abc Dosage des anticorps anti-transglutaminase dans le diagnostic de la maladie cœliaque de l enfant : résultats d une étude prospective sur cinq ans
|
|
- Florence Geneviève St-Jean
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 abc Ann Biol Clin 2004, 62 : Dosage des anticorps anti-transglutaminase dans le diagnostic de la maladie cœliaque de l enfant : résultats d une étude prospective sur cinq ans L. Laadhar 1 N. Bouaziz 2 M. Ben Ayed 1 M. Chaabouni 2 T. Boudawara 3 M. Hachicha 2 R. Jlidi 3 A. Triki 2 H. Masmoudi 1 1 Laboratoire d immunologie, CHU Habib Bourguiba, Sfax, Tunisie hatem_benhedi_tn@yahoo.fr 2 Service de pédiatrie, CHU Hédi Chaker, Sfax, Tunisie 3 Laboratoire d anatomie et de cytologie pathologiques, CHU Habib Bourguiba, Sfax, Tunisie Article reçu le 24 janvier 2004, accepté le 8 mars 2004 Tirés à part : H. Masmoudi Résumé. Objectif : évaluer l intérêt des IgA anti-transglutaminase dans le diagnostic de la maladie cœliaque de l enfant par rapport aux anticorps antiendomysium et anti-gliadine. Patients et méthodes : 70 enfants atteints de maladie cœliaque (âge moyen : 5 ans et 8 mois) et 99 enfants considérés comme indemnes de maladie cœliaque sur la base du résultat de l étude histologique (âge moyen : 4 ans et 5 mois). Les anticorps anti-transglutaminase étaient recherchés par une technique immunoenzymatique utilisant une transglutaminase humaine recombinante. Les anticorps anti-endomysium étaient recherchés par une technique d immunofluorescence sur coupe d œsophage de singe. Résultats : le taux moyen des IgA anti-transglutaminase était de 101,06 unités chez les malades contre 0,47 unité chez les témoins. Le résultat (qualitatif) des IgA anti-transglutaminase était concordant avec celui des IgA antiendomysium dans 98,8 % des cas. Dans deux cas seulement les deux résultats étaient discordants (+/ et /+). Globalement, les deux marqueurs permettaient d avoir exactement les mêmes sensibilité (90 %), spécificité (98 %), valeur prédictive négative (93,2 %) et positive (96,9 %). Pour les anti-gliadines, les IgG étaient plus sensibles (88,6 %) et les IgA plus spécifiques (93,9 %). Conclusion : les IgA anti-transglutaminase peuvent être utilisés à la place des IgA anti-endomysium comme test sérologique de dépistage et de diagnostic de la maladie cœliaque chez l enfant de plus de 3 ans. Mots clés : maladie cœliaque, transglutaminase tissulaire, endomysium, gliadine, diagnostic Summary. Aim: to evaluate the interest of IgA antibodies to tissue transglutaminase in the diagnosis of children cœliac disease compared with antiendomysium and anti-gliadin antibodies. Subjects and methods: seventy children with cœliac disease (mean age: 5 years and 8 months) and 99 disease controls (mean age: 4 years and 5 months). IgA anti-transglutaminase were tested by ELISA using a human recombinant tissue transglutaminase. IgA anti-endomysium were detected by indirect immunofluorescence on monkey œsophagus. Results: the middle rate of IgA anti-transglutaminase was units in patients and only 0.47 unit in controls. IgA antitransglutaminase and IgA anti-endomysium were in agreement in 98.8% of cases; only two cases were discordant (+/ and /+). Globally, the two markers had the same sensitivity (90%), specificity (98%), negative (93.2%) and positive (96.9%) predictive values. For anti-gliadin antibodies, the IgG were more sensitive (88.6%) and the IgA more specific (93.9%). Conclusion: IgA antitissue transglutaminase can be used instead of IgA anti-endomysium as a serological marker of screening and diagnosis of cœliac disease in children after 3 years. Key words: cœliac disease, tissue transglutaminase, endomysium, gliadin, diagnosis Ann Biol Clin, vol. 62, n 4, juillet-août
