Les intérêts et les limites de l utilisation des modèles en géologie (TP 1 ère TS)
|
|
- Marie-Louise Crépeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les intérêts et les limites de l utilisation des modèles en géologie (TP 1 ère TS) Modélisation : Pourquoi modéliser? Comprendre, quantifier, prédire, extrapoler Les différentes démarches de modélisation : Deux types de processus : - processus déterministes - processus stochastiques (aléatoires) La modélisation des processus stochastiques s appuie sur les statistiques. La modélisation des processus déterministes peut être : - analogique ou numérique - directe ou inverse Modélisation analogique : Utilise des matériaux analogues à ceux rencontrés dans la nature et vise à suivre leur comportement quand on les soumet à différentes situations (contraintes, échauffement / refroidissement, traversée d un rai lumineux) ; cela permet de «visualiser» les effets obtenus et, en retour, de se faire une idée de ce que devraient être les matériaux, ou leur disposition, ou les paramètres environnementaux qu ils subissent pour rendre compte des observations réalisées sur les objets géologiques. Modélisation numérique : La modélisation numérique vise aux mêmes objectifs mais en résumant le matériau aux lois physico-chimiques qu il est supposé, par hypothèse, vérifier. Cela permet donc de chercher les lois qui semblent régir le comportement des matériaux des enveloppes terrestres, ou ses lois étant par hypothèse admise, rechercher les autres caractéristiques des matériaux et/ou des conditions environnementales qu ils subissent (démarche dite d inversion des données par recherche de conditions permettant de minimiser l écart entre les données et les résultats fournis par application des lois admises). Modèles de processus ou de données. Les limites des modèles - Il faut rappeler qu il est essentiel d inscrire la modélisation, ici analogique, dans le cadre d un problème géologique formulé à partir d une situation concrète. Le modèle s intègre dans une problématique. On ne recourt pas à un modèle a priori. Chaque modélisation doit être introduite consécutivement à la définition d une problématique établie à partir de faits ou de données concrètes. - L élaboration du modèle doit être guidée autant que possible par l identification des paramètres mis en jeu dans le processus naturel étudié.
2 - La prise en compte de ces paramètres conduit ainsi à contraindre le modèle, ce qui en validera l établissement. - L exploitation du modèle doit s accompagner d une discussion critique de celui-ci pour mieux cerner sa pertinence au regard des phénomènes réels. Il est nécessaire de ne pas admettre les données des modélisations telles que. Il faut veiller à vérifier leur cohérence avec toutes les autres caractéristiques du milieu étudié. Il convient de ne jamais faire d un résultat de modélisation une donnée ou un objet géologique. I / Modélisation et structure et composition du globe 1 / Mise en évidence de la structure du globe --> Modélisation analogique et numérique --> Poste 1 2 / Composition du noyau --> Poste 2 II / Modélisation et dynamique des matériaux mantelliques 1 / Modélisation analogique de la convection mantellique --> Poste 3 2 / Conditions de mise en place des magmas --> Poste 4 III / Modélisation et phénomènes tectoniques 1 / Modélisation numérique de la subduction --> Poste 5 2 / Modélisation analogique des structures tectoniques --> Poste 6 Poste 1 Objectifs cognitifs : Etablir un modèle d organisation interne du globe terrestre et plus précisément établir la disposition de discontinuités physiques susceptibles de rendre compte des données sismiques recueillies en surface. Objectifs méthodologiques: -Utiliser une banque de données et un logiciel sous sa forme «simulation» - Exploiter un modèle analogique : mettre en œuvre un protocole expérimental ; réaliser des schémas. Supports didactiques: - Données relatives à l existence d une zone d ombre.
