Stratigraphie, biostratigraphie. M2 Paléontologie Pierre-Olivier ANTOINE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Stratigraphie, biostratigraphie. M2 Paléontologie Pierre-Olivier ANTOINE"

Transcription

1 Stratigraphie, biostratigraphie M2 Paléontologie Pierre-Olivier ANTOINE

2 "Lois" de Sténon (1669) Principe de superposition Principe d horizontalité S appliquent essentiellement aux roches sédimentaires

3 Au plus récent Du plus ancien

4 Principe de de recoupement Principe

5 Formation des terrasses alluviales Terrasses étagées

6 Formation des terrasses alluviales Terrasses emboîtées

7 lus long Temps p Plan de stra t Dé pô ification «h orizontal» tp ro g Temps de la s édimentation, ra da nt rapide La plus grande partie du temps est dans les joints de stratifications et les «unconformities»

8 Concordance Ravinement Discordances angulaires discontinuités, hiatus avec ou sans discordance géométrique

9

10 Parfois, pas de discordance angulaire Hiatus =

11 Plus facile à déceler avec! DT long

12 Chronologie relative des événements Sédimentaires et géodynamiques Datation (numérique) : nécessité de «géochronomètres»

13 Utilisation complémentaire des principaux géochronomètres: Les éléments radioactifs (décroissance radioactive) radiochronologie: datation numérique directe Les fossiles biochronologie: datation relative et/ou numérique indirecte

14 Les éléments radioactifs Un élément chimique est constitué de plusieurs isotopes (nombre similaire de protons, mais nombre différent de neutrons = différence de masse des isotopes

15 Isotopes radioactifs Isotope père Désintégration (constante / élément) = période (demi vie) Isotope fils

16 Principaux éléments utilisés en géochronologie Domaines d utilisation: Période x 10 Pas de pb ans au max.

17 Fossiles et datation Biochronologie et Biostratigraphie datation «RELATIVE» (pas de mesure du temps en n années) datation numérique déduite : fonctions de transfert, corrélations

18 fondée sur : les principes «géométriques» de la stratigraphie (superposition, recoupement ) qui donnent le sens général de la succession des espèces, le principe d identité paléontologique

19 Oligocène-Miocène de Paali, Pakistan «Log» = Succession des couches et formations sédimentaires relevées sur le terrain, et remises à l horizontale avec indications des épaisseurs, caractères des sédiments, discontinuités, fossiles, etc. Carnet de terrain, expédition 2004

20 Observation de chaque séquence locale Puis Corrélations

21 Cénozoïque des Collines Bugti, Pakistan log synthétique Roddaz et al. (2011)

22 Principe d identité paléontologique: Mammites nodosoides Inoceramus labiatus corrélations

23 L évolution: les espèces se transforment et les faunes et les flores changent avec le temps chaque tranche de temps est caractérisée par des ensembles de fossiles différents, du fait des transformations et des extinctions

24 Les extinctions rythment l'évolution : leur utilité est fondamentale en (bio)stratigraphie

25 Nombre de genres d invertébrés marins 2008 Crises d extinction massive

26 Mammifères modernes Dinosaures Ammonites Bélemnites Conodontes Conodontes Goniatites Trilobites Brachiopodes Graptolites Renouvellements fauniques de grande ampleur

27 Principes de la biostratigraphie (et de la biochronologie) paramètres principaux : 1) apparitions et disparitions de taxons 2) définition de degrés évolutifs au sein des espèces

28 1) apparitions et disparitions de taxons calpionelles céphalopodes

29 bivalves rudistes calpionelles plateforme bassin

30 Pour les séries marines, principalement, là où les successions de gisements sont disponibles. 1- Dans un gisement donné, caractérisation de la variation morphologique et définition des taxons; 2- Observation de la succession de ces taxons dans une série stratigraphique; 3- Corrélation avec d'autres séries stratigraphiques. Biostratigraphie

