P R I S E D E P O S I T A C T U A L I T É D U C B É N É V O L A T. Couple et. notre propre habitat, à notre standing. motivent à être bien chez soi.

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1 S O M M A I R E P R I S E D E P O S I T A C T U A L I T É D U C B É N É V O L A T E D I T I O N S L A P A C O U R R I E R I M P R E S S U M CENTRE SOCIAL PROTESTANT A G E N D A A C T U A L I T É EDITION VAUDOISE TRIMESTRIEL Dossier logement Numéro spécial 40 ans des Nouvelles A la maison La fillette venait de finir un dessin. Elle me l a montré puis a demandé: «Est-ce que je peux le prendre à la maison?» J ai dit oui, bien sûr. Avec sa famille, elle logeait depuis des semaines dans un foyer d hébergement qu elle n était pas autorisée à quitter. Pas de maison, ni au bout de la rue, ni au bout de la semaine. «A la maison», le lieu est pourtant bien réel, dans son souvenir et dans son espoir. Jean-Yves Savoy et sa collègue conseillère conjugale à Profa, Josiane Junod, en ont entendu, des histoires de vie nouées et dénouées autour d un «chez nous» qui se lézarde ou se reconstruit. Ils en ont fait le sujet du symposium qu ils ont organisé en juin, à l occasion de leur départ à la retraite. «Regards croisés» sur le logement: c est devenu le thème de ce numéro des Nouvelles. «La maison» est au cœur de bien des découragements, des attentes, des démarches, comme les divers secteurs du CSP vous le raconteront dans ces pages. L espoir paraît parfois aussi hors de prix que certains appartements Les collaborateurs et collaboratrices du CSP font l impossible pour que les personnes qu ils rencontrent n en soient pas délogées. Hélène Küng directrice Couple et habitat Parler de logement nous renvoie à ronnement immédiat, dépend souvent notre propre habitat, à notre standing de vie, à nos valeurs, celles salaire, mais pas seulement. Le choix du de critères économiques, c est-à-dire du dont nous sommes héritiers et celles qui logement comme celui du mobilier, les nous sont plus personnelles et qui nous objets familiers, leur disposition dans motivent à être bien chez soi. chaque pièce de l appartement, dépendent L espace de la consultation conjugale aussi de la relation au sein du couple et de laisse apparaître comment l habitat est la signification pour chaque partenaire de révélateur du projet du couple et des ces éléments. Et là, intervient cette part attentes de chaque partenaire: le choix cachée de chacun que l on appelle «inconscient» et qui se trouve projetée dans de tel logement, de son emplacement à la ville ou à la campagne, de son envi- tout ce qui constitue notre habitat.

2 S O M M A I R E Editorial p. 1 Dossier C O U R RLogement I E R pp. 1-9 Promotion de l'intégration p. 4 Dernier billet de Jean-Yves Savoy p. 10 Situation I M P R E Sfinancière S U M à mi-2008 p. 11 Editions La Passerelle p. 12 A G E N D A A C T U A L I T É Le choc qui fait du bien La vente de choc au bénéfice du CSP a lieu cette année les 28, 29 et 30 novembre dans les rues de votre ville, dans votre paroisse. Le CSP est présent dans la rue une fois par année. Pour se faire connaître et rencontrer la population. Cette présence rapporte francs à l institution. 5 francs la plaque de chocolat. Vous pouvez aussi commander des cartons de 12 plaques au prix de 60 francs (port en plus si envoi par poste). Assemblée générale extraordinaire Une Assemblée générale extraordinaire est convoquée le lundi 10 novembre à 20 heures à La Fraternité, Place Arlaud 2 à Lausanne, afin de prendre une décision sur le budget L Assemblée générale est publique. Devenez membre! Vous pouvez aussi devenir membre de l Association du CSP en demandant le formulaire d adhésion à info@csp-vd.ch ou au P R I S E D E P O S I T I O N A C T U A L I T É D U C S P De l'air B É N É V O L A T E D I T I O N S L A P A S S E R Ce couple vit dans un joli appartement, mais il se trouve en désaccord sur ce qui fait le confort. Monsieur ouvre systématiquement les fenêtres et rêve de grand air. Madame recherche un cocon douillet, protecteur. Pour elle, l espace est trop ouvert. Pour lui, il est trop fermé. Impossible également de s entendre sur la température idéale de la maison, madame y a froid, monsieur trop chaud. Alors il ferme les radiateurs et madame les ouvre dès qu il a tourné le dos En parlant de leur histoire familiale, elle dit qu elle a manqué de repères, tout en vivant pourtant dans un environnement confortable. Monsieur, quant à lui, dit avoir été soumis à un père très rigide, préoccupé par le souci d économiser parce que le combustible était cher et ses revenus modestes. Deux histoires de vie se télescopent dans la réalité du couple qu ils forment. Chacun se crée l espace qui lui a manqué. C est ainsi que se manifestent leur différence et le conflit qui en résulte. S ils se sont choisis, ne serait-ce pas pour mettre en commun leur insécurité? Lui a été attiré par son flou à elle, sécurité et confort qu il n a pas connu dans sa famille. Cherche-t-elle chez lui les limites qui lui ont fait défaut dans son histoire? Ce sujet se révèle être extraordinairement riche. Les angles d approche touchant aux questions du logement sont infiniment divers. Du point de vue du conseil conjugal, nous mettons l accent sur la relation qui s est établie dans un couple. Nous cherchons à clarifier les attentes, à dégager son projet, à permettre une prise de distance et une réflexion sur les enjeux qui plombent la relation. La rencontre avec mes collègues au CSP, qui trempent quotidiennement dans les problèmes d expulsion de logement, de difficultés à trouver un logement en raison de précarité économique ou d endettement, m a obligé à avoir un regard plus global sur la question. Je me souviens m être parfois trouvé démuni. C O U R R I E R I M P R E S S U M Trop serrés A G E N D A A C T U A L I T É Angelina et Roberto