Le dépistage du cancer
|
|
- André Meloche
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BM1 Le dépistage du cancer broncho-pulmonaire. Bernard Milleron Cinquième Journée d Oncologie Thoracique Midi-Pyrénées 6 Décembre
2 Diapositive 1 BM1 18 minutes Bernard MILLERON; 09/01/2012
3 Je n ai aucun lien d intérêt en relation avec ce sujet. 2
4 1) Rappel de quelques bases théoriques 2) Les principales données de la littérature jusqu à l étude NLST 3) L étude NLST 4)QuoidenouveaudepuisleNLST? 5) Quels sont les problèmes en suspens? 6) Quelles sont, ou devraient être, les implications pratiques de ces données? 3
5 Le dépistage n est pas le diagnostic précoce Test de dépistage Etape avant le diagnostic de certitude Appliqué aux personnes apparemment indemnes de la maladie Appliqué aux individus à risque Ne constitue pas une aide à la décision thérapeutique Lesperformances du test doivent être définies en situation de dépistage Il doit être simple et acceptable Examen diagnostique Doit donner une certitude diagnostique Appliqué à des personnes symptomatiques Essentiellement individuel. Peut être utilisé aprèsun test de dépistage Il débouche sur une décision thérapeutique Lesperformances du test doivent être définies en situation de diagnostique Il doit être le plus acceptable possible 4
6 A quels critères un programme de dépistage doit-il obéir? La maladie qu on dépiste doit représenter une menace grave pour la santé publique, Un traitement d efficacité démontrée peut être administré, Les moyens de diagnostic et de traitement appropriés existent, La maladie est décelable pendant une phase de latence ou au début de sa phase clinique, Un examen de dépistage efficace existe, Le test est acceptable par la population, L histoire naturelle de la maladie est connue, Le choix des sujets qui recevront un traitement est établi selon des critères préétablis, Le coût est acceptable La recherche des cas est continue et non effectuée «une fois pour toutes» Critères de l OMS 5
7 Le cancer du poumon est un bon candidat Localisation Incidence Mortalité Effectif % Rang Effectif % Rang Prostate , ,9 4 Sein , ,8 3 Colo-rectum , ,9 2 Poumon , ,7 1 6
8 Avance au diagnostic (Lead-TimeBias) GROUPE DEPISTE SURVIE temps DIAGNOSTIC DECES temps GROUPE DIAGNOSTIQUE SUR SYMPTOMES LEAD TIME SURVIE DIAGNOSTIC DECES 7
9 Lenteur d évolution (LengthTime Bias) Tumeurs évolutives Tumeurs Peu évolutives temps 8
10 Surdiagnostic(OverdiagnosisBias) 3 cancers, 1 décès par cancer temps GROUPE DEPISTE DIAGNOSTIC DECES temps GROUPE DIAGNOSTIQUÉ SUR SYMPTOMES DIAGNOSTIC DECES DECES NATUREL 1 cancer, 1 décès par cancer 9
11 Déjà une longue histoire Etudes ouvertes sur la RP et la Cytologie Etudes randomisées sur la RP et la Cytologie LA RP et la Cytologie décèlent des stades précoces plus curables LA RP et la Cytologie nediminuent pas la mortalité spécifique du cancer du poumon 2000 Etudes ouvertes sur le scanner Le scanner décèle des stades précoces plus curables 2010 Etudes randomisées sur le scanner Le scanner diminue la mortalité spécifique du cancer du poumon 10
12 Prise en charge des nodules : FleischnerSociety Taille du nodule (mm) Patient à faible risque Patient à haut risque < 4 Pas de suivi CT à 12 mois Stop si inchangé CT à 12 mois Stop si inchangé CT à 6-12 mois puis si inchangé CT à 6-12 mois puis si inchangé CT à 3-6 mois puis 9-12 et 24 mois > 8 CT à 3, 9 et 24 mois CT injecté, TEP et/ou biopsie MacMahon H, Radiology 2005; 237:
