Intoxications au monoxyde de carbone : l ARS Nord Pas de Calais lance la campagne de prévention
|
|
- Jean Alain
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Intoxications au monoxyde de carbone : l ARS Nord Pas de Calais lance la campagne de prévention 23 septembre 2010 Sommaire de la pochette 1. Communiqué de presse 2. Dossier de presse ARS - CHRU Lille CAP InVS APPA - METEO FRANCE 3. Intervention de l APPA (Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique) 4. Intervention de la CIRE (Cellule de l InVS en région) Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept. 2010
2 23 septembre 2010 COMMUNIQUE DE PRESSE Intoxications au monoxyde de carbone : l ARS du Nord Pas de Calais lance la campagne de prévention En France, la région Nord Pas de Calais est l une des plus touchées de France par les intoxications domestiques accidentelles avec plus de 500 personnes victimes d une asphyxie au monoxyde de carbone comptabilisées l année dernière. Pendant la période de chauffe, la région Nord Pas de Calais passe en niveau de mise en vigilance saisonnière. De nombreux acteurs régionaux (Etat, collectivités territoriales, professionnels de santé, bailleurs, associations, medias ) se mobilisent autour du slogan «informer peut sauver des vies». Les intoxications au monoxyde de carbone peuvent arriver à tout un chacun avec des conséquences non négligeables sur la santé. C est ainsi qu en 2009, Michel Boujenah a fait partie des centaines de personnes hospitalisées suite à cette intoxication, ce dont il témoigne aujourd hui. Tous les appareils à combustion peuvent causer une intoxication : chaudière à gaz, chauffe eau à gaz, poêle à charbon, poêle à pétrole Pour éviter qu allumage des chauffages ne coïncide avec malaises, hospitalisations, décès quelques conseils de prévention doivent absolument être rappelés à tous : Le monoxyde de carbone est inodore, il est émis dans les logements lors d une mauvaise combustion (appareils de chauffage défectueux, manque de ventilation ). Il est invisible et n a aucune odeur il est donc totalement indétectable par nos sens Pour se protéger d une intoxication, quelques gestes essentiels : Faire vérifier, comme chaque année, les installations de chauffage par un professionnel Aérer régulièrement votre logement, et ne surtout pas boucher les grilles d aération Faire ramoner mécaniquement les conduits et cheminées par un professionnel Utiliser les appareils de chauffage d appoint (gaz, pétrole ) quelques heures par jour seulement Conférence de presse le 23 septembre 2010 à 16 heures à l ARS Nord Pas de Calais 556, avenue Willy Brandt Euralille Tél : Avec le témoignage de Michel Boujenah, acteur et humoriste victime d une intoxication au monoxyde de carbone en 2009 Contacts presse : Centre Antipoison Mme le Docteur Monique Mathieu Nolf ARS Nord Pas de Calais Service Information Communication Mme Béatrice Degrugillers ARS Nord Pas de Calais Cellule de l Institut National de Veille Sanitaire en région Mme Hélène Prouvost, Dr. Pascal Chaud Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
3 DOSSIER DE PRESSE Sommaire Monoxyde de carbone 3 Situation régionale : bilan Dispositif de surveillance et prise en charge des personnes intoxiquées 7 Alerter sur les situations météorologiques à risque 9 Conseils de prévention : Comment éviter l intoxication? 11 Exemples d actions et acteurs de prévention 12 Adresses utiles 13 Glossaire 14 Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
4 Monoxyde de carbone Le monoxyde de carbone ou «CO» est un gaz toxique qui provient d une combustion incomplète. Il est difficilement décelable car c est un gaz incolore, inodore et sans saveur. Il est formé le plus souvent lors de la combustion incomplète de toutes les variétés de carbone et de produits riches en carbone (bois, charbon, gaz, fuel, pétrole ). Cette situation s observe quand : La quantité d oxygène est insuffisante (pièce calfeutrée, aération insuffisante, entrée d air bouchée) L appareil de chauffage ou cuisson présente un dysfonctionnement L évacuation d air est insuffisante (conduit mal raccordé, cheminée bouchée, ) La production de monoxyde de carbone peut se rencontrer lorsqu il y a conjugaison des situations citées ci dessus. Sources Dans le logement (air intérieur), plusieurs sources de CO peuvent être citées : les systèmes de chauffage, les appareils de cuisson (ex : cuisinière à gaz), le tabagisme, les incendies, une voiture qui tourne dans un garage, l air extérieur, notamment lorsqu il provient d une zone à forte densité automobile. Effets sur la santé Le CO, dangereux car non décelable, a un effet toxique même à des concentrations en volume très faibles, en exposition prolongée. Le CO est principalement un poison sanguin, il se fixe sur l hémoglobine et prend la place de l oxygène. Il entraîne donc de l anoxémie (baisse de l oxygène sanguin), puis une asphyxie qui peut être mortelle. Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