3 - Logiciel Sismolog avec notice simplifiée permettant d ajuster un modèle à deux couches ou de sélectionner le modèle vrai et d afficher les hodochrones correspondant. - Modèle analogique : interface avec ondes lumineuses : matériel nécessaire pour la modélisation : cristallisoirs (grand + petit), eau, huile, œuf, laser. Activités élèves: - Analyse des données : mise en évidence de la zone d ombre. - Modèle bicouche à partir de Sismolog. - Schématisation des rais lumineux dans le montage analogique Notion construite: La modélisation numérique fondée sur l hypothèse suivant laquelle les rais sismiques ont un comportement semblable aux rais lumineux, montre qu un modèle structural à deux (trois) couches séparées par une (deux) grandes discontinuités physiques est à même de rendre compte au mieux des hodochrones établies à partir des données sismiques. Les manipulations réalisées montrent que, si les ondes sismiques se propagent telles les ondes lumineuses, l existence de la zone d ombre suppose l existence en profondeur d une discontinuité physique permettant la réfraction des ondes. Rmq : concernant ce thème, il convient de faire attention à l usage qui est souvent fait du profil de vitesse [v = f(z)] ; ce profil est un modèle et non une donnée, et il est donc totalement vain de vouloir construire la structure du globe et l existence de discontinuité à partir de lui ; il faut toujours pour cela revenir aux données : les zones d ombre et les hodochrones. Rmq : Cette approche a négligé cependant l augmentation progressive de la vitesse des ondes avec la profondeur, et il n est donc pas envisageable d évaluer avec un tel montage la proportion des deux enveloppes dans le globe. Poste 2 Il s agit maintenant de montrer comment peut être estimée la composition chimique du noyau, connaissant celle des météorites de type chondrite et celles des péridotites du manteau. objectifs cognitifs : - Composition du noyau. objectifs méthodologiques : - Effectuer un calcul. supports didactiques : - Compositions chimiques des péridotites mantelliques. - Composition chimique des chondrites. activité et production de l'élève : - Calcul de la composition du noyau. notions construites : On peut, par des modèles et des raisonnements qui tiennent compte de la formation de la Terre à partir des chondrites, préciser la composition du noyau.
4
5 Poste 3 Observation initiale : - Document flux thermique : La surface terrestre est le siège d un flux sortant de chaleur, qui est une manifestation de la dissipation de l énergie interne de la planète. Le flux thermique est élevé au niveau des dorsales. - Document tomographie sismique : La tomographie sismique révèle des variations de vitesse dans la propagation des ondes sismiques. Ces variations sont interprétées comme des hétérogénéités thermiques entre zones du manteau. On retrouve à 100 km de profondeur la signature thermique des dorsales. On sait par ailleurs que les dorsales sont le siège d une activité magmatique importante, d origine mantellique. On cherche alors à comprendre ce que peuvent traduire ces anomalies thermiques observées à l axe des dorsales. On cherche ainsi à étudier comment peuvent se réaliser les transferts de chaleur à l intérieur du globe avec, provenant des observations précédentes, l hypothèse que les dorsales océaniques peuvent traduire des courants montants chauds de matériel mantellique. Objectifs cognitifs : Mécanismes de dissipation de l énergie interne. Objectifs méthodologiques : Élaboration et exploitation d un modèle analogique. Supports didactiques : Expérience de convection avec la cire-gel. Activité élèves : Observation du phénomène convectif ; schématisation. Mise en relation du modèle analogique avec les données de la tomographie sismique. Exploitation d un modèle et analyse critique Il est toujours essentiel de discuter en quoi un modèle peut être une bonne approche de la réalité. Un modèle de convection du manteau doit notamment présenter un nombre de Rayleigh proche de celui du manteau. Cette discussion sur le nombre de Rayleigh échappe cependant au niveau 1 ère S : on en tient implicitement compte par le choix des matériaux retenus dans le modèle. Une autre différence majeure est liée à l échelle de temps à laquelle se déroulent les mouvements : dans le cas du manteau, ces mouvements sont de l ordre de quelques centimètres par an alors que dans le modèle ils sont de l ordre de quelques millimètres par seconde. Enfin le modèle ne fait intervenir qu un chauffage à la base, alors que le manteau produit de la chaleur par l ensemble de sa masse. Cet aspect pourrait toutefois rappeler les phénomènes qui se déroulent à la base du manteau au niveau de la couche D, chauffée à sa base.
