L éthique dans les relations commerciales. Par Johanne Boucher, trad. a. Cuba, le 13 décembre Bonjour tout le monde,

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L éthique dans les relations commerciales. Par Johanne Boucher, trad. a. Cuba, le 13 décembre 2012. Bonjour tout le monde,"

Transcription

1 L éthique dans les relations commerciales Par Johanne Boucher, trad. a. Cuba, le 13 décembre 2012 Bonjour tout le monde, Aujourd hui j ai l intention de vous expliquer ce qui m a amenée à réfléchir sur l éthique dans les relations entre les clients et les fournisseurs de services de traduction; de vous décrire certains des besoins les plus communs des clients; de partager avec vous comment je vois le rôle de la déontologie dans les relations commerciales; d introduire la notion d éthique selon mon interprétation et celle de certains éthiciens experts; et de vous proposer de réfléchir à des choix éthiques face à quelques situations types Je tiens à prendre quelques minutes pour vous décrire mon parcours professionnel. Après des études universitaires spécialisées en traduction, j ai travaillé une dizaine d années comme traductrice technique au service interne de traduction d IBM Canada. Puis j ai occupé des postes de direction, d abord au sein d IBM Canada, puis à la Société Radio-Canada et finalement à Amex Canada filiale d American Express. Donc pendant plus de vingt ans j ai agi comme gestionnaire des besoins de traduction de ces sociétés, j ai été à la tête d équipes internes et j ai dû confier des mandats à des fournisseurs externes pigistes indépendants et cabinets. C est donc dans ce contexte que je devais constamment choisir la bonne ressource pour le bon document. Il me fallait considérer le volume que représentait chaque document, la charge de travail de l équipe interne, l échéance de mon client interne, le moment de la semaine ou de l année, le caractère spécialisé ou général du texte, la disponibilité des fournisseurs, la qualité attendue et les coûts. Je dois avouer qu en tant que client, j ai souvent compté sur la disponibilité des pigistes en fin de semaine pour leur confier un texte que mes ressources internes réviseraient et livreraient en tout début de semaine. J ai également souvent privilégié le recours à des indépendants, car au fil des ans, ces professionnels avaient appris à connaître la culture de notre société, la terminologie propre à notre domaine d activité et que je pouvais être relativement certaine que les textes ne demanderaient pas une révision intensive à l interne. Page 1 sur 6

2 Cette assurance est plus difficile à obtenir quand on fait affaire avec un cabinet qui ne confie pas toujours vos textes à la même ressource. Dans une relation avec un fournisseur, le client se trouve à investir dans la formation du traducteur et à la longue cet investissement vaut son pesant d or. Par contre, il serait inefficace de confier des volumes trop lourds à des ressources individuelles, internes comme externes, et se priver de l accès à ces ressources pendant une longue période. Voilà où l agence ou le cabinet a sa place. En outre, pour que la traduction du volume annuel d une société puisse se faire à l intérieur des budgets alloués, le gestionnaire doit utiliser une combinaison de ressources qui lui donneront un rendement quantitatif et qualitatif satisfaisant tout en protégeant l image de marque de la société et parfois même la rehaussant sur le marché des consommateurs parlant la langue cible. Voyons maintenant quelques exemples de faits vécus qui m amèneront ensuite à parler de comportement éthique. Quand un client transmet une demande de traduction à un pigiste, le client fait généralement un compte de mots et établit l entente avec le pigiste sur cette base. Par contre, si le pigiste se rend compte que le client s est magistralement trompé dans l évaluation du document et que le volume à traduire est beaucoup supérieur à ce qui avait été annoncé, il ne se gêne pour le faire savoir à son client et renégocier. Alors, pourquoi lorsque la situation inverse se produit, le pigiste hésite-t-il à en faire part au client? Deuxièmement, sachant, comme je l ai déjà indiqué, que son client fait régulièrement appel à lui les week-ends et l été (au Québec, les employés internes prennent majoritairement leurs vacances annuelles l été), le pigiste qui choisit cette même période pour s absenter, ne devrait-il pas au moins en avertir son client suffisamment d avance pour que celui-ci sache sur quelles ressources il peut vraiment compter? Troisième exemple. Confiant que la relation avec son client est bien établie, le pigiste relâche son sens du professionnalisme et livre des textes dans lesquels il laisse des passages non traduits parce qu il n a pas pris la peine d en vérifier le sens auprès du client. Il se fie que ce dernier révisera le texte et trouvera la réponse à l ambigüité laissée non traduite. Le pigiste se surprendra-t-il de ne plus recevoir de mandats de ce client? Que dire du pigiste qui ne prend pas la peine de consulter le site Web de la société cliente pour se familiariser avec la terminologie, le style de rédaction et la culture générale de son client? Page 2 sur 6

