J.A Genève 2 Témoignages. Ces mélomanes qui embrassent un instrument sur le tard Pages 21, 22

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1 Wk-nd Avc l Samdi Culturl EDDY MOTTAZ J.A Gnèv 2 Témoignags Rhétoriqu Cs mélomans qui mbrassnt un instrumnt sur l tard Pags 21, 22 Ls mots comm un dans ds imags, balad dans l jardin ds métaphors Pags 31, 32 Samdi 26, dimanch 27, lundi 28 mai 2012 N 4313 A nos lcturs Lundi d Pntcôt: non-parution L Tmps n paraîtra pas l lundi 28 mai. Prochain rndz-vous: mardi 29 mai. Et l actualité continu sur l sit L pap du polar s racont «Mon travail st d utilisr ls mots pour posr ds prsonnags t un cadr, afin qu l lctur s fass son propr cinéma.» Figur majur du roman noir américain, qui a vndu plus d 43 millions d livrs, Michal Connlly publi Volt-fac, son 25 roman. Invité récmmnt au fstival Quais du polar à Lyon, il a évoqué dvant un partrr d amaturs son parcours d écrivain. Quand un bll machin à écrir s racont. ö Pag , Franc 3.30 Un nquêt auscult ls rssorts intims du bonhur d êtr Suiss > Valurs Un étud académiqu drss l profil d un pays confiant t ouvrt au mond Oublions ls clichés d un Suiss frilus t livré aux sirèns du rpli nationalist. C st un portrait bin plus nuancé qu drss l étud «Sécurité 2012» réalisé par l Académi militair t l Cntr d étuds d sécurité d l EPFZ. Conscints d évolur dans un nvironnmnt toujours plus complx t incrtain, ls Suisss s réfugint dans ds valurs nationals qu ils jugnt toujours sûrs: la nutralité t la souvrainté. Pour la nutralité, c st mêm un plébiscit: 96% ds prsonns intrrogés y tinnnt farouchmnt. Paradoxalmnt, ls Suisss ont un conscinc aiguë d l imbrication intrnational ds njux. Ils ont rarmnt été aussi conscints d la nécssité d s ngagr plus activmnt sur l plan intrnational. Ils souhaitnt un ffort accru d aid au dévloppmnt t la mis à disposition d davantag d Casqus blus suisss dans ls opérations d maintin d la paix. Dux prsonns sur trois s déclarnt favorabls au concpt d nutralité diffé- L Espagn au défi d consolidr ss banqus n sursis L spoir au crux d l archt L ssntil Intrnational A bord d l «USS Wasp» Confronté à d sévèrs rstrictions budgétairs, la marin militair américain doit s battr pour assurr son rôl d gndarm ds mrs. Rportag à bord du port-avions USS Wasp. Pag 4 Suiss Ls xprts à la barr Chut accidntll ou agrssion? L troisièm jour du procès d Laurnt Ségalat a tourné vndrdi à la qurll d xprts. Pag 9 Scincs L invisibilité concrétisé L invisibilité ntr dans la réalité matérill. Grâc à un nouvll class d matériaux, applés «métamatériaux», il st possibl d rndr invisibl un objt, ou d protégr un édific ds séisms t ds tsunamis. Pag 10 Bankia, la quatrièm banqu spagnol, dvait dmandr vndrdi à l Etat 15 milliards d uros d capitaux frais supplémntairs, allongant un nouvll fois la factur d son rnfloumnt. Ls banqus spagnols nrgistrnt ds sortis prévntivs d capitaux. ö Pag 11 Editorial A Canns, l cinéma soign la cris Ils ont rmporté 27 ds 28 drnirs Grands Chlms. On voit mal qui mpêchra Nadal, Djokovic ou Fdrr d gagnr Roland-Garros. Et dans c trio, l Espagnol fait figur d immns favori. Pag 20 Côté tapis roug, c st fêts, pailltts t glamour. Côté salls obscurs, c st nttmnt plus sombr. Au Fstival d Canns, par un curiux rnvrsmnt d l ordr ds choss, l rêv st dhors, la réalité ddans. Sur 22 films n compétition, la moitié abord d un façon ou d un autr la cris économiqu, ls inégalités socials qui s crusnt t la puissanc mortifèr d l argnt. D manièr infim avc Lik Somon in Lov d Abbas Kiarostami, frontal avc L Ivrss d l argnt d Im Sangsoo. Sur l mod noir avc D rouill t d os d Jacqus Audiard, un mélodram confrontant ds cabossés d la vi dans un Côt d Azur où l solil n brill pas pour tous. Il n y a pas d musiqu dans Cogan La Mort n douc, just la radio égrnant ls mauvaiss nouvlls économiqus. C polar brutal s conclut sur un not cyniqu: «L Amériqu n st pas un pays, c st un businss.» Ls grands limousins blanchs, symbols ultims du bling-bling, qui rmontnt la Croistt hantnt dux films: Holy Motors d Los Carax, t Cosmopolis d David Cronnbrg. C drnir propos un cybr-thrillr économiqu halluciné. Dans son véhicul d lux, high-tch t blindé, un goldn boy travrs Manhattan n ébullition. A ss débuts, Cronnbrg disséquait ls dérèglmnts d la chair, puis il a ausculté ls désordrs d l âm. Sa fascination pour ls mutations s étnd désormais à un société détraqué dans laqull la financ, l informatiqu t l information s confondnt avc la tram du rél. «L argnt a prdu son pouvoir narratif», stim un fmm dans Cosmopolis. Crts, on n put plus montrr ls gros billts passant d main n main. Mais, désubstantialisé, l argnt st aujourd hui l nrf scénaristiqu du 7 art. Ls films qu il inspir n sont pas forcémnt déprimants. L marasm put êtr rvigorant. Dans La Part ds angs, Kn Loach imagin quatr juns laissés pour compt qui s invntnt un avnir à travrs un fric-frac farflu. Et nombr d films mttant n scèn ds individus prnant lurs distancs avc l modèl économiqu dominant évoqunt c «plaisir incomparabl d avoir tout prdu» qu vantait Tolstoï, cité dans Post Tnbras Lux. Un titr programmatiqu: après ls ténèbrs d la cris économiqu, la lumièr d un nouvll façon d pnsr la vi. L cinéma nous y prépar. ö Pag 26 L Tmps Indx Fonds Pour vous abonnr: Pl. d Cornavin 3, CP 2570, 1211 Gnèv 2 Tél Fax Collctions historiqus intégrals: Journal d Gnèv, Gaztt d Lausann t L Nouvau Quotidin Bourss t changs 17 Pharmacis 30 Convois funèbrs 30 Tout la météo 10 Economi Avc l patron d PayPal Il gèr l un ds plus grosss banqus du mond. Son objctif: doublr l chiffr d affairs d ici à Entrtin avc David Marcus, nouvau présidnt d PayPal, numéro un mondial du paimnt n lign. Pag 12 Sports Nadal sur «sa» trr Par Antoin Duplan 14, 16, 17 rncié qui autorisrait la Suiss à prndr position dans ls conflits xtériurs. Ctt ouvrtur au mond t un solid confianc dans l avnir contrastnt avc un méfianc croissant nvrs ls étrangrs, prçus comm un mnac. ö Pag (appl gratuit) C st un histoir émouvant. Un lçon d musiqu t d don d soi. Un bll avntur pédagogiqu, qui rli la Suiss t l Mxiqu. Julio Saldaña st arrivé un jour dans notr pays avc 100 francs n poch. Il vnait apprndr la musiqu au contact du famux violonist Pirr Amoyal. Un pu plus tard, Tibor Varga dvindra son mntor, son maîtr. L jun virtuos multiplira ls prformancs pour ls plus grands institutions musicals. Mais l sns d sa vi, il l trouvra n rtournant dans son pays où il initi à la musiqu ds nfants issus d famills pauvrs. Un façon d rstitur c qu d autrs lui ont donné. La fondation Espranza Aztca qu il a créé a déjà donné un chanc à qulqu juns. La musiqu chang lur vi; ll st la promss d un avnir millur. ö Pag 3 La BNS à l épruv d l uro Dpuis plusiurs jours, la qustion préoccup la financ t ls autorités: combin coûtnt à la BNS ss intrvntions pour maintnir l taux d chang qu ll a fixé ntr l franc t l uro? Ls drnièrs péripétis n Grèc t l affaiblissmnt continul d l uro fac au dollar laissnt imaginr qu la banqu cntral hlvétiqu doit ngagr ds moyns massifs pour pérnnisr son objctif d 1,20 franc pour 1 uro. Crtains évoqunt un futur tax sur ls dépôts n francs pour ls rndr moins attractifs. ö Pag 15

