Syndicat National du Béton Prêt à l'emploi

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Syndicat National du Béton Prêt à l'emploi"

Transcription

1 Syndicat National du Béton Prêt à l'emploi

2 P R É F A C E Créé en 1964, le Syndicat National du Béton Prêt à l'emploi (SNBPE), écoute, conseille, accompagne les entreprises, définit la politique de la profession, représente et promeut la filière du Béton Prêt à l Emploi. Il regroupe 200 adhérents qui représentent 80 % de la production du Béton Prêt à l Emploi. Le SNBPE est à l origine du présent fascicule, qui s inscrit dans sa série de fascicules techniques. A ce titre, il a décidé de faire réaliser, en 2007, par la société Ecobilan, au sein du département Développement durable de PricewaterhouseCoopers, des «Fiches de Déclaration Environnementale et Sanitaire» (dite «Les FDES» dans l ensemble du fascicule) de différents ouvrages en BPE. L objet de ce fascicule est de présenter ces FDES de façon didactique aux prescripteurs et aux utilisateurs du BPE, ainsi qu à ceux qui le produisent et qui le vendent. Voici tout d abord, un avertissement pour éviter les confusions fréquentes : par FDES, on entend Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire, établie selon la norme NF P de décembre Une FDES n est pas une FDS, Fiche de Données de Sécurité, établie selon l Arrêté du 5 janvier Le fait de connaître le mode de réalisation des FDS n aide pas à la réalisation des FDES : la méthode de travail pour l établissement de ces fiches, et leur utilité, sont différentes. Le présent fascicule doit servir de plateforme entre les producteurs de BPE qui communiquent des informations de façon crédible au moyen des FDES et ceux qui les utilisent, et qui exigent de la simplicité. Par simplicité, on entend donner les clefs de lecture des FDES, spécifiques au BPE, qui permettront l utilisation des FDES par les utilisateurs de BPE, sans qu ils aient besoin de devenir des experts de la norme NF P qui sert de base aux praticiens des FDES. >> 2

3 << Il s agit donc au sein de ce fascicule : d expliquer la démarche, de définir les systèmes constructifs utilisant du Béton Prêt à l Emploi qui ont fait l objet des FDES, de présenter les résultats synthétiques et les moyens de les comprendre, de fournir une grille de lecture selon les 14 cibles de la «démarche HQE». Nous avons de plus intégré un glossaire afin d expliquer un certain nombre de termes (e.g. «Unité Fonctionnelle») et les acronymes (e.g. «DVT») en termes courants. Avertissement : les FDES permettent, une fois agrégées, de comparer différents bâtiments. Pour ce faire, il faut prendre en compte la façon dont les différents produits en se combinant, fonctionnent dans chaque bâtiment, pendant sa durée de vie, ce qui ne peut être fait lors de l établissement des FDES des produits puisque ces informations sont spécifiques à chaque bâtiment. Ces modes de fonctionnement différents peuvent en effet introduire des écarts supérieurs à ceux observés entre les résultats d ICV des FDES comparées. La comparaison directe de FDES de différents matériaux n a pas de sens. Les FDES complètes se trouvent jointes du fascicule, pour que les experts puissent en extraire l ensemble des informations dont ils peuvent avoir besoin. 3

4 Ce document a été rédigé par un groupe de travail composé d experts du SNBPE, de CIMBETON, du SYNAD et de ECOBILAN Syndicat National du Béton Prêt à l'emploi 4

5 PRÉFACE 2 p.2 LE BÉTON PRÊT À L EMPLOI 6 LES 8 UNITÉS FONCTIONNELLES 9 LA COMMUNICATION ENVIRONNEMENTALE PRODUIT 11 MODÉLISATION DU CYCLE DE VIE DU BPE 13 RÉSULTATS POUR LES 8 FDES, PRÉSENTÉS PAR ANNUITÉ ET POUR LEUR CYCLE DE VIE COMPLET 15 LES INDICATEURS ET LES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX 32 LES OUVRAGES EN BPE ET LES 14 CIBLES DE LA «DÉMARCHE HQE» 37 A/ ECO-CONSTRUCTION 38 Cible 1. Relation harmonieuse des bâtiments avec leur environnement immédiat Cible 2. Choix intégré des procédés et produits de construction Cible 3. Chantiers à faibles nuisances B/ ECO-GESTION 39 Cible 4. Gestion de l énergie Cible 5. Gestion de l eau Cible 6. Gestion des déchets d activité Cible 7. Gestion de l entretien et de la maintenance C/ CONFORT 41 Cible 8. Confort hygrothermique Cible 9. Confort acoustique Cible 10. Confort visuel Cible 11. Confort olfactif D/ SANTE 41 Cible 12. Qualité sanitaire des espaces Cible 13. Qualité sanitaire de l air Cible 14. Qualité sanitaire de l eau GLOSSAIRE ET ACRONYMES p

6 Le Béton Prêt à l Emploi Définition BÉTON : n. m. betun «mortier» vers 1165 ; latin bitumen. Matériau de construction formé d un mortier et de pierres concassées (gravier) [ ]. Un pont, un immeuble en béton. Béton précontraint. Béton cellulaire. Béton coloré. Béton armé, coulé autour d une armature métallique Par métaphore. Un alibi en béton. Le Petit Robert Le béton est aujourd hui le matériau de construction par excellence et répond à toutes les particularités, même extrêmes, d un chantier. Par un mélange dosé d eau, de ciment, de sable, de granulats et d ajouts, on obtient une roche artificielle qui permet de réaliser toutes sortes de pièces et de volumes cohérents et résistants. Le Béton Prêt à l Emploi se retrouve dans les bâtiments, les chaussées, les ouvrages d art, les aménagements urbains Le ciment est un liant hydraulique à base de calcaire et d argile qui se présente sous la forme d une poudre minérale fine, s hydratant en présence d eau. Il forme ainsi une pâte qui fait prise et qui durcit progressivement. C est le constituant de base du béton. Les granulats (ou agrégats) sont l ensemble des matériaux inertes (sables, gravillons) qui constitue le squelette du béton. L eau sert à l hydratation du ciment et à assurer une ouvrabilité suffisante du béton. Un adjuvant est un produit organique formulé qui, ajouté en petite quantité aux bétons, améliore certaines propriétés soit sur béton frais, soit sur béton durci. Produit dans une centrale à béton, le BPE conforme à la norme NF EN est fabriqué dans un malaxeur. Par sa composition, le béton est un produit frais. Il doit être mis en œuvre rapidement et sa durée de transport est donc limitée. Le transport du béton frais jusqu au lieu de coulage fait appel à des bétonnières portées ou toupies. La capacité des bétonnières portées est de 4 à 10 m 3. 6