2 La maladie cœliaque est une entéropathie sensible au gluten, conçue comme une réponse immunitaire muqueuse inappropriée aux protéines du gluten survenant chez un sujet génétiquement prédisposé et pouvant se traduire sur le plan histologique par des anomalies allant d une hyperlymphocytose intra-épithéliale à une atrophie villositaire totale [1]. Le premier marqueur sérologique utilisé pour le diagnostic de la maladie cœliaque fut le taux d anticorps anti-gliadines (AGd) [2]. Les anticorps anti-réticuline (ARn) et les anticorps anti-endomysium (AEm), décrits respectivement au début des années 1970 et 1980 [3, 4] permettaient l obtention de bien meilleures sensibilités et spécificités par rapport aux immunoglobulines (Ig) A et G anti-gliadines mais avec l inconvénient de nécessiter la mise en œuvre de techniques laborieuses, subjectives et difficilement standardisables. En 1997, Dietrich et al. [5] ont identifié la transglutaminase tissulaire (Tgt), comme étant l antigène majeur reconnu par les anticorps anti-endomysium. Une année après, la même équipe, utilisant un test Elisa (enzyme linked immunosorbent assay) mis au point pour le dosage des IgA anti-transglutaminase (ATg) a publié les résultats d une étude montrant que ces anticorps étaient hautement sensibles et spécifiques de la maladie cœliaque [6]. Depuis, plusieurs équipes ont évalué la sensibilité et la spécificité des ATg ainsi que l intérêt de leur dosage sérique dans le diagnostic de la maladie cœliaque comparativement aux moyens sérologiques habituels (AGd, ARn et AEm) avec des résultats pas toujours concordants. Dans ce travail, nous présentons les résultats de notre étude prospective sur cinq ans. Patients et méthodes Patients Durant la période allant de janvier 1997 à décembre 2001, nous avons colligé 169 enfants admis au service de pédiatrie du CHU Hédi Chaker de Sfax pour suspicion de maladie cœliaque et pour lesquels un prélèvement de sang pour étude sérologique et une fibroscopie œso-gastroduodénale avec étude anatomo-pathologique des biopsies prélevées ont été pratiqués de façon systématique à l admission alors qu ils étaient encore sous régime alimentaire normal. En se basant sur les critères de la Société européenne d hépato-gastro-entérologie et nutrition pédiatriques (Espaghan), le diagnostic de maladie cœliaque a été retenu en cas d atrophie villositaire subtotale ou totale (stades 3 et 4 de Marsh, IV et V de Marche et Matuchansky) avec rémission complète sous régime sans gluten, confirmée en cas de besoin par une deuxième biopsie [7, 8]. Le diagnostic de maladie cœliaque a ainsi été porté chez 70 parmi les 169 enfants de notre série (groupe des malades), les 99 autres enfants de notre série étaient considérés indemnes de maladie cœliaque (groupe témoin). Le groupe des malades était composé de 46 filles et 24 garçons âgés de 4 mois à 16 ans (âge moyen : 5 ans et 8 mois) ; tandis que le groupe témoin comprenait 56 filles et 43 garçons âgés de 3 mois à 17 ans (âge moyen : 4 ans et 5 mois). Méthodes Pour chaque patient, le sérum prélevé a été réparti en quatre aliquots de 0,5 ml environ chacun, conservés aussitôt à 80 C. Les anticorps AGd et AEm ont été recherchés au fur et à mesure du déroulement de l étude ; tandis que les IgA ATg étaient dosés a posteriori à partir de septembre Le dosage des AGd d isotype IgG et IgA a été réalisé par une technique Elisa (Binding Site, Royaume-Uni). La recherche des IgA AEm a été effectuée par immunofluorescence indirecte (IFI) sur coupe d œsophage de singe (Binding Site ) avec révélation à l aide d une antiglobuline de chèvre anti-iga humaines marquée à l isothiocyanate de fluorescéine (Sanofi-Diagnostic Pasteur, France). Le dosage des IgA ATg a été effectué à l aide d une technique Elisa (Binding Site ) utilisant une transglutaminase humaine recombinante. La valeur seuil est fixée à 7 unités par millilitre (U/mL). Le dosage immunonéphélométrique des IgA sériques a été effectué à l aide d un automate BN100 (Behring, Allemagne). Résultats L étude anatomopathologique des biopsies jéjunales a montré une atrophie villositaire totale chez 25 malades et subtotale chez les 45 autres. Dans le groupe témoin, 76 enfants avaient une muqueuse normale, 7 avaient une augmentation du nombre de lymphocytes intra-épithéliaux, 10 avaient une atrophie villositaire partielle (stade 2 de Marsch), les 6 autres avaient des anomalies diverses (giardiase, gastrite). Pour ce qui est de l analyse sérologique, les IgA ATg ainsi que les IgA AEm étaient positifs chez 63 parmi les 70 malades et 2 parmi les 99 témoins ; tandis que les AGd étaient présents respectivement chez 52 cœliaques et 6 non cœliaques pour les IgA et chez 62 malades et 35 témoins pour les IgG. Ainsi, les ATg et les AEm assurent, avec exactement le même taux pour chaque paramètre, les meilleurs résultats en matière de sensibilité (90 %), spécificité (98 %), valeurs prédictives négative (93,2 %) et positive (96,9 %). Pour ce qui est des AGd, les IgA sont plus spécifiques (93,9 %) et les IgG plus sensibles (88,6 %) (tableau I). Le taux moyen des anticorps ATg était de 101,06 U/mL dans le groupe des malades (extrêmes : 0 à 299,5 ; écart 432 Ann Biol Clin, vol. 62, n 4, juillet-août 2004