vivent dans un deux pièces avec 2 enfants. Ils ont de fréquentes disputes. L atmosphère n est pas saine pour les enfants, ni pour ce couple qui peine à avoir une meilleure situation économique. On comprend que la promiscuité peut être source de violence. Et il n y a pas toujours la possibilité de faire un changement significatif: dans ce cas, obtenir un logement plus grand. Le fait d avoir un lieu pour chercher à mettre en place des règles de vie dans l exiguïté de l espace permet de détendre l atmosphère; mais parallèlement, il sera utile à ce couple de trouver une aide pour la recherche d un nouveau logement. Chacun de nous au CSP a le regard spécifique à sa profession. Comme conseillères-ers conjugaux, nous ne sommes pas dans «l agir», ce n est pas notre rôle. Cependant, l apport du conseil conjugal a tout son sens, même dans des situations socialement et économiquement difficiles, comme on le voit ci-dessus. Il m est arrivé de contacter le professionnel qualifié tant au CSP qu au Centre social régional à Yverdon pour faciliter une transmission de situation. Et, à l inverse, de recevoir en consultation des couples adressés par des collègues juristes ou assistants sociaux tout en continuant un travail en parallèle. C est un atout de pouvoir disposer au CSP de cette diversité des approches professionnelles. Jean-Yves Savoy Les textes du Symposium «couple et habitat» organisé par Josiane Junod de Profa et Jean-Yves Savoy sont sur le site: CENTRE SOCIAL PROTESTANT

3 CENTRE SOCIAL PROTESTANT Entendus à la réception du CSP «Je cherche un appartement mais je ne trouve pas, je ne sais plus que faire Je dois quitter le domicile familial, je ne trouve rien» Souvent aussi: «Je ne trouve pas d appartement. J ai des dettes et aucune gérance ne veut me prendre Je n ai pas l argent pour la garantie» D autres appels du Jura ou de Fribourg: «Je me sépare de ma femme, je travaille à Lausanne, je voudrais trouver un logement Pouvez-vous m aider, je suis déjà inscrit dans toutes les gérances». Nous ne pouvons rien faire sinon orienter vers les services sociaux communaux, où ils sont déjà passés! S O M M A I R E La question du logement dans la consultation juridique Si, à première vue, dans nos statistiques, les questions directement liées au droit du bail ou à l expulsion sont proportionnellement faibles, dans l ensemble des consultations juridiques, on s aperçoit pourtant qu elles occupent une place importante. En effet, indirectement, le logement appelle des éclaircissements dans bon nombre d entre elles. A elle seule, l attribution du logement à l un ou l autre des conjoints est considérée dans pratiquement tout entretien sur la séparation ou le divorce. Or, ces consultations constituent plus de la moitié de la matière traitée par les juristes. A noter que le logement ne joue pas non plus de rôle principal dans les Constitutions fédérale et vaudoise. Au chapitre «droits fondamentaux», il n existe pas de droit particulier au logement dans le texte fédéral, si ce n est une phrase consacrée au logement d urgence (article 12). Ce n est qu à la section 8 de la Constitution fédérale et au chapitre 7 de la Constitution vaudoise qu un encouragement à la construction de logements et à l accession à la propriété est inscrit. Très secondaire, la question du logis est largement laissée à l initiative privée. Quelles sont donc les interrogations relatives au logement les plus fréquentes dans les consultations juridiques et quelles réponses le/la juriste peut-il/elle y apporter? J ai choisi d en traiter trois pour leur représentativité, ou pour le manque de moyens juridiques qu elles révèlent. L attribution du logement en cas de séparation ou de divorce Dans ces deux types de situation, le logement familial est clairement attribué au parent qui a la garde des enfants, la volonté du juge étant de préserver l environnement de ces derniers. Cette pratique est la même, quel que soit le type d habitation: location d un appartement ou d une maison, propriété d un-e seul-e des conjoint-e-s ou des deux, etc. Lorsque les enfants sont majeurs ou qu il n y en a pas, les critères sont bien sûr nuancés et fonction des particularités du cas. Le/la juriste informe clairement les conjoint-e-s de leur solidarité entière à l égard du paiement

4 du loyer tant que le bail est aux deux noms, même si le logement n est attribué qu à l un des deux. Cette solidarité s éteint à la signature par tous les intéressés les époux et la gérance d un avenant au contrat l établissant au nom d un seul des deux conjoints. En cas de divorce, le code civil accorde au juge le pouvoir d imposer au bailleur l attribution du bail à l un des conjoints. Dans les deux cas, séparation et divorce, l étendue du droit de visite du parent non gardien peut directement dépendre de l existence d un logement adéquat à l accueil des enfants. Contrat de bail au nom de deux colocataires ni mariés ni liés par un partenariat enregistré Lorsque seul l un ou l'une des colocataires souhaite quitter l appartement et donc être libéré-e des obligations découlant du contrat de bail, il/elle est pratiquement assujetti-e à la bonne volonté de son/sa colocataire et contraint-e à la négociation. Par exemple, à la fin d une union libre conflictuelle, l intéressé-e peut être longtemps et durement tenu-e par l attitude peu coopérante de son/sa colocataire. Le/ la juriste n a malheureusement pas de solution rapide et contraignante pour mettre fin à un tel conflit, la loi renvoyant alors, dans les faits, les parties à s entendre. Expulsion Dans ce domaine, curieusement, le/la client-e consulte souvent le/la juriste, ou les assistantes sociales, alors que l expulsion du logement est imminente. A ce stade, le bailleur accepte rarement de renoncer à mener la procédure jusqu à sa terrible fin. Il est le seul à pouvoir prendre la