7 Le béton est livré sur le chantier soit : Par la goulotte de la toupie : le camion-toupie permet d approvisionner tous les types de chantiers. Des goulottes conçues spécialement peuvent être utilisées pour aider au déchargement. Par un tapis : ce type de livraison est particulièrement indiqué pour les distances de déchargement d environ 10 mètres avec une hauteur allant jusqu à 6 mètres. Par un camion malaxeur pompe : ces pompes permettent d acheminer le béton jusqu au point de coulage pour les endroits difficiles d accès. Le camion-toupie muni d une pompe à béton est équipé d une flèche pouvant aller jusque 24 mètres. Par l utilisation d une pompe à béton indépendante : elles permettent d acheminer le béton jusqu au point de coulage dans les endroits difficiles d accès ou éloignés. La durée du transport est limitée en fonction des conditions ambiantes de température, d hygrométrie ou de vent. La mise en œuvre du béton ne peut se faire plus de 2 h après sa fabrication, y compris le temps de transport. La normalisation des bétons : les bétons coulés en place qu ils soient réalisés par un producteur de Béton Prêt à l Emploi ou sur le chantier, destinés aux bâtiments et ouvrages de génie civil sont gouvernés par la norme NF EN 206-1, dont l édition française est parue en avril 2004 et d application effective depuis le 1 er janvier 2005, Pour les produits préfabriqués structuraux en béton, autres que les blocs, les normes européennes harmonisées s appuient sur la norme NF EN 13369, laquelle précise et complète, pour les aspects concernant les produits préfabriqués structuraux, la norme NF EN Tous les Documents Techniques Unifiés, dont le DTU 21 «Exécution des Ouvrages en Béton» (NF P ), qui portent sur les constructions de bâtiments, imposent le respect absolu de cette norme. Les cahiers des charges ou les descriptifs de travaux (y compris pour les maisons individuelles) font référence au respect des règles de l art, des DTU et le Code des Assurances (Annexe 1 de l article A du Code modifié, arrêté du 7/1/87) s y réfère. Les normes de calcul, dont l Eurocode 2 qui porte sur les bâtiments, sont aussi gouvernées par la nouvelle norme NF EN

8 Normes de dimensionnement (Eurocode 2) Normes et documents d éxécution (DTU) Norme EN Normes composants Ciment - NF EN Granulats - NF EN Adjuvants - NF EN Additions - NF EN Ciments prampts et alumineux utilisables en France Normes essais Essai sur béton frais Série NF EN Essais sur béton durci Séries NF EN La norme NF EN est devenue par conséquent la base normative pour tous les Bétons Prêts à l Emploi de structure, destinés aux bâtiments ou aux ouvrages de génie civil. Inscrite dans la continuité du savoir-faire français, elle est l aboutissement de vingt ans de travail de normalisation européenne. Cette nouvelle donne et le changement des habitudes qu elle implique, représente pour tous les professionnels de l acte de bâtir un enjeu de taille, et pour la profession française du béton, une nouvelle étape pour optimiser encore l utilisation des bétons, en fonction des ouvrages et de leurs environnements. Désormais, qu il s agisse d une entreprise ou d un particulier, le prescripteur est responsable du béton qu il met en œuvre. Un exploitant agricole se doit par exemple d appliquer la norme pour la fabrication de son bâtiment, avec une obligation de distinguer le béton à mettre en œuvre ouvrage par ouvrage. Le respect des fréquences de contrôles est aujourd hui obligatoire pour pouvoir déclarer la conformité à la norme, contribuant à créer ainsi une vraie «traçabilité» du matériau, au service des consommateurs. Les Bétons Prêts à l Emploi étudiés au sein de ce fascicule sont des BPS, notés les «BPE» dans le reste de ce fascicule. Ces BPE peuvent servir dans de nombreuses d applications. Les Bétons à Propriétés Spécifiées (BPS) sont des bétons pour lesquels les propriétés requises et les caractéristiques supplémentaires sont spécifiées par le prescripteur au producteur ; ce dernier a la responsabilité de fournir un béton satisfaisant à ces exigences (cf. 6.2 de la Norme NF EN 206-1). Les BPS sont les produits principalement commercialisés par les producteurs de BPE. Exemple de formulation d un BPS : BPS NF EN C25/30 XC1/XC2 (F) Dmax 22,4 S3 CL 0,40 Granularité Conformité à la Norme Européenne Classe d exposition Classe de teneur en chlorures Classe de résistance à la compression : fck cyl 25/fck cub 30 NF EN

9 Les 8 unités fonctionnelles Afin de réaliser une FDES, une fonction doit être choisie pour le matériau considéré. Les fonctions retenues pour les BPE étudiés sont de réaliser des ouvrages en béton armé pour des bâtiments (maisons individuelles et petits collectifs jusqu à R+4). Les lignes suivantes décrivent les produits de construction étudiés et leurs unités fonctionnelles respectives. Plus de détails sont fournis dans les FDES jointes quant à la description des systèmes constructifs étudiés. Pour deux FDES «murs» de 16 cm avec un complexe de doublage isolant composé d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 80 mm d épaisseur qui diffèrent par la nature du béton (BPS 25/30 et BAP), l unité fonctionnelle est la suivante : Assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 2,63 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, pendant une annuité, tout en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 65 db). Pour une FDES «mur» en BAP de 16 cm avec un complexe de doublage isolant composé d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 100 mm d épaisseur et utilisant des rupteurs thermiques, l unité fonctionnelle est la suivante : Assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 3,23 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, pendant une annuité, tout en minimisant les ponts thermiques au niveau des jonctions mur-plancher et en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 66 db). Pour deux FDES «plancher bas» de 6 cm avec un entrevous PSE, qui diffèrent par la nature du béton (BPS C25/30 et BAP), l unité fonctionnelle est la suivante : Assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 2,6 m 2.K/W, sur une surface d 1 m 2, pendant une annuité. Pour une FDES «plancher bas» de 6 cm en BAP avec un entrevous PSE, une plaque de PSE et l usage d une chape BAP, l unité fonctionnelle est la suivante : Assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 4,7 m 2.K/W et en supprimant les ponts thermiques linéiques, sur une surface d 1 m 2, pendant une annuité. 9

10 Pour deux FDES «poutre» de section moyenne 35 x 20 cm et de portée 6,4 m, qui diffèrent par la nature du béton (BPS C25/30 et BAP), l unité fonctionnelle est la suivante : Supporter les charges et autres éléments de planchers sur un mètre linéaire pendant une annuité. > Durée de vie Un bâtiment possède une durée de vie propre, liée à la façon dont il va être exploité (son «programme»). Cette durée de vie conditionne celle de ses composants inversement, chaque composant va contribuer à la durée de vie du bâtiment. Pour les ouvrages étudiés, on a considéré que sa Durée de Vie Typique (DVT) est de 100 ans, c'est-à-dire que l ouvrage concerné peut durer 100 ans. Ces aspects seront précisés lors de la présentation des résultats quantifiés. > Production Un Béton Prêt à l Emploi représentatif de la production française a été modélisé, en tenant compte des parts respectives des trois types de centrales présentes en France : Industriel Production annuelle (P) % de BPE produits en France de la centrale (m 3 ) ce type de centrale Centrale 1 P > m 3 25 Centrale m 3 < P < m 3 45 Centrale 3 P < m 3 30 A ce titre, il s agit d une FDES collective, qui modélise la production du BPE étudié en France. > Définition de l unité fonctionnelle Chaque ouvrage possède une unité fonctionnelle différente. De plus, on peut chercher à avoir l inventaire pour une période temporelle donnée. Des grandeurs de référence doivent être définies pour ces paramètres pour pouvoir réaliser les calculs d inventaire de cycle de vie du BPE. Les unités fonctionnelles sont de 1 m 2 (mur ou plancher) ou de 1 ml (poutre). Les inventaires seront calculés pour une durée retenue de 1 an. Cette surface et cette durée sont recommandées par la norme NF P dans le cas présent. Elles sont relatives à des épaisseurs ou des sections spécifiques à chaque ouvrage étudié. 10