3 Par contre, quand un pigiste ou un cabinet a une relation stable depuis des années avec son client, devrait-il oser faire valoir la solidité de cette relation fondée sur la prestation de services professionnels de qualité pour majorer ses tarifs plutôt que de profiter d un moment où le client est mal pris pour lui annoncer une hausse? Toutes ces situations m ont fait réfléchir et je me suis demandée si les fournisseurs de services de traduction eux-mêmes réfléchissaient aux comportements les plus appropriés à adopter afin d établir puis de maintenir des relations commerciales avantageuses avec leurs clients. Je me suis vite rendu compte qu il y a des myriades de définitions de ces termes et je vais donc vous proposer mon interprétation de la distinction comme des rapprochements à faire entre ces deux concepts. J ai donc commencé par ce que je connaissais. Depuis que je suis membre de l Ordre des traducteurs, terminologues et interprètes agréés du Québec, l OTTIAQ, je dois agir conformément au code de déontologie qui définit, entre autres choses, mes devoirs envers mes clients. Nous sommes deux mille professionnels au Québec à avoir cette obligation. Qu est-ce que cela signifie vraiment? Le code de déontologie de l OTTIAQ est un ensemble d énoncés qui décrivent en particulier les devoirs envers nos clients dans l exercice de nos professions comme celui d agir avec intégrité, de faire preuve de disponibilité et d une diligence raisonnables, d engager pleinement sa responsabilité professionnelle, d éviter toute situation où il serait susceptible d être en conflit d intérêt ou d être perçu comme tel, de demander un prix juste et raisonnable pour ses services professionnels et de respecter le secret des renseignements de nature confidentielle dont il prend connaissance dans l exercice de ses fonctions. Tous ces énoncés, vous en conviendrez laissent place à l interprétation. En outre, le code de déontologie de l OTTIAQ prévoit une structure permettant de sanctionner les éventuels contrevenants à ce code, par l intervention du syndic et (ou) du Conseil de discipline. Il s agit donc ici d un code qui respecte la définition généralement reconnu de ce qu est un code de déontologie. Mais offre-t-il suffisamment d information pour réellement guider le comportement du professionnel face à toutes les situations qui se présenteront à lui dans sa pratique. Bien sûr que non et, à mon humble avis, c est là où la notion d éthique professionnelle entre en jeux. Rappelons-nous que la compagnie Enron avait un code d éthique de 60 pages qui en principe régissait les gestes de ses dirigeants! Pour certains éthiciens, comme René Villemure, Président de l'institut québécois d'éthique appliquée, l expression «Code d éthique» est un non-sens. Je cite ici Page 3 sur 6

4 un article paru dans le journal Le Devoir (quotidien québécois) : L éthique est une recherche, un questionnement sans cesse reconduits, qui se résument au fond à cette simple question : Que faire pour bien faire? Le code, coupant court au questionnement, donne plutôt une réponse : Vous devez faire ceci ou vous ne devez pas faire cela. En fait la réflexion éthique vient en complément au code de conduite ou code de déontologie. Diane Girard, éthicienne, renchérit : «L éthique est liée à la délibération et à la prise de décision plutôt qu à la seule exécution de règles, de normes et de directives». En outre, il est bon de se rappeler que les choix individuels éclairés, comme s entendent à le dire Jeanne Simard, professeur au département des sciences économiques et administratives de l Université du Québec et Marc-André Morency, sociologue, «Les choix individuels éclairés peuvent aisément emboîter le pas à des lois qui passent difficilement les frontières ou à des codes de déontologie qui concernent généralement davantage les aspects techniques de la profession que ses impacts sociaux et humains.» Toute démarche d éthicisation suppose une réflexion approfondie sur les valeurs de l organisation ou de l individu et sur les moyens appropriés à la poursuite de ces valeurs. Voyons maintenant quelques situations typiques du monde de la traduction et examinons les différentes réponses possibles à la lumière de la réflexion éthique. La résistance à l endettement est l un de vos principes de vie. Un nouveau client vous offre un mandat. Il s agit d une compagnie de cartes de crédit. Option 1 Vous refusez, car vous considérez que ces sociétés encouragent le consommateur à s endetter. Ainsi, votre décision est prise en fonction de ce que vous considérez être une valeur sur laquelle vous ne faites aucune concession. Option 2 Vous acceptez le mandat, mais refusez les textes de marketing et n acceptez que les textes de nature juridique. Vous ne reniez pas entièrement vos valeurs, mais vous avez besoin de gagner votre vie. Option 3 Vous acceptez sans restriction. Vous vous dites que la résistance à l endettement est l un de vos principes, mais qu il n est pas nécessairement celui de l ensemble de la société et que votre responsabilité ne va pas jusque-là. Page 4 sur 6

