a u c œ u r d e l a t r a u m a
|
|
- Clementine Vinet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 au cœur de la trauma
2 Table des matières Préface 3 Historique 4 Principes 6 Soins et services 9 Réseau 10 Clientèle en traumatologie 12 Enseignement et formation continue 16 Recherche 19 Prévention 21 Grand Prix F1 22 Fonds de traumatologie 24 Centre intégré de traumatologie Mirella et Lino Saputo 24 La traumatologie à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal
3 CHAQUE ANNÉE, L HÔPITAL DU SACRÉ-CœUR DE MONTRÉAL REÇOIT PRÈS DE PERSONNES VICTIMES DE TRAUMATISMES DE TOUTES SORTES Préface «Il suffit de quelques minutes pour faire basculer toute une vie; sauver ces vies constitue la raison d être de notre équipe de traumatologie.» Dr Ronald Denis Chef du Département de chirurgie et directeur du Programme de traumatologie Un traumatisme est une blessure subie lors d un accident de la route, d une mauvaise chute à domicile ou lors de la pratique d une activité sportive, d une violente agression, etc. Chaque année, l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal (HSCM) reçoit près de personnes victimes de traumatismes de toutes sortes. Une seule ou plusieurs parties du corps peuvent être touchées. Être victime d un traumatisme sévère, ça change une vie; non seulement le quotidien et l avenir de la personne blessée sont bousculés mais aussi la vie de son entourage, de ses proches et de sa famille. Le travail de l équipe de traumatologie consiste à tout mettre en œuvre pour sauver la vie de la personne et à lui redonner le maximum d autonomie afin qu elle reprenne le plus rapidement possible le fil de sa vie. C est un travail difficile qui exige rigueur, compétence et disponibilité. L évolution de l état d une personne qui a subi un grave traumatisme est caractérisée par une progression à petits pas et la réussite résulte d efforts constants et soutenus de la part de ces victimes qui, avec une volonté, une persévérance et une détermination exemplaires, reprennent leur vie en main. Depuis 40 ans, la réussite des personnes blessées constitue, quotidiennement, le fil conducteur de chacun des membres de l équipe de traumatologie de l HSCM. Leur passion est mise au service de tous les traumatisés qu ils croisent pendant leur séjour hospitalier. au cœur de la trauma 3
4 Historique Les portes de l HSCM sont toujours ouvertes pour la traumatologie : 24 heures par jour, 365 jours par année. Les années n Premier centre hospitalier au Québec à se doter de locaux spécifiques à la traumatologie n Organisation en équipe multidisciplinaire en neurotraumatologie n Formation médicale continue spécifique en traumatologie n Implantation de l ATLS (Advanced Trauma Life Support) Les années 90 n Implantation du réseau provincial de traumatologie dans lequel l HSCM est désigné centre tertiaire de traumatologie pour l île de Montréal et plusieurs autres régions de l Ouest du Québec. n Seul centre de traumatologie adulte affilié à l Université de Montréal avec désignation universitaire (enseignement et recherche). n Organisation des services autour d un programme dédié à la clientèle de traumatologie tertiaire. Ce programme devient un des axes d excellence de l HSCM. n Signature d une entente de réadaptation précoce avec la Société de l assurance automobile du Québec. n Désignation de l HSCM comme seul centre de référence en soins de courte durée dans le Centre d expertise pour les personnes blessées médullaires de l Ouest du Québec, désigné par le ministère de la Santé et des Services sociaux. Les années 2000 n Désignation du Centre d expertise pour les personnes blessées médullaires de l Ouest du Québec comme centre national de référence pour les personnes blessées médullaires tétraplégiques ventilo-assistées. n Désignation de l HSCM dans le Consortium de l Ouest du Québec pour les personnes ayant subi un traumatisme craniocérébral modéré ou grave. n Intensification des activités de la mission universitaire (enseignement et recherche). n Intensification des activités de partage des connaissances. Depuis près d une quarantaine d années, l HSCM est reconnu pour son expertise et son leadership en traumatologie au Québec au cœur de la trauma 5
5 Principes Les activités de l équipe de traumatologie sont guidées par les principes d action qui constituent la base des soins : n La compression des délais à tous les niveaux, et ce, jusqu à stabilisation médicale et chirurgicale du blessé. n Le transport rapide vers le centre de traumatologie du niveau* approprié à la gravité de la blessure. n La mise en œuvre d une chaîne d intervenants permettant la prise en charge des traumatisés, à toutes les étapes d interventions. n Une continuité sur le plan des soins et services. n Une prestation de soins et services selon une approche interdisciplinaire. n Une coordination efficace de toutes les ressources associées au continuum de soins et services en traumatologie. n L innovation des pratiques cliniques pour prévenir et réduire les complications et les séquelles à court et à long terme. n Le transfert rapide des connaissances nouvelles et probantes vers les divers milieux cliniques en traumatologie. * Le réseau actuel de centres hospitaliers en traumatologie comporte quatre niveaux de désignation : n stabilisation n primaire n secondaire n tertiaire au cœur de la trauma 7