11 La communication environnementale produit > La Communication environnementale à l aide de la norme NF P La communication d informations environnementales relatives aux produits se développe en Europe sous l impulsion des industriels et de la Commission européenne. Afin de rendre crédibles les éléments communiqués, l Organisation Internationale de Normalisation (ISO) a produit des normes qui détaillent la méthodologie de communication. Au niveau national, l Association Française de Normalisation (AFNOR) travaille dans le même objectif. C est ainsi que la norme NF P appelée «Déclaration Environnementale et Sanitaire des Produits de Construction» a été publiée en décembre Elle fournit la méthode de réalisation de telles déclarations dans le domaine du bâtiment. Au niveau international, la norme ISO a été publiée le 1 er déclarations environnementales produit dans le domaine du bâtiment. Octobre Elle couvre les Les FDES objets de ce fascicule ont été réalisées dans le respect de la norme NF P > Format L AIMCC, Association des Industries de Produits de Construction (voir a décidé d aider à l application de la norme NF P en établissant un format commun de FDES. La FDES complète, selon le modèle en vigueur lors de sa réalisation, est fournie en Annexe de ce fascicule. La FDES s inscrit dans le cadre général des écolabels de «type III». Les écolabels de type III sont établis à l aide du document ISO De ce fait, la FDES contient deux grands types d informations : des données quantifiées relatives au cycle de vie du BPE étudié ainsi que des données sanitaires. > Données quantifiées relatives au cycle de vie du BPE Afin de fournir des données relatives au cycle de vie de l ouvrage en BPE, des informations ont été collectées depuis l extraction des matières premières jusqu à la fin de vie du BPE, comprenant notamment : La production des composants (dont, par exemple, les granulats, le ciment et les aciers de ferraillage), La production des consommables et des énergies, L utilisation des composants, consommables et énergies pour produire le Béton Prêt à l Emploi, 11

12 La mise et la vie en œuvre, La fin de vie du produit, Tous les transports entre les différentes étapes. L intérêt de prendre en compte l ensemble du cycle de vie est de ne pas oublier des facteurs essentiels d impacts environnementaux des ouvrages en BPE. La méthode comptable employée pour réaliser l étude du cycle de vie des ouvrages en BPE est l Analyse du Cycle de Vie (notée «ACV» dans le reste de ce fascicule). L ACV est une méthode d inventaire des flux environnementaux, normalisée selon ISO Cette norme, révisée en 2006, est à la base de la comptabilité environnementale produit, résultat de la synthèse des meilleures pratiques dans le domaine, au niveau international. La norme NF P , comme ISO 14025, fait explicitement référence à la pratique de l ACV selon ISO 14040, et la rend obligatoire. C est ainsi que la pratique est crédible et garantit les résultats obtenus. Les données des FDES peuvent ainsi servir dans le cadre des ACV des bâtiments. > Données sanitaires En France, la démarche d intégration de l environnement dans la conception des bâtiments (l éco-conception des bâtiments) a donné naissance, notamment, à la création d une pratique nommée «Démarche HQE» (Haute Qualité Environnementale, voir Cette pratique est le résultat d un consensus au niveau français concernant les meilleures pratiques d éco-conception des bâtiments. Au niveau international, on parle de Qualité Environnementale des Bâtiments (QEB), qui est le terme générique pour désigner l intégration de préoccupations environnementales dans la conception des bâtiments. Les informations sanitaires des FDES visent à répondre à certaines des questions posées par la «démarche HQE», i.e. dans le cadre des ouvrages en BPE à montrer leurs contributions à chacune des 14 cibles environnementales visées par la démarche. La norme NF P rend obligatoire la fourniture des données sanitaires qui permettent aux praticiens d éco-conception des bâtiments de travailler. > Perspectives Les travaux en cours au CEN (Comité Européen de Normalisation) du TC 350 selon le mandat M 350 visent à harmoniser les formats de déclaration environnementale. Le Plan National Santé et Environnement (PNSE) exige qu à l horizon 2010, 50 % des produits de construction communiquent les informations environnementales qui les concernent. 12

13 Modélisation du cycle de vie du BPE Le cycle de vie de chaque ouvrage étudié a été décomposé en cinq étapes, selon les recommandations de la norme NF P Les objectifs de cette décomposition sont multiples. Le premier est de décrire le cycle de vie d une façon commune à tous les produits de construction afin de faciliter la lecture des FDES à tous ceux qui les utilisent. De plus, cette définition aide à collecter de façon complète l ensemble des informations nécessaires à la réalisation des calculs d ACV. Enfin, on disposera non seulement du total de l inventaire pour chaque flux, mais aussi de sa décomposition entre les 5 étapes afin de pouvoir identifier celles qui contribuent le plus aux impacts environnementaux, flux par flux. Les étapes sont identifiées dans la norme, avec leur décomposition générique. Ici sont données les étapes telles qu elles ont été prises en compte pour les FDES des ouvrages en BPE. > Production La modélisation de l étape de production prend en compte : La fabrication du BPE sur les sites étudiés, La production des matières premières du BPE (et notamment la production des adjuvants spécifiques au BAP), Le transport des matières premières depuis leurs sites de production, La production des énergies consommées sur les sites de production. > Transport La modélisation de cette étape prend en compte la production et la combustion du diesel pour le transport du BPE depuis les sites de production vers le chantier de mise en œuvre. > Mise en œuvre Le BPE est utilisé pour la réalisation de bâtiments - ou d éléments de structure - en béton armé. L énergie utilisée sur le chantier pour la mise en œuvre est comptabilisée à cette étape. Note : les économies d énergie à la mise en œuvre liées à l utilisation du BAP ont été prises en compte. 13

14 Vie en œuvre En conditions normales d utilisation, les ouvrages en Béton Prêt à l Emploi ne nécessitent aucune maintenance. La colonne est donc vide. > Fin de vie La modélisation de l étape de la fin de vie prend en compte : Le transport des déchets depuis leur lieu de vie en œuvre jusqu à leur lieu de fin de vie, Leur mise en décharge. Il est à noter que plus de 40 % des bétons déconstruits sont recyclés. La modélisation a été réalisée dans TEAM, le logiciel d Ecobilan qui permet notamment de conduire les ACV des produits de construction (voir références). 14

