D. Les résidences principales

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1 D. Les résidences principales En 2009, dans la Manche et en Basse Normandie, près de 8 logements sur 10 sont utilisés comme résidence principale (respectivement 78,3 % et 78,0 %). On se situe toutefois en deçà des chiffres métropolitains (83,5 %). Le département compte résidences principales. La représentation cartographiée des résidences principales en 2009 montre une localisation de ces dernières globalement calquée sur la trame urbaine du département. Les villes principales et leur périphérie concentrent les plus forts taux de résidences principales (Cherbourg, Saint-Lô et dans une moindre mesure Avranches, Coutances, Carentan, Valognes...). L'agglomération granvillaise, en raison de la proportion élevée de résidences secondaires, fait toutefois exception à ce phénomène. DDTM de la Manche 1

2 I Type d'habitation : individuel/collectif Autres logements : logements foyers, chambres d'hôtel, habitations de fortune, pièces indépendantes. La tendance dans le département se porte clairement vers l habitat individuel. La proportion de résidences principales est très forte dans cette catégorie (79,4 %), supérieure de près de 7 points au chiffre régional (72,7 %) et bien au delà du pourcentage national (56,5 %). L'absence de villes importantes dans le département, conjuguée à une pression foncière assez faible (excepté sur certains secteurs du littoral, celui de Granville en particulier), en est la raison. La maison individuelle demeure la référence dans le parcours résidentiel des ménages français et cette aspiration est plus aisée à concrétiser dans la Manche en raison de l'espace encore disponible et du coût relativement accessible du foncier. Ce goût pour le modèle pavillonnaire se traduit par un phénomène d'étalement urbain. On note également depuis plusieurs années une certaine désaffection des ménages pour les agglomérations au profit des communes périphériques, voire rurales, plus éloignées, qui profitent de l'afflux de populations désireuses de bénéficier des atouts de la campagne tout en restant proches, en distance-temps, de la ville centre. DDTM de la Manche 2

3 Sans surprise, les pourcentages du collectif sont les plus élevés dans les pays saint lois et du Cotentin. II - Statut d'occupation Résidences principales selon le statut d'occupation 2009 Propriétaires occupants Locataires, sous-locataires Logés Gratuitement * Manche ,8% 36,6% 1,6% Manche (1999) 57,8% 38,8% 3,3% Basse-Normandie (%) 59,5% 38,7% 1,8% France métropolitaine (%) 57,7% 39,7% 2,6% DDTM de la Manche 3

4 * A noter : le statut de «logé gratuitement» s'applique aux ménages qui ne sont pas propriétaires de leur logement et qui ne paient pas de loyer (exemple : personnes logées gratuitement chez des parents, des amis, leur employeur...). Depuis 2004, avec le recensement rénové, les ménages usufruitiers de leur résidence principale (suite à une donation partage ou une vente en viager par exemple) sont considérés comme propriétaires. Ils étaient considérés comme logés gratuitement dans les recensements précédents. En 2009, la Manche compte près de résidences principales occupées par le propriétaire. Cette catégorie représente près de 62 % des résidences principales du département : on se situe au delà des pourcentages de la France métropolitaine (57,7 %) et de la Basse Normandie (59,5 %) mais également du pourcentage manchois de 1999 (57,8 %). Le département fait ici la preuve de la bonne santé de sa tradition d'accession à la propriété. Le statut de propriétaire occupant, valorisé par rapport à celui du locataire, conserve la première place dans la hiérarchie résidentielle du fait du caractère rural du département mais aussi grâce à un certain nombre de facteurs extérieurs qui ont pu faciliter l'accession à la propriété : avènement des prêts à longue durée, inflation (attractivité accrue de l'emprunt à taux fixe, et dans une moindre mesure, du taux révisable capé), réforme du prêt à taux zéro, montant parfois dissuasif des loyers, incertitudes sur l'avenir qui amènent les ménages à investir dans la pierre. DDTM de la Manche 4

5 La part des propriétaires est la plus élevée dans le pays de Coutances (68 %) et supérieure au pourcentage départemental (62 %) dans le pays de Coutances et dans le pays de la Baie du Mont Saint Michel (65 %), inférieur au pourcentage départemental dans les deux autres pays, la présence des villes les plus importantes en taille ayant pour corollaire un nombre plus important de logements collectifs destinés à la location. Il est intéressant de noter que la propriété en milieu rural est plus fréquente dans la moitié nord du département. DDTM de la Manche 5