6 L histoire de Maxime Après une longue journée de travail, le 20 juin 2008, un accident de la route est venu bouleverser la vie de Maxime Heins, 24 ans. Maxime est retrouvé par des ambulanciers, inconscient, le visage submergé dans l eau. Transporté d urgence à l Hôpital Honoré-Mercier, on constate rapidement que Maxime est mal en point. Un saignement intracrânien et de multiples fractures font craindre le pire pour la survie de Maxime. Sans plus tarder, on le transfère à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal pour qu il reçoive des soins ultraspécialisés en neurochirurgie et en orthopédie. Après une hospitalisation de cinq semaines en traumatologie à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, Maxime débute une longue réadaptation au Centre montérégien de réadaptation. Le 20 juin 2009, soit un an après son accident, Maxime recommençait à travailler. Aujourd hui, père d une petite fille de huit mois, il possède sa propre compagnie en construction. Il se dit comblé et privilégié par la vie. À cause du traumatisme craniocérébral sévère qu il a subi, Maxime garde peu de souvenirs de son passage à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, mais il sait que sans les soins ultraspécialisés qui lui ont été prodigués, son histoire n aurait pas été la même.
7 Soins et services Le cheminement du blessé La prise en charge des victimes de traumatismes sévères commande la mise en œuvre d une chaîne très élaborée de différentes activités réalisées par de multiples intervenants, souvent de manière simultanée. n Pendant qu à l Urgence les intervenants réaniment le blessé et le stabilisent, en Radiologie on se prépare à réaliser les examens d urgence avant que le blessé soit transporté à la salle d opération pour une intervention qui lui sauvera la vie. n Pendant ce temps, l équipe d une unité de soins critiques s assure qu un lit sera prêt pour recevoir le blessé dès la fin de l intervention chirurgicale. n Dès que la vie du blessé n est plus en danger, l équipe de professionnels en réadaptation précoce commence à intervenir selon un plan adapté à sa condition. n Dès le début de l hospitalisation, un service personnalisé de soutien psychosocial est offert au blessé, de même qu à ses proches. L expertise clinique L expertise des ressources humaines constitue un facteur clé dans la qualité des soins dispensés aux personnes traumatisées. Cette expertise clinique doit être très diversifiée et spécifique au domaine de la traumatologie. L équipe de traumatologie de l HSCM offre une gamme complète de services médicaux, infirmiers et paramédicaux spécifiques aux besoins des victimes de traumatismes. Des installations physiques particulières L HSCM dispose des installations physiques particulières requises pour dispenser des soins tertiaires, c est-à-dire des soins ultraspécialisés en traumatologie. Si la gravité des blessures du traumatisé est telle qu il ne pourra pas y survivre, une évaluation est faite avec les proches afin d envisager la possibilité d un don d organes. au cœur de la trauma 9
8 Réseau Au Québec, il existe un réseau d établissements de santé qui constituent une partie du Continuum de services en traumatologie ( Dans chacune des régions du Québec, ces établissements assument des responsabilités dans le domaine de la traumatologie. Dans ce continuum, l HSCM est désigné centre tertiaire de traumatologie et dessert la population de plusieurs régions du Québec. Le réseau de traumatologie de l HSCM est composé de plusieurs partenaires : n Les centres hospitaliers des régions desservies n Les centres de réadaptation des corridors de services établis n Les compagnies de transport ambulancier n Les organismes communautaires travaillant auprès de la clientèle ayant subi un traumatisme n La Société de l assurance automobile du Québec n Québec-Transplant au cœur de la trauma 11
9 «L espoir une façon de passer du rêve à la réalité». En août 2010, lors d un saut en parachute, une erreur de pilotage change la vie de monsieur Mayence. Il a 40 ans. Un atterrissage brutal lui occasionne une blessure sévère au cou. Sur les lieux de l accident, il est incapable de bouger les jambes, les bras et fait un arrêt cardiorespiratoire. Rapidement pris en charge par les ambulanciers, il est «ramené» à la vie mais la blessure à la moelle épinière demeure bien réelle. Il est transporté rapidement à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, centre spécialisé pour les personnes ayant subi une lésion médullaire traumatique. Malgré ses muscles respiratoires paralysés qui nécessitent l assistance permanente d un respirateur mécanique, monsieur Mayence passe ses cinq mois d hospitalisation à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal à se décrire comme un battant et à vouloir défier les lois de la médecine; «Un jour, je n aurai plus besoin de ce respirateur mécanique et je marcherai à nouveau.» Rayonnant de positivisme, il traverse avec courage les multiples complications associées à une lésion médullaire. De sa chambre d hôpital, il s affaire même à gérer son commerce entre ses diverses thérapies. En janvier 2011, il quitte l Hôpital pour aller entreprendre une réadaptation physique intensive avec l objectif de réintégrer un jour son domicile. En juin 2011, monsieur Mayence, à force de détermination et de travail acharné, réussi à respirer par lui-même; on lui retire le respirateur mécanique et il n a plus besoin que d une légère assistance la nuit. Monsieur Mayence entreprend la 2 e partie de son rêve : marcher! En septembre 2011, monsieur Mayence s affaire à reprendre le fil de sa vie et maintient son objectif et cette attitude positive face à la vie. Quand il se remémore les soins reçus à l HSCM, il dit : «J ai fait équipe avec des professionnels hors du commun. Je ne les oublierai jamais».