6 Il conviendra aussi de rappeler que la convection mantellique s effectue à l état solide, la production de liquides magmatiques ne se produisant que dans les niveaux supérieurs du manteau. Observation et apports du modèle : On observe dans le becher le développement de panaches ascendants qui attestent l existence de phénomènes convectifs. L apparition de ces panaches requiert certaines conditions portant sur la nature des matériaux utilisés et sur la température. Rmq : Si le modèle n est pas davantage contraint (par discussion et mise en oeuvre de caractères analogiques stricts) ce qui sera finalement le cas en classe de Première S il faudra clairement observer que ce dispositif en lui-même ne montre que l existence d un phénomène physique. L observation de mouvements convectifs dans un becher révèle l existence d un phénomène physique appelé convection ; mais, en l absence de toute autre démarche et autres arguments, cette observation ne montre en rien que la convection peut se développer dans le manteau. Dans la poursuite de l exploitation de ce modèle, il conviendrait alors de rechercher les arguments géologiques, géochimiques... qui appuient l hypothèse d une convection mantellique selon des modalités mises en évidence de manière analogique. On notera alors qu une large part de cette argumentation échappe au niveau 1 ère S. Poste 4 Observation initiale : Texture de roches magmatiques de même composition chimique : gabbro, basalte. Objectifs cognitifs : Relier la texture des cristaux d une roche magmatique aux conditions de refroidissement du magma dont elle dérive. Objectifs méthodologiques: - Mettre en œuvre le protocole expérimental - Rendre compte des résultats par un texte Supports didactiques: - sulfate de cuivre, acide sulfurique, hotte, lunettes protectrices, gants en vinyle, pinces en bois Activités élèves: - Préparer trois tubes de cristallisation du sulfate de cuivre ; placer l un d entre eux au bainmarie à 30 C, un second à température ambiante, le troisième dans la glace. - Observation des cristaux obtenus après 1h30 (une batterie de tubes à préparer avant donc pour le concours). - Rédaction d une conclusion ; mise en relation avec les observations pétrographiques. Notion construite:
7 Gabbro et basalte sont deux roches de même composition chimique, mais différant par leur texture, respectivement grenue et microlitique. Ces textures apparaissent liées aux conditions de refroidissement des magmas dont elles sont issues. La texture grenue peut traduire des conditions de refroidissement lentes, en profondeur. La texture microlitique correspond à des conditions de refroidissement beaucoup plus rapides (remontée rapide en surface). Le choix du sulfate de cuivre permet de résoudre analogiquement un problème en travaillant dans des gammes de températures beaucoup plus facilement maîtrisées que celles qui prévalent à la cristallisation des magmas. Poste 5 Objectifs cognitifs : Evaluer l âge limite au delà duquel la lithosphère océanique ne semble plus être supportée par l asthénosphère sous-jacente. Objectifs méthodologiques: - Utiliser une loi physique et formaliser le problème géologique par un schéma et une équation. Supports didactiques: - Densité des matériaux (croûte océanique, manteau lithosphérique, manteau asthénosphérique) - Loi d épaississement de la lithosphère au cours du temps e L = 9,2 t (t en millions d années) - Loi de statique des fluides : «poussée d Archimède» Activités élèves: - Calcul de l épaisseur d équilibre de la lithosphère. - Évaluer l âge à partir duquel l asthénosphère n est apparemment plus capable de supporter la lithosphère qui la recouvre. - Critiquer ce modèle et proposer des hypothèses permettant de rendre compte du fait que d autres estimations proposent que la lithosphère océanique est stable au dessus de l asthénosphère jusqu à des âges de 100 millions d années. Notions construites : Au cours de son éloignement de la dorsale, la lithosphère océanique s épaissit par sa base et s alourdit jusqu à ne plus être portée par l asthénosphère sous-jacente. À partir de ce moment, estimé à près de 30 millions d années, la lithosphère pourrait donc s enfoncer dans l asthénosphère. Ce moment est cependant retardé par le fait que la lithosphère n est pas une succession de colonnes indépendantes, elle dispose d une cohésion latérale (les parties les plus jeunes stabilisant des parties plus anciennes), et par la fait que l asthénosphère n est pas un fluide parfait qui n opposerait aucune résistance à l enfoncement. Une lithosphère océanique voit son épaisseur e L évoluer par épaississement de son manteau et suit au moins pendant les 60 premiers millions d années une loi du type : e L = 9,2 (t) 1/2
