CONJONCTURE LAIT Tendances Juillet 2015
|
|
- Antonin Laviolette
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CONJONCTURE LAIT Tendances Juillet 215 Institut de l Elevage Département Economie
2 SOMMAIRE Collecte laitière Cheptel laitier Prix du lait IPAMPA Cotations Fabrications Consommation Taux de change Commerce extérieur Stocks 2
3 LES POINTS MARQUANTS Rétablissement de la collecte française. Rebond de la collecte européenne depuis mai 215. Le supplément de collecte dans les principaux bassins exportateurs relance pèse sur les marchés mondiaux des ingrédients laitiers. Le prix de la poudre maigre se rapproche du prix d intervention, celui du beurre cube se maintient à 3 /t. Les fabrications européennes d ingrédients laitiers sont relancées. Le prix du lait français se maintient au dessus de 3 grâce aux indices de saisonnalité. Consommation toujours convalescente de produits laitiers en France. Les échanges internationaux sont modérément dynamiques, malgré le retrait chinois et l embargo russe. Rétablissement des exportations européennes qui bénéficient de la faiblesse de l euro et du retour de certains pays importateurs. Les stocks privés de poudre maigre se gonflent de nouveau. 3
4 La collecte laitière française tonnes J F M A M J Jt A S O N D Source : GEB Institut de l Elevage d après Eurostat et FranceAgriMer La collecte française, qui avait commencé à augmenter à partir de la mi avril, a sensiblement dépassé en mai le niveau de 214, à 2,3 millions de tonnes (+,5% /214). Le déficit hydrique le mois de juin semble déjà affecter la production des dernières semaines de juin. La collecte pourrait franchement ralentir si le mois de juillet reste chaud et sec. 4
5 Le cheptel laitier français Effectif national de vaches laitières Source : GEB Institut de l'elevage d'après SPIE BDNI +.4% +.3% +.3%.1%.2%.1% Le cheptel laitier français reste quasi stable, à 3,64 millions de vaches laitières au 1 er juin
6 Évolution de la collecte hebdomadaire France Allemagne +1 Evolution de la collecte hebdomadaire en France et en Allemagne GEB Institut de l'élevage d'après ZMP et FranceAgriMer Variation hebdomadaire n/n 1 (%) juil août 14 sept. 14 oct. 14 nov. 14 déc. 14 janv. 15 févr. 15 mars 15 avr. 15 mai 15 juin 15 4 France Allemagne 6 Source : GEB Institut de l Elevage d après ZMP et FranceAgriMer La collecte allemande a poursuivi sa progression régulière tout au long des mois de mai (+,4% /214) et de juin (+1,1%). En France, elle progresse aussi, mais plus modérément : +,5% /214 en juin d après nos estimations. 6
7 La collecte laitière de l UE à tonnes J F M A M J Jt A S O N D Source : GEB Institut de l Elevage d après Eurostat La production a encore davantage progressé en mai dans les autres pays de l UE : +6,6% /214 aux Pays Bas, +3% en Pologne, +1% en Irlande, +2 % au Royaume Uni. En somme, la collecte européenne s est élevée à 13,3 millions de tonnes en avril (+1,3% /214) et devrait atteindre le niveau record de 14 millions de tonnes en mai (+2,5% /214). 7
8 La collecte laitière des États Unis tonnes J F M A M J Jt A S O N D Source : GEB Institut de l Elevage d après USDA La collecte étatsunienne reste dynamique en mai, supérieure de 1,4% au niveau élevé de mai 214, malgré le ralentissement de la production en Californie et dans les Etats du Sud qui sont affectés par une sécheresse exceptionnelle. Le prix du lait est stabilisé à 35 /t. 8
9 Le cheptel laitier aux États Unis 1 têtes Effectifs de vaches laitières aux USA Source : GEB Institut de l'elevage d'après USDA +1.2% +1.2% +1.1% +.9% +.8% 8 J F M A M J Jt A S O N D Le cheptel étatsunien continue de s étoffer. Il compte en mai têtes de plus qu en 214 (+,8%), à 8,63 millions de vaches laitières. Mais le rythme de capitalisation se ralentit. Il devrait atteindre 9,3 millions de têtes avant la fin d année 215, selon l USDA (Livestock, Dairy & Poultry Outlook, 16 juin 215). 9
10 La collecte laitière de l Australie tonnes J F M A M J Jt A S O N D Source : GEB Institut de l Elevage d après Dairy Australia En Australie, la collecte reste dynamique grâce à des marges de production toujours positivesmalgréleprixdulaitplutôtmorose(source:dairyaustralia).laprogressionde la collecte est cependant plus modérée, avec seulement +1,1% en mai 215 /