31 Pour les séries continentales, lorsqu elles sont courtes, voire très courtes et discontinues : méthode des lignées évolutives. Lignée évolutive = hypothèse de succession stratigraphique d'espèces supposées apparentées les unes aux autres (anagenèses successives) Méthode raffinée par la caractérisation de taux évolutifs (même principe que pour l'horloge moléculaire)

32 LIGNEES EVOLUTIVES chez les MAMMIFERES du Cénozoïque: Pourquoi l étude des mammifères : -contour de l espèce fossile peu différent de celui de l espèce actuelle; -objets d étude très minéralisés (apatite) donc fossilisables; -pas de biais du développement (forme inchangée à partir de l éruption dentaire); -grande signification phylogénétique de la morphologie, dentaire notamment. Exemple des rongeurs Theridomyidae

33 Issiodoromys Oligocène MP 28 MP 27 MP 26 MP 25 MP 24 MP 23 MP 22 Vianey-Liaud & Michaux (2003)

34 Succession proposée sur la base des tendances évolutives suivantes: - augmentation de la hauteur de la couronne / simplification du schéma occlusal; - accroissement de la taille générale; - accroissement plus important de la longueur des molaires de lait (DP4), avec adjonction de nouvelles crêtes; Dans cette lignée, mais aussi dans plusieurs autres lignées de Theridomyidae.

35 Oligocène Eocène

36 Milieu marin: utilisation des stades évolutifs de foraminifères:

37 deux lignées de nummulitidés au cours de l Eocène Nummulites Assilina

38 Le découpage fin du temps Biozonation / les échelles biostratigraphiques Résolution maximale : 104 à 106 années

39 fossiles stratigraphiques espèces ayant une courte durée de vie et une grande extension géographique (corrélations) Courte durée de vie = taux d évolution élevé Grande extension géographique = niches écologiques peu spécialisées; très "mobiles"

40 Biozone: tranche de temps de t1 à t2, avec une limite inférieure et une limite supérieure Zone d extension ou de durée d une espèce: entre la première apparition (A) et la Z disparition (D) d une espèce Zone d assemblage: zone pendant laquelle les 4 espèces considérées sont présentes Z Zone d intervalle: entre la disparition d une espèce et l apparition d une autre espèce Z D A t

41 Niveaux repères ou bio-horizons: repère temporel sans durée («ligne temps») L ensemble des espèces (définies par leur degré évolutif) d un gisement repère choisi comme standard T4 T3 la succession des niveauxrepères constitue une échelle, dont chaque barreau est un repère temporel T2 T1

42 Milieu continental: utilisation des stades évolutifs de rongeurs MP 28 MP 27 Issiodoromys MP 26 MP 25 MP 24 MP 23 Oligocène MP 22

43 Rongeurs néogènes (Aguilar & Michaux, 1987) -0,25 Ma à -0,75 Ma

44 Taxons: relation espace / temps

45 Valeur locale (FLO et LLO) et non globale Des «First Appearance Datum» (FAD) et «Last Appearance Datum" (LAD) - répartition géographique (migrations, extinctions locales ) - lacune de sédimentation - pas de faciès favorable (soit pour la fossilisation, soit pour le milieu de vie de l espèce considérée)

46 Biozonations et/ou Niveaux-repères définis dans des zones géographiques limitées, et dans des environnements différents. Nécessité d'étalonner les échelles biochronologiques : - grâce à des datations radiométriques, - et/ou par approches successives à l aide de la magnétostratigraphie (ou de méthodes chimiostratigraphiques)

47 Variations du d18o sur les 60 derniers Ma Changement d échelle Variations du d18o du Pliocène à l actuel (mesures sur le test de Foraminifères) Cycles de ans prédominants au Pléistocène moyen-supérieur, et de ans jusqu au Pliocène Vêlage important de la calotte glaciaire canadienne Variations du d18o sur les 60 derniers ka (mesures sur le CO2 des bulles de glace)

48 - pour les périodes où les variations du δ18o ont une plus grande amplitude, et ne présentent pas une cyclicité aussi rapprochée, les grands épisodes d augmentation du δ18o (comme à la limite E/O Eocène-Oligocène, ou PETM) peuvent servir d'élément de corrélation fiable, PETM

