SDRA: prise en charge des 48 premières heures.
|
|
- Rémy Croteau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SDRA: prise en charge des 48 premières heures
2
3 Evolution mortalité Phua et al. AJRCCM 2009
4
5 Correction de l hypoxémie Préservation du parenchyme pulmonaire
6
7 PaO2/FIO2 et mortalité Etude européenne ALIVE 63% 41% Brun-Buisson et al. ICM 2004
8 Michael et coll. AJRCCM 98
9 Mortalité hospitalière Steinberg et al. Clin Chest Med «Par ma foi! il y a plus de quarante ans que je fais de la protection du poumon sans que j'en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.» Adapted from: Molière Le bourgeois gentilhomme
10 Effets délétères ventilation mécanique Dreyfuss et Saumon AJRCCM 98
11 Second-hit arguments expérimentaux Sur poumon lésé œdème: synergie ANTU - Vt 45 ml/kg Dreyfuss et al. AJRCCM 95 Sur poumon sain LPS et VM Altemeier et al. Am J Physiol 2004 Brégeon et al. Anesthesiology 2005
12 SDRA, VM et pronostic SDRA VM décès MOF
13 Ce dont on ne parlera pas ce soir Modes ventilatoires APRV HFO Médicaments Surfactant VLP Corticoïdes Almitrine Autres adjuvants VD Nutrition Kiné
14 Ventilation protectrice au cours du SDRA SDRA 37 patients Mesures répétées à h et h PEEP 10, FiO2 1, Vt 5-8 ml/kg PBW 2h courbe P/V Ranieri et al. JAMA 99 mini-lba - plasma Groupe contrôle FR 10-15, PaCO Pplat max 35 PEEP trial 3-15 cmh2o Ventilation protectrice FR 10-15, Pplat < UIP PEEP LIP + 2-3
15 LBA plasma T0 T1 T2 T0 T1 T2 T0 T1 T2 T0 T1 T2 Ranieri et al. JAMA 99 Décompartementalisation T0 T1 T2 T0 T1 T2
16 Optimisation du réglage du ventilateur
17 Ventilation protectrice: modèle idéal
18 SDRA = NIH? NIH NEJM 2000
19 PLV cont PLV cont PLV cont c PLV cont PLV cont n Vt PEEP Pplat
20 Eichacker et al. AJRCCM 2003 Control group Treatment group
21 e n t
22 Brower et al. AJRCCM 2002 Relation Pplat à J1 mortalité dans l étude du NIH
23 Bénéfice d une réduction du Vt quelle que soit la Pplat Hager et al. AJRCCM 2005
24 Application réduction Vt N = 88 ALI Equipe ayant participée à ARMA Kalhan et al. CCM 2006
25 Faut-il, sous prétexte d ouverture, limiter le débat à Grand Vt vs. Petit Vt?
26
27
28 Recrutement, surdistension, mécanique ventilatoire et PEEP Viera et coll. AJRCCM 99 Avec LIP aération Sans LIP aération
29 Volume surdistension Pplat max Fenêtre de sécurité dérecrutement PEEP min Pression
30 Vt, PEEP et recrutement recrutement dérecrutement Gattinoni et al. AJRCCM PEEP
31 Vt, PEEP et recrutement 12 recrutement dérecrutement Gattinoni et al. AJRCCM PEEP
32 Distribution du Vt en fonction de la PEEP Gattinoni et al. AJRCCM 95 3,0 ratio poumon sup/poumon inf 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 p < 0, PEEP
33 Vt, PEEP et recrutement Recrutement (ml) Pplat PEEP Richard et al. CCM 2003
34 ExPress VT 6 ml / kg (PBW) RR 35 / mn ; 7.30 < ph < mmhg < PaO2 < 80 mmhg 88% < SpO2 < 95% Minimal alveolar distension Maximal alveolar recruitment PEEP set for 5 PEEPtot 9 PEEP set for 28 Pplat 30
35 Mercat et al. JAMA 2008
36 ALVEOLI ARDSnet NEJM 2004
37 O Meade et al. JAMA 2008
38
39 PEEP et P trans-pulmonaire Standardisation durant 3 jours Talmor et al. NEJM 2008
40
41
42 Talmor et al. NEJM 2008
43 Apprécier l hystérésis Demory, Arnal et al. Intensive Care Med 2008
44 Recrutement = mortalité? Gattinoni et al. NEJM 2006
45 A ce stade Optimisation du réglage du respirateur réduire le volume courant (6-8 ml/kg ) limiter les pressions (Pplat < 32 cmh2o) utiliser une PEEP suffisamment élevée ( 10 cmh2o, max?) réglage PEEP Réglage pragmatique Présentation morphologique Courbes P/V automatisées? Pression transpulmonaire? limiter les objectifs de PaO mmhg (donc