10 Clientèle en traumatologie Blessés médullaires Une lésion médullaire traumatique est un traumatisme à la moelle épinière. Lorsque le traumatisme entraîne une perte de mobilité et de sensibilité au niveau des membres inférieurs, on dit que la personne présente une paraplégie et lorsque la perte de mobilité et de sensibilité touche les quatre membres, on dit qu elle présente une tétraplégie. Chez les blessés qui présentent une atteinte médullaire cervicale, des difficultés respiratoires peuvent nécessiter l assistance d un ventilateur mécanique de manière temporaire ou permanente. Traumatisés craniocérébraux Un traumatisme craniocérébral peut survenir lorsque la tête est frappée ou secouée violemment. Un traumatisme craniocérébral modéré ou grave peut entraîner une période de coma et des séquelles à long terme sur la capacité de la personne atteinte à reprendre ses habitudes de vie antérieures au traumatisme. Chez certaines personnes, même un traumatisme craniocérébral léger peut engendrer des conséquences significatives sur la santé et l état de bien-être. Blessés orthopédiques et autres blessés sévères Certaines blessures sont considérées sévères en raison de la gravité de l atteinte ou du système corporel affecté. Ces blessures peuvent menacer la vie de la personne et nécessiter une réanimation, des interventions chirurgicales d urgence et une prise en charge par une équipe de réadaptation multidisciplinaire. On compte les traumatismes suivants parmi les blessures sévères : n Traumatismes hémorragiques du bassin n Traumatismes cardiaques, de l aorte et des gros vaisseaux sanguins intrathoraciques n Traumatismes thoraciques ou abdominaux avec hémorragie n Traumatismes maxillo-faciaux avec hémorragie au cœur de la trauma 13
11 Nombre annuel d hospitalisations en traumatologie à l hscm Tous les traumas Traumas sévères Traumatismes sévères à l hscm en n Agressions ou suicides 8% n Chutes 42% n Occupants d un véhicule à moteur sur route 22% n Piétons 7% n Motocyclistes 6% n Occupants autres modes de transport 5% n Cyclistes 4% n Autres 6% Tous les traumas Traumas sévères Régions de provenance de la clientèle hospitalisée à l hscm pour un traumatisme sévère en n Montréal 34% n Laval 19% n Laurentides 18% n Lanaudière 10% n Montérégie 8% n Abitibi-Témiscamingue 5% n Autres régions du Québec 5% n Hors-Québec 1% Source : Registre des traumatismes, HSCM au cœur de la trauma 15
12 D un optimisme à toute épreuve!!! Le 14 octobre 2005, une journée de travail ordinaire pour monsieur Morin jusqu au moment où il se retrouve coincé sous son camion de 10 tonnes. Vu la gravité de ses blessures écrasement de la jambe gauche et traumatisme abdominal sévère on le transporte à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal où une équipe spécialisée l attend. Les nouvelles ne sont pas bonnes; on doit lui amputer la jambe gauche. «Le coup a été dur car je savais que je ne pourrais pas retourner à mon travail que j aimais dans la machinerie lourde». Les nouvelles ne sont guère meilleures en ce qui concerne son traumatisme abdominal. Monsieur Morin est alimenté par tube. «Cela n a pas été facile à 43 ans, j ai dû apprendre à vivre autrement» Monsieur Morin reste hospitalisé trois mois à l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal et par la suite, entreprend une période de réadaptation physique qui durera plus de trois ans, entrecoupée de multiples complications et chirurgies dues à son traumatisme abdominal. Aujourd hui, grâce à une dernière chirurgie en 2011, monsieur Morin s alimente normalement. «Plus de tube!!! Je fais de la bouffe et j aime ça!!! Je savais que cela irait de mieux en mieux!!!!!! J avais confiance en mon médecin et son équipe. J ai reçu de très bons soins de tout le monde, tant sur le plan physique que psychologique et ma famille a toujours été là pour m épauler». Monsieur Morin est un survivant!