5 Les premiers symptômes de l intoxication sont les seuls signaux d alarme. Ceux ci sont des maux de tête, une vision floue, des malaises légers, des palpitations, souvent imputés à tort à d autres états pathologiques (indigestion). Si les concentrations de CO sont élevées, l intoxication se traduit par des nausées, des vomissements, des vertiges ou, plus grave, un évanouissement puis la mort (Figure ci jointe). Pour chasser le CO de l hémoglobine, le traitement de l intoxication oxycarbonée comporte une oxygénothérapie (emploi thérapeutique de l oxygène par inhalation). La région Nord Pas de Calais est équipée d un caisson hyperbare, ce dernier est situé au CHRU de Lille. Que faire en cas d'accident? Aérer immédiatement les locaux en ouvrant portes et fenêtres Arrêter tous les appareils à combustion Faire évacuer les occupants hors de l'atmosphère polluée Appeler les secours (Pompier : 18; SAMU : 15) Ne réintégrer les locaux qu'après le passage d'un professionnel qualifié qui recherchera la cause de l'intoxication et proposera les travaux à effectuer Témoignages de personnes intoxiquées Emilie *, 36 ans, mère de deux enfants, habite dans le Pas de Calais. Elle décrit les symptômes de son intoxication au monoxyde de carbone survenue en octobre «Mon fils ne se sentait pas bien. J'ai ressenti des maux de tête très violents, après la douche je suis montée pour me sécher les cheveux et j'ai eu des violents vertiges.» Herbert *, retraité, habite dans le Pas de Calais. Il a été victime d une intoxication au monoxyde de carbone il y a quelques années. «J étais dans ma chambre, ma pièce de travail et j avais mal à la tête, extrêmement mal à la tête [ ]. Et au bout d un moment, je me suis aperçu que c était ce chauffage au gaz, qui me rendait malade.» Ecoutez d autres témoignages sur > Outilthèque > Outils multimédia > Chroniques radio sur le monoxyde de carbone * Nom fictif Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
6 Situation régionale : bilan 2009 La région Nord Pas de Calais est une des régions les plus touchées par les intoxications au monoxyde de carbone. En 2009, le bilan des intoxications oxycarbonées domestiques en région est de : 181 épisodes signalés au système de surveillance (116 dans le Nord, 65 dans le Pasde Calais) 507 personnes impliquées 2 décès 96 personnes prises en charge au caisson hyperbare du CHRU Cela représente 16 % des intoxications domestiques survenues en France en Le taux d incidence annuel en 2009 est de 12,4 personnes intoxiquées pour habitants. Si ce taux est en baisse depuis 3 ans, passant de 19,2 en 2007 et 14,8 en 2008, il reste cependant près de deux fois et demi plus élevé que celui observé en France (5,1 intoxiqués pour ). Les intoxications peuvent avoir lieu quelle que soit la période de l année, mais on observe une grande majorité des cas pendant les mois d hiver et souvent, une recrudescence au début de la période de chauffe, en octobre, au moment de la remise en route des appareils de chauffage. Les épisodes de grand froid observés en janvier 2009 sont probablement à l origine d un nombre important d intoxications survenues au cours de ce mois. 25% 20% 15% 10% 5% 0% Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. Répartition des épisodes d intoxication au CO signalés en 2009 selon le mois de survenue. Tous les types de chauffages à combustion sont concernés, mais le poêle ou convecteur et la chaudière sont le plus souvent à l origine des intoxications au CO. Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
7 Autres (groupe électrogène, véhicule...)autre Cuisinière 4 % Insert 4 % 15 % 24 % Poêle/Convecteur Chauffage d'appoint 6 % 9 % Chauffe-eau 39 % Chaudière Répartition des épisodes d intoxication au CO signalés en 2009 selon l appareil mis en cause Les principaux combustibles associés aux sources identifiées sont essentiellement le gaz et le charbon Autre (essence, bois...) Bois/Charbon Gaz bouteille 6 % 7 % Pétrole 4 % 7 % 47 % Gaz de ville 29 % Charbon Répartition des épisodes d intoxication au CO signalés en 2009 selon le combustible mis en cause Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
8 Dispositif de surveillance et prise en charge des personnes intoxiquées Le dispositif de surveillance national a été mis en place en Il a pour double objectif : l alerte à visée préventive immédiate afin d écarter les personnes exposées de la source et de prévenir les premières intoxications ou récidives par la gestion du risque, l information à visée épidémiologique. La déclinaison régionale du dispositif national de signalement des intoxications au monoxyde de carbone dans le Nord Pas de Calais est la suivante depuis septembre Tout cas avéré d intoxication au monoxyde de carbone doit faire l objet : d un signalement au Centre Antipoison (CAP), d une enquête environnementale, en cas d intoxication survenant au domicile ou en établissement recevant du public (ERP). En pratique, lorsque l intoxication est liée à un accident survenant au domicile des personnes ou en ERP, le CAP transmet le signalement à l Agence Régionale de Santé (ARS) ou, le cas échéant, au service communal d hygiène et de santé (SCHS 1 ) concerné pour réalisation sur place d une enquête environnementale dite technique. Cette enquête réalisée par un technicien sur le lieu d intoxication doit permettre de trouver la ou les causes de l intoxication, d en informer les occupants et/ou les propriétaires, d expliquer les démarches à suivre pour éviter toute récidive. Toute personne victime confirmée ou suspectée d une intoxication fait l objet d une enquête médicale : Lorsque l intoxication est liée à un accident survenant au domicile des personnes ou en ERP, le CAP réalise l enquête médicale. 1 Il existe 11 SCHS dans la région : Cambrai, Croix, Douai, Denain, Dunkerque, Lille, Roubaix, Tourcoing, Valenciennes, Boulogne sur Mer, Calais Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
