AVC chez une personne âgée. Alain Viguier UNV de Toulouse
|
|
- Théophile Rondeau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AVC chez une personne âgée Alain Viguier UNV de Toulouse
2 Toulouse % des AVC en UNV ont plus de 80 ans AVC classe age Purpan % Purpan Rangueil % Rangueil Total AVC % Neuro moins % % % plus % % % Total général AIT classe age Purpan % Purpan Rangueil % Rangueil Total AIT % Neuro moins 80 ans % % % plus 80 ans 36 20% 61 18% 97 19% Total général
3 Toulouse % des AVC sont hospitalisés en gériatrie Ils ont 86 ans d âge moyen
4 Le gériatre sera concerné à la phase aigue (diagnostic, thérapeutiques envisageables), Subaigue (gestion des traitements, des complications, de la rééducation précoce) et pour la prise en charge au long cours (prévention secondaire, perte d autonomie). En tant que Neurologue dans des SI, l exposé sera particulièrement orienté sur la phase aiguë.
5 - PLAN - Généralités et rappels Phase aigue chez le sujet âgé: Les AIC Les AIT Les hématomes Prévention secondaire chez le sujet âgé: La FA - 2 mots clés - Fibrillation Auriculaire / Angiopathie Amyloïde Cérébrale
6 Vascularisation de l encéphale: Le débit dans les vaisseaux cervicaux représente 30% du débit cardiaque Le polygone de Willis
7 Vascularisation de l encéphale: - Le réseau superficiel pial - Les perforantes
8 Autorégulation du Débit Sanguin Cérébral Un mécanisme physiologique de protection
9 Le concept de pénombre ischémique DSC (ml/100g/min) 20 Déficit clinique et électrique Mort cellulaire 0 Temps
10 Physiopathologie générale Le mécanisme final est l occlusion par un thrombus d une artère intracérébrale. Cela entraîne un infarctus dans une zone plus ou moins étendue de parenchyme cérébral. Evolution œdémateuse par réaction inflammatoire puis phase de résorption par les macrophages pouvant aboutir à une cicatrice kystique ou une zone d atrophie cérébrale.
11 Physiopathologie générale Le mécanisme final est l occlusion par un thrombus d une artère intracérébrale. Cela entraîne un infarctus dans une zone plus ou moins étendue de parenchyme cérébral. Evolution œdémateuse par réaction inflammatoire puis phase de résorption par les macrophages pouvant aboutir à une cicatrice kystique ou une zone d atrophie cérébrale. Dans cette zone d infarctus, le parenchyme cérébral est détruit mais également les vaisseaux qui le traversent et il peut se produire une transformation hémorragique.
12 Mécanisme de l occlusion Athéro-thrombose Athérome carotidien Athérome aortique Athérome intra-crânien Embolie cardiaque FA / Flutter IDM Prothèses valvulaires Lacunes Autres: dissections, FOP/ASIA, coagulation
13 Mécanisme de l occlusion Athéro-thrombose Athérome carotidien Athérome aortique Athérome intra-crânien
14 Mécanisme de l occlusion Athéro-thrombose Embolie cardiaques FA / Flutter IDM Prothèses valvulaires
15 Mécanisme de l occlusion Athéro-thrombose Embolies cardiaques Lacunes Représente environ la cause de % des AIC Ce sont des infarctus cérébraux de quelques millimètres de diamètre résultant de l occlusion d une artériole perforante. Ces artérioles se rétrécissent progressivement : lipo-hyalinose dont le déterminant principal est l HTA (+ âge et diabète). L artériole finie par s occlure entraînant la lacune. Elles siègent où se situent les artères perforantes (noyaux gris centraux, capsule interne).