49 La mesure du paléomagnétisme des roches permet, en la combinant avec des informations sur leur durée de sédimentation, et sur leur contenu paléontologique, de dresser une échelle magnétostratigraphique. L échelle de référence = Echelle géomagnétique (GPTS)

50

51 1-Les Coupures majeures: Les ERES la définition des limites entre les ères géologiques repose sur les grands événements de l'histoire de la vie. ERE= nomenclature chronologique ERATHEME= support stratigraphique matériel)

52 2-Les autres subdivisions: Les ETAGES (durée = AGE) sont des formations sédimentaires montrant des successions lithologiques remarquables. Lorsque ces formations sont choisies comme repères stratigraphiques internationaux, il s'agit de STRATOTYPES (ex stratotype de l'aptien à Apt ) Les SYSTEMES (dont la durée est une PERIODE) sont des regroupements de SERIES (dont la durée est une EPOQUE);

53 REPERES TEMPORELS et CORRELATIONS 1-GSSP (Global Stratigraphic Section and Point) Niveau repère temporel séparant deux étages (dans le stratotype) et matérialisé sous la forme d un «Golden Spike» (Clou d Or) Les corrélations se font d abord à l échelle de la section, donc à petite échelle

54 Clou d'or de la base de l'ediacarien (Flinders Ranges, Australie)

55

56

57 2- GPTS Geomagnetic Polarity Time Scale Echelle établie à partir de l accrétion le long des dorsales océaniques, et donc indépendamment de la trame chronostratigraphique

58 Echelle synthétique des temps géologiques (période 33-0 Ma) (Gradstein et al. 2005)

Thème Le domaine continental et sa dynamique

Thème Le domaine continental et sa dynamique Thème Le domaine continental et sa dynamique 1 Chapitre I Caractérisation du domaine continental - I - Les caractéristiques de la lithosphère continentale 1) La nature de la croûte continentale Rappels

Plus en détail

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe?

Séquence 4. Comment expliquer la localisation des séismes et des volcans à la surface du globe? Sommaire Séquence 4 Tu as constaté que les séismes et les éruptions volcaniques se déroulaient toujours aux mêmes endroits. Tu vas maintenant chercher à expliquer ce phénomène. Problématique : Comment

Plus en détail

Annexe C. Prols sismiques traites

Annexe C. Prols sismiques traites Annexe C Prols sismiques traites 252 Prols sismiques traites 4.0 4.4 PR12 PR15-1 500 600 700 800 4.0 4.4 PR15-2 500 600 700 PR16 500 600 700 800 900 Fig. C.1 { Prols sismiques PR12, PR15-1, 15-2 et PR16.

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités

GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités GOOGLE EARTH Quelques méthodes d utilisation et pistes d activités Google Earth est un logiciel, permettant une visualisation de la Terre (et d autres astres!) avec un assemblage de photographies aériennes

Plus en détail

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation

Chapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le

Plus en détail

La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase

La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase Journée Bases de Données Besançon 21 mars 2013 La gestion des données en écologie des communautés végétales : l exemple de Phytobase François Gillet Université de Franche-Comté CNRS UMR 6249 Chrono-environnement

Plus en détail

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale

Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale Conception d un CD interactif : simulation d une sortie en écologie végétale A. El Ghorfi *, M. Boulanouar *, M. Cheggour*, N. Zahid ** * Département de biologie, ENS Marrakech ** Département d informatique,

Plus en détail

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H

Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Projet Pédagogique Conférence interactive HUBERT REEVES Vendredi 13 mars 2015-14 H Page 1 DES CONFERENCES QUI ENRICHISSENT LES PROGRAMMES SCOLAIRES : Objectifs principaux : Acquérir et approfondir des

Plus en détail

CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP)

CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Repère à reporter sur la copie SESSION DE 28 CONCOURS EXTERNE DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS CERTIFIÉS ET CONCOURS D ACCÈS À DES LISTES D APTITUDE (CAFEP) Section : SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE COMPOSITION