6 La part des propriétaires a augmenté dans tous les pays entre 1999 et 2009, plus fortement dans les pays saint lois et de la Baie qu'ailleurs. Ces deux pays présentent une hausse supérieure à l'évolution départementale. III - Taille des logements et taille des ménages Répartition résidences principales en fonction du nombre de pièces (2009) 1 pièce 2 pièces 3 pièces 4 pièces 5 pièces et plus Manche Données brutes et pourcentages ,5 % 8,1 % 18,7 % 26,4 % 44,3 % Manche (1999) 3,1% 9,5% 20,8% 28,2% 38,4% Basse-Normandie (%) 4,3% 10,0% 19,1% 25,7% 40,9% France métropolitaine (%) 5,8% 12,4% 20,9% 25,4% 35,5% En 2009, les catégories «4 pièces» et «5 pièces et plus» représentent 70,7 % du total des résidences principales, pourcentage nettement supérieur à ceux de la Basse Normandie (66,6 %) et de la France métropolitaine (60,9 %). Les résidences principales de taille modeste (une ou deux pièces) affichent en revanche DDTM de la Manche 6

7 des taux inférieurs aux moyennes régionales et nationales (les 2 catégories confondues : 10,6 % pour la Manche, contre 14,3 % pour la région et 18,2 % à l'échelle nationale). Ces constats sont à mettre en relation avec le fait que les résidences principales sont très majoritairement de type individuel dans la Manche : la superficie des maisons excède évidemment celle des appartements. On observe également que les résidences principales de 4 pièces ou plus sont nettement plus nombreuses qu'en 1999 (+4,1 %) tandis que la part des résidences principales d'une pièce ou deux pièces est moindre qu'il y a dix ans ( 2 %). L'engouement persistant pour l'habitat individuel est perceptible à travers le fait que la résidence principale (une maison dans la très grande majorité des cas) est plus vaste en 2009 qu'en 1999 (4,4 pièces contre 4,1 pièces). Ce gain d'espace a probablement été facilité par des éléments conjoncturels positifs tel l'allongement de la durée des emprunts qui a sans doute permis à un certain nombre de revoir à la hausse, en terme de m², leur projet d'achat ou de construction. Il est peut-être également le signe de la priorité donnée à l'espace de vie, priorité voulue (disposer d'une superficie confortable pour son quotidien mais aussi pour loger ses enfants et petits-enfants lors des vacances) ou résultant de l'évolution de la structure familiale (cas des familles recomposées entre autres). Evolution du nombre moyen d'occupants par résidence principale (2009) 2,50 2,45 2,40 2,35 2,30 2,25 2,20 2,15 2,10 2,05 2,00 Manche Basse-Normandie France Les logements gagnent en taille... mais se vident : entre 1999 et 2009, le nombre moyen d'occupants par résidence principale est passé de 2,43 à 2,23. Le taux d'occupation des résidences principales habitées par des propriétaires est supérieur à celui du département (2,34) dans les pays du Cotentin (2,40) et du Saint Lois (2,38) car les populations y sont plus jeunes et les familles plus nombreuses, inférieur ailleurs (Pays de Coutances : 2,29, pays de la Baie : 2,27). Le phénomène national de réduction de la taille des ménages, qui a pris de l'ampleur au fil des années, se vérifie avec acuité dans la Manche. Les «petits» ménages (1 ou 2 personnes) représentent 69,1 % du total des ménages en 2009 dans la Manche, contre 62,1 % en 1999 soit une augmentation de +7 %, tandis que les ménages de grande taille (4 personnes et plus) voient leur pourcentage baisser ( 4,8 %). Ce phénomène a pour corollaire l'augmentation du nombre de ménages (+ 11,8 % entre 1999 et 2009). Deux phénomènes se conjuguent pour expliquer ces évolutions : l'augmentation du nombre de personnes vivant seules (32,9 % en 2009 contre 29,2 % en 1999), augmentation dont les causes sont multiples : vieillissement de la population, accroissement du nombre d'étudiants, développement des transports qui favorise l'apparition de célibataires géographiques... - la décohabitation : développement des couples monoparentaux (10,4 % en 2009 contre 9,4 % en 1999) en lien avec la progression des divorces, dissolution du modèle des générations habitant sous le même toit... DDTM de la Manche 7

8 Répartition résidences principales en fonction de la taille des ménages (2009) Manche Données brutes et pourcentages 1 personne 2 personnes 3 personnes 4 personnes 5 personnes 6 personnes et plus ,9% 36,2% 13,1% 12,1% 4,6% 1,2% Manche (1999) 29,2% 32,9% 15,2% 14,4% 6,3% 2,0% Basse-Normandie (%) 33,4% 34,9% 13,6% 12,1% 4,7% 1,4% France métropolitaine (%) 33,7% 33,0% 14,6% 12,3% 4,6% 1,7% IV - Évolution Le rythme annuel d'évolution des résidences principales s'est accru de 0,2 % entre la période et la période Il était inférieur à celui de la région lors de la période , il l'égale en , signe de rattrapage de la part du territoire manchois. Tous les pays sont en progression, les pays saint lois et coutançais affichant l'écart le plus grand entre les deux périodes considérées (+ 0,3 %). En , le rythme d'évolution des résidences principales s'est très nettement amélioré par rapport à la période précédente : près de 2 communes manchoises sur 3 connaissent une progression de l'évolution de leurs résidences principales entre les périodes 1990/1999 et 1999/2009 (on considère ici qu'il y a progression lorsque l'évolution est égale ou supérieure à +0,1 %). Le boom de la construction des années 2000 trouve là son illustration concrète. Cette évolution a profité : DDTM de la Manche 8