11 La collecte laitière de la Nouvelle Zélande tonnes J F M A M J Jt A S O N D Source : GEB Institut de l Elevage d après DCANZ La collecte néozélandaise a repris une dynamique positive après l épisode de sécheresse de début d année. La collecte s établit pour le second mois consécutif au dessus des niveaux de 214, à +11% en mai 215 /214. S il ne dissuade pour l instant pas la production, le prix du lait (25 / 1 l) fragilise les exploitations et pourrait ainsi affecter la collecte du 2 nd semestre. 11
12 La collecte laitière de l Argentine tonnes J F M A M J Jt A S O N D Source : GEB Institut de l Elevage d après CLAL La collecte laitière reprend timidement en avril, avec une production légèrement supérieure au bas niveau de 214 (+3%) mais toujours inférieure à 213 ( 4%). 12
13 La collecte dans les 5 grands bassins* Evolution de la collecte des 5 principaux exportateurs tonnes *Argentine, Australie, États Unis, Nouvelle Zélande & Union européenne Source : GEB Institut de l Elevage d après sources nationales UE 28 USA NZ Australie Argentine La collecte des 5 principaux exportateurs a bondi en avril, portée par la reprise des collectes néozélandaise et surtout européenne : +2% /214. La hausse de production devrait se confirmer en juin d après les premières estimations de collecte européenne. 13
14 Prix du lait en France et en Allemagne 45 Prix du lait standard départ ferme Euros par 1 litres France Allemagne Source : GEB Institut de l Elevage d après FranceAgriMer et ZMB Le prix du lait standard payé au producteur est retombé à 28 /1 l en Allemagne. 14
15 Prix du lait dans 3 bassins ( /tonne) Euros par 1 litres Prix du lait à la production France Nouvelle Zélande USA Source : GEB Institut de l Elevage d après FranceAgriMer, LTO et ZMB Le prix du lait à la production s est stabilisé dans les 3 bassins : à 25 /1 l en Nouvelle Zélande, 3 en France en avril et mai, et 35 aux États Unis. 15
16 Prix du lait standard valorisé en beurre/poudre 5 Euros pour 1 litres à l'intervention sur le marché européen sur le marché mondial payé aux livreurs français Source : GEB Institut de l Elevage d après FranceAgriMer, SSP et ZMB La valorisation du lait en beurre/poudre sur le marché mondial est retombé autour de 225 /1 l en mai et juin 215, après le léger sursaut autour de 28 en février et mars 215. Un an auparavant, elle était à 35 / 1 l. 16
17 IPAMPA Lait de vache (indice 1 en 21) En Indice (1 en 21) INDICE GENERAL Aliments achetés Energie et lubrifiants Source : Traitement Institut de l Elevage d après INSEE L IPAMPA Lait de vache reste stable en mai à 111 points, 1,7% en deçà du niveau de 214. L indice «Énergie et Lubrifiants» progresse toujours, et atteint 19 points en mai. L indice «Aliments Achetés» poursuit quant à lui sa baisse en mai où il perd,5 point, à 12 points. 17
18 Prix des enchères réalisées sur le GlobalDairyTrade janv. 1 avr. 1 juil. 1 oct. 1 $ / tonne janv. 11 avr. 11 juil. 11 oct. 11 janv. 12 avr. 12 juil. 12 oct. 12 janv. 13 avr. 13 juil. 13 oct. 13 janv. 14 avr. 14 juil. 14 oct. 14 janv. 15 avr. 15 juil. 15 Beurre anhydre Poudre maigre Tous produits Source : GEB Institut de l Elevage d après GlobalDairyTrade Après le rebond début 215, le prix moyen (tous produits confondus) des enchères sur le GlobalDairyTrade ne cesse de reculer à $/t début juillet. A $/t, le prix moyen du beurre échangé a cédé 36% en six mois. Le prix de la poudre maigre, tombé à $/t, a reculé de 2% sur la même période et chuté de presque moitié sur un an. 18
19 Cotation du beurre sortie usine /tonne janv. 8 avr. 8 juil. 8 oct. 8 janv. 9 avr. 9 juil. 9 oct. 9 janv. 1 avr. 1 juil. 1 oct. 1 janv. 11 avr. 11 juil. 11 oct. 11 janv. 12 avr. 12 juil. 12 oct. 12 janv. 13 avr. 13 juil. 13 oct. 13 janv. 14 avr. 14 juil. 14 oct. 14 janv. 15 avr. 15 Seuil d'intervention France (prix spot) Départ Europe Ouest Départ Océanie Source : GEB Institut de l Elevage d après ATLA et ZMB Amorcé début 215, le redressement du marché des matières grasses laitières a tourné court. En France, la cotation du beurre sur le marché spot est retombée à 3 /t en mai, se stabilisant depuis. La rechute est plus prononcée sur le marché mondial où le beurre européen a perdu 5 euros en trois mois, à moins de 2 8 /t. Il est presque aussi compétitif que le beurre néozélandais grâce à la dépréciation de l euro. 19