8 avec t : âge en millions d années et e L en kilomètres. (Pour rappel : la loi de subsidence thermique est du type P (t) = P o (t) 1/2 avec : - P (t) : profondeur sous la surface de l océan (en mètres) du fond océanique d âge t. - t : âge en millions d années. - P o : profondeur sous la surface de l océan (en mètres) à l axe de la dorsale. ) En adoptant un modèle d équilibre, évaluez l épaisseur et l âge à partir desquels cette lithosphère océanique ne devrait plus être «portée» par l asthénosphère. Dans la structure de la lithosphère, on négligera dans cette question la présence de sédiments, ne prenant en compte que la croûte et le manteau lithosphérique. Masse volumique de la croûte océanique : ρ C = 2,80 g.cm -3 Masse volumique du manteau lithosphérique : ρ ML = 3,3 g.cm -3 Masse volumique de l asthénosphère : ρ A = 3,25 g.cm -3 Épaisseur de la croûte océanique : e C = 5 km 2 / L équilibre de la lithosphère sur l asthénosphère résulte de la compensation du poids par la poussée d Archimède : On peut alors écrire : ρ C. e C + ρ ML. (e L e C ) = ρ A. e L d où e L = e C. (ρ ML - ρ C ) / (ρ ML - ρ A) il vient donc e L = 50 km or e L = 9,2 (t) 1/2 d où t = (e C. (ρ ML - ρ C ) / (ρ ML - ρ A)) 2 / 9,2 2 ce qui donne t = 29,5 Ma. L épaisseur et l âge obtenus sont beaucoup plus faibles que ceux observés : l épaisseur de la lithosphère océanique peut ainsi atteindre 125 km et son âge 160 à 180 Ma (Jurassique) avant de disparaître par subduction (cf. limites occidentales du Pacifique). On peut évoquer : - la solidarité des secteurs âgés avec des secteurs porteurs plus jeunes. - La solidarité qui existe au niveau des marges passives et qui exige pour être rompue que l équilibre soit bien plus que dépassé. Poste 6 Observations initiales : - Structures tectoniques : - failles normales dans les environnements de divergence : 1 ère S - failles inverses et plis dans les environnements de convergence : TS Objectifs cognitifs : Relier l existence de certaines déformations des roches aux mouvements relatifs dont les roches peuvent être l objet. Objectifs méthodologiques: - Mettre en œuvre un protocole expérimental - Communiquer par un schéma
9 Supports didactiques: - Supports divers : les différentes structures tectoniques : profils sismiques, affleurements... - Cuve à bordures mobiles avec sables colorés déposés de façon stratifiée Activités élèves: - Déplacement des parties mobiles du montage pour simuler une divergence dans un cas, une convergence dans un autre cas. - Mise en relation avec les observations effectuées. Notion construite : Les modélisations analogiques menées montrent que : - les failles normales traduisent des situations de divergence. - les failles inverses et les plis semblent témoigner de situation de convergence,
Thème Le domaine continental et sa dynamique
Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels
Plus en détailSéquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?
Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment
Plus en détailL E BILAN DES ACTIVITÉS
L E BILAN DES ACTIVITÉS Activité 1 Des volcans en éruption Mots-clés Il existe deux types d éruptions volcaniques : les éruptions explosives, caractérisées par des explosions plus ou moins importantes,
Plus en détailCHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE
1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailGéodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1
Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailFORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)
87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailChapitre 6 La lumière des étoiles Physique
Chapitre 6 La lumière des étoiles Physique Introduction : On ne peut ni aller sur les étoiles, ni envoyer directement des sondes pour les analyser, en revanche on les voit, ce qui signifie qu'on reçoit
Plus en détail!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!
0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets
Plus en détailProjet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H
Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailTP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie
Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces
Plus en détailTP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE
TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un
Plus en détailDocuments sur la patrie tectonique de Madagascar Clé USB avec logiciel Audacity et base de données sismiques en ligne : Sismos à l Ecole
Laboratoire de Sciences de la Vie et de la Terre Mise à l épreuve de l idée d une dérive des continents Première S Au début du XXe siècle, les premières idées évoquant une mobilité horizontale des continents
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailChapitre 5 Mesures géophysiques
Chapitre 5 Mesures géophysiques Plan 5.1 Introduction 5.2 Sismique réfraction 5.3 Prospection électrique 5.4 Radar géologique 5.1 Introduction Pour tous les projets de construction connaissance préalable
Plus en détailSuivi d une réaction lente par chromatographie
TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence
Plus en détailPrécision d un résultat et calculs d incertitudes
Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................
