Intervenir efficacement sur le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives chez les toxicomanes judiciarisés.
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- Jean-Paul Primeau
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1 Intervenir efficacement sur le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives chez les toxicomanes judiciarisés Par Sylvie Lagacé Essai sous la supervision de Madame Chantal Fredette, présenté dans le cadre de la Maîtrise en intervention en toxicomanie Université de Sherbrooke Faculté de médecine et des sciences de la santé 22 janvier 2014
2 RÉSUMÉ Les loisirs s avèrent contributifs à la criminalité, s inscrivant dans une dynamique d oisiveté chez le délinquant. S appuyant sur les principes du modèle Risque-Besoins- Réceptivité développé par Andrews et Bonta (2010), cet essai avait pour but de développer une intervention ciblant le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives, dédiée aux personnes délinquantes placées sous la responsabilité du CRC Arc-en-Soi des régions du Bas St-Laurent et de la Gaspésie. Pour ce faire, des entrevues semi-directives ont été réalisées auprès de quatre professionnels reconnus pour leur expertise dans les domaines visés. Les données recueillies dans le cadre de ces entretiens ont principalement permis d explorer la pertinence d une telle intervention et d en déterminer les principales composantes. Une telle intervention est jugée essentielle dans le cadre de programmes de réadaptation et de réinsertion sociale visant la réduction des risques de récidive criminelle, et ce, tant du point de vue des répondants que des travaux recensés dans la littérature. Elle doit favoriser la pratique de loisirs chez les contrevenants, tout en leur permettant de déterminer et de surmonter les obstacles liés à cette pratique. Elle doit également viser l enseignement des bienfaits du loisir. Cet essai se conclut par la proposition d une intervention. MOTS CLÉS : loisirs et activités récréatives, besoin criminogène, intervention correctionnelle
3 ABSTRACT Leisure and recreation are found to contribute to criminality, displayed in a dynamic of idleness that is found among delinquents. Based on the principles of the model Risque- Besoins-Récéptivité developed by Andrews and Bonta (2010), this trial was intended to develop an intervention targeting criminogenic needs for leisure and recreational activities for offenders placed under the responsibility of the CRC Arc-En-Soi of the Gaspésie and Lower St-Laurent regions. To do so, semi-structured interviews were conducted with four professionals recognized for their expertise in the field of leisure and correctional intervention. The data collected through these interviews allowed for the exploration into the relevance of such an intervention and to determine the main components. These interventions are considered essential in rehabilitation and social reintegration programs as a means to reduce the risk of criminal recidivism, from both the point of view of the respondents and from the work identified in the literature. The interventions must promote the practice of leisure and recreational activities among offenders, while allowing them to identify and overcome barriers to this practice. It should also promote leisure education and teaching of its benefits. This trial closes with the proposal for an intervention targeting criminogenic needs of leisure and recreational activities that could be offered to offenders. KEY WORDS: Leisure and recreational activities, criminogenic need, correctionnel intervention
