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1 Page 1 sur 8 BANQUE DE DONNEES : WALSOLS Nr «CARRIERE D ONOZ» à JEMEPPE-SUR-SAMBRE SURVEILLANCE ENVIRONNEMENTALE : BILAN 2008 Au fil de ses investigations, des travaux de réhabilitation qu elle entreprend et des mesures de contrôle qu elle assure, SPAQuE rassemble de grandes quantités d informations qui sont intégrées dans les logiciels de classement AUDITSITE et AUDITSOL afin de réévaluer régulièrement (au moins une fois par an) les priorités d actions à mener. Cette «surveillance environnementale» est exercée sur les sites ayant fait l objet d investigations mais qui n ont pas nécessité de travaux de réhabilitation afin de s assurer que la situation ne se dégrade pas, sur les sites dont la réhabilitation est achevée et dont il faut s assurer que celle-ci répond parfaitement à l attente, mais aussi sur certains sites particuliers comme les sites ayant fait l objet d études dans le cadre de l élaboration du Plan des CET. Motivation des opérations La nature des déchets, la pollution potentielle de l Orneau et la proximité de l habitat (moins de 100 mètres), ont justifié la réalisation d un suivi soutenu jusqu en avril La poursuite d une telle fréquence de prélèvements ne se justifiant plus, le site est géré au travers d un suivi espacé depuis Etat des terrains On trouvera quelques illustrations du site en fin de fiche. La zone où ont été déversés les déchets se démarque de l ensemble par une végétation de type rudéral. La nuisance visuelle liée au site s est toutefois fortement réduite depuis l évacuation par SPAQuE des pneus et des dépôts de surface de la carrière. Une vieille caravane et un bâtiment en ruine sont visibles à proximité de l entrée. Quelques déchets sont observés à l intérieur et en bordure de celui-ci (bidons d huiles, canettes, quelques ferrailles et encombrants, ) La carrière est majoritairement colonisée par une végétation herbacée haute et par quelques ligneux (essentiellement des bouleaux). Suite aux travaux d évacuation des pneus (charroi et dégagement de zones couvertes par les dépôts), de nombreuses zones nues de végétations sont apparues, essentiellement au centre de la carrière. Celles-ci ont toutefois été rapidement recouvertes de végétation.

2 Page 2 sur 8 Accessibilité La carrière forme une barrière naturelle sur l essentiel du périmètre de la décharge. Le long de la rue qui longe le site, une végétation dense rend également l accès difficile. L entrée de la carrière est fermée par une barrière métallique cadenassée. Un mur de tôles complète la fermeture du site. A noter la vétusté de la grille ainsi que l aspect délabré que donne la rangée de tôles placées à l entrée. A pied, le site reste cependant facilement accessible par les côtés de la grille métallique. La présence de quelques dépôts sauvages a été observée à l entrée du site, ce qui traduit vraisemblablement la persistance d habitudes bien établies. Points de prélèvements Les piézomètres concernés par la surveillance environnementale sont les points P1, P2, P3 et P4. Le piézomètre P3 est pris comme référence amont. Le site est actuellement géré au travers d un suivi espacé. Les dernières campagnes de surveillance environnementale ont été effectuées en juin 2005 et octobre Précisons que suite à l observation de benzène et de mercure dans les eaux lors de la campagne de juin 2005, un contrôle analytique pour ces composés a été effectué au cours du mois de novembre Un contrôle sur le mercure avait déjà été effectué en 2003 suite à la mise en évidence de teneurs inattendues en mercure sur certains points de prélèvements lors de la campagne de Ce contrôle s est révélé négatif. Une carte reprenant la localisation des points de prélèvements est visualisable sur dans la rubrique «Infos techniques» du site. Résultats du suivi analytique Les eaux souterraines Jusqu en décembre 1999, tant en période d étiage qu en période de hautes eaux, on retrouvait dans les eaux souterraines des substances ayant été mises en évidence dans les déchets telles que le toluène dans des concentrations très faibles (0,6 à 1,6 µg/l) et des composés lipophiles extractibles à des concentrations plus élevées (6 mg/l). En outre, on trouvait, en période d étiage, également du xylène et parfois de l aluminium (34 µ/l), substances ayant été mises en évidence dans les déchets. Au cours du temps, on a remarqué que la contamination restait faible et tendait à disparaître. En avril 2000, certains paramètres ont toutefois évolué à la hausse avec la réapparition d azote Kjeldahl et mise en évidence d AOX. Cette modification s est toutefois présentée tant en amont qu en aval du site. Lors du contrôle de 2002, l atteinte des eaux souterraine, très faible, était caractérisée par de légers dépassements de normes en fer, ammonium et azote Kjeldahl. La présence difficilement explicable de mercure dans le piézomètre amont (22 x la norme de comparaison) a conduit à une nouvelle prise d échantillons en 2003, qui a montré des valeurs en mercure inférieures aux limites de quantification. En 2004, seul un suivi de terrain a été réalisé. La campagne de surveillance environnementale menée en juin 2005 a permis de mettre en évidence des dépassements des valeurs de comparaison en aval du site pour le fer, le