9 - aux communes périphériques des villes principales du département. Le tableau ci-dessous fournit quelques exemples particulièrement illustrants : Commune En périphérie de... Progression annuelle des résidences principales entre 1990 et 1999 Progression annuelle des résidences principales entre 1999 et 2009 Saint-Martin-le-Gréard Cherbourg-Octeville +2 % +4,8 % Branville-Hague Cherbourg-Octeville +2,2 % +3,9 % Baudre Saint-Lô +0,3 % +4,3 % Saint-Samson-de-Bonfossé Saint-Lô +1 % +3,2 % Bréville-sur-Mer Granville +2,3 % +3,3 % Hudimesnil Granville +1,9 % +2,5 % Brainville Coutances -0,6 % +3,8 % Servigny Coutances +0,9 % +3,7 % Saint-Senier-sous-Avranches Avranches +1 % +3,9% Chavoy Avranches +2,9 % +5,9 % aux communes côtières. En , sur les 114 communes situées à moins de 5 kilomètres du littoral, 15 affichaient un rythme annuel d'évolution des résidences principales égal ou supérieur à +2 % : en , elles sont 37. Sur les 10 communes littorales qui présentent le rythme annuel d'évolution le plus élevé, la moitié se trouvent dans le pays du Cotentin; on peut citer en deuxième et troisième positions du classement : Saint Jean de la Rivière (+4 %) et Biville (+3,8 %). On observe également que la bande rétro littorale des 5 10 km se laisse elle aussi gagner par le phénomène. En , sur les 178 communes dont la distance au littoral est comprise entre 5 et 10 kilomètres, 33 affichaient un rythme annuel d'évolution des résidences principales égal ou supérieur à +2 % : en , elles sont 78. Sur les 5 communes rétro littorales qui présentent le rythme annuel d'évolution le plus élevé, quatre se trouvent dans le pays de la baie du Mont Saint Michel et 3 sont des communes situées à proximité d'avranches. La «poussée» des communes périurbaines s'est faite au détriment des villes qu'elles entourent : Saint-Lô et Cherbourg-Octeville ne progressent que faiblement entre et (respectivement +0,1 % et +0,2 % d'évolution), Valognes stagne (-0,1 %), Granville, Carentan, Avranches, Coutances, voient leur rythme annuel d'évolution se dégrader (respectivement -0,8 %, -0,6 %, -0,4 %, -0,3 %). En ce qui concerne la côte, le dynamisme des dernières années ne doit pas masquer l'apparition d'un début de saturation, à l'œuvre dans les principales communes littorales. La dégradation du rythme annuel d'évolution des résidences principales entre les deux périodes considérées touche les communes balnéaires de la côte ouest : Barneville Carteret ( 2 %), Agon Coutainville ( 0,4 %), Granville ( 0,8 %) et ses voisines, Donville les Bains ( 0,2 %) et Saint Pair sur Mer ( 1,1 %). Elle concerne également Portbail ( 0,3 %), Avranches ( 0,4 %), Pontorson ( 0,4 %). La disponibilité du foncier se réduit, d'autant que les prix deviennent de plus en plus inabordables. Les autres communes qui ont vu le rythme annuel d'évolution de leurs résidences principales décliner entre les périodes et sont principalement des communes rurales de l'intérieur de la Manche (secteur des marais du Cotentin, bocage du Centre Manche) ou situées sur les franges départementales (sud du département). Il convient d'être prudent dans l'analyse des caractéristiques de cet ensemble car si les secteurs qui le composent sont en déprise, leur situation démographique est contrastée. Certaines communes sont vieillissantes mais d'autres au contraire voient leur population rajeunir. La comparaison de deux communes du sud Manche, pourtant voisines, est éclairante : DDTM de la Manche 9

