Rapport de la mission conjointe HCR-FAO-CNR-INTERSOS-ADSSE dans la cité d ABA, en Territoire de FARADJE. Du 07 au 12 Mars 2014
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- Maxime Auger
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1 1 FAO CNR Rapport de la mission conjointe HCR-FAO-CNR-INTERSOS-ADSSE dans la cité d ABA, en Territoire de FARADJE Du 07 au 12 Mars 2014 Participants à la Formation Entretien avec un ménage de rapatrié Rédigé à Aba, le 12 mars 2014
2 2 I. INTRODUCTION La cité d Aba, située à 212 Km à l Est de Dungu dans le territoire de Faradje est une zone mixte abritant les populations locales, IDPs, retournés venus d Ingbokolo en territoire d Aru et du Soudan du Sud (les congolais qui vivaient dans des familles d accueil), ainsi que des rapatriés spontanés. Un mouvement important de retour a été observé depuis la fin de l année 2013, suite à la crise politico- ethnique sévissant dans le pays d asile. De novembre 2013 à début février 2014, les équipes de missions conjointes HCR/CNR ont pu enregistrer dans la seule cité d Aba un total de près de Rapatriés spontanés en provenance du Camp des réfugiés de Nyori au Soudan du Sud. Un mouvement important de retour des IDPs d Ingbokolo est aussi signalé : un effectif de personnes, soit 332 ménages, a déjà été enregistré. En même temps, les autres IDPs qui sont restés à Ingbokolo manifestent la volonté de regagner leur zone d origine, mais ils voudraient avant tout avoir des informations sur la situation sécuritaire de la zone. Un système d alerte avait été mis en place afin de gérer le dynamisme du mouvement de populations d une part mais aussi, d identifier et collecter les problèmes de protection de l autre. Cette structure pilotée par les autorités locales de la cité d Aba présentait un besoin en renforcement des capacités pouvant améliorer le fonctionnement du système d alerte et le suivi des problèmes auxquels les rapatriés spontanés pourraient être confrontés. 1. Objectifs de la mission Cette mission avait principalement comme objectifs : - Suivre le mouvement transfrontalier de populations et mettre à jour les statistiques de rapatriés spontanés, après enregistrement. - Evaluer la situation sécuritaire et de protection, la disponibilité des services sociaux de base et les besoins de rapatriés spontanés, notamment dans le domaine de sécurité alimentaire. - Renforcer les capacités de membres du système d alerte. - Organiser un atelier de formation/sensibilisation sur la protection internationale en faveur des autorités locales civiles et militaires. 2. Lieu et date La mission a été effectuée à Aba-Centre, Chefferies Kakwa Ima et Mondo Missa, ainsi que sur l axe Aba-Frontière RDC-Soudan du Sud (sur environ 18 km) du 07 au 12 Mars Méthodologie Discussion semi structurée avec les Autorités locales (civiles, militaires, PNC, DGM, ANR), Identification et enregistrement des ménages des rapatriés spontanés, Séance de formation/ sensibilisation, Focus groupe et entretien individuel avec les chefs de ménage des rapatriés spontanés, Identification et entretien avec les acteurs humanitaires présents dans la cité d Aba, Identification des services sociaux de base et entretien avec les responsables,
3 3 Visite sur le terrain, Administration du questionnaire - ménages FANTA et évaluation de l état nutritionnel des enfants, Visite de marché et collecte des indices des prix. II. RESULTATS DE LA MISSION 1) Mouvement de population Le mouvement de retour massif des rapatriés spontanés enregistré dans la cité d Aba depuis novembre 2013 jusque début février 2014 suite au déclenchement des hostilités au Soudan du Sud semble diminuer. Il a, en plus, été observé une tendance de retour de certains rapatriés vers le Camp Nyori, suite aux conditions difficiles de vie dans la cité d Aba. D autres font un aller et retour, pour bénéficier encore de l assistance dans le pays d asile et un dernier groupe renvoie tout simplement leurs cartes ration à Nyori pour y être assistés. Cette situation ne facilite pas la maitrise des statistiques de rapatriés spontanés. Selon les autorités locales, suite à ces différents mouvements de retour, actuellement il y a une explosion démographique observée à Aba, depuis septembre L effectif de la population dans cette cité est passé de habitants, en juillet 2011, à habitants en ce jour, soit le double. 2) Situation sécuritaire de la zone La situation sécuritaire dans la cité d Aba, ainsi que dans les Chefferies Kakwa Ima et Mondo Missa reste calme et stable. De plusieurs sources concordantes, l on apprend que le dernier incident sécuritaire dans la zone remonte à novembre Aucun autre incident n a été enregistré au courant de l année 2013 et début Le périmètre de sécurité va jusqu à 20 Km autour d Aba, ce qui permet aux populations de se déplacer sur un rayon de 5 à 20 Km dans la brousse pour des travaux champêtres sans être inquiétées. Cette accalmie motive de plus en plus le retour des ménages des IDPs en provenance d Aru et Ingbokolo. 3) Problèmes de protection Occupation des concessions de certains rapatriés Certains rapatriés spontanés retrouvent leurs parcelles ou champs occupés par des IDPs et/ou la population locale. Ce qui crée des différends entre ces populations. Cette situation oblige ces rapatriés à rester soit dans des familles d accueil, soit dans des sites IDPs.