Plus en détailNotice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker
Notice d Utilisation du logiciel Finite Element Method Magnetics version 3.4 auteur: David Meeker DeCarvalho Adelino adelino.decarvalho@iutc.u-cergy.fr septembre 2005 Table des matières 1 Introduction
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailTP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler
TP 03 B : Mesure d une vitesse par effet Doppler Compétences exigibles : - Mettre en œuvre une démarche expérimentale pour mesurer une vitesse en utilisant l effet Doppler. - Exploiter l expression du
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailSynthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique
DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détail259 VOLUMETRIE ET TITRATION DOSAGE DU NaOH DANS LE DESTOP
259 VOLUMETRIE ET TITRATION DOSAGE DU NaOH DANS LE DESTOP A d a p t a t i o n : A. - M. F o u r n i e r ( C o p a d ), M. C a s a n o v a & H. J e n n y ( C d C ) 2 0 0 1 C o n c e p t i o n D. M a r g
Plus en détailMesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu.
Mesure du volume d'un gaz, à pression atmosphérique, en fonction de la température. Détermination expérimentale du zéro absolu. Auteur : Dr. Wulfran FORTIN Professeur Agrégé de Sciences Physiques TZR -
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailProjets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne
Projets proposés par le Laboratoire de Physique de l'université de Bourgogne Titre : «Comprendre la couleur» Public : Collégiens, Lycéens. Nombre de participants : 5 à 10 (10 Maxi ) Lieu : Campus Universitaire
Plus en détailActivité 45 : La responsabilité de l Homme sur son environnement géologique
1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie : Géologie externe, évolution des paysages (16 heures) Notions. contenus Compétences Exemples d activités L procure à l Homme des ressources. [Thèmes : Environnement,
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailL inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques
L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie
Plus en détailTP Détection d intrusion Sommaire
TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée
Plus en détailTP2 ACTIVITE ITEC. Centre d intérêt : AUBE D UN MIRAGE 2000 COMPORTEMENT D UNE PIECE. Documents : Sujet Projet Dossier technique - Document réponse.
ACTIVITE ITEC TP2 Durée : 2H Centre d intérêt : COMPORTEMENT D UNE PIECE AUBE D UN MIRAGE 2000 BA133 COMPETENCES TERMINALES ATTENDUES NIVEAU D ACQUISITION 1 2 3 * * Rendre compte de son travail par écrit.
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailLA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 L électricité.
LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L électricité. L électricité cycle 3 - doc Ecole des Mines de Nantes 1 LA MAIN A LA PATE L électricité Cycle 3 v L'électricité. PROGRESSION GENERALE Séance n 1
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailQUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?
Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailEtudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté
Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique
Plus en détailObserver TP Ondes CELERITE DES ONDES SONORES
OBJECTIFS CELERITE DES ONDES SONORES Mesurer la célérité des ondes sonores dans l'air, à température ambiante. Utilisation d un oscilloscope en mode numérique Exploitation de l acquisition par régressif.
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailModélisation et simulation du trafic. Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005
Modélisation et simulation du trafic Christine BUISSON (LICIT) Journée Simulation dynamique du trafic routier ENPC, 9 Mars 2005 Plan de la présentation! Introduction : modèles et simulations définition
Plus en détailSéquence 1. Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale. Sommaire. Chapitre 1.
