Les abcès amibiens hépatiques: à propos de 14 cas

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les abcès amibiens hépatiques: à propos de 14 cas"

Transcription

1 Les abcès amibiens hépatiques: à propos de 14 cas G Jabot (1), M Roux (1), P Fernandez (1), M Tissier (1), C Rioux (2), E Schouman-Claeys (1). CHU Bichat Claude Bernard. Paris VII. 1 Service d imagerie médicale. 2 Service des maladies infectieuses et tropicales.

2 Généralités Etude rétrospective d observations de patients pris en charge au CHU Bichat Claude Bernard entre 2006 et 2011 pour des abcès amibiens. Diagnostic final posé sur les données à la fois clinique, biologique et morphologique. Variables étudiées multiples: Age Sexe Notion d un séjour en zone d endémie et origine du patient Critères cliniques Critères biologiques Critères morphologiques

3 Résultats 14 patients. Sexe ratio (H/F): 11/14 soit un pourcentage de 78,6% d homme. Age moyen: 50,8 ans pour une tranche d âge comprise entre 31 et 71 ans. Origine: 6 français, 1 péruvien, 2 africains, 1 guadeloupéen et 1 indien, 3 d origine indéterminée (Dossiers cliniques non retrouvés pour 2 patients, origine d un patient non mentionnée dans le dossier clinique). Séjours en zone d endémie: chez les 6 patients français,2 ont voyagés en Afrique, 1 dans les Caraïbes et 3 en Inde.

4 Résultats Clinique: Résultats retrouvés chez 12/14 patients: Hyperthermie chez 12 patients avec un moyenne de 39. Douleur: Hépatalgie: 2 Douleur de l hypochondre droit: 6 Douleur abdominale diffuse: 1 Douleur de la pointe du cœur: 1 Douleur de la FID: 1 Absence de douleur:1 ( fièvre isolée) Troubles digestifs ( diarrhée) au moment de la consultation: 3. On note chez 2 patients un antécédent d amibiase digestive traitée deux ans auparavant et un épisode de diarrhée chez 2 patients pendant leur séjour en zone d endémie.

5 Résultats Biologie Syndrome inflammatoire biologique chez les 12 patients avec une hyperleucocytose et une CRP élevée. Cholestase: 9/12 patients. Cytolyse: 5/12 patients. Sérologie amibienne positive: 14/14 patients.

6 Résultats Imagerie Abcès amibien présent en imagerie le jour du bilan. Anomalies morphologiques retrouvées au cours du bilan d imagerie soit par échographie, scanographie ou IRM. Points communs. Absence d imagerie à notre disposition pour un patient, ayant fait son bilan en Ukraine, seul le compte rendu nous a été transmis.

7 Résultats Points communs: Atteinte du foie droit (+++ segment VIII) avec une topographie périphérique sous capsulaire majoritairement Lésion unique; seul un patient présentait deux lésions synchrones Taille volumineuse avec une moyenne de 7,6 cm et un écart type de 4 à 14cm Contours réguliers ou lobulés Capsule fine rehaussée au temps artériel Oedème péri lésionnel Contenu homogène, sans cloison 7 thromboses des branches portales distales au contact de l abcès, et une thrombose d une veine hépatique droite Troubles de perfusion chez 5 patients Atteinte du tube digestif concomitante chez 8 patients

8 Nombre et topographie Atteinte du foie droit, plus particulièrement au niveau du segment VIII avec une topographie sous capsulaire majoritairement Lésion unique; seul un patient présentait deux lésions

9 Abcès hépatique unique siégeant dans le foie droit Scanner hélicoïdal après injection au temps portal +

10 Abcès hépatique unique siégeant dans le foie droit Scanner hélicoïdal après injection au temps portal +

11 Seul cas de notre série présentant deux abcès amibiens synchrones : Un de topographie habituelle dans le foie droit et un autre dans le foie gauche Scanner hélicoïdal après injection au temps portal.

