VPH: MIEUX LE COMPRENDRE POUR MIEUX LE PRÉVENIR!

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2 VPH: MIEUX LE COMPRENDRE POUR MIEUX LE PRÉVENIR! MARC STEBEN, M. D., C.C.M.F., F.C.M.F. Médecin conseil, Unité des infections transmissibles sexuellement, Institut national de santé publique du Québec

3 Objectifs de la présentation Comment peut-on prévenir l infection au VPH? Comment peut-on traiter le VPH? Qui devrait se faire vacciner? Quels sont les risques de se faire vacciner?

4 Évolution naturelle d une infection génitale par le VPH Infection Confinement dans la cellule = aucune excrétion virale mais persistance virale 1 ère lésion: condy ou pap anormal Réponse immunitaire Temps moyen de séroconversion 9 mois Rémission clinique soutenue Comment bloquer l entrée du VPH Incubation (1 à 6 mois) Croissance active (3 à 6 mois) Stade tardif Confinement dans la cellule (3 à 6 mois) Infection persistante ou récurrente VPH à faible risque = 6 à 8 mois VPH à risque élevé = 12 à 18 mois

5 Les limites de la prévention primaire Inclut les moyens à appliquer avant l exposition pour diminuer le risque d infection Pratiquer l abstinence Réduire le nombre de partenaires Retarder la première relation sexuelle Avoir des pratiques sexuelles plus sécuritaires Choisir une méthode de contraception barrière (condom) ou chimique (spermicides) Mais rien de tout ceci fonctionne pour le VPH aussi bien que Vacciner les populations cibles

6 Évolution naturelle d une infection génitale par le VPH Infection Confinement dans la cellule = aucune excrétion virale mais persistance virale 1 ère lésion: condy ou pap anormal Réponse immunitaire Temps moyen de séroconversion 9 mois Rémission clinique soutenue Incubation (1 à 6 mois) Comment limiter les conséquences du VPH Croissance active (3 à 6 mois) Stade tardif Confinement dans la cellule (3 à 6 mois) Infection persistante ou récurrente VPH à faible risque = 6 à 8 mois VPH à risque élevé = 12 à 18 mois

7 Les limites de la prévention secondaire Inclut les moyens à appliquer après l exposition potentielle pour diminuer la durée de l infection Mieux étudiés pour les infections bactériennes à déclaration obligatoire telles la gonorrhée, la chlamydiase et la syphilis et pour l infection à VIH - la reconnaissance signes et symptômes - la consultation rapide - la détection précoce - le traitement adéquat - le dépistage adéquat - le traitement épidémiologique des contacts - la prophylaxie post-exposition Mais rien de tout ceci fonctionne pour le VPH sauf le dépistage du cancer du col!

8 Objectifs de la présentation Comment peut-on prévenir l infection au VPH? Comment peut-on traiter le VPH? Qui devrait se faire vacciner? Quels sont les risques de se faire vacciner?

9 Évolution naturelle d une infection génitale par le VPH Infection Confinement dans la cellule = aucune excrétion virale mais persistance virale 1 ère lésion: condy ou pap anormal Réponse immunitaire Temps moyen de séroconversion 9 mois Rémission clinique soutenue Incubation (1 à 6 mois) Comment se débarrasser du VPH Croissance active (3 à 6 mois) Pas de traitement qui tue le VPH La majorité des traitements détruit la lésion Comment éviter que le VPH se réveille? Stade tardif Confinement dans la cellule (3 à 6 mois) Infection persistante ou récurrente

10 Traitements Chimiques contre les lésions : - ATA et podophyllotoxine Physiques : - Cryothérapie, laser, électricité, chirurgie Immunologiques : - Imiquimod

11 Objectifs de la présentation Comment peut-on prévenir l infection au VPH? Comment peut-on traiter le VPH? Qui devrait se faire vacciner? Quels sont les risques de se faire vacciner?