20 Cotation de la poudre maigre /tonne Prix d'intervention France Départ Europe Ouest Départ Océanie Source : GEB Institut de l Elevage d après ATLA et ZMB Le cours de la poudre maigre se rapproche à petits pas du prix de déclenchement de l intervention. A 1 72 /t début juillet, la cotation ATLA a encore cédé 8 /t en 5 semaines et 63 euros en quatre mois. Elle est désormais 4% sous son niveau de 214 à pareille époque. 2
21 Cotation de l Emmental et du Gouda en Allemagne /tonne Emmental Source : GEB Institut de l Elevage d après ZMB Gouda Le cours du gouda a décroché à 2 32 /t fin juin. Il est désormais 1 45 /t sous son excellent niveau du début 214, soit une chute de 4% en 18 mois. Lecoursdel emmental,peuexportéverslespaystiers,sedépréciepluslentement, Ramené à 4 /t en juin, il a cédé 1% seulement en un an. 21
22 Les fabrications françaises 8 Evolution des fabrications françaises ( % sur 214) Source : GEB Institut de l'elevage d'après Eurostat Laits liquides Crème Laits fermentés Fromages Beurre Poudre maigre Poudres grasses avril 215 cumul 3 mois La chute de la collecte hivernale s est surtout répercutée sur les fabrications de poudres, mais aussi de fromages. Seules les fabrications de beurre sont positives. Les fabrications de produits frais sont toujours ralenties, signe d une demande intérieure morose. 22
23 Les fabrications européennes 1 Evolution des fabrications européennes (% sur 214) Source : GEB Institut de l'elevage d'après Eurostat Laits liquides Crème Laits fermentés Fromages Beurre Poudre maigre Poudres grasses avril 215 cumul 3 mois En avril, la reprise de la collecte a relancé les fabrications de beurre/poudre maigre. En revanche, les fabrications de poudres grasses sont toujours ralenties, ainsi que celles de fromages qui stagnent suite à la fermeture du marché russe. Les fabrications de laits conditionnés et de produits frais sont aussi ralenties par la faiblesse de la demande européenne, à l exception de la crème conditionnée. 23
24 Consommation des ménages français 1 Evolution des volumes vendus en GMS (% /214) Source : GEB Institut de l'elevage d'après IRI CNIEL Laits liquides Desserts frais Yaourts Crème Fromages frais Beurre Fromages (libreservice) 5 4 P 6_215 3 mois La consommation de produits laitiers par les ménages est globalement morose. En période 6, les ventes par la grande distribution reculent de 3% /214 tous produits confondus. Seules les ventes de beurre se maintiennent en volume. Celles de crème fraiche passent dans le rouge. Lesventesdelaitsliquidesetdefromagesfraissonttrèsdéprimées,etlesdesserts décrochent. Les ventes de fromages reculent également en libre service. 24
25 Consommation des ménages allemands 6 Evolution des achats des ménages allemands (% sur n 1) Source : GEB Institut de l'elevage d'après ZMB Laits liquides Yaourts Fromages frais Crème Beurre Fromages mai 15 cumulés La consommation allemande de produits laitiers est bien orientée, aidée par la baisse des prix au détail : Les achats de fromages par les ménages bondissent en mai, ceux de beurre progressent aussi. La consommation de yaourts, jusque là en repli, se ressaisit aussi. Seule la demande de laits conditionnés continue de reculer. 25
26 Les exportations françaises 1 tonnes Exportations cumulées de produits laitiers Source : GEB Institut de l'elevage d'après Ubifrance avril 214 avril 215 Les exportations de produits laitiers se maintiennent en volume, mais reculent en valeur ( 7% /214). Celles de fromages se maintiennent aussi, malgré la fermeture du marché russe. Les expéditions de laits vracs bondissent (+2% /214), notamment vers l Europe du Nord où les transformateurs suppléent la baisse temporaire de la collecte. 26
27 Les importations françaises 1 tonnes 1 Importations cumulées de produits laitiers Source : GEB Institut de l'elevage d'après Ubifrance Laits vracs Laits conditionnés Crèmes Laits fermentés Fromages Beurre Poudre maigre Poudres grasses Poudre lactosérum avril 214 avril 215 Les importations de fromages, en premier lieu d emmental, sont toujours dynamiques (+16% /214 au 1 er quadrimestre). Les importations de laits conditionnés progressent toujours (+5% /214 sur 4 mois), notamment en provenance d Allemagne et de Belgique, grâce à des prix très compétitif : ramené de,75 /l à,5 /l d une année sur l autre. 27