4 TABLE DES MATIÈRES RÉSUMÉ... 2 ABSTRACT INTRODUCTION PROBLÉMATIQUE ET OBJECTIF DE L ESSAI L importance des loisirs et des activités dans la réduction de la récidive Le modèle Risque-Besoins-Réceptivité (RBR) Objectif de l essai MOYEN : DESCRIPTION ET JUSTIFICATION Stratégie d échantillonnage Participants RÉALISATION DES ENTREVUES Préparation et réalisation des entrevues Stratégies d analyse ANALYSE DES RÉSULTATS Pertinence d une intervention ciblant les loisirs et les activités récréatives Impacts sur le risque de récidive criminelle Fonctions du loisir dans la vie d un délinquant Définition du concept des loisir et des activités récréatives Obstacles à la pratique du loisir Efficacité d une intervention ciblant les loisirs et les activités récréatives sur la réduction des risques de récidive criminelle Composantes d une intervention ciblant les loisirs et les activités récréatives Intervention de groupe ou individuelle Profil des personnes ciblées par l intervention Critères d exclusion Nombre de séances d une intervention de groupe Moment opportun pour entreprendre l intervention Caractéristiques de l intervenant Composantes de l intervention... 34
5 Objectifs Contenu DISCUSSION RETOMBÉE ET RECOMMANDATIONS Objectif et contenu de l intervention Proposition d une intervention CONCLUSIONS RÉFÉRENCES ANNEXE 1 FORMULAIRE D INFORMATION ET DE CONSENTEMENT ANNEXE 2 GRILLE D'ENTREVUE SEMI-DIRIGÉE 54
6 1. INTRODUCTION Rendre les communautés plus sécuritaires est un sujet d intérêt pour la société. L évaluation, la gestion du risque et le traitement des personnes contrevenantes sont donc au nombre des préoccupations des divers acteurs du système de justice pénale. Légitimées par le principe de la protection du public, les interventions correctionnelles doivent tenir compte du risque que représente un délinquant pour la société. Ainsi, une évaluation adéquate du risque qu il pose et une intervention de réadaptation et de réinsertion sociale figurent au nombre des stratégies visant à réduire efficacement les risques de récidive criminelle et, de ce fait, à protéger la société. Le modèle fondé sur les principes du risque, des besoins et de la réceptivité (ou modèle RBR), développé par Andrews et Bonta (2010), est sans doute le plus utile pour l'évaluation et le traitement des délinquants (Blanchette et Brown, 2006; Ward, Mesler et Yates, 2007). Parmi les meilleurs prédicteurs de la récidive criminelle figure la sphère des loisirs et des activités récréatives. L oisiveté est, en effet, reconnu comme un facteur contributif à la délinquance : 51% des délinquants évalués en déclarent l aide sociale et les prestations d assurance chômage comme sources de revenus (Giroux, 2011). À ce portrait se greffe la consommation de substances psychotropes, également associée aux passages à l acte délictuel : 59% d entre eux présentaient des problèmes relativement à la consommation l alcool et des drogues (Giroux, 2011). D ailleurs, l étroite relation entre les problèmes de toxicomanie et l oisiveté des délinquants est aussi l objet de préoccupations des chercheurs (Hood, 2003, cité dans Williams, 2006). Ces constats militent en faveur de la nécessité d une intervention efficace sur les besoins criminogènes liés à la toxicomanie et aux loisirs. Or, si la consommation problématique d alcool et de drogues est l objet d un nombre important d interventions (Desrosiers et coll., 2012), on ne peut en dire autant dans le domaine des loisirs et des activités récréatives. La nécessité de développer une intervention ciblant spécifiquement le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives s est imposée comme source de préoccupation professionnelle.
7 Depuis 27 ans, dont 12 ans comme directrice générale, nous œuvrons au Centre résidentiel communautaire (CRC) l Arc-en-Soi. Comme tous les CRC du Québec, l Arcen-Soi a pour mission de contribuer à la sécurité du public en intervenant, à l aide de programmes spécialisés et adaptés, auprès des personnes contrevenantes. La clientèle se compose majoritairement d hommes adultes, et habitant les régions du Bas St-Laurent et de la Gaspésie. Plusieurs d entre eux présentent un niveau de besoin important en matière de loisirs et d activités récréatives. Notre essai se divise en cinq sections. D abord, la problématique et l objectif de l essai sont présentés. Puis, le moyen privilégié pour atteindre l objectif fixé est exposé, suivi de la réalisation des activités sous-jacentes. Ensuite, l analyse et l interprétation des résultats sont discutées. Enfin, l essai se termine par la présentation d une proposition d intervention ciblant le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives et ses retombées.