46 Adjuvants médicamenteux
47 Curares et oxygénation PaO2/FiO2 * * * * 175 p = p = p = * baseline cisatracurium p < control group NMBA group 24h 48h 72h 96h 120h Gainnier et al. Crit Care Med 2004
48 ACURASYS Principe: Vt 6-8 ml/kg, Pplat 32 cmh2o Inclusion: PaO 2 / FiO 2 < 150 avec une PEEP 5 évoluant depuis moins de 48 h Randomisation: stratification Centre Age Durée de ventilation avant inclusion
49 Inclusion NMBA Placebo N=177 N=162 Age 58±16 58±15 NS PEEP applied 9.2± ±3.5 NS Vt 6.55± ±0.92 NS Plateau pressure 25.0± ±4.7 NS PaO2/FiO2 106±36 115± IGS2 50±16 47±14 NS Direct lung injury 142 (80%) 123 (76%) NS Délai IOT-inclusion < 48h 152 (86%) 140 (86%) NS Délai SDRA-inclusion, h 22±23 19±16 NS p
50 Inclusion NMBA Placebo N=177 N=162 Age 58±16 58±15 NS PEEP applied 9.2± ±3.5 NS Vt 6.55± ±0.92 NS Plateau pressure 25.0± ±4.7 NS PaO2/FiO2 106±36 115± IGS2 50±16 47±14 NS Direct lung injury 142 (80%) 123 (76%) NS Délai IOT-inclusion < 48h 152 (86%) 140 (86%) NS Délai SDRA-inclusion, h 22±23 19±16 NS p
51 Mortalité % NMBA placebo d 28 ICU d 90
52 Mortalité à J90 et PaO2/FiO2 50 NMBA placebo < 120 >= 120 PaO2/FiO2
53 Mortalité à J90 et pression de plateau à l inclusion NMBA placebo 0.06 by Mantel-Haenszel RR 0.76 ( ) < plateau pressure
54 Courbe de survie NMBA placebo Ajustement sur - PaO2/FiO2 - Pression de plateau - IGS2 sans PaO2/FiO2 - NMBA 0.68 ( ), p = PaO2/FiO2 NS - Pression de plateau p = IGS2 sans PaO2/FiO2 p = 0.004
55 Ventilator-free days and alive NMBA Placebo p VFD ± ± VFD ± ± VFD ± ±
56 Pourquoi? Homogénéisation ventilation régionale? Effet propre de la molécule? Effet «protecteur»?
57 control group NMBA group LBA / l IL / IL l * IL Inclusion 48 h 10-1 Inclusion 48 h Control Group (n=18) NMBA Group (n=18) * IL Inclusion 48 h Inclusion Control Group (n=18) NMBA Group (n=18) h * IL8 IL 8 / l Forel et al. CCM Inclusion 48 h 10 1 Inclusion 48 h
58 control group NMBA group sérum / IL l / IL l * IL Inclusion 48 h Inclusion 48 h Control Group (n=18) NMBA Group (n=18) * IL Inclusion 48 h 10 1 Inclusion 48 h 10 Control Group (n=18) 10 NMBA Group (n=18) IL Inclusion 48 h Inclusion 48 h Forel et al. CCM 2006
59 A ce stade Optimisation du réglage du respirateur Curariser Cisatracurium Règle TPS T tôt (< 48h) P peu (2 j) S sévère (PAFI 150)
60 Quelques avantages du NO Remplace NO endogène ( ppb VAS) Diminution de l utilisation de techniques plus coûteuses et plus agressives Effet additif (PEEP, almitrine, DV, HFO ) Effets anti-inflammatoires Chollet-Martin et al. AJRCCM 96
61 1 er test 2 ème test Effet rebond *p < 0.05 vs pre-ino p < 0.05 vs control Chen et al. AJP 2001
62 Réévaluer dose Gerlach et al. Am J Crit Care Med 2003
63 Effet dose: variabilité Gerlach et al. Am J Crit Care Med 2003
64 Essais multicentriques n % R mortalité Dellinger CCM % 32/30 Lundin ICM % 44/41 Payen % 68/66 Taylor JAMA ? 23/21
65 Protéine C activée 24 mg/kg/h for 96 h et placebo Liu et al. AJRCCM 2008
66 Technique écologique
67 DV et VALI 1e+6 Papazian et al. CCM 2006 n = 12 1e+5 1e+4 1e+3 1e+2 protective ventilation SP protective ventilation PP
68 DV et VALI n = 12 cells ml 1 * 0,1 neutrophils 0,01 protective ventilation SP protective ventilation PP
69
70
71
72 Guérin et al. JAMA 2004
73
74
75 PAM 70 mmhg DH 100 ml IC 4 l/min/m_ POAP 12 mmhg
76 NIH NEJM 2006
77
78 Rivers et al. NEJM Expansion volémique J1 J2 J3