28 Le commerce extérieur de la France millions Commerce extérieur de janvier à mars215 Source : GEB Institut de l'elevage d'après Ubifrance Import Export Les fromages sont la première source de devise laitière (4% des exportations totales), loin devant les ingrédients secs. La France est en revanche déficitaire en matières grasses laitières (beurre et crème). Les exportations comme les importations totales reculent en valeur, si bien que le solde commercial est ramené à 1,4 milliard d euros sur le 1 er quadrimestre. 28
29 Exportations de l UE vers les pays tiers 1 tonnes 3 25 Exportations cumulées depuis janvier de l'ue 28 Source : GEB Institut de l'elevage d'après GTA Beurre et butter oil Fromages Poudre maigre Poudres grasses Poudre de lactosérum avril 212 avril 213 avril 214 avril 215 Les exportations européennes ont retrouvé le haut niveau de 214 tous produits confondus. Elles tirent parti de disponibilités abondantes et de la dépréciation de l euro. Les exportations de poudre maigre ont bondi de 17% à 249 tonnes sur quatre mois. Seules les expéditions de fromages sont entravées depuis la fermeture du marché russe. Celles de poudres grasses souffrent de l agressivité et de la compétitivité des poudres néozélandaises. 29
30 Commerce mondial par produit 1 tonnes Exportations cumulées depuis janvier des 5 principaux exportateurs* Source : GEB Institut de l'elevage d'après GTA Beurre et butter oil Fromages Poudre maigre Poudres grasses * Argentine, Australie, Etats Unis, Nouvelle Zélande et UE 28 Malgré des disponibilités abondantes, les échanges internationaux sont modérément dynamiques. Ils pâtissent des fmoindres achats chinois et de l embargo russe imposé aux produits européens et étatsuniens. Seules les exportations de poudre maigre progressent (+16% /214 au 1 er quadrimestre). La forte baisse des prix réanime la demande en Asie et en Afrique. 668 avril 212 avril 213 avril 214 avril
31 Principaux exportateurs sur le marché mondial 1 tonnes Exportations cumulées depuis janvier des 4 principaux produits échangés* Source : GEB Institut de l'elevage d'après GTA UE 28 NZ Australie Etats Unis Argentine * Beurre, fromages, poudre maigre et poudres grasses avril 212 avril 213 avril 214 avril 215 La Nouvelle Zélande accroît sensiblement ses expéditions, grâce à la diversification de ses débouchés sur l Asie qui compense la moindre demande chinoise. Malgré des disponibilités abondantes, les Etats Unis subissent une chute de 16% de leurs exportations, devenues moins compétitives avec l appréciation du dollar, et face à la forte demande intérieure, notamment en beurre. 31
32 Valeur des monnaies des principaux exportateurs 2,4 Valeur des monnaies en US$ Source : GEB Institut de l'elevage d'après la Banque de France 2, 1,6 1,2,8,4 euro dollar australien dollar néozélandais livre anglaise La dépréciation de l euro, à l œuvre depuis un an, s est stoppée ce printemps. Stabilisé à 1,12 $ depuis mai, il a perdu 25 centimes ( 18%) sur un an. La livre anglaise s est aussi dépréciée par rapport au dollar, mais moitié moins ( 1% /214) sur la même période, à 1,56 $ en juin 215. En revanche, elle s'apprécie toujours face à l'euro. 32
33 Les stocks européens de beurre 12 Stocks privés de beurre aidés dans l'ue (1 tonnes) Source : GEB Institut de l'elevage d'après CCE J F M A M J Jt A S O N D L'aide au stockage privé rencontre un certain écho auprès des transformateurs. Le volume de beurre aidé a doublé en février, puis a progressé modérément à 85 t en mai. Le stock disponible était de 64 t fin mai. Lestockdepoudremaigreaidéerestefaibleà24tonnes.Lesstocksentrepriseont bien reculé début 215, grâce à la reprise des exportations et au ralentissement de la collecte européenne. Mais depuis avril, ils s étoffent de nouveau. 33
34 Les stocks commerciaux aux USA 2 Stocks commerciaux aux USA Source :GEB Institut de l'elevage d'après USDA janv. 9 avr. 9 juil. 9 oct. 9 janv. 1 avr. 1 juil. 1 oct. 1 janv. 11 avr. 11 juil. 11 oct. 11 janv. 12 avr. 12 juil. 12 oct. 12 janv. 13 avr. 13 juil. 13 oct. 13 janv. 14 avr. 14 juil. 14 oct. 14 janv. 15 avr. 15 juil tonnes Beurre Poudre maigre Les stocks privés de beurre connaissent une hausse saisonnière normale début 215. Ceux de poudre maigre demeurent relativement élevés, faute de compétitivité sur le marché mondial. 34
Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailSecteur de la construction au Canada