13 Enseignement et formation continue L enseignement et la formation continue constituent une force du Programme de traumatologie. Enseignement L HSCM reçoit annuellement des stagiaires provenant de diverses disciplines professionnelles. L HSCM se révèle un milieu très propice à l enseignement grâce à la diversité de sa clientèle, au degré de complexité des cas cliniques, à la variété des champs de pratique, ainsi qu au dévouement de son corps professoral. Aujourd hui, près de 450 stagiaires fréquentent annuellement les différentes disciplines suivantes : n les sciences infirmières n la médecine n les disciplines de réadaptation n la pharmacie n l inhalothérapie n le soutien psychosocial Formation continue La formation continue constitue une des clés de la qualité des soins. L organisation de ces activités est une priorité pour le Programme de traumatologie de l HSCM. L HSCM s est doté d un laboratoire de simulation pour parfaire l apprentissage des différentes techniques et procédures de simulation sur mannequin ou en virtuel de façon stimulante et sécuritaire pour les patients. Ces installations permettent de développer le travail en équipe dans diverses situations d urgence. n Colloques en traumatologie Aux deux ans, l HSCM organise, en collaboration avec les trois autres centres tertiaires de Montréal, le Colloque interprofessionnel en traumatologie-montréal ( n Formations spécialisées n ATLS (Advanced Trauma Life Support) Formation médicale spécialisée en traumatologie, développée par l American College of Surgeons. L HSCM organise, depuis plus de 20 ans, des cours ATLS qui sont offerts tant aux résidents en chirurgie ou en médecine d urgence, qu aux médecins en exercice. n TNCC (Trauma Nursing Core Course) Formation avancée en soins infirmiers en traumatologie qui s adresse notamment aux infirmières en salle d urgence. Donnée à l HSCM depuis n Les soins infirmiers en traumatologie : une Urgence! Programme de base répondant aux besoins de formation en soins infirmiers de traumatologie à l Urgence. Plus de 400 infirmières, en provenance de plusieurs centres de traumatologie, ont reçu cette formation depuis ses débuts en n Visioconférences en traumatologie Afin de répondre aux besoins de formation continue en traumatologie, l HSCM, en collaboration avec l Hôpital Sainte-Justine, offre depuis janvier 2011 des séries de visioconférences portant sur différents sujets cliniques d actualité en traumatologie adulte ou pédiatrique. Cette initiative connaît un franc succès et permet de rejoindre un grand nombre de cliniciens œuvrant en traumatologie. n Application des connaissances Des projets spécifiques à l application, dans le milieu clinique, des connaissances issues de la recherche. au cœur de la trauma 17
14 Recherche «La recherche en traumatologie est un des axes reconnus par le Fonds de la recherche du Québec en Santé (FRQS) au sein du Centre de recherche de l HSCM et se déploie en cinq thèmes prioritaires, dont la coordination a été mise en place en 2004 par les docteurs Gilles Lavigne et Julio Fernandes, et assumée depuis 2009 par monsieur Yvan Petit, ing., Ph. D.» François Madore, M.D, Ph. D. Directeur du Centre de recherche de l HSCM (intérim) La recherche en traumatologie VISE À DÉVELOPPER DE NOUVELLES CONNAISSANCES QUI PERMETTRONT D AMÉLIORER LA QUALITÉ DES SOINS Médecine d urgence Le groupe de médecins d urgence de l HSCM, l un des plus importants au Québec des points de vue clinique et académique, assume un rôle majeur dans l enseignement aux résidents et est fermement engagé dans le développement d activités de recherche, avec cinq cliniciens chercheurs. Soins intensifs En plus de protocoles cliniques originaux effectués aux soins intensifs, l équipe est engagée avec le Canadian Critical Trials Group dans plusieurs projets multicentriques de soins intensifs. L équipe est à l avant-garde de recherches novatrices en ventilation avancée, notamment la ventilation par déclenchement EMG du diaphragme et en neuromonitoring. Traumatologie et orthopédie Plus de la moitié des activités cliniques en traumatologie relèvent de l orthopédie, d où une volonté affirmée de développer des équipes multidisciplinaires de recherche clinique et de recherche fondamentale dans ce domaine. Ce secteur s est d ailleurs distingué par la création de deux chaires philanthropiques. L HSCM étant le principal centre au Québec pour la prise en charge des personnes ayant subi une lésion médullaire traumatique, des recherches cliniques concernant cette clientèle sont poursuivies. Neurotraumatisme, douleur et stress post-traumatique S appuyant sur l axe de neurosciences-santé mentale du Centre de recherche de l HSCM, un programme de recherche d avant-garde s intéresse aux troubles du sommeil, notamment l insomnie, en relation avec les déficits cognitifs, les troubles de l humeur et les syndromes douloureux présents à la suite d un traumatisme crânien. Ces initiatives se déploient sous le leadership du docteur Gilles Lavigne, titulaire d une chaire de recherche du Canada sur la douleur, le sommeil et les traumatismes crâniens (2007). Épidémiologie et évaluation des soins Les études en cours visent à évaluer, au-delà de la survie, l évolution de la capacité fonctionnelle et de la qualité de vie des patients. au cœur de la trauma 19