3 Page 3 sur 8 manganèse et le benzène. Pour ce dernier, comme pour les autres HAM identifiés lors de cette campagne (toluène et xylènes), les concentrations mesurées dans le P3, pourtant situé en amont du site, sont supérieures aux concentrations mesurées en aval (sans toutefois dépasser les normes de comparaison pour le toluène et le xylène). D autres composés ont par ailleurs été identifiés dans le piézomètre amont à des concentrations supérieures aux valeurs de comparaison. Il s agit de l azote Kjeldahl et de l ammonium, pour lesquels les concentrations en aval sont inférieures aux limites de quantification, ainsi que du fer à une concentration toutefois inférieure à la concentration maximale enregistrée en aval. Signalons également, lors de cette campagne, la présence en aval du site de cyanures, de mercure, d aluminium, de baryum, de chrome, de magnésium, de nickel, de zinc, d HAP (cis-1,2-dichloroéthylène) et d AOX. Suite aux résultats enregistrés lors de la campagne de printemps, un contrôle analytique a été effectué pour les HAM et le mercure. Concernant les HAM, tous les résultats se sont alors situés sous les limites de quantification tandis que la présence de mercure, a de nouveau été identifiée dans le piézomètre P2, sa concentration étant cette fois inférieure à la norme de comparaison. En 2008, les dépassements de normes de comparaison concernent le fer, l azote Kjeldahl et les nitrates. Comme lors de la campagne précédente, la concentration en azote Kjeldahl mesurée en amont du site est supérieure aux concentrations mesurées en aval, celles-ci dépassant les normes de comparaison dans l ensemble des piézomètres échantillonnés. Les dépassements de normes pour le fer et les nitrates sont plus localisés : au niveau du piézomètre P2 pour les nitrates et au niveau du piézomètre P1 pour le fer. Aucune problématique n a été identifiée pour le mercure et les HAM (benzène et toluène notamment). On trouvera ci-après un tableau synthétique des atteintes aux eaux souterraines observées depuis le début de la surveillance environnementale 1. La figure présentée à la page suivante illustre quant à elle l évolution de l atteinte aux eaux souterraines depuis le début de la surveillance environnementale. A cet effet, ne disposant pas de point de référence en amont pour les eaux dans le cadre des investigations des caractérisations initiales, l atteinte du site sur les eaux a été à cette époque estimée, ce qui a conduit à l affectation d une cote relativement élevée. Les travaux d équipements supplémentaires réalisés par SPAQuE ont permis par la suite d obtenir les informations analytiques valides pour porter une appréciation plus fidèle à la réalité de terrain. Précisons également que les analyses effectuées à titre de contrôle en 2003 et novembre 2005 n ayant été que partielles, aucune cote n a été calculée pour ces campagnes. 1 Les normes auxquelles il est fait référence sont celles en vigueur au moment de la réalisation des analyses : - avant 2004 : les valeurs paramétriques «eau de boisson» pour les composés minéraux et les valeurs de comparaison hollandaises pour les composés organiques ; - après 2004 : les valeurs paramétriques «eau de boisson» (complétées par les valeurs de comparaison hollandaises) pour les composés minéraux et les valeurs de comparaison des normes flamandes (à défaut, hollandaises) pour les composés organiques. Les valeurs dépassant les normes d assainissement flamandes ou, à défaut, hollandaises, sont indiquées en rouge.

