Pour l année 2006, la vente totale de tabac a été établie à 335,3 tonnes. 330,9 320,6 317,3
|
|
- Patrick Simoneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 I.5.2. Le tabagisme Source : Régie Locale des Tabacs. I Introduction Le monopole des tabacs sur le Territoire a été institué par le décret du 17 octobre La régie locale des tabacs, section du service des contributions diverses au sein de la Direction des Services Fiscaux de la Nouvelle-Calédonie, est chargée d assurer la distribution des produits du monopole des tabacs. L'arrêté n /GNC du 28/12/00 réglemente les prix de vente des tabacs et cigarettes. La délibération n 148 du 27/12/00 (article 2) a institué une cotisation spéciale sur les tabacs au profit de la C.A.F.A.T. I La consommation Seita). Par convention la définition de l'unité de tabac est : 1 cigarette = 1 cigare = 1 gramme (convention Pour l année 2006, la vente totale de tabac a été établie à 335,3 tonnes. tonnes ,7 330,9 332,3 330,4 335,3 335, ,6 317,3 320, , A noter que la vente peut être assimilée à la consommation. Evolution annuelle de la consommation de tabac tous produits confondus sur10 ans. La consommation annuelle de tabac en Nouvelle-Calédonie, tous produits confondus, dans l ensemble, augmente progressivement ces 10 dernières années, malgré une diminution observée entre 2001 et La consommation de tabac en 2006 est la même que celle enregistrée en Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006 Le tabagisme I p 1
2 Année Consommation globale en grammes Population de 15 ans et plus - source ISEE quantité variation effectif cons/pers/j ,14% , ,85% , ,92% , ,28% , ,10% , ,91% , ,8% , ,6% , ,5% ,4 2006* pop. n.d ,04% ,4 Evolution de la consommation totale de tous produits confondus par adulte de 15 ans et plus, par jour. En 2006, l'estimation de la consommation quotidienne de tabac, tous produits confondus, par adulte de 15 ans et plus, est évaluée à 5,4 grammes/adulte/jour. Cette tendance à la baisse semble se maintenir puisque l on est passé en 10 ans de 6,07 grammes/adulte/jour à 5,4 soit une chute de 9,3% du niveau de consommation quotidienne. grammes ,01 6 5,7 5,4 Estimation de la consommation journalière par adulte de15 ans et plus. Dans le graphique qui suit, illustrant l évolution annuelle de la consommation des différents produits, on constate : Que la consommation de cigarettes suit l évolution de la consommation totale de tabac, avec un écart qui semble se creuser entre consommation totale et consommation de cigarettes. La consommation totale de tabac en 2006 est quasiment la même que celle enregistrée en L augmentation régulière du groupe tabac à rouler de 7,8 % 2005/2006. La différence de consommation encore plus marquée entre cigarettes françaises et cigarettes étrangères. p 2 I.5.2. Le tabagisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006
3 tonnes 400 tabacs - cigares cig. françaises cig. étrangères total cigarettes tous produits Evolution de la consommation des produits. La baisse des cigarettes françaises se poursuit au profit des cigarettes étrangères : sur une période de 10 ans, la proportion des cigarettes françaises à chuté de 26,9%. Le graphique qui suit illustre en pourcentage la part des cigarettes françaises et étrangères dans le marché total du tabac ; la baisse conséquente des cigarettes françaises par rapport à l ensemble des produits (39% de tous produits confondus en 1993, et 24,4% en 2006) se fait en faveur des cigarettes étrangères. % cigarettes françaises cigarettes étrangères Part des cigarettes françaises et étrangères dans le marché total du tabac. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006 Le tabagisme I p 3