15 Sauver la vie et aider à reprendre le fil de la vie! Le destin ne connaît qu une loi : il tire au sort en brassant tous les noms. Aujourd hui, plusieurs d entre nous sommes de garde en traumatologie et, comme à l habitude, nous ne savons pas à quoi nous attendre, sauf pour une chose Après avoir mis en œuvre tout ce qu il est possible de faire pour sauver la vie d un traumatisé, l équipe fait face à l une ou l autre de ces deux réalités : la personne survit ou bien elle décède. Dans les deux cas, l équipe accompagne la famille et la soutient dans l épreuve. Pour la personne qui survit, une nouvelle aventure commence; elle doit reprendre progressivement le fil de sa vie. Tout au long du retour de la personne à une vie la plus normale possible, les membres de l équipe de traumatologie évolueront autour d elle tous les jours pour minimiser les complications qui peuvent survenir et débuter la réadaptation. Au-delà des gestes cliniques posés, ces intervenants soutiennent l espoir, instillent du courage, encadrent les efforts, en fait, amènent la personne et sa famille à réaliser le potentiel caché dans ceux et celles qui traversent cette douloureuse trajectoire. Au bout du chemin, chacun trouve sa lumière et reprend le fil de sa vie temporairement interrompue. Je me sens privilégié d être entouré d une telle équipe, composée de tous ces intervenants qui, tant individuellement qu en équipe, se démarquent par leur compétence et leur dévouement Merci à vous tous. Ronald Denis, M.D.
16 Prévention Témoin des catastrophes humaines causées par des traumatismes souvent évitables, l HSCM prend part à l organisation d activités de prévention de traumatismes. Depuis quelques années, cet engagement s est traduit par la réalisation d activités de sensibilisation auprès de la population, en partenariat avec d autres organismes. Prévention des lésions médullaires traumatiques à la suite d un plongeon en eau peu profonde Chaque été depuis 2006, l HSCM se joint à l Association des paraplégiques du Québec et à la Société de sauvetage dans la réalisation d un point de presse avec entrevues, pour sensibiliser le public aux risques de lésions médullaires traumatiques à la suite d un plongeon en eau peu profonde. Prévention des traumatismes craniocérébraux En mai 2008, l HSCM a organisé une activité de sensibilisation auprès de 200 élèves de secondaire V d une école de Laval, en partenariat avec l Association québécoise des traumatisés crâniens, la Fondation Pensez d Abord Québec, l Hôpital juif de réadaptation, la Corporation d urgences-santé et le Service de protection des citoyens de Laval. L objectif de cette activité, d une durée de deux heures, est de faire réaliser aux jeunes qu «Un traumatisme crânien ça change une vie». Couronnée de succès, cette activité est maintenant présentée à tous les élèves de secondaire V de la région de Laval. Elle a remporté la Mention d honneur dans la catégorie Partenariat et une bourse de $, à la remise des Prix d excellence du réseau de la santé et des services sociaux, édition , et a inspiré des activités semblables dans d autres régions. Depuis l hiver 2010, l HSCM participe à la tournée de promotion de la sécurité en ski avec l Association des stations de ski du Québec. au cœur de la trauma 21
17 Grand Prix F1 Depuis plus de 20 ans, une équipe de l HSCM assure le soutien médical du Grand Prix du Canada de Formule 1, présenté à Montréal. Depuis l été 2007, l équipe assure la même couverture pour la course NASCAR, tenue à son tour sur le circuit Gilles-Villeneuve de l Île Notre-Dame. Sous la direction des docteurs Jacques Bouchard, médecin-chef et Ronald Denis, médecin-chef associé, l organisation médicale permet de dispenser, pendant la durée de ces compétitions automobiles annuelles, les services et les soins médicaux nécessaires, tant aux coureurs qu au public. au cœur de la trauma 23
