France Nature Environnement. Opérations pilotes pour mieux connaitre et réduire le gaspillage alimentaire
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- Jean-François Aubin
- il y a 7 ans
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1 France Nature Environnement Opérations pilotes pour mieux connaitre et réduire le gaspillage alimentaire 1
2 Sommaire Contexte... 3 Le gaspillage alimentaire en France : un scandale social, économique et environnemental3 Le gaspillage à la consommation... 3 Le gaspillage de nourriture dans le monde, du champ à l assiette... 4 Une thématique d actualité... 5 Enjeux : pourquoi s engager dans ce projet?... 5 Présentation du projet «gaspillage alimentaire»... 6 Objectifs... 6 Quels types de structures accompagnées?... 6 Déroulement des opérations :... 6 Pilotage du projet :... 7 Mise en œuvre du volet développement des connaissances... 8 Présentation des partenaires de France Nature Environnement sur l étude du gaspillage alimentaire... 9 Calendrier
3 Contexte En France, l ADEME estime le gaspillage alimentaire des ménages à 20 kilos par personne et par an, dont 7 kilos d aliments non consommés et encore emballés. (Source : Ademe, Modecom 2007). D autres études européennes confirment ces résultats éloquents. A titre d exemple, une étude britannique a estimé que 25 % des aliments achetés par les ménages sont jetés à la poubelle. Le gaspillage alimentaire en France : un scandale social, économique et environnemental Le gaspillage de nourriture constitue tout d abord un scandale éthique et social dans la mesure où la souveraineté et la sécurité alimentaire ne sont pas assurées ni dans le monde ni même en France. Pour preuve, les appels des structures d aide alimentaire se font de plus en plus alarmants 1. Le scandale est aussi économique car cette nourriture jetée à un coût financier. A l échelle des dépenses de nourritures d un foyer (maison, restaurant, ), c est une perte nette d environ 500 par an 2 alors même que 90 % des consommateurs n ont aucune idée de la quantité de nourriture qu ils jettent (étude FAO, 2009). A l échelle d un Etat, le Royaume Uni l estime à plus de 12 milliard de livres sterling. Mais ce gaspillage a aussi des impacts très importants sur l environnement car il s accompagne d un gaspillage de ressources et de pollutions inutiles. Pour sa production, cette nourriture nécessite des terres cultivées inutilement auxquelles il faut ajouter de multiples consommations de carburant, d engrais et de biocides, sans oublier toute l énergie nécessaire à son transport, sa transformation et sa distribution. Une fois à la poubelle, cette nourriture jetée revient à la charge de la collectivité. Au mieux compostée (mais uniquement s il existe un tri à la source des bio-déchets ou un système de compostage à domicile ou de proximité), elle sera le plus souvent enfouis en CET dégageant ainsi du méthane, un gaz à effet de serre très puissant, ou bien amenée dans un incinérateur, dans lequel de l énergie supplémentaire sera nécessaire à sa combustion, sans oublier là non plus des coûts environnementaux supplémentaires liés à leur transport (CO2, Nox, ). Malheureusement, le gaspillage constaté dans les poubelles des foyers n est pas le seul. Replaçons celui-ci dans un contexte plus global : Le gaspillage à la consommation Tout d abord, nous devons considérer les lieux de consommation de nourriture dans leur ensemble. La consommation a lieu à la maison certes, mais aussi dans les restaurants, dans les restaurants collectifs (entreprises, écoles, milieux hospitaliers et carcéraux, ), dans la restauration rapide, etc. La FAO estime ainsi qu en Europe le gaspillage à la consommation serait d environ 95 kg par an et par habitant (cf. partie en rouge du graphique page suivante) Source : Conseil Général de la Gironde 3
4 Le gaspillage de nourriture dans le monde, du champ à l assiette Mais prenons encore un peu de recul en suivant l exemple concret du parcours d une pomme de terre : «Dans un champ, les pommes de terre sont ramassées par des machines. Ces appareils ne les collectent pas toutes, certaines restant dans la terre. Les patates récoltées sont stockées dans un hangar. Là, elles sont triées. Celles qui ne correspondent pas à la norme sortent du circuit de production. Les autres sont acheminées dans une usine de production de frites. Avant d'être transformées, elles sont une nouvelle fois triées, certaines seront ratées lors du découpage des frites créant des pertes. Surgelées, les frites seront jetées en cas de rupture de la chaîne du froid. Dans le magasin, si la gestion des stocks n'est pas maîtrisée et que la date de péremption est dépassée, les sachets seront déversés dans une benne à ordures. Si le sachet de frites est acheté, les frites cuisinées, celles qui restent finiront, la plupart du temps, à la poubelle.» 3 Voilà comment de la culture des aliments, en passant par leur transformation, leur distribution jusqu à leur consommation final par les ménages, des pertes et gaspillages de nourriture se produisent à toutes ces étapes de la chaîne d'approvisionnement. La FAO estime ainsi qu en Europe le gaspillage total de nourriture s élèverait à environ 280 kg par personne et par an et que dans le monde, près d un tiers des aliments produits sont perdus ou gaspillés 4. Pertes et gaspillage de produits alimentaires, aux étapes de consommation et de pré-consommation, dans les différentes régions (par habitant). Etude «Global food losses and food waste FAO - mai Extrait d un artice de Sophie Guillemin paru sur Citazine 4 étude FAO ma 2011 Global food losses and food waste 4