4 La consommation des tabacs à rouler (moins coûteux que les cigarettes), continue d augmenter. Ce phénomène a été encore plus net entre 2000 et 2003 (année où a été mise en place une taxe supplémentaire sur les tabacs). Années tabacs à rouler 57,708 62,072 61,907 67,519 72,150 73,716 80,955 74,291 73,200 78,900 Evolution qualitative de la consommation (en tonnes). Les recettes encaissées par la Régie Locale des Tabacs ont augmenté de 4,32% entre 2004 et Années recettes en F CFP Recettes encaissées par la Régie Locale des Tabacs produits. Pour l année 2006, la part du marché des cigarettes étrangères est de 58,8% de l ensemble des produits francs CFP part francs CFP part francs CFP part tabacs bâton ,40% ,32% ,22% tabacs à pipe ,08% ,08% ,08% tabacs à rouler ,43% ,14% ,24% cigares ,06% ,06% ,09% cigarettes françaises ,79% ,41% ,56% cigarettes étrangères ,25% ,01% ,80% total % % % Dans le graphique qui suit, sont représentées : Ventes (chiffre d affaires en francs XPF) l estimation de la consommation journalière par adulte de plus de 15 ans pour l ensemble des produits, l unité = 1 cigarette ou 1 gramme de tabac. l évolution du prix relatif du tabac : base 100 pour 1988 (recettes/consommation). p 4 I.5.2. Le tabagisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006
5 Il semblerait que le déplacement de la consommation des cigarettes vers le tabac à rouler puisse s expliquer par le moindre coût du tabac à rouler. De même, la hausse du prix du tabac pouvait en partie expliquer la baisse de la consommation estimée grammes/adulte/jour. grammes 6,2 6 5,8 5,6 5,4 5,2 grammes/adulte/jour prix relatif (100 frs en 1988) francs Evolution de la consommation et du prix relatif du tabac. 0 L enquête menée en 2003, dans la zone de Nouméa et du grand Nouméa (société Louis Harris), sur un échantillon de 1050 personnes âgées de 15 ans et plus montrait que moins d une personne sur deux fumait (42%). La décomposition des 42% de fumeurs donnait : 15% de grands fumeurs, 19% de fumeurs raisonnables et 8% de fumeurs occasionnels. Les grands fumeurs consommaient en moyenne 18,2 cigarettes par jour, les fumeurs raisonnables 8,3 par jour et les occasionnels 3,1 cigarettes par jour. La fréquence des fumeurs était plus importante dans la tranche d âge des 20 à 35 ans. (62% chez les ans, 57% chez les ans et 49% chez les ans), avec une consommation moyenne entre 9 et 14 cigarettes par jour. De même la fréquence des fumeurs était plus élevée chez les femmes (64%) que chez les hommes (54%), avec cependant une consommation moyenne plus faible chez les femmes (10 cigarettes par jour) que chez les hommes (11,7 cigarettes par jour). En France Métropolitaine, les ventes des cigarettes constituent l essentiel des ventes de tabac en France (91% en moyenne) bien que leur part ait tendance à diminuer au profit de produits moins chers, comme les tabacs à rouler. Les ventes de tabac se sont élevées à près de tonnes en 2005 dont 54,80 milliards de cigarettes -1 cigarette = 1 cigare = 1 cigarillo = 1 gramme - Après les fortes baisses des deux années précédentes de vente de cigarettes (-14% en 2003 et 21% en 2004), l année 2005 apparaît comme une année de stabilisation (source = OFDT séries statistiques mars 2006) I Les conséquences du tabagisme La morbidité Les principales pathologies liées au tabagisme et pour lesquelles il est possible de disposer de données en matière de morbidité sont les cancers respiratoires (poumons et bronches, larynx) ainsi que, partiellement, les pathologies respiratoires prises en charge dans le cadre de la ventilation ou l oxygénothérapie à domicile et dont le détail figure dans le chapitre I.3.3. Ainsi, les données issues du registre du cancer de Nouvelle-Calédonie (Registre du Cancer de Nouvelle- Calédonie, rapport 2005, IPNC) montrent que sur 10 ans, on enregistre en moyenne 72 nouveaux cas de cancers respiratoires. Ces cancers touchent essentiellement les hommes. Le tabagisme est la cause principale de survenue d un cancer du poumon. Il est établi que le risque de développer un cancer du poumon pour un fumeur peut être 20 fois plus élevé que chez un non-fumeur, selon Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006 Le tabagisme I p 5