18 Fonds de traumatologie Le Fonds de traumatologie de la Fondation de l Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal a été créé à la fin des années Son objectif est de recueillir des fonds qui permettent d acquérir des équipements, de financer des activités de recherche et d enseignement et d améliorer la qualité des soins en traumatologie. Centre intégré de traumatologie Mirella et Lino Saputo En raison de l évolution exceptionnelle qu a connue l offre de soins et services en traumatologie de l Hôpital depuis près de 40 ans, l établissement doit maintenant se doter d un centre intégré de traumatologie. Le Centre intégré de traumatologie Mirella et Lino Saputo permettra de répondre aux besoins croissants de la population que le Programme de traumatologie de l HSCM dessert, en offrant à tous les intervenants participant à ce programme de pointe, l espace nécessaire pour y assurer leurs activités dans un esprit d interdisciplinarité, un élément essentiel à l efficacité et à la continuité du programme. Il a également pour objectif de doter les volets d enseignement, de recherche et de consultation-formation de ses partenaires, d installations favorables à leur développement. Publié par le Programme de traumatologie Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal 5400, boul. Gouin Ouest Montréal (Québec) H4J 1C5 Tél. : , poste 2703 Site Web : Courriel : secretariat.traumatologie.hsc@ssss.gouv.qc.ca Coordination et rédaction Johanne Cloutier Ronald Denis, M.D. Marie St-Amour Photographies Thierry Quennette Yves St-Jean Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, 2012 Tous droits réservés. Note : Dans cette publication, le masculin est pris dans un sens générique et désigne aussi bien les hommes que les femmes. L HSCM a l obligation d assumer son rôle en tant que seul centre tertiaire adulte de l Université de Montréal à offrir des services surspécialisés à la population de plusieurs régions du Québec. Pour certaines responsabilités, l HSCM est l unique mandataire ministériel. Objectifs du projet n Permettre une meilleure accessibilité aux activités de soins critiques n Doter les secteurs de l enseignement et de la recherche de locaux dédiés
19
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques
2 La chaîne de survie canadienne : espoir des patients cardiaques Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Canada. Bien que leur incidence ait diminué au cours des dernières
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détail2011-2012 RAPPORT D ACTIVITÉS. 6020 rue Jean-Talon Est, bur. 400, Montréal (Québec) H1S 3B1 514 341-7272 1 877 341-7272 www.moelleepiniere.
2011-2012 RAPPORT D ACTIVITÉS 6020 rue Jean-Talon Est, bur. 400, Montréal (Québec) H1S 3B1 514 341-7272 1 877 341-7272 www.moelleepiniere.com Ce rapport a été rendu possible grâce au travail des personnes
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détailPOLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES
POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailBILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec
BILAN ROUTIER 2014 Société de l assurance automobile du Québec SAAQ BILAN ROUTIER 2014 1 SOMMAIRE IL Y A EU 336 DÉCÈS SUR LES ROUTES EN 2014, SOIT 55 DE MOINS QU EN 2013, CE QUI REPRÉSENTE UNE DIMINUTION
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailTraumatisme crânien ou traumatisme cranio-cérébral Trouble de santé neurologique Aide-mémoire
Définition La notion de traumatisme crânien ou traumatisme crânio-cérébral (TCC) couvre les traumatismes du neurocrâne (partie haute du crâne contenant le cerveau) et du cerveau. La Société de l'assurance
Plus en détailUne assurance qui vous protège!
Une assurance qui vous protège! Société de l'assurance automobile du Québec Introduction Depuis mars 1978, le gouvernement du Québec offre à tous les Québécois une couverture d assurance: le Régime public
Plus en détailINFIRMIÈRE PRATICIENNE EN LE 6 MAI 2015 PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? INFIRMIÈRES DE L UQAC
INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE QU EN EST-IL? PRÉSENTÉ AU COLLOQUE EN SCIENCES INFIRMIÈRES DE L UQAC LE 6 MAI 2015 PLAN DE LA PRÉSENTATION Quel type de formation une IPSPL doit-elle suivre?
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailPANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES
PANORAMA NORD AMÉRICAIN ET EUROPÉEN DES COMPÉTENCES DES INFIRMIERS DES URGENCES C.PIEL T.CHERFAOUI CARHAIX 18 MARS 2008 INTRODUCTION La médecine d urgence est reconnue comme spécialité depuis 2004 Les
Plus en détailLe genre féminin utilisé dans ce document désigne aussi bien les femmes que les hommes.