8 2. PROBLÉMATIQUE ET OBJECTIF DE L ESSAI L oisiveté est la mère de tous les maux! Voilà, un vieil adage populaire. Pas étonnant de constater que l absence de loisir contribue à l oisiveté du délinquant qui, à son tour, contribue aux risques d adoption de conduites délinquantes. Des chercheurs comme Bonta et Motiuk (1985), de même que Raynor, Kynch Roberts et Merrington (2000), ont constaté que la mauvaise utilisation du temps consacré aux loisirs représente un déclencheur potentiel de récidive : une personne contrevenante qui participe à des loisirs constructifs développerait davantage de comportements qualifiés de «prosociaux» (Giguère, 2012, p. 19). L intervention de réadaptation et de réinsertion sociale auprès des délinquants doit donc tenir compte de ce besoin criminogène. Plus spécifiquement, elle doit encourager la participation des contrevenants aux activités de loisirs prosociaux, faire l enseignement de passe-temps et de sports susceptibles d augmenter leur sociabilité (Andrews et Bonta, 2007). Le loisir est ici défini comme du temps dont on dispose, en dehors des activités habituelles (Le Petit Robert, 2014). Dans cette section de l essai, l importance de considérer le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives dans les interventions correctionnelles visant la réduction de la récidive criminelle est présentée, de même que modèle Risque-Besoin-Réceptivité (RBR) d Andrews et Bonta (2010) L importance des loisirs et des activités dans la réduction de la récidive Les risques et les besoins criminogènes peuvent être évalués par des instruments d évaluation du risque, tel que l Inventaire du niveau de service et de gestion de cas (LS/CMI), développé par Andrews, Bonta et Wormith (2004) et traduit en français après avoir franchi plusieurs étapes. Une première traduction de l'outil et du Guide de cotation a été réalisée sous la responsabilité du ministère de la Sécurité publique. Par la suite, cette version a été retraduite dans sa version originale. Les deux versions anglaises ont été soumises aux concepteurs de l'instrument. La version préliminaire a été révisée par un comité
9 constitué de chercheurs, de gestionnaires et de praticiens des Services correctionnels du Québec avant d'être revue ultimement par une éditrice scientifique (Giguère, 2012, p. 38). Spécifiquement, le LS/CMI comporte 43 items distribués en huit grandes catégories de risques et de besoins criminogènes : les antécédents criminels (8 items), l éducation et l emploi (9 items), la famille et le couple (4 items), les loisirs et les activités récréatives (2 items), les fréquentations (4 items), les problèmes d alcool et de drogues (8 items), les attitudes et les orientations procriminelles (4 items), et finalement le type de comportement antisocial (4 items). La cote globale s étend de 0 à 43. On considère un risque global comme étant moyen à partir de 11, élevé à partir de 20 et comme étant très élevé à partir de 30. Les deux items couvrant la sphère des loisirs et des activités récréatives sont les suivants : «n a pas récemment participé à une activité organisée» (item 22) et «pourrait faire un meilleur usage de son temps» (item 23) (Giguère, 2012). Giroux (2011) a analysé les résultats de LS/CMI administrés à tous les délinquants (exception des sentences d incarcération de moins de six mois) pris en charge par les Services correctionnels du Québec (SCQ) (en communauté et en institution carcérale) entre décembre 2006 et juin Parmi tous les facteurs de risque et les besoins criminogènes évalués par le LS/CMI, c est la sphère des loisirs et des activités récréatives qui semblait particulièrement problématique chez les contrevenants des SCQ. En effet, 91% d entre eux obtenait une côte de risque moyenne à très élevée (Giroux, 2011), suggérant une absence de participation aux activités récréatives et de loisirs prosociaux chez les délinquants placés sous la responsabilité des SCQ. Plus de la moitié de la population à l étude présentait un risque de récidive criminel élevé et très élevé, dont 33% des personnes contrevenantes suivies dans la communauté. De plus, 61% des contrevenants présentaient des problématiques au niveau de l emploi et de l éducation et 52% au plan de la famille et du couple. Parmi les facteurs de réceptivité mesurés, notons la minimisation de leur problématique (53%) et le manque de motivation pour entreprendre une démarche de réinsertion sociale (33%) (Giroux, 2011). Bien que l étude de Giroux (2011) ne fasse pas mention de particularités chez les contrevenants des