12 Taille Taille volumineuse avec une moyenne de 7,6 cm et un écart type de 4 à 14cm

13 14 cm de grand axe Echographie hépatique 10 cm de grand axe + Scanner hélicoïdal après injection au temps portal 5 cm de grand axe 8 cm de grand axe

14 Contours Contours réguliers ou lobulés

15 Contours réguliers Absence de cloison Scanner hélicoïdal après injection au temps portal + Echographie hépatique

16 Contours lobulés Absence de cloison Scanner hélicoïdal après injection au temps portal IRM hépatique après + au temps artériel Echographie hépatique

17 Capsule Capsule fine rehaussée au temps artériel

18 Résultats Après injection, dès le temps artériel, on retrouve une prise de contraste périphérique sous la forme d un liseré dense prenant l aspect d un «anneau».cet anneau correspond à la paroi de l abcès.(2)

19 IRM hépatique après injection au temps artériel + Capsule périphérique fine rehaussée dès le temps artériel Scanner hélicoïdal au temps portal: persistance d une fine capsule

20 Oedème péri-lésionnel œdème péri lésionnel

21 Résultats Le liseré précédemment décrit est cerné par une plage hypodense d œdème réalisant alors une image en cible, qui correspond à la zone d inflammation péri lésionnelle.(2)

22 œdème péri lésionnel Scanner hélicoïdal après injection au temps portal

23 Thrombose veineuse 7 thromboses des branches portales distales au contact de l abcès, et une thrombose d une veine hépatique droite.

24 Thrombose d une branche de la veine hépatique droite. Scanner hélicoïdal après injection au temps portal

25 Secteur postérieur droit Thrombose distale des branches intra-hépatiques de la veine porte droite au contact des abcès. + Secteur antérieur droit Scanner hélicoïdal après injection au temps portal

26 Trouble de la perfusion 5 patients présentaient des troubles de la perfusion

27 Résultats On retrouve chez 30 à 67% des patients, un trouble de perfusion avec une prise de contraste dès le temps artériel autour de l abcès, transitoire et segmentaire.(2) Cette zone correspond à une zone d obstruction portale due à l inflammation aigue qui infiltre les espaces portes au contact de la zone abcédée et qui provoque alors une hyper artérialisation hépatique focale.(2) Ces troubles de la perfusion n ont pas été retrouvés chez l ensemble des patients présentant une thrombose portale distale, car tous les patients n ont pas eu de scanner au temps artériel.

28 Troubles de la perfusion Scanner hélicoïdal après injection au temps artériel

29 Troubles de la perfusion Scanner hélicoïdal après injection au temps artériel

30 Atteinte digestive concomitante Atteinte du tube digestif concomitante chez 8 patients.

31 Résultats La symptomatologie digestive n est pas forcément présente au moment de l épisode d amibiase hépatique. Dans notre étude, 3 patients avaient des troubles digestifs ( diarrhée) au moment de la consultation. 2 patients avaient un antécédent d amibiase digestive traitée deux ans auparavant et 2 patients avaient eu un épisode de diarrhée pendant leur séjour en zone d endémie.

32 Résultats L aspect en imagerie se traduit par une colite, avec une prise de contraste intense de la muqueuse et un œdème de la sous muqueuse, Il s y associe une infiltration de la graisse péri colique et des ganglions de la chaine iléo-colique. A noter chez un patient ( patient n 3) une atteinte caecoappendiculaire, qui aurait pu porter à confusion sur le diagnostic final. On aurait pu évoquer, en l absence de contexte évocateur, une appendicite aigue compliquée d un abcès hépatique à pyogène.

33 n 1 + Scanner hélicoïdal après injection au temps portal Atteinte du colon droit et notamment du bas fond caecal, infiltration du méso colon et ganglions péricoliques.

34 n 1 + Scanner hélicoïdal après injection au temps portal Colite droite associée à une infiltration de la graisse péricolique et de multiples ganglions de la chaine iléo-colique.

35 n 2 + Scanner hélicoïdal après injection au temps portal Atteinte du colon droit et notamment du bas fond caecal et ganglions de la chaine iléo-colique.

