Guide d application. Champ d application de la réglementation
|
|
- Éloïse Samson
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Guide d application Déchets d Equipements Electriques et Electroniques Champ d application de la réglementation Avec le décret du 20 juillet 2005 complété par ses arrêtés d application, les directives (DEEE) et (RoHS) sont désormais complètement transposées. Le cadre réglementaire fixe les conditions de mise en place de la filière de collecte sélective et de valorisation des DEEE, sur la base de la Responsabilité Elargie des Producteurs (REP). Cadre réglementaire 1
2 Objectifs des directives La directive WEEE a pour objectif prioritaire «la prévention des Déchets d Equipements Electriques et Electroniques (DEEE) et, en outre leur réutilisation, leur recyclage et les autres formes de valorisation de ces déchets de manière à réduire la quantité de déchets à éliminer. La directive RHoS a pour objectif de réduire la toxicité des futurs DEEE et de faciliter leur recyclage : à compter du 1er juillet 2006, la directive RoHS transposée en droit français par le biais du décret DEEE interdit l utilisation : du plomb, du cadmium, du chrome hexavalent, du mercure et de retardateurs de flamme bromés (PBE, PBDE) dans certains EEE mis sur le marché. Champ d application 1) Biens visés par le décret Qu est ce qu un EEE? Deux critères doivent être remplis pour considérer qu un équipement appartient au champ d application du décret : - Il doit tout d abord s agir d un équipement fini fonctionnant grâce à des courants électriques ou à des champs électromagnétiques (c'est à dire tous les équipements fonctionnant avec une prise électrique, une pile ou un accumulateur), ou d un équipement de production, de transfert et de mesure de ces courants et champs, conçus pour être utilisés à une tension ne dépassant pas volts en courant alternatif et volts en courant continu. - L équipement doit en outre appartenir à l une des 10 catégories mentionnées à l annexe 1 du décret, c est à dire : 1) les gros appareils ménagers 2) les petits appareils ménagers 3) les équipements informatiques et de télécommunications 4) le matériel grand public 5) le matériel d'éclairage (à l exception des appareils d éclairage domestique et des ampoules à filament, auxquels s appliquent néanmoins les articles 4 et 5 du décret). 6) les outils électriques et électroniques, à l'exception des gros outils industriels fixes 7) les jouets, équipements de loisir et de sport 8) les dispositifs médicaux, à l'exception de tous les produits implantés et infectés 9) les instruments de surveillance et de contrôle 10) les distributeurs automatiques. Cette liste est complétée par une autre liste, non exhaustive mais plus détaillée, des équipements entrant dans le champ du décret et figure dans l annexe IB de la directive DEEE (annexe reprise dans l avis JORF du 26 octobre 2005). Les composants, sous-ensembles et produits consommables (cartouches d'encre, CD, piles et accumulateurs...) faisant partie intégrante du produit lors de la mise au rebut sont aussi couverts. 2
3 Sont exclus du champ d application du décret DEEE : - Les EEE faisant partie d un autre type d équipement qui n est pas lui-même un équipement électrique ou électronique au sens du présent décret (véhicule, par exemple). - les EEE liés à la protection des intérêts essentiels de sécurité de l Etat, les armes, les munitions et autres matériels de guerre, s ils sont liés à des fins exclusivement militaires. En pratique, des questions subsistent sur le champ d'application de la directive, car de nombreux équipements ne sont pas cités dans cette annexe IB de la directive. Comment distinguer un EEE «ménager» d un EEE «professionnel»? C est sur le producteur que pèse la responsabilité de qualifier un EEE de ménager ou de professionnel. Les EEE ménagers sont considérés comme : - les équipements utilisés par les ménages ou - les équipements qui, bien qu utilisés à des fins professionnelles ou pour les besoins d associations, sont similaires à ceux des ménages en raison de leur nature et des circuits par lesquels ils sont distribués. Ce sont les équipements dits «mixtes» (c'est-à-dire à la fois ménager et professionnel). Les EEE sont professionnels sont tous les EEE autres que ménagers. Nature de l EEE Ménager Exclusivement Mixte Professionnel exclusivement Canal de distribution Ménager Exclusivement Mixte Professionnel Exclusivement Ménager Professionnel Exemples : Perceuse électrique : Elle sera considérée comme un EEE professionnel uniquement si le circuit de distribution est strictement professionnel. Donc si le producteur n a pas la certitude que le circuit de distribution sera exclusivement professionnel, il doit considérer la perceuse comme un EEE ménager. Informatique : Un ordinateur sera en principe considéré comme un EEE ménager du fait de son accessibilité, que soit par un professionnel ou un utilisateur ménager. 3
4 Qu est-ce qu un déchet électrique? Un EEE devient un déchet quand : - Il est hors d usage, - Il est réparable mais le coût de la réparation est prohibitif, - Il fait partie d un tout dont un élément est hors d usage, - Il fonctionne, mais est obsolète et remplacé par un équipement plus récent. 2) Acteurs visés par le décret Producteur : Le producteur au sens du décret est : - soit le fabricant de l'équipement, s'il est présent sur le territoire national - soit l'importateur de l équipement sur le territoire national (= en provenance d un pays hors UE) - soit l'introducteur de l équipement sur le territoire national (= en provenance de l'ue) - soit le revendeur (ou distributeur), si l'équipement est vendu à sa seule marque (MDD). EEE fabriqué en France EEE fabriqué à l étranger Marque du fabricant Marque MDD Marque du fabricant Importation en vue de revente Marque du fabricant Importation directe par l utilisateur professionnel Marque du fabricant Importation directe par l utilisateur ménager Fabricant = Producteur Revendeur = Producteur Importateur = Producteur Utilisateur professionnel = Producteur Vendeur à distance = Producteur Distributeur : Un distributeur est «toute personne qui, quelle que soit la technique de distribution utilisée, y compris par la communication à distance, fournit à titre commercial, des équipements électriques». Le distributeur d EEE professionnel n a aucune obligation au titre du décret du 20/07/05. Utilisateur : L utilisateur est la personne qui utilise l EEE dans la fonction pour laquelle il est conçu. Grossiste : C est un intermédiaire commercial non visé par le décret, sauf : - lorsqu il importe ou introduit des EEE sur le territoire national ou qu il vend des MDD : il est considéré comme un producteur. - lorsqu il vend à un utilisateur ménager : il est considéré comme un distributeur. 4