2 2 Eclairags Subjctif L Tmps Samdi 26 mai 2012 Il était un fois 12 juin 1975, Kostas Karamanlis adrss la dmand d adhésion d la Grèc aux Communautés uropénns. L prmir ministr voit ds avantags économiqus à la participation à part ntièr d son pays au Marché commun, mais surtout ds avantags politiqus: la Grèc sort d un dictatur militair d spt ans qui a été provoqué par un brouillag idntitair ntr l Oust t l Est, l Nord t l Sud, la monarchi t la républiqu, l autoritarism t la démocrati. L Europ, pns-t-il, l dissipra t fournira un issu positiv au nationalism tourmnté ds sins: «L pupl grc croit à la mission d l Europ», dit-il, t dans son cadr, à «la consolidation d la démocrati t à l avnir d la nation». Au momnt où il parl, Karamanlis dirig un coalition d dux partis d droit cntrists qui rassmblnt 75% d l élctorat t qui sont favorabls à l adhésion. L Pasok, Mouvmnt socialist panhlléniqu, fondé moins d un an plus tôt par Andréas Papandréou, s y oppos au nom d ss trois slogans: l indépndanc national, l pouvoir au pupl t la libération social. Proch idéologiqumnt du group ds pays dits «non alignés» dans la Gurr froid, l Pasok a obtnu 13, 5% ds voix aux élctions d novmbr 1974 t dispos d 15 députés sur 300. La dmand grcqu st accuilli favorablmnt par ls nuf Etats qui formnt ls «Communautés uropénns» dpuis lur élargissmnt n 1973 à la Grand-Brtagn, l Irland t l Danmark. Un immns soulagmnt a accompagné la chut ds colonls grcs t l rétablissmnt d la démocrati parlmntair. C st d aillurs tout l Europ du Sud qui s libèr puisqu ls régims autoritairs d Salazar au Portugal t d Franco n Espagn sont abolis. Ls Européns fêtnt alors lur duxièm réconciliation continntal d l après-gurr, après cll qui avait réuni la Franc, L Joëll Kuntz l Allmagn t l Itali. Ils sont gagnés par un sort d uphori. Consil ds ministrs, Commission t Parlmnt uropéns salunt l gst grc. Ls douts sont à vnir. Invité à formulr son «avis», la Commission d Bruxlls donn un prmir coup d frin. Fin janvir 1976, ll rcommand un périod d pré-adhésion pndant laqull l économi grcqu, particulièrmnt faibl, srait ajusté à cll d ss nouvaux partnairs. Ell s inquièt égalmnt du conflit gréco-turc à propos d Chypr t avrtit qu n aucun cas ls Communautés n puvnt dvnir parti prnant dans ls désaccords ntr la Grèc t la Turqui. L «avis» provoqu un scandal à Athèns. Ctt Europ tant désiré st soudain accusé d arroganc, d patrnalism t d impérialism. Ell n a pas à dir à la Grèc c qu ll doit fair avc la Turqui, t si ll vut bin l accuillir comm nouvau mmbr, ll n a pas à lui dictr ss conditions. La colèr st tll n Grèc qu l 9 févrir 1976, l Consil uropén désavou la Commission t déclar qu il n y aura ni pré-adhésion ni conditions politiqus à l adhésion d la Grèc. L dirctoir uropén a surtout l souci d n pas fragilisr l nouvau régim démocratiqu. L s négociations commncnt l 27 juillt 1977, soit plus d un an après la dmand formll. Puisqu il st impossibl d parlr ouvrtmnt aux Grcs ds problèms qui jalonnnt la voi d lur adhésion, c st par la longuur du tmps t l silnc ds bouchs qu ls Européns gérront ls affairs grcqus. C tmps t c silnc qui trnt ans durant rmpliront ls placards uro-grcs d trichris, d dossirs n déshérnc, d blocags n attnt d solution t d inassouvissmnts. Aux élctions législativs d novmbr 1977, l Pasok doubl sa rprésntation, passant d 15 députés à 93. Il GEORGES BENDRIHEM/AFP La Grèc t l Europ: d accord mais pas comm ça! Valéry Giscard d Estaing présid la cérémoni d signatur du traité d adhésion grcqu, l 28 mai 1979 à Athèns. Il évoquait récmmnt c souvnir lors d un convrsation privé à Gnèv, rstant convaincu d avoir u raison d soutnir l accuil d la Grèc mais affirmant qu ls Allmands y étaint opposés. ARCHIVES réclam un référndum national sur l adhésion. Dans c climat, Karamanlis dmand l accélération ds négociations. Or ls Européns, hurux dans un prmir tmps d voir ls Grcs vnir dans lur camp, ont ds réticncs quand il s agit d passr aux qustions pratiqus. Ils n ls xprimnt pas ouvrtmnt mais, dossir après dossir, ils font valoir lurs désaccords. Ls pays richs, comm l Allmagn, l Bnlux ou l Danmark, insistnt sur ls risqus liés au fossé économiqu qui srait créé au sin ds Communautés, t surtout sur ls chargs t obligations qui découlraint pour ux d l adhésion rapid d la Grèc. L Itali rdout pour son agricultur t l Irland pour sa part aux fonds d aid régionaux. La Franc, où pourtant l présidnt Giscard d Estaing st un partisan d l adhésion d Athèns, résist fortmnt à l arrivé ds produits agricols grcs sous l prétxt qu ll dvra accptr au mêm titr la concurrnc ds produits spagnols. Marchandags normaux s agissant d sujts objctivmnt compliqués t délicats pour touts ls partis? Sans dout. Mais ils baignnt dans un climat caractérisé par dux sntimnts contradictoirs: l scpticism ds Européns quant à la capacité réll d la Grèc d Nouvlls frontièrs Ma smain suiss La Chin flanch, vraimnt? L Etat impartial Frédéric Kollr Ctt fois, ça y st, la Chin flanch à son tour. Ls xportations chutnt, la bull immobilièr éclat, ls prêts bancairs rculnt brusqumnt t la consommation intériur n prnd pas l rlais. Dpuis qulqus jours, touts ls prévisions d croissanc sont rvus à la baiss. L gouvrnmnt chinois évoqu un «brutal ralntissmnt d l économi». Et l pssimism gagn ls invstissurs qui voyaint dans la Chin un drnièr boué d sauvtag. La Chin va-t-ll dvnir un scond Japon, avc l spctr d la stagflation? C st c qu prédit l analyst financir Andy Xi qui écrit pour la rvu Caixin. Plus tôt, l économist Michal Pttis, profssur à l Ecol d gstion Guanghua d l Univrsité d Pékin évoquait un croissanc ramné à 3% pour l rst d la décnni. Un catastroph, si l on song qu ls autorités fixnt à 7% l suil n dça duqul l chômag xplosra avc la prspctiv d révolts massivs. Après ls Etats-Unis t l Europ, l discours sur l déclin gagn la Chin. A vrai dir, où qu l on rgard, hormis chz ls Etats adossés à lur rnt pétrolièr, la croissanc économiqu st anémiqu: la globalisation st n pann. Ls pays richs consommnt moins, ls pays manufacturirs xportnt moins t ls producturs d matièrs prmièrs voint lurs commands baissr. L fléchissmnt uropén t américain a fini par cassr la machin d xportation chinois. Et si la Chin ralntit, c st l nsmbl ds pays émrgnts stimulés par ls achats chinois d minrais t d bins agricols qui n pâtit. On savait qu l xtraordinair ssor d la globalisation durant la prmièr décnni du XXI siècl dvait baucoup aux binfaits du libr-échang. On comprnd