3 Anti-transglutaminase et maladie cœliaque Tableau I. Sensibilité, spécificité, valeurs prédictives négative et positive des différents marqueurs. Sensibilité Spécificité Valeurs prédictives % % Négative % Positive % IgA ATg ,2 96,9 IgA AEm ,2 96,9 IgG AGd 88,6 64,6 88,9 63,9 IgA AGd 74,3 93,9 83,8 89,6 AGd : anticorps anti-gliadines ; ARn : anticorps anti-réticuline ; AEm : anticorps anti-endomysium ; ATg : anticorps anti-transglutaminase. Tableau II. Profil des anticorps chez les 70 enfants cœliaques. AGd-IgG AGd-IgA AEm-IgA ATg-IgA Nombre % , , , , , , ,8 4 5,7 AGd : anticorps anti-gliadines ; ARn : anticorps anti-réticuline ; AEm : anticorps anti-endomysium ; ATg : anticorps anti-transglutaminase. Tableau III. Profil des anticorps chez les 99 enfants du groupe témoin. AGd-IgG AGd-IgA AEm-IgA ATg-IgA Nombre % 64 64, , AGd : anticorps anti-gliadines ; ARn : anticorps anti-réticuline ; AEm : anticorps anti-endomysium ; ATg : anticorps anti-transglutaminase. type : 60,62) et de 0,47 U/mL chez le groupe témoin (extrêmes :0à23,67 ; écart type : 0,33). Le profil des différents anticorps chez les 70 enfants atteints de maladie cœliaque est rapporté dans le tableau II. On remarque que 62 malades (88,6 %) sont positifs à la fois pour les ATg et les AEm. Cinquante et un parmi eux sont positifs aussi pour les deux isotypes d AGd, tandis que huit ont des IgG AGd en l absence d IgA et un des IgA AGd en l absence d IgG, les deux autres n ayant pas d AGd du tout. Les ATg et les AEm étaient tous les deux négatifs chez 6 malades. Quatre parmi eux n avaient pas du tout d AGd, les 2 autres avaient uniquement des IgG AGd. Parmi ces 6 enfants négatifs à la fois pour les IgA ATg et AEm, 2 avaient moins de 2 ans et 2 autres moins de 3 ans. Un seul de ces 6 enfants avait une atrophie villositaire totale, les 5 autres avaient une atrophie villositaire subtotale, parmi eux le seul cas de déficit en IgA de notre série. Il est intéressant de noter que chez cet enfant cœliaque avec déficit en IgA, les IgG AGd étaient positifs. Le résultat des IgA ATg et des IgA AEm était discordant chez 2 malades, l un avait des ATg (22 U/mL) en l absence d AEm et l autre des AEm en l absence d ATg. Le premier malade avait aussi des IgG AGd, il avait moins de 3 ans ; le deuxième était positif pour les IgG et les IgA AGd, il avait moins de 2 ans. Tous les 2 avaient une atrophie villositaire subtotale. Dans le groupe témoin, 97 enfants étaient négatifs pour les AEm et les ATg (97,97 %). Parmi eux, 64 étaient négatifs aussi pour les AGd, 28 avaient uniquement des IgG AGd et 5 avaient des IgG et des IgA AGd (tableau III). Un seul parmi ces 5 enfants non cœliaques AGd IgG et IgA positifs avait une AVP, il présentait une diarrhée chronique avec giardiase et retard staturo-pondéral ; les 4 autres avaient une muqueuse normale. Deux enfants du groupe témoin étaient positifs à la fois pour les IgA AEm et ATg. L un d eux était positif aussi pour les IgG et les IgA AGd, l autre pour les IgG AGd uniquement. Le premier, un garçon de 10 ans avec IgA ATg à 11,4 U/mL, avait une diarrhée chronique avec giardiase et une muqueuse intestinale normale ; le deuxième, une petite fille de 3 ans avec IgA ATg à 23,6 U/mL, avait un retard staturo-pondéral et était déjà suivi pour diabète insulino-dépendant. Le dosage des IgA chez les 28 enfants du groupe témoin qui étaient positifs pour les IgG AGd seuls, n a décelé de déficit en IgA (IgA < 0,05 g/l) chez aucun d eux. Au total, le résultat des IgA ATg et des IgA AEm était concordant dans 98,8 % des cas (167/169). En incluant les AGd IgG et IgA, le résultat des 4 marqueurs sérologiques étudiés était concordant dans 71,6 % des cas seulement (121/169). Discussion Le diagnostic précoce et le dépistage des formes silencieuses de la maladie cœliaque, permettent en instaurant un régime alimentaire sans gluten, de guérir l entéropathie et d éviter ainsi le développement d autres maladies autoimmunes telles que le diabète insulino-dépendant ou de complications telles que le lymphome intestinal. C est dire toute l importance de disposer de bons marqueurs sérologiques pour le diagnostic de cette maladie qui est loin d être rare surtout dans les pays du bassin méditérranéen où sa prévalence va de 2,6/1 000 à 5,44/1 000 [9, 10]. Les résultats de notre série montrent que les IgA ATg permettent d avoir les mêmes sensibilité, spécificité, va- Ann Biol Clin, vol. 62, n 4, juillet-août