décision de suspendre, voire de renoncer à la procédure d expulsion. La loi l autorise en effet à exiger l exécution forcée aussitôt que le ou la locataire, régulièrement mis-e en demeure de régler dans les trente jours des arriérés de loyers ou de frais accessoires justifiés, ne les a pas payés et a reçu la résiliation de son bail à loyer. Trop de locataires pensent encore que, même passé le délai de mise en demeure, ils et elles sont protégé-e-s par le paiement de la totalité des sommes dues. Dans le contexte actuel du marché formidablement difficile du logement, la plupart des bailleurs saisissent la légitimité de la procédure d expulsion et restent complètement fermés aux considérations d ordre familial ou simplement humain. Les exceptions existent Restent beaucoup de questions intéressantes, comme l interaction perverse entre des prestations d assurances sociales et le logement, les exigences de police des étrangers relatives à la dimension du logement et l admission du regroupement familial, l attribution du logement à la suite d'un décès, etc., des cas pour lesquels l intéressé doit se débrouiller seul. Mercedes Vazquez, juriste Promotion de l intégration Le Centre de Compétence Intégration-CCI de La Fraternité a mis sur pied, le mercredi 28 mai à Aigle, un forum de rencontres destiné à tous les intervenants dans le domaine de l intégration des étrangers-ères des régions Chablais, Riviera et Pays d En-Haut. Un des objectifs de ce Forum était de faire se rencontrer un maximum de personnes impliquées concrètement. Il a été magistralement atteint. C est en effet une centaine de personnes membres d associations, conseillers-ères communaux-ales et municipaux-ales, assistant-e-s sociaux-ales, enseignant-e-s, infirmiers-ères, membres d associations de migrant-e-s (plus d un tiers des participant-e-s d origine étrangère) qui ont pu échanger sur leurs pratiques et expériences, aussi bien professionnelles que de parcours de vie. L introduction du Forum a permis à Mme Magaly Hanselmann, coordinatrice en matière d intégration des étrangers-ères et de prévention du racisme, de poser le cadre de la politique cantonale. Les partenaires ont ensuite pu choisir des ateliers en fonction de leurs intérêts et des thèmes proposés: l école, la vie associative, le droit de la famille, l accueil et l information dans les communes, les cours de français et l interprétariat communautaire. La rencontre s est terminée avec une douzaine de stands d informations sur les différentes associations et institutions actives dans la région et proposant des activités en lien avec l intégration des étrangers-ères. Ce moment convivial a permis de valoriser les actions déjà menées et de prendre des contacts. Un exemple d'atelier: «Cours migration» à Bex René-Luc Thevoz, enseignant, a mis sur pied depuis quatre ans, un «cours migration», dans lequel interviennent différentes personnes. Elles témoignent de leur parcours migratoire et transmettent des informations sur la migration en Suisse à tous les élèves de 7 e année. A la fin du cours, les élèves présentent leur reportage réalisé avec une personne ayant vécu un parcours migratoire. Cet atelier, en plus de transmettre une information passionnante, a stimulé les participant-e-s à mettre sur pied de tels projets. Plus sur le site Cohabitation en milieu rural Le numéro de septembre d Intégration Info présente une orientation nouvelle de la Commission fédérale pour les questions de migrations (CFM) concernant les projets soutenus en milieu rural, ainsi que le dépôt de deux projets intercantonaux suivis par le pôle Intégration de La Fraternité dans des régions qui nous concernent: Chablais et Broye.

5 Dettes et poursuites comme facteurs d exclusion P R I S E D E P O S I T I O N A C T U A L I T É D U C S P B É N É V O L A T E D I T I O N S L A P A S S E Le Service social polyvalent est sollicité par des personnes rencontrant des problèmes d argent et de dettes. De ce fait, il fait plusieurs constatations sur la problématique du logement. Loyer Le prix du logement est un facteur d endettement et de précarité financière chez nos usagers et usagères. On considère que le montant du loyer ne devrait pas dépasser un tiers des revenus. Pourtant, on constate que de plus en plus de personnes ne sont pas en mesure de respecter cette proportion. Si l on considère le revenu de nos usagers et usagères, on remarque que beaucoup auraient droit à des logements subventionnés. Ceux-ci n étant pas en nombre suffisant, les personnes payent souvent un loyer trop cher au regard de leur revenu. Ces deux éléments déstabilisent fortement le budget et contribuent au surendettement des personnes. Retards de paiement et expulsion Aujourd hui, il n est pas rare de voir des personnes ayant du retard dans le paiement de leur loyer, souvent difficile à rattraper. A fortiori, lorsque la gérance, pour récupérer son dû, fait appel à un agent d affaires qui facture au locataire débiteur des honoraires conséquents. Certaines situations dégénèrent jusqu à une résiliation de bail, voire un avis d expulsion. A ce stade, cela devient extrêmement difficile de contrer de telles décisions. Les personnes se retrouvent alors sans logement et souvent avec des poursuites déjà engagées à leur encontre. Spirale infernale des poursuites Une fois que les personnes sont aux poursuites, elles se retrouvent dans une spirale infernale. En effet, les normes en matière de loyer, considérées par l Office des poursuites, contraignent parfois certain-e-s usagers-ères à déménager. Les personnes qui ont un loyer trop élevé au regard de l Office des Poursuites doivent chercher un appartement moins cher, ce qui est excessivement difficile lorsqu on a des poursuites. De fait, les personnes ayant des poursuites ont un accès très limité au logement, y compris subventionné. Les gérances