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

La mesure du temps en géologie. Jacques Deferne

La mesure du temps en géologie. Jacques Deferne Jacques Deferne!! Jacques Deferne, 7 mai 2014 Jacques Deferne La mesure du temps en géologie Premières idées sur l'âge de la Terre Ce sont les théologiens qui, les premiers, ont exprimé leurs convictions

Plus en détail

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS)

a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires -Séquence Principale (PMS) VI. L évolution stellaire (un aperçu) 1. Les polytropes 2. L initialisation de la formation stellaire a. La masse de Jeans b. Le support des nuages moléculaires 3. La contraction pré-s -Séquence Principale

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT

REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT REFERENTIEL PROFESSIONNEL - BAPAAT 1. PARTICIPATION (au Fonctionnement de l'entreprise) DOMAINES de COMPETENCE OBJECTIFS GENERAUX OBJECTIFS OPERATIONNELS Appréciation d'un sportif et socioculturel Droit

Plus en détail

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)

Plus en détail

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique

Plus en détail

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1

Géodynamique. Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Géodynamique 2014 Unité d introduction et de socle commun aux 5 UE optionnelles choisies au second semestre de l'année de Master 1 Pré-requis: Bases en cinématique des plaques, géophysique, géologie sédimentaire,

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

Définition. Caractéristiques

Définition. Caractéristiques REPENSER LA PRESENTATION DU BUDGET : UNE NOMENCLATURE STRATEGIQUE Le budget des collectivités de plus de 3 500 habitants peut être présenté par nature et par fonction. La nomenclature fonctionnelle permet

Plus en détail

TP 7 : oscillateur de torsion

TP 7 : oscillateur de torsion TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)

Plus en détail

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments

La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments La nouvelle RÉGLEMENTATION PARASISMIQUE applicable aux bâtiments dont le permis de construire est déposé à partir du 1 er mai 2011 Janvier 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch 1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément

Plus en détail

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive

Inrap / Les étapes de l archéologie préventive Les étapes de l archéologie préventive LE DIAGNOSTIC Lorsque l on aménage un terrain à des fins publiques ou privées (pour construire une route ou un immeuble par exemple), le sol est remanié. Bien avant

Plus en détail

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel.

Un état descriptif de 1776 nous permet de mesurer la qualité de la conservation du bâtiment conçu par Mathurin Cherpitel. L Hôtel du Châtelet L Hôtel du Châtelet Dès le 18 ème siècle, l Hôtel du Châtelet est considéré comme une des plus belles demeures de Paris par les voyageurs qui en font la description à la fin du siècle.

Plus en détail

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice

HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE. enseignants des établissements à programme français de Maurice HERBIER NUMERIQUE COLLABORATIF DE MAURICE par et pour les élèves et les par et pour les élèves et les enseignants des établissements à programme français de Maurice Un herbier numérique collaboratif? Une

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

L Ecole et observatoire des sciences de la Terre

L Ecole et observatoire des sciences de la Terre L Ecole et observatoire des sciences de la Terre Michel GRANET LabEx G-EAU-THERMIE PROFONDE JOURNÉE DE LANCEMENT 14 Juin 2012 Un peu d histoire des sciences de la Terre à Strasbourg Quelques dates clés

Plus en détail

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes

REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP. DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REGLEMENT SECURITE INCENDIE ERP DISPOSITIONS ARCHITECTURALES LES DEGAGEMENTS : couloirs,escaliers,sorties,portes REG 4-21 Vous trouverez l'ensemble des textes et réglementation ici : http://www.sitesecurite.com/portail/

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Proposition de crédit

Proposition de crédit Helvetia Compagnie Suisse d Assurances sur la Vie SA, Bâle Helvetia Compagnie Suisse d Assurances SA, Saint-Gall Proposition de crédit 1 er preneur de prêt (débiteur principal) Indications sur la personne

Plus en détail

Les rhinocérotidés (Mammalia, Perissodactyla) de l Orléanien des bassins de la Garonne et de la Loire (France) : intérêt biostratigraphique