10 régions du Bas St-Laurent et Gaspésie desservies par l Arc-en-Soi, nous croyons tout de même plausible que ces pourcentages soient représentatifs de la clientèle de ces régions. En résumé, une bonne partie de la clientèle est donc oisive (absence de travail et de loisirs, fréquentations problématiques) et présente des risques importants de récidive criminelle. En regard de notre pratique professionnelle, le loisir, comme cible d intervention, apparaît négligé et source de confusion pour l intervenant chargé du suivi de dossiers. Il n est pas rare de constater, à la lecture de dossiers de contrevenants, que leurs plans d intervention (connus sous l appellation Plan d intervention correctionnel ou PIC), hiérarchisés selon les priorités d intervention, traitent de manière secondaire le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives. En ce sens, ce besoin est associé à d autres facteurs (comme l éducation et emploi) ou, encore, ne le traite tout simplement pas. Afin de concrétiser ce propos, nous avons fait l examen de 10 LS/CMI et PIC, issus d une même charge de cas, tous soumis à des peines d emprisonnement avec sursis. Nous avons constaté que sur ce nombre, sept avaient obtenu une cote élevée de risque au facteur criminogène des loisirs et des activités récréatives et trois une cote moyenne. Malgré cela, un seul plan d intervention contenait un objectif en lien avec le besoin criminogène des loisirs et activités récréatives, mais jumelé avec celui relatif à l éducation et à l emploi. Nous croyons utile, à ce stade-ci, de rappeler que de travailler ou d étudier ne sont pas des activités de loisir parce que ce sont des activités dites habituelles (en référence à la définition retenue du Petit Robert 2014). Dans les régions desservies par l Arc-en-Soi (soit le Bas St-Laurent et la Gaspésie), la clientèle délinquante qui présente une problématique en matière de loisirs ne bénéficie d aucun programme structuré (ni à l interne ni à l externe) traitant spécifiquement de ce besoin criminogène. En fait, un seul programme portant sur la relation entre les loisirs, la toxicomanie et la criminalité a été identifié. Il s agit du Programme National de Traitement de la
11 Toxicomanie-Intensité Moyenne (PNTT-IM) du Service Correctionnel Canada (SCC). Il s agit d un programme de type cognitivo-comportemental qui s échelonne sur 26 séances (durée totale de 52 heures). Selon le manuel de ce programme, la question des loisirs est traitée à la séance 22, appelée Plans sur divers aspects de la vie, et l intervention s échelonne sur 30 minutes environ. On y aborde, toujours selon le manuel, les loisirs pratiqués avant l incarcération dont celles intégrant la consommation de substances psychotropes, la liste de nouvelles activités et les moyens pour les atteindre, leurs perceptions sur ces changements ainsi que les habiletés apprises pouvant servir la pratique de nouvelles activités de loisirs. Il est difficile d affirmer que 30 minutes d intervention soient suffisantes pour faire le tour des préoccupations concernant la relation entre les loisirs, la toxicomanie et la criminalité et de travailler les cognitions rattachées à la sphère des loisirs. Il faut souligner que le programme Parcours, visant à «favoriser la prise de conscience et la responsabilisation chez les personnes à haut risque» (Lafortune et Blanchard, 2010, p. 331), offert en détention provinciale, et s adressant aux délinquants présentant un risque de récidive criminelle élevé à très élevé, aborde la question des loisirs, dans le module 1, intitulé Le temps d apporter des changements? En effet, «la septième heure sera centrée sur vos loisirs et votre cercle d amis. Nous tenterons à nouveau de vérifier si ce que vous faites durant vos temps libres peut contribuer à votre criminalité» (Lafortune et Blanchard, 2010, p. 338). Encore une fois, le temps accordé nous semble de faible intensité et ne s adresse pas uniquement au