5 Registre des producteurs 1) Qu est-ce que le registre des producteurs? L article 23 du décret prévoit la constitution d un registre des producteurs. L arrêté du 13 mars 2006 précise les modalités d inscription au registre ainsi que les informations à communiquer lors des déclarations. Ce registre recueillera notamment les informations que transmettront les producteurs en ce qui concerne les quantités d équipements électriques et électroniques qu ils ont mis sur le marché et les modalités d élimination de ces équipements qu ils ont mis en oeuvre. L ADEME est chargée de la mise en place, la tenue et l exploitation de ce registre. 2) Qui doit s enregistrer? Les producteurs au titre du décret ont l obligation de s inscrire au registre. Les fabricants étrangers (dans et hors Union Européenne), non présents juridiquement sur le territoire national, ne sont pas producteurs au titre du décret français : ils n ont pas à s inscrire et ne peuvent pas s inscrire au registre des producteurs. Toutefois, les fabricants ou distributeurs étrangers qui font de la vente à distance directement à des ménages français, devront également s inscrire au registre en passant via les éco-organismes. 3) Modalités d inscription Les déclarations se font auprès de l ADEME, à l adresse suivante : Les producteurs présents sur le marché national en 2006 doivent s enregistrer ou se faire enregistrer avant le 30 novembre Ensuite tout nouveau producteur devra s enregistrer avant la première mise sur le marché ou avant la mise sur le marché d un nouvel équipement. 5
6 DEEE Professionnels Rappel : Les DEEE professionnels sont tous les déchets autres que ménagers. Acteurs de la filière - les producteurs d EEE professionnels au titre du décret DEEE - les utilisateurs d EEE professionnels - les éco-organismes - les opérateurs de collecte, de tri et de traitement Obligations des producteurs 1) DEEE mis sur le marché avant le 13 août 2005 ou «Déchets historiques» Il n existe aucune obligation. C est l utilisateur final qui est responsable de la gestion de ses déchets. 2) DEEE mis sur le marché après le 13 août 2005 Le producteur d EEE professionnel doit prendre connaissance des différents textes réglementaires (directives DEEE et RoHS, décret du 20 juillet 2005 et ses différents arrêtés d applications, article 87 de la loi des finances 2005 ) concernant la composition des EEE et l élimination des DEEE. Le producteur est tenu d enlever ou de faire enlever et de traiter les DEEE professionnels issus d EEE mis sur le marché après le 13 août Il a la possibilité : - de mettre en place un système individuel d enlèvement et de traitement des DEEE professionnels (ce système ne requiert pas d une approbation des pouvoirs publics), - d adhérer à un éco-organisme agréé par les pouvoirs publics, - s agissant du financement, de prévoir d autres modalités avec l utilisateur de l EEE professionnel. 6
7 Le producteur doit s enregistrer et faire une déclaration auprès de l ADEME, sur le registre des producteurs. Le producteur doit revêtir chaque EEE mis sur le marché après le 13 août 2005 par des marquages spécifiques : - un marquage permettant d identifier son producteur, et - un marquage spécifiant que l appareil a été mis sur le marché après cette date. Le producteur doit remplacer le plomb, le chrome hexavalent, le mercure, le cadmium, les PBB et les PBDE dans les EEE par d autres substances à compter du 1er juillet 2006 (directive RoHS). Obligations des utilisateurs 1) DEEE mis sur le marché avant le 13 août 2005 ou «Déchets historiques» L organisation et le financement de l enlèvement des DEEE sont à la charge de l utilisateur de l EEE professionnel, sauf si le producteur de l équipement et son utilisateur en ont convenu autrement dans le contrat de vente de l équipement. Le détenteur doit s assurer que les DEEE seront traités dans des installations conformes et devra obtenir un bordereau de suivi des déchets dangereux, le cas échéant. Modalités pratiques : Il est indispensable que l utilisateur procède à un tri de ses DEEE : les DEEE en mélange avec d'autres déchets ne peuvent être valorisés, sauf s'ils ne sont composés que d'éléments métalliques à l'exclusion de toute substance polluante. Ensuite, il peut faire appel à un collecteur qui enverra les déchets après tri sur un autre site ou directement à un opérateur de traitement. D'autres accords contractuels peuvent également être conclus avec le producteur de nouveaux équipements, tels que la reprise des anciens équipements lors de l'installation des nouveaux appareils, par exemple. Dans tous les cas, il est indispensable qu'il demande toutes les garanties quant au mode de traitement employé et à la réalité du traitement : chaque détenteur est en effet responsable des DEEE jusqu'à leur élimination effective. Le détenteur peut s assurer que la société auquelle il va avoir recours pour l enlèvement, le traitement et la valorisation respecte parfaitement la réglementation, en : - s'adressant à un éco-organisme agréé (quand ceux-ci seront agréés), qui peut servir d'intermédiaire / prestataire de service dans un esprit de mutualisation des flux. - s'adressant directement à un prestataire. 7