9 Schéma présentant l organisation de la surveillance et de la prise en charge des personnes intoxiquées au monoxyde de carbone au domicile en Région Nord Pas de Calais Objectif : diminuer la fréquence et la gravité des intoxications au monoxyde de carbone. Intoxication au monoxyde de carbone SIGNALEMENT D INTOXICATION(S) AU CO PAR LES DECLARANTS : POMPIERS SERVICES D URGENCE CENTRES HOSPITALIERS CENTRE REGIONAL D OXYGENOTHERAPIE HYPERBARE Amélioration de la prévention Adaptation de la communication et Amélioration de la déclaration PRISE EN CHARGE PAR LES SERVICES D URGENCE PUIS LES SERVICES HOSPITALIERS Mesure de la carboxyglobinémie (air expiré ou sang) et oxygénation (masque, caisson hyperbare) selon la gravité de l intoxication EVITER LA RECIDIVE Faire le bilan des intoxications en terme de santé publique Retro information aux partenaires et déclarants Evaluation des mesures de prévention DECLARATION DU CAS SUSPECTE D INTOXICATION AU CENTRE ANTIPOISON Recueil et saisie des données médicales de l intoxication DOSSIER TRANSFERE A L ARS NORD PAS DE CALAIS OU SCHS CONCERNE Réalisation de l enquête technique environnementale et saisie des données Dossier de presse campagne régionale de prévention contre les intoxications au monoxyde de carbone sept
10 Alerter sur les situations météorologiques à risque : Mise en place d un dispositif expérimental Le Nord Pas de Calais est particulièrement affecté par des intoxications au monoxyde de carbone provoquées par des chauffages défectueux. Suite aux pics d'intoxications survenus dans la région en 2006 et 2007, le ministère de la Santé a demandé à Météo France d étudier les conditions météorologiques propices à ces phénomènes et de développer une prévision de ce risque sanitaire Episodes épidémiques octobre 2006 Episodes épidémiques octobre-novembre 2007 Nombre de foyers Seuil épidémique /01/ /03/ /05/ /07/ /09/ /11/ /01/ /03/ /05/ /07/ /09/ /11/2007 Date Durant l automne 2006 puis 2007, des pics épidémiques d intoxications atteignant parfois jusqu à 15 foyers par jour ont été observés en octobre et novembre. En dehors de ces journées à pics, on observe presque tous les jours un ou deux cas d'intoxications. A partir des observations d'intoxications relevées entre 2005 à 2007 (données fournies par l agence régionale de santé), Météo France a identifié les critères météorologiques caractéristiques des pics d'intoxications au monoxyde de carbone observés dans la région. Les pics se produisent essentiellement entre début septembre et fin décembre. L analyse a montré qu ils correspondent le plus souvent à des situations anticycloniques, caractérisées par des températures douces pour la saison et une humidité élevée. Ces facteurs favorisent un faible tirage des cheminées, et rendent difficile l évacuation des gaz. 9
11 Sur la base de ces critères, un dispositif expérimental de pré alerte a été mis en place dans la région Nord Pas de Calais du 15 septembre au 31 décembre 2008 visant à informer la population en cas de situation météorologique à risque pour les prochaines 24 heures et rappeler les conseils de prévention. Les médias y ont été étroitement associés. Contrairement aux années précédentes, très peu de situations météorologiques présentant un risque de pics d'intoxications se sont produites en 2008 et Le dispositif a permis d annoncer 2 situations à risque en 2008 et une en Pour ces trois journées, peu voire pas de cas d intoxications ont été recensés. Dans la mesure où seulement trois situations météorologiques à risque se sont présentées durant les deux derniers automnes, il est difficile à ce stade de tirer des conclusions et, plus précisément, de déterminer quel a été l impact des conseils de prévention rappelés à ces occasions. Ainsi il a été décidé de reconduire le partenariat entre l ARS et Météo France et de mettre à nouveau en place le dispositif de pré alerte de septembre à décembre Au delà de cette expérimentation, il est nécessaire de rappeler que les conseils de prévention concernant les chauffages doivent être appliqués tout au long de la période de chauffe (de septembre à mai). En effet si certaines conditions météorologiques favorisent la multiplication des cas d intoxication (phénomène de pics), on recense des intoxications en dehors de ces situations météorologiques spécifiques (en moyenne un cas par jour d intoxication durant les mois de novembre et décembre 2007 et 2008). Ces cas sont essentiellement dus à des défauts d entretien, de ramonage, d utilisation des appareils, à l utilisation prolongée de chauffages mobiles d appoint. 10
12 Conseils de prévention : Comment éviter l intoxication? Entretien et vérification, par un professionnel qualifié, au moins une fois par an, de toutes installations de chauffage et de production d'eau chaude. Le conduit de fumée doit également faire l'objet d'un ramonage mécanique par un professionnel qualifié, au moins une fois par an, pour le nettoyer mais aussi pour vérifier qu'il est en bon état et qu'il n'est pas bouché. L'usage de produits chimiques ne pourra venir qu'en complément du ramonage mécanique annuel. Ne jamais boucher les aérations. Tous les appareils à combustion ont besoin d'air pour bien fonctionner. Les chauffages d'appoint (poêles à pétrole par exemple) doivent être utilisés dans une pièce bien ventilée et ne doivent jamais fonctionner en continu (2 heures en continu au maximum). Allumez votre poêle à charbon seulement quand il fait froid : en cas de redoux, il peut y avoir refoulement des gaz brûlés dans votre logement si votre appareil fonctionne au ralenti. Ne laissez jamais tourner un groupe électrogène dans des espaces clos. 11