15 Résultats pour les 8 FDES, présentés par annuité et pour leur cycle de vie complet Les pages suivantes présentent les résultats synthétiques des FDES (par anuité, puis total) dont ils sont extraits. La signification des indicateurs est détaillée dans la suite du fascicule. L utilisateur des FDES prendra les calculs effectués pour la DVT de l ouvrage en BPE (100 ans) et intégrera ces éléments dans un calcul d ACV du bâtiment, quelle que soit la durée de vie du bâtiment inférieure à 100 ans. Le calcul effectué pour l unité fonctionnelle (notamment sur une annuité) permet de positionner par annuité les impacts environnementaux de l ouvrage en BPE. 15

16 Résultats par annuité pour la FDES «Mur de 16 cm en BPS C25/30 avec isolation par l intérieur en doublage thermo-acoustique 13-80» Le mur est en BPS C25/30, avec un complexe de doublage isolant est d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 80 mm d épaisseur. Son unité fonctionnelle est : Assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 2,63 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, pendant une annuité, tout en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 65 db). N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 8,78 MJ Energie renouvelable 0,256 MJ Energie non renouvelable 8,53 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,00333 kg 3 Consommation d eau 3,35 litres Valorisés 1,68 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,250 kg Déchets inertes 2,42 kg Déchets radioactifs 4,74 E-05 kg 5 Changement climatique 0,651 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,00283 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 63,9 m 3 8 Pollution de l eau 0,296 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 9,17 E-04 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 16

17 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Mur de 16 cm en BPS C25/30 avec isolation par l intérieur en doublage thermo-acoustique 13-80» Le mur est en BPS C25/30, avec un complexe de doublage isolant composé d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 80 mm d épaisseur. Le système est destiné à assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 2,63 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, tout en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 65 db). N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 878 MJ Energie renouvelable 25,6 MJ Energie non renouvelable 853 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,333 kg 3 Consommation d eau 335 litres Valorisés 168 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,0739 kg Déchets non dangereux (DIB) 25,0 kg Déchets inertes 242 kg Déchets radioactifs 4,74 E-03 kg 5 Changement climatique 65,1 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,283 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 29,6 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 9,17 E-02 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 17

18 Résultats par annuité pour la FDES «Mur de 16 cm en BAP avec isolation par l intérieur en doublage thermo-acoustique 13-80» Le mur est en BAP, avec un complexe de doublage isolant composé d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 80 mm d épaisseur. Son unité fonctionnelle est : Assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 2,63 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, pendant une annuité, tout en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 65 db). N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 9,43 MJ Energie renouvelable 0,327 MJ Energie non renouvelable 9,10 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,00344 kg 3 Consommation d eau 3,58 litres Valorisés 1,67 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,250 kg Déchets inertes 2,41 kg Déchets radioactifs 4,50 E-05 kg 5 Changement climatique 0,772 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,00294 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 63,8 m 3 8 Pollution de l eau 0,286 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 8,76 E-04 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 18

19 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Mur de 16 cm en BAP avec isolation par l intérieur en doublage thermo-acoustique 13-80» Le mur est en BAP, avec un complexe de doublage isolant composé d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 80 mm d épaisseur. Le système est destiné à assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 2,63 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, tout en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 65 db). N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 943 MJ Energie renouvelable 32,7 MJ Energie non renouvelable 910 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,344 kg 3 Consommation d eau 358 litres Valorisés 167 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,0475 kg Déchets non dangereux (DIB) 25,0 kg Déchets inertes 241 kg Déchets radioactifs 4,50 E-03 kg 5 Changement climatique 77,2 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,294 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 28,6 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 8,76 E-02 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 19

20 Résultats par annuité pour la FDES «Mur de 16 cm en BAP avec isolation par l intérieur en doublage thermo-acoustique et des rupteurs thermiques» Le mur est en BAP avec un complexe de doublage isolant composé d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 100 mm d épaisseur, auquel on ajoute des rupteurs thermiques. Son unité fonctionnelle est : Assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 3,23 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, pendant une annuité, tout en minimisant les ponts thermiques au niveau des jonctions mur-plancher et en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 66 db). N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 10,81 MJ Energie renouvelable 0,340 MJ Energie non renouvelable 10,5 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,00399 kg 3 Consommation d eau 4,19 litres Valorisés 1,67 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,260 kg Déchets inertes 2,47 kg Déchets radioactifs 4,65 E-05 kg 5 Changement climatique 0,854 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,00321 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 74,7 m 3 8 Pollution de l eau 0,298 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 9,02 E-04 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 20

21 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Mur de 16 cm en BAP avec isolation par l intérieur en doublage thermo-acoustique et des rupteurs thermiques» Le mur est en BAP, avec un complexe de doublage isolant composé d une plaque de plâtre de 13 cm d épaisseur et d Ultra-ThA de 100 mm d épaisseur, auquel on ajoute des rupteurs thermiques. Le système est destiné à assurer la fonction de mur porteur (structure et clos) doublé intérieurement (isolation thermique de l ensemble de 3,23 m 2.K/W) pour un bâtiment de type R+4, sur 1 m 2 de paroi d épaisseur 16 cm, tout en minimisant les ponts thermiques au niveau des jonctions mur-plancher et en assurant une isolation acoustique (indice d affaiblissement acoustique : 66 db). N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale MJ Energie renouvelable 34,0 MJ Energie non renouvelable MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,399 kg 3 Consommation d eau 419 litres Valorisés 167 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,0517 kg Déchets non dangereux (DIB) 26,0 kg Déchets inertes 247 kg Déchets radioactifs 4,65 E-03 kg 5 Changement climatique 85,4 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,321 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 29,8 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 9,02 E-02 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 21

22 Résultats par annuité pour la FDES «Plancher bas de 6 cm en BPS C25/30 avec entrevous PSE» Le plancher bas est en BPS C25/30 avec un entrevous PSE. Son unité fonctionnelle est : Assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 2,6 m 2.K/W, sur une surface d 1 m 2, pendant une annuité. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 4,56 MJ Energie renouvelable 0,111 MJ Energie non renouvelable 4,45 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,00123 kg 3 Consommation d eau 1,29 litres Valorisés 0,641 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,0304 kg Déchets inertes 1,15 kg Déchets radioactifs 2.12 E-05 kg 5 Changement climatique 0,310 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,00150 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 20.3 m 3 8 Pollution de l eau 0,117 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 1,61 E-04 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 22

23 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Plancher bas de 6 cm en BPS C25/30 avec entrevous PSE» Le plancher bas est en BPS C25/30 avec un entrevous PSE, destiné à assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 2,6 m 2.K/W, sur une surface d 1 m 2. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 456 MJ Energie renouvelable 11,1 MJ Energie non renouvelable 445 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,123 kg 3 Consommation d eau 129 litres Valorisés 64,1 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,0470 kg Déchets non dangereux (DIB) 3,04 kg Déchets inertes 115 kg Déchets radioactifs 2.12 E-03 kg 5 Changement climatique 31,0 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,150 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 11,7 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 1,61 E-02 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 23