8 2) DEEE mis sur le marché après le 13 août 2005 L organisation et le financement de l enlèvement des DEEE sont à la charge du producteur, sauf s il en a été convenu autrement dans le contrat de vente de l équipement liant le producteur de l équipement et son utilisateur. Modalités pratiques : Il convient de se rapprocher du producteur de l EEE (ou éventuellement de l éco-organisme agréé). Ces modalités sont à définir de préférence lors de l achat de l EEE. Toutefois, même dans un cas de responsabilité du producteur, le détenteur garde l'obligation de collecte sélective (c'est à lui d'envoyer les DEEE vers les filières mises en place par le producteur dans les conditions définies dans le contrat de vente). Sanctions encourues en cas de non respect des obligations (article 25) Est puni de l amende prévue pour les contraventions de 3 e classe (450 ) le fait : - De mettre sur le marché des EEE sans respecter les dispositions relatives au marquage (article 6). - De ne pas s inscrire au registre et communiquer les informations demandées (article 23). - De ne pas tenir à la disposition des exploitants des installations chargées du traitement les informations nécessaires (article 7). Est puni de l amende prévue pour les contraventions de 5 e classe (1 500 et en cas de récidive) le fait : - De ne pas effectuer ou faire effectuer le traitement sélectif des composants (article 21) - De ne pas assurer l enlèvement et le traitement d un DEEE professionnel (article 18) 8
9 DEEE Ménagers Rappel : Les EEE ménagers sont considérés comme : - les équipements utilisés par les ménages - les équipements qui, bien qu utilisés à des fins professionnelles ou pour les besoins d associations, sont similaires à ceux des ménages en raison de leur nature et des circuits par lesquels ils sont distribués. Ce sont les équipements dits «mixtes» (c'est-à-dire à la fois ménager et professionnel). Les EEE mixtes sont assimilés à des EEE ménagers. Acteurs de la filière - les producteurs d EEE ménagers au titre du décret DEEE - l organisme coordinateur - les éco-organismes - les collectivités - les distributeurs d EEE ménagers - les ménages - les opérateurs de collecte, de tri et de traitement Collecte et traitement des DEEE 1) Flux Physiques 9
10 2) Flux financiers La contribution visible correspond au prix payé par le producteur à son éco-organisme. Elle sera donc différente d un EEE à un autre, en fonction du barème de l éco-organisme choisi par le producteur de l EEE. Obligations des producteurs Le producteur doit prendre connaissance des différents textes réglementaires (directives DEEE et RoHS, décret du 20 juillet 2005 et ses différents arrêtés d applications, article 87 de la loi des finances 2005 ) concernant la composition des EEE et l élimination des DEEE. 1) Valorisation/ Collecte/ Enlèvement/ Traitement des DEEE Valorisation : Le producteur doit choisir une conception et une production d EEE qui facilite leur démantèlement et leur valorisation. Collecte : Pour chaque catégorie d équipement mis sur le marché, le producteur doit pourvoir à la collecte sélective des DEEE ménagers : - soit en mettant en place un système individuel de collecte sélective (ce système devra être approuvé par les pouvoirs publics, par arrêté ministériel) - soit en versant une contribution financière à un organisme coordonnateur agréé (directement ou par l intermédiaire de l éco-organisme auquel le producteur a adhéré) 10
11 Enlèvement et traitement : Pour chaque catégorie d équipement et au prorata des quantités mises sur le marché, le producteur est tenu d enlever ou de faire enlever et de traiter ou de faire traiter les DEEE ménagers collectés sélectivement quelle que soit la date à laquelle ces équipements ont été mis sur le marché. Il a la possibilité : - de mettre en place un système individuel d enlèvement et de traitement des DEEE collectés sélectivement (ce système devra être approuvé par les pouvoirs publics par arrêté ministériel) - d adhérer à éco-organisme agréé par les pouvoirs publics 2) Information de l utilisateur Contribution visible/ Visible fee : Il doit informer les acheteurs des coûts unitaires supportés pour l élimination des DEEE historiques (DEEE collectés après le 13 août 2005 mais issus d équipements vendus avant cette date). Le producteur doit rendre visible au consommateur final les coûts unitaires supportés pour l élimination des déchets. Il doit faire apparaître, en pied de factures de vente de tout nouvel EEE ménager, les coûts unitaires TTC (en brut) supportés pour l élimination des DEEE. En pratique : Dans l hypothèse d une facturation de plusieurs EEE, il faut pour plus de claireté : - faire apparaître en pied de facture le coût global de la contribution DEEE (TTC) - et annexer le détail de chaque contribution, produit par produit (sans oublier d indiquer le n de facture à laquelle elle est attachée) La contribution visible : - ne doit pas excéder les coûts de la collecte et du recyclage réellement supportés, - doit être répercutée à l identique, - ne peut faire l objet d une remise. Le coût de la contribution ne sera affiché que pendant une période transitoire (jusqu au 13 février 2011), correspondant à l élimination des déchets historiques. Il doit informer les acheteurs sur l obligation de ne pas jeter les DEEE avec les simples déchets ménagers, les systèmes de collecte mis à leur disposition, les effets potentiels des substances dangereuses présentes dans les EEE sur l environnement et la santé humaine. Marquage : Le producteur doit revêtir chaque EEE mis sur le marché après le 13 août 2005 par des marquages spécifiques : - Le pictogramme de la poubelle barrée sur roue de manière visible, lisible et indélébile 11
