Les chiffres de l églité
|
|
- Sébastien Roberge
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Statistiques choisies sur l égalité d le canton de Berne Berne, le 15 décembre 2016 Les chiffres de l églité Bureau de l égalité entre la femme et l homme Postgasse Berne 8
2 Table des matières 1 Indicateurs de l égalité des sexes Formation Niveau de formation de la population Ecole obligatoire Apprentissages les plus prisés Hautes écoles : répartition des étudiants par sexe Travail rémunéré Taux d activité Taux d occupation Statut professionnel Salaires Ecart salarial Famille Modèles familiaux Travail domestique et familial Structures d accueil extrafamilial Garderies Parents de jour Sécurité sociale Taux d aide sociale Taux d assistance Santé Etat de santé Politique Grand Conseil Impressum Page 2 / 21
3 1 Indicateurs de l égalité des sexes Indicateur Femmes Hommes Formation supérieure 1, Espace Mitteland, 2015 S diplôme post-obligatoire Personnes titulaires d un diplôme de formation tertiaire 18 pour cent de la population féminine 25 pour cent de la population féminine 15 pour cent de la population masculine 37 pour cent de la population masculine Enseignants et enseignantes, canton de Berne, année scolaire 2015/2016 Ecole primaire 83 pour cent 17 pour cent Hautes écoles 2 36 pour cent 64 pour cent Activité professionnelle Personnes employées à plein temps (canton de Berne, 2014) Personnes employées à temps partiel (canton de Berne, 2014) Membres de la direction (Espace Mittelland, 2015) 31 pour cent 69 pour cent 78 pour cent 22 pour cent 4 pour cent des salariées 8 pour cent des salariés Salaires, secteur privé et secteur public, Espace Mitteland, 2014 Salaire médian brut CHF par mois CHF par mois Représentation politique, canton de Berne, 2016 Grand Conseil (session de septembre 2016) 28 pour cent 72 pour cent Conseil-exécutif (2 femmes, 5 hommes) 29 pour cent 71 pour cent Mairie (état le ) Conseils communaux (état le ) 16 pour cent 84 pour cent 26 pour cent 74 pour cent 1 Niveau de formation achevée le plus élevé de la population résidante permanente entre 25 et Université de Berne, Haute école pédagogique germanophone PHBern et Haute école spécialisée bernoise (divisions cantonales seulement, s l Ecole supérieure du bois, hors chargé-e-s de cours externes). Page 3 / 21
4 2 Formation 2.1 Niveau de formation de la population 25 BERNOISES SUR 100 DIPLÔMÉES DU TERTIAIRE L ÉCART ENTRE LES SEXES DIMI- NUE AU DEGRÉ TERTIAIRE. Les données sur le niveau de formation de la population sont recensées d le cadre de l Enquête suisse sur la population active. Or, cette enquête ne permet de tirer aucune conclusion concernant spécifiquement le canton de Berne, l unité de relevé la plus petite étant la région de l Espace-Mittelland. En 2015, la proportion de femmes de l Espace Mittelland qui n ont pas fréquenté d autres établissements que l école obligatoire dépasse celle des hommes de la même classe d âge. 35 pour cent de femmes et 36 pour cent d hommes ont fait un apprentissage. Par rapport à 2002, la tendance est à l élévation du niveau de formation pour les deux sexes. S agissant des femmes titulaires d un diplôme de formation tertiaire, la progression est particulièrement marquée, puisque leur proportion a plus que doublé entre 2002 et 2015, passant de 10 à 25 pour cent. L augmentation est moins spectaculaire chez les hommes, mais le taux est quand même passé de 28 à 37 pour cent. Graphique 2-1: Niveau de formation achevée le plus élevé de la population résidante permanente, par sexe, Espace Mittelland 800 Femmes 800 Hommes Nombre de personnes, en Nombre de personnes, en Degré tertiaire (2) Maturité, école normale Ecole professionnelle à plein temps Apprentissage Ecole obligatoire Autres (1) (1): Ecole de culture générale, établissement d enseignement général, préapprentissage, stage ménager, école de commerce 1-2. (2): Université, école polytechnique fédérale, haute école spécialisée, haute école pédagogique, formation professionnelle supérieure. Source : Office fédéral de la statistique, Enquête suisse sur la population active. Page 4 / 21
5 2.2 Ecole obligatoire LA MAJORITÉ DES JEUNES VONT À L ÉCOLE SECONDAIRE PLUS DE FILLES QUE DE GARÇONS La majorité des élèves admis au secondaire 1 à la rentrée scolaire 2015/2016 sont passés à l école secondaire. Le nombre d élèves de l école générale est en recul constant ces dernières années. Les différences entre les filles et les garçons se manifestent lors du passage du primaire au secondaire. Deux tiers environ des filles fréquentaient l école secondaire en 2015/2016, contre 57 pour cent des garçons. Graphique 2-2: Degré secondaire I, années 2005/2006 à 2014/2015, canton de Berne Nombre de personnes Année scolaire Niveau secondaire femmes Niveau secondaire hommes Niveau école générale femmes Niveau école générale hommes Source : Direction de l instruction publique du canton de Berne, Statistiques de la formation du canton de Berne : données de base Page 5 / 21
6 2.3 Apprentissages les plus prisés LA PROFESSION D EMPLOYÉE DE COMMERCE ET CELLE D ASSISTANTE EN SOINS ET SANTÉ COMMUNAUTAIRE ONT LA FAVEUR DES JEUNES FEMMES. EMPLOYÉ DE COM- MERCE ET INFORMATICIEN SONT LES DEUX PROFESSIONS LE PLUS SOUVENT CHOI- SIES PAR LES JEUNES HOMMES. Les jeunes femmes et les jeunes hommes ont des préférences différentes au moment de choisir leur profession. En 2015/2016, d le canton de Berne, la plupart des jeunes femmes ont porté leur choix sur la profession d employée de commerce CFC. L apprentissage d assistante en soins et santé communautaire CFC et d employée du commerce de détail sont également très prisés. Chez les jeunes hommes, c est l apprentissage d employé de commerce CFC qui jouit de la plus grosse cote de popularité, suivi en deuxième position de l apprentissage d informaticien CFC. La grande majorité des apprentissages choisis par les jeunes femmes recouvre un spectre de professions limité. Il est plus large chez les jeunes hommes. Graphique 2-3: Apprentissages les plus prisés, par sexe, canton de Berne, 2015 Employée de commerce CFC Assistante en soins et santé communautaire CFC Gestionnaire du commerce de détail CFC Assistante socio-éducative CFC Assistante du commerce de détail AFP Assistante médicale CFC Cuisinière CFC Coiffeuse CFC Assistante dentaire CFC Aide en soins et accompagnement AFP Femmes Nombre de personnes Employé de commerce CFC Informaticien CFC Installateur-électricien CFC Polymécanicien CFC Agriculteur CFC Gestionnaire du commerce de détail CFC Charpentier CFC Menuisier CFC Logisticien AFP Cuisinier CFC Hommes Nombre de personnes CFC : certificat fédéral de capacité. AFP : attestation de formation professionnelle Jour de référence : Source : Office fédéral de la statistique, Statistique de la formation professionnelle initiale. Page 6 / 21