4 4 Entre temps, les autorités locales tentent de résoudre le problème par l octroi des nouvelles parcelles aux rapatriés spontanés, moyennant payement d une somme qui varie entre FC et FC. Montant que les concernés ne savent pas trouver. SGBV La problématique de SGBV a été signalée dans la cité d Aba mais, de cas seraient traités par le recours à l arrangement à l amiable. Un cas de viol sur une fillette autochtone âgée de 10 ans avait été enregistré à Aba centre en date du 07 février La victime partageait sa case avec deux de ses sœurs. Ces dernières étant allées passer nuit à un deuil du quartier la laissant seule dans la case, ont, à leur retour, constaté que le lit était souillé de sang et que la fillette se tordait de douleur au bas ventre. La victime a déclaré ne pas connaitre ses agresseurs. Conduite à l hôpital, le viol a été confirmé et elle a bénéficié de la prise en charge médicale. Aucune autre action n a été prise jusque-là par la crainte de la discrimination et marginalisation. 4) Sécurité Alimentaire : Soixante (60) ménages sélectionnés des IDPs, Retournés, Rapatriés spontanés et population locale ont fait l objet de l évaluation en Sécurité alimentaire. 100% des ménages enquêtés ont l agriculture comme principale source de revenu. La distillation d alcool, la débrouillardisme et l élevage sont des sources alternatives de revenu. La superficie cultivée varie de 12,5 à 25 ares, ce qui parait insignifiant. Les cultures pratiquées (manioc, arachides, sésame, sorgho, riz, ) sont pour une large part tournées pour la subsistance. Le maïs est utilisé pour la distillation de l alcool. Les marchés sont faiblement achalandés : les intrants agricoles (outils) y sont rares. Comparés à Faradje, les prix des produits agricoles sont bas tandis que ceux des produits manufacturés sont plus élevés. Conséquence : revenus maintenus faibles des ménages dont l agriculture est la principale source, pauvreté, etc. Il ressort de ces enquêtes que la situation alimentaire de toutes les populations d Aba reste préoccupante. Score de diversité alimentaire L ensemble de la population présente une faible diversité alimentaire, la diète se compose essentiellement des légumes (feuilles de manioc, amarantes, ) et des féculents (manioc et produits dérivés). Le score de diversité alimentaire selon l échelle FANTA reste faible et varie entre 3 et 5 pour les ménages visités. Echelle d insécurité alimentaire Quant à l indice d insécurité alimentaire, les résultats partiels d analyse révèlent que : 85% des ménages enquêtés avaient souvent réduit le nombre de repas habituellement consommés par jour (1-2), parce qu il n y avait pas assez de nourriture, 90% des ménages enquêtés vont souvent se coucher en n étant pas rassasié, parce qu il n y avait pas assez de nourriture,
5 5 2% des ménages enquêtés sont contraints de passer souvent 24 heures sans rien manger du tout parce qu il n y avait pas assez de nourriture, Les causes retenues d insécurité alimentaire à Aba et environs seraient: - Chute de production agricole (causes identifiées : pauvreté, manque d intrants agricoles, terre cultivable à une distance entre 5 et 20Km, etc.), - Absence d intégration des marchés (causes identifiées : routes et distances), - Epidémies récurrentes chez les élevages (causes identifiées : divagations, absence de soins vétérinaires, etc.). Situation nutritionnelle chez les enfants En ce qui concerne la situation nutritionnelle chez les enfants de moins de 5 ans : 100% d enfants présentent un périmètre brachial supérieur à 11 cm. 18% d enfants présentent un périmètre brachial compris entre 11 et 13 cm, 82% d enfants présentent un périmètre brachial compris au-dessus de 13 cm. Au cours des 15 jours qui ont précédé les enquêtes, il a été noté ce qui suit : 88% d enfants ont souffert de fièvre et de toux, 70% d enfants ont souffert de diarrhée, 15% d enfants ont souffert d autres pathologies 5) Autres Besoins Humanitaires Comme déjà évoqué, un nombre important de rapatriés spontanés vivent dans des familles d accueil et dans les 4 sites spontanés des IDPs (Meri, Nyalanya, Lipara et Elonga) se trouvant à Aba, avec un moyen de subsistance très limité. Food et Intrants Agricoles : Selon le résultat des enquêtes faites, les rapatriés spontanés comme les retournés présentent des besoins énormes, en moyen de subsistance. Ils rentrent sans ressource et ils se nourrissent difficilement. Pour subvenir aux besoins de leur famille, ils recourent souvent aux travaux journaliers. Ils ont besoin d une assistance en vivres et intrants agricoles pour commencer la culture. La distribution des intrants agricoles et des semences aux rapatriés spontanés allégera notamment la charge aux familles d accueil et facilitera leur réinsertion socio- économique. La distribution des vivres accompagnera les rapatriés spontanés pendant la période de semis et les empêcherait de consommer la semence. Education : La cité d Aba compte 13 écoles primaires et 6 écoles secondaires. Les enfants en âge scolaire représentent plus de 60% des personnes rapatriées spontanées.