16 Les AVCI constitués 25 à 30 % ont plus de 80 ans, et cette proportion ne va faire que croître. Traitement de la phase aigue La filière Les UNV
17 Traitements d efficacité démontrée à la phase aigue Aspirine UNV rt-pa Pour 1000 patients traités Pour une population de 1 million d habitants Aspirine UNV Rt-PA
18 Adjusted odds ratio OR 2.8 OR 1.5 NTT 5 1.5h 9 3h 15 OR h Time Interval from onset of symptoms to treatment initiation [min] OR 1.2 6h Au maximum : 10 à 15 % des patients éligibles pour le rtpa dans l AMM Et les autres!!! Autres traitements de la phase aigue Elargissement des indications
19 100 AVC Craniectomie - 50 non candidats à un traitement spécifique de la phase aiguë: patients grabataires, nécrose étendue, délai rédhibitoire (> 8 h?), symptômes modérés - 20 candidats «vieux»: 80/90 ans Thrombolyse IV hors AMM - 10 candidats tardifs: réveil, hors délai (4.5 à 8 heures) Autres fibrinolytiques Thrombectomie IA - 5 candidats avec des CI à la lyse IV (AVK, chir récente, ) candidats à une fibrinolyse IV AMM mais dont 5 auront un échec de lyse du caillot: TB, T carotidien, M1 proximal, dissection carotide occlusive. Angioplastie stenting
20 Tout AVC est candidat à un traitement de phase aiguë quelque soit l âge, la sévérité du déficit et l état clinique préexistant. Ce sont les progrès de l imagerie et des dispositifs de désobstruction qui permettent d envisager un traitement Mais quatre impératifs: - Délai (filière) - Accès IRM facile - Neurologues vasculaires - Neuroradiologues interventionnels Prudence Délai/âge/HTA/données IRM Fonce!!! Jeune/occlusion persistante
21 IRM «de l ordre et de la méthode» Diff Flair - état du parenchyme cérébral? - occlusion persistante? - état les vaisseaux cervicaux? TOF T2* Angio RM
22 Diffusion
23 T2 : hypersignal d apparition tardive (rarement avant 8 heures) traduisant l oedème parenchymateux. FLAIR: hypersignal d apparition moins tardive (souvent avant 5-6 heures) traduisant l oedème parenchymateux. T2 / FLAIR T2 (H+24) FLAIR (H+24)
24 FLAIR: hypersignal «vasculaire» moulant les sillons traduisant le ralentissement circulatoire en aval de l occlusion. T2 / FLAIR H +3
25 T2* (écho de gradient) T2* (H+24) T2* (H+24) T2* : Hypersignal d apparition tardive (rarement avant 8 heures). Hyposignal traduisant une éventuelle transformation hémorragique. Rq: un hématome aiguë peut apparaître en isosignal T2* avec seulement une couronne hypo.
26 T2* (écho de gradient) Thrombus IA en hyposignal Veines trans cérébrales riches en desoxyhb
27 TOF / AngioRM
28
29 1/3 des AVCI > 80 ans Pas de sujets > 80 ans dans études randomisées rtpa AMM : CI chez les plus de 80 ans Meta analyse études cohortes n= comparant > 80 ans n= 477 et 80 ans Mortalité 3 mois OR 3.09 (95% CI = ) Favourable outcome OR = 0.53 (95% CI = ) Tendance à exces de SHIC OR = 1.22 (95% CI = ) Engelter et al Age Ageing. 2006;35:
30 SITS-ISTR Stroke > 80 ans mediane 83 ans ans Comparaison à 3 mois mrs 0-2 et mortalité Comparaison HIC symptomatiques SITS : dégradation 4 pts NIHSS dans les 36 h et PH 2 NINDS : toute augmentation du NIHSS avec toute HIC
31 Pas de différence d HIC symptomatiques après ajustement pour les autres facteurs
32 Pas de différence entre et > 80 ans Tendance augmentation graduelle entre 60 et Age associé à augmentation R SHIC
33 Davantage mortalité Moins de sujets indépendants (mrs 0-2)
34 Taux comparables SHIC entre > 80 et 80 ans Mais augmentation graduelle SHIC avec âge Moins bon pronostic mais idem sans thrombolyse Age pas CI absolue en tenant compte autres CI Efficacité sur pronostique?