7 2.4 Hautes écoles : répartition des étudiants par sexe PLUS D ÉTUDIANTES À L UNIVERSITÉ ET À LA HAUTE ÉCOLE PÉDAGOGIQUE, PLUS D ÉTUDIANTS À LA HAUTE ÉCOLE SPÉCIALISÉE. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes à suivre des études supérieures, toutes hautes écoles confondues. La répartition par sexe varie toutefois selon la haute école considérée. En 2015, on dénombrait personnes inscrites en bachelor, master et doctorat à l Université de Berne, dont 56 pour cent de femmes. La PHBern avait 2478 étudiants et étudiantes, dont 70 pour cent de femmes, la HEP-BEJUNE, site de Bienne, 54 pour cent d hommes. Les hommes sont majoritaires à la Haute école spécialisée bernoise (BFH), avec 52 pour cent des 6684 étudiants et étudiantes. Les différences entre les hommes et les femmes se manifestent également d le choix de la filière : les étudiantes sont nettement majoritaires en médecine vétérinaire (82%) et en théologie (68%), tandis que les sciences économiques et sociales et les sciences naturelles sont plutôt des bastions masculins (57 et 56% respectivement). A la PHBern, les femmes représentent 84 pour cent des effectifs de l Institut Vorschulstufe und Primarstufe (degrés préscolaire et primaire), et 54 pour cent des effectifs de l Institut Sekundarstufe II (degré secondaire II). Le Département technique et informatique de la BFH accueille essentiellement des hommes (93%), à la différence du Département santé (89% de femmes). Graphique 2-4: Répartition des étudiants par sexe, canton de Berne, 2015 Université de Berne 56% 44% PHBern 70% 30% BFH 48% 52% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Femmes Hommes Source : Direction de l instruction publique du canton de Berne, Statistiques de la formation du canton de Berne : données de base Page 7 / 21
8 3 Travail rémunéré 3.1 Taux d activité LE TAUX D ACTIVITÉ DES HOMMES EST NETTEMENT PLUS ÉLEVÉ QUE CELUI DES FEMMES. Le taux d activité des hommes est nettement plus élevé que celui des femmes. D la population résidante du canton de Berne, parmi les personnes entre 15 et 64, 80 pour cent des femmes et 90 pour cent des hommes exerçaient en 2014 une activité rémunérée ou étaient à la recherche d un emploi. Les taux d activité sont moins élevés en Suisse que d le canton de Berne : 76 pour cent pour les femmes et 87 pour cent pour les hommes. Graphique 3-1: Taux d activité net, par sexe, canton de Berne, 2014 Femmes 79.7% 76.0% Hommes 90.0% 87.5% Total 84.8% 81.8% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Berne Suisse Taux d activité net : proportion de personnes actives d la population résidante de 15 à 64. Source : Office fédéral de la statistique, Relevé structurel, Statistique de la population et des ménages Page 8 / 21
9 3.2 Taux d occupation LES HOMMES TRAVAILLENT À PLEIN TEMPS, LES FEMMES, À TEMPS PARTIEL. Les taux d occupation sont répartis en quatre catégories : plein temps (90-100%), temps partiel I (70-89%), temps partiel II (50-69%) et temps partiel III (moins de 50%). Sur les personnes actives que comptait le canton de Berne en 2014, travaillaient à temps partiel, soit une proportion d environ 34 pour cent. On note toutefois des différences marquées entre les sexes : 57 pour cent des femmes actives travaillaient à temps partiel, contre 14 pour cent seulement chez les hommes. Sur les femmes travaillant à temps partiel, 43 pour cent étaient embauchées à moins de 50 pour cent. D la catégorie du temps partiel I, on trouvait 27 pour cent des femmes actives et 30 pour cent d celle du temps partiel II. Le tableau se présente de la manière suivante pour les hommes employés à temps partiel : 41 pour cent d la catégorie du temps partiel I, 22 pour cent d la catégorie du temps partiel II et 37 pour cent d la catégorie du temps partiel III. Les chiffres du temps partiel d le canton de Berne dépassent légèrement la moyenne suisse en 2014 : au niveau national, on recense 12 pour cent de personnes travaillant à temps partiel (Berne: 14%) et 52 pour cent de femmes (Berne : 57 %). Graphique 3-2: Taux d occupation par sexe, canton de Berne, '000 15'152 9' '000 61'793 16' '093 Nombre de personnes 200' ' '000 50'000 43'469 39' '261 0 Femmes Hommes Plein temps (90 100%) Temps partiel I (70 89%) Temps partiel II (50 69%) Temps partiel III (moins de 50%) Source : Office fédéral de la statistique, Relevé structurel Page 9 / 21
10 3.3 Statut professionnel PLUS D HOMMES QUE DE FEMMES AUX POSTES DE DIRECTION. Les données concernant le statut professionnel sont recensées d le cadre de l Enquête suisse sur la population active. Or, cette enquête ne permet de tirer aucune conclusion concernant spécifiquement le canton de Berne, l unité de relevé la plus petite étant la région de l Espace-Mittelland. De manière générale, le statut professionnel des femmes est inférieur à celui des hommes. Elles sont souvent de simples employées, s aucune fonction dirigeante. Les hommes exercent nettement plus souvent une activité indépendante, ont une fonction de cadre ou siègent d la direction de l entreprise. Graphique 3-3 : Statut professionnel* des personnes actives, par sexe, Espace Mittelland, moyenne annuelle 2015 Femmes 4.9% 9.1% 2.7% 4.1% 5.8% Hommes 13.7% 1.5% 7.6% 17.4% 45.9% 61.8% 25.5% Indépendant-e-s Salarié-e-s membres de la direction Salarié-e-s s fonction dirigeante Membres de la famille travaillant d l entreprise Salarié-e-s exerçant une fonction dirigeante Apprenti-e-s * Définition sociologique : les personnes actives travaillant d leur propre entreprise comptent comme indépendantes. Source : Office fédéral de la statistique, Enquête suisse sur la population active Page 10 / 21