12 - un marquage permettant d identifier son producteur, - et d un marquage spécifiant que l appareil a été mis sur le marché après le 13 août Registre des producteurs : Le producteur doit s enregistrer et faire une déclaration auprès de l ADEME, sur le registre des producteurs. Pour chaque nouvel équipement mis sur le marché après le 13 août 2005, le producteur doit fournir aux opérateurs de traitement des DEEE, les informations nécessaires à ce traitement (matériaux et composants présents, localisation des substances dangereuses ) [délai maximum d un an après la commercialisation de l équipement]. Le producteur doit remplacer le plomb, le chrome hexavalent, le mercure, le cadmium, les PBB et les PBDE contenues dans les EEE par d autres substances à compter du 1er juillet Obligations des distributeurs Le «1 pour 1» Le distributeur est tenu d accepter la reprise gratuite d un appareil usagé lors de l achat d un produit neuf du même type (obligation dite «un pour un») Contribution visible/ Visible fee : Tout comme le producteur, le distributeur doit informer les acheteurs de la contribution (cf p11 2 e ). Le distributeur informe le consommateur final : - soit en leur délivrant une facture comportant cette information en pied de facture, - soit par voie de marquage, d étiquetage, d affichage, ou par tout autre procédé approprié. Remarque : Pour les EEE, commercialisés après le 15 novembre, mais entrés en stock avant cette même date (qui n ont donc pas supportés la contribution), le distributeur ne peut, en principe, pas appliquer de contribution. Information de l utilisateur : Le distributeur doit informer les acheteurs sur l obligation de ne pas jeter les DEEE avec les déchets ménagers, les systèmes de collecte mis à leur disposition, les effets potentiels des substances dangereuses présentes dans les EEE sur l environnement et la santé humaine. Il doit informer les acheteurs des coûts unitaires supportés pour l élimination des DEEE historiques (DEEE collectés après le 13 août 2005 mais issus d équipements vendus avant cette date). 12
13 Sanctions encourues en cas de non respect des obligations (article 25) Est puni de l amende prévue pour les contraventions de 3 e classe (450 ) le fait : - De mettre sur le marché des EEE sans respecter les dispositions relatives au marquage (article 6). - De ne pas afficher sur les factures la contribution environnementale (article 17). - De ne pas s inscrire au registre et communiquer les informations demandées (article 23). - De ne pas tenir à la disposition des exploitants des installations chargées du traitement les informations nécessaires (article 7). Est puni de l amende prévue pour les contraventions de 5 e classe (1 500 et en cas de récidive) le fait : - De mettre sur le marché des EEE sans avoir contribué à la collecte sélective des DEEE ménagers (article 8 lll). - De ne pas enlever ou faire enlever, traiter ou faire traiter un DEEE (article 13). - De ne pas effectuer ou faire effectuer le traitement sélectif des composants (article 21). - De ne pas fournir une garantie, à défaut d avoir versé par avance sa contribution à un organisme agréé (article 16) 13
Plan individuel de prévention et de gestion des déchets pour les déchets d équipements électriques et électroniques
Plan individuel de prévention et de gestion des déchets pour les déchets d équipements électriques et électroniques Le plan doit être introduit en langue française ou néerlandaise. Les données sont reprises
Plus en détailLes devoirs du Détenteur d équipements
P o u r u n e u t i l i s a t i o n r e s p o n s a b l e d e s f l u i d e s f r i g o r i g è n e s AFCE - Association loi 1901, créée en 1995 : Groupement des industriels et utilisateurs du Froid et
Plus en détailComité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014
Comité réglementation et simplification du conseil national de l industrie 16 mai 2014 Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relatif à l obligation d audit énergétique Yann MENAGER
Plus en détailLe marquage CE vous ouvre les portes du marché européen!
Le marquage CE vous ouvre les portes du marché européen! Commission européenne Entreprises et industrie Table des matières Qu est-ce que le marquage CE? Qu est-ce que le marquage CE? 3 Obligations légales
Plus en détailVOS CONTACTS GUIDE D INSTALLATION DE L ADAPTATEUR WIFI POUR ÊTRE EN RELATION AVEC UN CONSEILLER POUR NOUS ÉCRIRE
VOS CONTACTS POUR ÊTRE EN RELATION AVEC UN CONSEILLER SERVICE CLIENT 8 0 0 depuis un mobile SFR (prix d un appel normal). ADSL 0 892 788 800 depuis un téléphone fixe (0,34 /min depuis un poste fixe). Cette
Plus en détail2. Garantie En cas de problème ou de question technique, vous pouvez contacter notre hotline au numéro indigo ci-contre :
1. Important Prenez le temps de lire ce manuel utilisateur avant d utiliser votre antenne terrestre d intérieur. Ce manuel contient des informations importantes concernant le fonctionnement de votre antenne.
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement
Plus en détailÉquipements électriques et électroniques
Réglementation Organisation Marché Collecte Traitement Comparaison Perspectives européenne Données 213 Équipements électriques et électroniques Collection Repères Un DEEE est un déchet d équipement électrique
Plus en détailSéminaire marquage CE
Séminaire marquage CE 17 mai 2011 Caroline Mischler Chef du bureau de la libre circulation des produits Sous-direction de la qualité, de la normalisation, de la métrologie et de la propriété industrielle
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailMarquage CE Mode d emploi SOMMAIRE : I. Les produits concernés
Marquage CE Mode d emploi Août 2014 SOMMAIRE : I. Les produits concernés II. Les acteurs concernés a. Le fabricant b. Le mandataire c. L importateur d. Le distributeur III. La mise en conformité des produits
Plus en détailESII. Une entreprise éco-citoyenne
ESII Une entreprise éco-citoyenne ESII s inscrit dans une politique de développement durable garantissant la mise en œuvre de pratiques sans danger pour l environnement ainsi que le respect des normes
Plus en détailComment répondre aux obligations liées à l éco-contribution?