demandent systématiquement une attestation de l Office des poursuites, celles et ceux qui sont sous ce régime sont prétérités, considérés comme personnes insolvables. D autant plus lorsqu il s agit de loyers, on constate que les personnes sont totalement exclues du marché du logement, car un loyer impayé est un critère rédhibitoire pour les gérances. Le principe est le même pour les personnes ayant fait une faillite personnelle. Peu de marge de manœuvre En tant que service social privé, nous nous trouvons démunis face à cette problématique. Nous avons peu de moyens pour accompagner nos usagers-ères dans des recherches de logement. Tout au plus, nous essayons de négocier avec les gérances afin d éviter que les personnes se retrouvent sans logement, mais nous avons peu de marge de manœuvre. Informer et sensibiliser les interlocuteurs C O U R R I E R Le Service social polyvalent a mis sur pied une commission technique mobilisant ses différents interlocuteurs privés et I M P R E S S U M publics, dont un directeur d une gérance immobilière. Le principe est A Gde E pouvoir N D A échanger autour de thèmes transversaux et relever les difficultés que chacun-e rencontre. Par ce biais, le SSP espère A C T U A L I T É sensibiliser les principaux acteurs afin de faire évoluer le débat, entre autres, sur la problématique du logement. Karine Tzaud, assistante sociale Cercle vicieux M. Y. vit seul dans son appartement. Il travaille et son salaire se situe dans la moyenne. En 2005, Monsieur Y. a sollicité un crédit. Quelques années plus tard, la banque chez qui ce monsieur avait contracté ce prêt a engagé une poursuite à son encontre. Il n arrivait plus à faire face aux mensualités contractuelles, au vu du montant de ses charges, notamment de son loyer. Monsieur Y. a trouvé un arrangement avec sa banque qui a accepté de suspendre la procédure des poursuites mais pas de la retirer. Aujourd hui, Monsieur Y. cherche un appartement moins cher pour pouvoir tenir ses engagements auprès de la banque. Mais l accès au logement est restreint, voire impossible, du fait précisément d une inscription à l Office des poursuites qui fait que les gérances ne lui accordent pas leur confiance.

6 S O M M A I R E «Hé viens chez moi j habite chez une copine J ai mon matelas dans la cuisine Alors tu viens si tu veux, tranquille Allez viens» Renaud, 1980 Viens chez moi j habite chez une copine Le problème du logement reste criant d actualité pour les jeunes en formation. Il constitue le 7,5% des motifs de consultation de notre permanence «Apprenti-e-s et jeunes en formation». En formation, en rupture familiale, dans des situations de grande précarité ou simplement en recherche d autonomie, les jeunes qui nous consultent rencontrent d insistantes difficultés à accéder à un logement. Quel garant? Les principales difficultés rencontrées par les jeunes sont liées à leur statut de jeunes «en formation» ainsi qu au prix du logement, que ce soit le prix du loyer ou de la garantie. Reste également la question de la personne qui va se porter garante pour le-la jeune, question d autant plus cruciale dans les cas de rupture familiale (où aucun des parents n accepte de se porter garant) ainsi que dans les cas d endettement familial (où les parents endettés ne peuvent tout simplement pas se porter garants pour leur enfant). Mis à la porte Pour celles et ceux qui vivent de graves tensions familiales mettant en péril la poursuite d une formation, il est indispensable de prendre un logement à soi pour se mettre à l abri de la crise. Certain-e-s se retrouvent parfois mis-es à la porte du logement familial à leur majorité. Ces jeunes traversent alors une période sans avoir de domicile fixe, habitent provisoirement chez des ami-e-s, voire dans des conditions plus précaires encore. Le caractère urgent de ce genre de situation complique encore davantage la recherche d un logement à bon marché. Lorsque les jeunes dépendant financièrement de leurs parents bénéficient d une bourse d études, le loyer n est en principe pris en charge que lorsque la distance entre le logement familial et le lieu de formation est très grande (trajet simple course de plus d une heure trente). Dans ce cas, la participation de l Etat au loyer est plafonnée à 480 francs mensuellement, ce qui est souvent insuffisant. Un toit, mais plus rien pour se nourrir Il est aussi de plus en plus difficile de trouver un logement qui ne dépasse pas les 500 francs mensuels. Nous voyons en effet des jeunes contraint-e-s de prendre des appartements plus chers, malgré un tout petit budget. Ainsi, la part du budget allouée au logement dépasse souvent largement le tiers du budget mensuel. Ce qui a pour conséquence inévitable de mettre en péril l équilibre financier de la personne en formation, qui n a dès lors plus d argent pour se nourrir, pour se vêtir, pour se déplacer ou pour payer ses factures. Quand on sait que le budget d un-e jeune en formation tourne autour des 1500 francs mensuels, c est souvent le début de la spirale de l endettement non-maîtrisé et, à terme, un risque élevé de rupture de formation. Soutiens proposés A Jet Service, même si nous n avons pas de logement à proposer aux

