RAPPORT EVALUATION RAPIDE MULTISECTORIELLE
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- Didier Hippolyte Lafleur
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1 RAPPORT EVALUATION RAPIDE MULTISECTORIELLE COMMUNE URBAINE DE SEGOU ACTED Siège 33, rue Godot de Mauroy Paris, France Tel Fax paris@acted.org Site web EVALUATION RAPIDE - JANVIER 2013 Bureau d ACTED au MALI Porte 111 Rue 240 BP E 985 Quartier Hippodrome Bamako, Mali nicolas.robe@acted.org
2 CARTOGRAPHIE REGIONALE Quartiers visités lors de l évaluation rapide Medine Bougoufie Somono Thierola Sido Sonikoura Djerela I Segou coura somona Djerela II Bagadadji Dembelela Bamanan Alamssani Mission Darsalam COMATEX Missira Bannissabakoro Hamdallaye A Sokalakono 2
3 1. CADRE DE L ENQUETE A. CONTEXTE Fin décembre 2012, l ONU a autorisé le déploiement d'une force militaire africaine dans le nord du Mali pour une durée d au moins un an, afin d apporter un soutien à l armée malienne pour l aider à reprendre le contrôle des territoires du nord du pays. Début janvier 2013, suite à une avancée des groupes rebelles vers le sud (des combats ont démarré dans la ville de Konna à 60 km au nord de Mopti), la France a lancé une offensive militaire pour soutenir le Mali et appuyer l entrée de la force africaine. Enfin, dans la soirée du 11 janvier 2013, l état d urgence a été déclaré par une allocution télévisée du président de la République du Mali par intérim. Une offensive militaire menée par la France en tandem avec les forces maliennes est actuellement en cours pour reprendre le contrôle des villes du nord, en attendant le renfort d une force africaine multilatérale pour stabiliser les zones qui étaient précédemment sous le contrôle des différents groupes armés. Les affrontements entre les forces armées (françaises et maliennes) et les différents groupes armés auraient donné lieu à des déplacements de populations civiles fuyant les zones de combats, notamment vers les grandes villes telles que la Commune urbaine de Ségou. Suite à ces évènements survenus dans la ville de Konna, ACTED a envoyé une équipe dans la ville de Ségou afin de mener une évaluation rapide et multisectorielle, en se focalisant sur les besoins actuels et les sources de vulnérabilité des populations déplacées récemment arrivées dans la ville Ségou. B. METHODOLOGIE L objectif de cette évaluation était de collecter des informations sur les mouvements de population, les conditions de vie ainsi que la vulnérabilité des nouvelles personnes déplacées dans la Commune de Ségou. Il s agissait également d obtenir des informations sur l accès aux services de base dans la ville de Ségou (EHA, Santé). Il convient de préciser que cette évaluation rapide visait en priorité à évaluer la capacité d absorption des zones d accueil dans lesquelles les personnes déplacées récemment arrivées à Ségou se sont installées, et n avait pas vocation à recenser précisément le nombre de personnes déplacées nouvellement arrivées dans la zone bien que des estimations aient pu être obtenues à cet égard. La commune urbaine de Ségou est composée de 19 quartiers, dans lesquels l équipe d ACTED s est rendue afin de réaliser des entretiens avec les chefs de quartiers ainsi que des focus groupes avec les ménages nouvellement arrivés. Seul le quartier Angoulême n a pu être enquêté, car ACTED n a pu rencontrer son chef de quartier (non disponible au moment de l évaluation rapide) 1. L évaluation rapide a été lancée le 12 janvier et a du être interrompue le 15 janvier pour raisons de sécurité (troubles dans la zone de Diabali). La collecte des données a repris le 20 janvier pour se terminer le 26 janvier. Au total 18 focus groupes (composés de personnes déplacées arrivées dans la ville de Ségou au mois de Janvier) et 18 entretiens (avec les chefs de quartiers et les représentants d autorités locales) ont été réalisés. Dans un premier temps, les équipes d ACTED ont rencontré des représentants des autorités locales 2 et différents leaders communautaires, des personnes ressources ainsi que des personnes déplacées afin de leur présenter la démarche d ACTED. Ensuite, des discussions en focus groupes et entretiens ont été menées auprès des autorités compétentes et des personnes déplacées, à l aide d un questionnaire semi-structuré élaboré au préalable par ACTED. L utilisation de cette méthode d enquête a ainsi permis à ACTED de collecter des informations clés, de façon rapide et flexible, tout en couvrant plusieurs quartiers de la commune urbaine en peu de temps. 