Programme d intéressement pour l implantation du rôle de l infirmière praticienne spécialisée Modalités d application 15-919-04W RÉDACTION Direction des soins infirmiers Direction générale des services
Plus en détailSOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER
SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER 2013 SOMMAIRE Depuis 1978,... le nombre de décès a chuté de 77,4 %. Il y a eu 399 décès sur les routes en 2013, soit 22 de moins qu en 2012, ce
Plus en détailPrise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire
Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire GUIDE POUR LES PARENTS 514-412-4400, poste 23310 hopitalpourenfants.com/trauma Le fémur est l os le plus long du corps humain : il
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailPartie V : Assurance en cas de décès ou de mutilation par accident voyage d'affaires
Partie V : Assurance en cas de décès ou de mutilation par accident voyage d'affaires 1. Admissibilité et date d entrée en vigueur de la garantie 1.1 Employés admissibles D'une façon générale, les employés
Plus en détailAGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION
AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailDr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne
CHAMPS D EXPERTISE Dr Julie Dauphin, Ph.D. Psychologue clinicienne Hôpital Louis- H. Lafontaine Institut Universitaire en santé mentale Programme des troubles psychotiques - Clinique Sherbrooke 7401 Hochelaga
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailStandards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailPrésentation du Programme Excellence CSJV Boursier
Présentation du Programme Excellence CSJV Boursier Collège St-Jean-Vianney 12630, boul. Gouin Est Montréal H1C 1B9 Tél. 514-648-3821 www.st-jean-vianney.qc.ca Mise en contexte Depuis plusieurs années,
Plus en détailDocument d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants
Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants MISE EN GARDE Les informations contenues dans ce document visent strictement à faciliter
Plus en détailpolice d assurance Québécois de tous les En cas de ou de dans un accident d automobile
La police d assurance de tous les Québécois En cas de ou de dans un accident d automobile La police d assurance de tous les Québécois En cas de ou de dans un accident d automobile Table des matières Avant-propos
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailQu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA)
Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? (FA) Qu est-ce que la fibrillation auriculaire? La fibrillation auriculaire (FA) est le trouble du rythme le plus répandu. Certains signaux du cœur deviennent
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailEn souvenir du P r Olivier Dizien, décédé le 1 er juillet 2007
En hommage au D r Marc Maury, ancien médecin chef du CRM de Fontainebleau et ancien vice-président de l APF, pour son œuvre sur la paraplégie et son action au service du rapprochement associations / médecine
Plus en détailDocument d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants
Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants MISE EN GARDE Les informations contenues dans ce document visent strictement à faciliter
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailCOMMUNIQUÉ. LA CDEC ROSEMONT-PETITE-PATRIE DÉVOILE LES LAURÉATS DE LA 5 e ÉDITION DU CONCOURS ENTREPRENEURS EN ACTION!
COMMUNIQUÉ Embargo jusqu au 9 décembre 2008, 19 h. LA CDEC ROSEMONT-PETITE-PATRIE DÉVOILE LES LAURÉATS DE LA 5 e ÉDITION DU CONCOURS ENTREPRENEURS EN ACTION! Le 9 décembre 2008 Les gagnants de l édition
Plus en détailMinistère de la Santé et des Services sociaux
Ministère de la Santé et des Services sociaux Projet de loi modifiant l organisation et la gouvernance du réseau de la santé et des services sociaux notamment par l abolition des agences régionales Contexte
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailLa réadaptation après un implant cochléaire
La réadaptation après un implant cochléaire Ginette Diamond, chef en réadaptation Sophie Roy, audiologiste Colloque CRDP InterVal 2009 But de la présentation Sensibiliser les participant(e)s à un outil
Plus en détailAVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION
AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement
Plus en détailBILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation
BILAN ROUTIER Portrait de la sécurité routière et de la circulation 2010 UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! Le partage de la route en milieu urbain est l enjeu qui pose le plus grand défi autant aux usagers
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailOrientations ministérielles pour le TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL LÉGER
2005 2010 Orientations ministérielles pour le TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL LÉGER 2005 2010 Orientations ministérielles pour le TRAUMATISME CRANIOCÉRÉBRAL LÉGER Le Collège des médecins du Québec entérine
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailÉtude exploratoire des besoins en services offerts à la clientèle traumatisée cranio-cérébrale au Québec
Étude exploratoire des besoins en services offerts à la clientèle traumatisée cranio-cérébrale au Québec - Rapport de recherche - Marie Gervais, Ph.D. Sylvie Dubé, M.A. Avec la collaboration de: Alain
Plus en détailDirectives sur la façon de répondre à l étude
Garantie Responsabilité civile - Assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Directives sur la façon de répondre à l étude 1. Veuillez remplir un dossier pour
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailLa recherche universitaire en sécurité routière
La recherche universitaire en sécurité routière François Bellavance, PhD Professeur, HEC Montréal Directeur Laboratoire sur la sécurité des transports Centre de recherche sur les transports (CRT) Centre