13 Verre dépoli (FleischnerSociety 2013) Les nodules en verre dépoli 5mm ne nécessitent pas de surveillance scanographique. Les nodules en verre dépoli > 5mm nécessitent un contrôle à 3 mois car ils peuvent disparaitre. Il n y a pas d argument pour une antibiothérapie initiale, La TEP-FDG n a aucune place car elle est toujours négative, L abord par ponction trans-thoracique n est pas recommandé en routine NaidichDP et al, Radiology. 2013; 266 :
14 La TEP-FDG ne semble pas utile 324 dépistages positifs Premier et second rounds de NELSON 295 adressés pour évaluation 295 adressés pour évaluation 55 TEP-FDG non réalisées 92 évaluations concluantes 148 évaluations non concluantes 11 TEP-FDG non réalisées 15 Cancers 77 Bénins 105 Cancers 32 Bénin 11 TEP pos 2 TEP pos 1 TEP ind 8 TEP ind 81 TEP pos 11 TEP pos 8 TEP ind 6 TEP ind 3 TEP nég 67 TEP nég 16 TEP neg 15 TEP nég 13 Vanʼt WesteindeSC et al, J Thorac Oncol. 2011; 6 :
15 Et la bronchofibroscopie? Sensibilité (%) VPN (%) Spécificité (%) Lavage 9,3 45,9 Brossage 7,9 41,2 Ponction trans-bronchique 33,3 0 Biopsie trans-bronchique 16,7 44,4 100 Biopsie bronchique 45,8 55,2 Ensemble 12,5 44,7 van twesteindeet al, Chest ; 142 :
16 1) Rappel de quelques bases théoriques 2) Les principales données de la littérature jusqu à l étude NLST 3) L étude NLST 4)QuoidenouveaudepuisleNLST? 5) Quels sont les problèmes en suspens? 6) Quelles sont, ou devraient être, les implications pratiques de ces données? 15
17 La Radiographie pulmonaire et la cytologie ne sont d aucune utilité Mémorial Mayo Lung Project Etude tchécoslovaque C+R R Dépisté Contrôle Dépisté Contrôle N de sujets : N cancers : Résécabilité (%) : Survie à 5 ans (%) : Décès par cancer bronchique (n)
18 L étude PLCO RX graphie participants R A N D O M Soins usuels Oken MM et al, JAMA oct
19 L étude PLCO(2) Oken MM et al, JAMA oct
20 Le dépistage par scanner «low dose» 19
21 EARLY LUNG CANCER ACTION PROJECT (ELCAP) Fumeurs ou ex-fumeurs (tabagisme cumulé 10PA), 60 ans, Radiographie avec double lecture FP et TDM spiralé à faible dose, 559 nodules dont 363 non calcifiés chez 233 sujets, (159 ont un nodule unique, 43 ont deux nodules, 16 ont trois nodules, 7 ont 4, 6 ont 5 et 2 ont 6 nodules). Henschke CI et al, Lancet 1999; 354:
22 ELCAP: Etude de prévalence (2) Nodule 2-5 mm Nodule 6-10mm Nodule 11-20mm Nodule ou masse mm Ensemble CT R CT R CT R CT R CT R N N cancers % cancers Henschke CI et al, Lancet 1999; 354:
23 ELCAP: Etude de prévalence(3) Stades Nodules 2-5mm Nodules 6-10 mm Nodules 11-20mm Nodules mm Ensemble IA IB IIA IIB IIIA IIIB Henschke CI et al, Lancet 1999; 354:
24 Les premières études ouvertes sue le scanner «lowdose» Date N N anormaux (%) N Cancers (%) % stades I Hadassah University(Israël) NR 4 (0,65) 100 ELCAP (US) 99/ (23) 27 (2,7) 81 Mayo Clinic(US) (51) 22 (1,4) 59 Moffit Cancer center (US) NR 11 (2,23) 18 Cancer institute (I) (19) 11 (1,1) 54 Munster (D) NR 17 (1,85) 76 NCI, Japon : (11,5) 14 (0,87) 77 Shinshu Univ, Japon (12) 22 (0,4) 100 Hitachi Center, Japon NR 35 (0,41) 97 Bach PB, Chest 2003; 123 : 72S-82S modifié 23