6 l intensité et la durée du tabagisme. La répartition des cancers du poumon selon le sexe témoigne des habitudes tabagiques passées, datant de plusieurs décennies. La Nouvelle-Calédonie reste donc un pays fortement à risque pour ce type de cancers. Une enquête de prévalence menée par le Dr Christian Michel en 2003 auprès d un échantillon de 254 patients de plus de 15 ans, hospitalisés au CHT et au CHS mettait en évidence que la consommation de tabac était loin d être négligeable en Nouvelle-Calédonie, puisque plus de 4 personnes sur 5 fumaient avec une proportion de femmes nettement plus élevée que dans la population mondiale. La mortalité Parallèlement à la morbidité, il est possible de quantifier la mortalité liée au tabagisme à partir de l analyse des certificats médicaux de décès qui sont enregistrés depuis 1991 en Nouvelle-Calédonie. Le nombre de décès attribuables au tabac est obtenu en multipliant le nombre total de décès dus à une cause donnée par les risques attribuables au tabac, lesquels ont été estimés à partir d une enquête de cohorte réalisée par l American Cancer Society. Le tableau qui suit comporte le nombre de décès, cumulés sur 16 ans, en Nouvelle-Calédonie concernant les pathologies liées au tabac. nombre de décès Hommes risque attribuable au tabac nombre de décès attribuables au tabac nombre de décès Femmes risque attribuable au tabac nombre de décès attribuables au tabac Pathologies infectieuses Tuberculose respiratoire 26 0, ,0 Cancers Cavité buccale et pharynx 100 0, ,82 36,4 Oesophage 106 0,54 57,2 16 0,13 2,1 Pancréas 92 0,39 35,9 52 0,04 2,2 Larynx 35 0,87 30,5 4 0,29 1,2 Trachée bronches poumon 802 0,85 681, ,19 52,6 Col de l utérus ,06 4,6 Vessie 64 0, ,13 1,7 Rein et voies urinaires 40 0,39 15,6 16 0,08 1,3 Maladies cardiovasculaires Hypertension 181 0,19 34, ,04 11,2 Cardiopathie ischémique avant 65 ans 348 0,43 149,6 78 0,19 14,8 Cardiopathie ischémique 65 ans & ,21 75, ,02 4,8 Arrêt cardiaque 119 0, ,07 6,3 Maladie cérébrovasculaire 520 0,11 57, ,02 9,7 Artériosclérose 49 0,24 11,8 37 0,07 2,6 Anévrisme de l aorte 57 0,63 35,9 20 0,22 4,4 Artérite 1 0,68 0,7 2 0,15 0,3 Maladies appareil respiratoire Pneumonie grippe 332 0,36 119, ,00 Bronchite chronique, emphysème 128 0,88 112,6 49 0,29 14,2 Maladie pulmonaire obstructive 309 0,88 271, ,30 49,2 Maladie de l appareil digestif Ulcère gastro-duodénal 4 0,98 3,9 3 0,05 0, Pathologies liées au tabac (en cause principale) - Cumul sur 16 ans - de 1991 à p 6 I.5.2. Le tabagisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006
7 Lorsque l on applique le coefficient de risque à chacune des pathologies liées au tabac, on obtient alors décès chez les hommes et 220 décès chez les femmes, qui seraient attribuables au tabac, soit pour décès au cours de la même période, c est-à-dire 12,3% des décès. Ce qui représenterait un taux moyen brut de décès attribuables au tabac égal à 64 pour Si l on rajoute les causes complémentaires, le nombre de décès attribuables au tabac pour les hommes s élève à 2 517, et 307 décès chez les femmes. En 2006, le taux standardisé de mortalité par cancer respiratoire est égal à 42,7 pour Il est égal à 38,9 pour pour le cancer du poumon. Les données de la France Métropolitaine, datant de 1999, montrent que hommes et femmes étaient décédés suite à un cancer du poumon hommes et femmes étaient décédés à la suite d une bronchite chronique et hommes et femmes étaient décédés d une cardiopathie ischémique, soit un total de