PIB en G$ CAD Survol des tendances de l industrie Secteur de la construction au Canada Principaux développements T2/214 214 Le PIB réel a atteint un sommet de 1 69 millions de dollars canadiens en novembre
Plus en détailComité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil
Comité Coproduits Situation des marchés (V e quartier) juin 21 Montreuil LE MARCHE DES PRODUITS TRIPIERS Production de produits tripiers tonnes Evolution sur mois 21/21 Abats de bovins : + 2,2 % Abats
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord trimestriel 2 ème Trimestre 2014 I. L ensemble des marchés I.1. L environnement des marchés : les conditions de
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 16 Septembre 2014
Conjoncture Filière cheval N 16 Septembre 214 L élevage Galop : des saillies en baisse à mi-année 214 Trot : hausse marquée de la production à mi-année 214 Selle : nouvelle baisse du nombre de juments
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014
Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailOUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active
Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailObservatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015
Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs
Plus en détailPrix et marges dans la distribution des carburants
Prix et marges dans la distribution des carburants Rapport d étape au Ministre de l Économie et des Finances (24 août 2012) Anne BOLLIET Inspectrice générale des Finances Boris RAVIGNON Inspecteur des
Plus en détailDESS INGENIERIE FINANCIERE
DESS INGENIERIE FINANCIERE Mercredi 27 mars 2005 Philippe TESTIER - CFCM Brest 1 SOMMAIRE Le Change au comptant (spot) ; Le Change à Terme (termes secs, swaps de change) ; Les Options de Change ; Les Options
Plus en détailIndicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011
Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux
Plus en détailÉvolution du tissu artisanal en Bretagne
du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée
Plus en détailLA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE
LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition
Plus en détailLe CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31
Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31 Le bulletin hebdomadaire, sur votre site http://hemve.eklablog.com/ La BCE et l emploi US font chuter l euro, Le Cac peut-il s affranchir de Wall
Plus en détailTABLE DES MATIERES. iii
RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...
Plus en détailBILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014
BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération
Plus en détailImage de la carte bancaire auprès des porteurs - France
Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France Rapport d étude 7 novembre 2005 Contacts TNS SOFRES : Florence de MARIEN 01.40.92.45.59 Benjamine DUROUCHOUX 01.40.92.45.14 BDX R_42GV07_01 Département
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailRésultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration
Paris, le 20 février 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration Un renforcement substantiel des gains de productivité et une nette progression des résultats en 2014 par rapport
Plus en détailL ADIL Vous Informe. Le prêt relais
ADIL des Hauts de Seine L ADIL Vous Informe Le prêt relais Sur un marché immobilier qui tend à se réguler, faire coïncider la date de vente avec celle de l achat d un bien devient difficile. De nombreux
Plus en détailGESTION, ADMINISTRATION
GESTION, ADMINISTRATION A vec 73 5 emplois et 9,8 % des actifs, les métiers de la gestion et de l administration des entreprises constituent le troisième domaine professionnel dans la région, un rang identique
Plus en détailBANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment
Plus en détailBaromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique
BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée
Plus en détailLe secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur
N 28 juillet 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Auteur : Nicolas ROUX 1 Le secteur de la
Plus en détailQUELLE DOIT ÊTRE L AMPLEUR DE LA CONSOLIDATION BUDGÉTAIRE POUR RAMENER LA DETTE À UN NIVEAU PRUDENT?