aujourd hui qu il s st aussi réalisé à crédit. Surndttés, ls pays richs doivnt désormais s srrr la cintur t c st l nsmbl du commrc intrnational qui s gripp. Cs dux prochains décnnis, la Chin dvra construir dix millions d logmnts par anné Mais st-c vraimnt la fin ds Trnt Gloriuss pour la Chin? Sans nir ls problèms qui l accablnt, Arthur Krobr, dirctur d un burau d rchrch économiqu à Pékin, prnd l contrpid d c discours alarmist. Slon son analys, la Chin a ncor un bonn décnni d fort croissanc dvant ll. Voici pourquoi. Dpuis 1978, l pays st ngagé dans ds réforms dont la stratégi st pu ou prou calqué sur cll du Japon, d la Coré du Sud ou d Taïwan après la Scond Gurr mondial. La Chin st aujourd hui dans la situation du Japon à la fin ds annés 1960, ou cll d la Coré du Sud t d Taïwan dans ls annés La phas d rattrapag st loin d êtr achvé. Pékin n st pas ncor dans la situation d un pays parvnu à un nivau d rvnu moyn, stad où l pièg du manqu d innovation s traduit par la stagnation. Pour ls pays n phas d rattrapag, xpliqu Arthur Krobr, la croissanc consist n la mobilisation ds rssourcs (capital t travail), t non pas dans l fficacité ds rssourcs (productivité). Pékin put donc rlancr la machin n injctant du capital (la Chin st pu ndtté) t n comptant sur un main-d œuvr bon marché toujours abondant. Plus d un tirs d la population vit à la campagn. Ls autrs pays d la région ont vu lur croissanc diminur un fois qu la population rural st passé n dssous ds 20%. C dvrait êtr l cas vrs La bull immobilièr? Ell xist mais ll n concrn qu un sgmnt l haut du marché. En réalité, l pays st n déficit chroniqu d construction. Cs dux prochains décnnis, la Chin dvra construir 10 millions d appartmnts par anné pour logr 300 millions d prsonns qui vont migrr vrs ls vills. La modrnisation ds infrastructurs (transport, énrgi) st par aillurs loin d êtr achvé. L dangr qui mnac la Chin n st n réalité pas tant économiqu. Il st politiqu t social. La croissanc dvrait rstr fort. Mais ll sra d plus n plus inégalitair du fait d la structur politiqu. Un millur rdistribution ds richsss n put advnir qu avc un millur partag du pouvoir. Là st la clé du problèm chinois. François Modoux L usag du train autant qu fair s put; n cas d déplacmnts n voitur, l obligation à la discrétion t au strict rspct du cod d la rout; l rcours à un scort sulmnt pour ls occasions xcptionnlls: on trouv dans la «chart déontologiqu» du nouvau gouvrnmnt français qulqus règls qui prêtnt à sourir n Suiss où ls consillrs fédéraux sont rstés, à maints égards, ds citoyns ordinairs. Eux s déplacnt naturllmnt à pid, n bus ou n train; t sans gard du corps. Ctt simplicité forc l admiration ds Suisss convaincus qu lur démocrati st la millur du mond. Amusmnt, aussi, quand l cod d bonn conduit du «présidnt normal» promut ds vrtus inscrits dans ls gèns d la cultur politiqu hlvétiqu. Exmpl: ls consigns faits aux ministrs d êtr «à l écout ds citoyns», d «consultr t d ntrtnir ds rlations suivis avc l nsmbl ds partnairs publics t privés», d «rchrchr la concrtation». Ds précautions évidnts dans notr régim fédéralist t d démocrati dirct, qui st la négation d la conduit top-down associé à l Etat cntralisatur français. Maliciusmnt on s dit qu sous François Holland la Grand Franc n rabattra un pu. Qu si ll s hlvétis un chouïa, cla n lui fra pas d mal. Mais point d suffisanc Quand ll abord ls conflits d intérêts, la chart déonto- s adaptr à l économi t aux mœurs d la Communauté, t lur désir d ancrr définitivmnt l pays dans l club ds démocratis. L désir politiqu domin l scpticism matéril t, l 1r janvir 1981, la Grèc dvint l dixièm mmbr d la CEE. Ls mêms sntimnts, toujours aussi contradictoirs, l amènnt dans la zon uro l 9 mars Car qui aurait u l front, mêm n connaissanc ds vrais chiffrs d l économi grcqu, d s opposr ouvrtmnt aux dmands d un Etat mmbr? Dans un union d égaux, l prmir qui dit non st voué aux gémonis. Voir Angla Mrkl. logiqu du présidnt Holland rnvoi la Suiss à un constat mbarrassant: sur c volt snsibl, nos lois sont vagus t lacunairs, nos rpèrs brouillardux. François Holland, pndant tout sa campagn, a martlé la nécssité d un Etat impartial. Il sra aussi jugé sur sa capacité à fair rspctr l cod d bonn conduit qu il impos à son gouvrnmnt. Parmi ls règls édictés, dux rtinnnt notr attntion: ls ministrs français doivnt confir la gstion d lur patrimoin à un intrmédiair agréé, sur bas d un mandat garantissant qu ils n pourront intrvnir dirctmnt dans ctt gstion l blind trust; ils doivnt aussi s abstnir absolumnt d tout intrvntion n favur d un mmbr d lur famill ou d un proch. Qu un comportmnt n constitu pas un infraction pénal n suffit pas à l rndr accptabl En Suiss, il xist bin un aidmémoir, tnu confidntil, du consillr fédéral n srvic. On s dmand pourquoi l Consil fédéral prsist à bétonnr c scrt d Etat. Cs drnièrs annés, l xignc d transparnc posé par ls citoyns à lurs gouvrnants a partout augmnté, au point d dvnir un condition d la confianc ds pupls dans lurs institutions. Pour c qu on n sait, l vadmcum fédéral formalis notammnt l droit d nos ministrs à un abonnmnt CFF 1r class, à un smartphon t un ordinatur prsonnl, à l acquisition d un voitur privé. Il règl aussi ls qustions d rtrait. En rvanch, il n fix rin d précis ni d contraignant sur la gstion d lur portfuill. Businss is businss, dans l plus strict rspct d la sphèr privé. Est-c abrrant d croir qu la fortun privé ds consillrs fédéraux pourrait êtr influncé par lurs décisions ou par ds informations confidntills auxqulls ils puvnt accédr n xrçant lur mandat? Prsonn n s n souci: la loi srait un rmpart suffisant. Pourtant ll s contnt d xclur qu ls consillrs fédéraux xrcnt un fonction dirigant. Comm Christoph Blochr avant lui, l grand patron Johann Schnidr-Ammann a dû s défair d ss actions majoritairs dans son ntrpris quand il a accédé au Consil fédéral. C st tout. Or qu nous a appris l affair Hildbrand? Rin, dans ls faits rprochés au présidnt d la BNS, n était illégal. Mais contrairmnt à un idé répandu, l fait qu un comportmnt n constitu pas n soi un infraction pénal n suffit pas à l rndr accptabl. L but d un chart déontologiqu st d prévnir l inaccptabl n n clarifiant ls contours. Put-êtr parc qu il manquait d rpèrs déontologiqus, Johann Schnidr-Ammann a pris l risqu d proposr un proch l homm d confianc auqul il a donné un jour la présidnc d son ntrpris familial pour occupr l post d scrétair d Etat à la formation t la rchrch. Lui aussi n a violé aucun loi. Mais il a évillé l soupçon d fidélité à ds intérêts privés alors qu on attnd d un consillr fédéral un fidélité sans faill à l Etat. L apparnc d partialité suffit à sapr la crédibilité d un ministr. Pour n pas l avoir anticipé, l Brnois s st fourvoyé dans un impass d laqull il n pouvait qu sortir affaibli.