36 n 3 + Atteinte du bas fond caecal associée à une atteinte appendiculaire, une infiltration de la graisse et des ganglions de la chaine iléo-colique. Scanner hélicoïdal après injection au temps portal

37 Discussion L abcès amibien est le plus fréquent des abcès dans le monde (2). On estime que 10% de la population mondiale est touché (6). Les pays pourvoyeurs de cette infection sont situés dans des régions d endémie chaudes et humides, comme l Inde, l Afrique sub saharienne et l Amérique centrale (5, 6). L abcès hépatique amibien est la plus fréquente des atteintes extra intestinales compliquant l amibiase, évaluée à environ 8,5%.(5). Elle est toujours secondaire à une amibiase colique. Elle est due à l embolisation d E. histolytica histolytica dans le foie par la veine porte entraînant une nécrose focale, puis un abcès (6,7). On retrouve dans notre série, une prédominance masculine relevée également par d autres auteurs (1).

38 Discussion Classiquement l amibiase hépatique réalise la triade de Fontan caractérisée par une hépatomégalie douloureuse et une hyperthermie (6,7). L hyperthermie quasi constante ( chez 70 à 100% des patients) à 39, en plateau, a été retrouvée chez 100% de nos patients (6). La douleur sous costale droite est le signe principal (retrouvée chez 70 à 100% des patients) (6). Elle peut être spontanée ou majorée à l ébranlement du foie, avec une irradiation à l épaule. Symptôme retrouvé chez 67% de nos patients. Parfois, seule la fièvre est présente (6).

39 Discussion Certains patients peuvent présenter une symptomatologie digestive à type de diarrhée lors de l infestation. On retrouve une diarrhée avec ou sans sang dans 30 à 50% des cas (6). Dans 2/3 des cas, il n y a aucun symptôme intestinal, qui permet d évoquer une atteinte digestive initiale. Soit car il n y en a jamais eu, soit par ce que les symptômes ont disparus depuis plusieurs semaines, soit par ce qu ils sont passés inaperçus ( diarrhée sanglante interprétée par les voyageurs comme une simple «tourista») (3).

40 Discussion On retrouve chez l ensemble des sujets une hyperleucocytose ainsi qu une élévation de la CRP en rapport avec un syndrome inflammatoire, comme dans la littérature (6). Certains patients présentent également une perturbation du bilan hépatique comme dans notre étude. La cholestase et la cytolyse sont modérées quand elles sont présentes (6).

41 Discussion Malgré un examen clinique évocateur, l imagerie sur les données échographiques complétées par un scanner, ou éventuellement une IRM, permet d orienter le diagnostic dans un contexte infectieux (2,3). La majorité des patients ont un scanner, même si l échographie est un examen d imagerie suffisant pour évoquer le diagnostic (1). Le scanner est souvent réalisé avant d avoir évoqué le diagnostic, il est alors réalisé devant un tableau d urgence abdominale, devant une suspicion d abcès à pyogène, ou s il n y a pas d amélioration clinico-biologique, dans le but, alors, de réaliser une ponction ou un drainage.

42 Discussion Les résultats morphologiques, que nous avons noté, sont similaires à ceux retrouvés dans la littérature, à savoir une masse unique du foie droit, périphérique, arrondie ou lobulée avec une coque périphérique fine qui se rehausse dès le temps artériel, et une plage d œdème péri lésionnel en rapport avec l inflammation réalisant un aspect en cible (2,3,8). On note également, chez quelques patients, des troubles de perfusion transitoires segmentaires hépatiques, au temps artériel correspondant à des obstructions portales dues à l inflammation aigue infiltrant les espaces portes adjacents à la zone abcédée.

43 Discussion On évoquera donc, le diagnostic d abcès amibien (8), devant : un abcès unique (85% des cas), de localisation périphérique, du foie droit, ( lobe droit: 78%, lobe gauche:13%) de grande taille, de forme ronde ou ovalaire, des contours bien définis ou lobulés, une paroi fine rehaussée dès le temps artériel, avec un œdème péri lésionnel, chez un patient ayant séjourné en pays endémique.

44 Discussion Devant la découverte d un abcès hépatique chez un patient ayant séjourné en zone d endémie, on réalisera une sérologie amibienne. Plusieurs techniques sont utilisées: la technique Elisa, méthode la plus utilisée en France, positive dans 90% des cas (3),l hémagglutination indirecte ( HAI),le test d agglutination sur lame des particules de latex, l immunofluorescence et l électrosynérèse (7). Les tests réalisés par le SMIT( service des maladies infectieuses et tropicales) de l hôpital Bichat regroupent la technique Elisa, le test d hémagglutination indirect et le test d agglutination.