25 1) Rappel de quelques bases théoriques 2) Les principales données de la littérature jusqu à l étude NLST 3) L étude NLST 4) Quoi de nouveau depuis le NLST? 5) Quels sont les problèmes en suspens? 6) Quelles sont, ou devraient être, les implications pratiques de ces données? 24
26 National Lung Cancer Screening Trial (NLST) Fumeurs Anciens fumeurs 30 PA Age ,000 PLCO 10,000 ACRIN R A N D O M I S A T I O N Scanner low dose Radiographie Années N EnglJ Med 2011 ; 365 : CP
27 Mortalité par cancer du poumon Bras Décès par CBP Mortalité/ 100,000par an Reduction de la mortalité par CBP(%) p Scanner ,004 Radiographie N EnglJ Med 2011 ; 365 :
28 Survie spécifiqueet survie globale Probability of Survival: ALL Participants CT Arm Lung Cancer CXR Arm Lung Cancer CT Arm All-Cause CXR Arm All-Cause Cancer du poumon Mortalité générale Years from Randomization N EnglJ Med 2011 ; 365 :
29 Nouveaux résultats : NLST Premier round : principales explorations des positifs Cancer confirmé Scanner Radiographie pulmonaire Pas de cancer Cancer confirmé Pas de cancer N Radiographie 112 (41,5) 1172 (17,3) 63 (46,3) 804 (36,3) Scanner 181 (67) 4972 (73,3) 131 (96,3) 1415 (64) TEP-FDG 171 (63,3) 557 (8,2) 90 (66,2) 89 (4) Abord cyto/histologique Bronchofibroscopie 98 (36.3) 57 (0.8) 66 (48.5) 17 (0.8) 158 (58.5) 148 (2.2) 76 (55.9) 31 (1.4) Médiastinoscopie 48 (17.8) 12 (0,2) 22 (16,2) 0 Thoracoscopie 44 (16.3) 38 (0.6) 14 (10,3) 8 (0.4) Thoracotomie 156 (57.8) 41 (0,6) 78 (57,4) 18 (0.8) NLST, N Engl J Med 2013;368:
30 Les investigations réalisées chez les faux positifs sont rarement dangereuses % complications % de complications majeures Diagnostic de cancer Pas de diagnostic de cancer % dedécès dsles 60 jours Diagnostic de cancer Pas de diagnostic de cancer TDM 1,4 11,2 0,06 0,01 0,002 RP 1,6 8,2 0,02 0,01 0 N EnglJ Med 2011 ; 365 :
31 Résultats récents du NLST (2) Résultats détaillés de T0 puis T1 et T2 T0 T1 T2 Personnes dépistées Pourcentages des éligibles ,9 Positifs (%) 7191 (26,9) 6901 (27) 4054 (16,8) CBP parmi les positifs (%) 270 (3,7) I68 (2,4) 211 (5,2) % CBP de stades IA 45, ,4 % CBP de stades I et II 62,5 73,3 74,5 Sensibilité 93,8 94,4 93 Spécificité 73,4 72,6 83,9 VPP 3,8 2,4 5,2 VPN 99,9 99,9 99,9 AberleDR et al, N EnglJ Med 2013;368: AberleDR et al N EnglJ Med 2013; 369 :
32 Effet de certains facteurs sur la réduction de la mortalité dans le groupe scanner de l essai NLST Variable Femmes Hommes < 65 ans 65 ans Fumeurs Anciens fumeurs Bras RR de décès par cancer broncho-pulmonaire Scanner 0,73 Radio Référence Scanner 0,92 Radio Référence Scanner 0,82 Radio Référence Scanner 0,87 Radio Référence Scanner 0,81 Radio Référence Scanner 0,91 Radio Référence p 0,08 0,6 0,4 Pinsky PF, Cancer 2013; 119 :
33 Effet de certains facteurs sur la réduction de la mortalité dans le groupe scanner de l essai NLST (2) Histologie HR de mortalité spécifique Adénocarcinomes 0.75 ( ) Grandes cellules 0.71 ( ) NOS 0.59 ( ) BAC 1.3 ( ) Epidermoïdes 1.23 ( ) Petites cellules 0.90 ( ) NLST DLST DANTE MILD Femmes (%) Adénocarcinomes (%) Pinsky PF, Cancer 2013; 119 :
34 1) Rappel de quelques bases théoriques 2) Les principales données de la littérature jusqu à l étude NLST 3) L étude NLST 4) Quoi de nouveau depuis le NLST? 5) Quels sont les problèmes en suspens? 6)Quellessont,oudevraientêtre,les implications pratiques de ces données? 33