10 Ger présente un rythme annuel d'évolution négatif ( 0,5 %) et dégradé depuis la période , et sa population vieillit (son indice de jeunesse nombre de 0/19 ans divisé par le nombre de 60 ans et plus a régressé entre 1999 et 2009). Le Fresne Poret présente un rythme annuel d'évolution négatif ( 0,4 %) et dégradé depuis la période , mais sa population tend à se rajeunir (son indice de jeunesse a progressé entre 1999 et 2009). Il est intéressant d'observer que la plupart des communes présentant un faible rythme de construction de résidences principales sont à la fois éloignées de plus de 10 kilomètres de la mer et des principaux pôles d'emploi (Cherbourg, Saint-Lô, Coutances, Granville, Avranches). Certes, la notion d'éloignement est toute relative : parcourir 10 kilomètres dans la Manche prend 10 minutes, temps de trajet qui serait considéré comme insignifiant en Ile-de-France. Mais tout de même, on peut dire que les communes en question ne bénéficient pas des deux atouts que sont la proximité du littoral et celle d'un pôle d'emploi. Par ailleurs, des disparités existent entre les pays. Dans le pays coutançais, une fracture assez nette se dessine entre l'ouest dynamique du pays, tourné vers le littoral, peu concerné par un ralentissement de l'évolution des résidences principales (à l'exception notable toutefois d'agon Coutainville, la principale station balnéaire, et de Coutances) et l'est du pays, terre de bocage et de marais, au rythme plus lent, qui présente plusieurs poches au sein desquelles le rythme d'évolution des résidences principales faiblit entre et : secteur au nord de La Haye du Puits, secteur de Périers, sud du canton de Cerisy la Salle, secteur de Gavray... En secteur rural, la progression concerne 58 % des communes, la stagnation 15 %, la dégradation 27 %. En secteur urbain, la progression concerne 50 % des communes, la stagnation 17 %, la dégradation 33 %. La répartition progression/stagnation/dégradation est assez similaire entre urbain et rural, il n'y a pas de discrimination «fonctionnelle» dans le pays coutançais. Dans le pays de la baie du Mont Saint Michel, à l'instar du pays coutançais, on observe une discrimination géographique, entre l'ouest dynamique (Granvillais et Avranchin) et l'est (Sourdin et Mortainais) dont une partie croît plus lentement et l'autre continue à régresser. A souligner : la situation du secteur Pontorson/Le Mont Saint Michel/Saint James, pourtant à l'ouest du pays, mais plus proche de celle du Mortainais que du reste de l'avranchin. En secteur rural, la progression concerne 71 % des communes, la stagnation 13 %, la dégradation 17 %. En secteur urbain, la progression concerne 43 % des communes, la stagnation 4 %, la dégradation 54 %. La répartition progression/stagnation/dégradation est différente entre un secteur rural dans lequel la progression domine largement (7 communes sur 10) et un secteur urbain plus «malmené» (4 communes sur 10 seulement); il semble y avoir une certaine discrimination «fonctionnelle» dans le pays de la Baie. Dans le pays saint lois, entre et , la situation s'est globalement améliorée. Le rythme d'évolution est élevé en périphérie immédiate de Saint Lô et particulièrement au sud. Les territoires concernés sont en effet situés à moins de 15 minutes de trajet routier de la ville préfecture. Les secteurs «au ralenti» correspondent pour schématiser au pôle d'emploi central du pays et aux territoires situés à plus de 15 minutes de celui ci. En secteur rural, la progression concerne 70 % des communes, la stagnation 11 %, la dégradation 19 %. En secteur urbain, la progression concerne 25 % des communes, la stagnation 50 %, la dégradation 25 %. La répartition progression/stagnation/dégradation n'est pas du tout similaire entre secteur urbain et secteur rural. Dans le premier cas, stagnation et dégradation dominent très nettement, dans le second cas, la progression est largement en tête. Le critère discriminant dans le Saint Lois est a priori la fonction de la commune et non une répartition géographique particulière. dans le pays du Cotentin, les communes littorales ou rétro littorales qui baissent de rythme entre 1990/1999 et 1999/2009 sont plus nombreuses à l'est qu'à l'ouest. De manière globale, tous types de communes confondues, les rythmes d'évolution sont nettement supérieurs à l'ouest. L'ouest présente trois grandes «poches» dynamiques : le secteur compris entre Cherbourg Octeville et les Pieux, les communes périphériques de Barneville Carteret et Portbail, le nord de Saint Sauveur le Vicomte. En secteur rural, la progression concerne 59 % des communes, la stagnation 9 %, la dégradation 32 %. En secteur urbain, la progression concerne 44 % des communes, la stagnation 25 %, la dégradation 31 %. La répartition progression/stagnation/dégradation dans le secteur urbain n'est pas très éloignée de celle du secteur rural. Cet équilibre relatif pourrait indiquer une absence de discrimination fonctionnelle dans le pays du Cotentin. DDTM de la Manche 10

11 DDTM de la Manche 11

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