35 SITS ISTR (dec 2002 Nov 2009) 6166 VISTA neuroprotection trial = contrôles non ( ) = cohorte historique 3472 > 80 ans (moy 84,6 ans) mrs 90 jours (comp distribution) Baseline NIHSS median 12 BMJ, 2010
36 mrs 0-2
37
38 Effet du traitement supérieur chez > 80 ans Majorité inclus dans les 4,5 h Pas d autres limitations en dehors de l âge?
39 L état cognitif ne semble pas augmenter le risque hémorragique mais beaucoup le pronostic.
40 shic (%) 13 (3,8) 12 (10,5) 25 (5,6) 0,03 (OR 2,9) Others independent risk factors for shic : âge, NIHSS
41
42 Extra ischemic haemorrhage : 6 % vs 1%; p=0,017
43 CONCLUSIONS L âge > 80 ans n est pas contre indication! Alteplase IV après SELECTION RIGOUREUSE En respectant bien les autres CI Et en tenant compte encore plus des FR d hémorragie clinique et paraclinique : Taille de la lésion, importance de la restriction (ADC) FR : HTA, diabète Antithrombotiques Leucoaraïose, microsaignements Prise en compte de l état clinique initial et du bénéfice attendu : Etat général, handicap avant AVC, démence > 90 ans???
44 83 ans Diabète (règles hygiéno-diététiques), HTA traitée Chute de sa hauteur et constatation hémiplégie et aphasie 2 h après début des symptômes : Aphasie mixte et PFC dte ; NIHSS 8
45 4 jours après : aggravation soudaine Sous lovenox 0,4 Pas d HTA majeure Coma décérébration droite mydriase gauche
46 Patiente de 83 ans HTA dyslipidemie Hypothyroidie Arrivée à 2 h 45 du début des symptômes Déficit brachio facial droit et extinction sensitive NIHSS 10 Fluctuations cliniques
47 Fibrinolyse à 3 h 30 du début Amélioration clinique rapide TDM à 24 h Echo DTC à H24 : flux symétriques sur M1 FA découverte par la suite Asymptomatique à 3 mois mrs 0
48 Thrombectomie mécanique
49 Stent Solitaire : 90% de ré-ouverture * * Roth Stroke 2010 ; Nayak br J Radiol 2010
50
51 La Filière SI UNV PPR 2014 ( ) Expertise neurologique Le 15 Les Neurologues Les Neuroradiologues
52
53 Résultats activité globale 2014 SI-UNV 1281 patients accueillis patho neuro-vasculaires 924 pathologies neuro-vasculaires 72% Infarctus cérébral 551 (59,6%) AIT 157 (17%) Hématome IC 128 (13,8%) HSA 93 (10%) Tveineuse C 6 21 % ont plus de 80 ans! 75 % ont une IRM
54 Infarctus cérébraux (n= 551) Thrombolyse IV 108 (79 seul TT) T endovasculaire seul 12 Thrombolyse + TT endovasculaire (21,7%) des infarctus cérébraux ont un traitement de phase aigue dont 33 (40% des thrombolyse IV seules) ont plus de 80 ans
55 Les Unités Gériatriques Neuro- Vasculaires
56 Les AIT Définition pragmatique: «l AIT est un infarctus cérébral qui a échoué!» - Même processus lésionnel: occlusion artérielle pattern IRM identique - Mêmes causes: embolie d origine artérielle ou cardiaque exploration identiques - Même risque de récidive précoce urgence thérapeutique L AIT est une urgence diagnostique et thérapeutique
57 HSA corticale Un diagnostic à connaître chez la personne âgée: déficit transitoire en relation avec l Angiopathie Amyloïde Cérébrale
58 Un diagnostic à connaître chez la personne âgée: déficit transitoire en relation avec l Angiopathie Amyloïde Cérébrale
59 Les Hématomes du sujet âgé La nécessité du contrôle de l HTA L extraordinaire prévalence de l AAC
60
61 Localisation / Etiologie Noyaux gris centraux, capsule interne, corona radiata: 50 % Putamen 30 % Thalamus 15 % Noyau Caudé 5 % HTA +++
62 Localisation / Etiologie Lobaires: 50 %. Etiologie tout âges: - HTA 33% - Inconnue 33% - Trouble de la coagulation - MAV / cavernomes - Tumeurs 33 % - Angiopathie amyloïde - Autres Etiologie après 65 ans: 50 % AAC
63
64 Prévention secondaire: la FA
65
66
67
68
69
70 Fermeture de l Auricule
71 AVC par FA du sujet âgé Savoir anticoaguler et savoir manier les NACO Savoir ne pas anticoaguler Penser à la fermeture de l auricule
72 Conclusion 1 A la phase aiguë, il n y a pas d AVC du sujet âgé Les traitement de phase aiguë s appliquent quelque soit l âge mais nécessite expertise et prudence Conclusion 2 Deux maladies vasculaires cérébrales sont étroitement liées à l âge: la FA et l AAC Conclusion 3 Collaboration Gériatres Neurologues dans le parcours du patient