7 CENTRE SOCIAL PROTESTANT jeunes, nous intervenons pour éviter la rupture de la formation, voire pour stabiliser et améliorer la situation avant qu elle ne commence à poser des problèmes de santé (jeunes qui «craquent»). Nous fournissons les listes d adresses de chambres et de foyers qui existent pour les jeunes et en particulier pour celles et ceux qui sont en formation; nous les orientons vers les associations du réseau pouvant mettre à disposition des logements d urgence et de transition; nous adressons les jeunes aux services de logement subventionnés et soutenons si nécessaires ces demandes par des lettres d appui. Dans certains cas plus rares, nous intervenons auprès des gérances pour appuyer la demande de bail en expliquant la situation et notre soutien social à la personne. Dans le cadre d une demande de bourse, et pour justifier la prise d un logement séparé de la famille en cas de graves conflits familiaux, nous aidons le/la jeune à obtenir un certificat médical attestant la nécessité d un logement séparé pour une bonne poursuite de la formation. Toutes ces démarches prennent du temps et de l énergie et sont la preuve d un réel problème de logement pour les jeunes en formation (apprenti-e-s, gymnasien-nes). A quand une réelle politique du logement d urgence et de transition pour des jeunes en formation vivant des situations de graves conflits familiaux mettant en péril la formation? Jet Service «Un lit dans un dortoir, et une intimité qui doit tenir dans une armoire.» Le logement d urgence: un toit Depuis le 1er janvier 2008, toutes les personnes étrangères, non pourvues d une autorisation de séjour ou en procédure d asile ordinaire, sont soumises à l aide d urgence. Ce régime, expérimenté dans un premier temps sur les requérant-e-s d asile ayant dû affronter une non-entrée en matière (NEM), est aujourd hui en phase d extension. L aide d urgence, basée sur l art. 12 de la Constitution fédérale, garantit à tout être humain le droit à la survie. C est dans ce cadre que, dans le canton de Vaud, l EVAM (Etablissement vaudois d accueil des migrants, anciennement FAREAS) est chargé de nourrir, loger, habiller les plus démuni-e-s. Deux modalités de prises en charge sont prévues: La «norme» et l exception pour les personnes vulnérables. Pour les premiers, adultes en pas trop mauvaise santé, une prise en charge minimale et en nature: un lit dans des dortoirs à Vennes ou à Vevey et une intimité qui doit tenir dans une armoire. Trois repas identiques jour après jour et un accès aux soins d urgence. Pour les plus vulnérables (famille avec enfants, personnes souffrant de problèmes médicaux), des foyers d urgences à Bex, Leysin et Lausanne. Au centre du Simplon, sous gare, à Lausanne, ont été installées des familles et des personnes nécessitant des soins médicaux importants. Ici le meilleur de l aide d urgence: une chambre par famille et le droit de se faire à manger dans une cuisine collective avec 9 francs 50 par jour et par personne. C est théoriquement l antichambre du renvoi. Un passage bref avant un départ annoncé comme inéluctable. Pourtant, certain-e-s, depuis des mois, y (sur)vivent. La vie, non conviée, s installe dans ces locaux vétustes, où les chauffe-biberons sont confisqués pour préserver une installation électrique inadaptée. Les enfants, en partance, sont finalement scolarisés. Un enfant est inscrit à l école enfantine de Bellevaux. La mère, sans un sou pour payer le bus, l accompagne, à pied, chaque jour du bas au haut de la ville. Les adultes, souvent à bout, ne supportent plus les cris des enfants survoltés courant entre les étages. Des bénévoles ont mis en place une petite garderie. La Maison de quartier Sous-Gare a ouvert ses portes en matinée pour les enfants et leurs parents. Le lundi soir, les locataires du Simplon, de Vennes et les militant-e-s de la Coordination asile se retrouvent pour un repas. C'est un lieu et un moment de partage et de lutte où émergent les problèmes du quotidien et parfois aussi une solution plus durable. Bien loin du droit du bail, l aide d urgence, c est aussi le logement. Magalie Gafner, juriste

8 Le logement, source et conséquence de précarité A première vue, on serait tenté d affirmer un peu rapidement que la question du logement ne fait pas partie des actions prioritaires du CSP. Pourtant, à l origine du service, au milieu des années soixante, les problèmes liés au bail à loyer occupaient une place importante dans les consultations juridiques. En 1966, le juriste de l époque a contribué à mettre sur pied un Comité de coordination pour l information et la défense des locataires. Ce Comité donnera naissance, en 1969, à l Association vaudoise des locataires (AVLOCA). Dès lors, les personnes qui s adressent au CSP avec des questions spécifiques de logement sont orientées vers ce service spécialisé (actuellement ASLOCA). Une quarantaine d années plus tard, la question du logement dans la situation de maints usagers-ères du CSP peut être qualifiée de plutôt lancinante, bien qu elle ne constitue pas une spécialité du CSP. On la découvre présente, souvent en arrière-plan, mais dans tous les secteurs de consultation. De fait, le contexte général de pénurie de logements et de renchérissement des loyers s applique à toutes et tous, car à moins de disposer d un large budget, d un cercle de relations et d influence étendu et de ne pas être pressé-e, trouver à se loger tourne souvent au casse-tête. Cela soulève bien des angoisses, et à juste titre, puisque se loger fait partie des besoins fondamentaux. Les collaboratrices de l Accueil en sont souvent témoins impuissantes d ailleurs à répondre aux demandes qui leur sont adressées, sinon en réorientant les personnes là où en général elles se sont déjà adressées. Pas d égalité dans ce domaine Il faut constater qu il existe de manière générale une inégalité des chances dans l accès au logement. En effet, les groupes les plus faibles sont les plus prétérités lorsqu il s agit de se loger ou de se reloger. Les groupes particulièrement en difficultés par rapport à l accès au logement sont en effet: les ménages à faibles revenus, les ménages endettés, les jeunes, les personnes de nationalité étrangère et particulièrement de certaines provenances ou celles tributaires de titres de séjour précaires. Ces facteurs sont cumulatifs. Le fait d être bénéficiaire d aide sociale, de souffrir d addictions, ou de certains troubles psychiatriques, ou d avoir un «casier résidentiel» (pour loyers