35 DLCST : Résultats à 4 ans de la dernière inclusion Contrôle TDM annuel p N Adhésion 93 95,5 Nombre de cancers du poumon <0,001 Cancers de stade IA ,002 Décès par cancer du poumon ,42 Décès ,059 SaghirZ et al, Thorax 2012; 67 :
36 MILD : Résultats à 5 ans ( ) Contrôle TDM tous les 2 ans TDM annuel p N Age médian (ans) F(%) / PA 89,7/38 68,3/39 68,9/39 Adhésion 95,1 96,1 Nombre de cancers du poumon Décès par cancer du poumon , ,21 Décès ,13 PastorinoU et al; EurJ Cancer Prev2012 : 21 :
37 Age Tabac (PA) N Contôle Rounds/I ntervalle % de cancers Baseline % de Stades I Mortalité spécifique NLST RP 3/1 1,02 54,8 P = 0,004 NELSON Obs 3/1 0,9 70,8 - DLCST Obs 5/ P = 0,42 LSS RP 2/ ,3 - ITALUNG Obs 4/ DANTE Obs 4/1, 2, P = 0,84 DEPISCAN RP 2/ ,5 - LUSI Heavy smokers MILD Obs 4052 Obs 5/ /1 -/2 0,7 - P = 0,21 UKLS Risque 2000 Obs Baseline
38 Quatre études randomisées dont les résultats définitifs sont publiées N RR Dépistés vs Contrôles p NLST [95% CI ] P = 0,004 DLCST [95% CI ] P = 0,42 DANTE [95% CI ] P = 0,84 MILD (95% CI ) P = 0,21 LSS 3318 DEPISCAN 765 ITALUNG 3206 LUSI 4052 UKLS 2000 NELSON
39 1) Rappel de quelques bases théoriques 2) Les principales données de la littérature jusqu à l étude NLST 3) L étude NLST 4) Quoi de nouveau depuis le NLST? 5) Quels sont les problèmes en suspens? 6)Quellessont,oudevraientêtre,les implications pratiques de ces données? 39
40 La population française est-elle proche de celle du NLST? Caractéristiques NLST Population de fumeurs américains Dépiscan Hommes(%) 59 58,5 71 Age (%) ,8 35, ,6 29, ,8 20,8 56 (47-75) ,8 14,7 Niveau d éducation lycée (%) 31,5 14,4 - Tabagisme actif(%) 49,2 57,1 65 Tabagisme cumulé moyen (PA) AberléD et al, J Nat Cancer Inst2010; 102 : , modifié 40
41 Dépistage et arrêt du tabac Nelson Study van der Aalst et al Eur Respir J 2011; 37:
42 Dépistage, arrêt du tabac et coûts Mc Mahon et al J ThoracOncol.2011; 6 :
43 Projection du nombre de sujets A partir de de personnes de 60 à 74 ans à qui est proposé un programme sur 4 ans Fréquence des dépistages Tous les 2 ans Tous les ans Réponses (%) 30% 60 % 30% 60 % Acceptent de participer Eligibles N de scanners initiaux N de scanners ultérieurs Field J et al, Lancet Oncol2013; 14: e
44 Irradiation et scanner Décès (/10 000) Influence sur la mortalité spécifique par cancer du poumon Décès précoces évités par le dépistage Décès tardifs possiblement imputables à la RT ASCO 2012, Berg C et al
45 Irradiation et scanner (2) Réduction attendue de la mortalité spécifique Sans tenir compte de l irradiation En tenant compte de l irradiation Hommes 21,73 20,22 Femmes 17,85 15,88 Kong CY et al Radiology. 2012; 262 :
46 Surdiagnosticou LengthTime Nombre de Cancers Dépistés Contrôles Augmentation (%) Mayo PLCO NLST
47 Surdiagnosticou LengthTime (2) HenschkeC et al, Radiology. 2012; 263 :
48 Surdiagnostic ou Length Time (3)? L exemple du cancer du sein 43 décès par cancer du sein évités femmes de 50 ans 20 ans 129 cancers du sein possiblement surdiagnostiqués (1%) Lancet 2012;380 :
49 Mieux sélectionner les candidats au dépistage Variable Modalité de OR (95% CI) p variation Age Par 1 année 1,081 ( ) <0,001 d augmentation Blanc 1 Noir ( ) 0,01 Niveau d éducation Par niveaux de ( ) 0,003 BMI Par niveaux de ( ) 0,003 BPCO Oui/Non ( ) 0,001 ATCD personnel de Oui/Non ( ) 0,003 cancer ATCD familial de cancer Oui/Non ( ) <0,001 broncho-pulmonaire Tabagisme Actuel/ancien ( ) 0,02 Nombre de PA Durée du tabagisme Temps de sevrage tabagique Relation non linéaire Par 1 année d augmentation ( ) 0,001 Par 1 année ( ,003 d augmentation 0.990) Tammemägiet al, N EnglJ Med 2013; 368 :