3 L Tmps Samdi 26 mai 2012 Tmpsfort 3 Lçons d musiqu t nots d spoir > Récit L projt Espranza Aztca prmt à ds juns défavorisés d pratiqur la musiqu au Mxiqu > Son fondatur a étudié n Suiss avc Pirr Amoyal t Tibor Varga avant d s lancr dans ctt avntur xcptionnll RODRIGO CRUZ > Un musicinn d l Orchstr d chambr d Lausann a choisi d partagr son savoir-fair un anné durant Un répétition partill d un ds orchstrs Espranza Aztca, à Publa. Ls juns sont accuillis chaqu jour pour quatr hurs d musiqu, après l écol obligatoir. ARCHIVES Jonas Pulvr DE RETOUR DU MEXIQUE C st un écol d béton nu à 120 kilomètrs d Mxico-City, dont ls fnêtrs contmplnt au loin ls fumés du volcan Popocatéptl. Ls vitrs sont baignés par l solil d altitud l platau alntour culmin à plus d 2000 mètrs. Ici t là, au travrs du vrr, la doucur du dhors s ngouffr par d ptits trous grands comm l œil. Ds impacts d balls. Vstigs d un violnc latnt. Si proch, mais paraît-il révolu. Miux vaudrait. Un cntain d nfants gagnnt ls salls d répétition, répartis d part t d autr d l scalir gris poussièr. D 6 à 17 ans sous lurs chvux aux rflts d ncr, jans poncés par un fratri ntièr, cotons mangés par ls lssivs innombrabls. Lurs mains ptits t grands déballnt archts, violons, violonclls, flûts argntés t pavillons d cuivr. Viills chaiss n arcs d crcl. Murs sans parur. L élctricité qui vint puis s nvol. Minimum strict, t ncor. Ici, ls instrumnts prnnnt ds allurs d trésors. 16h30. D autrs travaillnt aux champs, quand ils n s oublint pas dans la ru ou s abandonnnt aux ptits trafics d après l écol. Ici, on disciplin ss doigts, on affin son orill, on sculpt son souffl malgré la clamur chaotiqu qui nvlopp ls liux, dénués d isolation phoniqu. A raison d quatr hurs par jour, chaqu jour d la smain, chaqu smain d l anné scolair, t cla totalmnt gratuitmnt. Commnt n irait-il autrmnt? En moynn, ls famills dont cs nfants sont issus n gagnnt pas plus d 60 francs suisss par mois. Apprndr à écoutr l autr, t à s écoutr soi-mêm. Tracr sa voix. Trouvr sa plac. L travail commnc par groups d pupitrs (prmir ou scond violons, contrbasss ou prcussions), sous l impulsion ds profssurs. Plus tard, lorsqu la nuit mordra dans l blu du cil, l hur sra au réprtoir du grand orchstr. L orchstr Espranza Aztca d la vill d Publa: trainings, casqutts à l n- vrs, qulqus débordmnts mais baucoup d punch dans l Ouvrtur 1812 d Tchaïkovski. Ct nsmbl pionnir, composé d dux cnts juns (cnt musicins t cnt chorists), fait parti d un vast projt socioculturl qui ssaim à l échll du Mxiqu tout ntir. Un projt éducatif qui doit tout ou prsqu à la ténacité du violonist d origin mxicain Julio Saldaña. «J suis sans css aux quatr coins du pays, pour ngagr ds nsignants t mttr sur pid d nouvlls formations», confiait-il qulqus hurs plus tôt autour d un café, non loin d la maison qu il habit. Il hébrg chz lui, durant la smain, plusiurs musicins n hrb dont ls parnts vivnt à plusiurs hurs d rout. Et conduit lui-mêm l minibus débordé d sourirs t d boîts à instrumnts qui fait la navtt jusqu à l écol où s déroulnt ls cours. La flamm plus fort qu la fatigu. C sont plus d nfants t adolscnts qui trouvnt lur rspiration au sin d 54 nsmbls Il faut dir qu dpuis trois ans Espranza Aztca a pris ds nvrgurs inspérés. Aujourd hui, c sont plus d nfants t adolscnts mxicains défavorisés qui trouvnt lur rspiration quotidinn dans l un ds 54 orchstrs qu compt l projt. «Mon pèr, qui était profssur d violon ici à Publa, m disait toujours: la musiqu a un pouvoir d transformation social. L éducation qu j ai rçu avait dux axs: la musiqu t la foi. Nous étions trois à la maison, mais, plusiurs fois par smain, nous accuillions ds sans-abri à notr tabl. Pour un nfant d 8 ans, un clochard ça pu, c st déstabilisant. Mais ms parnts n faisaint aucun différnc.» Julio Saldaña parl avc c lux d détails propr à cux qui ont la volonté d croir, t la forc d transmttr. Puis s xcus prsqu d sa générosité, dans un français parfaitmnt fluid. C st qu après ds étuds à la capital, où il a l occasion d écoutr Pirr Amoyal s produir n concrt, l jun homm décid n 1987 d gagnr la Suiss pour s formr auprès du grand violonist. «J ai débarqué avc 100 francs n poch. J n parlais pas un mot d français, t Amoyal pas un mot d spagnol!» A Fribourg, il s install dans un coin d grnir au bin plair d un amitié, éprouv l inhospitalité d novmbr alors qu il distribu ls journaux du matin pour s fair un pu d argnt, sans pouvoir ncor s payr un prmièr pair d gants. «J ai pris ms prmirs cours avc Amoyal. Mais il voyagait baucoup, j n étais pas préparé à dvoir travaillr autant d manièr indépndant.» Après avoir trminé son cursus auprès d un autr profssur du Consrvatoir d Lausann, Julio Saldaña s tourn vrs Tibor Varga, à Sion. Plus qu un simpl maîtr. Un mntor. Et un myth. «J avais ntndu dir qu il pouvait manqur d toléranc; on a immédiatmnt accroché.» Bloomington, puis Gnèv: l jun virtuos multipli ls xpérincs au sin ds grands institutions. Mais sans pourtant trouvr réllmnt l sns d c qu il fait. «Dpuis 1988, j étais n contact avc l ONG Musiqu Espéranc, fondé par l pianist argntin t ancin prisonnir politiqu Migul Angl Estrlla. J ai commncé à militr. J jouais chaqu prmir samdi du mois dans ls prisons d Bochuz t Bllchass. J y ai connu un form xtraordinair d rconnaissanc. Pu à pu, l idé a fait son chmin à l intériur d moi. J voulais œuvrr à la frontièr du social t d l art musical.» Entr-tmps, Julio Saldaña s voit proposr un post à l Univrsita d las Amricas, à Publa. Rtour aux origins, donc, mais dans un établissmnt privé où l écolag, proch d clui ds campus états-unins, n st abordabl qu pour un infim élit. «J y ai mis sur pid un atlir pour ls nfants dans l bsoin. Mais ms collègus n m ntndaint pas. Ils voulaint fair du businss. Après huit ans, j ai donné ma démission.» En invstissant ss proprs économis, t avc l soutin d Musiqu Espéranc, il fond à un nivau local c qui dvindra plus tard Espranza Aztca. «A partir d c momnt, j m suis consacré ntièrmnt à la junss défavorisé. Avc l argnt réuni, j ai achté ds instrumnts, t payé qulqus salairs d nsignants; crtains d ms ancins étudiants m ont suivi.» Mais cla n suffit pas à équilibrr l budgt, t Julio Saldaña frapp par quatr fois à la port d la municipalité d Publa. Sans succès. La suit tint prsqu du miracl: l chf britanniqu Bnjamin Zandr, dirctur musical du Philharmoniqu d Boston, assist à un concrt d binfaisanc donné par Julio t son nsmbl. Touché par c qu il ntnd, il offr d parlr du projt au richissim homm d affairs mxicain Ricardo Salinas Pligo, avc qui il a prévu d dînr l soir mêm. Résultat: l homm d affairs, par l biais d sa Fundacion Aztca, l organ socio-caritatif du Grupo Salinas, décid d soutnir Julio Saldaña. «C était providntil! Mais Ricardo Salinas a posé ss conditions. Il fallait qu l projt puiss s déployr sur l pays tout ntir. Et il fallait crér d tout urgnc un orchstr symphoniqu t organisr un concrt auqul convir dirigants politiqus t mécèns.» Trois mois: l échéanc st insnsé. Dux tirs ds 300 nfants sélctionnés n ont jamais joué un sul not d musiqu. C st comptr sans la soif d jour, immns, t l rythm ds répétitions, ffréné. Ici, au liu d un hur hbdomadair d lçon individull, ls juns répètnt vingt hurs par smain, toujours n group, après l écol obligatoir. «C était n novmbr Nous nous somms produits à la Sall