Les rhinocérotidés (Mammalia, Perissodactyla) de l Orléanien des bassins de la Garonne et de la Loire (France) : intérêt biostratigraphique C. R. Acad. Sci. Paris, Sciences de la Terre et des planètes / Earth and Planetary Sciences 330 (2000) 571 576 2000 Académie des sciences / Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits

Plus en détail

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine

Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Etude de l évolution du trait de côte du littoral des Bouches-du-Rhône au regard de l érosion marine Contexte de la mission Connaissance, compréhension et anticipation des phénomènes d érosion et de submersion

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

Présentation du SINP. DGALN/DEB/PEM4 mai 2014

Présentation du SINP. DGALN/DEB/PEM4 mai 2014 Présentation du SINP DGALN/DEB/PEM4 mai 2014 1 Sommaire Présentation du SINP, finalités et organisation Les points-clefs du nouveau protocole Les outils du SINP Les réalisations du SINP 2 Finalité du SINP

Plus en détail

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale

OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS ÉVALUATION DES STAGIAIRES. Objectif des organisateurs et formateurs. Évaluation des stagiaires. Évaluation initiale OUTIL 3 : MENER DES ÉVALUATIONS L enseignement doit viser à ce que tous les stagiaires réussissent à acquérir de nouvelles connaissances et de nouvelles compétences. La réussite des stagiaires dépend en

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

UE Marketing Stratégique

UE Marketing Stratégique UE Marketing Stratégique Modèles et Méthodes du Marketing Stratégique Les différents modèles et méthodes en Marketing Stratégique Introduction Analyse des besoins (du marché de référence) Analyse d attractivité

Plus en détail

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan :

Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques. Catherine Jeandel Des clés pour comprendre l océan : Desclefs pour comprendre l océan : les traceurs chimiques et isotopiques 1 Un cycle de la matière qui conditionne la chimie des océans et le climat La Terre, notre planète bleue (Figure 1), est constituée

Plus en détail

q u estions santé d économie de la résultats Repères

q u estions santé d économie de la résultats Repères Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé résultats Repères Fin 2003, l Irdes a mené une enquête sur la protection sociale complémentaire d entreprise (PSCE) auprès

Plus en détail

Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final

Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités. Rapport final Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités Rapport final BRGM/RP-52261-FR janvier 2003 Référentiel hydrogéologique BD RHF Guide méthodologique de découpage des entités

Plus en détail

Chapitre 6 -TP : Support Réseau des Accès Utilisateurs

Chapitre 6 -TP : Support Réseau des Accès Utilisateurs SI 2 BTS Services Informatiques aux Organisations 1 ère année Chapitre 6 -TP : Support Réseau des Accès Utilisateurs Acquisition automatique de configuration par requêtes DHCP Objectifs : Comprendre les

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM

Réseau sur. Médicaments. l Innocuité et l Efficacité des. Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Réseau sur l Innocuité et l Efficacité des Médicaments Document d orientation pour la présentation de requêtes au RIEM Instituts de recherche en santé du Canada Canadian Institutes of Health Research Version

Plus en détail

Instructions de montage et d utilisation

Instructions de montage et d utilisation Instructions de montage et d utilisation TOUR ESCALIERS - 2 - SOMMAIRE SOMMAIRE...- 3 - TOUR ESCALIERS : CONFIGURATION 6 M...- 4-1. CARACTERISTIQUES GENERALES :...- 4 - Caractéristiques dimensionnelles

Plus en détail

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer?