dus / pour comportement) est encore disqualifiant. Cette situation est renforcée par la sélection par le haut qui s exerce dans les politiques d attribution de logements: les critères d attribution des logements par les bailleurs répondent en effet très souvent à une logique de gestion des risques, qui contribue à maintenir l exclusion des groupes les plus précarisés. Du fait de ce lien entre diverses précarités sociales et difficultés de logement, on comprend pourquoi les problèmes de logement sont présents dans différentes consultations du CSP. Multiples facettes de la précarité face au logement Jet Service, qui intervient auprès de jeunes rencontrant diverses difficultés, est bien placé pour observer combien les jeunes, dont la situation financière est insécure, sont confronté-e-s aux difficultés d accès au logement, et au manque de solutions pour y faire face. Dans la consultation spécialisée des problèmes d argent et de dettes du Service social polyvalent, l évidence de l articulation entre précarité financière et logement est monnaie courante. Ce service observe l extraordinaire fardeau que représente le fait d être endetté-e que ce soit en cas de recherche de logement, ou dans les situations de perte de logement et dans les difficultés qui s ensuivent pour S O M M A I R E se reloger, tout cela conduisant parfois à des problèmes circulaires irrésolubles. Parmi les nouvelles situations d endettement prises en charge en 2007 par ce service, des retards dans le paiement des loyers sont même présents dans 20% des situations. Actif auprès des personnes immigrées, La Fraternité est également souvent témoin quasi impuissant de la permanence de la précarité de la population étrangère en ce qui concerne le logement. Les immigré-e-s sont en effet particulièrement prétérités sur ce plan, que ce soit par des conditions de logement souvent bien inférieures à celles de référence en Suisse et par la discrimination qui peut s exercer à leur égard dans l accès aux logements et dans leurs chances dans la concurrence pour obtenir un logement. Cela permet également de concevoir pourquoi le thème du logement s intègre dans les démarches de promotion de l intégration des personnes de nationalité étrangère. Plus le statut des personnes est précaire, et plus les difficultés peuvent s avérer importantes, comme le montrent les difficiles situations des sans-papiers et des requérant-e-s d asile, dont les situations sont pourtant très différentes. On peut noter qu aussi bien le service juridique que le service de consultation conjugale sont confrontés à des problématiques de logement qui apparaissent en articulation avec d autres, très fréquentes dans ces consultations: notamment à toutes sortes de questions, voire de problèmes de logement qui s inscrivent dans le contexte des séparations et des divorces. En avoir un, oui, encore faut-il pouvoir le garder Accéder à un logement est donc souvent difficile Mais conserver son logement dans ce contexte revêt un enjeu particulier. Dans les services sociaux, on entend souvent évoquer les P R I S E D E P O S I T I O N

9 CENTRE SOCIAL PROTESTANT S O M M A I R E situations plutôt dramatiques des personnes ou familles qui font l objet d une décision d exécution forcée, c est-à-dire d une expulsion. Il est pourtant pratiquement impossible de se faire une idée précise du volume de ces expulsions. En effet, il n existe pas de statistique permettant de dénombrer précisément les procédures aboutissant véritablement à une expulsion à l échelle du canton de Vaud et, du côté de l Office fédéral du logement, la réponse est plutôt maigre, puisqu en l absence de chiffres, on nous renvoie aux services sociaux du canton de Genève. Dans certains cantons, et le canton de Vaud en fait partie, il existe en effet une pratique consistant à informer systématiquement les services sociaux des décisions d expulsion. A première vue, ces derniers sont les mieux placés pour dénombrer les expulsions effectives, ce qui ne résout pas la question des chiffres, puisqu il n y a pas à l heure actuelle de recension pour ce qui est du canton. Nous avons finalement obtenu des chiffres en nous adressant à l Unité logement du Service social de la Ville de Lausanne. Cela renforce le constat que l on peut faire quant à la politique très active développée par Lausanne pour répondre aux problèmes de logement. Lausanne dispose, et de loin, de la plus forte densité de logements subventionnés, bien qu en nombre chroniquement insuffisant (un déficit d environ 1'000 logements subventionnés). Lausanne a mis en place un service particulier pour répondre aux problèmes de logement, l Unité logement, qui propose un accompagnement et une aide au relogement, des logements de secours et un service de garde-meubles. Lausanne encore, qui soutient l association du Relais dans le développement de logements de transition. P R I S E D E P O S I T I O N A C T U A L I T É D U C S P B É N É V O L A T E D I T I O N S L A P A S S E R A Lausanne donc, et pour chacune des deux dernières années, pas loin de 100 expulsions ont été exécutées sur les 200 annoncées. Concernant cette commune, qui a particulièrement empoigné les problèmes liés au logement, la réalité de ces chiffres démontre l extrême difficulté qui se présente dans la lutte contre le processus d expulsion. En effet, et même si des solutions sont trouvées, notamment pour payer des loyers en retard, les propriétaires ont toute latitude pour décider de stopper ou non une procédure d expulsion. Dans le contexte actuel, au vu des difficultés objectives que rencontrent bon nombre de personnes et de familles pour accéder à un logement, et tenant compte encore du fait que certaines caractéristiques pèsent lourdement sur les chances de se voir octroyer un logement, on peut se représenter les effets désastreux d une