décès liés au tabac. Ce qui représente 15,8% de l ensemble des décès. Référence : INSERM cépidc INSEE première n 852 juin 2002 Par ailleurs, en France Métropolitaine, les quantités de tabac consommées par les Français ont augmenté jusque dans les années 1980 et ont diminué de façon notable depuis le début des années Le nombre de fumeurs est en diminution depuis de nombreuses années alors que le nombre de fumeuses, beaucoup plus faible il y a vingt ou trente ans, a beaucoup augmenté depuis, et continuait encore à croître dans la deuxième moitié des années 1990 : - 35% des adultes (près de 16 millions de personnes) se déclaraient fumeurs en Chez les hommes, la proportion de fumeurs est de 42% contre 27% chez les femmes. - un peu plus d un adulte sur cinq (10 millions de personnes environ) fume plus de dix cigarettes par jour. - un adolescent sur quatre (1,5 millions de jeunes âgés de 12 à 19 ans) fumait au moins une cigarette par jour en 1997 ; l âge moyen d initiation étant de 15 ans. (Source OFDT drogues et toxicomanies, indicateurs et tendances, 1999). En Nouvelle-Calédonie, malgré cette baisse de la consommation journalière de tabac par habitant de plus de 15 ans en Nouvelle-Calédonie, estimée à partir des ventes, on peut craindre, à l instar de la France Métropolitaine, de voir augmenter considérablement le nombre de cancers du poumon dans les années à venir, ce qui refléterait la consommation de tabac des décennies passées. Rappel : les résultats de l enquête ISAAC menée en 1998, sur la population des jeunes scolarisés dans les classes de 5 ème et 4 ème en Nouvelle-Calédonie montraient déjà que 32,6% des jeunes fumaient, et plus souvent les filles (34,1%) que les garçons (30,9%), et plus souvent les jeunes polynésiens (47,1%) que les élèves européens (40,4%) et mélanésiens (24%). Il est donc probable, que les effets du tabagisme vont affecter un nombre de femmes plus important, et d individus plus jeunes au fil des années. Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006 Le tabagisme I p 7
8 p 8 I.5.2. Le tabagisme - Situation sanitaire en Nouvelle-Calédonie - Année 2006
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailPourtant, la preuve est faite, de manière scientifique, que le tabagisme passif comporte des risques réels pour la santé.
Si plus des trois quarts des personnes se disent gênées par la fumée des autres, les risques liés au tabagisme passif restent largement sous-estimés : les non-fumeurs sont seulement 15 % à craindre, pour
Plus en détailTABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS
TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS A LA REUNION réalisé par l Observatoire Régional de la Santé de La Réunion 5 ème édition : octobre 27 En 21, le Comité de Lutte contre la Drogue et de Prévention des
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailSurveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES
Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailProgramme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO»
Programme d actions en faveur de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) 2005 2010 «Connaître, prévenir et mieux prendre en charge la BPCO» Ministère de la Santé et des Solidarités 1 Le programme
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailDéclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.
Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat
Plus en détailPartie III : Les déterminants de la santé
Partie III : Les déterminants de la santé La santé de la population bruxelloise dépend de nombreux facteurs qui interviennent à des niveaux différents. Au niveau individuel, outre les facteurs génétiques,
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailLes gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.
Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailUnité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly
Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,
Plus en détailFeuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté
Feuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté Conseils pratiques : > Nous voulons que votre client puisse remplir le questionnaire médical sans
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailTableau de bord sur les addictions en Bretagne
DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/
Plus en détailLa fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008
La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailL Atlas Régional et Territorial de Santé du Nord-Pas-de-Calais 2011
Projet Régional de Santé PNord - Pas-de-Calais L Atlas Régional et Territorial de Santé du Nord-Pas-de-Calais 2011 Métropole - Flandre Intérieure Littoral Hainaut - Cambrésis Artois - Douaisis Agence Régionale
Plus en détailvie 50+ Une solution avantageuse et abordable
assurance vie 50+ Une solution avantageuse et abordable Si vous pensez qu il est trop tard pour souscrire une assurance vie, lisez ceci Ce n est pas parce que vous avez plus de 50 ans qu il est trop tard
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailTABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse
TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailDéveloppement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire
Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de
Plus en détailASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ
ASSURANCE COLLECTIVE DÉCLARATION D'ASSURABILITÉ Déclaration d'assurabilité (Assurance collective) Partie 1 - Identification N o de police : N o de sous-groupe : N o du certifi cat : Nom de l'employeur
Plus en détailPREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION
PREUVE D ASSURABILITÉ DESCRIPTION DE LA PROTECTION La présente demande d assurance comprend deux formulaires : Preuve d assurabilité Description de la protection et Questionnaire relatif aux renseignements
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailVade-mecum. Tableau de bord wallon des maisons médicales. Encodage, extraction, analyse. Tout ce que vous devez savoir pour participer au projet
Vade-mecum Tableau de bord wallon des maisons médicales Encodage, extraction, analyse Tout ce que vous devez savoir pour participer au projet n 3 - juin 2013 Page 2 Table des matières PREAMBULE 5 TABLEAU
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailLes personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?
Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailgalités s sociales de cancer chez les travailleurs
Inégalit galités s sociales de cancer chez les travailleurs Annie Thébaud baud-mony INSERM/GISCOP93, Université Paris13 Rencontres francophones internationales sur les inégalit galités s sociales et de
Plus en détailBPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année...
BPCO * La maladie respiratoire qui tue à petit feu. *Bronchopneumopathie chronique obstructive. En France, 3,5 millions de personnes touchées dont 2/3 l ignorent. 17 000 morts chaque année... Fondation
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailprovince (les aspects méthodologiques sont présentés dans l encadré à la page 2).
SANTÉ ET BIEN-ÊTRE INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC Zoom santé Janvier 2010 Numéro 19 Alors que le cigarillo perd des adeptes, le poker gagne du terrain chez les élèves du secondaire Gaëtane Dubé*,
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailTableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion
Tableau de bord Tableau de bord Les addictions à La Réunion Décembre 2011 Tableau de bord sur les addictions à La Réunion Décembre 2011 Page 2 sur 52 SOMMAIRE INTRODUCTION...... 5 OFFRE ET PRODUCTION....
Plus en détailExtrait du Guide d aide à la codification du BAAC. Document réalisé par l ONISR et le SETRA Avec la collaboration du CETE du Sud-Ouest
Extrait du Guide d aide à la codification du BAAC Document réalisé par l ONISR et le SETRA Avec la collaboration du CETE du Sud-Ouest Décembre 2012 Définition de l accident corporel de la circulation routière
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailLe cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»
F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité
Plus en détailGTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM
GTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM Questions sur le tabagisme à utiliser dans les enquêtes Sous-ensemble de questions essentielles tirées de l enquête mondiale sur le tabagisme chez les adultes (GATS)
Plus en détailProposition d'assurance - Questionnaire médical