11 3.4 Salaires AU NIVEAU DE QUALIFICATION LE PLUS ÉLEVÉ, LE SALAIRE DES HOMMES EST DE 20 POUR CENT PLUS ÉLEVÉ QUE CELUI DES FEMMES. Les données concernant les salaires de la population sont recensées d le cadre de l Enquête suisse sur la population active. Or, cette enquête ne permet de tirer aucune conclusion concernant spécifiquement le canton de Berne, l unité de relevé la plus petite étant la région de l Espace-Mittelland. Le salaire médian brut des femmes s élevait en 2014 à francs d le secteur privé et d le secteur public de l Espace Mittelland, celui des hommes à francs. L écart est de 12 pour cent. Mais il varie selon le niveau de qualification requis. Au niveau 1+2, il atteint le pic de 21,9 pour cent, alors qu à l autre extrême, il n est que de 8,7 pour cent. L écart entre le salaire médian brut des femmes et celui des hommes était de 15,4 pour cent en 2012, le pic se situant à 26,8 pour cent au niveau de qualification 1+2. Au niveau de qualification le plus bas, l écart était également plus élevé qu en 2014, avec 12,8 pour cent. Graphique 3-4 : Salaire mensuel brut (médian) par niveau de qualification et par sexe, secteur privé et secteur public, Espace Mittelland, CHF Total S fonction de Niveau de qualification requis cadre Femmes Hommes Salaire brut standardisé : équivalent plein temps basé sur 4 1/3 semaines à 40 heures de travail, y compris 1/12 du 13 e mois et 1/12 de paiements spéciaux, indemnité pour travail par équipe, de nuit et le dimanche. Les allocations familiales et les allocations pour enfant ne sont pas prises en compte. Niveau de qualification 1 : travaux les plus exigeants et tâches les plus difficiles Niveau de qualification 2 : travail indépendant et très qualifié Niveau de qualification 3 : connaissances professionnelles spécialisées Niveau de qualification 4 : activités simples et répétitives Source : Office fédéral de la statistique, Enquête suisse sur la structure des salaires 2014 Page 11 / 21
12 3.5 Ecart salarial LA PART INEXPLIQUÉE DE L ÉCART SALARIAL ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES S ÉLÈVE À 547 FRANCS PAR MOIS DANS L ESPACE MITTELLAND. L écart salarial se répartit en deux catégories. Soit il s explique objectivement : les caractéristiques personnelles (âge, ancienneté, formation), les spécificités du poste (statut professionnel, niveau de qualification requis, champs d activité) et celles de l entreprise (taille, branche, région) ont des répercussions sur le salaire. En moyenne, les femmes ont une moins bonne formation, elles ont moins d expérience professionnelle et accèdent moins souvent aux fonctions de cadre mieux rémunérées, ce qui explique une partie de l écart salarial. D l autre cas de figure, l écart salarial est inexpliqué. En 2012, l écart entre le salaire médian brut des hommes et celui des femmes s élevait à francs par mois. Une part de 59 pour cent, soit 787 francs, s explique objectivement par les facteurs susmentionnés. Une part de 41 pour cent, soit 547 francs, ne s explique pas par le modèle statistique appliqué et pourrait indiquer une discrimination salariale. Graphique 3-5: Ecart salarial, Espace Mittelland, % 90% 80% CHF 547 (7.6%) CHF 787 (10.6%) 70% 60% 50% 40% 30% CHF 6'155 (82.2%) Ecart inexpliqué Ecart expliqué Salaire médian brut des femmes 20% 10% 0% Base (100%) : salaire médian brut des hommes (CHF 7 489) Salaire brut standardisé : équivalent plein temps basé sur 4 1/3 semaines à 40 heures de travail, y compris 1/12 du 13 e mois et 1/12 de paiements spéciaux Source : Büro für Arbeits- und Sozialpolitische Studien Bass AG, Analyse der Löhne von Frauen und Männern anhand der Lohnstrukturerhebung 2012 [Analyse des salaires des hommes et des femmes sur la base de l Enquête suisse sur la structure des salaires 2012]. Page 12 / 21
13 4 Famille 4.1 Modèles familiaux PRÉDOMINANCE DU MODÈLE BOURGEOIS CONTEMPORAIN Le modèle bourgeois traditionnel avec l homme à plein temps et la femme au foyer a perdu du terrain depuis les années D après le recensement fédéral de la population, ce modèle était en 1990 celui de plus de 60 pour cent des couples avec un enfant de moins de sept, et de 36 pour cent, dix plus tard. Ce taux a continué de baisser pour atteindre 22 pour cent en D le canton de Berne, comme d le reste de la Suisse, c est aujourd hui le modèle bourgeois dit contemporain qui prédomine : d près de la moitié des ménages bernois avec un enfant de moins de sept, l homme travaille à plein temps et la femme, à temps partiel. D 8 pour cent des cas, les deux partenaires travaillent à plein temps, et à temps partiel d environ 10 pour cent des cas. Graphique 4-1: Répartition de l activité rémunérée des couples avec un enfant de moins de 7, canton de Berne, % 4.3% 12.6% 21.8% 5.2% 9.6% 8.1% 9.9% 10.3% 36.0% 8.0% 24.4% 61.3% 47.7% 38.9% Femme au foyer, homme travaillant à plein temps Femme et homme à plein temps Femme à temps partiel, homme à plein temps Femme et homme à temps partiel Femme et homme s activité rémunérée et autres* * * Autres : l homme et la femme n exercent aucune activité rémunérée (0,6%), autre combinaison (9,1%), répartition de l activité rémunérée inconnue (2,8%). Source : Office fédéral de la statistique, Relevé structurel. Page 13 / 21
14 4.2 Travail domestique et familial LES FEMMES FONT PLUS DE TRAVAUX MÉNAGERS, LES HOMMES PLUS D ACTIVITÉS RÉMUNÉRÉES. Les données concernant la répartition du travail domestique et de l activité rémunérée ne sont disponibles que pour la Suisse. En 2013, les hommes et les femmes consacraient en moyenne 50 heures environ au travail domestique et familial et au travail rémunéré. D la plupart des cas, les femmes et les hommes accomplissent le même nombre total d heures de travail. Mais d la répartition, les différences sont marquées. Les femmes consacrent plus d heures au travail domestique et familial, alors que les hommes consacrent plus d heures au travail rémunéré. En moyenne, les femmes consacrent 29 heures au travail domestique et familial et 21 heures au travail rémunéré, les hommes, 18 et 33 heures respectivement. Si la répartition n a pas changé pour les femmes depuis 2010, les hommes consacrent un peu plus de leur temps aux travaux ménagers et un peu moins à l activité rémunérée. C est quand le couple a des enfants de moins de six que la charge est la plus lourde. Qu ils vivent seuls ou en couple, les hommes et les femmes travaillent alors près de 70 heures par semaine. Graphique 4-2 : Travail domestique et familial, modèle de travail des couples par sexe, en heures par semaine, Suisse, Femmes Total Hommes Couples s enfant Couples avec des enfants (le plus jeune 0-6 ) Couples avec des enfants (le plus jeune 7-14 ) Couple avec un enfant plus âgé / une autre personne d le ménage Personne seule Personne seule avec des enfants (le plus jeune 0-6 ) Personne seule avec des enfants (le plus jeune 7-14 ) Personne seule avec des enfants (le plus jeune ) Travail domestique et familial Travail rémunéré Uniquement les personnes en âge de travailler (femmes entre 15 et 63, hommes entre 15 et 64 ) * Pères élevant seuls leurs enfants (le plus jeune 0 à 6 ) : Extrapolation basée sur 49 observations ou moins. Les résultats doivent être interprétés avec la plus grande prudence. Source : Office fédéral de la statistique, Enquête suisse sur la population active Page 14 / 21