Ollin Yoliztli, l un ds plus grands d Mxico City, dvant 27 ds 32 gouvrnurs du pays. L Alllujah d Handl, ds xtraits d la Nuvièm d Bthovn t un pièc du compositur mxicain Arturo Márquz. J n n rvins toujours pas.» Dpuis, chaqu orchs- tr bénéfici d un partnariat public-privé qui fournit ls francs annuls nécssairs aux différnts frais d nsignmnt, d infrastructur t d achats d instrumnts. «Actullmnt, notr principal problèm st l manqu d profssurs qualifiés.» Pour pallir ctt carnc, crtains nsignants vinnnt dpuis l étrangr offrir un pu d lur tmps t d lur savoir-fair. C st l cas d la Suissss Stéphani Décaillt, violonist t mmbr d l Orchstr d chambr d Lausann, qui a dédié un congé sabbatiqu d un anné à Espranza Aztca. «J avais bsoin d élargir ms horizons, confi la jun fmm sur l pas d son ptit studio d répétition. J connaissais Julio Saldaña du tmps d ms étuds chz Tibor Varga. C qui m touch, ici, c st l incroyabl motivation ds élèvs. On trmin tard, vrs 20h, alors qu ils s sont lvés à 6h du matin pour allr à l écol. Et pour- «Ls élèvs n vulnt pas partir, ils font la têt quand on lur dit qu la journé touch à sa fin!» tant, souvnt ils n vulnt pas partir, ils font la têt quand on lur dit qu la journé touch à sa fin!» 18h30. Digo, 17 ans, déchiffr l Printmps d Vivaldi au bout d un archt étonnammnt agil, sous l rgard binvillant d Stéphani Décaillt. Issu d un famill d paysans, il avait 14 ans au momnt d rcvoir son prmir violon, laissé par ds musicins mariachis d passag. C st par l biais d la télévision qu il a ntndu parlr d Espranza Aztca. «Dans mon villag, ls gns n voint pas d un bon œil qu j vuill fair d la musiqu, confi-t-il timidmnt. Pourtant, l wk-nd, j travaill aux champs comm tout l mond. Alors, l soir, j m nfonc loin dans la campagn, pour jour dans l obscurité, t n pas êtr ntndu.» Assidu, passionné, Digo spèr pouvoir mbrassr un carrièr dans la musiqu. «En travaillant d arrach-pid, j pns qu il put s fair admttr dans un consrvatoir uropén, stim Stéphani Décaillt. Mais commnt financr parills étuds?» Fac aux ombrs vspérals du volcan Popocatéptl, qulqus rêvs s allumnt. Mêm si, hélas, nombr d ntr ux s évanouiront sans dout dans ls fumés d altitud. Julio Saldaña n prd pourtant pas spoir d voir crtains mmbrs parmi ls plus avancés d l orchstr prndr prochainmnt n charg ds cours au sin d Espranza Aztca. Un bll satisfaction pour l violonist, dont ls convictions pédagogiqus, prochs d clls du Sistma vénézuélin (ct incroyabl résau étatiqu d nsignmnt musical), privilégint l élan t la confianc d l élèv, plutôt qu la pur d la fauss not t la hiérarchi ds nivaux. «La déculpabilisation st primordial. Jamais j n dirai aux juns qu un œuvr st plus difficil qu un autr. Dès qu nous l pouvons, nous abordons l grand réprtoir, à forc d travail quotidin t d sprit d équip. Tant pis si l résultat n st pas parfait. L contact avc la bauté st un motur sans paril.» 19h30. Au rz, parmi ls boîts d œufs vids, ls plaqus d mouss éparss t ls viux tapis qu l on a disposés au sol t aux murs pour atténur l écho, l Ouvrtur 1812 d Tchaïkovski réunit tous ls pupitrs d l orchstr sous la dirction d Julio Saldaña. Mous concntrés. Bâillmnts camouflés. Ou ncor c baisr furtif échangé ntr ls gros cylindrs ds prcussions. Et puis, au-dlà ds imprécisions du final t du vacarm ds timbals, un souffl commun. Un volonté d fair nsmbl qui boulvrs plus ncor qu la partition llmêm. Non sulmnt ls nfants d Espranza Aztca grandissnt t s transformnt au contact d la musiqu. Mais ctt musiqu llmêm, révélé dans son pouvoir d cimnt social, st à son tour transcndé par ux.

4 4 Intrnational L Tmps Samdi 26 mai 2012 US Navy, tnir l cap n plin tmpêt budgétair STÉPHANE BUSSARD > Etats-Unis Souffrant d un déficit d imag, la Navy s fforc d xpliqur sa mission > Rportag à bord du port-avions «USS Wasp» Stéphan Bussard NEW YORK Au sud d Manhattan, à l mbarcadèr No 6, l aub commnc à éclairr l East Rivr t l Brooklyn Bridg. Dans un vrombissmnt soudain, d puissants hélicoptèrs MH53 Sadragon apparaissnt dans l cil, transprçant l silnc du ptit matin. Ils vont bintôt achminr ds journalists américains t étrangrs sur l Wasp, un port-avions t navir d assaut amphibi mouillant à un cntain d kilomètrs d la côt. A l occasion d la Smain d la marin (Flt Wk) à Nw York, où convrgnt ds navirs du mond ntir, la Navy américain produit un grand ffort d communication. Aux Etats-Unis, ll vis à rdorr son imag. Slon un récnt sondag Gallup, suls 9% ds Américains comprnnnt la mission d lur marin militair t suls 11% pnsnt qu ll jou un rôl important dans la défns ds Etats-Unis. Ell profit du bicntnair d la gurr d 1812 contr la Royal Navy britanniqu, dat où ll a commncé à s dévloppr, pour tntr d s réconcilir avc l pays. Au plan intrnational, la plus puissant marin du mond ntnd montrr l rôl qu jou l Amériqu pour présrvr la librté ds mrs. A bord d l USS Wasp, un monstr ds mrs d tonns d acir, d 400 tonns d aluminium t d plus d 640 kilomètrs d câbls élctriqus construit n 1987 t basé à Norfolk n Virgini, l Hangar Bay fourmill d matlots, officirs d la marin t mmbrs du corps ds Marins. L bâtimnt, un labyrinth d 14 nivaux rliés par ds passrlls vrtiginuss t ds couloirs étroits, transport plus d 1000 mmbrs d la Navy à proprmnt parlr t un pu moins d 2000 Marins. Dans l Uppr V, l immns cal où trônnt ds véhiculs amphibis, Brian Smith, 22 ans, d Atlanta, xpliqu qu il a rjoint l corps ds Marins pour subvnir aux bsoins d son fils. «En tant qu mé- Ls révoltés saisissnt la justic au Québc > Canada Dépôt d dux rcours contr un loi contsté Ls trois principals organisations étudiants n conflit avc l gouvrnmnt québécois ont déposé vndrdi dux rcours n justic contr la loi spécial voté un smain plus tôt t à laqull lls rprochnt d réduir la librté d xprssion t d association. «C st la plus grand affair constitutionnll au Québc à caus du nombr d gns concrnés», a déclaré l un ds ladrs étudiants, Léo Burau-Blouin, dvant l Palais d justic d Montréal, affirmant qu 1,5 million d Québécois étaint dirctmnt touchés. Au total, qulqu 140 prsonns issus d 25 organisations studiantins, nvironnmntals t syndicals, ainsi qu d unions d artists t d différnts communautés, ont présnté ds rquêts dvant la Cour supériur du Québc. AFP La Navy chrch à rdorr son imag. Slon un récnt sondag, suls 9% ds Américains comprnnnt la mission d lur marin militair t suls 11% pnsnt qu ll jou un rôl important dans la défns ds Etats-Unis. 23 MAI 2012, «USS WASP» canicin attaché à la bas d Camp Ljun n Carolin du Nord, j gagn 1600 dollars par mois sans comptr qu j bénéfici d un assuranc maladi t qu j suis nourri logé. Fair parti ds Marins m oblig aussi à m ngagr pour qulqu chos.» Sur l pont supériur, Christophr Frnandz, 21 ans, st aussi basé à Camp Ljun. Il avait à pin achvé l collèg qu il rjoignait déjà ls Marins. Sa drnièr grand mission fut à Haïti pour vnir n aid aux victims du trmblmnt d trr d Il a égalmnt été n Afghanistan. «Nous avons formé ls forcs afghans dans la provinc d Hlmand t l district d Nawa. J pns qu notr action a prmis d fair progrssr la sécurité dans l pays.» Sa prcption du pays a-t-ll changé? Sur l USS Wasp, aucun militair n smbl prêt à dir du mal ds Afghans, conscint qu il vaut miux évitr ls bavurs qu furnt la turi d 17 civils afghans par un GI, l incinération d Corans sur la bas d Bagram t l fait qu ds soldats américains