besoin criminogène comme tel. Un guide de pratique sur les services de réinsertion sociale, produit par l Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec (ACRDQ), propose des activités en lien avec la sphère des loisirs (Desrosiers et coll., 2012). Celles-ci prennent essentiellement la forme d orientation vers les organismes du milieu, d information et d accompagnement, d activités de loisirs au Centre de réadaptation en dépendance (CRD) (particulièrement en hébergement), de café-causerie et d accompagnement à des activités de bénévolat (Desrosiers et coll., 2012). Bien que cette liste puise servir l élaboration d une intervention ciblant spécifiquement le besoin criminogène des loisirs
12 et des activités récréatives, elle ne semble pas conforme aux principes du modèle RBR (Andrews et Bonta, 2010), que nous verrons dans la prochaine section Le modèle Risque-Besoins-Réceptivité (RBR) Le modèle fondé sur les principes du risque (R), des besoins (B) et de la réceptivité (R) a été développé par les Canadiens Donald A. Andrews et James Bonta et repose sur les principes proposés par les théories de la personnalité et des processus cognitifs de l apprentissage social du comportement criminel (Andrews et Bonta, 2010; Cortoni et Lafortune, 2009). Le modèle RBR est évalué comme l un des plus efficaces pour l évaluation et le traitement des délinquants (Blanchette et Brown, 2006; Ward, Mesler et Yates, 2007; Andrews et Bonta, 2007). La diminution du risque de récidive est évaluée à 35% si le traitement, basé sur le modèle RBR, est réalisé dans un milieu autre que la détention (Andrews et Bonta, 2007). Le principe du risque (R) réfère au fait que l intensité de l intervention doit être appariée au niveau de risque de récidive présenté par la personne contrevenante (Andrews et Bonta, 2010). En ce sens, les contrevenants présentant les plus hauts risques de récidive criminelle et un faible potentiel de réinsertion sociale doivent bénéficier d un encadrement intensif et sécuritaire, alors que ceux présentant de faibles risques et un potentiel élevé de réinsertion doivent, quant à eux, être exposés, idéalement, à des mesures d encadrement régulier dans la collectivité. Pour les personnes contrevenantes présentant un niveau moyen de risque et un potentiel de réinsertion moyen, il faut combiner les mesures institutionnelles et celles dites communautaires (Andrews et Bonta, 2010). Le modèle, exposé ici, fait partie de notre quotidien, et ce, depuis 2006, coïncidant avec la refonte des stratégies d évaluation des personnes contrevenantes. «Se basant sur la recherche criminologique sur le sujet, les Services correctionnels ont choisi d allouer davantage de ressources pour la surveillance et l intervention auprès des personnes évaluées qui présentent un risque de récidive de niveau moyen, élevé ou très élevé. Avec le LS-CMI, le risque de récidive se définit par le fait de commettre une nouvelle infraction au cours de l année suivant l évaluation.» (Giroux, 2011, p.46)
13 Le principe des besoins (B) réfère, quant à lui, aux cibles prioritaires de l intervention. Les huit besoins criminogènes réfèrent aux huit principaux prédicteurs du comportement criminel, aussi nommé facteurs de risque (Andrews et Bonta, 2010; Cortoni et Lafortune, 2009). Les quatre facteurs principaux (Big Four) sont les antécédents criminels, la personnalité antisociale, les attitudes procriminelles et la fréquentation de pairs délinquants. Les quatre autres facteurs modérés (Moderate Four) sont la toxicomanie, l éducation et l emploi, les loisirs et les activités récréatives, ainsi que la famille et le couple (Andrews et Bonta, 2010). Essentiellement, un besoin criminogène se définit comme un facteur en lien direct avec le comportement criminel. Certains sont dits dynamiques, c est-à-dire modifiables (ex : les attitudes procriminelles, les fréquentations, etc.), alors qu un seul est statique, c est-à-dire qui ne peut être modifié (les antécédents criminels). Ce sont les facteurs dynamiques qui doivent faire l objet de l intervention en priorité (Andrews et Bonta, 2007). Il n est pas question ici de facteurs psychologiques généraux ou de facteurs spécifiques (anxiété, dépression, par exemple) puisqu ils n ont aucun