Proposition d'assurance - Questionnaire médical AG Care Hospitalisation - Medi-Assistance - DELT Proposition d'assurance AG Care Hospitalisation Veuillez remplir le formulaire en lettres majuscules S agit-il
Plus en détailDr Marie-Pierre CRESTA. Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien. Juin 2014
Dr Marie-Pierre CRESTA Agence de la biomédecine SRA Sud-Est/Océan Indien Juin 2014 Que savoir en tant que citoyen? Les LBE La greffe, ça marche Que savoir en tant que professionnel? Pénurie, contexte épidémiologique
Plus en détailHOSPITALISATION HOSPITALISATION DENTAIRE
HOSPITALISATION HOSPITALISATION DENTAIRE FORFAITS HOSPITALIERS La CPAM peut participer aux forfaits hospitaliers de moins d un an facture originale procuration si facture non acquittée FRAIS D ACCOMPAGNEMENT
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailAspects réglementaires du don et de la transplantation des organes. Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès
Aspects réglementaires du don et de la transplantation des organes Mohamed Arrayhani - Tarik Sqalli Service de Néphrologie CHU Hassan II - Fès Cadre législatif au Maroc Loi 16/98 relative au don, au prélèvement
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détail$219 Vol 33, n o 4, septembre 2013 Maladies chroniques et blessures au Canada
Mortalité par cause en fonction du niveau de compétence professionnelle au Canada : une étude de suivi sur 16 ans M. Tjepkema, M.H.P. (1); R. Wilkins, M. Urb. (1, 2); A. Long, M.A. (3) Cet article a fait
Plus en détailLes recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA
Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des
Plus en détailLa solution santé et prévoyance modulable de Generali.
La solution santé et prévoyance modulable de Generali. 2 Pour faire face aux aléas de la vie La Prévoyance Entreprise 6-20 de Generali est un contrat de prévoyance/santé qui vous permet d apporter à vos
Plus en détailLES CIGARETTES LÉGÈRES SONT-ELLES MOINS NOCIVES?
LS IGATTS LÉGÈS SONT-LLS MOINS NOIVS? Journaliste : M. D. Duterte VM productions, 1999 Durée : 01 min 9 s Ainsi donc, les fumeurs qui se donnaient bonne conscience en fumant des cigarettes légères ont
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailPLAN Introduction Généralités Conceptualisation du problème de recherche Matériel et méthodes Résultats DISCUSSION Conclusion Résumé
PLAN I Introduction... 3 II Généralités... 5 II-1 Historique... 5 II-2 Épidémiologie... 6 II-2.1 Définitions... 6 II-2.2 Tendances actuelles... 6 II-3 Tabagisme et ses impacts sanitaires et économiques...
Plus en détailGUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE :
GUIDE PRATIQUE DE L ASSURANCE MALADIE : Vous trouverez dans ce guide pratique les points essentiels de la réforme de l assurance-maladie : forfait de 1 euro, médecin traitant, aide à l acquisition d une
Plus en détailMALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES
LES MALADIES DU CŒUR ET LES MALADIES VASCULAIRES CÉRÉBRALES PRÉVALENCE, MORBIDITÉ ET MORTALITÉ AU QUÉBEC DIRECTION PLANIFICATION, RECHERCHE ET INNOVATION UNITÉ CONNAISSANCE-SURVEILLANCE OCTOBRE 2006 AUTEUR
Plus en détailSanté Offre collective. une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés
Santé Offre collective une couverture santé adaptée aux besoins de votre entreprise et de vos salariés La Mutuelle Audiens de la presse, du spectacle et de la communication Née de la fusion de la MNPLC,
Plus en détailÉtude NACORA-BR du projet NACORA (nouveaux anticoagulants oraux et risques associés)
Étude en vie réelle du bénéfice/risque à court terme des nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban) chez les patients débutant un traitement et non précédemment traités par des antivitamines
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailCOMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE
COMPLEMENTAIRE SANTÉ PERSONNALISABLE L assurance de trouver la meilleure des mutuelles santé! Notre équipe est à votre écoute au : 01 76 29 75 76 du lundi au vendredi de 9h30 à 13h et de 14h à 18h contact@assurance-sante.com
Plus en détailRecherche pour la Nouvelle Calédonie. Un contrôleur de revêtement expert dans les géomembranes
Recherche pour la Nouvelle Calédonie Un contrôleur de revêtement expert dans les géomembranes 1 Faire connaissance avec A2EP Un bureau d études de 40 personnes qui intervient : - dans les géosciences (géotechnique,
Plus en détailLE BUDGET DES VENTES
LE BUDGET DES VENTES Objectif(s) : o Pré requis : o Modalités : o o o Elaboration du budget des ventes. Connaissances du processus "ventes". Principes, Synthèse, Application. TABLE DES MATIERES Chapitre
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailLa cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac?