4 Tableau IV. Sensibilité et spécificité des IgA anti-transglutaminase pour le diagnostic de la maladie cœliaque : résultats rapportés dans la littérature. Auteurs Tgt Malades Contrôles Se Enfants Adultes Total Malades Sains Total Sp Dietrich 1998 [6] EFC , ,7 Sulkanen 1998 [23] EFC , ,7 Brusco 1998 [14] EFC , ,2 Seissler 1999 [31] RH 45 95, ,5 Miller 1999 [24] EFC Cut off 4U , ,6 Cut off 6U Troncone 1999 [34] EFC , ,4 Williams 1999 [15] RH ,3 Lock 1999 [16] EFC , ,9 Bazzigaluppi 1999 [32] RH , ,6 Vitoria 1999 [17] EFCP ,1 Koop 2000 [18] EFC Hansson 2000 [19] RH Basso 2001 [20] EFC Fabiani 2001 [11] EFC , , , Leon 2001 [33] EFC 95,3 92,5 EFCP 86 97, ,8 RH 98,8 99,4 Vitoria 2001 [26] RH , Burgin Wolff 2002 [21] RH , , , ,6 Trevisiol 2002 [22] RH ,5 Tonutti 2003 [12] EFC , ,2 < 2 ans 87, ans 96,7 > 14 ans 94,2 Agardh 2003 [13] RH , ,7 Notre étude (2003) RH Tgt : transglutaminase tissulaire ; EFC : extrait de foie de cobaye ; P : purifié ; RH : recombinante humaine ; Se : sensibilité ; Sp : spécificité. leurs prédictives négative et positive que celles obtenues avec les IgA AEm avec des valeurs largement supérieures par rapport aux IgG et IgA AGd. Toutefois, la sensibilité que nous avons obtenue avec les IgA ATg (90 %) est relativement peu élevée comparée aux valeurs rapportées dans la littérature qui sont le plus souvent supérieures à 95 % surtout pour les équipes ayant, comme nous, utilisé de la Tgt humaine recombinante (tableau IV). Le facteur âge peut avoir contribué à cette limitation de la sensibilité des IgA ATg dans notre étude. En effet, tous les patients de notre série sont des enfants âgés de quelques mois à 16 ans (âge moyen : 5 ans et 8 mois) et, parmi les 8 malades cœliaques ATg négatifs, 3 ont moins de 2 ans et 3 sont âgés de2à3ans. Or, il est bien établi que la fréquence des IgA ATg est fortement réduite chez les enfants de moins de 2 ans : 69 % dans l étude multicentrique de Fabiani et al. [11] alors qu elle est de 91,5 % pour l ensemble de la série ; 87,8 % dans l étude multicentrique de Tonutti et al. [12] où elle s élève à 96,7 % pour les enfants de 2 à 14 ans ; et 63,1 % seulement (12/19) dans l étude de Agardh et al. [13] où elle s élève à 93,7 % (45/48) pour les enfants de 2 à 15 ans et à 85,1 % pour l ensemble des enfants de la série. La sensibilité relativement faible (malgré l utilisation d une Tgt humaine recombinante) des IgA ATg rapportée dans cette dernière et toute récente étude, conforte notre résultat et montre l importance de la préci- 434 Ann Biol Clin, vol. 62, n 4, juillet-août 2004
5 Anti-transglutaminase et maladie cœliaque sion de l âge des patients inclus dans les études d estimation de sensibilité. Trois facteurs peuvent contribuer à la surestimation de la sensibilité : l effectif limité de la série, les biais de sélection des malades et le choix d une valeur seuil (cut-off) faible. Ainsi et comme le montre le tableau IV, de nombreuses études ont travaillé sur un échantillon de moins de 40 malades [14-20]. Dans d autres études, les malades sont sélectionnés pour la biopsie sur la base des résultats des AEm et des AGd [21], ou de ceux des ATg, des AEm et du typage HLA [22]. Ainsi, dans l étude de Trevisiol et al. [22] et parmi les malades suspects de maladie cœliaque, aucun des avec anticorps ATg et AEm négatifs n a été biopsié. Un autre biais de sélection est représenté par l exclusion des déficits en IgA (qui sont habituellement IgA ATg négatifs) du groupe des malades cœliaques [23]. Il est intéressant à ce propos de noter que notre série comporte un cas de déficit en IgA qui est justement négatif pour les IgA ATg, AEm et AGd. Pour ce qui est de la valeur seuil et comme le montre l étude de Miller et al. [24], l