urinèrnt sur ds cadavrs d talibans. «C st un société modrn t ls Afghans sont ds gns civilisés», soulign Christophr Frnandz. C drnir n va pourtant pas finir ss jours dans ls Marins. Il va ntamr ds étuds d médcin à l Univrsité d Cntral Florida. La plus puissant marin du mond ntnd montrr l rôl qu jou l Amériqu pour présrvr la librté ds mrs Sur l port-avions USS Wasp, ls rsponsabls d la Navy n cachnt pas lur firté d présntr lur navir au public nw-yorkais. Mais ils rstnt conscints du contxt économiqu difficil ds Etats-Unis qui pourrait induir d sévèrs coups budgétairs. En campagn à Jacksonvill, n Florid, l candidat présomptif du Parti républicain à la MaisonBlanch, Mitt Romny, n fait un argumnt élctoral: «Plutôt qu d réduir l nombr d vaissaux qu nous achtons ou construisons par anné, tl qu l souhait l présidnt (Obama), j prévois d n construir 15 au liu ds 9 actullmnt.» Rsponsabl d la sall où sont coordonnés ls sortis d avions t hélicoptèrs avc clls ds véhiculs amphibis, Richard Thousand, 44 ans, a déjà roulé sa boss plusiurs fois autour du glob. En 27 ans d carrièr, c major (liutnant commandr) st inquit: «Notr plus grand défi, c st l économi. Avc ls coups budgétairs, on réduit la taill d la marin. Nous dvons prndr ds msurs draconinns pour xhortr ds matlots à quittr la Navy, mais vu l état d l économi, ils n ont aucun nvi d l fair. Crtains ont ds problèms avc lur maison dont la valur s st ffondré. Pour nous, il dvint toujours plus difficil d acquérir ls piècs détachés. Or si nous voulons êtr dotés ds navirs du futur, ls EtatsUnis doivnt aujourd hui fair attntion à la manièr d dépnsr l argnt.» Richard Thousand, qui s décrit comm un «go-bachlor», un célibatair par la géographi, bin qu il soit marié dpuis 25 ans, a néanmoins la pupill qui brill quand il parl d ss ngagmnts passés: «En 1995, j étais sur l croisur USS Normandy n Méditrrané. Après dix jours, nous avons tiré un missil Tomahawk sur la Bosni. Là j m suis dit: «Ouah, on fait vraimnt qulqu chos.» Au plan géopolitiqu, la Navy st mis à rud contribution n mr d Chin du Sud, où Pékin projtt sa nouvll puissanc n intimidant ds alliés d l Amériqu comm ls Philippins. L présidnt Barack Obama a d aillurs fait du Pacifiqu occidntal t d l Asi l un ds priorités stratégiqus d la MaisonBlanch. L Arctiqu aussi st un défi pour la marin américain. Un récnt étud du US Naval War Collg révèl qu la Navy n st pas à mêm actullmnt d protégr ss intérêts dans l grand Nord t qu ll sra contraint d comptr sur ds pays comm la Russi t l Canada. Fort d cs faiblsss, un commission du Sénat a débattu mrcrdi d la nécssité, pour ls Etats-Unis, d ratifir la Convntion d l ONU sur l droit d la mr. La scrétair d Etat Hillary Clinton, l scrétair à la Défns Lon Pantta ou ncor l chf d état-major ds armés Martin Dmpsy l ont martlé: ratifir ladit convntion, c st s donnr un cart d plus pour réglr ls problèms d la mr d Chin ou d l Arctiqu, où ls plataux continntaux rgorgnt d hydrocarburs. >> Sur Intrnt Visit n imags d l USS WASP Mxiqu: ls étudiants bousculnt la campagn élctoral > Amériqu cntral Ls univrsitairs sont n révolt contr ls médias, accusés d favorisr l candidat du PRI Ls juns Mxicains manifstnt contr ls médias, qu ils accusnt d travstir la réalité pour forcr un victoir d l ancin Parti révolutionnair institutionnl (PRI) à l élction présidntill du 1r juillt prochain. «Et la démocrati dans tout ça?» dmandnt ls étudiants. «Notr démocrati n st pas un tlnovla. Inform-toi!» crint cux qui manifstnt dans l cntr d Mxico pour réclamr un vot démocratiqu, conscint, non manipulé par ls médias. Ils xignt un information sérius t impartial n ctt périod élctoral. La plupart sont xaspérés d voir apparaîtr, à chaqu fois qu ils allumnt la télévision, l visag d Enriqu Pña Nito, l candidat du Parti révolutionnair institutionnl au scrutin présidntil du 1r juillt: son physiqu liss, son sourir irréprochabl t, à ss côtés, son omniprésnt épous, un actric d tlnovla. Ct homm d 45 ans, qui a fait dssinr un poupé Kn à son ffigi pour la distribur dans ss mtings, n a pas hont d étalr publiqumnt son machism ou d avour qu il n a prsqu pas lu d livrs. Ls instituts d sondag, dont la fiabilité rst à démontrr, lui prédisnt nviron 40% ds voix, 15 à 20 points d plus qu ss advrsairs d gauch, Andrés Manul Lópz Obrador, t d droit, Josfina Vázquz Mota. «J suis l 132» Ils étaint mrcrdi t samdi drnir dans ls rus d la capital, à manifstr qu ils n l ntndaint pas d ctt orill. «Nous n voulons pas qu ls médias nous imposnt un candidat», xpliqu Jonathan Ruiz, un étudiant n journalism. «La population n a pas accès à l information, ls nouvlls rssmblnt à ds tlnovlas», rnchérit un d ss camarads, Francisco Btanzos. La révolt s st mbrasé l 11 mai, lorsqu Enriqu Pña Nito a été chassé d l Univrsité ibéro-américain sous ls hués ds étudiants, qui ont jugé son discours «crux, ambigu t abstrait». L PRI ayant insinué qu il s agissait d agitaturs t non d étudiants, ls juns ont posté n répons sur Intrnt un vidéo où 131 d ntr ux s idntifint. «YoSoy132» («J suis l 132») st dès lors dvnu l cri d rallimnt d un mouvmnt qui grandit via ls résaux sociaux t s étnd désormais à d autrs vills du Mxiqu. Accusés d srvir ls intérêts d la gauch, ls étudiants démntnt tout affiliation politiqu, mêm si l rjt drastiqu du PRI st un élémnt rassmblur. «Nous ls étudiants, nous avons un mémoir, t nous savons qu l PRI a rprésnté 70 ans d pillags, d réprssion t d misèr», xpliqu Violta Lal Sandoval, un étudiant n histoir, lors d la manifstation d mrcrdi. L ancin parti uniqu avait dominé l pays sans partag d 1929 à 2000, passant d la Révolution au néolibéralism, avant qu l Parti d action national (droit) accèd au pouvoir. «Cs juns ont introduit un dimnsion moral dans la campagn», analys Soldad Loaza, politologu du Colgio d México, un prstigiux institut d rchrch. «Ils xprimnt l ras-l-bol d la corruption t d tout c qu l PRI put incarnr comm viills pratiqus obscurs. Ils n ont pas vraimnt connu l époqu du PRI mais ils n ont un imag négativ, lié à la corruption.» Régim autoritair rgrtté Pour cs juns qui réclamnt un régénération d la démocrati t pour bon nombr d Mxicains, l rtour du PRI au pouvoir srait un saut dans l passé. «Un Mxicain qui vot pour l PRI, c st aussi absurd qu un Allmand qui rconstruit l mur d Brlin», écrivait récmmnt l analyst politiqu Dnis Drssr. Aux antipods d ctt craint, un grand parti d la population éprouv la nostalgi d ctt «dictatur parfait», un régim autoritair qui s donnait un apparnc démocratiqu. Car l PRI st un parti vivant, incarné par son immns bas populair. «Au nivau local, c parti a consrvé la confianc ds Mxicains t son mpris sur la vi ds gns», commnt Soldad Loaza. Et si un larg frang d l élctorat contmpl un évntull victoir du viux parti d Etat avc binvillanc, c st aussi parc qu il st associé à un époqu moins violnt. Dpuis qu l présidnt Flip Caldrón a lancé n 2006 un gurr contr ls cartls d la drogu, plus d prsonns ont prdu la vi dans ds affrontmnts t règlmnts d compts. La paix put-ll êtr rétabli t à qul prix? Ls xprts stimnt qu la tntation st fort pour ls gouvrnants d conclur ds pacts avc ls cartls. L annonc, n début d smain, ds poursuits ntamés par la justic américain contr Tomás Yarrington, un x-gouvrnur du PRI accusé d avoir rçu d forts somms d argnt du crim organisé, n va pas aidr l parti à s dotr d un imag d intégrité. Emmanull Stls MEXICO