Responsabilité élargie du producteur de meubles fabricants de meubles Comment répondre aux obligations liées à l éco-contribution? 2015 Depuis le décret du 6 janvier 2012, les metteurs sur le marché d
Plus en détailSociété BIS RECYCLAGE Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE
Saint-Jory (31) Audit de conformité réglementaire de la gestion des DEEE 1 INFORMATIONS GENERALES SUR LE SITE...1 2 ELEMENTS TECHNIQUES...2 2.1 PRINCIPALES CARACTERISTIQUES TECHNIQUES... 2 2.2 ELEMENTS
Plus en détailModule de communication Xcom-232i
Module de communication Manuel utilisateur Studer Innotec SA 2013 V 1.2.0 51S COMMUNICATION XCOM-232I: MANUEL UTILISATEUR V 1.2.0 Copyright 2013 Studer Innotec SA A PROPOS DU SOFTWARE Ce document correspond
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailgreenpeace.fr Vers une électronique plus verte
greenpeace.fr Vers une électronique plus verte Vers une électronique plus verte Introduction Moins de deux ans après la sortie du premier guide «Pour une électronique responsable», à en croire les slogans
Plus en détailREACH : Actualités et Perspectives
: Actualités et Perspectives Sylvie Drugeon DGPR,SPNQE 5 avril 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr = Règlement n 1907/2006
Plus en détailManuel d utilisation MA TABLETTE MAGIQUE 3-6. ans. 2014 VTech Imprimé en Chine 91-009669-006 FR. Disney Visitez le site DisneyJunior.
Manuel d utilisation MA TABLETTE MAGIQUE 3-6 ans Disney Visitez le site DisneyJunior.com 2014 VTech Imprimé en Chine 91-009669-006 FR INTRODUCTION Vous venez d acquérir Ma tablette magique de VTech. Félicitations!
Plus en détailTransposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique
Pollutec 2013 Atelier ATEE AUDIT ENERGETIQUE EN ENTREPRISE Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Laurent Cadiou DGEC/SCEE Bureau Économies
Plus en détailCOMPLEMENTAIRES SANTE ET DEDUCTIONS SOCIALES ET FISCALES : LES MUTUELLES UMC ET FIDAL VOUS EXPLIQUENT LES CONTRATS «RESPONSABLES»
COMPLEMENTAIRES SANTE ET DEDUCTIONS SOCIALES ET FISCALES : LES MUTUELLES UMC ET FIDAL VOUS EXPLIQUENT LES CONTRATS «RESPONSABLES» Le système interprofessionnel de Sécurité Sociale est obligatoire : le
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D AUTORISATION CLASSE 2
INFORMATIONS GENERALES Page 1 / 14 1. INFORMATIONS GENERALES N du dossier : Art. 7.7.b «La nature et l emplacement de l établissement, l objet de l exploitation, les installations et procédés à mettre
Plus en détailGestion des déchets dangereux dans les entreprises
Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS DIRECTION GÉNÉRALE DES IMPÔTS 5 B-17-01 N 191 du 26 OCTOBRE 2001 5 F.P. / 69 INSTRUCTION DU 17 OCTOBRE 2001 IMPOT SUR LE REVENU. CREDIT D IMPOT POUR L ACQUISITION OU LA LOCATION
Plus en détailAutorisation pour le négoce ou le courtage de déchets. Informations pour remplir le formulaire de demande
Autorisation pour le négoce ou le courtage de déchets Informations pour remplir le formulaire de demande Administration de l environnement Division des déchets 1, Avenue du Rock n Roll L-4361 Esch/Alzette
Plus en détailQuelles sont les informations légales à faire figurer sur un site Internet?
> Accueil > Le Droit en pratique > Fiches pratiques Quelles sont les informations légales à faire figurer sur un site Internet? Le site Internet est un vecteur d informations. Mais il en collecte également,
Plus en détailExplicatif acheteurs professionnels
Explicatif acheteurs professionnels DEFINITIONS Les cartouches compatibles et recyclées sont une alternative aux produits d origine. Elles ne sont pas développées par les fabricants d'imprimantes. Le
Plus en détailLE CHAMP D APPLICATION
LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés
Plus en détailLes Conditions Générales De Vente
Les Conditions Générales De Vente Les CGV: visent à encadrer les relations entre cocontractants ; interviennent aussi bien dans les relations contractuelles entre professionnels (le plus souvent fournisseur-
Plus en détailManuel d utilisation. Mini Market éducatif. 2011 VTech Imprimé en Chine 91-002606-001
Manuel d utilisation Mini Market éducatif 2011 VTech Imprimé en Chine 91-002606-001 Chers parents, Chez VTech, nous sommes conscients que les enfants sont notre avenir. C est pourquoi tous nos jeux sont
Plus en détailINSTALLEZ +LE CUBE TNT CONTACTS UTILES ESPACECLIENTCANAL.FR. 0 892 39 39 10 (0,34 /min. depuis un poste fixe) du lundi au samedi de 08H00 à 22H00.
CONTACTS UTILES ESPACECLIENTCANAL.FR Centre de Relations Clients 0 892 39 39 10 (0,34 /min. depuis un poste fixe) du lundi au samedi de 08H00 à 22H00. INSTALLEZ votre décodeur +LE CUBE TNT (1) CANAL+/CANALSAT
Plus en détailFACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES
FACTURES : MENTIONS OBLIGATOIRES 30/01/2014 La délivrance d'une facture est obligatoire entre professionnels sous peine de sanctions pénales et fiscales. Si le format du document, sa couleur, le fait qu'il
Plus en détailMon hochet Tut-Tut. 2014 VTech Imprimé en Chine 91-002887-00x
Mon hochet Tut-Tut 2014 VTech Imprimé en Chine 91-002887-00x Chers parents, Chez VTech, nous sommes conscients que les enfants sont notre avenir. C est pourquoi tous nos jeux sont conçus de manière à inciter
Plus en détailLe nouveau dispositif sur l intermédiation
Le nouveau dispositif sur l intermédiation Une directive européenne du 9 décembre 2002 sur l intermédiation en assurance vient d être transposée en droit français par la loi du 15 décembre 2005. Un décret
Plus en détailGreen Eco Laser Remanufacturé Laser Remanufacturé!"! #$!! #$! #$ #$ #$ #$ %" % %$&'! % %$&' % %$&'!! %"! (!) %"!) #$! %"!! %"! #$!* #+,,,"!! " #$ "- "- #$ " "* #$ " " #$ " " #$ ".! #$!!! "! " #$ "", (
Plus en détailLOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013
LOI DE SÉCURISATION DE L EMPLOI N 2013 504 du 14 juin 2013 Les changements concernant la protection sociale complémentaire Les dates clés 11 janv. 2013 : Signature de l Accord National Interprofessionnel
Plus en détail2 nd vie des produits technologiques. Ecocitoyenneté et nouveaux modèles économiques dans la téléphonie mobile
2 nd vie des produits technologiques Ecocitoyenneté et nouveaux modèles économiques dans la téléphonie mobile SOMMAIRE Electronique Grand Public : un marché de masse! Un cadre réglementaire : depuis 2006
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailBROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détailLa législation est très stricte sur la sécurité des portes automatiques d où un grand nombre de normes et de règlementations.