13 Exemples d actions et acteurs de prévention En région Nord Pas de Calais, de nombreux acteurs se mobilisent pour sensibiliser la population aux risques liés au monoxyde de carbone. Différents outils sont à la disposition des particuliers, des professionnels de la santé, du logement ou du secteur social, des collectivités ou encore des bailleurs, afin de leur permettre de s informer et de mettre en place, s ils le souhaitent, une action de prévention. Quelques exemples d acteurs et d actions : Action SOS médecins Pour l hiver , les professionnels de SOS Médecin de Lille Roubaix et Tourcoing se sont équipés de détecteurs de monoxyde de carbone afin de repérer lors de leur visite à domicile, d éventuelles situations à risqueetd agir avantl intoxication. Ateliers collectifs Armentières Le COLOLO (Collectif Local Logement) antenne d OSLO (Organisme social de logement) d Armentières propose aux habitants des ateliers collectifs sur le thème du monoxyde de carbone et du logement. Chaque mois, trois sessions sont proposées avec au programme : animations, intervention d expert, discussions... Forums «Bulles d air» Deux forums Bulles d Air ont été organisés en 2010 sur Béthune et Lille par l APPA et la Mutualité Française Nord Pas de Calais. Ces forums étaient destinés aux scolaires, familles et professionnels. Le Centre Antipoison notamment proposé un stand sur la thématique «chauffage et santé». Boulogne sur Mer : Formation des professionnels de terrain Une enquête dans 200 logements de Boulogne sur Mer a permis d informer la population vis à vis du risque monoxyde de carbone mais aussi de former les professionnels du territoire. En mars, deux jours de formations ont été proposés, par les associations APPA et ECLAT, aux professionnels intervenant au domicile afin d accompagner au mieux les familles et d intervenir de manière coordonnée sur la thématique «air intérieur et santé» (professionnels du secteur sanitaire, social, logement ). Ces actions et bien d autres, menées tant en région que sur le plan national, ont été recensées par l APPA. Le répertoire des actions (coordonnées, outils conçus par le porteur de projets ) ainsi qu un grand nombre d outils et d informations (quiz, accès restreint pour les acteurs de terrain ) ont été mis à disposition de la population et des acteurs de prévention via le portail web : 12
14 Adresses utiles ARS du Nord Pas de Calais 556, avenue Willy Brandt Euralille Téléphone : Préfecture du Nord Téléphone : Préfecture du Pas de Calais Téléphone : Centre Antipoison CIRE Nord 556, avenue Willy Brandt Euralille Téléphone : ou 43.87/ ou APPA 235 avenue de la Recherche BP Loos cedex Téléphone : SCHS de Cambrai Hôtel de Ville BP Cambrai Téléphone : SCHS de Croix Hôtel de Ville 187 rue Jean Jaurès Croix Cedex Téléphone : Téléphone : SCHS de Dunkerque Hôtel de Ville Place C. Valentin BP Dunkerque Cedex 1 Téléphone : SCHS de Lille Hôtel de Ville Place Roger Salengro BP Lille Téléphone : SCHS de Roubaix Hôtel de Ville BP Roubaix Téléphone : SCHS de Tourcoing Centre Isabelle Villez 30, avenue Millets Tourcoing Cedex Téléphone : SCHS de Valenciennes Hôtel de Ville Place d'armes BP Valenciennes Téléphone : SCHS de Boulogne sur Mer 90 rue Adolphe Thiers Boulogne sur Mer Téléphone : SCHS de Calais Hôtel de Ville BP Calais Téléphone : SCHS de Douai Hôtel de Ville BP Douai Cedex Téléphone : SCHS de Denain Hôtel de Ville BP Denain 13
15 Glossaire APPA : Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique ARS : Agence Régionale de Santé ASTEE : Association Scientifique et Technique pour l'eau et l'environnement, ex AGHTM CAP : Centre Antipoison CCAS : Centre Communal d Action Sociale CIRE : Cellule de l InVS en région CO : Formule chimique du monoxyde de carbone ECLAT : Espace de Concertation et de Liaison Addiction Tabagisme ERP : Etablissement Recevant du Public HDNO : Habitat et Développement Nord Ouest InVS : Institut de Veille Sanitaire MISP : Médecin Inspecteur de Santé Publique SCHS : Service Communal d Hygiène et de Santé SDIS : Service Départemental d Incendies et de Secours SIRACEDPC : Service Interministériel Régional des Affaires Civiles et Economiques de Défense et de la Protection Civile SMUR : Service Mobile d'urgence et de Réanimation 14
16 APPA Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique Comité Nord-Pas de Calais 235 avenue de la Recherche - BP LOOS Cedex Tel : Fax : postmaster@appanpc.fr Les activités de l APPA, association reconnue d utilité publique et agréée par les ministères en charge de l Environnement et de l Éducation Nationale, se situent à l intersection des domaines de l environnement et de la santé publique. L association a notamment pour mission de coordonner et réaliser des études et programmes de recherche sur la pollution atmosphérique et ses effets sur la santé humaine et l environnement. Elle mobilise à cet effet un réseau de chercheurs issus de disciplines variées (chimie, écotoxicologie, épidémiologie, sciences humaines et sociales...). L APPA assure une veille scientifique dans le domaine santé-environnement, et un transfert des connaissances vers les professionnels et le grand public, notamment par la réalisation de formations, par l'organisation de colloques, de conférences ou de forums, ou encore par le biais de son site internet. Elle constitue une plate-forme de concertation et d échanges entre les différents acteurs de la qualité de l air (scientifiques, professionnels de la santé ou de l environnement, acteurs économiques, élus...). L'association apporte une expertise et un soutien méthodologique et technique aux collectivités et porteurs de projets de la région dans la thématique «santéenvironnement». Elle favorise la mise en réseau des acteurs et met à leur disposition un grand nombre de ressources (outils pédagogiques...). L'APPA se mobilise sur toutes les questions relatives à la qualité de l'air, à l'extérieur comme à l'intérieur des locaux, du niveau global au niveau local : changement climatique, pollution urbaine et industrielle, risque allergique lié aux pollens, intoxications au monoxyde de carbone, environnement domestique... L APPA anime depuis 2005 un groupe de travail régional sur la prévention des intoxications au monoxyde de carbone. L un des objectifs de ce groupe est de favoriser le développement d actions de prévention dans les territoires, en fournissant soutien et ressources aux porteurs de projets, notamment aux collectivités locales.