5 L Tmps Samdi 26 mai 2012 Intrnational 5 Syri: ds chars à Alp > Il srait suivi d près par un caciqu d l ancin régim Célin Zünd Surpris à l issu du prmir tour du scrutin présidntil n Egypt: ls Frèrs musulmans, qui ont assisté au dépouillmnt ds buraux d vot, ont annoncé vndrdi la victoir d lur candidat Mohammd Morsi, d après ds «résultats complts». Il srait suivi d près par Ahmd Chafiq, un caciqu du régim. L dissidnt d la confréri, Abdl Monim Aboul Foutouh, t Amr Moussa, l ancin ministr ds Affairs étrangèrs t x-scrétair général d la Ligu arab, présntés comm duo favori jusqu au drnir momnt, n arrivraint qu n quatrièm t cinquièm positions, drrièr l candidat d la gauch Hamdn Sabbahi. Si la commission élctoral confirm cs résultats dès dimanch, l scond tour qui s tindra ls 16 t 17 juin dvrait opposr un islamist à un ancin général. L dul du prmir scrutin libr n Egypt rjourait alors la lutt historiqu ntr islamists t militairs. L succès d Ahmd Chafiq inquièt ls révolutionnairs. Ancin chf d état-major d l armé d l air, candidat favori ds militairs, qui dirignt l pays dpuis la chut d l ancin présidnt Hosni Moubarak, il a promis d rétablir la sécurité t d mttr fin aux spasms d la révolution. Hir, un ptit attroupmnt s st formé sur la plac Tahrir au Cair, pour protstr contr ctt figur d l ancin régim. «C st l choix ntr l ordr sécuritair ds militairs t l ordr moral t social ds islamists» La scèn n rapplait un autr, plus d un anné auparavant, n févrir Hosni Moubarak avait nommé Ahmd Chafiq pr- KEYSTONE > Egypt Ls Frèrs musulmans donnnt lur candidat n têt KEYSTONE Dul annoncé ntr l islamist t l général Panorama Mohammd Morsi, la «rou d scours» ds Frèrs musulmans. Ahmd Chafiq, l candidat favori ds militairs au pouvoir. mir ministr, dans l spoir d apaisr la foul qui manifstait sur la plac névralgiqu d la capital pour dmandr l départ du présidnt. L ancin général fut aussitôt prié d s n allr à son tour. Aujourd hui pourtant, nombr d Egyptins souhaitnt apparmmnt qu il prnn ls rêns d l Etat. L mssag qui sort ds urns smbl êtr clui du rtour à l ordr, dans un pays à l économi xsangu t où, quinz mois après la chut du présidnt dictatur, l incrtitud continu d régnr. Pour l spécialist du mond arab Mathiu Guidèr, «c st l choix ntr l ordr militair t l ordr moral t social», incarné par l islamist Mohammd Morsi, du parti ds Frèrs musulmans, Librté t Justic. «Ls Egyptins n ont assz», poursuit l obsrvatur, d rtour du Cair, pour qui ctt tndanc, si ll s confirm, rflèt l «paradox ntr lur volonté d changmnt t cll d stabilité». La sul figur d Mohamd Morsi parvint à réconcilir cs dux xtrêms. Très consrvatur, il n n rprésnt pas moins l changmnt, après 50 ans d bannissmnt ds islamists. Duxièm choix ds Frèrs musulmans après l annulation d la candidatur du charismatiqu stratèg d la confréri, Khairat al-chatr, pour un condamna- tion sous l èr Moubarak il a été surnommé la «rou d scours». Son succès n dépit d son manqu d statur présidntill, démontr la puissanc d la bas militant ds Frèrs un fois qu ll s st mis n march. Pndant la campagn, fac à la monté n puissanc du candidat indépndant Aboul Foutouh, un islamist modéré, ls Frèrs musulmans ont pu à pu durci l ton pour présntr lur candidat comm l «sul candidat avc un programm islamist». Autr surpris d c prmir tour, l scor du nassérist, Hamdn Sabbahi, donné troisièm, voir scond à la plac d Ahmd Chafiq par crtains médias égyptins. C candidat d la gauch, mprisonné à 17 rpriss sous l ancin régim, rprésnt un échappatoir pour cux qui rfusnt ls islamists comm ls «flouls», ls homms d l ancin régim. L décompt d voix s poursuivait hir soir. Ls Frèrs musulmans, qui détinnnt déjà 75% ds siègs au parlmnt, smblnt n bonn postur pour s mparr d tous ls lvirs du pouvoir. Mais, rst à définir qul pouvoir xactmnt, puisqu la Constitution n a pas ncor été rédigé. «L régim iranin compt sur la passivité ds gns» > Iran Décryptag d la nouvll composition du Majlis par l xprt Farhad Khosrokhavar, avant sa séanc d dimanch L Majlis, l parlmnt iranin, s apprêt à siégr pour la prmièr fois c dimanch dans sa nouvll composition. Après l scond tour ds législativs, qui s st tnu l 4 mai drnir, l pouvoir s partag au sin d l arèn ntr clans consrvaturs. D un côté, l Front uni ds consrvaturs, acquis à la caus du guid suprêm, Ali Khamni; d l autr, l Front d la prsistanc d la Révolution islamiqu, plutôt favorabl au présidnt actul, Mahmoud Ahmadinjad. Farhad Khosrokhavar, dirctur d étud t spécialist d l Iran à l Ecol ds hauts étuds n Scincs socials (EHESS) d Paris, livr son analys sur l rapport d forc ntr ls dux camps. L Tmps: Doit-on considérr qu l Guid suprêm a rmporté un ntt victoir au détrimnt du présidnt Mahmoud Ahmadinjad? Farhad Khosrokhavar: La victoir d Ali Khamni st larg t incontstabl, mêm s il faut attndr l début d la législatur pour situr l nouvau cntr d gra- vité du Majlis. Ctt élction n rflèt cpndant n rin ls njux sociétaux du pays. Dpuis 2009 t la mis à l écart ds réformaturs suit aux manifstations contstant la victoir d Mahmoud Ahmadinjad, il n y a plus d opposition n Iran. C scrutin législatif s st donc résumé à un lutt intstin ntr l guid t l présidnt, sans aucun dimnsion républicain. Un taux d participation d 64% a été évoqué par l pouvoir pour l prmir tour. N st-c pas là un signal positif? Qul obsrvatur xtériur put s portr garant d un tl chiffr? Il n y a aucun moyn d vérification. Un grand parti d la population s rnd aux urns par craint d voir crtains d lurs prims ou subsids supprimés n cas d abstntionnism. D tout façon, cs législativs n ont pas d intérêt pour baucoup d Iranins puisqu c nouvau parlmnt n rflèt qu très partillmnt la vox populi. En quoi s opposnt ls alliancs formés autour du guid t du présidnt? Ls partisans du présidnt n sont pas opposés au pouvoir du guid mais à sa suprémati. Pour Ali Khamni, c st un mnac qui vint d n haut, t qui touch d abord à l équilibr ds différnts pouvoirs, par opposition avc la contstation qui vint d n bas t porté par ls réformaturs, absnts d cs législativs. En activant la fibr patriotiqu, Mahmoud Ahmadinjad a tnté d implantr un idéologi islamico-nationalist qui a largmnt échoué. C st put-êtr l principal nsignmnt d cs drnièrs législativs. En mars drnir, Mahmoud Ahmadinjad a été sommé d s xpliqur à propos ds mauvais résultats économiqus du pays. Qu risqut-il aujourd hui après ctt défait? Rin. L guid a attint son principal objctif qui consistait à rétablir tout son autorité t cll du haut clrgé traditionnl. Concrnant l économi du pays, Ali Kha- mni s st mis à critiqur l présidnt quand c drnir a accru son propr clintélism pour soutnir sa campagn. Mais, au fond, ls vrais problèms d inflation ou la gstion catastrophiqu d l économi n constitunt pas la priorité d l ayatollah, ni cll ds mmbrs du parlmnt. Tout d mêm, un cntain ds 290 siègs du Majlis st occupé par ds indépndants. N rprésntntils pas un altrnativ? Ls indépndants n ont pas d opinion politiqu. Ctt indépndanc st dans ls faits un soumission au guid. Ils n constitunt pas vraimnt un opposition au pouvoir d Ali Khamni ou d Mahmoud Ahmadinjad. Qu pnsz-vous d la proposition du guid d rmplacr l élction du présidnt au suffrag univrsl par un élction par l parlmnt n 2013? Un tll évntualité réduirait ncor davantag la légitimité démocratiqu du