La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? La fonte des glaces fait-elle monter le niveau de la mer? L effet de la fonte des glaces sur la variation du niveau de la mer est parfois source d erreur et de confusion. Certains prétendent qu elle est

Plus en détail

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,

La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,

Plus en détail

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g

Plus en détail

LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE

LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE LE RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE PREMIERE ETAPE : 2003 à 2004 Questionnaire DERNIER AVANT-PROJET, Version 2.1 RESEAU AFRICAIN D INFORMATION ENVIRONNEMENTALE - RAFINE EVALUATION DES CAPACITES

Plus en détail

Nature en ville, Une nouvelle vieille idée? La dimension paysagère/écologique des plans d'urbanisme

Nature en ville, Une nouvelle vieille idée? La dimension paysagère/écologique des plans d'urbanisme Nature en ville, Une nouvelle vieille idée? ou La dimension paysagère/écologique des plans d'urbanisme Baština - proketač razvoja Laurence Feveile 28 juin 2013 architecture, urbanisme, paysage, 3 disciplines,

Plus en détail

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La

Plus en détail

Introduction. Henri Poincaré

Introduction. Henri Poincaré Introduction «On fait la science avec des faits comme une maison avec des pierres, mais une accumulation de faits n est pas plus une science qu un tas de pierres n est une maison.» Henri Poincaré Après

Plus en détail

S P K C S E. Procédure de qualification pour la formation professionnelle initiale du commerce de détail Gestionnaire du commerce de détail

S P K C S E. Procédure de qualification pour la formation professionnelle initiale du commerce de détail Gestionnaire du commerce de détail S P K C S E im Detailhandel dans le Commerce de Détail nel Commercio al Dettaglio Procédure de qualification pour la formation professionnelle initiale du commerce de détail Gestionnaire du commerce de

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

LES AIRES PROTÉGÉES MULTICLASSES ET LA CATÉGORIE VI DE L UICN. De nouvelles perspectives de conservation à l échelle régionale

LES AIRES PROTÉGÉES MULTICLASSES ET LA CATÉGORIE VI DE L UICN. De nouvelles perspectives de conservation à l échelle régionale LES AIRES PROTÉGÉES MULTICLASSES ET LA CATÉGORIE VI DE L UICN De nouvelles perspectives de conservation à l échelle régionale INTRODUCTION: Une petite perspective internationale CONVENTION SUR LA DIVERSITÉ

Plus en détail

DÉVELOPPEMENT DES OPTIONS DE GESTION Aire Marine Protégée envisagée de Barra Fan et du mont sous-marin de la Terrasse des Hébrides

DÉVELOPPEMENT DES OPTIONS DE GESTION Aire Marine Protégée envisagée de Barra Fan et du mont sous-marin de la Terrasse des Hébrides DÉVELOPPEMENT DES OPTIONS DE GESTION Aire Marine Protégée envisagée de Barra Fan et du mont sous-marin de la Terrasse des Hébrides Un réseau d'aires Marines Protégées (AMP) est actuellement mis en place

Plus en détail

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8

Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable. S e p t e m b r e 2 0 0 8 Atelier Environnement Préparatoire au Projet d Aménagement et de Développement Durable S e p t e m b r e 2 0 0 8 Le PADD : un Projet Politique Le PADD : un Projet Politique L e S C O T, u n o u t i l a

Plus en détail

Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies

Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies Oral Master 2, Fonctionnement des Ecosystèmes Naturels et cultivés, 10 juin 2009 Avancées et reculs des mangroves guyanaises: bilan par analyse spatiale sur plusieurs décennies Elodie Blanchard Encadrant:

Plus en détail

Chapitre 7 Les solutions colorées

Chapitre 7 Les solutions colorées Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -

Plus en détail

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge! Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)

Plus en détail

Fiche de révisions sur les acides et les bases

Fiche de révisions sur les acides et les bases Fiche de révisions sur les s et les s A Définitions : : espèce chimique capable de libérer un (ou plusieurs proton (s. : espèce chimique capable de capter un (ou plusieurs proton (s. Attention! Dans une

Plus en détail

Dates de rentrée 2015-2016 Master 2

Dates de rentrée 2015-2016 Master 2 Dates de rentrée 2015-2016 Sciences, Technologies, Santé Energie électrique et développement durable 9 septembre 10h00 Bâtiment P2 Automatique et systèmes électriques Automatique, Robotique Biodiversité,

Plus en détail

Guide de l étudiant 2014-2015

Guide de l étudiant 2014-2015 Guide de l étudiant 2014-2015 Université Hassan II Casablanca www.univcasa.ma Sommaire Offre de formation. Dates importantes. Modalités d inscription.. Cycle Licence : nouvelle approche. Cycle Licence

Plus en détail

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:

Plus en détail

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie»

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» «Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» Dr. Alexandru BADEA Directeur Applications Spatiales Agence Spatiale Roumaine Tél : +40(0)744506880 alexandru.badea@rosa.ro

Plus en détail

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE

EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.