Pour citer ce document, merci d utiliser la référence suivante : OCDE (2012), «Quelle doit être l ampleur de la consolidation budgétaire pour ramener la dette à un niveau prudent?», Note de politique économique
Plus en détailLA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS
> Les synthèses de FranceAgriMer février 2013 numéro LAIT / 1 LA DYNAMIQUE DES TROUPEAUX LAITIERS FRANÇAIS À L APPROCHE DE LA FIN DES QUOTAS 12 12 rue rue Henri Henri Rol-Tanguy / TSA / TSA 20002 20002
Plus en détailTARIFS DE COURTAGE. OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015
TARIFS DE COURTAGE OFFRE ZONEBOURSE.COM / INTERACTIVE BROKERS Au 7 juillet 2015 La présente brochure a pour objet de vous présenter les principales conditions tarifaires appliquées aux services financiers
Plus en détailGE Capital. Principaux faits nouveaux. Perspectives sectorielles. Survol des tendances de l industrie : Automobile
Principal indicateur de la rentabilité du secteur Survol des tendances de l industrie : Automobile Principaux faits nouveaux En février, les ventes de véhicules légers au Canada ont été fortes, soit 18
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailLe nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien
Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,
Plus en détailLe marché du lait de consommation en France. Assemblée Générale SYNDILAIT-IPLC 2 mai 2012
Le marché du lait de consommation en France Assemblée Générale SYNDILAIT-IPLC 2 mai 2012 Un survol en 8 temps La collecte de lait La transformation La commercialisation La montée du bio Le lait local La
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Chiffre d affaires du 3 ème trimestre et des 9 premiers mois 2013 16 octobre 2013 Croissance organique des 9 premiers mois : +5,5% Tendances solides dans l ensemble du Groupe Impact
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. Résultats du premier semestre 2014
COMMUNIQUÉ DE PRESSE Résultats du premier semestre 2014 25 juillet 2014 Croissance du chiffre d affaires de +2,2% [2] au premier semestre et de +2,3% [2] au deuxième trimestre 2014 Marge opérationnelle
Plus en détailSeptembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse
Plus en détailLE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER SEPTEMBRE 2012 N 4. www.objectif-lr.
SEPTEMBRE 2012 N 4 4 LE BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE RÉGIONALE PAR L ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES, RÉGION MONTPELLIER - Photos : Nicolas Bouzou, Peter Allan - 09/2012 EN PARTENARIAT AVEC www.objectif-lr.com
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailPanorama de la grande distribution alimentaire en France
N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire
Plus en détailInvestir à long terme
BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements
Plus en détailNote de Conjoncture n 1-2010. La situation économique au Luxembourg Évolution récente et perspectives
Mise à jour statistique: 8 juin 200 Note de Conjoncture n -200 La situation économique au Luxembourg Évolution récente et perspectives Le texte intégral de la Note de Conjoncture est disponible sur Internet
Plus en détailREUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014. Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.