15 4.3 Structures d accueil extrafamilial Les prestations d accueil extrafamilial des enfants tels que les garderies et les parents de jour permettent aux mères et aux pères de mieux concilier travail et famille Garderies CES DIX DERNIERES ANNEES, LE NOMBRE DE PLACES SUBVENTIONNEES DANS LES GARDERIES A AUGMENTE DANS TOUS LES ARRONDISSEMENTS ADMINISTRATIFS DU CANTON DE BERNE. De 2006 à 2015, le nombre de places subventionnées d les garderies du canton de Berne est passé de 2629 à 3561, soit une augmentation de 35 pour cent. L arrondissement administratif du Haut- Simmental-Gessenay a connu la plus forte hausse des places de garderie autorisées, à savoir 187 pour cent. En 2015, avec 55 pour cent de toutes les places de garderie subventionnées, l arrondissement administratif de Berne- Mittelland disposait d une offre beaucoup plus large que les autres arrondissements administratifs. Cela s explique en partie par le fait que 40 pour cent de la population du canton de Berne vit d cet arrondissement administratif. La forte densité de population engendre une demande élevée. De même, avec presque 10 pour cent de toutes les places subventionnées du canton de Berne, l arrondissement administratif de Biel/Bienne dispose d une offre très importante. Nombre de places subventionnées d les garderies Illustration 1-1 : structures d accueil extrafamilial, places subventionnées d les garderies par arrondissement administratif, canton de Berne, de 2006 à Arrondissement administratif de Berne-Mittelland Arrondissement administratif de Biel/Bienne Arrondissement administratif du Jura bernois Arrondissement administratif de la Haute-Argovie Arrondissement administratif de Thoune Arrondissement administratif du Seeland Arrondissement administratif de l Emmental Arrondissement administratif d Interlaken-Oberhasli Arrondissement administratif du Haut-Simmental- Gessenay Arrondissement administratif de Frutigen-Bas- Simmental Source : Office des affaires sociales, Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale du canton de Berne Page 15 / 21
16 4.3.2 Parents de jour CES DIX DERNIERES ANNEES, LE NOMBRE D HEURES SUBVENTIONNEES DE PRISE EN CHARGE PAR DES PA- RENTS DE JOUR A AUGMENTE DANS TOUS LES ARRONDISSEMENTS ADMI- NISTRATIFS DU CANTON DE BERNE. Illustration 1-2 : structures d accueil extrafamilial, nombre d heures subventionnées de prise en charge en accueil familial de jour par arrondissement administratif, canton de Berne, de 2006 à De 2006 à 2015, le nombre d heures subventionnées de prise en charge par des parents de jour d le canton de Berne est passé de à , soit une augmentation de 79 pour cent. Tous les arrondissements administratifs ont enregistré une forte hausse de 2006 à 2015, le maximum revenant à l arrondissement administratif de Jura bernois avec 608 pour cent et le minimum à celui de Biel/Bienne avec 41 pour cent. A l instar des places de garderie subventionnées (chapitre 4.3.1), l arrondissement administratif de Berne-Mittelland présente une offre fournie d heures de travail subventionnées. Concentrant 43 pour cent de toutes les heures de travail subventionnées du canton de Berne, l arrondissement administratif de Berne-Mittelland se situe sensiblement au-dessus des autres arrondissements administratifs. Nombre d heures de travail suventionnées (en milliers) Arrondissement administratif de Berne-Mittelland Arrondissement administratif de Biel/Bienne Arrondissement administratif du Jura bernois Arrondissement administratif de la Haute-Argovie Arrondissement administratif de Thoune Arrondissement administratif du Seeland Arrondissement administratif de l Emmental Arrondissement administratif d Interlaken-Oberhasli Arrondissement administratif du Haut-Simmental- Gessenay Arrondissement administratif de Frutigen-Bas- Simmental Source : Office des affaires sociales, Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale du canton de Berne Page 16 / 21
17 5 Sécurité sociale 5.1 Taux d aide sociale LES FEMMES ENTRE 16 ET 45 ANS ET LES HOMMES DE PLUS DE 46 ANS SONT PLUS FORTEMENT TRIBUTAIRES DE L AIDE SOCIALE. Le taux d aide sociale est l indicateur du risque que court une personne de devenir tributaire de l aide sociale. Il était de 4,3 pour cent en 2014 d le canton de Berne : près de hommes et femmes touchaient l aide sociale. Les hommes et les femmes sont exposés au risque de manière très différente, selon la période de leur vie. Entre 16 et 45, les femmes sont nettement plus vulnérables que les hommes. Le phénomène s explique notamment par la forte proportion, d cette tranche d âge, de femmes élevant seules leurs enfants et touchant l aide sociale. A partir de 46 et jusqu à 50, les hommes sont plus exposés que les femmes. De manière générale, le risque diminue avec l âge. Graphique 5-1 : Taux d aide sociale, par âge et par sexe, canton de Berne, % 8.0% 7.0% 6.0% 5.0% 4.0% 3.0% 2.0% 1.0% 0.0% 8.5% 8.5% % 8.3% % 7.1% % 5.4% % 4.6% % 4.9% % 4.7% % 4.8% Classes d âge 5.0% 4.8% % 4.1% % 4.0% % 3.5% % 0.7% % 0.1% 66+ Femmes Hommes Remarque : uniquement les cas ayant touché des prestations pendant la période de relevé, s comptage à double. Pour les autres membres de l unité d assistance, seuls les cas réguliers sont pris en compte. Source : Office fédéral de la statistique, Statistique suisse de l aide sociale 2014 Page 17 / 21