gouvrnmnt t rnforcrait l pouvoir d l ayatollah. L pouvoir s couprait alors définitivmnt d la population. Un constat qui s vérifi d tout façon déjà avc c rnouvllmnt parlmntair. Quid d l avnir politiqu n Iran, avc ctt élction présidntill n point d mir? Il y aura baucoup d candidats à l élction présidntill, sans qu l on puiss dir maintnant qui sra autorisé à y participr. Mahmoud Ahmadinjad rssort très affaibli du scrutin, il aura donc bin du mal à proposr un candidat issu d son clan. Plus généralmnt, l régim compt actullmnt sur la passivité ds gns. Ls qustions nucléairs, économiqus, d dépndanc au pétrol ou d inflation n sont pas débattus n public. Ls gns craignnt la réprssion t ls ladrs du Mouvmnt vrt sont n quarantain. Mais la situation politiqu iraninn rst fragil t un rin pourrait mttr l fu aux poudrs. Propos rcuillis par Gauthir Corbat Mond arab Ds blindés d l armé sont ntrés vndrdi, pour la prmièr fois dpuis l début d la révolt n Syri, dans ls rus d Alp, duxièm vill du pays t théâtr cs drnièrs smains d manifstations contr l régim d un amplur inédit, rapport un ONG. (AFP) Iran: découvrt d uranium non conform L Agnc intrnational d l énrgi atomiqu (AIEA) a révélé vndrdi la découvrt d tracs d uranium nrichi à un dgré supériur à 20% sur un sit nucléair n Iran, qui évoqu un rrur tchniqu, xplication jugé crédibl par ds xprts. (AFP) Amériqu du Sud Vto partil à un loi qui mnac l Amazoni La présidnt du Brésil Dilma Roussff a décidé d mttr un vto partil à un loi controvrsé réformant l cod forstir qui, slon ls écologists, réduit ls zons protégés d l Amazoni, a annoncé vndrdi l avocat général d l Etat, Luis Inacio Adams. Ctt réform du cod forstir d 1965 était un victoir du puissant lobby agroalimntair après ds annés d bataill avc ls écologists, mais était particulièrmnt mbarrassant pour l Brésil à un mois du sommt Rio +20 sur l dévloppmnt durabl qui réunira plus d cnt chfs d Etat t d gouvrnmnt. (AFP) Mmbr ds FARC arrêté Un mmbr présumé ds FARC, la principal guérilla d Colombi, a été intrpllé dans l cadr d l nquêt sur un tntativ d attntat à la voitur piégé dvant un post d polic à Bogota, a annoncé vndrdi la polic colombinn dans un communiqué. (AFP) Europ L UE réduit sa présnc au Kosovo L Union uropénn a annoncé vndrdi qu ll allait réduir ct été d 25% ls ffctifs d sa mission Eulx d polic t d justic au Kosovo, un décision qui slon ll n affctra pas la poursuit d la lutt contr l crim organisé t ls nquêts sur ls crims d gurr t ls trafics d organs. Ls ffctifs maximums d Eulx passront d 3000 prsonns à 2250, dont 1250 intrnationaux t 1000 locaux. (AFP) Visit surpris d François Zimbabw: Navi Pillay vut Négociations ntr rblls Holland n Afghanistan un lvé ds sanctions islamists au Nord-Mali > Asi cntral Explication sur l rtrait anticipé > Afriqu Prmièr visit à Harar > Afriqu Un réunion a liu à Tombouctou L présidnt français François Holland a ffctué vndrdi un visit surpris n Afghanistan pour xpliqur aux soldats français ls raisons qui l poussnt à anticipr lur rtrait après dix ans d gurr, mais a promis l maintin d un présnc français axé sur la coopération civil t économiqu. Qulqu 2000 soldats combattants sur ls 3550 homms présnts n Afghanistan quittront l pays d ici à la fin 2012, soit dux ans avant l rtrait prévu du rst d la forc intrnational d l OTAN, a confirmé l chf d l Etat. Ls militairs français rstant au-dlà d 2012 sront notammnt chargés du rapatrimnt du matéril t d la formation ds troups afghans. Arrivé à 8h30 (4h00 GMT) à l aéroport d Kaboul, l chf d l Etat st rparti plus d huit hurs plus Ls principaux chfs d Al-Qaida au Maghrb islamiqu (AQMI) t d Ansar Din, ls dux groups islamists dominants dans l nord du Mali, sont réunis dpuis judi dans la vill d Tombouctou pour évoqur lurs rlations, a-t-on appris vndrdi d sourcs concordants. «Ls rsponsabls d AQMI t d Ansar Din ont commncé judi un rncontr à Tombouctou pour parlr d lurs rlations futurs», a affirmé à l AFP un rsponsabl du Haut Consil islamiqu (HCI) à Tombouctou. L port-parol d Ansar Din (Défnsur d l islam, n arab) dans la vill, Sanda ould Boumama, a confirmé la tnu d ctt rncontr, sans fournir plus d précisions. «Ils ont commncé la rncontr dans l camp militair d Tombouctou, ils sont tous là», a indiqué un sourc sécuritair malinn joint sur plac. Slon ds sourcs concor- tard, à 16h45 (12h15). Accompagné ds ministrs d la Défns t ds Affairs étrangèrs, Jan-Yvs L Drian t Laurnt Fabius, il s st immédiatmnt rndu dans la bas d Nijrab, n Kapisa (nordst), où sont stationnés la plupart ds militairs français. L désngagmnt d c contingnt, prévu d ici à la fin 2012, soit un an avant l délai fixé par l ancin présidnt Nicolas Sarkozy, s fra d manièr «ordonné» t «coordonné» avc ls alliés d l OTAN, a assuré François Holland, qui a qualifié sa décision d «souvrain». «Sul la Franc put ngagr la Franc», a-t-il affirmé, ajoutant qu l rtrait srait mis n œuvr «n bonn intllignc avc nos alliés, notammnt avc l présidnt Obama, qui n comprnd ls raisons, t n étroit concrtation avc ls autorités afghans». ATS Comm attndu (LT ), Navi Pillay a vu son mandat d hautcommissair aux droits d l homm rnouvlé judi soir par un Assmblé général ds Nations unis unanims. La Sud-Africain, qui s st imposé dpuis sa prmièr nomination n 2008 comm la voix ds prsécutés d la planèt, consrvra son post ncor dux annés. Il st vraismblabl qu ls EtatsUnis, rbutés par ss positions sur ls dossirs palstinin t israélin, aint psé pour qu ll n soit pas rconduit pour un classiqu mandat d quatr annés. C st dpuis l Zimbabw, où ll vint d passr cinq jours à l invitation d Harar, un visit sans précédnt, qu Navi Pillay a appris la nouvll. Ell y a rncontré l présidnt Robrt Mugab, 88 ans, ainsi qu l prmir ministr Morgan Tsvangirai, son rival avc lqul il avait été contraint d partagr l pouvoir à l issu d la sanglant élction d En dépit d crtains progrès, ls droits d l homm rstnt passablmnt malmnés au Zimbabw. Régulièrmnt donné pour malad, Robrt Mugab nourrit l projt d nouvlls élctions, prspctiv qu ls militants conditionnnt à l adoption d un nouvll Constitution t au nttoyag ds lists élctorals. Sur plac cs drnirs jours, Navi Pillay a martlé dux mssags: ll a sommé l présidnt d s ngagr à c qu ls futurs élctions, dont la dat n st pas détrminé, soint «librs t équitabls, t sans violncs». Et ll a njoint ls pays occidntaux à «suspndr» ls sanctions qui frappnt ds dirigants zimbabwéns pour «qu ls gns puissnt s occupr complètmnt ds problèms économiqus», «au moins jusqu à la tnu t au résultat ds élctions t ds réformés liés». LT dants, l Algérin Nabil Makloufi, qui coordonn ls actions d AQMI dans ls «katiba» (clluls combattants) du Sahl, Abou Zid t Mokhtar Blmokhtar, dux autrs chfs d AQMI, participnt à la rncontr. Du côté d Ansar Din, l ladr du mouvmnt, Iyad Ag Ghaly, st l chf d délégation. Ansar Din prôn l instauration d la charia (loi islamiqu) dans tout l Mali t ls djihadists d AQMI opèrnt dpuis ds annés dans tout la band sahélo-saharinn, y commttant ds rapts, n particulir d Occidntaux. Cs dux mouvmnts alliés sont n position dominant dans l nord du Mali, coupé dpuis fin mars du pouvoir cntral d Bamako. Ds rblls touarg, qui avaint lancé l offnsiv mi-janvir avant d prdr du trrain, sont aussi présnts dans la zon, d mêm qu divrs groups criminls. AFP

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