5 Une thématique d actualité Semaine du Développement Durable, Journée mondiale de l alimentation, Semaine de la Réduction des Déchets De plus en plus de structures profitent de ces événements pour évoquer le sujet du gaspillage alimentaire. Une véritable prise en compte de ce phénomène semble par ailleurs s opérer. A titre d exemple en 2010, un groupe de travail coordonné par le ministère de l'ecologie, du Développement durable et du Transports et du Logement et par l ADEME, réunissant différents acteurs concernés par le phénomène, s est réuni pour la première fois le 8 novembre 2010 afin de définir une stratégie d action nationale sur ce sujet. FNE a publié dès juin 2010 un dossier documentaire «Gaspillage alimentaire, pourquoi et comment agir?» 5 qui dresse un état des lieux, des enjeux et des pistes pour agir contre ce phénomène. De plus, l ADEME a relancé cette année la campagne de mobilisation en faveur de la réduction des déchets, en axant la communication grand public sur le gaspillage alimentaire. Enjeux : pourquoi s engager dans ce projet? Malgré cette mobilisation et comme nous l avons évoqué ci-dessus, le gaspillage alimentaire est encore méconnu du grand public et les connaissances sur ses causes et sur les solutions pour le réduire méritent d être développées. C est pourquoi les enjeux de ce projet sont, à court terme, de : - Participer au développement général des connaissances en France sur le gaspillage alimentaire, - Identifier des pistes d actions solides, complètes et argumentées pour faciliter le déploiement d actions ultérieures, - Favoriser l émergence et la poursuite de dynamiques locales et la création de partenariats locaux (entre les associations et les collectivités ou les directions régionales de l ADEME, coopération interassociatives, etc.) A plus longue échéance, l objectif est bien sûr de réduire le gaspillage alimentaire et donc les impacts environnementaux sur les ressources et les milieux et rendre ainsi plus accessible une nourriture de meilleure qualité et améliorer la qualité de vie. 5 Pour consulter le dossier : 5
6 Présentation du projet «gaspillage alimentaire» Objectifs Le Réseau Déchets de FNE réalise un projet sur un an, ciblé sur le gaspillage alimentaire entre mai 2011 et juillet Ce projet a vocation à s inscrire dans la durée mais seuls les axes de travail de l année sont clairement identifiés. FNE souhaite à travers ce projet, développer des liens avec différents acteurs de la société, afin de les amener à s impliquer sur le sujet. Ce projet s articule autour de deux objectifs : OBJECTIF 1 : Développer et diffuser les connaissances sur le gaspillage alimentaire, ses causes, les freins à la réduction et les leviers pour le réduire. OBJECTIF 2 : Sensibiliser le grand public aux enjeux du gaspillage alimentaire. Quels types de structures accompagnées? Afin d atteindre cet objectif, des opérations pilotes sont menées par des associations locales envers 3 publics/structures cibles car ils sont à l origine d une partie importante du gaspillage alimentaire (cf. étude MAAPRAT): Les foyers, les commerçants/restaurateurs et la restauration collective Déroulement des opérations : Ces opérations se découperont en plusieurs étapes : Diagnostic : Quantifications et caractérisations (Quels types d aliments jetés, quelle quantité? A quel moment? Quelles pratiques existent déjà pour réduire le gaspillage? ) Mise en relation des constats de gaspillage avec des causes (type de procédures, type d'équipements, comportements,...) et identification de la place de chaque acteur dans le processus étudié (production/distribution/consommation) et des procédures Identification d'alternatives permettant de réduire le gaspillage et pour les restaurations collective et commerciale, des acteurs à impliquer et analyse des contraintes et points d appui pour chaque alternative. Mise en place de solutions avec mobilisation des différents acteurs de la structure dans le cas des restaurations, accompagnement et évaluation Bilan des opérations, retours sur les contraintes et opportunités de la mise en place des solutions Identification des besoins d'outils à développer 6