79 A ce stade Optimisation du réglage du respirateur Curariser DV Hypoxémie profonde (< ???) Surtout si présentation lobaire Au moins 12h en DV En attente d une étude SDRA très hypoxémiques Ventilation «protectrice» Différenciation lobaires-diffus
80 A ce stade Optimisation du réglage du respirateur Curariser DV NO Défaillance VD Echec DV Réévaluer dose Eau et sel Raisonnable
81 BTTF
82 Assistance respiratoire extracorporelle Inclusion: Fast entry criteria= PaO2 < 50 > 2h avec FiO2 1.0 et PEEP > 5 Slow entry criteria= PaO2 < 50 > 12h avec FiO2>0.6 et PEEP > 5 ; maximal therapy Zapol et al. JAMA 79 Exclusion: durée de la VM > 7j CI aux anticoagulants, lésions cérébrales irréversibles, pathologie pulmonaire chronique sévère, immunosuppression, maladie terminale, défaillance multi viscérale
83 Survie: modification // évolutions technologiques
84 N = 180
85 Le petit manuel du parfait ARDSologue Limiter la iatrogénie Réduction volume courant Plusieurs profils de patients Approche globale Ajuster la PEEP en fonction de la présentation morphologique Limiter pression de plateau Curariser tôt mais brièvement Eviter dérecrutement Limiter les objectifs d oxygénation
86 U corea in Bastia 30 & 31 / 5 / 2009
Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD
Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Emergency and Pre-Hospital divisions SAMU 74 INSERM UMR 955 Eq13 REVA: European Network on Mechanical Ventilation CONFLICTS OF
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailVentilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours. 360 x 245 x 300 mm (sans moniteur) Cycle à temps et volume constant
SIARETRON 3000 ICU Ventilateur pour soin intensif code: 960136 Rev. 1-01/01/2009 CARACTERISTIQUES PRINCIPALES Destination d usage Ventilateur pulmonaire pour soins intensifs, réanimation et premier secours.
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailRéduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique
Réduction des volumes pulmonaires après chirurgie abdominale et thoracique Christian Jayr jayr@crh1.org Centre René Huguenin Saint-Cloud Un cycle respiratoire A. Inspiration: contraction du diaphragme
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailUniversité de Montréal. Étude multicentrique sur les stratégies de ventilation mécanique employées chez les enfants avec un œdème pulmonaire lésionnel
Université de Montréal Étude multicentrique sur les stratégies de ventilation mécanique employées chez les enfants avec un œdème pulmonaire lésionnel par Miriam Santschi Faculté de médecine Mémoire présenté
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailLe cathéter artériel pulmonaire
Le cathéter artériel pulmonaire PLAN : Ø Paramètres mesurés Ø Pressions Ø Débit Ø SvO2 Ø Avantages Ø Inconvénients Ø Indica=ons Thierry Boulain Réanimation Médicale CHR Orléans L auteur n a pas déclarer
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MPOC. Présenté par : Gilles Côté, M.D.
TRAITEMENT DE LA MPOC Présenté par : Gilles Côté, M.D. Département clinique de médecine générale Avril 2001 TRAITEMENT DE LA MPOC I- INTERPRÉTATION DES TESTS DE FONCTION RESPIRATOIRE II- PRISE EN CHARGE
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMETHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES
METHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES Marc STERN Groupe de Transplantation Pulmonaire Hôpital Foch Aucun conflit d intérêt à déclarer Le greffon pulmonaire Bien rare et insuffisant:
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailDiagnostic et Monitoring de la pathologie respiratoire du sommeil en 2010. Peut-on faire plus simple?