5 Si on revient à la question de base : Quoi faire pour bien faire? On comprend bien qu il y a rarement une réponse unique. Votre client est une société dont le siège social est aux États-Unis. Vous avez le mandat de traduire les programmes d avantages sociaux destinés aux employés d un bureau au Brésil. Vous savez que la législation en matière de droit du travail aux États-Unis est différente de celle du Brésil. Option 1 Vous traduisez le texte tel qu il est écrit. Cette décision peut s appuyer sur un principe de non-interventionnisme que vous respectez en tant que traducteur. Option 2 Vous modifiez le texte cible de manière à ce qu il soit conforme avec la législation Brésilienne. Ce choix reflète la conception que vous avez de votre rôle et que celui-ci est de produire un document adapté au public cible. Option 3 Vous demandez au client de modifier son texte de départ conformément aux lois applicables au Brésil avant de le traduire. Vous assumez un rôle conseil auprès de votre client et lui proposez une solution qui aura pour effet, à terme, de lui simplifier la vie et le faire économiser au moment des mises à jour et qui pourrait vous aider à fidéliser de client. Alors, on peut se demander si ces trois réactions sont de nature strictement éthique. Voyons maintenant la dernière situation Un client pour qui vous travaillez de manière assidue depuis plus de cinq ans vous demande pour la première fois une traduction non révisée. Option 1 Vous refusez, car vous estimez être intrinsèquement responsable de fournir une traduction faite selon les règles de l art comme le stipule votre code de déontologie. Option 2 Vous acceptez et réduisez votre tarif, car vous pensez qu il est honnête de demander moins d argent pour un travail bâclé.. Option 3 Vous acceptez, mais ne réduisez pas votre tarif, puisque de toute manière vous allez réviser votre texte. Vous expliquez au client que vous ne faites pas les choses à moitié, car vous êtes un professionnel qui se respecte. Page 5 sur 6

6 Il y a encore bien d autres pistes de réflexion possible. Ainsi, vous auriezpeutêtre pu offrir de résumer le texte plutôt que de le traduire et facturer à l heure ce service qui est différent de la traduction proprement dite Si nous récapitulons La première mise en situation proposait une réflexion sur les valeurs personnelles du traducteur, la résistance au crédit, donc une vue bien personnelle de l éthique. La seconde au sujet des différences entre le texte et les besoins du public cible mettait en scène la notion d interventionnisme, suscitant cette fois une réflexion s apparentant plus à la déontologie qu à l éthique à proprement parler. Finalement, la troisième situation, faisait ressortir la complexité des relations entre client et fournisseur de services professionnels. J espère vous avoir fourni quelques pistes de réflexion et je vous laisse en vous rappelant un règle d or bien utile quand on se demande à l instar des éthiciens : Que faire pour bien faire? Mettez-vous à la place du client et traitez-le comme vous aimeriez que l on vous traite Merci de votre attention! Page 6 sur 6

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS

CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS Référence : Type de politique : Références juridiques : Autres références : INTRODUCTION Gouvernance autonome Code des professions, Code civil du Québec

Plus en détail

Nos services de traduction Qualité. Rapidité. Professionnalisme.

Nos services de traduction Qualité. Rapidité. Professionnalisme. Nos services de traduction Qualité. Rapidité. Professionnalisme. Services linguistiques Cette page a été intentionnellement laissée en blanc 1. Notre portrait 2. Nos services 3. Notre expertise 4. Nos

Plus en détail

Le Québec, terre de traduction

Le Québec, terre de traduction Le Québec, terre de traduction S il est un endroit au monde où les traducteurs ont un marché établi, c est bien le Canada. Et le Québec, au sein du Canada, jouit d une situation encore plus privilégiée.

Plus en détail

Les principes du professionnalisme

Les principes du professionnalisme 1. Au sein de la profession actuarielle, le professionnalisme signifie : l application des connaissances et du savoir-faire spécialisés de l actuaire; un comportement éthique, plus particulièrement dans

Plus en détail

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec

Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Plateforme électorale Candidature à la présidence du Conseil national des cycles supérieurs Fédération étudiante universitaire du Québec Bruno Belzile Candidat au doctorat en génie mécanique, Polytechnique

Plus en détail

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION

L INSPECTION PRÉACHAT DANS LE DOMAINE IMMOBILIER ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION POUR UNE MEILLEURE PROTECTION POUR LA QUALITÉ PANS LÀ CONSTRUCTION ÀSSOIÀTION PES CONSOMMATEURS DES ACHETEURS ET DES VENDEURS POUR UNE MEILLEURE PROTECTION IMMOBILIER DANS LE DOMAINE PRÉACHAT L INSPECTION L INSPECTION PRÉACHAT DANS

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION

Plus en détail

Devenir un employeur de choix. Utilisation du régime de pension agréé collectif pour attirer et fidéliser les meilleurs éléments

