Stratigraphie, biostratigraphie. M2 Paléontologie Pierre-Olivier ANTOINE
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- Gabrielle Goudreau
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1 Stratigraphie, biostratigraphie M2 Paléontologie Pierre-Olivier ANTOINE
2 "Lois" de Sténon (1669) Principe de superposition Principe d horizontalité S appliquent essentiellement aux roches sédimentaires
3 Au plus récent Du plus ancien
4 Principe de de recoupement Principe
5 Formation des terrasses alluviales Terrasses étagées
6 Formation des terrasses alluviales Terrasses emboîtées
7 lus long Temps p Plan de stra t Dé pô ification «h orizontal» tp ro g Temps de la s édimentation, ra da nt rapide La plus grande partie du temps est dans les joints de stratifications et les «unconformities»
8 Concordance Ravinement Discordances angulaires discontinuités, hiatus avec ou sans discordance géométrique
9
10 Parfois, pas de discordance angulaire Hiatus =
11 Plus facile à déceler avec! DT long
12 Chronologie relative des événements Sédimentaires et géodynamiques Datation (numérique) : nécessité de «géochronomètres»
13 Utilisation complémentaire des principaux géochronomètres: Les éléments radioactifs (décroissance radioactive) radiochronologie: datation numérique directe Les fossiles biochronologie: datation relative et/ou numérique indirecte
14 Les éléments radioactifs Un élément chimique est constitué de plusieurs isotopes (nombre similaire de protons, mais nombre différent de neutrons = différence de masse des isotopes
15 Isotopes radioactifs Isotope père Désintégration (constante / élément) = période (demi vie) Isotope fils
16 Principaux éléments utilisés en géochronologie Domaines d utilisation: Période x 10 Pas de pb ans au max.
17 Fossiles et datation Biochronologie et Biostratigraphie datation «RELATIVE» (pas de mesure du temps en n années) datation numérique déduite : fonctions de transfert, corrélations
18 fondée sur : les principes «géométriques» de la stratigraphie (superposition, recoupement ) qui donnent le sens général de la succession des espèces, le principe d identité paléontologique
19 Oligocène-Miocène de Paali, Pakistan «Log» = Succession des couches et formations sédimentaires relevées sur le terrain, et remises à l horizontale avec indications des épaisseurs, caractères des sédiments, discontinuités, fossiles, etc. Carnet de terrain, expédition 2004
20 Observation de chaque séquence locale Puis Corrélations
21 Cénozoïque des Collines Bugti, Pakistan log synthétique Roddaz et al. (2011)
22 Principe d identité paléontologique: Mammites nodosoides Inoceramus labiatus corrélations
23 L évolution: les espèces se transforment et les faunes et les flores changent avec le temps chaque tranche de temps est caractérisée par des ensembles de fossiles différents, du fait des transformations et des extinctions
24 Les extinctions rythment l'évolution : leur utilité est fondamentale en (bio)stratigraphie
25 Nombre de genres d invertébrés marins 2008 Crises d extinction massive
26 Mammifères modernes Dinosaures Ammonites Bélemnites Conodontes Conodontes Goniatites Trilobites Brachiopodes Graptolites Renouvellements fauniques de grande ampleur
27 Principes de la biostratigraphie (et de la biochronologie) paramètres principaux : 1) apparitions et disparitions de taxons 2) définition de degrés évolutifs au sein des espèces
28 1) apparitions et disparitions de taxons calpionelles céphalopodes
29 bivalves rudistes calpionelles plateforme bassin
30 Pour les séries marines, principalement, là où les successions de gisements sont disponibles. 1- Dans un gisement donné, caractérisation de la variation morphologique et définition des taxons; 2- Observation de la succession de ces taxons dans une série stratigraphique; 3- Corrélation avec d'autres séries stratigraphiques. Biostratigraphie
31 Pour les séries continentales, lorsqu elles sont courtes, voire très courtes et discontinues : méthode des lignées évolutives. Lignée évolutive = hypothèse de succession stratigraphique d'espèces supposées apparentées les unes aux autres (anagenèses successives) Méthode raffinée par la caractérisation de taux évolutifs (même principe que pour l'horloge moléculaire)
32 LIGNEES EVOLUTIVES chez les MAMMIFERES du Cénozoïque: Pourquoi l étude des mammifères : -contour de l espèce fossile peu différent de celui de l espèce actuelle; -objets d étude très minéralisés (apatite) donc fossilisables; -pas de biais du développement (forme inchangée à partir de l éruption dentaire); -grande signification phylogénétique de la morphologie, dentaire notamment. Exemple des rongeurs Theridomyidae
33 Issiodoromys Oligocène MP 28 MP 27 MP 26 MP 25 MP 24 MP 23 MP 22 Vianey-Liaud & Michaux (2003)
34 Succession proposée sur la base des tendances évolutives suivantes: - augmentation de la hauteur de la couronne / simplification du schéma occlusal; - accroissement de la taille générale; - accroissement plus important de la longueur des molaires de lait (DP4), avec adjonction de nouvelles crêtes; Dans cette lignée, mais aussi dans plusieurs autres lignées de Theridomyidae.