24 Résultats par annuité pour la FDES «Plancher bas de 6 cm en BAP avec entrevous PSE» Le plancher bas est en BAP avec un entrevous PSE. Son unité fonctionnelle est : Assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 2,6 m 2.K/W, sur une surface d 1 m 2, pendant une annuité. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 4,66 MJ Energie renouvelable 0,130 MJ Energie non renouvelable 4,53 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,00123 kg 3 Consommation d eau 1,46 litres Valorisés 0,598 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,0304 kg Déchets inertes 1,09 kg Déchets radioactifs 1,93 E-05 kg 5 Changement climatique 0,338 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,00150 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 19,8 m 3 8 Pollution de l eau 0,109 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 1,42 E-04 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 24

25 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Plancher bas de 6 cm en BAP avec entrevous PSE» Le plancher bas est en BAP avec un entrevous PSE. Il est destiné à assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 2,6 m 2.K/W, sur une surface d 1 m 2. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 466 MJ Energie renouvelable 13,0 MJ Energie non renouvelable 453 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,123 kg 3 Consommation d eau 146 litres Valorisés 59,8 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,0365 kg Déchets non dangereux (DIB) 3,04 kg Déchets inertes 109 kg Déchets radioactifs 1,93 E-03 kg 5 Changement climatique 33,8 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,150 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 10,9 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 1,42 E-02 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 25

26 Résultats par annuité pour la FDES «Plancher bas de 6 cm en BAP avec entrevous PSE, plaque de PSE et chape BAP de 6 cm» Le plancher bas d une épaisseur totale de 12 cm est en béton BAP avec une dalle et une chape de BAP (6 cm chacune), un entrevous et une plaque de PSE. Son unité fonctionnelle est : Assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 4,7 m 2.K/W et en supprimant les ponts thermiques linéiques, sur une surface d 1 m 2, pendant une annuité. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 7,49 MJ Energie renouvelable 0,232 MJ Energie non renouvelable 7,26 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,00206 kg 3 Consommation d eau 2,32 litres Valorisés 1,21 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,0421 kg Déchets inertes 1,98 kg Déchets radioactifs 3,41 E-05 kg 5 Changement climatique 0,598 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,00250 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 33,7 m 3 8 Pollution de l eau 0,198 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 2,33 E-04 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 26

27 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Plancher bas de 6 cm en BAP avec entrevous PSE, plaque de PSE et chape BAP de 6 cm» Le plancher bas d une épaisseur totale de 12 cm est en béton BAP avec une dalle et une chape de BAP (6 cm chacune), un entrevous et une plaque de PSE. Il est destiné à assurer la fonction de plancher bas sur vide sanitaire permettant une charge d exploitation de 150 kg tout en assurant une isolation thermique de l ensemble de 4,7 m 2.K/W et en supprimant les ponts thermiques linéiques, sur une surface d 1 m 2. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 749 MJ Energie renouvelable 23,2 MJ Energie non renouvelable 726 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,206 kg 3 Consommation d eau 232 litres Valorisés 121 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,0495 kg Déchets non dangereux (DIB) 4,21 kg Déchets inertes 198 kg Déchets radioactifs 3,41 E-03 kg 5 Changement climatique 59,8 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,250 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 19,8 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 2,33 E-02 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 27

28 Résultats par annuité pour la FDES «Poutre en BPS C25/30 de section 35 x 20 cm et de portée 6,4 m» La poutre est en BPS C25/30. Son unité fonctionnelle est : Supporter les charges et autres éléments de planchers sur un mètre linéaire pendant une annuité. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 1,86 MJ Energie renouvelable 0,0711 MJ Energie non renouvelable 1,79 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0, kg 3 Consommation d eau 0,906 litres Valorisés 0,722 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,00312 kg Déchets inertes 1,04 kg Déchets radioactifs 1,57 E-05 kg 5 Changement climatique 0,195 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0, kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 13,7 m 3 8 Pollution de l eau 0,102 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 9,21 E-05 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 28

29 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Poutre en BPS C25/30 de section 35 x 20 cm et de portée 6,4 m» La poutre est en BPS C25/30. Elle est destinée à supporter les charges et autres éléments de planchers sur un mètre linéaire. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 186 MJ Energie renouvelable 7,11 MJ Energie non renouvelable 179 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,0669 kg 3 Consommation d eau 90,6 litres Valorisés 72,2 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,0197 kg Déchets non dangereux (DIB) 0,312 kg Déchets inertes 104 kg Déchets radioactifs 1,57 E-03 kg 5 Changement climatique 19,5 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,0827 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 10,2 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 9,21 E-03 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 29

30 Résultats par annuité pour la FDES «Poutre en BAP de section 35 x 20 cm et de portée 6,4 m» FDES «poutre» de béton BAP et d unité fonctionnelle : Supporter les charges et autres éléments de planchers sur un mètre linéaire pendant une annuité. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 2,40 MJ Energie renouvelable 0,115 MJ Energie non renouvelable 2,28 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0, kg 3 Consommation d eau 1,11 litres Valorisés 0,774 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0, kg Déchets non dangereux (DIB) 0,00372 kg Déchets inertes 1,12 kg Déchets radioactifs 1,58 E-05 kg 5 Changement climatique 0,279 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0, kg éq. SO 2 7 Pollution de l air 15,5 m 3 8 Pollution de l eau 0,105 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 7,89 E-05 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 30

31 Résultats pour le cycle de vie complet de la FDES «Poutre en BAP de section 35 x 20 cm et de portée 6,4 m» La poutre est en BAP. Elle est destinée à supporter les charges et autres éléments de planchers sur un mètre linéaire. N Impact environnemental Valeur Unité Consommation de ressources énergétiques 1 Energie primaire totale 240 MJ Energie renouvelable 11,5 MJ Energie non renouvelable 228 MJ 2 Epuisement des ressources naturelles (ADP) 0,0802 kg 3 Consommation d eau 111 litres Valorisés 77,4 kg Eliminés 4 Déchets solides Déchets dangereux 0,00898 kg Déchets non dangereux (DIB) 0,372 kg Déchets inertes 112 kg Déchets radioactifs 1,58 E-03 kg 5 Changement climatique 27,9 kg éq. CO 2 6 Acidification atmosphérique 0,0953 kg éq. SO 2 7 Pollution de l air m 3 8 Pollution de l eau 10,5 m 3 9 Destruction de la couche d ozone stratosphérique 0 10 Formation d ozone photochimique 7,89 E-03 kg CFC éq. R11 kg éq. éthylène 31