Diagnostic et Monitoring de la pathologie respiratoire du sommeil en 2010 Peut-on faire plus simple? Dr Dan Adler, Février 2011 Plan Diagnostic du SAHOS Vers moins de technologie Vers de nouvelles technologies
Plus en détail8/28/2013. L inhalothérapie aux soins critiques. Objectifs. Rôles de l inhalothérapeute. Objectifs
Objectifs Connaître le rôle de l inhalothérapeute dans les unités de soins critiques Connaître les dispositifs d oxygénation et d humidification Connaître les modes et principes de la ventilation (invasive,
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailUNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS
COllection Les rapports du 7 Les facteurs prédictifs à la désaturation nocturne chez les patients ayant une maladie pulmonaire obstructive chronique rapport UNE PRISE DE DÉCISION INFORMÉE PAR DES RÉSULTATS
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailElisée 150 Manuel patient Français
Elisée 150 Manuel patient Français Respiratory Care solutions Making quality of care easy * *Solutions ResMed en ventilation Améliorer la qualité des soins Respiratory Care solutions Making quality of
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailVentilation mécanique à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Ventilation mécanique à domicile Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire Date de validation
Plus en détailGASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle
GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac
Plus en détailPhysiologie du nouveau-né
Physiologie du nouveau-né Jamil Hamza: Praticien hospitalier, DES en anesthésie-réanimation Paul Sacquin: Attaché, département d'anesthésie-réanimation Lionel Simon: Chef de clinique-assistant, département
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailVS2000V+CAPNO. Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire. Manuel d utilisation
VS2000V+CAPNO Moniteur de paramètres vitaux À usage vétérinaire Manuel d utilisation Sommaire Information et garantie... Propriété de la notice... Limite de garantie... Rejet des garanties... Conditions
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailPICCO2. PROTOCOLE DE SERVICE Année 2010 MISE À JOUR 2012. Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale
Hôpital de Bicêtre Département d'anesthésie-réanimation Réanimation Chirurgicale PICCO2 PROTOCOLE DE SERVICE Année 2010 MISE À JOUR 2012 1 PROTOCOLE PICCO2 DAR BICETRE DEPARTEMENT D ANESTHESIE REANIMATION
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailVNI: Pratiques actuelles et futures, monitoring
VNI: Pratiques actuelles et futures, monitoring Dr Claudio Rabec Service de Pneumologie et Réanimation Respiratoire Centre Hospitalier Universitaire de Dijon L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailOxygénothérapie à domicile
RÉVISION DE CATÉGORIES HOMOGÈNES DE DISPOSITIFS MÉDICAUX Dispositifs médicaux et prestations associées pour traitement de l insuffisance respiratoire et de l apnée du sommeil Oxygénothérapie à domicile
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailFaut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?
Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS. Bronchopneumopathie chronique obstructive
Guide du parcours de soins Titre GUIDE DU PARCOURS DE SOINS Bronchopneumopathie chronique obstructive Juin 2014 Guide téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé 2 avenue du Stade de France
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailUnité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly
Unité mobile de télémédecine au service de l urgence et du soin chronique M-V. Moreno, P. Chauvet, O. Ly INTELLIGENT HEALTH & PREVENTIVE MEDICINE INTERNATIONAL SYMPOSIUM Tanger, Juin 2014 M-V. Moreno,
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailMonitorage du CO 2 expiré Capnometry
Réanimation 13 (2004) 62 70 www.elsevier.com/locate/reaurg Mise au point Monitorage du CO 2 expiré Capnometry C. Soltner, J. Huztinger, L. Beydon * Département d anesthésie réanimation, CHU d Angers, 49000
Plus en détailinformations pratiques
COLLECTIVITÉS LOCALES Arrêt cardiaque informations pratiques avec le soutien de Arrêt cardiaque I Informations pratiques I 1 2 I L arrêt cardiaque L arrêt cardiaque est la première cause de mortalité des
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailADMINISTRATION D OXYGENE PAR L INTESTIN EXPERIENCES AVEC DES LAPINS
EUROPEAN JOURNAL OF MEDICAL RESEARCH November 20, 2001 Eur J Med Res ( 2001) 6 : 488-492 ADMINISTRATION D OXYGENE PAR L INTESTIN EXPERIENCES AVEC DES LAPINS W. Forth, O. Adam Traduit de l anglais par le
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détail