expulsion. Se profiler sur le marché du logement après avoir fait l objet d une expulsion ressemble en effet à se lancer dans une course d obstacles en cumulant les handicaps au départ. Pourtant, pas question de renoncer Caroline Regamey, chargée de recherche et politique sociales avec la collaboration de Magalie Gafner, juriste et sociologue Séparation: nouveau groupe de soutien C O U R R I E R I M P R E S S U M A G E N D A Comme chaque année, un nouveau groupe de partage et de soutien pour personnes séparées et divorcées va démarrer cet automne, toujours animé par la conseillère conjugale du CSP, Dominique Lorenz, et le conseiller conjugal de Profa, Ali Hemma Devries, dans le cadre de la «Plateforme consultation conjugale Vaud». Le contenu des séances dépend des personnes en présence. Les animateurs tiennent compte de leurs besoins, de ce qu ils expriment, et un thème peut prendre une, deux, voire trois séances selon les cas. Les sujets suivants peuvent être abordés: l histoire de la séparation (si les personnes souhaitent la raconter); exprimer ses émotions; la tristesse, la colère, la culpabilité; comment vivre la solitude; Les relations avec les enfants avec la famille, les amis; le pardon. Les personnes présentes sont à des étapes différentes de la séparation toute récente, quelques mois, ou plusieurs années. Elles peuvent ainsi se rendre compte, par exemple, de la fluctuation «normale» des émotions, des différents états que peuvent traverser les un-e-s et les autres et bénéficier de leur expérience. Le but pouvant être, dans le meilleur des cas, de découvrir le positif ou de donner un sens à cette épreuve. Infos pratiques: Dix soirées à quinzaine, les lundis de 20h à 21h30, au CSP, Beau-Séjour 28, 1003 Lausanne. Prochain groupe: dès le 3 novembre Participation financière: Fr par soirée (arrangement possible). Entretien préalable avec les animateurs-trices. Inscriptions et renseignements au ou à dominique.lorenz@csp-vd.ch Renseignements: A C T U A L I T É

10 Jean-Yves Savoy Il est «chez lui», bien présent, dans toutes les situations. Aussi un hôte attentif, accueillant, dans ce mystérieux édifice ou chantier? qu est le conseil conjugal. Ou encore un visiteur discret et respectueux du «jardin secret» que lui entrouvre une personne venue le consulter. Jean-Yves Savoy, animateur à Point Fixe, conseiller conjugal, auteur, a rendu la clé de cette maison du CSP qu il a contribué à rendre vivante et chaleureuse, trente ans durant. Et c est dans ce numéro des Nouvelles, consacré au logement, que nous voilà à lui faire signe, sur le pas de la porte qu on voudrait ne pas fermer. Jean-Yves, pour tout cela, et pour elles toutes et eux tous, merci! Hélène Küng Dernier billet J arrive au terme de mon parcours professionnel au CSP. Une trentaine d années, passées à Point Fixe, entre 1979 et 1986 et à la Consultation conjugale à Lausanne et Yverdon jusqu à aujourd hui. J ai beaucoup reçu durant toute cette période. A la fin de ce parcours, j éprouve de l émerveillement et de la reconnaissance pour toute la confiance qui m a été faite tant par les nombreuses personnes et couples que j ai rencontrés et écoutés que par le CSP à travers ses différentes instances: Direction, Comité et collègues de travail. Pendant ces trente ans, j ai aussi écrit dans les Nouvelles du CSP et j ai rendu compte de l activité du secteur dans notre «journal» mensuel interne que nous appelons tout simplement «le Flash». Toutes ces années m apparaissent aussi comme un «Flash». Qu est-ce qu un jour ou trente ans ou un millier, voire un million d années dans notre histoire d humanité? Une poussière de temps, le temps d un éclair. De quoi vraiment ne pas trop se prendre au sérieux! N avais-je pas cité en ouverture du livre «Duo-Duel, étapes de vie en couple», un mot de Georges Haldas: «Nous sommes des particules finies dans l espace-temps, mais habitées par l infini.» J aime bien cette phrase qui m a permis de ne pas me perdre dans l effervescence des sentiments et des émotions dans mon travail à Point Fixe ou à la Consultation conjugale. Grâce à Einstein, nous sommes plus conscients d être dans le monde de la relativité et de la complexité sans que celles-ci n enlèvent rien à la dignité ni à la grandeur de chacun et de chacune. Sur mon ordinateur, il y a une horloge qui marque le temps qui passe. Comme toutes les pendules, elle continuera à marquer le temps après ce 31 août, date à laquelle j aurai rendu ma clé du CSP. Juste avant, il aura fallu trier, classer, remettre et transmettre ce qui convient: à la corbeille à papier, aux archives, à mes collègues, etc. En jetant un regard sur ces années, il me vient l image d un pont ou d une passerelle reliant deux rivages. Je me suis souvent trouvé «entre deux»: Entre deux mondes éloignés et séparés par des préjugés, lorsque je travaillais avec des personnes homosexuelles à Point Fixe. Entre deux partenaires quand je travaillais à la consultation conjugale, Entre deux confessions chrétiennes dans mes diverses activités au CSP et ailleurs. Je me suis trouvé à être ainsi comme un lieu de passage pour faciliter la communication, pour rétablir une relation, pour permettre de faire circuler la parole. Il y a trente ans, j ai «flashé» pour le CSP. Un long flash quand même Tout n a pas toujours été facile. Mais c est là où je me suis trouvé, là où je me suis tenu et c est là aussi que j ai découvert du sens à ma vie. Et même si aujourd hui, je me retire du CSP, tous ces ponts et passerelles demeurent. Ce qui a été vécu est là. Mon merci brille comme un flash, comme un éclair qui contient tout: la lumière et la chaleur qui conviennent bien pour dire tout ce qui me relie à ceux et celles que j ai rencontrés au CSP. Jean-Yves Savoy 10