rapport avec le risque de récidive criminel (Cortoni et Lafortune, 2009). Enfin, le principe de la réceptivité (R) fait référence aux choix des approches et des modalités d intervention reconnues comme les plus efficaces selon la clientèle visée (réceptivité générale) et adaptée aux caractéristiques spécifiques de chacune des personnes (réceptivité spécifique). «Auprès des délinquants, les traitements dont l efficacité a été empiriquement démontrée sont essentiellement des interventions structurées de type cognitivo-comportemental» (Cortoni et Lafortune, 2009, p. 69). En général, les interventions considérées efficaces incluent : la restructuration cognitive, le modelage et le renforcement des comportements anticriminels, l acquisition graduelle d habiletés diverses, le renforcement et le jeu de rôle pour consolider ces nouvelles habiletés, l apport des ressources ou de soutien et la formulation de suggestions concrètes (ex. : souligner le besoin de changer ou inciter à faire certains choix) (Cortoni et Lafortune, 2009, p. 69).
14 Le principe de la réceptivité endosse donc l objectif d optimiser la capacité du contrevenant à tirer profit de l intervention (Andrews et Bonta, 2010) par des outils efficaces de type cognitivo-comportemental (exemple d un sujet enseigné : identification des situations à risque, tel que vu dans le manuel du programme PNTT-IM), et en offrant des outils adaptés et spécifiques à ce qui caractérise le délinquant (ex. : intervention en lien avec une faible motivation ou encore avec la minimisation de leurs problématiques; voir notamment Giroux, 2011). Sur la base donc des principes du modèle RBR, l intervention sur le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives peut s avérer un levier intéressant dans une perspective d insertion sociale Objectif de l essai Afin de contrer une absence de services efficaces à la sphère des loisirs, nous souhaitons développer, sur la base des principes du modèle RBR, une intervention ciblant spécifiquement le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives, dédiée aux personnes contrevenantes suivies au CRC Arc-en-Soi.
15 3. MOYEN : DESCRIPTION ET JUSTIFICATION L intervention ciblant spécifiquement le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives est relativement peu documentée comparativement aux autres facteurs de risque connu. Notre essai revêt donc un caractère exploratoire. Dans ce contexte, Fortin (2006) mentionne que l entrevue est un outil particulièrement utilisé, malgré que, comme désavantage, «les données peuvent être difficiles à codifier et à analyser» (Fortin, 2006; p. 307). Au nombre des méthodes de collecte de données dans les recherches qualitatives, l entrevue semi-dirigée permet d obtenir des informations spécifiques sur un thème (Fortin, 2006), dans notre cas, le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives. À la différence de l entrevue non dirigée (utilisée dans des récits de vie, par exemple), c est l intervieweur qui dirige l entrevue, tout en donnant l occasion à l interviewé de s exprimer sur le thème abordé (Fortin, 2006). Quant à l entrevue dirigée, il s agit principalement de questions fermées, ce qui ne convenait pas à notre démarche exploratoire. De la même manière, une procédure basée sur l administration d un questionnaire autoadministré ne permet pas de clarifier les réponses des répondants (Fortin, 2006). Enfin, malgré les avantages des groupes de discussion (focus group) (tel que l économie de temps, selon Fortin), ce moyen est approprié pour des groupes homogènes (Krueger et Casey, 2000); ce qui n est pas le cas de nos répondants, ne travaillant pas dans des domaines d emploi similaires et ne formant pas, par conséquent, un groupe homogène comme tel. De plus, l entretien de groupe est une technique qui consiste généralement «à comparer ou à contraster leurs points de vue avec ceux des autres, ce qui permet de mieux les saisir et les articuler» (Roy et coll., 2012, p.51), ce qui ne cadre pas avec le caractère exploratoire de notre essai Stratégie d échantillonnage «L échantillonnage est le processus par lequel un groupe de personnes ou une portion de la population est choisie de manière à représenter une population» (Fortin, 2006, p. 249).