Plus en détail

POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE

POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.

Plus en détail

PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE

PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE PROGRAMME DE PHYSIQUE - CHIMIE EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Préambule Objectifs La culture scientifique et technique acquise au collège doit permettre à l élève d avoir une première représentation

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE

STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE Caractéristiques des terrains étudiés Complétez le schéma ci- dessus et le tableau ci- dessous Unité fonctionnelle A partir

Plus en détail

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale

Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Jean Pierre THIBAULT / DREAL Aquitaine / Stratégie nationale Stratégie nationale de gestion intégrée du trait de côte : vers la relocalisation des activités et des biens Ministère de l'écologie, du développement

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

INTERPRÉTATION ET ANOMALIES DE LA PROSPECTION À RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (MRS)

INTERPRÉTATION ET ANOMALIES DE LA PROSPECTION À RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (MRS) 1 Géologie, géotechnique, risques naturels, hydrogéologie, environnement et services scientifico-techniques INTERPRÉTATION ET ANOMALIES DE LA PROSPECTION À RÉSONANCE MAGNÉTIQUE (MRS) INTERPRETATION DES

Plus en détail

Nous retrouvons tout cela et bien d autres événements encore inscrits dans les roches de la région et les fossiles qui s y sont incrustés.

Nous retrouvons tout cela et bien d autres événements encore inscrits dans les roches de la région et les fossiles qui s y sont incrustés. Rue Fusch 3 à 4000 Liège 04 250.75.10 04 222.16.89 info@education-environnement.be asbl reconnue par la Communauté Française comme organisation d éducation permanente pluies de météorites, grandes terres

Plus en détail

Fiches concept SEGMENTATION. 1ère Fiche : Enjeux et principes de la segmentation

Fiches concept SEGMENTATION. 1ère Fiche : Enjeux et principes de la segmentation Fiches concept SEGMENTATION 1ère Fiche : Enjeux et principes de la segmentation Un marché est un ensemble de consommateurs (ou de clients) potentiels d un produit tangible ou intangible. La plupart des

Plus en détail

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire?

Quel avenir pour l énergie énergie nucléaire? Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

Cloisons de distribution Caroplatre

Cloisons de distribution Caroplatre 04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration

Plus en détail

ANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES

ANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES ANNEXE 1 RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX 1 ASSOCIATION DES ARCHÉOLOGUES PROFESSIONNELS DU QUÉBEC (AAQ) CODE D ÉTHIQUE ET DES NORMES PROFESSIONNELLES Ce code fait partie intégrante du règlement de l'association des

Plus en détail

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN PROTHÈSE DENTAIRE FORMATIONINITIALEET CONTINUE SUP DENTAIRE CRÉATIF 3 A N NÉ E S D E FOR MA T I ON

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN PROTHÈSE DENTAIRE FORMATIONINITIALEET CONTINUE SUP DENTAIRE CRÉATIF 3 A N NÉ E S D E FOR MA T I ON FORMATIONINITIALEET CONTINUE SUP DENTAIRE LES HERBIERS BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN PROTHÈSE DENTAIRE Diplôme de niveau IV OBJECTIFS Acquérir une culture professionnelle permettant une adaptation rapide

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire

Loi n 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire Référence : DEP-Bordeaux-0538-2009 Monsieur le directeur du CNPE de Civaux BP n 64 86320 CIVAUX Bordeaux, le 15 avril 2009 Objet : Réf. : Contrôle des installations nucléaires de base Centre nucléaire