11 CENTRE SOCIAL PROTESTANT Situation financière à mi-2008 Répartition des recettes du Centre social protestant Vaud Recettes à fin juin Les subventions ainsi que les résultats de la vente d objets d occasion sont dans la cible projetée à mi Les indications du début du 3 e trimestre (juillet) confirment ces résultats. Dons, Recherche de fonds: 43,3% de la cible 2008 est atteinte à fin juin (voir tableau ci-dessous). On peut remarquer: la belle participation des donateurs pour les Nouvelles (vous!): plus de la moitié de la cible de l année, ainsi que des dons divers supérieurs aux prévisions; la belle participation aussi de l Eglise réformée et des paroisses, notamment par la collecte de mars, dont le solde sera reçu en fin d année; encore un effort à fournir dans la recherche de fonds supplémentaires (nouvelles actions, y compris mailings, relances d anciens donateurs ou recherche de nouvelles adresses). Dons Cible 2008 Reçu au Solde à trouver Recherche de fonds Dons: - mailings 370' ' ' Nouvelles 460' ' ' divers et ponctuels 213' '000.- mieux que prévu! - 3'000.- Recherche de fonds supplémentaires 335' ' '500.- Collecte et dons EERV (hors subv.) 115' ' '000.- Total 1'493' ' '500.- Dépenses: globalement, les dépenses sont un peu en-dessous des prévisions à mi-année. Ces nouvelles à mi-année sont encourageantes, mais ne nous permettent pas de diminuer notre effort. Nous devons tenir le budget 2008, vu que les réserves du CSP sont à peine supérieures au déficit prévu. L effort continue, nous sommes motivés à réussir le pari, pour toutes celles et tous ceux qui font appel aux services du CSP, et au nom de toutes celles et tous ceux qui soutiennent ce travail! Hélène Küng 11

12 S O M M A I R E Les Editions La Passerelle du CSP publient 36 chandelles Nouvelles et billets pour carburer. Par Sabine Dormond et Hélène Küng «Des nouvelles pour braver l hiver. Voici un petit livre qu on n attendait pas et qui se révèle l une des toutes belles surprises de cette fin d année. Ecrit à quatre mains par Sabine Dormond (raconteuse d histoires) et Hélène Küng (pasteure), 36 Chandelles déroule autant d histoires de rien du tout, au banal assumé, trop proche de nos vécus pour ne pas être honnêtes. Ce sont des anecdotes (un train pris dans la mauvaise direction, la journée de wellness, ), des souvenirs plus ou moins drôles, de ces moments qu il fait bon raconter sur un coin de table. On en lit une, parfois plusieurs à la suite, et on s étonne de ce qu elles touchent si juste. Avec une maquette belle comme du papier cadeau de Noël, ça fait 36 bonnes raisons pour essayer de prendre la vie du bon côté.» Femina, Les auteures seront à St-Pierre-de-Clages le 24 octobre, et au café Le Sycomore de l Espace culturel des Terreaux le 2 décembre à 19h30. ( 150 pages, illustré, au prix de soutien (en faveur du Service d'aide juridique aux exilé-e-s) de CHF 28. Livres de Jean-Yves Savoy Bulletin de commande ex. Duo-duel. Etapes de vie en couple. Coédité avec Labor et Fides. 1995,184 pages, CHF 26. ex. Couple et aventure. Le couple et l arrivée de l enfant. 2003, 144 pages, CHF 22. Nouveautés P R I S E D E P O S I T I O ex. 36 chandelles. Sabine Dormond et Hélène Küng; illustrations Tassilo Jüdt. 2007, 150 pages, CHF 28. ex. Autorisations de séjour en Suisse. Un guide juridique. Présence, regroupement familial, travail, assurances sociales, par Magalie Gafner, juriste et sociologue. 2008, 120 pages, CHF 21. ex. Parents célibataires. Un guide face à la loi. Allocations, autorité parentale, entretien, impôts, mariage, nationalité, séparation, testament, par Madeleine Denisart et Jean-Pierre Tabin. Nouvelle édition revue par Mercedes Vazquez, juriste. Coédité avec Profa. 2008, 72 pages CHF 18. A adresser aux Editions La Passerelle, Beau-Séjour 28, 1003 Lausanne. % Fax Courriel: passerelle@csp-vd.ch Nom, prénom: Rue: A C T U A L I T É D U C S P B É N É V O L A T E D I T I O N S L A P A S S N postal et ville: Date et signature: CCP C O U R R I E R A votre service I M P R E S S U M à Lausanne A G E N D A Service social polyvalent A C T U A L I T É Service de consultations juridiques Service de consultations conjugales et familiales Jet Service: service pour les jeunes de 16 à 25 ans (apprenti-e-s, bourse du travail, droit des jeunes) La Fraternité: service social pour personnes immigrées Salle d'animation de La Fraternité Mandat pour la promotion de S O M M A I R E l intégration des étrangers-ères Point Fixe: service de prévention sida Dans le reste du canton La Fraternité: mandat pour B R Èla V Epromo- tion de l intégration des étrangers-ères: S Bex, Nyon, Renens, Yverdon-les-Bains Jet Service Riviera: Vevey Consultations juridiques: Bex, Montreux, Morges, Nyon, Orbe, Payerne, Renens, Vevey, Yverdon-les-Bains Consultations conjugales: Oron, Payerne, Yverdon-les-Bains P R I S E D E P O S I T I O N Ramassage, Galetas, Boutiques: Montreux, Morges, Lausanne, Le Mont, Payerne, Yverdon-les-Bains A C T U A L I T É D U C S P Le CSP vit de dons, legs, subventions, et de son activité de seconde main. Renseignements: B É N É V O L A T % Fax: Courriel: info@csp-vd.ch E D I T I O N S L A P A S S E R E En partenariat avec Caritas, EPER et SOS-Asile: Le SAJE (Service d aide juridique aux exilé-e-s), rue Enning 4, 1002 Lausanne % Fax: C 021 O U R351 R I 25 E R52 Courriel: info@saje-vaud.ch I M P R E S S U M Les Nouvelles du CSP Paraît quatre fois par an Editeur responsable Centre social protestant Vaud Beau-Séjour 28, 1003 Lausanne A G E N D A % Fax Courriel: info@csp-vd.ch Rédactrice en chef Evelyne Vaucher Guignard Ont collaboré à ce numéro: Tania Allenbach, Magalie Gafner, Hélène A C Küng, T U ACaroline L I T É Regamey, Jean-Yves Savoy, Fanny Spichiger, Karine Tzaud, Mercedes Vazquez, Jet Service Dessin François Maret Conception Agence WGR Réalisation Jacqueline Yung Impression Imprimerie Paperforms SA, Villars-Sainte-Croix

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