18 5.2 Taux d assistance RAPPORT ENTRE MODE DE VIE ET PAUVRETÉ : LES FAMILLES MONOPARENTALES SONT PARTICULIÈREMENT TOUCHÉES. Le taux d assistance est l indicateur du risque que court un ménage de devenir tributaire de l aide sociale. Les familles monoparentales sont les plus exposées, avec un taux d assistance de 25,9 pour cent. Les personnes vivant seules arrivent en deuxième position. Par comparaison, les couples avec des enfants (2,3%) et les couples s enfant (1%) sont nettement moins menacés. Graphique 5-2 : Taux d assistance, par type de ménage*, canton de Berne, 2013 Couples s enfants 1.0% Couples avec des enfants 2.3% Personnes vivant seules 6.7% Personnes élevant seules leurs enfants 25.9% 0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% * Uniquement ménages privés. Source : Conseil-exécutif, Rapport social Page 18 / 21
19 6 Santé 6.1 Etat de santé LA PLUPART DES HOMMES ET DES FEMMES SE SENTENT EN BONNE SANTÉ. LES FEMMES SONT UN PEU MOINS NOMBREUSES À SE SENTIR EN TRÈS BONNE SANTÉ. La manière dont les individus perçoivent leur état de santé est un indicateur important pour l appréciation générale de la santé. La perception individuelle est un bon facteur de prédiction. Les données les plus récentes pour le canton de Berne datent de Les femmes ne se sentent en moyenne pas tout à fait aussi bien que les hommes, mais d l ensemble, la plupart des personnes interrogées estiment que leur santé est bonne voire très bonne. L état de santé subjectif présente une courbe parallèle à celle du niveau de formation, du revenu et du statut professionnel. Graphique 6-1 : Etat de santé subjectif, à partir de 15, canton de Berne, 2012 (3.4%) Femmes 35.0% 47.8% 13.9% Hommes 40.0% 44.3% 12.9% (2.7% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% très bon bon moyen (très) mauvais Source : Office fédéral de la statistique, Enquête suisse sur la santé 2012, données du canton de Berne, calculs effectuées par la Direction de la santé publique et de la prévoyance sociale Page 19 / 21
20 7 Politique 7.1 Grand Conseil LA REPRÉSENTATION FÉMININE A PROGRESSÉ JUSQUE DANS LES ANNÉES LA PROGRESSION A RALENTI DEPUIS, AVEC DES ÉPIDODES DE CONTRE-PERFORMANCE. C est en 1974 que les femmes ont pu se porter pour la première fois candidates à l élection du Grand Conseil. Cette année-là, le corps électoral avait élu 10 femmes sur les 200 membres que comptait alors le Grand Conseil, soit une proportion de 5 pour cent. Le record a été atteint en 2014 avec 51 femmes élues au Grand Conseil. Mais la représentation féminine est ensuite passée à 28 pour cent en 2016, sous le coup des démissions et élections complémentaires successives (soit 45 députées, état lors de la session de septembre). Graphique 7-1 : Grand Conseil du canton de Berne, répartition des sièges entre les hommes et les femmes, 1974 à % 90% 80% 70% 60% 50% 40% Représentation masculine Représentation féminine 30% 20% 10% 0% Femmes 5.0% 8.0% 12.0% 15.0% 17.5% 25.5% 29.5% 30.0% 31.3% 26.3% 31.9% 28.1% Hommes 95.0% 92.0% 88.0% 85.0% 82.5% 74.5% 70.5% 70.0% 68.8% 73.7% 68.1% 71.9% Source : Office fédéral de la statistique, Statistique des élections cantonales ; Zentrum für Demokratie, Aarau Page 20 / 21
21 Impressum Editeur Bureau de l égalité entre la femme et l homme Postgasse Berne 8 Téléphone : info.fgs@sta.be.ch Recherches et rédaction Barbara Ruf, Matthias Gähwiler Page 21 / 21
Les chiffres de l égalité
Quelques statistiques sur l égalité entre la femme et l homme d le canton de Berne Berne, 10 novembre 2014 Les chiffres de l égalité Bureau cantonal de l égalité entre la femme et l homme Postgasse 68
Plus en détailEtude salariale. Pour le domaine des ressources humaines 2013/2014 www.careerplus.ch
Pour le domaine des ressources humaines 2013/2014 B Sommaire 1. Editorial... 2 2. «La motivation passe par l égalité salariale»... 3 3. Résumé... 4 4. Faits et chiffres sur le marché suisse... 5/6 5. Méthode...
Plus en détailIMPACT DE LA FISCALITÉ ET DES FRAIS DE GARDE DES ENFANTS SUR LE REVENU DISPONIBLE DES PARENTS EXERÇANT UNE ACTIVITÉ LUCRATIVE
Zurich, le 8 janvier 2014 Dr. Regina Schwegler, Andrea Schultheiss IMPACT DE LA FISCALITÉ ET DES FRAIS DE GARDE DES ENFANTS SUR LE REVENU DISPONIBLE DES PARENTS EXERÇANT UNE ACTIVITÉ LUCRATIVE Sur mandat
Plus en détailFORMATION SELON LE SYSTEME DUAL L APPRENTISAGE CFC DE GESTIONNAIRE EN INTENDANCE L APPRENTISAGE AFP D EMPLOYÉ-E EN INTENDANCE
Département de l'éducation de la culture et du sport Service de la formation professionnelle Departement für Erziehung, Kultur und Sport Dienststelle für Berufsbildung FORMATION SELON LE SYSTEME DUAL L
Plus en détailLes femmes restent plus souvent au foyer, travaillent davantage à temps partiel, gagnent moins et sont plus exposées à la pauvreté
DIRECTION GÉNÉRALE STATISTIQUE ET INFORMATION ÉCONOMIQUE COMMUNIQUÉ DE PRESSE 7 mars 2008 Les femmes restent plus souvent au foyer, travaillent davantage à temps partiel, gagnent moins et sont plus exposées
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailInformation et communication
Information et communication Pour les nouveaux diplômés HES en information documentaire, en communication ainsi qu en traduction, l insertion professionnelle s avère difficile. Près de la moitié d entre
Plus en détailFormulaire de candidature Bachelor Soins Infirmiers Sion
Formulaire de candidature Bachelor Soins Infirmiers Sion Inscription pour la rentrée de septembre 20.. Photo Je m inscris pour la formation ordinaire, à plein temps, en 3 ans Je suis intéressé-e par une
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailTarif commun 7 2012 2016
ProLitteris Société suisse de gestion de droits d auteur pour la littérature et les arts plastiques, coopérative SSA Société suisse des auteurs, coopérative SUISA Coopérative des auteurs et éditeurs de
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détail8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013
8ème Congrès suisse de pédagogie spécialisée 2013 Pour un meilleur échange entre chercheuses et chercheurs en Suisse : Réseau Recherche en pédagogie spécialisée et banque de données de la recherche du
Plus en détailPage 1 Domaine commercial filière informatique de gestion 2 sur 16
Page 1 Domaine commercial filière informatique de gestion 2 sur 16 Introduction SOMMAIRE Introduction 4 Les objectifs de votre formation 6 Vos perspectives professionnelles 7 Notre offre de formation 8
Plus en détailSans formation à l aide sociale que faire?