Plus en détail

ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT

ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 7 ÉVOLUTION BIOLOGIQUE ET ENVIRONNEMENT Ce chapitre, dernier de la partie «Évolution», a pour objectif de donner aux élèves les informations scientifiques pour établir l existence d interdépendances

Plus en détail

INVERSIO. N Azur 0 810 104 104. www.castorama.fr Service consommateur Castorama BP101-59175 Templemars. réf. R1-99879

INVERSIO. N Azur 0 810 104 104. www.castorama.fr Service consommateur Castorama BP101-59175 Templemars. réf. R1-99879 INVERSIO Réf. ALTERNA 0 7 FR www.castorama.fr Service consommateur Castorama BP0-97 Templemars N Azur 0 80 0 0 PRI D UN APPEL LOCAL DEPUIS UN POSTE FIE réf. R-99879 R 99880-0909 Notice_INVERSIO_LIVRET_A_EE.indd

Plus en détail

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE 1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème

Plus en détail

Objectifs. Clustering. Principe. Applications. Applications. Cartes de crédits. Remarques. Biologie, Génomique

Objectifs. Clustering. Principe. Applications. Applications. Cartes de crédits. Remarques. Biologie, Génomique Objectifs Clustering On ne sait pas ce qu on veut trouver : on laisse l algorithme nous proposer un modèle. On pense qu il existe des similarités entre les exemples. Qui se ressemble s assemble p. /55

Plus en détail

Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR)

Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR) Les mardis de la DGPR 17/09/2013 Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR) Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention

Plus en détail

Acropole Acropole Gestion du courrier - Archivage

Acropole Acropole Gestion du courrier - Archivage Plan du document 1. Introduction de la matière et du rôle du logiciel 2. Descriptif fonctionnel du produit 3. Les liaisons de l'application avec d'autres programmes de la gamme Acropole 4. Les services

Plus en détail

Règlement du concours photo

Règlement du concours photo Règlement du concours photo " Pré-en-Pail en 2013. Que souhaitez-vous laisser comme témoignage de la vie quotidienne de votre ville pour les générations de demain?" ARTICLE 1 Objet du concours L'association

Plus en détail

Projet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE

Projet : Ecole Compétences Entreprise ECONOMIE TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Projet : Ecole Compétences Entreprise SECTEUR 7 ECONOMIE ORIENTATION D' ETUDES : TECHNICIEN/TECHNICIENNE EN COMPTABILITE Outils pédagogiques construits selon l approche FORMATION EN COURS DE par les compétences

Plus en détail

QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants?

QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME. Niveau 1. 1 - Qui est-ce? 2 - Quelle est la nature des fossiles les plus courants? avec la collaboration du Centre de vulgarisation de la connaissance, université Paris-XI QUIZ DE TOUMAÏ À SAPIENS LA RUÉE VERS L HOMME Vingt questions pour tester vos connaissances Le niveau 1 comporte

Plus en détail

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge!

Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains. Pas si sûr! Avec IndexMed. Relevons ce challenge! Indexmed : Le big data en écologie? Pas encore disent certains Pas si sûr! Avec IndexMed Relevons ce challenge! Origine du consortium L état des lieux (source : séminaire Allenvie, séminaire Indexmed1)

Plus en détail

Qu est-ce qu un résumé?

Qu est-ce qu un résumé? Méthodologie d analyse et de mémoire Résumer un texte Quelques astuces et techniques Licence GSINFO Département GEII IUT d Évry N. Abchiche Mimouni 1 Qu est-ce qu un résumé? Exprime de façon brève, les

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

2012-2013 GRAND CONCOURS. des jeunes reporters. Pour les 8-10 ans. Photos : Istockphoto. Remise des prix le. Les mammifères marins!

2012-2013 GRAND CONCOURS. des jeunes reporters. Pour les 8-10 ans. Photos : Istockphoto. Remise des prix le. Les mammifères marins! 2012-2013 GRAND CONCOURS des jeunes reporters Pour les 8-10 ans Photos : Istockphoto Les mammifères marins! Remise des prix le 23 MARS 2013 au Tu adores la nature et les animaux? Tu veux protéger les baleines

Plus en détail