2 Protection Civile, Développement Sociale, Direction Régionale de la Santé (DRS), Direction Régionale de l Hydraulique et les Autorités Municipales 3
4 2. SYNTHESE DES RESULTATS A. MOUVEMENTS DE POPULATION Selon les informations recueillies auprès des chefs de quartier et des personnes déplacées, au total plus de 526 familles déplacées seraient récemment arrivées dans ces quartiers (entre le 9 et le 20 janvier 2013). La répartition de la population déplacée nouvellement arrivée sur Ségou est détaillée par quartier dans le tableau ci-dessous. Medine Quartier Ménages nouvellement arrivés 8 Bougoufie Quartier Ménages nouvellement arrivés Recensement en cours par les autorités locales Somono Thierola 60 Sido Sonikoura 20 Djerela I 20 Segou Coura Somona 50 Djerela II 30 Bagadadji 80 Dembelela 15 Bamanan 0 Alamssani 40 Mission 0 Darsalam 7 COMATEX 20 Missira 111 Bannissabakoro 20 Hamdallaye A 3 Sokalakono 42 TOTAL 526 ménages identifiés dans la commune urbaine de Ségou La principale cause de déplacement évoquée par les personnes enquêtées est le conflit de manière générale, et plus précisément l intervention militaire en cours. Il convient de signaler que les personnes enquêtées ont mis en avant différentes difficultés liées à leur déplacement, telles que le manque de moyens de transport (bus) en provenance du nord Mali et les restrictions en termes d accès. Les personnes déplacées nouvellement arrivées à Ségou et enquêtées par les agents ACTED sont pour la plupart originaires des communes urbaines de Tombouctou, Gao, Konna, mais aussi de la commune de Diabali. Il convient d ajouter qu aucun camp de déplacés dans la ville de Ségou n a été reporté au cours des enquêtes de l évaluation rapide. La quasi-totalité des personnes interrogées ainsi que les chefs de quartiers ont déclaré s attendre à de nouvelles arrivées de familles déplacées en raison des affrontements liés à l intervention militaire en cours. Toutefois, l évolution récente de la situation de plusieurs villes dont le contrôle a été repris par les armées françaises et maliennes permet de penser qu au contraire, les familles déplacées nouvellement arrivées pourraient prochainement retourner dans leurs villages d origine si la situation sécuritaire le permet. B. ABRIS / HEBERGEMENT Les discussions menées en focus groupes ont permis de constater que l ensemble des personnes déplacées nouvellement arrivées sont installées soit dans des familles d accueil, soit dans des logements en location. Plus précisément, une grande majorité des familles déplacées récemment arrivées à Ségou sont installées en familles d accueil (en général des proches), tandis que les familles déplacées installées en location sont plus rares et difficiles à localiser. Selon les chefs de quartiers interrogés, la grande majorité des familles déplacées récemment arrivées à Ségou ne sont pas dispersées dans plusieurs foyers et ont pu effectuer le déplacement ensemble. Parmi leurs principales préoccupations en termes d abris, les personnes déplacées soulignent le surpeuplement actuel des abris notamment au sein des familles d accueil (15 focus groups sur 18), ainsi que le manque d équipements domestique des familles déplacées (16 focus groupes sur 18). 4