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLes céphalées aux urgences. G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie
Les céphalées aux urgences G Demarquay Hôpital Croix-Rousse Service Neurologie Céphalées et urgences Pathologie très fréquente dans la population générale ; 5 ième motif de consultation aux urgences (Minen
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailRecommandations 2008 pour la Prise en Charge des Infarctus Cérébraux et des Accidents Ischémiques Transitoires
Recommandations 2008 pour la Prise en Charge des Infarctus Cérébraux et des Accidents Ischémiques Transitoires Comité Exécutif de «l European Stroke Organization» (ESO) et Comité de Rédaction de l ESO.
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailLes Nouveaux AntiCoagulants Oraux
Les Nouveaux AntiCoagulants Oraux (NACO) Emmanuel HAZARD/Jean-loup HERMIL Chronologie Héparine non fractionnée 1950 HBPM 1980 NACO >2008 AVK 1960 Fondaparinux 2002 2 Les indications des NACOs En médecine
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailRégulation des patients suspects d accident vasculaire cérébral POINTS ESSENTIELS
52 e congrès national d anesthésie et de réanimation Médecins. Urgences vitales 2010 Sfar. Tous droits réservés. Régulation des patients suspects d accident vasculaire cérébral F. Dolveck Smur de Garches,
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailUTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS COPACAMU 2014
UTILISATION DES C.C.P DANS LES HEMORRAGIES SOUS AVK ET SOUS NACO : RECOMMANDATIONS DE L HAS SYMPOSIUM CSL BEHRING COPACAMU 2014 PROFESSEUR François BERTRAND CHU DE NICE CHRONOLOGIE DES RECOMMANDATIONS
Plus en détailHémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants
Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailLes dissections des artères cervicocéphaliques représentent environ 20 %
REVUES GENERALES Neurologie G. MELIKSETYAN, H. HOSSEINI Service de Neurologie, Unité des Soins Intensifs Neurovasculaires, CHU Henri Mondor, CRETEIL. Manipulations cervicales et risque de dissection vertébrale
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailDonnées de Pharmacovigilance et les NOACs. Haleh Bagheri haleh.bagheri@univ-tlse3.fr
Données de Pharmacovigilance et les NOACs Haleh Bagheri haleh.bagheri@univ-tlse3.fr Dabigatran (Pradaxa) Rivaroxaban (Xarelto) Apixaban (Eliquis ) Effet Attendu (A) Effet Inattendu (B) Hémorragie - Hépatotoxicité
Plus en détailInfospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014
Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement
Plus en détailPrise en charge initiale des patients adultes atteints d accident vasculaire cérébral. - Aspects médicaux -
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prise en charge initiale des patients adultes atteints d accident vasculaire cérébral - Aspects médicaux - Argumentaire SEPTEMBRE 2002 Service des recommandations
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailNACO dans la FA non Valvulaire
NACO dans la FA non Valvulaire VII ème Rencontres chalonnaises Dr Buttard 29/11/2012 INTRODUCTION La consommation des anticoagulants a été multiplié par 2 en 10 ans Les indications de traitement anticoagulants
Plus en détailAVC ischémique : diagnostic étiologique et prise en charge des artériopathies Sylvain Lanthier MD OD CSPQ
AVC ischémique : diagnostic étiologique et prise en charge des artériopathies Sylvain Lanthier MD OD CSPQ Professeur agrégé, Faculté de Médecine, Université de Montréal Directeur scientifique, Programme
Plus en détailPATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ
PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ Les étapes du transport Y a - t - il un cardiaque dans l avion? CONTRAINTES CX VX L HYPOXIE LES ACCELERATIONS EFFETS DE L ALTITUDE LOI MARIOTTE PV
Plus en détailLivret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT
Livret d information destiné au patient MIEUX COMPRENDRE LA FIBRILLATION ATRIALE ET SON TRAITEMENT Introduction Votre médecin vous a diagnostiqué un trouble du rythme cardiaque nommé fi brillation atriale.