abaissement du cut-off de 6 U/mL à 4 U/mL permet d augmenter significativement la sensibilité qui passe de 91 à 100 %, cela au prix d une perte notoire en spécificité qui passe de 100 % à 94,7 %. En dehors du facteur âge et pour expliquer la négativité des ATg et des AEm en l absence d un déficit en IgA, certains auteurs ont décrit un sous-groupe de maladie cœliaque avec des IgA ATg et AEm négatifs mais des IgG1 positifs. Ces auteurs avancent l hypothèse d un switch différentiel dû à l apparition d un clone de cellules B produisant des IgG1 au lieu des IgA [25]. Certains auteurs ont rapporté une spécificité absolue (100 %) des IgA ATg pour le diagnostic de la maladie cœliaque. Cependant, leurs études ont été réalisées sur un groupe témoin d effectif limité [21, 26] ou composé uniquement de sujets sains [14, 24]. Le résultat que nous avons trouvé (98 %), confirme la très bonne spécificité des IgA ATg pour le diagnostic de la maladie cœliaque. Concernant la présence d auto-anticorps en l absence d histologie évocatrice de maladie cœliaque, la plupart des auteurs optent pour une surveillance au long cours de ces malades puisque des observations d apparition de maladie cœliaque longtemps après une sérologie positive ont été rapportées [27, 28]. Cependant, Picarelli et al. ont montré que la mise sous régime sans gluten des sujets ayant une diarrhée chronique, des AEm positifs et une muqueuse intestinale normale entraîne la disparition aussi bien des signes cliniques que des marqueurs sérologiques [29]. Deux de nos sujets contrôles avaient des AEm et des ATg positifs. L un d eux était connu diabétique, il avait une atrophie villositaire partielle et des ATg à 23,6 U/mL. Un comptage des lymphocytes intra-épithéliaux de type cd serait intéressant chez ce malade puisque ce type d anomalie a été décrit chez certains malades cœliaques avec biopsie normale [27]. Un typage HLA classe II à la recherche des allèles de susceptibilité DQ2 et DQ8 serait tout aussi intéressant [22]. L association maladie cœliaque et diabète de type 1 étant bien documentée [30], un suivi rigoureux s imposerait au moins pour ce sujet. Bien que exceptionnelle (2 cas sur 169 dans notre série), la discordance des résultats des IgA ATg avec les IgA AEm a été observée par plusieurs auteurs [11, 15, 16, 33-35]. Elle peut être expliquée par l existence d autres auto-antigènes que la Tgt au niveau de la matrice extracellulaire [36], les différences inter-espèces (singe, cobaye, homme) au niveau de la structure des antigènes notamment la Tgt et la plus forte sensibilité des techniques immuno-enzymatiques et radio-immunologiques par rapport aux techniques d immunofluorescence. Conclusion Les résultats de notre étude confirment la très bonne sensiblité et l excellente spécificité des IgA ATg pour le diagnostic de la maladie cœliaque de l enfant. Comme suggéré par les précédentes études, ce test peut remplacer avantageusement les AGd, ARn et AEm pour le dépistage de masse et le diagnostic biologique de la maladie cœliaque. Toutefois et pour bien cibler l indication de la biopsie jéjunale, il y a lieu de tenir compte de l existence de quelques cas de résultats faussement négatifs surtout chez les malades de moins de 3 ans ou ayant un déficit en IgA. Références 1. Schuppan D. Current concepts of celiac disease pathogenesis. Gastroenterology 2000 ; 119 : Berger E. Zur allerggischen Pathogenese der Cöliakie. Bibliotheca Paediatrica 1958 ; 67 (Suppl. 1) : Seah PP, Fry LL, Rossiter MA, Hoffbrand AV, Holbrow EJ. Antireticulin antibodies in childhood celiac disease. Lancet 1971 ; 2 : Chorzelski TP, Sulej J, Tchorzewaska H, Jablonska S, Beutner EH, Kumar V. IgA class endomysium antibodies in dermatitis herpetiformis and celiac disease. Ann NY Acad Sci 1983 ; 420 : Dietrich W, Ehnis T, Bauer M, et al. Identification of tissue transglutaminase as the autoantigen of celiac disease. Nature Med 1997 ; 3 : Dietrich W, Laag E, Schöpper H, et al. Autoantibodies to tissue transglutaminase as predictors of celiac disease. Gastroenterology 1998 ; 115 : Walker-Smith JA, Guandalini S, Schmitz J, Shmerling DH, Visakorpi JK. Revised criteria for diagnosis of celiac disease. Arch Dis Child 1990 ; 65 : Patey-Mariaud De serre N, Verkarre V, Cellier C, Cerf-Bensussan N, Schmitz J, Brouse N. Etiological diagnosis of villous atrophy. Gastroenterol Clin Biol 2000 ; 24 : Ann Biol Clin, vol. 62, n 4, juillet-août