32 Les indicateurs et les impacts environnementaux Le tableau synthétique de présentation des résultats affiche des indicateurs directement issus de l inventaire (consommation d eau et d énergie, déchets) et des impacts (les autres résultats). Les impacts sont calculés en multipliant les flux de l inventaire par un coefficient K f chaque flux, puis en sommant les résultats des multiplications pour obtenir l impact. spécifique à Les coefficients K f utilisés sont calculés par des organismes internationaux reconnus. Les coefficients sont fournis dans la norme NF P et ont été utilisés pour le calcul des impacts dans les FDES des ouvrages en BPE. L objet de ce chapitre est de détailler les indicateurs et impacts environnementaux, et de donner des ordres de grandeur de comparaison pour les ouvrages en BPE étudié. Il est à noter qu en dehors des phases de construction et de déconstruction, les ouvrages en BPE n ont aucun impact sur l environnement au cours de leur vie en œuvre. > Énergie (indicateur) Les informations énergétiques dans le bâtiment sont souvent exprimées en «énergie grise», qui est l énergie dépensée le long du cycle de vie du produit. Il s agit de ce que l on appelle ici «énergie combustible». L «énergie matière» est celle qui est contenue dans le produit fini, i.e. celle qui peut se dégager par sa combustion. La somme de l énergie combustible et de l énergie matière est l «énergie primaire totale», qui se décompose aussi en «énergie renouvelable» et «énergie non renouvelable». Les énergies sont exprimées en PCI, Pouvoir Calorifique Inférieur, qui est l énergie récupérée lors de la combustion en ne prenant pas en compte l énergie emportée par la vapeur d eau dégagée lors de la combustion, l énergie totale étant appelée PCS (Pouvoir Calorifique Supérieur). L unité employée pour l énergie est le MJ (mégajoule). On utilise souvent le kwh comme unité énergétique. (1 kwh = 3,6 MJ). Le PCI de l essence sans plomb 98 est de 42,8 MJ/kg, soit 32 MJ par litre. A titre d exemple, une automobile qui consomme 7 litres aux 100 km et roule km par an utilise 2,24 MJ par km, soit MJ au total par an, ou encore 82 MJ par jour calendaire. 32

33 A titre de comparaison, les valeurs de consommation énergétique par unité fonctionnelle des 8 FDES de ce fascicule se situent entre 1,86 et 10,81 MJ d énergie primaire. > Epuisement des ressources naturelles (impact) L épuisement des ressources naturelles est un indicateur très didactique : il est intéressant de savoir, par exemple, qu il reste aujourd hui approximativement 70 ans de réserve de pétrole au niveau mondial. Cet indicateur est discuté car il dépend de nombreux paramètres : organisme évaluant le stock, découverte de nouveaux gisements, rapidité de consommation de la ressource, coût d exploitation des gisements comparé au prix sur le marché de la ressource considérée quand le prix du pétrole augmente, nous gagnons quelques années de réserve car le pétrole est moins consommé, et l exploitation de certains gisements devient à nouveau rentable. Ainsi, cela fait depuis plusieurs années que le nombre d années de réserve de pétrole ne change pas - ce qui a tendance à perturber les esprits. De nombreux indicateurs ont été développés pour évaluer l épuisement des ressources naturelles à partir des consommations de ressources comptabilisées dans l inventaire du cycle de vie. L indicateur utilisé dans les FDES est celui dont les coefficients sont calculés par l Université de Leiden en Il s agit de l «Abiotic Depletion Potential» (ADP). Selon cet indicateur, un produit plus rare que le charbon est considéré comme non-renouvelable, et un produit moins rare que lui comme renouvelable. L antimoine (Sb), un élément plutôt rare (approximativement 20 ans de réserve) sert de référence au calcul, c'est-à-dire que l ensemble des résultats est calculé en «équivalent kg d antimoine». L ADP du pétrole est de 0,02 kg de Sb pour 1 kg de pétrole. A titre de comparaison, les valeurs d épuisement des ressources par unité fonctionnelle des 8 FDES de ce fascicule se situent entre 0,0006 et 0,004 kg de Sb. > Consommation d eau (indicateur) La consommation d eau est un indicateur clef du développement durable. Un occidental consomme entre 400 et 600 litres d eau par jour. A titre de comparaison, les valeurs de consommation d eau par unité fonctionnelle des 8 FDES de ce fascicule se situent entre 0,9 et 4,2 litres d eau. 33

34 Déchets solides (indicateur) La production de déchets solides est décomposée en différentes catégories. On trouve d abord les déchets valorisés, puis ceux qui ne le sont pas, par destination (inertes, Déchets Industriels Banaux, et dangereux, ainsi que les déchets radioactifs). Il est intéressant de disposer de l information concernant la destination des déchets non-valorisés, surtout quand on sait qu il est très difficile de créer de nouvelles décharges en France. De même, il est intéressant aussi de disposer de la masse de déchets valorisés (incinération avec récupération d énergie, recyclage ou réutilisation), et de la mettre en perspective avec le total de ceux qui ne le sont pas. Un français produit en moyenne 1 kg de déchets ménagers par jour. A titre de comparaison, les valeurs des déchets par unité fonctionnelle des 8 FDES de ce fascicule se situent entre 1 et 2,8 kg de déchets mis en décharge. De même, il y a entre 0,6 à 1,7 kg de déchets valorisés. > Changement climatique (impact) La lutte contre le changement climatique est une priorité nationale, un engagement que la France a pris devant les autres nations. Les secteurs résidentiels et tertiaires sont responsables à eux deux de 20 % des émissions nationales de Gaz à Effet de Serre (GES) 1, mesurés en kg équivalent CO2. Pour les FDES, on prend en compte dans cet indicateur les gaz suivants : CO2 (gaz carbonique, coefficient 1), CH4 (méthane, coefficient 21) et N2O (oxyde nitreux, coefficient 310), ainsi que les gaz fluorés si leur contribution est non négligeable. 1 litre d essence sans plomb 98 rejette 2,4 kg de CO2 lors de sa combustion. Si l automobile consomme 7 litres aux 100 km, alors son rejet de CO2 est de 16,8 kg pour ces 100 km (168 g par kilomètre), ou encore 2,27 tonnes de CO2 par an (pour kilomètres), et donc 6,2 kg par jour calendaire. A titre de comparaison, les valeurs du changement climatique par unité fonctionnelle des 8 FDES de ce fascicule se situent entre 0,19 et 0,86 kg eq. CO2. (1) Source : «Emissions dans l air en France», CITEPA, 14 avril

35 Acidification atmosphérique (impact) L acidification atmosphérique est causée par l émission de gaz acides dans l air (HCl, NOx, SOx, NH3 ). L acidification atmosphérique a été responsable des «pluies acides». Elle est en très nette baisse, notamment grâce aux mesures adoptées au niveau européen pour retirer le soufre des combustibles (essence, diesel) et retirer celui des gaz émis par les combustions de ces mêmes combustibles (en centrale électrique par exemple). Pour les FDES, la grandeur de référence est la molécule de SO2. On trouve parfois aussi l ion H + comme grandeur de référence. 1 litre de diesel utilisé en camion de 24 tonnes produit 25 g eq. SO2, lui permettant de parcourir 3 kilomètres, pour un camion consommant 38 litres aux 100 km. A titre de comparaison, les valeurs d acidification atmosphérique par unité fonctionnelle des 8 FDES de ce fascicule se situent entre 0,0008 et 0,00321 kg eq. SO2. > Pollution de l air (impact) Dans les FDES, la pollution de l air est évaluée au moyen de volumes critiques issus de l article 27 de l Arrêté intégré du 2 février 1998 modifié, relatif aux prélèvements et à la consommation d eau, ainsi qu aux émissions de toute nature des installations classées pour la protection de l environnement soumises à autorisation. C est une façon globale de prendre en considération la plupart des émissions atmosphériques, en calculant le volume d air nécessaire pour que les émissions émises le long du cycle de vie le soient à un seuil conforme à l arrêté. L unité de l impact est alors le m 3 d air. 1 litre de diesel utilisé en camion de 24 tonnes produit 237 m 3 de pollution de l air, lui permettant de parcourir 3 kilomètres, pour un camion consommant 38 litres aux 100 km. A titre de comparaison, les valeurs de pollution de l air par unité fonctionnelle des 8 FDES de ce fascicule se situent entre 13,7 et 74,7 m 3 d air. > Pollution de l eau (impact) La pollution de l eau est évaluée selon la même méthode que la pollution de l air. L unité est ici le m 3 d eau. 35

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton

l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton l essentiel Guide pratique des Fiches de Déclaration environnementale et sanitaire des produits en béton Éléments d aide à la décision pour l éco-réalisation d ouvrages introduction Construction en béton

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

L ACV dans les projets de recherche :

L ACV dans les projets de recherche : L ACV dans les projets de recherche : - Les fondamentaux de l éco-conception - Les démarches, les outils - L ACV dans les projets de recherche - Exemples de projets européens Présentation ACV 6 Septembre

Plus en détail

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?

PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Pour l environnement. Strength. Performance. Passion.

Pour l environnement. Strength. Performance. Passion. Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir

Plus en détail

ADEME Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique

ADEME Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique de la communication par voie électronique Volet Clé USB : Synthèse Contact Bio Intelligence Service S.A.S. Yannick Le Guern/Laura Farrant + 33 (0)1 53 90 11 80 yannick.leguern@biois.com laura.farrant@biois.com

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s)

Version 1. Demandeur de l étude : VM - BETON SERVICES 51 Boulevard des Marchandises 85260 L'HERBERGEMENT. Auteur * Approbateur Vérificateur(s) Département Enveloppe et Revêtements Division HygroThermique des Ouvrages N affaire : 12-007 Le 10 avril 2012 Réf. DER/HTO 2012-093-BB/LS CALCUL DES COEFFICIENTS DE TRANSMISSION SURFACIQUE UP ET DES COEFFICIENTS

Plus en détail

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES

NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur

Plus en détail

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

Acoustique et thermique

Acoustique et thermique Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!

Plus en détail

Evaluation de la performance environnementale des bâtiments. Définition d ordres de grandeur. Traitement statistique.

Evaluation de la performance environnementale des bâtiments. Définition d ordres de grandeur. Traitement statistique. Evaluation de la performance environnementale des bâtiments. Définition d ordres de grandeur. Traitement statistique. Rapport Final LEBERT Alexandra, CHEVALIER Jacques, ESCOFFIER Faustine, LASVAUX Sébastien,

Plus en détail

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?

www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100

Plus en détail

ISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS

ISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS P R O G R A M M E D A C C O M P A G N E M E N T D E S P R O F E S S I O N N E L S www.reglesdelart-grenelle-environnement-2012.fr RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES ISOLATION EN SOUS FACE DES PLANCHERS BAS

Plus en détail

ADEME. Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique. Présentation des résultats

ADEME. Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique. Présentation des résultats Direction Communication, Formation, Développement Analyse comparée des impacts environnementaux de la communication par voie électronique Présentation des résultats Juillet 2011 Contact BIO Intelligence

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010

CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

Document Technique d Application

Document Technique d Application Document Technique d Application Référence Avis Technique 13/15-1273 Annule et remplace le Document Technique d Application 13/12-1140*V1 Chape non destinée à l enrobage de planchers chauffants Chape fluide

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»

Plus en détail

Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire

Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire Mur en maçonnerie de blocs en béton cellulaire d épaisseur 30 cm. Conforme à la norme NF P 01-010 Novembre 2007 1/28 Sommaire Avant propos... 1. Caractérisation

Plus en détail

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château

Réseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr

Plus en détail

Parois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61

Parois industrielles préfabriquées. Willy Naessens 61 Parois industrielles préfabriquées Willy Naessens 61 Dans le domaine de la préfabrication, les parois préfabriquées en béton offrent une solution efficace pour toutes façades extérieures et cloisonnements

Plus en détail

Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?

Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux 16/01/2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications «RGE» classées par domaine de travaux liés

Plus en détail

N09 Viaduc de Chillon

N09 Viaduc de Chillon Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI

Plus en détail

LOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

Rencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments

Rencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments Rencontre autour de la qualité de l air intérieur des bâtiments Critt Bois Epinal 8 décembre 2010 Intervention Placo : Simon Fourniau chef de groupe 1 2 2 Pourquoi améliorer la qualité de l air intérieur?

Plus en détail

Économiser l Électricité

Économiser l Électricité Économiser l Électricité c est simple Document réalisé par l Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Agence Régionale Pour l Environnement Midi-Pyrénées Observatoire Régional de l Énergie Midi-Pyrénées

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête

LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential

Plus en détail

Système multicouche raccords à sertir et tubes

Système multicouche raccords à sertir et tubes Système multicouche raccords à sertir et tubes 4BONNES RAISONS DE CHOISIR LES SOLUTIONS 4GAMMES COMPLÉMENTAIRES 1 L EFFICACITÉ : pour répondre à toutes les configurations Avec les solutions multiconnect,

Plus en détail

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE

GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs

Plus en détail

Construisons en aluminium pour les générations futures

Construisons en aluminium pour les générations futures Construisons en aluminium pour les générations futures La Haute Qualité Environnementale avec l aluminium Les qualités de l aluminium (résistance, légèreté, malléabilité, recyclabilité ) répondent aux

Plus en détail

GLEIZE ENERGIE SERVICE

GLEIZE ENERGIE SERVICE GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

COMPLETE RECYCLING OF CONCRETE. Socio economic and environmental analysis

COMPLETE RECYCLING OF CONCRETE. Socio economic and environmental analysis DIFFERENT INDUSTRIAL WAYS OF PRODUCTION OF NATURAL AND RECYCLED AGGREGATES IN NORTH-PAS DE CALAIS REGION. Socio economic and environmental analysis Prof. F. Buyle-Bodin (1), Prof. O. Blanpain (2) and Prof.

Plus en détail

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE

CORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale

Plus en détail

La construction durable : quelle stratégie d innovation d. Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge

La construction durable : quelle stratégie d innovation d. Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge La construction durable : quelle stratégie d innovation d? Pascal Casanova, Directeur R&D, Lafarge Le béton est le matériau le plus utilisé sur la planète après l eau et le plus largement disponible Materials

Plus en détail

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies

Pompe à chaleur Air-Eau. Confort et économies Pompe à chaleur Air-Eau Confort et économies Le système de chauffage réversible de l avenir! Un pas en avant pour réduire les émissions de CO₂. L augmentation des émissions de CO₂ et autres gaz à effet

Plus en détail

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH

EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! WWW.ETIQUETTE-PNEUS.CH EXPRIMEZ-VOUS LORS DU CHOIX DE VOS PNEUS : EXIGEZ DES PNEUS SÛRS, ÉNERGÉTIQUEMENT EFFICACES ET SILENCIEUX! POUR DE MEILLEURS PNEUS SUR LES ROUTES SUISSES S exprimer lors du choix des pneus? Donner son

Plus en détail

Document Technique d Application. Agilia sols A

Document Technique d Application. Agilia sols A Document Technique d Application Référence Avis Technique 12/09-1553*V2 Annule et remplace le Document Technique d Application 12/09-1553*V1 Intègre le modificatif 12/09-1553*02 Mod Chape fluide à base

Plus en détail

Qu'est-ce que la biométhanisation?