50 Mieux sélectionner les candidats au dépistage (2) Critères Sensibilité Spécificité VPP VPN NLST 71,1 62,7 3,4 99,2 PLCO M ,9 4 99,5 Tammemägiet al, N EnglJ Med 2013; 368 :
51 Réduire le nombre de faux positifs spiculation, sexe féminin, taille, siège dans un lobe supérieur, antécédents familiaux emphysème, petit nombre de nodules, composante partiellement solide Critères Sensibilité Spécificité VPP VPN NLST 71,1 62,7 3,4 99,2 Mc Williams et al 71,4 95,5 18,5 99,6 Mc Williams A et al N EnglJ Med 2013; 369 :
52 Thoracotomies «futiles» Autres diagnostics 2288 thoracotomies 267 exérèses de nodules 202 cancers 65 lésions bénignes GroganEL et aljthoraconcol. 2011;6:
53 Images interstitielles (NLST) Scanner RX 4 radiologues expérimentés 2, 3 et 20% des 1 Score Signification 1 Absence 2 Equivoque 3 Images interstitielles Explorés dans un centre Score Images 1846 Sélection aléatoire 890 Discordances entre les 2 premiers radiologues Pas d argumentpour des images interstitielles Verre dépoli ou réticulation focal ou unilatéral Images de verre dépolies «patchy» intéressant moins de 5% du poumon Non fibrotiques Fibrotiques Jin GY et al, Radiology2013; 268 :
54 Images interstitielles (NLST) (2) Signes radiologiques N (%) Pas de pneumopathie interstitielle 696 (78,7) Images «équivoques» 102 (11,5) Non fibrotiques 52(5,9) Images de pneumopathie interstitielle Fibrotiques 19 (2,1) Mixtes 15 (1,7) Total 884 (100) Jin GY et al, Radiology2013; 268 :
55 Images interstitielles (NLST) (3) Pasde PI N (%) PI non fibrotique Fibrose PI mixtes N (%) P* N (%) P* N (%) P* N N d hommes 401 (57) 32 (61) 0,5 17 (89) <0, (66) <0,001 Age 61,4 60,4 0,01 63,8 0,03 63,5 0,058 Fumeurs 274 (39,4) 40 (79,6) <0,001 8 (42,1) 0,8 10 (66,7) 0,03 PA 51,1 59,4 0,015 60,3 0,03 62,5 0,048 * Comparaison avec scanners n objectivant pas de pneumopathies interstitielles Jin GY et al, Radiology2013; 268 :
56 Images interstitielles (NLST) (4) Evolution à 2 ans (n=79) Evolutionà 2 ans N Amélioration Pas de changement Progression Pneumopathies interstitielles non fibrotiques (48,9) 19 (40,2) 5 (10,9) Fibroses (63,2) 7 (36,8) Mixtes 13 3 (23,1) 6 (46,2) 4 (30,7) Jin GY et al, Radiology2013; 268 :
57 1) Rappel de quelques bases théoriques 2) Les principales données de la littérature jusqu à l étude NLST 3) L étude NLST 4)QuoidenouveaudepuisleNLST? 5) Quels sont les problèmes en suspens? 6) Quelles sont, ou devraient être, les implications pratiques de ces données? 57
58 Les pratiques nord-américaines se développent 58
59 Et en France? 59
60 Les recommandations effectuées depuis les résultats du NLST Recommandations JAMA 2012; 307 : ACS ACCP ASCO NCCN J Thor Cardiovasc Surg 2012; 144 : AATS Chest2013; 143 : e78s-92s J Thor Oncol2013 ; 8 : ACCP CANADA Janvier 2O12 Octobre 2O13 Workshops Workshop IASLC J Thor Oncol 2012; 7 : Workshop France Ann Oncol 2013; 24 :
61 Workshop IASLC Mieux identifier les sujets à risque. Etablir des guidelines radiologiques. Créer des guidelines pour le suivi des nodules «intermédiaires». Créer des guidelines pour la description pathologique des nodules. Etablir des recommandations pour l exploration des nodules et la chirurgie. Intégrer le sevrage tabagique dans la démarche du dépistage. Field JK et al, J ThoracOncol2012; 7 :