Sans formation à l aide sociale que faire? CSIAS, mai 2010 Françoise Jaques cheffe du Service de prévoyance et d aide sociales du canton de Vaud Constats 2009 canton de Vaud 33 000 personnes ont recouru
Plus en détailDiplômes professionnels pour adultes
Diplômes professionnels pour adultes Quatre manières d obtenir le certificat fédéral de capacité ou l attestation fédérale de formation professionnelle Direction de l instruction publique du canton de
Plus en détailEnjeux de l égalité au XXI siècle en Suisse
Eidgenössisches Departement des Innern EDI Eidg. Büro für die Gleichstellung von Frau und Mann EBG Enjeux de l égalité au XXI siècle en Suisse Helvetia Latina Berne 25 novembre 2014 Points abordés 1. Rappel
Plus en détailB.A.-BA de la garde d enfants
B.A.-BA de la garde d enfants pour la Suisse romande Vue d ensemble des variantes de garde les plus fréquentes pour les petits enfants - Crèche - Accueil familial de jour - Nounou - Babysitter, Au Pair
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailBUREAUX D ARCHITECTES
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de la solidarité et de l'emploi Office cantonal de l'inspection et des relations du travail Document REFLÉTANT LES CONDITIONS DE TRAVAIL ET PRESTATIONS SOCIALES
Plus en détailReconnaître les besoins d apprentissage Check-list pour établir l état des lieux Planifier une formation Trouver l offre de formation adéquate
Reconnaître les besoins d apprentissage Check-list pour établir l état des lieux Planifier une formation Trouver l offre de formation adéquate Check-list pour la bonne formation continue Voies de formation
Plus en détailLa transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio
Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailLe Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE. Projet de loi n 1
Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE Projet de loi n 1 Loi sur la représentativité des sexes sur le marché du travail Présenté par Mme Jade Boivin Ministre du Travail
Plus en détailF o n d a t i o n B é a t r i c e
F o n d a t i o n B é a t r i c e DEMANDE D AIDE FINANCIERE FORMULAIRE A RETOURNER A LA DIRECTION DE L'ECOLE FREQUENTEE Veuillez écrire lisiblement et remplir complètement et correctement le formulaire.
Plus en détailL école doit être redéfinie comme un lieu de vie et d apprentissage
Document de base de l'initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation L école doit être redéfinie comme un lieu de vie et d apprentissage Impressum Éditeur Initiative des villes
Plus en détailen savoir plus sur les nouveaux barèmes C, H et A1 à A5
en savoir plus sur les nouveaux barèmes C, H et A1 à A5 Exemples Vous trouverez, dans l'aide au remplissage du formulaire "Déclaration pour le prélèvement de l'impôt à la source", plusieurs exemples avec
Plus en détailPrise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école
Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation La ville fait école Avant-propos Barbara Eberhard Conseillère municipale, St-Gall Direction école et sport
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailAccueil familial de jour
Département de la formation, de la jeunesse et de la culture Service de protection de la jeunesse Directives pour l accueil de jour des enfants Accueil familial de jour Cadre de référence et référentiels
Plus en détailL activité professionnelle des personnes de 50 ans et plus
Département fédéral de l intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Actualités OFS 3 Vie active et rémunération du travail Neuchâtel, février 2008 L activité professionnelle des personnes de 50
Plus en détailDispositions pour les apprentis
Édition 2011 Dispositions pour les apprentis Apprentis qui suivent les cours professionnels intercantonaux dans les Hôtels-écoles d hotelleriesuisse (HE) Spécialiste en hôtellerie CFC Employé-e en hôtellerie
Plus en détailBULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE
BULLETIN QUESTIONS-RÉPONSES PROGRAMME D ÉQUITÉ SALARIALE La Ville de Montréal et le Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SCFP) LE 9 FÉVRIER 2011 Dans le cadre du deuxième affichage faisant
Plus en détailD égale à égal? UN PORTRAIT STATISTIQUE DES FEMMES ET DES HOMMES
D égale à égal? UN PORTRAIT STATISTIQUE DES FEMMES ET DES HOMMES Le présent document a été élaboré au ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine (MFACF). En avril 2007, le volet Condition
Plus en détailArticle. Bien-être économique. par Cara Williams. Décembre 2010
Composante du produit no 89-503-X au catalogue de Statistique Canada Femmes au Canada : rapport statistique fondé sur le sexe Article Bien-être économique par Cara Williams Décembre 2010 Comment obtenir
Plus en détailPrestations de soins et d assistance dispensées par les proches : temps investi et évaluation monétaire
BUREAU D ETUDES DE POLITIQUE DU TRAVAIL ET DE POLITIQUE SOCIALE BASS SA KONSUMSTRASSE 20. CH-3007 BERNE. TEL +41 (0)31 380 60 80. FAX +41 (0)31 398 33 63 INFO@BUEROBASS.CH. WWW.BUEROBASS.CH Prestations
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailAccord intercantonal sur l harmonisation des régimes de bourses d études
Version de consultation du 25 octobre 2007 Accord intercantonal sur l harmonisation des régimes de bourses d études du I. Dispositions générales A. Objectifs et principes Art. 1 But de l accord Le présent
Plus en détailQuelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage?