Devenir un employeur de choix. Utilisation du régime de pension agréé collectif pour attirer et fidéliser les meilleurs éléments Devenir un employeur de choix Utilisation du régime de pension agréé collectif pour attirer et fidéliser les meilleurs éléments Les propriétaires de petites et moyennes entreprises ont tout intérêt à mettre

Plus en détail

Évaluer les besoins en assurance collective

Évaluer les besoins en assurance collective La valeur ajoutée du conseiller auprès des PME par Gérard Bérubé Les produits collectifs se heurtent rapidement à la capacité de payer des participants. Il en résulte des arbitrages constants qui permettent

Plus en détail

Ville, le (date de l envoi)

Ville, le (date de l envoi) Ville, le (date de l envoi) Nom de l employeur (si vous ne le connaissez pas, renseignez-vous par téléphone) Titre de l employeur Raison sociale de l entreprise Adresse Ville (Province) code postal Monsieur

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des praticiens

Lignes directrices à l intention des praticiens Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes

Plus en détail

L e m o t d u p r é s i d e n t

L e m o t d u p r é s i d e n t Hi ver 2015 L e m o t d u p r é s i d e n t Au nom de mes collègues du Conseil d administration de l ACGL, je vous souhaite une belle et heureuse année 2015. C est avec enthousiasme que notre association

Plus en détail

UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS

UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées. Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS UFR Etudes Interculturelles de Langues Appliquées Enquête sur le marché de la traduction Evolution professionnelle des anciens du DESS/Master 2 ILTS Méthodologie Les données de ce document sont issues

Plus en détail

Fédération des Mouvements Personne D Abord du Québec

Fédération des Mouvements Personne D Abord du Québec Fédération des Mouvements Personne D Abord du Québec VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET ÉQUITABLE Bonjour, je me présente, Louise Bourgeois, présidente de la Fédération des Mouvements Personne

Plus en détail

Formation continue obligatoire

Formation continue obligatoire Formation continue obligatoire POLITIQUE (Organismes) Version décembre 2010 S E R V I C E D U D É V E L O P P E M E N T P R O F E S S I O N N E L Table des matières Section 1 : Information générale 3 1.

Plus en détail

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable

La gestion des ressources humaines, un enjeu incontournable Petit-Matin RH Adecco : «Les défis d avenir de la gestion des ressources humaines» par Florent Francoeur, CRHA Le premier Petit-Matin RH 2013 organisé par Adecco s est déroulé le 21 février dernier au

Plus en détail

On se fait une loi de vous guider

On se fait une loi de vous guider On se fait une loi de vous guider La relation client-avocat Table des matières 3 L avocat : votre allié 4 Comment le choisir? q Les services de référence 6 Bien préparé, vous êtes plus efficace 6 Une communication

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

Info-commerce : Incertitude économique mondiale

Info-commerce : Incertitude économique mondiale Info-commerce : Incertitude économique mondiale avril 2012 Panel de recherche d EDC Résultats du sondage de février 2012 Faits saillants Même si les É.-U. restent une importante destination commerciale,

Plus en détail

DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT

DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT Que devez-vous savoir sur la tutelle en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE CETTE BROCHURE A ÉTÉ RÉALISÉE

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

Code de conduite du conseiller SERVICES D ASSURANCES PEAK INC.

Code de conduite du conseiller SERVICES D ASSURANCES PEAK INC. Code de conduite du conseiller SERVICES D ASSURANCES PEAK INC. OBJET ET PORTÉE 1 Le présent Code de conduite et d éthique énonce les normes auxquelles doivent adhérer les cabinets et les conseillers lorsqu

Plus en détail

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux

Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Projet de loi C-31 Loi de mise en œuvre de l accord Canada États-Unis pour un meilleur échange de renseignements fiscaux Allocution de Darren Hannah Vice-président intérimaire, Politiques et opérations

Plus en détail

Violation du «Transitional Rule Book» (Swiss Blue Chip Segment) de SIX Swiss Exchange et de la «Blue Chip Segment Directive 19» de SIX Swiss Exchange

Violation du «Transitional Rule Book» (Swiss Blue Chip Segment) de SIX Swiss Exchange et de la «Blue Chip Segment Directive 19» de SIX Swiss Exchange Violation du «Transitional Rule Book» (Swiss Blue Chip Segment) de SIX Swiss Exchange et de la «Blue Chip Segment Directive 19» de SIX Swiss Exchange La Commission des sanctions a constaté que le participant

Plus en détail

16 Solut!ons pour planifier vos finances

16 Solut!ons pour planifier vos finances Quelles options s offrent à vous en cette saison des REER? 16 Solut!ons pour planifier vos finances Coup d œil sur les fonds communs et les fonds distincts Vous savez sûrement que vous devriez cotiser