6 9. Catassi C, Fabiani E, Ratsch IM, et al. The celiac iceberg in Italy. A multicentre antigliadin antibodies screening for coeliac disease in schoolage subjects. Acta Pediatr Suppl 1996 ; 412 : Riestra S, Fernandez E, Rodrigo L, Garcia S, Ocio G. Prevalence of coeliac disease in the general population of northern Spain. Strategies of serologic screening. Scand J Gastroenterol 2000 ; 35 : Fabiani E, Catassi C and the International Working Group on EU- TG a. The serum IgA class anti-tissue transglutaminase antibodies in the diagnosis and follow up of celiac disease. Results of an international multi-centre study. Eur J Gastroenterol Hepatol 2001 ; 13 : Tonutti E, Visentini D, Bizzaro N, et al. The role of antitissue transglutaminase assay for the diagnosis and monotoring of coeliac disease : a French-Italian multicentre study. J Clin Pathol 2003 ; 56 : Agardh D, Borulf S, Lernmark A, Ivarsson SA. Issue transglutaminase immunoglobulin isotypes in children with untreated and treated celiac disease. J Pediatr Gastroenterol Nutr 2003 ; 36 : Brusco G, Izzi L, Gorazza GR. Tissue transglutaminase antibodies for coeliac disease screening. Ital J Gastroenterol Hepatol 1998 ; 30 : Williams AJK, Annis P, Lock RJ, Unsworth DJ, Gale EAM, Pingley PJ. Evaluation of high-throughput second antibody radiobinding assay for measuring IgA antibodies to human tissue transglutaminase. J Immun Meth 1999 ; 28 : Lock RJ, Pitcher MCL, Unsworth DJ. IgA anti-tissue transglutaminase as a diagnostic marker of gluten sensitive enteropathy. J Clin Pathol 1999 ; 52 : Vitoria JC, Arrieta A, Arranz C, et al. Antibodies to gliadin, endomysium, and tissue transglutaminase in the diagnosis of celiac disease. J Pediatr Gastroenterol Nutr 1999 ; 29 : Koop I, Ilchmann R, Izzi L, Adragna A, Koop H, Barthelmes H. Detection of autoantibodies against tissue transglutaminase in patients with celiac disease and dermatitis herpetiformis. Am J Gastoenterol 2000 ; 95 : Hansson T, Dahlbom I, Hall J, et al. Antibody reactivity against human and guinea pig tissue transglutaminase in children with celiac disease. J Pediatr Gastroenterol Nutr 2000 ; 30 : Basso D, Gallo N, Guariso G, Pittoni M, Piva MG, Plebani M. Role of anti-transglutaminase, anti-gliadin and anti-endomysium serum antibodies in diagnosing celiac disease : a comparison of four different commercial kits for anti-transglutaminase determination. J Clin Lab Anal 2001 ; 15 : Burgin Wolff A, Dahlbom I, Hadziselimovic F, Petersson CJ. Antibodies against human tissue transglutaminase and endomysium in diagnosing and monitoring celiac disease. Scand J Gastroenterol 2002 ; 37 : Trevisiol C, Ventura A, Baldas V, et al. A reliable screening procedure for coeliac disease in clinical practice. Scand J Gastroenterol 2002 ; 37 : Sulkanen S, Halttunen T, Laurila K, et al. Tissue transglutaminase autoantibody enzyme-linked immunosorbent assay in detecting celiac disease. Gastroenterology 1998 ; 115 : Miller A, Elliot PR, Paspaliaris W, D apice A. Anti-transglutaminase antibodies and coeliac disease. Aust NZJ Med 1999 ; 29 : Picarelli A, Di Tola M, Sabbatella L, et al. Identification of a new coeliac disease subgroup : antiendomysial and anti-transglutaminase antibodies of IgG class in the absence of selective IgA deficiency. J Int Med 2001 ; 249 : Viotora JC, Arrieta A, Ortiz L, Ayesta A. Antibodies to human tissue transglutaminase for the diagnosis of celiac disease. Pediatr Gastroenterol Nutr 2001 ; 33 : Maki M, Holm K, Koskimies S, Hallstrom O, Visakorpi JK. Normal small bowel biopsy followed by celiac disease. Arch Dis Child 1990 ; 65 : Iltanen S, Holm K, Ashorn M, Ruuska T, Laippala P, Maki M. Changing jejunal cd T cell receptor-bearing intraepithelial lymphocyte density in celiac disease. Clin Exp Immunol 1999 ; 117 : Picarelli A, Maiuri L, Mazzili MC, et al. Gluten sensitive disease with mild enteropathy. Gastroenterology 1996 ; 111 : Gilett HR, Ferguson A. Coeliac disease and insulin-dependent diabetes mellitus. Lancet 1997 ; 349 : Seissler J, Boms S, Morgenthaler NG, Mothes T, Boehm BO, Scherbaum WA. Antibodies to human recombinant tissue transglutaminase