62 Les recommandations américaines ACCP, ASCO NCCN, AATS CANADA Age Tabac(PA) Délai max d arrêt Autre facteur de risque - - Radon, prof, BPCO, FID, ATCD K Positif 4 mm 4-6 mm 4 mm 5mm Intervalles Annuel Annuel Annuel Annuel puis bisannuel 62
63 Séminaire de réflexion, IFCT,GOLF, SIT, février 2012 Comité d organisation Pneumologues Radiologues Bernard MILLERON (IFCT), Paris Olivier CASTELNAU, Nice Elisabeth ASQUIER, Tours Fabrice BARLÉSI (GOLF), Marseille Didier DEBIEUVRE, Mulhouse Julien GARNON, Strasbourg Etienne LEMARIÉ (GOLF), Tours Pierre FOURNEL, Saint-Etienne Gilbert FERRETTI, Grenoble Gérard ZALCMAN (IFCT), Caen Jacques MARGERY, Clamart Antoine KHALIL, Paris Comité de rédaction Olivier MOLINIER, Le Mans François LAURENT, Bordeaux Sébastien COURAUD, Lyon Jean-Louis PUJOL, Montpellier Marie-Pierre REVEL, Paris Alexis CORTOT, Lille Elisabeth QUOIX, Strasbourg Chirurgiens thoraciques Nicolas GIRARD, Lyon Pierre-Jean SOUQUET, Lyon Jalal ASSOUAD, Paris Valérie GOUNANT, Paris Bruno STACH, Valenciennes Laurent BROUCHET, Toulouse Laurent GREILLIER, Marseille Virginie WESTEEL, Besançon Pierre-Emmanuel FALCOZ, Strasbourg Bertrand MENNECIER, Strasbourg Généralistes Jérôme MOUROUX, Nice Oncologues médicaux Paul FRAPPE, Saint Etienne Pasca-Alexandre l THOMAS, Marseille Benjamin BESSE, Villejuif Patricia LEFEBURE, La Celle Saint Cloud Méthodologiste Jean TRÉDANIEL, Paris Sandra LIEBART, Saint Etienne Lydia GUITTET, Caen 63
64 Compte tenu du bénéfice observé dans NLST un dépistage «opportuniste» est souhaitable Systématique dit «de masse» sur une population recrutée est non sélectionnée. Sélectif ou ciblé : la population recrutée est sélectionnée sur des critères préalablement définis Le dépistage est proposé dans le cadre de campagnes de dépistage et il s appuie sur la participation volontaire des sujets ; Opportuniste: la population est recrutée pour le dépistage lors d un recours aux soins : hospitalisation, visite médicale, centre desantéoudedépistage,médecinedutravail; Multiple : il consiste en la recherche simultanée de plusieurs affections par l utilisation simultanée de plusieurs tests de dépistage. Guide méthodologique, Anaes
65 A qui accepter de le réaliser? Aux personnes sans antécédent de cancer broncho-pulmonaire, Entre 55 et 74 ans, Tabagisme cumulé d au moins 30 paquets/année, Si ancien fumeur, arrêt du tabac dans les 15 dernières années, Pas de symptôme tel que hémoptysie ou amaigrissement important inexpliqué. CouraudS et al, Ann Oncol2013 ; 24 :
66 Et à quelles conditions? Information claire sur les données de la littérature et le risque élevé de faux positifs. Information sur l intérêt du sevrage tabagique. Réalisation d un scanner «lowdose» selon des modalités précises. Procédure précise de gestion des positifs par une équipe multidisciplinaire entrainée selon des règles strictes. L évaluation de cette pratique est nécessaire. CouraudS et al, Ann Oncol2013 ; 24 :