Qu'est-ce que la biométhanisation? Qu'est-ce que la biométhanisation? La biométhanisation consiste en une série d'opérations de dégradations biologiques de matières organiques qui se produisent en l'absence d'oxygène. Les produits résultants

Plus en détail

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire

Plus en détail

Accompagnement de projet environnement. Entreprise : Scell-it Yourself

Accompagnement de projet environnement. Entreprise : Scell-it Yourself Accompagnement de projet environnement Entreprise : Scell-it Yourself 1. Présentation de l entreprise Raison sociale : Scell-it Yourself Adresse : 104, rue du Courbillon 59175 VENDEVILLE/FRANCE Dirigeant

Plus en détail

Table des matières générale 1)

Table des matières générale 1) 1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES

Plus en détail

Classement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs

Classement des locaux en fonction de l exposition à l humidité des parois et nomenclature des supports pour revêtements muraux intérieurs Commission chargée de formuler des Avis Techniques Groupe spécialisé n 9 Groupe spécialisé n 12 Groupe spécialisé n 13 Cloisons et contre-murs en plâtre Revêtements de sol et produits connexes Revêtements

Plus en détail

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures

Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures TZ-fert_franz.QXD 20.09.2006 13:52 Uhr Seite 1 Le béton léger prêt à l emploi, la solution idéale pour les applications intérieures et extérieures Préparation: Ajouter la quantité d eau requise (voir indications

Plus en détail

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1 Fiche technique n 1 Pompes à Chaleur & environnement acoustique Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur Association Française pour les Pompes A Chaleur 1 1 Puissance et pression acoustique

Plus en détail

Solar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide

Solar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide Solar eating System Factsheet (SSF) - Dossier guide Les Factsheets (feuille de données) publiés sur la page Internet de SPF résument les résultats des tests des systèmes solaires pour la production d eau

Plus en détail

Rencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?

Rencontre des savoirs. L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable? Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement et des réseaux Rencontre des savoirs Bron 14 mai 2013 L énergie électrique est-elle bien adaptée à une mobilité durable?

Plus en détail

TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO

TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES. Joseph ABDO TRAITEMENT DES SOLS EN PLACE AUX LIANTS HYDRAULIQUES Joseph ABDO LE CONTEXTE LA ROUTE, UNE NÉCESSITN CESSITÉ La route : moyen de communication nécessaire au développement. - Mais, sa construction et son

Plus en détail

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL

BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le

Plus en détail

Fiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT

Fiche commerciale. Pompes à chaleur. Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010. bi-bloc MT Fiche commerciale Pompes à chaleur Arcoa duo Arcoa bi-bloc MT pompes a chaleur bi-bloc INNOVATION 2010 bi-bloc MT INNOVATION 2010 Communiqué de presse Arcoa Nouvelle gamme de pompes à chaleur bi-bloc Des

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010 Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB

Plus en détail

STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE

STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE STI2D ANALYSE COMPARATIVE DE CYLE DE VIE TERRAIN EN GAZON NATUREL OU SYNTHETIQUE Caractéristiques des terrains étudiés Complétez le schéma ci- dessus et le tableau ci- dessous Unité fonctionnelle A partir

Plus en détail

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement

Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1

Plus en détail

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...

Plus en détail

LOT N 7: ESCALIER EXTERIEUR

LOT N 7: ESCALIER EXTERIEUR MISE EN CONFORMITE ACCESSIBILITE DU PARKING, DU BATIMENT D ACCUEIL & AMENAGEMENT DES SANITAIRES BATIMENT D ACCUEIL DES PUNTAS 65 110 CAUTERETS MAÎTRE D'OUVRAGE SEM DU PONT D Espagne MAIRIE DE CAUTERETS

Plus en détail

>I Maçonnerie I Escaliers

>I Maçonnerie I Escaliers ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE

Plus en détail

Le développement durable clé en main

Le développement durable clé en main Le développement durable clé en main Le développement durable au cœur de la stratégie d Assa Abloy 2 de la sécurité est un marché dynamique, tiré par les évolutions sociétales (besoins de sécurité grandissants,

Plus en détail

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE Roger Cadiergues MémoCad ns03.a LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE SOMMAIRE ns03.1. Le cadre DTU plomberie ns03.2. Le cadre du DTU 60.1 actuel ns03.3. L application du DTU 60.1 actuel ns03.4. Le cadre du DTU

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com

Plus en détail

Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre

Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre D01 Protection au feu des structures Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre Généralités et principes La stabilité au feu des structures évite, en cas d incendie,

Plus en détail

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel

Plus en détail

LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1)

LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1) Incorporées aux produits (2) LA SOCIÉTÉ CANADIAN TIRE VIABILITÉ DE L ENTREPRISE EMPREINTE ÉCOLOGIQUE DE L ENTREPRISE ET DE LA CHAÎNE D APPROVISIONNEMENT 2007 (1) TABLEAU 1 TOTAUX Émissions de gaz à effet

Plus en détail

B 67. Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton. ConCeption des bâtiments d activités en béton

B 67. Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton. ConCeption des bâtiments d activités en béton ColleCtion t e C h n i q u e C i m b é t o n B 67 ConCeption des bâtiments d activités en béton Murs séparatifs coupe-feu et façades à fonction d écran thermique en béton ConCeption des bâtiments d activités

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques de grand format et de format oblong collés au moyen de mortiers-colles dans les locaux P3 au plus en travaux neufs Cahier des Prescriptions Techniques

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

la Contribution Climat Energie

la Contribution Climat Energie Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble

Plus en détail

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui

Un bâti en tuffeau pour aujourd hui P a r c naturel régional Loire-Anjou-Touraine Les fiches techniques du Parc Patrimoine bâti Un bâti en tuffeau pour aujourd hui Réhabilitation d une ancienne grange en gîte touristique Localisation : Gîte

Plus en détail

L énergie sous toutes ses formes : définitions

L énergie sous toutes ses formes : définitions L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,

Plus en détail

Système d énergie solaire et de gain énergétique

Système d énergie solaire et de gain énergétique Système d énergie solaire et de gain énergétique Pour satisfaire vos besoins en eau chaude sanitaire, chauffage et chauffage de piscine, Enerfrance vous présente Néo[E]nergy : un système utilisant une

Plus en détail

B96 LES DALLAGES INDUSTRIELS EN BÉTON. Analyse et prescription

B96 LES DALLAGES INDUSTRIELS EN BÉTON. Analyse et prescription COLLECTION TECHNIQUE C I M B É T O N B96 LES DALLAGES INDUSTRIELS EN BÉTON Analyse et prescription LES DALLAGES INDUSTRIELS EN BÉTON Analyse et prescription Les experts suivants ont participé à cet ouvrage

Plus en détail

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010

Plus en détail