measured by radioligand assay : evidence for high diagnostic sensitivity for celiac disease. Horm Metab Res 1999 ; 31 : Bazzigaluppi E, Lampasona V, Barera Gvenerando A, et al. Comparison of tissue transglutaminase-specific antibody assays with established antibody measurements for celiac disease. J Autoimmun 1999 ; 12 : Leon F, Camarero C, Pena R, et al. Anti-transglutaminase IgA Elisa : clinical potential and drawbacks in celiac diagnosis. Scand J Gastroenterol 2001 ; 36 : Trancone R, Maurano F, Rossi M, et al. IgA antibodies to tissue transglutaminase : an effective diagnostic test for celiac disease. J Pediatr 1999 ; 134 : Jaskowski TD, Schroder C, Martins TB, Litwin CM, Hill HR. IgA antibodies against endomysium and transglutaminase : a comparaison of methods. J Clin Lab Anal 2001 ; 15 : Lock RJ, Gilmour JEM, Unsworth DJ. Anti-tissue transglutaminase, anti-endomysium and anti-r1-reticulin autoantibodies : the antibody trinity of coeliac disease. Clin Exp Immunol 1999 ; 116 : Ann Biol Clin, vol. 62, n 4, juillet-août 2004
Celiac ttg Anti-Transglutaminase de Tissu humain ELISA
Celiac ttg Anti-Transglutaminase de Tissu humain ELISA IVD ENCART DU PRODUIT REF 37795 Coeliaque ttg IgA ELISA 96 Déterminations REF 37796 Coeliaque ttg IgG ELISA 96 Déterminations UTILISATION PREVUE Test
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détailPremier document international pour la définition de la sensibilité au gluten (Gluten Sensitivity)
Premier document international pour la définition de la sensibilité au gluten (Gluten Sensitivity) Conférence de consensus sur l'intolérance au gluten, Londres 11/12 février 2011 Professeur Alessio Fasano,
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailCeliac G+ Anticorps Peptide Gliadine Désamidée ELISA
Celiac G+ Anticorps Peptide Gliadine Désamidée ELISA IVD ENCART DU PRODUIT REF 41804 Celiac G+ IgA ELISA 96 Déterminations REF 41805 Celiac G+ IgG ELISA 96 Déterminations UTILISATION PREVUE Test ELISA
Plus en détailÉvaluation d un test rapide immuno-chromatographique comme aide à la prophylaxie antitétanique dans un service d urgences
Immunoanalyse et biologie spécialisée (2012) 27, 185 190 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com STRATÉGIES D EXPLORATION FONCTIONNELLE ET DE SUIVI THÉRAPEUTIQUE Évaluation d un test rapide immunochromatographique
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailAnticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne
Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne Pr Gilles EDAN, Dr Emmanuelle LEPAGE, Morgane PIHAN (Interne), Virginie OLIVE, (Attaché de recherche clinique), Neurologie,
Plus en détailDirection des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec
AVIS DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LA RUBÉOLE Comité sur l immunisation du Québec Direction des risques biologiques, environnementaux et occupationnels Institut national de santé publique du Québec Juin
Plus en détailPLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE
PLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES HEPATITES DOCTEUR LAURENT CASTERA SERVICES D HEPATO-GASTROENTEROLOGIE, C.H.U. BORDEAUX Introduction La quantification
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailJournées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS
Surveillance des pace makers et des défibrillateurs Journées de cardiologie Jeudi 31 mai 2012 Dr JM DUPUIS Service de cardiologie CHU ANGERS La stimulation cardiaque La stimulation cardiaque Historique
Plus en détailMedication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.
Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure
Plus en détailÉcho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites. Hervé Monpeyssen AHP
Écho-Doppler thyroïdien : impact sur la prise en charge des hyperthyroïdies iodo-induites Hervé Monpeyssen AHP Hyper Type 1 Hyper Type2 Mécanismes I - «carburant» Iodo-toxique Thyropathie Goitre/TAI/
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Plombémie Plombémie 07PLO1 ; 07PLO2 ; 07PLO3 et 07PLO4 2007 Edition : décembre 2008 Afssaps -143/147, Bd Anatole France F-93285
Plus en détailINTÉRÊT DE LA MESURE DE LA LACTATEMIE APRÈS LES COMPÉTITIONS APPLICATION AU SUIVI DU RECORDMAN OLYMPIQUE DU 400 m. NAGE LIBRE 1984 T.