17 Cellule de l InVS en région ARS Nord Pas-de-Calais 556 avenue Willy Brandt Euralille Etablissement public, placé sous la tutelle du ministère chargé de la Santé, l Institut de veille sanitaire (InVS) réunit les missions de surveillance, de vigilance et d alerte dans tous les domaines de la santé publique. Missions Les missions confiées à l InVS recouvrent : - la surveillance et l observation permanentes de l état de santé de la population L InVS participe au recueil et au traitement des données sur l état de santé de la population à des fins épidémiologiques, en s appuyant notamment sur des correspondants publics et privés constituant le réseau national de santé publique ; - la veille et la vigilance sanitaires L lnvs est chargé de rassembler, analyser et actualiser les connaissances sur les risques sanitaires, leurs causes et leur évolution ; de détecter de manière prospective les facteurs de risque susceptibles de modifier ou d altérer la santé de la population ou de certaines de ses composantes, de manière soudaine ou diffuse ; d étudier et de répertorier, pour chaque type de risque, les populations les plus fragiles ou menacées ; - l'alerte sanitaire L InVS doit informer sans délai le Ministre chargé de la santé en cas de menace pour la santé de la population ou de certaines de ses composantes, quelle qu en soit l origine, et lui recommander toute mesure ou action appropriée pour prévenir la réalisation ou atténuer l impact de cette menace ; - une contribution à la gestion des situations de crise sanitaire L InVS propose aux pouvoirs publics toute mesure ou action nécessaire. Champ d action Les missions de l InVS s appliquent à l ensemble des domaines de la santé publique : - les maladies infectieuses ; - les effets de l environnement sur la santé - les risques d origine professionnelle ; - les maladies chroniques et les traumatismes :; - les risques internationaux et tropicaux : L InVS dispose également d'un réseau régional, les Cellules de l'invs en région (Cire), qui relaient son action et exercent une partie de ses missions au niveau régional. L InVS pilote depuis 2005 le système de surveillance des intoxications au monoxyde de carbone.
18 Les intoxications au monoxyde de carbone dans la région Nord Pas-de- Calais Cellule de l InVS en région Bilan de l année 2009 Conférence de presse régionale 23 septembre 2010
19 Intoxications par le monoxyde de carbone Bilan de l année septembre 2010 Le système de surveillance des intoxications au CO Objectifs : 1 - Alerter sur les cas d intoxication afin de permettre la réalisation d enquêtes techniques et de prendre les mesures de prévention ou de non récidives 2- Décrire les intoxications au CO en terme de répartition spatio-temporelle et caractériser les facteurs de risque 3- Évaluer l efficacité générale de la politique de prévention (évolution de l incidence et de la mortalité) Domaine d application toute suspicion d intoxication au CO survenue dans un logement, dans un établissement recevant du public (ERP), en milieu professionnel, de manière accidentelle, volontaire
20 Intoxications par le monoxyde de carbone Bilan de l année septembre 2010 Intoxications domestiques accidentelles en épisodes signalés 507 personnes intoxiquées Répartition par département: Nord Pas de Calais personnes traitées par oxygénothérapie hyperbare 2 décès ont été recensés Nbre de signalements Nbre de personnes intoxiquées
21 Intoxications par le monoxyde de carbone Bilan de l année septembre 2010 Circonstances des intoxications Les appareils en cause sont principalement des chaudières (39 %), des appareils de chauffage au charbon (24 %), des chauffe-eau (9 %) et des chauffages d appoint (6 %) Les combustibles impliqués sont essentiellement le gaz de réseau (47 %), le charbon (29 %) Répartition par mois des intoxications au CO Autres comb. Charbon Gaz réseau Nbr d'affaires Jan. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc.