67 Scanner initial Volume > 500 mm3 Volume de 50 à 500mm3 Volume <50 mm3 Positif Indéterminé Scanner à 3 mois Explorations Histo-cytologiques Positif Tps de doublement < 400 jours Idem ou tps de doublement > 400 jours Indéterminé Scanner à 12 mois Idem STOP Scanner à 12 mois Positif Nouveau nodule ou Tps de doublement < 400 jours Tps de doublement entre 400 et 600 jours Idem ou tps de doublement > 600 jours Positif Nouveau nodule ou Tps de doublement < 400 jours Scanner à 24 mois Van KlevernRj et al, N EnglJ Med 2009;361: Négatif 67
68 Réduction du nombre de faux positifs NLST NELSON Pourcentages de scanners positifs 24,2 2 Pourcentage de participants ayant un ou plusieurs scanners positifs 39,1 6 Taux cumulatif de détection de cancers 2,4 2,6 Valeur prédictive d un scanner positif 3,6 40,6 Proportionde faux positifs parmi tous les scanners 23,3 1,2 Pourcentage de gestes chirurgicaux chez les faux positifs 1,4 (1 er round) 0,88 HorewegN, EurRespJ In press 68
69 CouraudS et al, Ann Oncol2013 ; 24 :
70 Recommandations canadiennes Le dépistage est recommandé pour les populations qui ont les mêmes caractéristiques que celle du NLST. Un examen positif est défini par une opacité nodulaire de plus de 5 mm. Sa découverte impose un nouveau scanner à 3 mois. Un nodule de plus de 15 mm doit conduire à des investigations immédiates Les 3 premiers scanners sont annuels. Ensuite est proposé un examen tous les deux ans (MILD). Enfin les auteurs prennent clairement partie pour un dépistage organisé réalisé, dans des centres spécifiquement dédiés, par des équipes entrainées. J ThoracOncol2013; 8 :
71 Les biomarqueurs peuvent ils aider? Rush UniversityMedicalCenter de Chicago Biomarqueurs Analyse univariée Analyse multivariée Interleukin 1 receptor antagonist < Interleukin 10 < Cancer antigen 125 < Soluble endothelial selectin(cd62e) < Tumor necrosis factor alpha < Soluble epidermal growth factor receptor < Macrophage inflammatory protein 1 alpha < Stromalcell-derivedfactor 1 a + b < Osteopontin < C-reactive protein < Matrix metalloproteinase 2 < Monocyte chemotactic protein 1 < Soluble intercellular adhesion molecule < Cytokeratin 19 fragment < Interleukin 6 < Eotaxin < Soluble interleukin 2 receptor antagonist < 1,000 Daly S et al J ThoracOncol 2013; 8 :
72 Application prospective des 7 biomarqueurs Rush University Mayo-Clinic Cohorte de validation N Vrais négatifs Vrais positifs Faux positifs Faux négatifs 0 1 Sensibilité (%) Spécificité (%) 52,2 24,6 Valeur Prédictive Négative(%) ,8 Daly S et al J ThoracOncol 2013; 8 :
73 Que retenir en pratique aujourd hui? LeNLST,dontlesrésultatsontétépubliésilya2ans,estpour l instant le seul essai disponible de grande ampleur. C est également le seul essai positif. Depuis 2011 d autres résultats ont été publiés, mais il s agit d essais à faibles effectifs. Aux Etats-Unis et au Canada des recommandations ont été émises par la plupart des sociétés. En France un avis d experts va dans le même sens. Beaucoup de questions se posent encore (sélection des sujets, critères de positivité, investigations réalisées chez les positifs, irradiation, influence les biais, tabagisme etc...) qui justifient la pratique d une recherche clinique active. 76
Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailSuivi post-professionnel après exposition à l amiante
AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailCancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009
Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailDépistage par mammographie : feuille d information