45 Discussion Si le test s avère négatif et qu il existe une forte suspicion d amibiase hépatique il faudra renouveler la sérologie 7 jours après. Chez l ensemble de nos patients, le test fut positif d emblée. A noter que l examen des prélèvements hépatiques par ponction à l aiguille fine n est pas informatif car les trophozoides ne sont que rarement observés dans la lésion, les cultures ne sont donc pas sensibles (3).

46 Discussion La taille de l abcès diminue très lentement, la surveillance morphologique ne doit donc pas être trop rapprochée. La disparition de l abcès se fait, en général, en 6mois, mais il peut persister pendant 1an chez 10% des patients (3). Il n a pas été montré que la ponction et/ou le drainage percutané associé au traitement médical était supérieur au traitement médical seul (3), sauf par certains auteurs (1).

47 Discussion Le traitement de l amibiase hépatique se fait par un amoebicide tissulaire à base de 5-nitro-imidazolés comme le métronidazole ( flagyl ) pour une durée de 10 jours ou par tinidazole pour une durée de 5 jours ;ainsi qu un amoebicide de contact l hydroxyquinoline comme le tiquinol+tilbroquinol ( Intétrix ) ( 7). Tous nos patients ont été adressés au SMIT et traités médicalement. Les patients sont traités, au début, en l absence de preuve sérologique par une double antibiothérapie à type de ceftriaxone (rocéphine ) +métronidazole (flagyl ) en attendant le résultat de la sérologie amibienne, puis par du flagyl pour une durée totale de 10 jours, suivie de 10 jours d intétrix.

48 Discussion Devant un tableau typique, la ponction à visée diagnostique est superflue, sauf dans certaines situations (cf. ci-après) et la ponction à visée thérapeutique n est pas systématique (4). La ponction de l abcès n est à envisager (1,3,4): que pour éliminer un abcès à pyogène (en général multiples, terrain particulier, absence de voyage en zone d endémie), devant la gravité de l état clinique où un traitement antibiotique devra être instauré en plus du métronidazole avant le résultat de la sérologie, ou en l absence d amélioration clinique après 3 à 5 jours de traitement par métronidazole.

49 Discussion Drainage envisagé: dans les formes compliquées, dans les menaces de rupture imminente par exemple lorsque la lésion est située dans le foie gauche et qu elle risque de se rompre dans le péricarde ou la plèvre (4, 6). Le drainage chirurgical est exceptionnel, réalisé dans les formes compliquées telles que la rupture dans le péritoine (1).

50 Scanner hélicoïdal après injection au temps portal Ponction-drainage d un abcès hépatique chez un patient de 55 ans, présentant plusieurs abcès coalescents du foie droit, sans notion de voyage en zone d endémie dont l état ne permettait pas d attendre les résultats de la sérologie. Au final: abcès à pyogène. +

51 Discussion Le principal diagnostic différentiel est l abcès à pyogène. Il peut être d origine biliaire dans 30 à 70% des cas ( atteinte des 2 lobes dans 90% des cas), portale dans 15 à 20% des cas ( atteinte du lobe droit dans 65% des cas et du lobe gauche dans 12% des cas) ou hématogène (8). Le terrain est en général différent, les patients sont plus âgés (plus de 55 ans), suivis pour un diabète, une néoplasie, après transplantation hépatique et parfois dénutris (6,9). Les causes les plus fréquemment retrouvées sont la diverticulite ( origine portale) et l angiocholite (origine biliaire) (6,8).

52 Discussion En imagerie, les abcès à pyogène sont le plus souvent caractérisés par des atteintes hépatiques multiples (3,6),devant notamment une porte d entrée biliaire et portale, et une atteinte plutôt unique et volumineuse devant une origine hématogène(8). L aspect typique en imagerie correspond à la coalescence de plusieurs petits abcès formant un large abcès avec des septa et une coque rehaussés après injection. On retrouve dans moins de 20% de l air au sein de ces abcès( 8). Le traitement de choix correspond à l association d un traitement antibiotique et un drainage percutané (abcès> 5cm) qui traite environ 72 à 90% des patients (6).