16 Pour des enjeux de faisabilité, la méthode choisie relève de l échantillonnage non probabiliste, c est-à-dire non représentatif d une population donnée. La principale limite de cette technique est, bien entendu, de rendre fiable la généralisation des résultats (Fortin, 2006). Il est tout de même possible de réduire les effets de cette limite par divers moyens. Notre choix s est arrêté sur la méthode d échantillonnage par choix raisonné. Elle consiste à sélectionner des répondants en fonction de caractéristiques prédéterminées par le chercheur (Fortin, 2006). Nous avons éliminé l échantillon accidentel (en fonction des lieux et du moment), par quotas (sous-groupe représentatif du groupe principal) et par réseau (recrutement se fait à partir des participants à l étude) (Fortin, 2006), puisque ces stratégies ne s avéraient pas pertinentes en fonction de notre besoin de sélectionner les participants selon des critères spécifiques. Ainsi, la principale caractéristique prédéterminée, issue de la stratégie du choix raisonné, concernait l expertise des professionnels. Pour des enjeux de faisabilité et de réalisme, nous avons restreint la sélection à quatre domaines. Nous souhaitions, en effet, rencontrer des spécialistes des questions liées aux loisirs et à la toxicomanie. Le type d approche préconisée dans l intervention auprès des contrevenants, soit l approche cognitivocomportementale (Andrews et Bonta, 2010), a aussi influencé la sélection. Finalement, le développement d une intervention spécifique en matière de loisirs et d activités récréatives étant l objectif ultime de notre essai, nous souhaitions interroger un spécialiste des programmes correctionnels Participants Quatre personnes ont été sélectionnées. Plus spécifiquement, il s agissait de trois femmes et un homme, âgés de 31 ans à 57 ans (moyenne de 45 ans). Tous possédaient une scolarité de niveau baccalauréat et travaillaient au sein de l appareil gouvernemental.
17 Au moment des entrevues, le premier répondant était enseignant en techniques d intervention en loisir dans un CÉGEP 1. Le second œuvrait à tire d agent de relations humaines (ARH) dans un centre de traitement des dépendances. Le troisième répondant, quant à lui, était à la fois spécialiste de l animation de programmes correctionnels et de l approche cognitivo-comportementale. Il était un employé du Service correctionnel Canada (SCC) et œuvrait auprès des contrevenants suivis dans la communauté. Enfin, le dernier répondant était gestionnaire de programmes correctionnels communautaires et employé du SCC. 1 Par souci de confidentialité, nous ne préciserons pas le sexe ni le lieu de travail des répondants, tel que convenu dans le formulaire d information et de consentement.