La législation est très stricte sur la sécurité des portes automatiques d où un grand nombre de normes et de règlementations. Portes automatiques de garage Les normes relatives à la sécurité des portes
Plus en détailCahier des Charges Techniques Particulières
Cahier des Charges Techniques Particulières Entretien et maintenance des onduleurs ORIGINAL SOMMAIRE 1. OBJET DU CCTP 1 2. NATURE DES INSTALLATIONS 1 3. NATURE DES PRESTATIONS 1 3.1. Details des prestations
Plus en détailCOMPANION 20 MULTIMEDIA SPEAKER SYSTEM. Owner s Guide Guía de usuario Notice d utilisation
COMPANION 20 MULTIMEDIA SPEAKER SYSTEM Owner s Guide Guía de usuario Notice d utilisation Tab 6, 12 Tab 5, 11 Tab 4, 10, Français Tab 2, 8, 14 Tab 1, 7, 13 Informations sur les réglementations et les normes
Plus en détailCONTRAT D ADHESION AU SYSTEME DE PAIEMENT PAR CARTE ecommerce
CONTRAT D ADHESION AU SYSTEME DE PAIEMENT PAR CARTE ecommerce CONCLU ENTRE LES PARTIES SOUSSIGNEES : LE CENTRE MONETIQUE INTERBANCAIRE Ci-après dénommée «CMI» sis au 8, angle avenue Moulay Rachid et rue
Plus en détailMODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailACCORD SUR LES MESURES CONCERNANT LES INVESTISSEMENTS ET LIEES AU COMMERCE
Page 153 ACCORD SUR LES MESURES CONCERNANT LES INVESTISSEMENTS ET LIEES AU COMMERCE Les Membres, Considérant que les Ministres sont convenus, dans la Déclaration de Punta del Este, que "à la suite d'un
Plus en détailACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS
Le pôle Assurances du cabinet Lefèvre Pelletier & associés vous souhaite une très bonne année 2009 ainsi qu une agréable lecture de cette troisième Newsletter. Assurances Assurance en général Assurance
Plus en détailMARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES
Société Anonyme d Economie Mixte Locale BP 237 20294 BASTIA : 04.95.32.80.55 : 04.95.34.01.14 MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES
Plus en détailLa règlementation autour du cadeau d affaire et promotionnel
La règlementation autour du cadeau d affaire et promotionnel Le cadeau d affaires et l objet promotionnel n échappent pas à la règlementation fiscale. Qu il s agisse d un cadeau de fin d année pour un
Plus en détailLes héros du recyclage. Livret de contrôle. Recycling. Heroes
Les héros du recyclage Livret de contrôle Recycling Heroes Je suis un héros du recyclage Nom: Prénom: Classe: Mon héros du recyclage favori: Qu est-ce que c est qu un héros? Un héros est serviable et s
Plus en détailCode de conduite du Label de Qualité BeCommerce pour la Vente à
Code de conduite du Label de Qualité BeCommerce pour la Vente à Distance January 1 2013 Le Code de conduite du label de qualité BeCommerce a pour objectif de poser les principes de base à respecter pour
Plus en détailManuel de lʼutilisateur EBT-10. Electronic Beat Tutor
Manuel de lʼutilisateur EBT-10 Electronic Beat Tutor Félicitations pour lʼachat de votre Stagg Electronic Beat Tutor. Merci de lire ce manuel attentivement pour être certain de pourvoir lʼutiliser correctement.
Plus en détailNOTE D INFORMATION : PERIMETRE DECLARATIF ECO-EMBALLAGES
NOTE D INFORMATION : PERIMETRE DECLARATIF ECO-EMBALLAGES Vous trouverez dans cette note, les informations suivantes : 1. DEFINITION D UN EMBALLAGE MENAGER 2. QUELLES SONT LES ENTREPRISES CONCERNEES? 3.