5 C. SECURITE ALIMENTAIRE ET BIENS NON ALIMENTAIRES Dans 50% des quartiers où les ménages déplacés ont été enquêtés (soit 9 quartier sur 18), la plupart des personnes déplacées consomment à l heure actuelle un repas par jour en moyenne. Les principales préoccupations formulées par les chefs de quartier liées à la nourriture concernent : 1) le manque de nourriture au sein des familles d accueil, et 2) le manque de moyens financiers des familles déplacées et des familles d accueil pour pouvoir acheter de la nourriture (voir plus bas). L approvisionnement en nourriture se fait, pour la plupart des personnes enquêtées (67%), sur le marché. Il convient de souligner que, dans les quartiers de Médine, Bougoufie, Sido Sonikoura et Sokolakono, l aide d une ONG a également été notifiée comme source d approvisionnement en nourriture. En effet, les chefs des quartiers de Médine, Bougoufie, Sido Sonikoura et Sokolakono, ont déclaré que leurs quartiers avaient bénéficié d une assistance humanitaire dans les 6 derniers mois. Ainsi le quartier de Médine reçoit actuellement de la nourriture, des liquidités et des biens non alimentaires destinés aux personnes déplacées. Le quartier de Bougoufiè a, quant à lui, bénéficié d une assistance en nourriture, biens non alimentaires et liquidités, ainsi qu en matière de nutrition et d éducation à destination des populations autochtones. Le quartier Sido Soninkoura a également bénéficié d une assistance en nourriture et biens non alimentaires destinée aux personnes déplacées. Enfin, le quartier de Sokolakono a bénéficié d une assistance en nourriture. 5
6 D. SANTE ET NUTRITION Sur les 18 quartiers enquêtés, au moins 11 quartiers disposent d un centre de santé dans le quartier ou à une distance inférieure à 1 km. L évaluation rapide a aussi permis de confirmer que tous les centres de santé identifiés sont opérationnels à l heure actuelle, en état de fonctionner et ont du personnel qualifié à disposition. Les participants aux discussions en focus groupes ont confirmé que ces différents centres de santé étaient habituellement utilisés par les habitants. Cependant, sur 18 chefs de quartiers enquêtés, seulement 4 (Médine, Darsalam, Bamanan et Bannissabakoro) déclarent avoir connaissance d un programme de prise en charge nutritionnelle actuellement en cours et accessible dans les centres de santé de leur communauté. Les chefs de quartier soulignent la nécessité d équiper les centres de santé en intrants nutritionnels et en kits de dépistage couplés avec des programmes de dépistage de la malnutrition, afin d identifier plus rapidement les cas de malnutrition sur l ensemble de la Commune de Ségou. A titre d exemple, il y a seulement 3 quartiers (sur 18) qui disposent actuellement d un stock d intrants nutritionnels. E. EAU POTABLE, HYGIENE ET ASSAINISSEMENT La totalité des quartiers visités est reliée au réseau d eau de la ville. Le quartier COMATEX est la seule exception qui a été reportée lors des focus groupes car ce quartier est situé dans une zone industrielle, ce qui signifie que ce sont plutôt les industries qui sont reliées au réseau d eau et non les différentes habitations. En plus des connexions au réseau d eau de la ville, différents points d eau collectifs existant dans la Commune de Ségou ont été mentionnés lors des focus groupes, tels que les bornes fontaines, les puits ouverts non protégés et les pompes manuelles. Hormis dans le quartier COMATEX, ces installations sont fonctionnelles. En revanche, s agissant des besoins en eau de consommation des familles déplacées, un constat récurrent a été relevé lors de plusieurs focus groupes concernant l éloignement des points d eau communautaires (14 quartiers sur 18 seraient concernés). Cette contrainte devient très problématique si les familles déplacées n ont pas de capacités de stockage d eau suffisante, faute de matériel. De façon plus inquiétante, plusieurs chefs de quartier interrogés (14 quartiers sur 18) ont déclaré que moins de 25% des familles hôtes avaient accès à une quantité suffisante de savon. En ce qui concerne les latrines, la majorité des familles résidentes dans la commune