22 Intoxications par le monoxyde de carbone Bilan de l année septembre 2010 Evolution du nombre d intoxications 2006* Nbr d'affaires Personnes impliquées Personnes décédées Nbr d'intox / Région NPdC 21,5 19,2 14,8 12,4 Nbr d'intox / France 4,8 5,5 5,1 *Inclut les incendies
DOSSIER DE PRESSE. Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone
DOSSIER DE PRESSE Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone www.intoxco-npdc.fr Septembre 2014 SOMMAIRE Communiqué de presse.. 3 Pourquoi une alerte SMS... 4 Chiffres clés
Plus en détailBulletin de veille sanitaire octobre 2012
CELLULE DE L INVS EN RÉGION BRETAGNE Bulletin de veille sanitaire octobre 01 Les intoxications au monoxyde de carbone survenues en Bretagne en 011 Page 1 Introduction Page Matériel et méthode Le système
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE
SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE Santé environnementale MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Direction de la sécurité civile Sous-direction
Plus en détailUn avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies
Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi
Plus en détailMONOXYDE DE CARBONE UN GAZ INVISIBLE, INODORE MAIS MORTEL
DOSSIER DE PRESSE NOVEMBRE 2005 MONOXYDE DE CARBONE UN GAZ INVISIBLE, INODORE MAIS MORTEL «Maux de tête, vertiges, perte de connaissance, coma, voire décès Le monoxyde de carbone (CO) est invisible, inodore
Plus en détailEntre nous. n 11. Journal des locataires. inclus cahier central détachable. Chers locataires,
n 11 Décembre 2013 Entre nous Journal des locataires Chers locataires, Le Mouvement HLM s est réuni en Congrès à Lille à la fin du mois de septembre. A cette occasion, il a été affiché une volonté de mobiliser
Plus en détail«Votre sécurité, est notre priorité»! D é t e c t e r... E n r e g i s t r e r... C o n s u l t e r... V o i r... T r a n s m e t t r e...
D é t e c t e r... E n r e g i s t r e r... C o n s u l t e r... V o i r... T r a n s m e t t r e... A l e r t e r... «Votre sécurité, est notre priorité»! Copyright photo: Dôme Sécurité exerce dans le
Plus en détailFICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc
FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.
Plus en détailCentre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37
Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailDes gestes à poser en cas d urgence
D I N SU Le Il s agit d une urgence quand : R L L DR R L R MRT L S C U S U M R L TL C D R R R S UR N T MR 09-203-01FA Gouvernement du Québec, 2009 C L D DR C DR S I Composez le 9-1-1 ou appelez le Centre
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2006
DOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2006 Intoxication au monoxyde de carbone Incendies domestiques A la maison, un réflexe en plus, c est un risque en moins! 1 Sommaire Intoxication au monoxyde de carbone et incendies
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détaildéveloppement informatiquee DES ACVC]
Octobre 2010 CALYXIS, pôle d expertise du risque Anthony SIEUW, chargé d études statistiques et de développement informatiquee [BAROMETRE DES ACVC] ] Le 29 Septembre 2010, un questionnaire internet (www.barometre
Plus en détailKen Bell s Sommaire des Abréviations
Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détailNotice de sécurité de votre. installation au gaz naturel
Notice de sécurité de votre installation au gaz naturel 1 Sommaire 2 3 Le gaz naturel, une énergie d avenir 05 Le gaz naturel. Faire bon usage du gaz naturel 07 Description générale de l installation du
Plus en détailguide domestiques des incendies Assurer son logement, c est obligatoire et utile
12 Assurer son logement, c est obligatoire et utile Assurer son logement est une obligation légale. Si un dégât se déclare chez vous et que vous n êtes pas assuré, vous devrez supporter les frais de remise
Plus en détailRéseau de chaleur Cantagrelh. Commune d Onet-le-Château
Réseau de chaleur Cantagrelh Commune d Onet-le-Château Maître d ouvrage : Mairie d Onet-le-château 12, rue des Coquelicots BP 5-12850 Onet le Château Télécopie : 05 65 78 00 91 - www.onet-le-chateau.fr
Plus en détailMode d emploi Détecteur de monoxyde de carbone fonctionnant sur pile BCN 1221
Mode d emploi Détecteur de monoxyde de carbone fonctionnant sur pile BCN 1221 Important : Lisez et conservez ce mode d emploi. Respectez et suivez les indications de sécurité. Index Détecteur de monoxyde
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailL hébergement d urgence en Loire-Atlantique
18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015
Plus en détailETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ
SARL CLAUDE MOREAU 401 rue de Bordeaux 16000 ANGOULEME Tél. : 05 45 94 10 94 - Fax : 05 45 94 66 57 http://www.claude-moreau-diagnostic.com ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ Date de la mission :
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN
TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la
Plus en détailPlans de secours NOMBREUSES VICTIMES
Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,
Plus en détailNF X 50-011 GAZ. Sommaire. Page
Sommaire Page Avant-propos...5 1 Domaine d application...6 2 Caractéristiques...6 3 Conditions générales...6 3.1 Services ou prestations compris dans le contrat d abonnement...6 3.2 Durée et dénonciation...7
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MAINTENANCE DES CHAUDIERES ET DES SYSTEMES DE CLIMATISATION
CENTRE HOSPITALIER 1, rue du Docteur Paul Martinais 37600 LOCHES 02 47 91 33 33 02 47 91 32 00 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MISE EN CONCURRENCE PORTANT SUR MAINTENANCE DES CHAUDIERES ET
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailEtablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil
Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin
Plus en détailLe confort toute l année
Le confort toute l année Altherma de Daikin, c est une solution performante pour le chauffage de votre maison, mais pas seulement! C est aussi votre source d eau chaude sanitaire, ainsi que votre système
Plus en détailRéussir son installation domotique et multimédia
La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7
Plus en détailUn poste central de sécurité, pour quoi faire? XVII e rencontres nationales du GP Sup Clermont-Ferrand - 24 et 25 juin 2004
Un poste central de sécurité, pour quoi faire? XVII e rencontres nationales du GP Sup Clermont-Ferrand - 24 et 25 juin 2004 Présentation du site Rénovation d un site industriel de la Manufacture des Tabacs
Plus en détailPLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE
2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détailRECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)
RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article
Plus en détailSurveillance des toxi infections alimentaires collectives
Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés
Plus en détailCONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES
CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique
Plus en détailen Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts...