12 Une déclaration d un comité consultatif (DCC) Comité consultatif national de l immunisation (CCNI) MISE À JOUR SUR LES VACCINS CONTRE LE VIRUS DU PAPILLOME HUMAIN (VPH) Janvier 2012 Comité consultatif national de l immunisation, «Une déclaration d un comité consultatif (DCC) : Mise à jour sur les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH)», RMTC, 37, 2012, [En ligne],

13 Recommandations Filles et femmes de 9 à 26 ans Population Filles de 9 à 13 ans Femmes de 14 à 26 ans Remarques Âge qui précède le début de l activité sexuelle pour la plupart des filles et au cours duquel les avantages potentiels sont les plus grands. L efficacité du vaccin n a pas été démontrée pour ce groupe d âge; les preuves indirectes en matière d immunogénicité indiquent que l efficacité sera élevée. Les femmes peuvent également tirer des bienfaits du vaccin, même si elles sont déjà sexuellement actives, car elles peuvent ne pas encore être atteintes d une infection à VPH. Il est fort peu probable qu elles aient été infectées par tous les types du VPH contenus dans le vaccin. Femmes de 14 à 26 ans qui ont déjà présenté des anomalies au test de Pap, y compris le cancer du col de l utérus et les VGE Ces femmes peuvent ne pas avoir contracté une infection par les types de VPH contenus dans le vaccin Ces femmes pourraient tout de même bénéficier de recevoir le vaccin contre les types auxquels elles n ont pas été exposées Elles devraient être avisées qu il n existe aucune donnée permettant de supposer que le vaccin aura un effet thérapeutique sur les infections au VPH ou les lésions cervicales existantes Janvier 2012 Comité consultatif national de l immunisation, «Une déclaration d un comité consultatif (DCC) : Mise à jour sur les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH)», RMTC, 37, 2012, [En ligne],

14 Recommandations Femmes de plus de 26 ans Population Femmes de plus de 26 ans Remarques Les femmes âgées de 24 à 45 ans qui sont probablement déjà sexuellement actives et qui ont déjà eu ou non un résultat anormal au test de Pap, y compris un cancer du col de l utérus, ou des verrues génitales ou toute autre infection connue au VPH, tireraient tout de même des avantages de l administration du VPH4. Un second pic de prévalence de l ADN du VPH est observé chez les femmes de 45 ans ou plus. Bien que le second pic soit réduit par comparaison au sommet élevé chez les femmes plus jeunes, le risque n est pas négligeable. La vaccination de femmes adultes non-immunisées contre le VPH pourrait réduire le risque de contracter une infection à VPH plus tard dans la vie. Ces femmes devraient être averties de la possibilité qu elles soient déjà infectées par un type du VPH visé par le vaccin. Les femmes doivent être avisées qu il n existe aucune donnée permettant de supposer que le vaccin aura quelque effet thérapeutique que ce soit sur les infections par les types 16 et 18 du VPH et les lésions cervicales préexistantes. Les femmes devraient être averties qu elles doivent continuer de participer aux programmes de dépistage du cancer du col de l utérus. Janvier 2012 Comité consultatif national de l immunisation, «Une déclaration d un comité consultatif (DCC) : Mise à jour sur les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH)», RMTC, 37, 2012, [En ligne],