4 Caractérisation Page 4 sur 8 Evolution de l'atteinte des eaux souterraines Les eaux de surface La dernière campagne d analyses sur l Orneau date de On y a constaté que les composés en teneurs significatives présentaient la même concentration en amont qu en aval, excepté pour le mercure où l on observait un dépassement de norme (2x) en amont du ruisseau, alors que les teneurs observées en aval étaient inférieures aux limites de quantification. Une analyse de contrôle a donc été effectuée en 2003 ; aucune trace de mercure n a été identifiée. Comme lors des campagnes précédentes, on peut considérer, sur base de ces analyses, que l impact du dépotoir sur les eaux de surface est nul.

5 Page 5 sur 8 Synthèse des atteintes aux eaux souterraines au cours du temps ( ) Carrière d Onoz Octobre 1996 Juin 1997 Juin 1998 Juin 1999 Décembre 1999 Avril 2000 Septembre 2000 Année 2001 Octobre 2002 Octobre 2003 Fer. Azote Kjeldahl Aucun Fer Azote Kjeldahl SUIVI DE TERRAIN SUIVI DE TERRAIN Azote Kjeldahl Ammonium Fer Contrôle réalisé sur le mercure : négatif Dépassements des valeurs de comparaison en aval Présence significative sans dépassement des valeurs de comparaison Xylènes. Al. Xylènes. Trichloroéthène. Tétrachloroéthène. Xylènes. Ethylbenzène. Mn, Fe Xylènes. Mn, Ni PAS D ANALYSES PAS D ANALYSES Substances lipophiles extractibles. Substances lipophiles extractibles. AOX Méthyl-hexanol Chloroforme. Dichloroéthane. AOX. AOX Autres composés non normés Aucun En amont: Azote Kjeldahl (> à la concentration en aval) Substances lipophiles extractibles. Aucun Forte concentration pour le Fe en amont du site. Dépassement de norme en amont pour le mercure Divers

6 Page 6 sur 8 Synthèse des atteintes aux eaux souterraines au cours du temps (2004 ) Carrière d Onoz Année 2004 Juin 2005 Novembre 2005 Année 2006 Année 2007 Octobre 2008 SUIVI DE TERRAIN Fer Manganèse Benzène Azote Kjeldahl Nitrates Fer Dépassements des valeurs de comparaison en aval Présence significative sans dépassement des valeurs de comparaison PAS D ANALYSES Cyanures Toluène Xylènes Mercure Aluminium Baryum Chrome Magnésium Nickel Zinc Contrôle sur les HAM et le mercure : - en ce qui concerne les HAM, contrôle négatif. - Pour le mercure, comme lors de la campagne de printemps, présence sans dépassement de normes au niveau du P2 Chlorures Cis-1,2- dichloroéthylène Baryum Manganèse Zinc AOX Cis-1,2- dichloréthylène Autres composés non normés Dépassement de norme en amont pour N-Kj, NH 4 +, Fe et benzène. Pour le benzène, N-Kj, NH 4 + : concentration amont> aval. Concentration amont > concentration aval pour l azote Kjeldahl Divers Présence en amont de toluène, xylènes, baryum, Chrome, fer et manganèse. Pour toluène et xylènes : concentration amont > aval. Screening organique : 1H-indene,1- methylène et phenol,3-butyl dans le piézomètre amont.

7 Caractérisation Page 7 sur 8 Conclusions La figure présentée ci-dessous illustre l évolution de la cote AUDITSITE depuis le début de la surveillance environnementale. 100 Evolution de la cote AUDITSITE Depuis les investigations des caractérisations, la cote AUDITSITE ne cesse pratiquement pas de décroître. Lors de la campagne de juin 98, le site est passé de la catégorie B (sites nécessitant une surveillance constante ou périodique et/ou sur lesquels une intervention peut être nécessaire) à la catégorie C, parmi les sites peu préoccupants dont SPAQuE s occupe. Cette position s est maintenue suite aux résultats des campagnes de surveillance environnementale ultérieures. La poursuite d une gestion du site en suivi espacé peut donc être préconisée.

8 Page 8 sur 8 Reportage photographique (30 juillet 2008) Entrée du site Bâtiment en ruine à proximité de l entrée Vue d ensemble (prise de vue S-N) Vue d ensemble depuis le sommet de la carrière (prise de vue N-S)

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