53 Scanner hélicoïdal après injection au temps portal + Multiples abcès hépatiques coalescents plus ou moins cloisonnés. Sérologie amibienne négative Abcès ponctionné: abcès à pyogène

54 Conclusion L abcès du foie présente deux problèmes principaux pour le clinicien, en faire le diagnostic rapidement (en effet le diagnostic tardif s accompagne d une mortalité élevée), et le traiter de façon la plus adaptée possible (2). L abcès amibien est l abcès le plus fréquent au monde. Il faut savoir l évoquer chez un patient présentant la triade de Fotan et revenant d un séjour en zone endémique. L imagerie aidera au diagnostic, mais celui-ci sera posé sur les données de la sérologie. Le radiologue devra émettre l hypothèse d abcès amibien dans sa conclusion devant les critères d imagerie que nous avons cités dans cette étude. Les gestes interventionnels ne seront pas utiles dans la majorité des cas mais certaines situations compliquées ou atypiques mènent à la ponction à l aiguille fine ou au drainage.

55 Bibliographie 1: Djossou F, Malvy D, Tamboura M, Beylot J, Lamouliatte H, Longy-Boursier M, Le Bras M and all. Amoebic liver abscess. Study of 20 cases with literature review. Rev Med Interne 2003 Feb;24(2): : Tasu JP, Moumouh A, Delval O, Hennequin J.Liver bacterial radiologist view point on bacterial liver abscess: from diagnosis to treatment. Gastroenterol Clin Biol May;28(5): : Vuitton DA, Bresson-Hadni S, Delabrousse E, Mantion GA. Liver and parasitic diseases.gastroenterol Clin Biol Nov;28(11): : Dupont-Gossart AC, Delabrousse E, Bresson-Hadni S. Amoebic liver abcess. Gastroenterol Clin Biol Nov;28(11): : Mortelé KJ, Segatto E, Ros PR. The infected liver: radiologic-pathologic correlation. Radiographics Jul- Aug;24(4): : Cosme A, Ojeda E, Zamarreño I, Bujanda L, Garmendia G, Echeverría MJ, Benavente J. Pyogenic versus amoebic liver abscesses. A comparative clinical study in a series of 58 patients. Rev Esp Enferm Dig Feb;102(2): : Pierre Aubry. Amoebose (amibiase) Actualités Médecine tropicale: diplôme de médecine tropicale des pays de l océan indien sept; 8: Federle MP, Brooke Jeffrey R, Anne VK. Imaging diagnostic: Abdomen.Saunders Dec; II-1: : Perez JY. Amoebic liver abscess: revisited. Phil J Gastroenterol 2006; 2: : Sharma MP, Ahuja V. Amoebic Liver Abscess. JIACM 2003; 4(2):

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile

TVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé

chronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression

Plus en détail

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte

compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris

Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Troubles digestifs au retour de voyage Diarrhée (> 2 selles/j de consistance anormale)

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad

Plus en détail

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes

Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»

INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque

Plus en détail

IRM du Cancer du Rectum

IRM du Cancer du Rectum IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris

Plus en détail

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur, Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

Les définitions des saignements ACS/PCI

Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de

Plus en détail

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques

Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016

Plus en détail

TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie

TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)

Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie

Plus en détail

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours

Plus en détail

Incontinence anale du post-partum

Incontinence anale du post-partum Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop

Plus en détail

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT

LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé

e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire

La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013

TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline

Plus en détail

Christian TREPO, MD, PhD

Christian TREPO, MD, PhD PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)

PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Vertiges et étourdissements :

Vertiges et étourdissements : : comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n

Plus en détail

Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble

Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Parasitoses digestives : lambliase, taeniasis, ascaridiose, oxyurose, amibiase, hydatidose (100) Docteur François DURAND, Docteur Marie-Pierre BRENIER-PINCHART, Professeur Hervé PELLOUX Avril 2004 (Mise

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients

Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS)

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU

Plus en détail

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR

Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables

Plus en détail

Sport et traumatisme crânien

Sport et traumatisme crânien Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité

Plus en détail