Plus en détailRecommandation sur le traitement des réclamations
Recommandation sur le traitement des réclamations 1. Contexte 2015-R-03 du 26 février 2015 L information du client sur les modalités d examen des réclamations ainsi que le traitement de ces dernières font
Plus en détailCahier des Clauses Particulières (CCP)
Cahier des Clauses Particulières (CCP) MISSION DE CONSEIL, D'ASSISTANCE JURIDIQUE PERMANENTE ET DE REPRESENTATION EN JUSTICE DANS LE DOMAINE DU DROIT PUBLIC _ Marché n 11 050 FCS MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES
Plus en détailSEVRES ESPACE LOISIRS
SEVRES ESPACE LOISIRS MARCHE PUBLIC DE SERVICES Nettoyage et entretien du SEL Marché n SEL13-01 CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES (CCP) Mode de consultation : procédure adaptée Le présent document vaut
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,
Plus en détailInterrupteurs Différentiels 2P jusqu à 40 A
87045 LIMOGES Cedex Téléphone 05 55 0 87 87 Télécopie 05 55 0 88 88 Interrupteurs Différentiels DX³-ID 411 10,, 11 11,, 13, 14, 1, 17, 23, 31 411 32 32,, 34 34,, 35 35,, 37 37,, 38 38,, 44 SOMMAIRE PAGES
Plus en détailCONTRAT DE DOMICILIATION Spécimen sans valeur légale
CONTRAT DE DOMICILIATION Spécimen sans valeur légale Entre la société PRESTAFORMA 98 bis Boulevard de LA TOUR-MAUBOURG 75007 PARIS SAS AU CAPITAL DE 40 000,00 immatriculé au Greffe du Tribunal de Commerce
Plus en détailREGLEMENT LA COURSE DE LA DIVERSITE
REGLEMENT LA COURSE DE LA DIVERSITE ARTICLE 1 : L EVENEMENT La course de la diversité est ouvert à toutes les entreprises, quelle que soit leur forme juridique, ainsi qu aux institutions, organisations
Plus en détailCahier des Clauses Administratives Particulières
MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Communauté d Agglomération Amiens Métropole Direction des affaires juridiques et générales Service gestion centralisée du courrier Place de l Hôtel
Plus en détailMarquage CE des enrobés bitumineux à chaud QUESTIONS - REPONSES SUR LE MARQUAGE CE DES ENROBES BITUMINEUX A CHAUD
Marquage CE des enrobés bitumineux à chaud QUESTIONS - REPONSES SUR LE MARQUAGE CE DES ENROBES BITUMINEUX A CHAUD (Version 11 juillet 2008) 1- Quels enrobés doivent être marqués? Tous les enrobés bitumineux
Plus en détailLA GÉNÉRALISATION DE LA MUTUELLE OBLIGATOIRE DANS L ENTREPRISE AU 1 ER JANVIER 2016
Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------- JUIN 2015 NOTE N 147 LA GÉNÉRALISATION DE LA MUTUELLE OBLIGATOIRE
Plus en détailL'AGENT IMMOBILIER. Attention : les cartes professionnelles déjà délivrées restent valables jusqu à leur date d expiration.
L'AGENT IMMOBILIER L'agent immobilier est un intermédiaire intervenant dans les opérations d achat, de vente, d échange, de sous-location ou de location de maisons, appartements, fonds de commerce, terrains.
Plus en détailCAHIER DES CHARGES POUR FOURNITURES PLOMBERIE-ROBINETTERIE-SANITAIRE
Préambule : CAHIER DES CHARGES POUR FOURNITURES PLOMBERIE-ROBINETTERIE-SANITAIRE La procédure de consultation utilisée est une procédure adaptée en vertu de l article 28 du Code des Marchés Publics. Le
Plus en détaille syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical,
Projet d accord collectif mettant en place un régime de remboursement de «frais de santé» au bénéfice du personnel de l EPIC SNCF relevant du régime général de ENTRE LES SOUSSIGNEES : SOCIETE NATIONALE
Plus en détailSite portail des Urssaf www.urssaf.fr Employeurs > Dossiers réglementaires > Dossiers réglementaires > L'intéressement
L'intéressement Textes de référence : Loi n 2001-152 du 19 /02/2001 Lettre circulaire Acoss n 2001-056 du 10 avril 2001 rappelant les modifications apportées aux mécanismes de l épargne salariale Circulaire
Plus en détailCLUB POKER 05. Règlement intérieur
CLUB POKER 05 Règlement intérieur Mise à jour au 02 Janvier 2015. Le règlement intérieur a pour but de préciser les statuts du Club Poker 05. Le présent règlement est remis à l ensemble des membres, ainsi
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détailSommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013
informations sociales octobre novembre décembre 2013 Dans le cadre du mandat qu elle reçoit du FNCIP-HT, la Fédération Nationale de l Habillement informe chaque trimestre les entreprises à jour de paiement
Plus en détailMARCHE N 2014.05 MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE RELATIF AU NETTOYAGE DU GYMNASE D AMBLAINVILLE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CCTP
CCP PIECE 2/2 MARCHES PUBLICS DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES MARCHE N 2014.05 MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE RELATIF AU NETTOYAGE DU GYMNASE D AMBLAINVILLE Mairie d AMBLAINVILLE Place du 11 Novembre
Plus en détailSTATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE)
STATUT LA PARTICIPATION DES COLLECTIVITES A LA PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE (SANTE ET PREVOYANCE) Circulaire 31 août 2012 Références : - Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations
Plus en détailCIRCULAIRE CDG90 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE
CIRCULAIRE CDG90 07-13 PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE Loi n 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, article 22 bis. Loi n 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions
Plus en détailAu sens des dispositions de l article 2, du règlement n 07 01, sont considérées comme :
Le règlement N 07 01 du 09/01/2007, relatif aux règles applicables aux transactions courantes avec l étranger et aux comptes devises a modifié et remplacé les règlements n 91 12 relatif à la domiciliation
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA COMMANDE PUBLIQUE
RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA COMMANDE PUBLIQUE Article 1 Lorsque les marchés publics de fournitures, services et travaux sont d un montant inférieur au seuil de 230 000 euros HT, l autorité adjudicatrice