Plus en détail

Politique de sécurité de l information

Politique de sécurité de l information 5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 Téléc. 514 843.8375 www.cpaquebec.ca Politique de sécurité de l information Émise par la Direction, Gestion des

Plus en détail

Assemblée publique annuelle 2011 3 novembre 2011 Trois-Rivières, QC. allocutions de

Assemblée publique annuelle 2011 3 novembre 2011 Trois-Rivières, QC. allocutions de 1 Assemblée publique annuelle 2011 3 novembre 2011 Trois-Rivières, QC allocutions de Bryan P. Davies Président du conseil d administration Société d assurance-dépôts du Canada et Michèle Bourque Présidente

Plus en détail

Enjeux de traduction de votre entreprise

Enjeux de traduction de votre entreprise Enjeux de traduction de votre entreprise L évolution de l activité/ l industrie de la traduction l explosion de la demande principales langues demandées le développement des outils d aide à la traduction

Plus en détail

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie)

Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Garth LARCEN, Directeur du Positive Vibe Cafe à Richmond (Etats Unis Virginie) Commentaire du film d introduction de l intervention de Garth Larcen et son fils Max, entrepreneur aux U.S.A. Garth Larcen

Plus en détail

Notre retraite : prendre en main COLLECTIVEMENT notre avenir

Notre retraite : prendre en main COLLECTIVEMENT notre avenir La responsabilité fiduciaire et l assurance responsabilité des comités de retraite : Comment s y retrouver sans perdre sa chemise Michel Gilbert, avocat Luc Brunet, B.A.A., C. D A. Ass. Notre retraite

Plus en détail

MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE

MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE MODÈLE DE PROCURATION ET NOTE EXPLICATIVE TABLE DES MATIÈRES Votre procuration est un document important Mise en garde 4 Pour bien comprendre la procuration Note explicative 6 1. Qu est-ce qu une procuration?...

Plus en détail

Votre partenaire en services de traduction

Votre partenaire en services de traduction Votre partenaire en services de traduction Qu est-ce que DaVinci Vertalingen peut faire pour vous? DaVinci Vertalingen est une agence de traduction de pointe travaillant à l échelle internationale pour

Plus en détail

Rapport sur l application de la Loi sur le courtage immobilier MAI 2015

Rapport sur l application de la Loi sur le courtage immobilier MAI 2015 Rapport sur l application de la Loi sur le courtage immobilier MAI 2015 Rapport sur l application de la Loi sur le courtage immobilier mai 2015 Ce document est imprimé sur du papier entièrement recyclé,

Plus en détail

Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE

Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice

Plus en détail

LES OBLIGATIONS D UN ADMINISTRATEUR

LES OBLIGATIONS D UN ADMINISTRATEUR LES OBLIGATIONS D UN ADMINISTRATEUR Vs avez incorporé une compagnie vs y songez sérieusement? Plusieurs bonnes raisons vs incitent en effet à exploiter votre entreprise ss une forme incorporée 1. Les compagnies

Plus en détail

UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER?

UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER? UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER? Par : Paul Mayer, du cabinet d avocats Fasken Martineau Les décisions récentes des tribunaux ont clairement démontré qu un avocat ne peut légalement

Plus en détail

Règlement intérieur du Conseil de surveillance

Règlement intérieur du Conseil de surveillance Règlement intérieur du Conseil de surveillance 1. Préambule...3 2. Rôle du Conseil de surveillance...4 2.1. Mission générale de contrôle permanent... 4 2.2. Rôle de vérification du bon exercice du pouvoir

Plus en détail

Bilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées

Bilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées Bilan des réalisations 2014 à l égard des personnes handicapées Contexte Le bilan des réalisations à l égard des personnes handicapées présente les engagements de la Société de l assurance automobile du

Plus en détail

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts

www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts www.thalesgroup.com GUIDE DE CONDUITE ÉTHIQUE DES AFFAIRES Conflit d Intérêts Sommaire Préface...p.3 Définition et types de conflit d intérêts...p.4 Comment identifier un conflit d intérêts...p.6 Exemples

Plus en détail

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives

Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002

Plus en détail

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise

Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise Le Privilège du secret professionnel des conseillers juridiques en entreprise MODÉRATEUR : Eric Simard Fasken Martineau PANÉLISTES : Martin Sheehan Fasken Martineau Anne Granger Fasken Martineau 3e Symposium

Plus en détail

Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires

Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Information et sensibilisation des consommateurs à l égard des risques importants liés aux produits hypothécaires Le Conseil canadien des autorités de réglementation des courtiers hypothécaires (CCARCH)

Plus en détail

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères

Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Politique de conformité relative à la lutte contre la corruption et la Loi sur les manœuvres frauduleuses étrangères Crawford & Compagnie et toutes ses filiales à travers le monde sont soumises à certaines

Plus en détail

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions

Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou

Plus en détail

Association science et bien commun Projet de charte

Association science et bien commun Projet de charte Association science et bien commun Projet de charte L Association science et bien commun (ASBC) est un organisme sans but lucratif enregistré au Registre des entreprises du Québec depuis juillet 2011.