18 4. RÉALISATION DES ENTREVUES Fortin (2006) mentionne que l entrevue semi-dirigée se décompose en trois étapes. D abord, il faut déterminer une liste de thèmes, puis les formuler en questions. Ensuite, il faut déterminer l ordre selon lequel les questions sont adressées aux répondants. Nous avons ainsi établi des thèmes et sous-thèmes, intégrés dans une grille laquelle a servi de guide d entrevue Préparation et réalisation des entrevues Une grille d entrevue a d abord été élaborée en fonction de l objectif de l essai, soit le développement d une activité ciblant le besoin criminogène des loisirs et des activités récréatives. Cette grille s est articulée autour de trois thèmes principaux et de douze sousthèmes : (1) la pertinence de développer une intervention ciblant les loisirs et les activités récréatives (sous-thèmes : conséquences sur le risque de récidive, fonctions du loisir, définitions des concepts de loisirs et d activités récréatives, mesure de l efficacité d une activité de loisirs au niveau du risque de récidive); (2) les composantes d une telle activité (sous-thèmes : intervention de groupe ou individuelle, profil des personnes ciblées par l intervention (âge, délit, sexe, groupe mixte, etc), critères d exclusion, nombre de séances, moment opportun pour entreprendre l intervention, caractéristiques de l intervenant (formation, qualités)); et (3) son contenu (sous-thèmes : objectifs, contenu). Les entrevues ont été réalisées au cours du mois de juin Tous les rendezvous ont d abord été pris par téléphone. Une consigne de départ rappelait le contexte de l essai synthèse et son objectif, de la façon suivante : «Je suis étudiante à la maîtrise en intervention en toxicomanie. Dans le cadre de cette maîtrise, je m intéresse à l intervention sur le facteur criminogène loisir et activités récréatives chez les personnes toxicomanes judiciarisées afin de diminuer le risque de récidive. Je souhaite développer une activité en milieu communautaire en matière de loisirs et activités récréatives dédiée à des personnes contrevenantes toxicomanes et prises en charge par le CRC Arc-en-Soi (autant ceux qui sont en maison de transition que ceux déjà en communauté). Ces dernières sont
19 essentiellement des hommes dont plusieurs présentent des besoins criminogènes importants concernant la sphère «loisirs et activités récréatives». Chacune des quatre entrevues, de 46 à 83 minutes (moyenne : 56 minutes), a été enregistrée, en accord avec le consentement écrit des répondants. Trois d entre elles se sont déroulées en face à face, et une autre par téléphone. Dans ce dernier cas, le formulaire de consentement fut transmis au préalable au répondant qui nous l a réacheminé dûment signé. Des informations relativement à l âge, la scolarité et les expériences de travail des répondants ont également été recueillies Stratégies d analyse Un verbatim de chacune des entrevues a été rédigé. Cette étape est essentielle pour l analyse des informations recueillies (Fortin, 2006). La transcription permet de s attarder aux propos des répondants, de les comparer et de les décomposer (Deslauriers, 1987). À la suite de la transcription, et de plusieurs lectures de ces données brutes, les informations sont regroupées par mots, phases, faits ou événements, pour ensuite être regroupées en catégories thématiques (Fortin, 2006). Dans notre cas, le regroupement s est fait à partir de phrases et de mots, après avoir lu plusieurs fois et approfondi chacun des verbatims. Puis, nous avons réuni, sous l angle des thèmes et sous-thèmes mentionnés précédemment, ces informations. Nous avons utilisé le sens des phrases et des mots pour décider dans quels thèmes ou sous-thèmes les informations recueillies seraient classées, tout en demeurant attentives à de nouveaux thèmes ou «de nouvelles perspectives», comme l expriment Blais et Martineau (2006). D ailleurs, en analyse qualitative, ces derniers expliquent le processus ainsi : «Nous mettons davantage l accent sur le processus de réduction des données en décrivant un ensemble de procédures visant à donner un sens à un corpus de données brutes, mais complexes, dans le but de faire émerger des catégories favorisant la production de nouvelles connaissances en recherche, peut importe le domaine privilégié par le chercheur.» (Blais et Martineau, 2006, p.2).
20 Toujours selon ces chercheurs, cette approche est particulièrement appropriée pour «l analyse de données provenant d objets d étude à caractère exploratoire, pour lesquels il existe relativement peu de modèles ou de théories» (Blais et Martineau, 2006, p.14), ce qui est notre cas. Les résultats de la démarche sont présentés à la prochaine section.
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