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailClassification internationale des céphalées, 2 édition (d après l Internationial Headache Society,
Dr A.Donnet (1), (2) La céphalée est motif de consultation important. Sa prévalence est estimée à 90% dans les pays occidentaux (1) La plupart sont des céphalées primaires mais 1 à 4% sont des céphalées
Plus en détailAVC. Définition : Appel du 15 : Médecin régulateur recherchera les signes de gravité nécessitant l envoie d une UMH
AVC Définition : Développement rapide de signes cliniques localisés ou globaux de dysfonction cérébrale avec des symptômes durant plus de 24 heures, pouvant conduire à la mort, sans autre cause apparente
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailAntiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie
Antiagrégants plaquettaire, anticoagulant et gestes en rhumatologie Christophe Meune Service de Cardiologie- Hôpital Avicenne Expérience douloureuse Homme de 56 ans 40 PA Aspirine à faible dose pour un
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailCMAJ JAMC. Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l AVC. (mise à jour de 2008)
CMAJ JAMC DECEMBER 2, 2008, VOLUME 179(12) LE 2 DÉCEMBRE 2008, VOLUME 179(12) Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l AVC (mise à jour de 2008) JAMC 2008;179(12 SUPPL):EF1-EF67
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLes anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes
Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? NACO: Contraction de «Narcissistes compacts» Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les Nacos ne boivent pas d alcool
Plus en détailEVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE
EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailRéparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients
Réparation de la communication interauriculaire (CIA) Informations destinées aux patients Schéma du cœur avec CIA Aorte Artère pulmonaire Oreillette gauche CIA Appendice auriculaire gauche Oreillette droite
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détail«Démence vasculaire» Troubles cognitifs
«Démence vasculaire» J Ghika Troubles cognitifs Prof Joseph André Ghika 1 Perte de mémoire Confirmée par informateur Objectivé par un examen cognitif (neuropsychologique) Normal: viellissement normal 1
Plus en détailÉtude NACORA-BR du projet NACORA (nouveaux anticoagulants oraux et risques associés)
Étude en vie réelle du bénéfice/risque à court terme des nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran, rivaroxaban) chez les patients débutant un traitement et non précédemment traités par des antivitamines
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 14 mars 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 14 mars 2012 XARELTO 15 mg, comprimés pelliculés B/14 (CIP: 34009 219 225 1 6) B/28 (CIP: 34009 219 226 8 4) B/42 (CIP: 34009 219 227 4 5) B/10 (CIP: 34009 219 228 0
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailB08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailAccident vasculaire cérébral : prise en charge précoce (alerte, phase préhospitalière, phase hospitalière initiale, indications de la thrombolyse)
Accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en charge précoce DOCUMENT DE TRAVAIL - NE PAS DIFFUSER RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE Accident vasculaire cérébral : prise en charge précoce (alerte, phase
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailAssurance solde de carte de crédit BMO
Date First Name Last Name Address line 1 Address line 2 City, PR Postal Code Assurance solde de carte de crédit BMO Sommaire de la couverture Certificat n o XXXXXXXXXX Date d effet : Application date Taux
Plus en détailCibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.
Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détail