses biités bilitbs d'états d'etats de La la nature est trés trb lourde et se prête pr&te mal ma1 a ii la la verification ernpirique, empirique, contrairement B a Ia la formulation élégante blbgante et et ramassée ramassee de de l'approche I'approche espérance-variance espbrance-variance qui est trés tres synthetique. synthbtique. Du point de vue de la fonction de demande, Ehrlich et et Becker mettent en evidence les relations classiques entre la La quantitc quantite demandke, demandée, le prix de l'assurance, et le revenu de l'agent. possi- Les deux approches sont done donc sensiblement différentes. diffkrentes. Mais aucune des deux n'est <théoriquement (( thboriquernent plausible )) au sens de Houthakker. Comme le soulignent Fama et Miller 251), en général, general, "it is is important to to emphasize that the subdecisions involved in a portfolio choice cannot usually be considered independently. For example, in an optimal decision resources cannot be allocated to common stocks or bonds without at the same time considering the insurance and real estate decisions. In a two-period model the individual chooses from among the available portfolios on the basis of their associated probability distributions of of wealth wz. w2. It It is the distribution of total 40
7 wealth w2 that matters. Thus a given subdecision, which comprises part of a portfolio choice, can be evaluated in terms of its effects on the distribution of total terminal wealth, which in turn depends on many other subdecisions." Et us ils ajoutent : "in the economics literature it is easy to find studies concerned, for example, with optimal insurance decisions of of various types, as if these could be considered separately from the rest of the consumer's portfolio problem." Les fondements théoriques thboriques de la demande d'assurances non-vie sont donc encore fragiles et la plus grande prudence est de rigueur en ce qui concerne les tests empiriques qui pourraient être 6tre proposes. proposbs. I1 II faut maiheureusement malheureusement ajouter en conclusion quelques difficultés difficultbs a B celles évoquées bvoqubes précédemment. prbcbdemment. 1. La théorie thborie satisfaisante des choix d'assurances doit tenir compte de la qualité qualit6 du produit, c'est-à-dire c'est-b-dire du degré degrt: de sécurité sbcuritb effectivement offert par l'assureur A a l'assuré l'assurb et de la gestion du contrat (rapidité (rapiditb du du règlement rkglement des sinistres, etc...). Ceci vient encore compliquer l'analyse. Certes les économistes konornistes ont commence a B analyser les problbmes problèmes 8 et les considerations considcrations n'excluent nullement la rationalité rationalitb du consominateur consommateur comme le soutient M. Wouters Q. Mais les analyses en sont encore au stade de Ia la mise misc au point. 2. Ii I1 existe une complémentarité complbmentaritb double de Ia la demande d'assurance, que nous now avons evoquée bvoqube plus haut sans y insister. Par rapport a B la la structure du du portefeuille d'actifs financiers, comme le rappellent Fama et Miller, mais en m6me même temps par rapport B a la structure du portefeuile portefeuille de consommation. En effet, les divers types de consommation (et donc d'activités) d'activitks) des agents économiques Bconomiques leur font courir des risques différents. difftrents. Par consequent, consbquent, l'exposition aux risques vane varie avec la structure du budget de de consommation. Par exemple, des dbpenses dépenses consacr6es consacrées B a l'alpinisme ou ou B a la moto mot0 impliquent des risques différents db6rent.s de celles d'un budget orienté orient& vers la lecture. Ii I1 semble done donc difilcile difficile de dissocier la demande d'assurances de la demande de tom tous les autres biens. En bref, il faudrait pouvoir considérer considbrer l'optimisation simultanée simultanbe et détaillée dbtaillbe du budget du consommateur consomrnateur et de son portefeuile portefeuille d'actifs. La demande d'assurance parti- cipant aux deux domaines. Ceci Ccci pourrait éclairer bclairer Ic le problèrne problkme de substituabilité substituabilitb limitée limitbe des contrats d'assu- rance entre eux pour un même m6me demandeur. La substituabilité substituabilitb dégât dbglt des eaux et sabiité civile automobile n'est pas indépendante indbpendante de la substituabilité substituabilitb entre achat d'une automobile et investissement logement. responsabilitb L'ampleur du problème problkme oppose un défi dbfi particuliérement particulikrement stimulant a B l'cconomiste l'bconomiste de l'assurance. 8 Griliches, Z. (ed.), Prices Indexes and Quality Change, Harvard Hanard University Press, Leland, H. H. B., E., "Quality " Choice and Competition ", ", Unpublished paper, dec Wouters, A,, A., a ' Pourquoi Ic le prix n'est-il pas le seul élément klkment determinant dkterminant du choix de l'assurance? s.. Sigma, Compagnue Compagnie Suisse de Rkassurances, Reassurances, no 4, avril
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