Etudes Quelle est l influence d une réduction des prestations d 1/5, via le crédit-temps et l interruption de carrière, sur le revenu du ménage? Table des matières Introduction...7 Objectif, méthodologie
Plus en détailwww Sécurité sociale en Suisse: www.ofsp.admin.ch > Thèmes > Aperçu > Données de base
Vivre et travailler en Suisse + Le système de sécurité sociale en Suisse + Le système social* Le système suisse de sécurité sociale est relativement complexe: chaque branche a ses particularités. Cela
Plus en détailDEMANDE DE BOURSE ET/OU PRÊT D ETUDES 2015-2016
Avenue de France 8, 1951 Sion Heures d ouverture Tél. 027 606 40 85 Fax 027 606 40 84 Le lundi et mardi : e-mail : bourses-formations@admin.vs.ch 08h30-11h30 et 14h00-17h00 Internet :www.vs.ch/bourses
Plus en détailBas salaires et working poor en Suisse
Bas salaires et working poor en Suisse Ampleur des phénomènes et groupes à risque d après l Enquête sur la structure des salaires 2006 et l Enquête suisse sur la population active 2006 Neuchâtel, 2008
Plus en détailREPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE
REPONSE SUISSE AU QUESTIONNAIRE RELATIF A LA PROTECTION SOCIALE DES PERSONNES AGEES ADRESSE AUX GOUVERNEMENTS PAR L'EXPERTE INDEPENDANTE SUR LA QUESTION DES DROITS DE L'HOMME ET L'EXTREME PAUVRETE (i)
Plus en détailVIVRE ET TRAVAILLER EN SUISSE
VIVRE ET TRAVAILLER EN SUISSE + LE SYSTÈME DE SÉCURITÉ SOCIALE EN SUISSE + LE SYSTÈME SOCIAL Le système suisse de sécurité sociale est relativement complexe: chaque branche a ses particularités. Cela tient
Plus en détailUFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS
UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées Enquête sur le marché de la traduction Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS Méthodologie Les données de ce document sont issues
Plus en détailCollecter des informations statistiques
Collecter des informations statistiques FICHE MÉTHODE A I Les caractéristiques essentielles d un tableau statistique La statistique a un vocabulaire spécifique. L objet du tableau (la variable) s appelle
Plus en détailPouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009
Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en
Plus en détailProfil B ou profil E? Aide à la décision
Employée/Employé de commerce CFC Profil B ou profil E? Aide à la décision Introduction Le présent document sert d aide pour les acteurs qui participent au choix de la voie de formation la plus appropriée
Plus en détailLE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU
LE GRAND ÉCART L INÉGALITÉ DE LA REDISTRIBUTION DES BÉNÉFICES PROVENANT DU FRACTIONNEMENT DU REVENU RÉSUMÉ Une étude de Tristat Resources commandée par l Institut Broadbent démontre que la majorité des
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailLoi sur l enseignement privé (version en vigueur jusqu'au 31 décembre 2014)
Loi sur l enseignement privé (version en vigueur jusqu'au 31 décembre 2014) du 10 mai 1984 Le Parlement de la République et Canton du Jura, vu les articles 8, lettres d et h, 38 et 39 de la Constitution
Plus en détailCONTEXTE... 3 PROFIL DES POSTES DE NOUNOUS... 5 AGE DU PLUS JEUNE ENFANT GARDE... 5 TYPE DE GARDE... 5 HORAIRES... 5
Résultats d enquête Nounous à domicile : profils, salaire, horaires 2014 1 TABLE DES MATIERES CONTEXTE... 3 PROFIL DES REPONDANTS... ERREUR! SIGNET NON DEFINI. PROFIL DES NOUNOUS... 4 PROFIL DES POSTES
Plus en détailFormulaire d inscription
Modules complémentaires en vue d une admission dans une filière d une Haute Ecole Spécialisée dans le domaine Santé. Formulaire d inscription Je m inscris aux modules complémentaires en vue d une formation
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détailOffres publiques d'emplois
RÉPUBLIQUE ET CANTON DE NEUCHÂTEL DÉPARTEMENT DE L'ÉDUCATION, DE LA CULTURE ET DES SPORTS Offres publiques d'emplois de postes à pourvoir pour l'année scolaire 2011/2012 dans l'enseignement obligatoire
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailAssistant/-e d assurance AFA Formation pour titulaires d une maturité. L assurance d une carrière prometteuse!
Assistant/-e d assurance AFA Formation pour titulaires d une maturité L assurance d une carrière prometteuse! 2 De tout temps, l assurance privée s engage fortement à la formation de sa propre relève.
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailSi colocation, indiquer le montant de la participation au loyer net mensuel Si autre domicile, préciser
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Office pour l'orientation, la formation professionnelle et continue Service des bourses et prêts d'études
Plus en détailActivité n 8.2.5 du PAA 2014
République du Niger Fraternité Travail Progrès MINISTÈRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE Secrétariat Général DIRECTION DES ETUDES ET DE LA PROGRAMMATION DIVISION DES ETUDES, RECHERCHES Termes de références pour la
Plus en détailSpécialiste en finance et comptabilité Brevet fédéral. Cours organisés par le CPLN-EPC formations supérieures. page 1
Spécialiste en finance et comptabilité Brevet fédéral Cours organisés par le CPLN-EPC formations supérieures page 1 1. Introduction A qui est destinée cette formation? Proposée en emploi, la formation
Plus en détailPROGRAMME DE BOURSES FONDATION J. ARMAND BOMBARDIER
PROGRAMME DE BOURSES FONDATION J. ARMAND BOMBARDIER DESCRIPTION GÉNÉRALE DU PROGRAMME Ce programme s adresse aux étudiants qui poursuivent, à temps plein, un programme d études reconnu au Canada et conduisant
Plus en détailDEDUCTION FRAIS REELS/FRAIS FORFAITAIRES TABLEAU COMPARATIF IMPOT A LA SOURCE/DECLARATION
DEDUCTION FRAIS REELS/FRAIS FORFAITAIRES TABLEAU COMPARATIF IMPOT A LA SOURCE/DECLARATION 2012 Données indicatives. Se reporter au guide de l administration fiscale pour toutes précisions Catégorie de
Plus en détailEGALITÉ ENTRE LES FEMMES
ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES
Plus en détailDispositions pour les apprentis Indications pour remplir le contrat d apprentissage et renseignements généraux
Édition 2015 Dispositions pour les apprentis Indications pour remplir le contrat d apprentissage et renseignements généraux Apprentis qui suivent les cours professionnels intercantonaux dans les hôtels-écoles
Plus en détailQui sont les enseignants?
Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),
Plus en détailLa retraite et l inaptitude au travail
La retraite et l inaptitude au travail 1 Le calcul de la retraite Salaire annuel moyen X Taux X Trimestres du RG Calculé sur les 25 meilleures années Varie entre 160 25% minimum et 50% maximum 2 Le taux
Plus en détailMODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES
MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier
Plus en détailAvant-propos. Chère lectrice, cher lecteur,
Avant-propos Chère lectrice, cher lecteur, En ces temps économiquement difficiles, il est important de savoir ce que je peux exiger comme salaire en tant qu entraîneur ou entraîneuse. En particulier, en
Plus en détailProjet Femmes et Pauvreté Dans la MRC de Brome-Missisquoi
Projet Femmes et Pauvreté Dans la MRC de Brome-Missisquoi Portrait statistique et analyse comparative entre les sexes Par Miren Catalan Association Action Plus Brome-Missisquoi Juin 2013 Table des matières
Plus en détailRapport sur les droits à l égalité des. Autochtones
Rapport sur les droits à l égalité des Autochtones Les symboles suivants sont utilisés dans le présent document : Symbole E F ** Définition Donnée à utiliser avec prudence; coefficient de variation entre
Plus en détail12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,
Plus en détailRECRUTEMENT EXTERNE SANS CONCOURS. Plombier Génie Climatique 2 ème Classe BAP G
RECRUTEMENT EXTERNE SANS CONCOURS Plombier Génie Climatique 2 ème Classe BAP G Dossier de candidature session 2011 1 Recrutement sans concours Plombier Génie Climatique 2 ème classe Concernant votre état
Plus en détail1 - Salaires nets tous secteurs confondus
N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.
Plus en détailR E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S
Direction des ressources humaines Centre de formation Formations spécialisées en soins R E G L E M E N T G E N E R I Q U E DES F O R M A T I O N S E P D E S S P E C I A L I S E E S E N S O I N S P O U
Plus en détailGood practice: réduction individuelle des primes d assurance-maladie
Good practice: réduction individuelle des primes d assurance-maladie Extrait du rapport: Ehrler, Franziska, Caroline Knupfer et Yann Bochsler (2012) Effets de seuil et effets pervers sur l activité. Une
Plus en détailBachelor of Science en. Informatique. Informatique. Haute école spécialisée bernoise Informatique La Haute Route 80 2502 Bienne
Haute école spécialisée bernoise Informatique La Haute Route 80 2502 Bienne Téléphone +41 32 321 63 23 office.ti@bfh.ch ti.bfh.ch/informatique Bachelor of Science en Informatique En tant qu informaticien
Plus en détailRESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL
RESULTATS D ENQUÊTE: LES SALAIRES DES DIPLÔMÉS DE L EPFL Pendant l été 2013, l EPFL Alumni a réalisé une enquête portant sur les parcours professionnels des diplômés de l EPFL (Diplôme, Master et/ou Doctorat),
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailCCNT Hôtellerie & Restauration
CCNT Hôtellerie & Restauration Expertise succincte concernant l application de la CCNT Hôtellerie & Restauration dans les institutions membres d INSOS Suisse Cette expertise a été réalisée et mise à disposition
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailDirective 05_04 Prise en compte des études déjà effectuées
Haute école pédagogique Comité de Direction Avenue de Cour CH 04 Lausanne www.hepl.ch Directives du Comité de direction Chapitre 05 : Filières de formation Directive 05_04 Prise en compte des études déjà
Plus en détailBellevue - Chantenay - Sainte-Anne
Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,
Plus en détailEnquête sur les pratiques et préférences familiales en matière d'accueil de la petite enfance dans le canton de Genève QUESTIONNAIRE
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Service de la recherche en éducation Observatoire cantonal de la petite enfance Enquête sur les pratiques
Plus en détail6.01 Prestations des APG et de l allocation de maternité Allocations pour perte de gain
6.01 Prestations des APG et de l allocation de maternité s pour perte de gain Etat au 1 er janvier 2015 1 En bref Toute personne qui sert dans l armée suisse, la protection civile, la Croix- Rouge, le
Plus en détailDépartement fédéral de l économie DFE
Département fédéral de l économie DFE Rapport en réponse au postulat 05.3716 «Ordonnance sur les titres attribués par les hautes écoles spécialisées» Titres bachelor et master et dénominations professionnelles
Plus en détailCHARTE EGALITE HOMME FEMME
CHARTE EGALITE HOMME FEMME Information : Afin de limiter les effets liés à l éloignement prolongé de la vie de l Entreprise et faciliter le retour dans son activité professionnelle, Whirlpool s engage
Plus en détailRéponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de M. Pierre Weiss : Quelle est la place de l'anglais dans les hautes écoles genevoises?
Secrétariat du Grand Conseil QUE 33-A Date de dépôt : 12 décembre 2012 Réponse du Conseil d Etat à la question écrite urgente de M. Pierre Weiss : Quelle est la place de l'anglais dans les hautes écoles
Plus en détailImpressum. Salaires des professions des TIC - Enquête nationale 2012
Impressum Salaires des professions des TIC - Enquête nationale 2012 Editeur version française GRI Groupement Romand de l'informatique Rte de Genève 88 CH - 1004 Lausanne Internet : www.gri.ch Courriel
Plus en détailAnalyse de la réinsertion des personnes arrivées en fin de droit de l assurance chômage
Département fédéral de l intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Actualités OFS 3 Vie active et rémunération du travail Neuchâtel, octobre 2009 Arriver en fin de droit, et après? Analyse de
Plus en détailnote d Temps de travail des enseignants du second degré public : pour une heure de cours, une heure de travail en dehors 13.13
note d informationjuillet 13.13 Les enseignants du second degré public à temps complet ont déclaré, en moyenne, exercer 41 heures de travail par semaine dont la moitié avec les élèves, principalement en
Plus en détailMAINTENANCE AGENT DE MAINTENANCE
Secteur Techn que MAINTENANCE AGENT DE MAINTENANCE Brevet fédéral Préparation aux examens Situation de la formation Domaines Bilans de compétences Coaching Commerce Culture générale (ECG) Finances Formation
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailDiplômes et insertion professionnelle
Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détailLe contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE MISSION FORMATION «POLE ALTERNANCE»
GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier MISSION FORMATION CONTINUE ET APPRENTISSAGE «POLE ALTERNANCE» LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION
Plus en détailLA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI
Juin 2008 - N 24.1 LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI En 2007, la Dares et la Drees ont conduit une enquête
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détail