Le Chauffage Individuel en Appartement Besoins, Choix du Système, Coûts... www.ale-lyon.org >> Quel est le meilleur système de chauffage chez moi? Il n y a pas de réponse unique, chaque logement et chaque
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailGuide de procédures. Situations d urgence au Nunavik
Guide de procédures Situations d urgence au Nunavik 3 septembre 2014 0 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 2 1. RÔLES ET RESPONSABILITÉS DES INTERVENANTS... 3 1.1 Le Directeur général ou son représentant,
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Planification d urgence La sécurité s'exprime par plusieurs aspects : maintien de la tranquillité et de l'ordre public, sauvegarde de la sécurité
Plus en détailINAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence
Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des
Plus en détailDéveloppement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire
Développement de systèmes de surveillance en entreprise à l Institut de Veille Sanitaire JL Marchand E Imbernon M Goldberg (Département Santé Travail) Présentation / rappels Département Santé Travail de
Plus en détailAvertisseur de monoxyde de carbone
Avertisseur de monoxyde de carbone À quoi sert l avertisseur de monoxyde de carbone? L avertisseur de monoxyde de carbone est un petit appareil conçu pour mesurer, sur une base continue, la concentration
Plus en détailSommaire... 2. Le mot du Maire... 3. Glossaire... 4. Pour en savoir plus... 4. Qu'est-ce qu'un risque majeur... 5
Sommaire Sommaire... 2 Le mot du Maire... 3 Glossaire... 4 Pour en savoir plus... 4 Qu'est-ce qu'un risque majeur... 5 Les risques naturels... 6 Les inondations... 6 Les phénomènes météorologiques... 7
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailpour dépenser moins Énergie électrique, chauffage et eau chaude
Astuces pour! dépenser moins Énergie électrique, chauffage et eau chaude 2 >>> ÉDITO électricité est une énergie indispensable dans nos logements, L que ce soit pour le chauffage, l éclairage, la production
Plus en détail" Bienvenue chez vous "
" Bienvenue chez vous " Un doute, une question, un problème? JE CONTACTE LE SIRES Guide du locataire entretien du logement Organisme affilié à la Fédération Nationale HABITAT & DEVELOPPEMENT http://www.habitatdeveloppement.fr
Plus en détailSommaire. Séquence 5. Les dangers des combustions. Séance 1. Séance 2. Séance 3. Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5
Sommaire Les dangers des combustions Séance 1 Les combustions incomplètes Séance 2 Les risques d explosion Séance 3 Les risques du tabac Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5 100 Cned, Physique -
Plus en détailAvertisseur de monoxyde de carbone
Page 1 sur 5 http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/santepub/environnement/index.php?avertisseur Santé environnementale > Environnement intérieur > Monoxyde de carbone > Avertisseur Avertisseur de monoxyde
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailGuinée - Epidémie de la Maladie à virus Ebola Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 07 Juin 2015
Rapport de la Situation Epidémiologique Maladie a Virus Ebola en Guinée 7 Juin 215 I. Points saillants Deux (2) nouveaux cas confirmés ont été notifié ce jour dans les préfectures de Forécariah et de Kindia
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailObjet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne
Madame, Monsieur, Objet : Evaluation des audits PAE réalisés en Région wallonne Depuis plusieurs années, les trois Régions et l'etat fédéral ont travaillé au développement d'une procédure commune visant
Plus en détailalarme incendie (feu non maîtrisable)
INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état
Plus en détailDétecteurs de Monoxyde de Carbone avec piles remplacables Modèle 5CO Modèle 5DCO. EN50291-1 : 2010 License No. KM98848
Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec piles remplacables Modèle 5CO Modèle 5DCO EN50291-1 : 2010 License No. KM98848 Sommaire 1. Qu est-ce que le monoxyde de carbone (CO)? 2. Informations de sécurité
Plus en détailBilan électrique français ÉDITION 2014
Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailEquipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable
Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau
Plus en détailDétecteurs de Monoxyde de Carbone Kidde 7CO & 7DCO
Détecteurs de Monoxyde de Carbone Kidde 7CO & 7DCO 7CO 7DCO EN50291-1 : 2010 EN50291-2 : 2010 License No. KM98848 Sommaire 1. Qu est-ce que le monoxyde de carbone (CO)? 2. Informations de sécurité importantes
Plus en détailVotre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout!
Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! «Nous n héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l empruntons à nos enfants» Antoine de Saint-Exupéry
Plus en détailwww.blaupunkt.com Enjoy it. Kit Système d alarme sans fil SA 2700
www.blaupunkt.com Enjoy it. Kit Système d alarme sans fil SA 2700 Complètement sans fil Installation DIY (Do It Yourself = Faites-le vous-même ) Application mobile Communications 3G Grande simplicité,
Plus en détailÉvolution du climat et désertification
Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture
Plus en détailMode d Emploi : RCB : 327 572 970 Page 1 de 9
Mode d Emploi : A lire entièrement et à respecter avant toute utilisation de cet appareil. Ne jamais rajouter de produit d allumage si le foyer est en fonctionnement, attendez le refroidissement du foyer
Plus en détailRISQUES MAJEURS. www.vivre-a-niort.com. Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT. Toutes les informations sur
LES RISQUES MAJEURS Notice d information sur la prévention des risques majeurs À NIORT Toutes les informations sur Définition des Risques majeurs Quels risques à Niort? Le territoire de la commune se trouve
Plus en détailDétecteurs de Monoxyde de Carbone avec pile de 10 ans scellée
2539-7206-01_Ajax_FR.QXP:_ 2014.12.19 12:55 PM Page 1 Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec pile de 10 ans scellée 10LLCO 10LLDCO EN50291-1 : 2010 License No. KM98848 2539-7206-01_Ajax_FR.QXP:_ 2014.12.19
Plus en détailCLASSEMENT - NOTE DE CLARIFICATION -
CLASSEMENT DES VILLAGES DE VACANCES - NOTE DE CLARIFICATION - (REVISION 1) Objet Le présent document a pour objet d apporter des clarifications sur les exigences ou méthodologies d évaluation des critères
Plus en détailIDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE ET DE LA SOCIÉTÉ. APPLICATION ET UTILISATION: Huile en aérosol pour contact accidentel avec la nourriture (ACIA N).
FICHE SIGNALÉTIQUE SECTION #1 IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM COMMERCIAL: NEVASTANE LUBE AEROSOL NOMS CHIMIQUES ET SYNONYMES: MÉLANGE NOM ET ADRESSE DU FABRICANT: TOTAL LUBRIFIANTS
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailFICHE INFORMATION. Répartition individuelle des frais de chauffage. Guide d'information à l'usage des occupants
FICHE INFORMATION Répartition individuelle des frais de chauffage Guide d'information à l'usage des occupants LE RÉPARTITEUR ÉLECTRONIQUE TECHEM Compter une énergie précieuse Vos répartiteurs de chauffage
Plus en détailANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE
ANNEXE 3 ASSISTANCE MÉDICALE - 30 - ANNEXE N 3 ASSISTANCE MÉDICALE (Mutuelle Assistance International, Mutuelle Assistance France) I. CONDITIONS GÉNÉRALES En cas de besoin, chaque bénéficiaire peut, 24
Plus en détail36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE
T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul
Plus en détailDescriptif du dispositif - décembre 2003 -
www.respiralyon.org Descriptif du dispositif - décembre 2003 - Communiqué de presse du 24 novembre 2003 Lancement du dispositif RESPIRALYON La qualité de l air dans l agglomération lyonnaise est l une
Plus en détailPlanification d urgence et gestion de crise en Belgique
Planification d urgence et gestion de crise en Belgique Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 1 21/01/2013 10:29:57 Noodplanning en crisisbeheer_fr.indd 2 21/01/2013 10:29:57 Planification d urgence La sécurité
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailallianceautopropane.com
allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailLa prévention des incendies domestiques
La prévention des incendies domestiques Comment éviter les risques d incendie : vigilance et gestes simples pour tous > Dans la chambre, éteindre complètement les cigarettes et ne pas fumer au lit. > Une
Plus en détailIntoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir
Intoxications collectives en entreprise après incendies de locaux Proposition d une conduite à tenir Dr Fariborz Livardjani Samu de l'environnement (Strasbourg) Dr Véronique Robe AIMT du Bas -Rhin Mai
Plus en détailCe qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire
Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux
Plus en détailURGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels.
Chapitre 113 Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels I. MONSEUR, N. LUBINSKI, V. DUPONT, Dr SICOT, C. MINNE, Dr GOLDSTEIN 1 re
Plus en détailTITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE
TITRE DE LA PRÉSENTATION > TITRE DE LA PARTIE PROJET D ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET TECHNIQUE CIBLE 2 Projet organisation administrative et technique > Sommaire Sommaire PREAMBULE POURQUOI? Les objectifs
Plus en détailLe changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz.
FAQ - Professionnels Thématiques Votre projet Equipements Le marché de l'énergie La société Votre projet Le gaz peut-il être coupé si je change de fournisseur? Non! Le gestionnaire de réseau assure la
Plus en détailNETTOYAGE À L EAU ÉCOLOGIQUE CLEAN
NETTOYAGE À L EAU ÉCOLOGIQUE CLEAN L utilisation et la mise au rebut des produits chimiques étant de plus en plus réglementées, l industrie de la blanchisserie doit utiliser des méthodes de nettoyage plus
Plus en détailChoisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos.
entreposage Choisir et utiliser un détecteur de gaz pour le travail en espace clos. Un détecteur de gaz contribue à déterminer les mesures de prévention et l équipement de protection nécessaires dans le
Plus en détailGuide. Qui fait Quoi dans mon logement? L entretien de mon logement
Guide Qui fait Quoi dans mon logement? L entretien de mon logement L entretien de votre logement Qui fait quoi? Un évier bouché, une chaudière en panne... Que dois je faire? A qui m adresser? Pièce par
Plus en détailPPMS. Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement. Plan Particulier de Mise en Sureté
PPMS Ce recueil de tableaux vous guidera dans la conception et dans la présentation du PPMS de l établissement Page 1 1 IDENTIFICATION DE L ETABLISSEMENT Année de réalisation du PPMS Nom de l établissement
Plus en détailUnion des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O
Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détail