Plus en détailACCORD DE COOPERATION TECHNIQUE ENTRE LE GOUVERNEMENT DU JAPON ET LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL
ACCORD DE COOPERATION TECHNIQUE ENTRE LE GOUVERNEMENT DU JAPON ET LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL Le Gouvernement du Japon et le Gouvernement de la République du Sénégal, Désireux de renforcer
Plus en détailPROGRAMME DE FORMATION HABILITANTE FINANCES, ASSURANCES & PRODUIT D EPARGNE COURTIERS et MANDATAIRES INTERMEDIAIRES EN OPERATIONS DE BANQUES
AGENCE PIERRE&PARTNERS ORGANISME DE FORMATION PROGRAMME DE FORMATION HABILITANTE FINANCES, ASSURANCES & PRODUIT D EPARGNE COURTIERS et MANDATAIRES INTERMEDIAIRES EN OPERATIONS DE BANQUES Formation validant
Plus en détailABUS Rauchwarnmelder HSRM 10000 / HSRM 11000
ABUS Rauchwarnmelder HSRM 10000 / HSRM 11000 DE Bedienungsanleitung GB User manual FR Manuel utilisateur IT Istruzioni di uso NL Gebruikershandleiding DK Betjeningsvejledning V. 1.2 Bitte lesen Sie vor
Plus en détailL ENVIRONNEMENT DANS L ARTISANAT
L ENVIRONNEMENT DANS L ARTISANAT PLOMBERIE / CHAUFFAGE COMMENT ELIMINER VOS DECHETS? Le Code de l Environnement stipule que tout producteur ou détenteur de déchets est responsable de l élimination de ses
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailINTERMEDIAIRES EN ASSURANCES
INTERMEDIAIRES EN ASSURANCES 1.1. Qualification juridique En application de la directive européenne 2002/92 du 9 décembre 2002 sur l intermédiation en assurance, l article L. 511-1 I du Code des assurances
Plus en détailBONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION
BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros
Plus en détailEntraînement autos Sur Circuit Sécurisé de Pusey
Entraînement autos Sur Circuit Sécurisé de Pusey Principe 20 véhicules maximum 5 véhicules par série 5 séances de 10' soit 50 minutes de roulage Administratif Signature de chaque participant des conditions
Plus en détailNEWSLETTER 1/2015. Mesdames et Messieurs,
NEWSLETTER 1/2015 NEWSLETTER 1/2015 Mesdames et Messieurs, Nous revenons vers vous pour vous apporter un résumé des changements importants intervenus dans différents domaines de droit en début de l année
Plus en détailRéf. : Code de l environnement, notamment ses articles L.592-21 et L.592-22 Code de la santé publique, notamment ses articles L.1333-17 et R.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE NANTES N/Réf. : CODEP-NAN-2014-012919 Nantes, le 19 mars 2014 MARIE SAS Etablissement de Sablé sur Sarthe ZI de l Aubrée 72300 SABLE SUR SARTHE Objet : Inspection de la
Plus en détailProposition de DÉCISION DU CONSEIL
COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 4.5.2015 COM(2015) 194 final 2015/0101 (NLE) Proposition de DÉCISION DU CONSEIL relative à la conclusion, au nom de l'union européenne, du protocole pour éliminer le
Plus en détailLes planificateurs financiers
Les planificateurs financiers La nouvelle règlementation belge Par Christophe Steyaert Avocat Luxembourg, le 9 octobre 2014 1. Les objectifs de la nouvelle loi Ingénierie patrimoniale des «family offices»
Plus en détailAssurance construction obligatoire. Arrêté du 19 novembre 2009 portant actualisation des clauses-types
Assurance construction obligatoire Arrêté du 19 novembre 2009 portant actualisation des clauses-types Les clauses-types, figurant en annexes de l'article A 243-1 du Code des assurances, énumèrent l objet
Plus en détailLA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ COLLECTIVE
LA COMPLÉMENTAIRE SANTÉ COLLECTIVE Qu est ce que la complémentaire santé? L'Assurance maladie ne rembourse pas intégralement les dépenses de santé (frais médicaux, chirurgicaux et d hospitalisation ).
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE PROTECTION SOCIALE
PROTECTION SOCIALE SÉCURITÉ SOCIALE : ORGANISATION, FINANCEMENT MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA RÉFORME DE L
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailPROJET DE LOI DE SEPARATION ET DE REGULATION DES ACTIVITES BANCAIRES DEUXIEME LECTURE APRES L ADOPTION DU TEXTE DE LA COMMISSION
1 20 juin 2013 PROJET DE LOI DE SEPARATION ET DE REGULATION DES ACTIVITES BANCAIRES DEUXIEME LECTURE APRES L ADOPTION DU TEXTE DE LA COMMISSION Adoption en première lecture par le Sénat le 22 mars 2013.
Plus en détailLe jeu-concours se déroulera du Mardi 28 Avril 2015 à 12h00 au dimanche 17 Mai 2015 à 19h inclus (date et heure française de connexion faisant foi).
REGLEMENT COMPLET DU JEU-CONCOURS «TROPHEES UNFP» ARTICLE 1 ORGANISATEUR ET DUREE DU JEU-CONCOURS Á l occasion de l a 24 ème Cérémonie des Trophées UNFP qui a lieu le 17 mai 2015, l UNFP, Syndicat Professionnel
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détailProtocole. TRC/RC Maître d ouvrage Dommages Ouvrage/CNR. Syndic de copropriétés Administrateur de biens
2, avenue Jeanne 92600 ASNIERES SUR SEINE Tél. : 01.42.85.33.33 - Fax : 01.42.85.33.43 e-mail : info@rcb.fr Protocole TRC/RC Maître d ouvrage Dommages Ouvrage/CNR Syndic de copropriétés Administrateur
Plus en détailACTION DE GROUPE IMMOBILIERE 3F
ACTION DE GROUPE DE LA CONFÉDÉRATION NATIONALE DU LOGEMENT CONTRE IMMOBILIERE 3F Confédération Nationale du Logement Association nationale agréée de consommateurs 8 rue Mériel - BP119-93104 Montreuil cedex
Plus en détailL ÉLECTRONIQUE IDÉALE POUR L ENVIRONNEMENT
L ÉLECTRONIQUE IDÉALE POUR L ENVIRONNEMENT Des processus de bureau respectueux de l environnement grâce au recours à un système moderne de gestion des documents Utilisation de matériaux respectueux de
Plus en détailCIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001
CIRCULAIRE AUX INTERMEDIAIRES AGREES N 2001-11 DU 4 MAI 2001 OBJET : Marché des changes et instruments de couverture des risques de change et de taux. Dans le cadre du renforcement de la libéralisation
Plus en détail