6 6 Les problèmes répertoriés se résument en : difficulté du paiement de la contribution variant entre 1000FC à 2000FC par mois et par élève ; incompatibilité de programmes scolaires du Soudan du Sud et de la RDC, créant un problème d adaptation pour les enfants rapatriés et enfin, il y a une surpopulation des salles de classes allant de 60 à 80 élèves par classe. Ceci serait dû notamment par le retour important des enfants en âge scolaire et de la cantine scolaire qui attire les enfants sachant qu ils vont manger à l école. Abris et AME : Certains rapatriés vivent dans des familles d accueil et d autres dans des sites IDPs avec un besoin urgent en AME et Abris. Le manque en AME conduit la majorité des ménages à utiliser les mêmes ustensiles pour la cuisine et la toilette. Accès aux soins de santé : La cité d Aba dispose d un Hôpital Général de Référence, un centre de santé et un poste de santé, desservant un peu plus de habitants. L HGR est appuyé depuis 2008 par Malteser qui a commencé à réduire son assistance. Pour 2013, par exemple, l appui de Malteser à l hôpital était constitué uniquement des médicaments essentiels. Suivant cet appui de l ONG Malteser, les médicaments sont donnés gratuitement, mais les actes restant payants. Par manque de ressources, les rapatriés spontanés, comme le reste des populations ont un accès limité aux soins de santé. Il faut souligner qu il n y a pas un programme de prise en charge de personnes vivantes avec le VIH/SIDA. Accès à l eau potable : 75% des ménages enquêtés consomment l eau de source aménagée, 25% celle de source non aménagée. Les 25% concernent les personnes vivant plus dans les zones périphériques d Aba. 6) Présence Humanitaire : Deux acteurs humanitaires se trouvent dans la zone : L ONGI Samaritan s Purse œuvre dans la cité d Aba et environs dans le domaine de la sécurité alimentaire en faveur des ménages des IDPs et population locale, pour tout le territoire de Faradje, elle intervient aussi avec la cantine scolaire dans des écoles. L ONGI Malteser intervient dans le domaine de la santé, avec l appui à l Hôpital Général.
7 7 7) Formation Une séance de formation de deux jours avait été organisée du 10 au 11/3/2014, en faveur de 32 personnes (autorités locales, Chefs Coutumiers, PNC, FARDC et société civile) sur la protection internationale. L objectif de la formation était de promouvoir un environnement protecteur des droits humains, en renforçant les capacités de ces autorités. Les intervenants ont développé les principes humanitaires, le mandat du HCR, la protection internationale, les principes directeurs relatifs au déplacement interne, la notion des droits humains, la loi Congolaise N0 21 de 2002, portant statut de Réfugié et le mandat de la CNR. III. RECOMMANDATIONS A. Mener un plaidoyer auprès de PAM en vue de la distribution des vivres en faveur des rapatriés spontanés et retournés, car constituant un poids dans des familles d accueil. (OCHA et UNHCR) ; B. Organiser une assistance urgente en faveur des populations de la zone, dans le domaine d appui à la production agricole et animale (intrants agricoles et semences), avec une assistance ciblée des vivres en guise de protection des semences. Un accent particulier devra être mis sur la promotion de la pisciculture familiale et/ou communautaire (FAO); C. Faciliter le retour des IDPs se trouvant à Ingbokolo, étant donné que la zone de retour est calme (HCR) ; D. Amorcer le processus de rapatriement des réfugiés Congolais qui veulent déjà rentrer en RDC vue l amélioration de la situation sécuritaire dans la cité d Aba. (UNHCR et CNR); E. La réhabilitation de la route Aba Kitambala (60 km) et éventuellement jusqu à Aru (Cluster Logistique / Séc Alimentaire); F. Initier un projet de prévention et Protection des enfants rapatriés contre les SGBV (UNHCR) ; G. Appui aux autorités scolaires pour l augmentation des salles de classe et la prise en charge des primes pour les enfants rapatriés (Unicef et HCR) ; H. Assistance en AME et Abris d urgence (Cluster Abris et AME et HCR) ; I. Intensifier des séances de sensibilisation notamment sur la protection, droits humains et les SGBV (Intersos, CNR). Fait à Aba, le 12 mars 2014
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