15 Recommandations Garçons et hommes de 9 à 26 ans Population Garçons et hommes de 9 à 26 ans Remarques La vaccination au moyen de Gardasil entre les âges de 9 et 13 ans, avant le début de l activité sexuelle, est recommandée afin de maximiser l efficacité du vaccin. Les hommes âgés de 14 à 26 ans peuvent également tirer des bienfaits de Gardasil même s ils sont déjà sexuellement actifs, puisqu ils n ont peut-être pas encore contracté une infection à VPH et qu il est très peu probable qu ils aient déjà été infectés par les quatre types visés par le vaccin. Ces hommes devraient être avertis de la possibilité qu ils soient déjà infectés. Bien que Gardasil ne soit pas actuellement indiqué pour la prévention des néoplasies intraépithéliales péniles, périnéales ou périanales, les résultats des études cliniques indiquent une bonne efficacité (85,6 %) contre l infection persistant plus de 6 mois, un important précurseur du développement de la maladie. Hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HARSH) âgés de 9 ans ou plus L administration précoce du vaccin Gardasil conférerait des avantages maximum, particulièrement puisque les HARSH pourraient devenir infectés par le VPH plus rapidement en raison du taux élevé d infection dans la population. Ces hommes devraient être avertis de la possibilité qu ils soient déjà infectés. Janvier 2012 Comité consultatif national de l immunisation, «Une déclaration d un comité consultatif (DCC) : Mise à jour sur les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH)», RMTC, 37, 2012, [En ligne],

16 Recommandations Personnes immunodéprimées Population Personnes immunodéprimées par suite d une maladie ou d un traitement médicamenteux Remarques Puisque ce ne sont pas des vaccins vivants, ils peuvent tous deux être administrés. L immunogénicité et l efficacité de ces vaccins n ont pas été entièrement déterminées dans cette population, par conséquent ces personnes pourraient ne pas tirer avantage de ces vaccins. Des études supplémentaires sont requises. Janvier 2012 Comité consultatif national de l immunisation, «Une déclaration d un comité consultatif (DCC) : Mise à jour sur les vaccins contre le virus du papillome humain (VPH)», RMTC, 37, 2012, [En ligne],

17 Couverture vaccinale au Québec ème primaire (2 doses, 0 et 6 mois) 80% (70-94%) 76% (64-92%) 78% (66-93%) 3 ème secondaire (3 doses) 81% (70-92%) 76% (62-92%) 77% (67-96%)

18 Objectifs de la présentation Comment peut-on prévenir l infection au VPH? Comment peut-on traiter le VPH? Qui devrait se faire vacciner? Quels sont les risques de se faire vacciner?

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20 Surveillance de l innocuité du vaccin après l obtention du permis Les effets secondaires reportés ne sont pas plus fréquents par rapport à d autres vaccins Slade et al, JAMA 2009

21 Les experts réaffirment l innocuité du vaccin Gardasil 1. EMEA statement on the safety of GARDASIL. EMEA/CHMP/103339/ last accessed on Centers for Disease control website. Available at: last accessed on RELEVE EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE, No. 15, 2009, 84, 4. Press release Spain MINISTERIO DE SANIDAD Y POLÍTICA SOCIAL

22 Fin de l étude: suivi moyen de 42 mois. Arrêt décrété par le comité de surveillance car non éthique de continuer Efficacité contre les lésions de haut grade du col causées par les VPH : Per-protocol = 98% (95% CI: ) Efficacité contre les lésions de haut grade de la vulve et du vagin causées par les VPH : Per-protocol = 100% (95% CI, )

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24 Impact en Australie Anomalies cervicales importantes - 47,5 % p= Début du programme de vaccination (2007) 2010 Une réduction relative ~50 % observée dans ce groupe d âge, après la vaccination comparé à avant la vaccination, à peine 3 ans après l introduction et la tendance continue¹ Premières tendances semblables observées aux É-U lors de Pap anormaux² Brotherton J et al. Lancet Gross et al. J Pediatr Adolesc Gynecol 2010

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26 Et un parent rassuré!

27 Plan pour l action! L efficacité du vaccin est nulle dans le frigo Reconnaître le droit à la santé sexuelle Reconnnaître le caractère unique de cette arme contre les cancers

28 Nous avons 2 excellents moyens de prévention Plusieurs spécialistes de maladies sont jaloux car : - On aimerait avoir un vaccin contre le VIH ou le cancer du sein - On aimerait avoir un test de prédiction du risque de cancer avant l apparition du cancer et on en a 2 en prévention du cancer du col!

29 Moi j aime les condylomes! C est tout pour ce soir! Merci!

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