Plus en détail

MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS

MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS Frédéric Crépin MANAGER POUR LA PREMIÈRE FOIS, 2004. ISBN : 2-7081-3140-0 5 Chapitre 1 idées reçues sur les managers et le management au quotidien Idée reçue n 1 : managers et salariés doivent avoir les

Plus en détail

Proposition n o 6 Abrogation de la cotisation supplémentaire. Résumé des faits

Proposition n o 6 Abrogation de la cotisation supplémentaire. Résumé des faits Proposition n o 6 Abrogation de la cotisation supplémentaire / Avril 2014 1 Proposition n o 6 Abrogation de la cotisation supplémentaire Résumé des faits Le Conseil d administration a décidé d imposer

Plus en détail

Renouveler et renégocier votre prêt hypothécaire

Renouveler et renégocier votre prêt hypothécaire Série L ABC des prêts hypothécaires Renouveler et renégocier votre prêt hypothécaire Comment prendre de bonnes décisions en matière d hypothèques Table des matières Aperçu 1 Le processus de renouvellement

Plus en détail

Sondage sur l endettement chez les jeunes

Sondage sur l endettement chez les jeunes chez les jeunes Rapport préliminaire Présenté à Madame Caroline Toupin Agente de développement et des communications 13 octobre 2009 Réf. : 1666_200910/MO/jc (514) 282-0333 1-800-474-9493 www.observateur.qc.ca

Plus en détail

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue anglaise régira à tous égards vos droits et obligations. L

Plus en détail

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme

Plus en détail

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et

Plus en détail

vos objectifs Investir pour atteindre

vos objectifs Investir pour atteindre Investir pour atteindre vos objectifs Que ce soit pour prendre une retraite confortable, effectuer un achat important, financer les études de votre enfant ou épargner en vue de laisser un legs, investir

Plus en détail

Un métier, une passion : la traduction

Un métier, une passion : la traduction Un métier, une passion : la traduction Notre collectif de traducteurs vous présente : Son équipe de travail Ses prestations Ses tarifs Et ses engagements NOTRE COLLECTIF DE TRADUCTEURS TECHNIQUES DIALINGUO

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE AUX SERVICES DE TRADUCTION

POLITIQUE RELATIVE AUX SERVICES DE TRADUCTION POLITIQUE RELATIVE AUX SERVICES DE TRADUCTION Affaires intergouvernementales Division des affaires acadiennes et francophones C.P. 58 Wellington (PE) C0B 2E0 Téléphone : 902-854-7442 Télécopieur : 902-854-7255

Plus en détail

Codes des banques 9 septembre 2009

Codes des banques 9 septembre 2009 Codes des banques 9 septembre 2009 1/16 PREAMBULE Le Code des banques a été établi par l Association des banques néerlandaises (NVB) en réponse au rapport intitulé Naar herstel van vertrouwen (vers le

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque

Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque 1 Notes d allocution de la présidente et première dirigeante de la SADC, Michèle Bourque Autorité de règlement de faillite : le nouveau rôle de la SADC CD Howe Institute 9 juin 2014 INTRODUCTION Bonjour,

Plus en détail

Document d information n o 1 sur les pensions

Document d information n o 1 sur les pensions Document d information n o 1 sur les pensions Importance des pensions Partie 1 de la série La série complète des documents d information sur les pensions se trouve dans Pensions Manual, 4 e édition, que

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

La déontologie, le courriel et la profession de counseling

La déontologie, le courriel et la profession de counseling Aide-mémoire sur la déontologie, les questions d ordre juridique, et les normes pour les conseillers Il me fait plaisir d accueillir Dan et Lawrence comme les premiers invités de la chronique Aide-mémoire.

Plus en détail

Journée sans maquillage : une entrevue entre ÉquiLibre et ELLE Québec

Journée sans maquillage : une entrevue entre ÉquiLibre et ELLE Québec Journée sans maquillage : une entrevue entre ÉquiLibre et ELLE Québec Cette semaine, Fannie Dagenais, la directrice générale d ÉquiLibre, et Louise Dugas, la rédactrice en chef reportage, culture et style

Plus en détail

LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ

LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ JEUX DU COMMERCE 2008 CAS COMPTABILITÉ FINANCIÈRE LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ Éric Déry, CA, MBA Département des Sciences comptables Université du Québec à Trois-Rivières 2007 Toute reproduction, en

Plus en détail

STEPHANE DODIER, M.B.A. Sommaire. Compétences. Formation académique 514-608- 5865. sdodier@stephanedodier.com. Stephane Dodier MBA

STEPHANE DODIER, M.B.A. Sommaire. Compétences. Formation académique 514-608- 5865. sdodier@stephanedodier.com. Stephane Dodier MBA STEPHANE DODIER, M.B.A. 514-608-5865 Sommaire J occupe le poste de Vice-Président Exécutif pour Optimum informatique, une firme de servicesconseils informatique appartenant au Groupe financier Optimum.