urbaine de Ségou utilisent habituellement des «latrines familiales». Il sera intéressant de comparer cette information par rapport aux quartiers périphériques de la commune urbaine de Ségou (Pélengana et Sébougo notamment), afin de voir le niveau d accès aux latrines familiales dans des zones d accueil plus éloignées du réseau de la ville. S agissant du niveau de pression que les familles déplacées exercent ou exerceront sur les infrastructures EHA de la commune, il est en revanche trop tôt pour évaluer cette donnée avec précision, dans la mesure où les nouvelles arrivées sont très récentes, encore difficilement localisables et compte tenu de l incertitude quant aux intentions de retour des familles déplacées. F. ASSISTANCE HUMANITAIRE ET BESOINS DECLARES Pour 17 chefs de quartier sur 18 enquêtés, le besoin identifié le plus important est l aide alimentaire. En effet, il convient de rappeler que plusieurs familles déplacées ont déjà mis en place des stratégies d adaptation destructrices depuis leur arrivée telle que la réduction du nombre de repas. Le deuxième besoin identifié est l aide financière (pour les familles hôtes et les familles déplacées), suivi d un meilleur accès aux soins médicaux au niveau local. Ci-dessous figurent les principaux besoins identifiés par les personnes déplacées par ordre de priorité. 1) L aide alimentaire (notamment des stocks de riz) 2) La fourniture de biens non-alimentaires de base (notamment du matériel de couchage, des ustensiles de cuisine, etc.) 3) Les soins médicaux (notamment l accès aux médicaments) 6
7 3. CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS Cette évaluation rapide a été menée par ACTED afin d identifier les différentes zones d accueil dans la commune urbaine de Ségou, de faire un premier état des lieux des conditions de vie des populations déplacées récemment arrivées dans la ville, et d évaluer les capacités d absorption actuelles des principaux services de base. Cette série d enquêtes, menées au moyen de focus groupes au niveau des quartiers et d entretiens avec plusieurs représentants d autorités locales, ont permis de mettre en évidence un certain niveau de vulnérabilité des familles récemment arrivées dans la commune urbaine de Ségou, notamment en matière de sécurité alimentaire, de besoins en biens non-alimentaires et d abri. Des données supplémentaires sur les conditions de vie des familles déplacées et sur l état des services de base dans les quartiers périphériques de la ville, telles que Pélengana et Sébougo, sont également en cours d analyse. Il semblerait en effet que ces zones aient une capacité d accueil supérieure à celle de la commune urbaine de Ségou (en termes d espace, d accessibilité et de coûts), mais soient cependant moins bien équipées en services de base. A l heure actuelle, il est difficile de savoir quelle sera la durée du déplacement de ces familles dont la plupart attendent d avoir plus de certitudes sur les conditions de sécurité dans leur lieu d origine (en prévision d un éventuel retour). Toutefois, en dépit de cette incertitude quant à l évolution de la situation de ces ménages déplacés, il est important de : Surveiller la situation sanitaire dans les quartiers qui ont un accès limité aux systèmes d approvisionnement en eau de la ville (tels que le quartier de la COMATEX par exemple) et dans les quartiers périphériques de la ville (Pélengana et Sébougo) Maintenir un contact régulier avec les chefs de quartier afin de faire remonter les informations sur l ensemble de la commune urbaine de façon rapide Continuer les activités de sécurité alimentaire en prenant en compte les arrivées des dernières personnes déplacées Apporter une aide en nourriture et en biens non alimentaires si la situation perdure Effectuer des distributions de kits d hygiène Sensibiliser et soutenir les populations sur les bonnes pratiques EHA (lavage des mains notamment) 7
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