7 Pilotage du projet : Comité de pilotage financier Comité de pilotage technique GT Foyers témoins GT commerçants et restaurateurs GT restauration collective Comité de pilotage financier France Nature Environnement MEDDTL (ministère de l'ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.) Fondation Macif Comité de pilotage technique France Nature Environnement ADEME Réseau des Etudiant Français Engagés pour le développement durable (REFEDD) Association Nationale des épiceries solidaires (ANDES) Unis-Cité Les trois groupes de travail (GT) accueilleront : Pour chaque GT : FNE et les partenaires techniques Dans les GT appropriés : Les associations concernées par le projet Des «experts» en appui : - Mme Anne Didier-Pétremant de l'association "De mon assiette à notre planète" qui mène des opérations en restauration scolaires depuis plusieurs années. - Mme Marketa Supkova qui a étudié le gaspillage dans les métiers de la remise directe au consommateur. - Mlle Juliette Dèche qui a étudié le gaspillage et mené des opérations en restauration universitaire. greencook - Mme Catherine Rolin de FNE qui a déjà mené une opération foyers témoin. - Mme Cathy Mazerne de Corrèze Environnement qui a déjà porté une opération foyers témoin. - Mme Stéphane Berthaux, présidente de l association «la Passiflore» qui a mené des opérations pilotes avec des artisans et commerçants sur la prévention des déchets. 7
8 Mise en œuvre du projet FNE Association 1 Association 2... Structure témoin 1 Structure témoin 2 Structure témoin 3... France Nature Environnement assure la coordination entre les associations participant au projet permettant ainsi la circulation de l information et le suivi des différentes opérations suivant des modalités définies en groupes de travail. 8
9 Présentation des partenaires de France Nature Environnement sur l étude du gaspillage alimentaire La Fondation MACIF crée, développe, soutient et accompagne des projets relevant de l innovation sociale, avec une attention particulière portée aux problématiques environnementales. Depuis octobre 2011, la Fondation Macif est partenaire du projet de France Nature Environnement «Gaspillage alimentaire, pourquoi et comment agir». L Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Energie, participe à la mise en œuvre des politiques publiques dans les domaines de l'environnement, de l'énergie et du développement durable. Elle accompagne techniquement FNE et ses associations membres dans la sensibilisation du grand public sur la réduction à la source des déchets en général et sur la lutte contre le gaspillage alimentaire en particulier. Le MEDDTL : Dans la continuité de son étude sur le gaspillage alimentaire, le ministère de l'ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement souhaite poursuivre son travail et être partie prenante du projet en cours. Andes : Le réseau des épiceries sociales et solidaires souhaite que l aide alimentaire reste une démarche temporaire et milite pour une alimentation de meilleure qualité. La réduction du gaspillage alimentaire doit ainsi permettre de dégager des marges financières pour contribuer à l aide alimentaire. Le REFEDD (Réseau français des étudiants pour le développement durable) cherche à sensibiliser les étudiants aux questions du développement durable et notamment sur le gaspillage alimentaire. Le réseau a mené des actions d évaluation et de sensibilisation au gaspillage alimentaire en novembre et décembre 2011 dans 3 restaurants collectifs principalement fréquentés par des étudiants et souhaite élaborer un guide sur le sujet en
10 Association à but non lucratif, indépendante et laïque, Unis-Cité a été créée fin 1994 afin d organiser et de promouvoir l idée d un Service Civique en France. En 2008, partant du constat qu une fracture verte se creusait et que les populations les plus modestes étaient peu touchées par les discours de sensibilisation aux enjeux environnementaux, Unis-Cité a lancé le projet «Les MédiaTerre» : des jeunes en Service Civique qui vont dans les quartiers d habitat social accompagner sur la durée des familles volontaires à adopter des éco-gestes, qui permettent à la fois de protéger la planète et de faire des économies, sur des thématiques comme l eau, l énergie ou encore les déchets et la consommation responsable Calendrier Janvier - février 2012 : Elaboration de 3 méthodologies, en s inspirant de la boîte à outils de l ADEME sur le gaspillage alimentaire 6 et d'opérations déjà menées : - 1 méthodologie pour des opérations foyers témoins spéciales «gaspillage alimentaire» - 1 méthodologie pour les opérations en restauration collective - 1 méthodologie pour les opérations en restaurants/commerces alimentaires (enquête sur les freins et les leviers à la réduction du gaspillage alimentaire) Mars - juin 2012 : Ces méthodologies seront ensuite testées par des associations membres de FNE et certains partenaires du projet lors d opérations pilotes. Juillet - septembre 2012 : Retours d expériences des opérations pilotes réalisées. Valorisation des différentes étapes (validées) des opérations (caractérisation, identification des causes et solutions, retours sur mise en place éventuelles de pratiques) Identification des outils nécessaires pour sensibiliser les différents publics au gaspillage alimentaire Réalisation par FNE des outils ainsi identifiés en accord avec tous les partenaires du projet
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