La cigarette électronique permet-elle de sortir la société du tabac? Dubois G, Goullé JP, Costentin J Au nom de la Commission VI (Addictions) Académie Nationale de Médecine Introduction Le tabac tue un
Plus en détailENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l asthme de votre enfant
ENFANT ASTHMATIQUE? PAS DE PANIQUE Contrôlez et équilibrez l astme de votre enfant Membre de la Fédération Française de Pneumologie Avec le soutien de la Direction Générale de la Santé et le parrainage
Plus en détailFICHE THÉMATIQUE : LA LOI SANTÉ
LOI SANTÉ : QUELS IMPACTS SUR LE QUOTIDIEN DES FRANÇAIS? Le 14 avril dernier l Assemblée nationale a adopté à 311 voix contre 241 le projet de loi de «modernisation de notre système de santé» dit loi santé.
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailStatistique : Résumé de cours et méthodes
Statistique : Résumé de cours et méthodes 1 Vocabulaire : Population : c est l ensemble étudié. Individu : c est un élément de la population. Effectif total : c est le nombre total d individus. Caractère
Plus en détailVous voulez. vous libérer. du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire.
Vous voulez vous libérer du tabac? Parlez-en avec un membre de notre équipe dentaire. Bénéfices de l abandon du tabac pour la santé buccodentaire Les effets néfastes du tabagisme sur la santé buccodentaire
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailMonitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation
Hans Krebs Kommunikation und Publikumsforschung Monitorage sur le tabac en Suisse : notoriété, utilisation et acceptation Résultats de l enquête menée sur les organisations partenaires de l Office fédéral
Plus en détailLa protection sociale en France
18 La protection sociale en France FONCTIONNEMENT La protection sociale peut fonctionner selon trois logiques. LA LOGIQUE D ASSURANCE SOCIALE La logique d assurance sociale a pour objectif de prémunir
Plus en détailLES MALADIES CARDIOVASCULAIRES
. LES MALADIES CHRONIQUES DANS LANAUDIÈRE LES MALADIES CARDIOVASCULAIRES Source : Istockphoto Marie Eve Simoneau collaboration Christine Garand et Josée Payette Service de surveillance, recherche et évaluation
Plus en détailSimple efficace. pour garantir la santé de vos salariés!
Simple efficace pour garantir la santé de vos salariés! AVEC SEREO Mutuelle, PRIVILÉGIEZ SIMPLICITÉ ET PERFORMANCE pour bien protéger et fidéliser vos salariés Une couverture au plus près de vos attentes
Plus en détailSITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
I. Tabac-info-service.fr SITES DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME I. TABAC-INFO-SERVICE.FR http://www.tabac-info-service.fr/ Site du Ministère de la Santé et de l Inpes (Institut national de prévention et d
Plus en détailSTRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière
STRATEGIES THERAPEUTIQUES D AIDE AU SEVRAGE TABAGIQUE Efficacité, efficience et prise en charge financière Service évaluation économique et santé publique 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailTRANSPORT SANITAIRE. Création et diffusion Tous droits réservés, reproduction interdite sans autorisation de l auteur Mise à jour : 15/09/2014 1
TRANSPORT SANITAIRE SOMMAIRE LE MARCHÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 2 LA RÉGLEMENTATION DU TRANSPORT SANITAIRE... 4 L'ACTIVITÉ DU TRANSPORT SANITAIRE... 6 LES POINTS DE VIGILANCE DU TRANSPORT SANITAIRE...
Plus en détail