REUNION PRESSE JEUDI 13 FEVRIER 2014 Contact presse CAPmedias / Anne COPEY 01 83 62 55 49 / 06 80 48 57 04 anne.copey@capmedias.fr SOMMAIRE LE MARCHE DU PNEUMATIQUE EN FRANCE EN 2013 (Sources : ventes
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailUNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL. N 73 Mars 2004
Lab.RII UNIVERSITÉ DU LITTORAL CÔTE D'OPALE Laboratoire Redéploiement Industriel et Innovation DOCUMENTS DE TRAVAIL N 73 Mars 24 La Bourse en Chine : éléments clés Peng YANG 1 La Bourse en Chine : éléments
Plus en détailLes facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux
Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle
Plus en détailComptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables Séminaire relatif à la pertinence des IPSAS et normes comptables européennes Cour des comptes 25 mars 2013 Comptes consolidés de l Etat : étapes préalables
Plus en détail15% 10% -5% % de ch. par rapp. à l année préc. -10% Conserves Meat de fruits et légumes et aliments de spécialité
Export. (milliers de dollars CAD) % de ch. par rapp. à l année préc. 4Q13 Survol des tendances de l industrie canadienne des aliments, des boissons et du secteur agroalimentaire Nouvelles importantes Le
Plus en détailrapport CCE 2015-1250
rapport CCE 2015-1250 La conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 CCE 2015-1250 Rapport sur la conjoncture économique dans la distribution Avril 2015 Personnes de contact Gautier Gérome
Plus en détailMoniteur des branches Industrie MEM
Moniteur des branches Industrie MEM Octobre 2014 Editeur BAKBASEL Rédaction Florian Zainhofer Traduction Anne Fritsch, Verbanet GmbH, www.verbanet.ch Le texte allemand fait foi Adresse BAK Basel Economics
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détailConjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014
Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 214 L élevage : premières tendances 214 Course : baisse des juments saillies en galop, contrairement au trot Selle et poneys : la baisse des juments et ponettes saillies
Plus en détailIn t r o d u c t i o n
In t r o d u c t i o n Qu allez-vous trouver dans ce livre? Ce livre présente une méthode en six étapes pour élaborer votre plan de formation. Son objectif est de vous permettre de concevoir un plan qui
Plus en détailL année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.
L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées
Plus en détailPrincipaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)
55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États
Plus en détailEOLE TRADING INTEGRALE
EOLE TRADING INTEGRALE Formation 100% en ligne Coaching Live d un an Accès à nos outils exclusifs 1- PRESENTATION Eole Trading Intégrale est une formation d une année composée en 3 phases. Elle est accessible
Plus en détailOptimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF
Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailChiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino
Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailBANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011
البنك المركزي التونسي BANQUE CENTRALE DE TUNISIE DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 DETTE EXTERIEURE DE LA TUNISIE 2011 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE Pages Introduction... 5 Endettement extérieur
Plus en détailFRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016
Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailINSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec
INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s
Plus en détailAmanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA
Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique
Plus en détailL année immobilière 2014
www. creditfoncier. com L année immobilière 2014 vue par le Crédit Foncier MARS 2015 synthèse Lors de sa traditionnelle conférence annuelle Les Marchés Immobiliers le 5 février 2015, le Crédit Foncier
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailLe centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015
Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis
Plus en détailTrès légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février
25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre
Plus en détailInstitut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01
Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2015-01 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailLa baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité
La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité Alexis DIRER LEO, Université d Orléans Co-écrit avec Rim Ennajar-Sayadi Journée
Plus en détailLa gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France
La gestion des documents administratifs à la Bibliothèque nationale de France en 12 diapos 1 La Bibliothèque nationale de France Missions Collecte du dépôt légal (livres, revues et Internet français) Valorisation
Plus en détailUNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE
Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailCroissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow
Ivry, le 30 juillet 2014 Croissance des ventes en France et amélioration de la génération de free cash flow Stabilisation du chiffre d affaires du Groupe au 2 nd trimestre : -0,3% à magasins comparables,
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détail1 LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE
LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE LA SITUATION ECONOMIQUE ET FINANCIERE. La situation économique dans la zone euro 0 0.. Les décisions de politique monétaire 0..2 Les marchés obligataires..3 Le marché
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailQu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs?
Qu est-ce que la croissance économique? Quels sont ses moteurs? En ces temps de crise économique et de crise des dettes souveraines (ou publiques), tous les hommes politiques de gauche comme de droite
Plus en détailANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.
LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.
Plus en détailTendances de l insolvabilité au Canada
Tendances de l insolvabilité au Canada Ginette Trahan Directeur général, Services des relations externes Bureau du surintendant des faillites Le 16 novembre 2011 Association canadienne de la gestion de
Plus en détailEffet «La Marseillaise»
DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais
Plus en détailTendances récentes dans les industries automobiles canadiennes
N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des
Plus en détailAssemblée générale des actionnaires 15 mai 2012
Assemblée générale des actionnaires 15 mai 2012 Assemblée générale des actionnaires Bruno Lafont - Président Directeur général Consultation préalable à l Assemblée Centres d intérêt des actionnaires Désendettement
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailQuand le QCA va. DTZ Research PROPERTY TIMES. Paris QCA T4 2014. Sommaire. Auteur. Contacts
DTZ Research PROPERTY TIMES Quand le QCA va Paris QCA T4 214 8 Janvier 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Auteur Pierre d Alençon Chargé d Etudes
Plus en détail