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

LE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable!

LE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable! Volume 2, numéro 3 Mai 2012 LE TITRE FAIT LA DIFFÉRENCE L Ordre et le MICC : un partenariat profitable! Par Caroline Soulas, chef marketing, Ordre des conseillers en ressources humaines agréés. Le ministère

Plus en détail

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant

Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Page1 Volume 4, numéro 1 Les étudiants dans le rouge : l impact de l endettement étudiant Extraits de «Endettement étudiant : État des lieux, déterminants et impacts», Fédération étudiante universitaire

Plus en détail

Bulletin. Le nouveau contrat pour administrer le RSSFP a été adjugé à la Sun Life TABLE DES MATIÈRES

Bulletin. Le nouveau contrat pour administrer le RSSFP a été adjugé à la Sun Life TABLE DES MATIÈRES N u m é r o 2 3 J a n v i e r 2 0 1 0 Bulletin Le nouveau contrat pour administrer le RSSFP a été adjugé à la Sun Life Le 24 septembre 2009, le contrat pour administrer le RSSFP a été adjugé à la Sun Life

Plus en détail

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue

Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Vingt-cinq questions posées lors d une entrevue Cette section vous propose une synthèse des questions les plus susceptibles d être posées en entrevue de sélection. Cette section peut vous aider lors de

Plus en détail

Ce que tu écris est le reflet de ta personnalité

Ce que tu écris est le reflet de ta personnalité Jour 3 Ce que tu écris est le reflet de ta personnalité Avant d envoyer un message par courriel, utilise la liste de vérification cidessous pour t assurer de produire la meilleure impression possible.

Plus en détail

Le Régime volontaire d épargne-retraite (RVER) du Québec Aperçu du régime d épargne-retraite offert par l employeur dévoilé récemment

Le Régime volontaire d épargne-retraite (RVER) du Québec Aperçu du régime d épargne-retraite offert par l employeur dévoilé récemment Le Régime volontaire d épargne-retraite (RVER) du Québec Aperçu du régime d épargne-retraite offert par l employeur dévoilé récemment Voici un résumé du projet de loi n o 80 Loi sur les régimes volontaires

Plus en détail

Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes

Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Avner Levin * * Professeur agrégé et directeur, Privacy and Cyber

Plus en détail

Dossiers personnels de l élève

Dossiers personnels de l élève Dossiers personnels de l élève Pauline Ladouceur Octobre 2008 - 2 - Principes de base à respecter: La protection des renseignements personnels repose sur trois principes de base : le nombre de renseignements

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

«Pour une pleine participation des retraités et des ainés au développement régional le modèle coopératif»

«Pour une pleine participation des retraités et des ainés au développement régional le modèle coopératif» Conférence de M. Claude Quintin Présentée lors de la journée de mobilisation et de consultation sous le thème; «Pour une pleine participation des retraités et des ainés au développement régional le modèle

Plus en détail

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under

Plus en détail

COLLOQUE ANNUEL DU CONSEIL DES SYNDICS DE FAILLITE

COLLOQUE ANNUEL DU CONSEIL DES SYNDICS DE FAILLITE COLLOQUE ANNUEL DU CONSEIL DES SYNDICS DE FAILLITE M. Marcel Turgeon Directeur de la Direction principale des services administratifs et techniques M e Nancy Morency Directrice adjointe de la Direction

Plus en détail

Régime à cotisation déterminée. On sait ce qu on met dedans; ce qu on retirera à la retraite dépend du rendement.

Régime à cotisation déterminée. On sait ce qu on met dedans; ce qu on retirera à la retraite dépend du rendement. Le Régime volontaire d épargne retraite (RVER) face au défi de la sécurité du revenu à la retraite des personnes salariées des groupes communautaires et de femmes et des entreprises d économie sociale

Plus en détail

Chapitre 5. Déontologie des représentants en assurance de dommages

Chapitre 5. Déontologie des représentants en assurance de dommages Chapitre 5 Déontologie des représentants en assurance de dommages 5.1 Le maintien de la discipline C est la Chambre d assurance de dommages (Chad) qui est chargée de faire respecter la discipline. Une

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI NOTE : Le texte que vous consultez est une codification administrative des Règlements de l'uqar. La version officielle est contenue dans les résolutions adoptées par le Conseil d'administration. RÈGLEMENT

Plus en détail

Code d'éthique de la recherche

Code d'éthique de la recherche Code d'éthique de la recherche Ce texte reprend le code d'éthique de la FPSE de l'université de Genève, avec une adaptation des références aux instances académiques. Cette version est plus particulièrement

Plus en détail

Assurance Vie en Ligne

Assurance Vie en Ligne Synthèse - Mars 2014 Benchmark concurrentiel de l expérience client en ligne e Assurance Vie en Ligne 6 sites d acteurs de référence de l Assurance Vie en Ligne plus de 7.000 internautes mobilisés www.observatoire-eperformance.com

Plus en détail

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Un juriste typique qui assume un rôle de juriste d entreprise est armé d une solide formation et expérience

Plus en détail

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?

LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,

Plus en détail

SÉMINAIRE SUR LA GESTION DU RISQUE

SÉMINAIRE SUR LA GESTION DU RISQUE SÉMINAIRE SUR LA GESTION DU RISQUE 1 MINIMUM REQUIS 1 000 000 $ ON PEUT SOUSCRIRE JUSQU À 10 000 000 $ 2 DÉTERMINATION DE LA PORTÉE DE LA PROTECTION La hausse du montant des réclamations fiscales Multiplication

Plus en détail

LOI 614.05 du 21 novembre 2006. sur la Cour des comptes LE GRAND CONSEIL DU CANTON DE VAUD

LOI 614.05 du 21 novembre 2006. sur la Cour des comptes LE GRAND CONSEIL DU CANTON DE VAUD LOI 614.05 du 21 novembre 2006 sur la Cour des comptes LE GRAND CONSEIL DU CANTON DE VAUD vu l article 166 de la Constitution du Canton de Vaud du 14 avril 2003 vu le projet de loi présenté par le Conseil

Plus en détail

Faculté des sciences de l administration Automne 2005

Faculté des sciences de l administration Automne 2005 Faculté des sciences de l administration Automne 2005 Département de finance et assurance Programmes de 1er cycle Université Laval ASR-15742 GESTION DES RISQUES ET ASSURANCE Professeur: M. Gilles Bernier,

Plus en détail

CVO14051 Le 2 septembre 2014 AVIS DE CHANGEMENT D INTERMEDIAIRE D ASSURANCES. Nouveau modèle. Note explicative 1

CVO14051 Le 2 septembre 2014 AVIS DE CHANGEMENT D INTERMEDIAIRE D ASSURANCES. Nouveau modèle. Note explicative 1 CVO14051 Le 2 septembre 2014 AVIS DE CHANGEMENT D INTERMEDIAIRE D ASSURANCES Nouveau modèle Note explicative 1 A. Introduction Le remplacement d un intermédiaire d assurances, à l initiative du client,

Plus en détail

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer

Plus en détail

Passer à un modèle services de conseils tarifés. Parlons vrai avec les clients : les frais

Passer à un modèle services de conseils tarifés. Parlons vrai avec les clients : les frais Passer à un modèle services de conseils tarifés Parlons vrai avec les clients : les frais De plus en plus d investisseurs dans le monde exigent une meilleure transparence des frais de placement. Le Royaume-Uni

Plus en détail

RBC Assurances vous entraîne vers des sommets toujours plus élevés

RBC Assurances vous entraîne vers des sommets toujours plus élevés RBC Assurances vous entraîne vers des sommets toujours plus élevés Préparez-vous à vous engager sur la voie de la croissance en augmentant votre clientèle et vos revenus. Nous offrons, à toutes les agences

Plus en détail

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing

Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Chapitre 1 Comprendre l évolution du marketing Ce que vous allez apprendre Définir le marketing et comprendre son rôle Comprendre les différentes évolutions du marketing Comprendre les nouveaux enjeux

Plus en détail

Ne vas pas en enfer!

Ne vas pas en enfer! Ne vas pas en enfer! Une artiste de Corée du Sud emmenée en enfer www.divinerevelations.info/pit En 2009, une jeune artiste de Corée du Sud qui participait à une nuit de prière a été visitée par JésusChrist.

Plus en détail

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014

SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,

Plus en détail

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR

PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.

Plus en détail

Assurances. Introduction. Objectifs d apprentissage

Assurances. Introduction. Objectifs d apprentissage Assurances Introduction Si vous possédez une automobile au Canada, vous devez avoir quelques notions de base sur l assurance. Les autres types d assurances sont semblables, mais il existe de grandes différences.

Plus en détail

La recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche?

La recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Dépôt légal - octobre 2012 Bibliothèque et archives nationales du Québec Bibliothèque et archives

Plus en détail

LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE?

LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE? LE CREDIT A LA CONSOMMATION, VECTEUR DE CROISSANCE QUEL EQUILIBRE ENTRE EFFICACITE ECONOMIQUE ET RESPONSABILITE? Michel PHILIPPIN Directeur Général de Cofinoga Notre propos concerne la rentabilité économique

Plus en détail