J.C. CHATARD, J.R. LACOUR, Laboratoire de Physiologie, G.I.P. Exercice Université de St Etienne, UER de Médecine, 30 rue F. Gambon, 42022 St Etienne Cedex M. PAULIN, 7, av. Division Leclerc, 69120 VENNISSIEUX
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailComprendre la MALADIE COELIAQUE
Comprendre la Qu est-ce que la maladie cœliaque? La maladie cœliaque est un trouble des intestins causé par une réaction à l ingestion de gluten, une protéine que l on retrouve dans le blé, le seigle et
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailCoombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation. Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006
Coombs direct positif (et tout ce qui se cache derrière) : Gestion et interprétation Dr J.C. Osselaer, Luxembourg, 14.12.2006 Etiologie d'un Coombs Direct positif 1. Autoanticorps immunisation contre GR
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Anticorps anti-tissus non spécifiques d organe (anticorps anti-mitochondries de type M2) Immuno-pathologie 04ATI2 Janvier 2005
Plus en détailéquilibre glycémique du diabétique insuliné
La télésurveillance t des maladies chroniques à domicile Aide à la décision en diabétologie Docteur Pierre FONTAINE Service de diabétologie, CHRU de Lillle Faculté de médecine, m Université de Lille 2
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailLe Don de Moelle Ça fait pas d mal!
Le Don de Moelle Ça fait pas d mal! J ai de 18 à 50 ans Le Don de Moelle Osseuse Ça m intéresse -1 je demande des infos, je réfléchis. -2 je contacte le centre EFS le plus proche de chez moi. 3- je suis
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailELISA PeliClass human IgG subclass kit REF M1551
Sanquin Reagents Plesmanlaan 5 0 CX Amsterdam The Netherlands Phone: +.0.5.599 Fax: +.0.5.570 Email: reagents@sanquin.nl Website: www.sanquinreagents.com M55/ November 007 ELISA PeliClass human IgG subclass
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailConduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage. Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris
Conduite à tenir devant des troubles digestifs au retour du voyage Laurent Beaugerie Hôpital Saint-Antoine, Paris Troubles digestifs au retour de voyage Diarrhée (> 2 selles/j de consistance anormale)
Plus en détailMaladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012.
Maladie hémolytique du nouveau né. Dr Emmanuel RIGAL Unité d hématologie transfusionelle GENEVE Présentation du 13 janvier 2012. HISTORIQUE Période de DESCRIPTION : -Ictère, Anasarque 1609 Louyse BOURGEOIS
Plus en détailApport d un nouveau test Interféron Gamma
Apport d un nouveau test Interféron Gamma Dr D. Bonnet Service de maladies infectieuses Bichat Claude bernard Tuberculose 1/3 population mondiale infectée par BK Primo infection asymptomatique 90% des
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détail1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.
1.The pronouns me, te, nous, and vous are object pronouns.! Marie t invite au théâtre?!! Oui, elle m invite au théâtre.! Elle te parle au téléphone?!! Oui, elle me parle au téléphone.! Le prof vous regarde?!!!
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détaill interféron-bêta Quelle signification? Faut-il les doser?
1 Les anticorps neutralisant l interféron-bêta Quelle signification? Faut-il les doser? n Si à l échelle d un groupe de patients les NAB ont un effet sur l efficacité du traitement, à l échelle de l individu
Plus en détailÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE
ÉVALUATION DE L UTILISABILITÉ D UN SITE WEB : TESTS D UTILISABILITÉ VERSUS ÉVALUATION HEURISTIQUE BOUTIN MARIO Centre de recherche informatique de Montréal (CRIM), 550, rue Sherbrooke Ouest, Bureau 100,
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailM. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.
Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailComprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE
Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE 1 Objectifs de l étude Comprendre l impact des réseaux sociaux externes ( Facebook, LinkedIn,
Plus en détailMonitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive. C Decoene PH CHRU Lille
Monitoring de l hémoglobine au bloc opératoire Place d une mesure continue non invasive C Decoene PH CHRU Lille objectif Le taux d hémoglobine intervient dans : Le transport d O2 L hémostase L équilibre
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailTests au Gamma Interferon et Tuberculose
Tests au Gamma Interferon et Tuberculose Jean Pierre Zellweger Propriétés des tests Gamma Interferon (IGRAs= Interferon Gamma Release Assays) Dépistent la présence de lymphocytes T sensibilisés àdeux antigènes
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailSeroMP Recombinant IgM
SeroMP Recombinant Trousse pour la détection semi-quantitative par dosage immuno-enzymatique (ELISA) des anticorps anti-mycoplasma pneumoniae dans le sérum humain Notice d emploi Trousse pour 96 déterminations
Plus en détailANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD
ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD Brazil Burkina Faso (Bobo Dioulasso) Cambodia (Phnom Penh) Cameroon (Yaounde) Côte d Ivoire (Abidjan) Senegal (Dakar) Vietnam (Ho Chi Minh City) South Africa,
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détail