feuille d information Dépistage par mammographie : feuille d information Le dépistage par mammographie consiste à faire passer à intervalles réguliers, dès l âge de 50 ans, des radiographies des seins
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailUn nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD
Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailCas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot
Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailARTICLE IN PRESS. G. Cadelis a,, S. Kaddah a, B. Bhakkan b, M. Quellery b, J. Deloumeaux b ARTICLE ORIGINAL
Revue des Maladies Respiratoires (2013) xxx, xxx xxx Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com ARTICLE ORIGINAL Épidémiologie et incidence du cancer bronchique primitif dans une région à faible consommation
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Dépistage du cancer de la prostate. Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009
RAPPORT D ORIENTATION Dépistage du cancer de la prostate Analyse critique des articles issus des études ERSPC et PLCO publiés en mars 2009 Juin 2010 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCe n de «La Revue de Respir» est publié en partenariat avec HOLYVAC
Mars 2008 ; N 12 ACTUALITE DE RESPIR.COM Activités et chiffres clés EDITO Les statines : un nouveau traitement pour les BPCO? Pr. A. TAYTARD - Pneumologie - CHU Bordeaux ARTICLE COMMENTE Grigoriou BD,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailDIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE
DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE Marc Righini Service d Angiologie et d Hémostase, Département de Médecine Interne Générale, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse,
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailInfo Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013
BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailPrise en charge des carcinomes bronchiques selon le stade: le point de vue du chirurgien 1
Schweiz Med Wochenschr 2000;130:679 83 A. Spiliopoulos, M. de Perrot Unité de thoracique, Département de, Hôpitaux Universitaires de Genève Prise en charge des carcinomes bronchiques selon le stade: le
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailLe dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer
Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailLe cancer du poumon 2/18/2015. Radio-oncologue CSSS Gatineau. Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC
Objectifs Le cancer du poumon Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC Radio-oncologue CSSS Gatineau Décrire le rôle de la thérapie générale en ce qui concerne les traitements néoadjuvants, adjuvants
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailCANCER DU POUMON ACTION-RÉACTION!
CANCER DU POUMON ACTION-RÉACTION! F O R M A T I O N C O N T I N U E // M me Bouchard, 65 ans, se présente à votre cabinet pour une toux sèche et persistante depuis un mois avec une légère dyspnée. Elle
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailOUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION
OUTIL D'EVALUATION DU TEMPS ARC / CHEF DE PROJET PROMOTEUR REQUIS POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE V 2.3 DE L OUTIL NOTICE D UTILISATION i) Contexte :... - 2 - ii) But de l outil :... - 2 - iii) Fonctionnement
Plus en détail