Séquence 1 Le domaine continental et sa dynamique : caractéristiques et évolution de la lithosphère continentale Objectifs Cette séquence permettra de caractériser la croûte continentale du point de vue
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailTP N 57. Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites
TP N 57 Déploiement et renouvellement d une constellation de satellites L objet de ce TP est d optimiser la stratégie de déploiement et de renouvellement d une constellation de satellites ainsi que les
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détailINFUSIONS MC Marquises contrastantes en polycarbonate Mode d assemblage et d installation
INFUSIONS MC Marquises contrastantes en polycarbonate Mode d assemblage et d installation 1. DÉFINITION Les marquises contrastantes Infusions offrent un choix de 16 finis de métal ou de plastique transparent
Plus en détailFiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti
.0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des
Plus en détailDétection en environnement non-gaussien Cas du fouillis de mer et extension aux milieux
Détection en environnement non-gaussien Cas du fouillis de mer et extension aux milieux hétérogènes Laurent Déjean Thales Airborne Systems/ENST-Bretagne Le 20 novembre 2006 Laurent Déjean Détection en
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailClasse : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation. d une mesure. Titre : mesure de concentration par spectrophotométrie
Classe : 1 ère STL Enseignement : Mesure et Instrumentation THEME du programme : mesures et incertitudes de mesures Sous-thème : métrologie, incertitudes Extrait du BOEN NOTIONS ET CONTENUS Mesures et
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailDes ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie
Seconde Thème santé Activité n 3(expérimentale) Des ondes ultrasonores pour explorer le corps humain : l échographie Connaissances Compétences - Pratiquer une démarche expérimentale pour comprendre le
Plus en détailScience et technologie : Le truc de Newton
Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie
Plus en détailACTIVTE N 2 CONTRAT D ACTIVITE NIVEAU 6 ème Objets techniques Matériaux Energies Evolution objets techniques Réalisation T.I.C DECOUVERTE DU POSTE INFORMATIQUE PRESENTATION DE L ACTIVITE Cette activité
Plus en détailSciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE
Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant
Plus en détailLa fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?
La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est
Plus en détailUNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU
Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailSéquence 5. Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques
Séquence 5 Modéliser la surface de la Terre : frontières et déplacement des plaques lithosphériques Sommaire 1. Le recyclage de la lithosphère océanique 2. Le premier modèle de la tectonique des plaques
Plus en détail- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE
- MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailPROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE
PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation
Plus en détailTS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S
FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences
Plus en détailFORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE)
FORMATION DES PERSONNES-RESSOURCES EN SCIENCE ET TECHNOLOGIE LE CYCLE DU JOUR ET DE LA NUIT (CYCLE DIURNE) Pierre Chastenay astronome Planétarium de Montréal Source : nia.ecsu.edu/onr/ocean/teampages/rs/daynight.jpg
Plus en détailUn volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013.
Un volcanisme de point chaud: l île de Ténérife (Canaries). Thierry de Gouvenain novembre 2013. 1 Localisation géographique. C est là! 2 Sommaire. 1 Le contexte géologique. 11 Les Canaries, volcanisme
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailChapitre 7 Les solutions colorées
Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -
Plus en détailEverything stays different
Everything stays different Manuel Français Manuel Contenu 1. Avant utilisation................ 3 2. Champ d application......... 3 3. Produits livrés.................. 4 4. Spécifications.................
Plus en détailStructure typique d un protocole de recherche. Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV
Structure typique d un protocole de recherche Préparé par Johanne Desrosiers dans le cadre d une formation au réseau FORMSAV Introduction Planification et développement d une proposition de recherche Étape
Plus en détailLes calottes polaires Isostasie Champ de température
1 M2R STUE / Cours «Neige et Glace» Les calottes polaires Isostasie Champ de température F. Parrenin Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'environnement Grenoble 2 L'isostasie sous-glaciaire Rigidité
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailComment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes?
Comment aborder l Optimisation énergétique de salles anciennes et hétérogènes? Témoignage de Hervé MAGNIER Aéroports de Paris Membre du CRIP Groupe de travail Data center Un environnement technique peu
Plus en détailLICENCE PHYSIQUE, CHIMIE EN L3 :
SCIENCES & TECHNOLOGIES - SANTÉ ET STAPS LICENCE EN L : - Parcours : «Chimie» (Dunkerque) - Parcours : «Physique, Sciences-Physiques, Electronique et Instrumentation» (Calais) www.univ-littoral.fr OBJECTIFS
Plus en détailCORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - I. Mesure directe de résistors avec ohmmètre - comparaison de deux instruments de mesure
Introduction CORRECTION TP Multimètres - Mesures de résistances - La mesure d une résistance s effectue à l aide d un multimètre. Utilisé en mode ohmmètre, il permet une mesure directe de résistances hors
Plus en détailMINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE NOTICE
cerfa N 50078#07 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailPROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale
Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE
Plus en détailHaute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.
Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction
Plus en détail