35 Oligocène Eocène
36 Milieu marin: utilisation des stades évolutifs de foraminifères:
37 deux lignées de nummulitidés au cours de l Eocène Nummulites Assilina
38 Le découpage fin du temps Biozonation / les échelles biostratigraphiques Résolution maximale : 104 à 106 années
39 fossiles stratigraphiques espèces ayant une courte durée de vie et une grande extension géographique (corrélations) Courte durée de vie = taux d évolution élevé Grande extension géographique = niches écologiques peu spécialisées; très "mobiles"
40 Biozone: tranche de temps de t1 à t2, avec une limite inférieure et une limite supérieure Zone d extension ou de durée d une espèce: entre la première apparition (A) et la Z disparition (D) d une espèce Zone d assemblage: zone pendant laquelle les 4 espèces considérées sont présentes Z Zone d intervalle: entre la disparition d une espèce et l apparition d une autre espèce Z D A t
41 Niveaux repères ou bio-horizons: repère temporel sans durée («ligne temps») L ensemble des espèces (définies par leur degré évolutif) d un gisement repère choisi comme standard T4 T3 la succession des niveauxrepères constitue une échelle, dont chaque barreau est un repère temporel T2 T1
42 Milieu continental: utilisation des stades évolutifs de rongeurs MP 28 MP 27 Issiodoromys MP 26 MP 25 MP 24 MP 23 Oligocène MP 22
43 Rongeurs néogènes (Aguilar & Michaux, 1987) -0,25 Ma à -0,75 Ma
44 Taxons: relation espace / temps
45 Valeur locale (FLO et LLO) et non globale Des «First Appearance Datum» (FAD) et «Last Appearance Datum" (LAD) - répartition géographique (migrations, extinctions locales ) - lacune de sédimentation - pas de faciès favorable (soit pour la fossilisation, soit pour le milieu de vie de l espèce considérée)
46 Biozonations et/ou Niveaux-repères définis dans des zones géographiques limitées, et dans des environnements différents. Nécessité d'étalonner les échelles biochronologiques : - grâce à des datations radiométriques, - et/ou par approches successives à l aide de la magnétostratigraphie (ou de méthodes chimiostratigraphiques)
47 Variations du d18o sur les 60 derniers Ma Changement d échelle Variations du d18o du Pliocène à l actuel (mesures sur le test de Foraminifères) Cycles de ans prédominants au Pléistocène moyen-supérieur, et de ans jusqu au Pliocène Vêlage important de la calotte glaciaire canadienne Variations du d18o sur les 60 derniers ka (mesures sur le CO2 des bulles de glace)
48 - pour les périodes où les variations du δ18o ont une plus grande amplitude, et ne présentent pas une cyclicité aussi rapprochée, les grands épisodes d augmentation du δ18o (comme à la limite E/O Eocène-Oligocène, ou PETM) peuvent servir d'élément de corrélation fiable, PETM
49 La mesure du paléomagnétisme des roches permet, en la combinant avec des informations sur leur durée de sédimentation, et sur leur contenu paléontologique, de dresser une échelle magnétostratigraphique. L échelle de référence = Echelle géomagnétique (GPTS)
50
51 1-Les Coupures majeures: Les ERES la définition des limites entre les ères géologiques repose sur les grands événements de l'histoire de la vie. ERE= nomenclature chronologique ERATHEME= support stratigraphique matériel)
52 2-Les autres subdivisions: Les ETAGES (durée = AGE) sont des formations sédimentaires montrant des successions lithologiques remarquables. Lorsque ces formations sont choisies comme repères stratigraphiques internationaux, il s'agit de STRATOTYPES (ex stratotype de l'aptien à Apt ) Les SYSTEMES (dont la durée est une PERIODE) sont des regroupements de SERIES (dont la durée est une EPOQUE);
53 REPERES TEMPORELS et CORRELATIONS 1-GSSP (Global Stratigraphic Section and Point) Niveau repère temporel séparant deux étages (dans le stratotype) et matérialisé sous la forme d un «Golden Spike» (Clou d Or) Les corrélations se font d abord à l échelle de la section, donc à petite échelle
54 Clou d'or de la base de l'ediacarien (Flinders Ranges, Australie)
55
56
57 2- GPTS Geomagnetic Polarity Time Scale Echelle établie à partir de l accrétion le long des dorsales océaniques, et donc indépendamment de la trame chronostratigraphique
58 Echelle synthétique des temps géologiques (période 33-0 Ma) (Gradstein et al. 2005)
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