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailLES DROITS DE L ENFANT
LES DROITS DE L ENFANT Maître Viviane SCHMITZBERGER HOFFER Avocat, Ancien Bâtonnier du Barreau de METZ Colloque du 11 octobre 2013 Syndrome du bébé secoué au Ministère de la Santé Mise en garde Article
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailRésultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement
Résultats du sondage sur la collaboration entre les CSSS et la première ligne médicale hors établissement Janvier 2015 Contributions Équipe de travail Réal Cloutier, Hôpital Rivière-des-Prairies Louise
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailDÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE. Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1
DÉVELOPPER SES COMPÉTENCES POUR SUPERVISER LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Présentation du programme de formation RCPI, 2012 1 Propriété intellectuelle : Le matériel original développé dans le cadre
Plus en détailPrésentation du programme de Bourses d études INLB pour les personnes vivant avec une déficience visuelle
1 Présentation du programme de Bourses d études INLB pour les personnes vivant avec une déficience visuelle En collaboration avec Les Sœurs de Saint-Joseph de Saint-Hyacinthe Le programme de bourses INLB
Plus en détailExtrait du Guide d aide à la codification du BAAC. Document réalisé par l ONISR et le SETRA Avec la collaboration du CETE du Sud-Ouest
Extrait du Guide d aide à la codification du BAAC Document réalisé par l ONISR et le SETRA Avec la collaboration du CETE du Sud-Ouest Décembre 2012 Définition de l accident corporel de la circulation routière
Plus en détaildocument révisé le 2008-03-05
document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration
Plus en détailPar accident, on entend un événement soudain dont la cause ou l une des causes est extérieure
titre V VIVIUM TRAVEL RELAX préambule Pour autant que le véhicule désigné aux conditions particulières de la présente police auto bénéficie de la garantie Vivium car relax, le preneur d assurance peut
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailVous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire
Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un
Plus en détailLes cas problématiques de l évaluation de la capacité à conduire Christine Dupuis et Jamie Dow NMEDA Canada, Québec 16 septembre 2010 23 septembre 2010 Société de l'assurance automobile du Québec, 2010
Plus en détailMÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC
MÉMOIRE RELATIF À L ÉVALUATION DU RÉGIME GÉNÉRAL D ASSURANCE MÉDICAMENTS PRÉSENTÉ PAR LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC Québec, le 21 février 2000 2. PRÉAMBULE La Fédération des médecins
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailRepérage de la perte d autonomie
Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailSavoirs de base en sécurité routière. Vitesse et mortalité
Sétra Savoirs de base en sécurité routière mars 2006 Vitesse et mortalité Avertissement : cette série de fiches est destinée à fournir une information rapide. La contrepartie est le risque d erreur et
Plus en détailProposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES
Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailSection narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario
Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Centre d accès aux soins communautaires du Nord-Est Approuvé par le conseil d administration
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détail7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier
Le projet de formation «Partenaires, jusqu à la fin» Déterminer avec le patient et ses proches les objectifs de ses soins en contexte de maladie grave et de fin de vie 7 octobre 2014 Entretiens Jacques
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailCONDUCTEUR ÂGÉ. Dr Jamie Dow. Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec LLE. Dr Jamie Dow
LLE CONDUCTEUR ÂGÉ Dr Jamie Dow Conseiller médical en sécurité routière Service des usagers de la route Janvier 2011 Dr Jamie Dow Medical Advisor on Road Safety Société de l assurance automobile du Québec
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détailDemande de règlement invalidité Demande initiale
www.inalco.com Demande de règlement invalidité À L INDUSTRIELLE ALLIANCE, CE QUI COMPTE C EST VOUS! Veuillez transmettre le formulaire dûment rempli au bureau de votre région : Québec C. P. 800, succursale
Plus en détailLa responsabilitié civile... vous connaissez?
Fiche d activité FA La responsabilitié civile... vous connaissez? Lorsqu on parle d assurance habitation, le feu et le vol sont les deux sortes de sinistres qui viennent d abord à l esprit. Mais il y en
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLes donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie!
Les donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie! Kathy Poulin Infirmière ressource au don d organes et de tissus 1 Taux et nombre de donneurs décédés
Plus en détailSignes avant-coureurs et mesures d urgence à prendre - pour la vie
Signes avant-coureurs et mesures d urgence à prendre - pour la vie Sauriez-vous quoi faire en cas d urgence cardiaque? En apprenant les signes avant-coureurs d une crise cardiaque, d un arrêt cardiaque
Plus en détailstratégique2010 plan du Ministère de la Santé et des Services sociaux
stratégique2010 plan 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux 2010 2015 du Ministère de la Santé et des Services sociaux plan stratégique Édition La Direction des communications du ministère
Plus en détailHospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie
Plus en détailProjet de loi n o 20
Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté
Plus en détail