Les oligopoles. Jean Magnan de Bornier. Université Paul Cézanne Aix-Marseille
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- Camille Chassé
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1 Jean Magnan de Bornier
2 Sommaire Oligopole : les problèmes fondamentaux Le modèle d oligopole de Cournot Le modèle de Bertrand Le modèle meneur-suiveur (Stackelberg) Les ententes oligopolistiques
3 L oligopole : définition Definition L oligopole est un secteur composé d un petit nombre de firmes d importance comparable. Chacune dispose d un pouvoir de marché Elle sait que ses concurrentes en ont aussi Chaque firme sait donc qu elle peut influencer ses concurrents, et subir leur influence Chaque décision de la firme pose la question : comment mes concurrents vont-ils réagir à ma décision?
4 Les interactions stratégiques Definition Les interactions stratégiques sont constituées par les relations entre firmes d un oligopole qui sont Conscientes du pouvoir de marché de leurs concurrents Conscientes de l influence qu elles peuvent subir de ce fait Conscientes de l influence qu elles peuvent elles aussi exercer
5 Une représentation complexe Le problème des interactions stratégiques introduit un degré de complexité dans l analyse des oligopoles qui est absent dans les autres structures de marché. De nombreux auteurs ont proposé des solutions différentes au problème de l oligopole - qui ne prétendent pas décrire la réalité, mais plus simplement mettre en évidence les traits essentiels du comportement oligopolistique.
6 1. Le modèle d oligopole de Cournot 2. Le modèle de Bertrand 3. Le modèle meneur-suiveur 4. La solution de l entente
7 Le modèle d oligopole de Cournot Les hypothèses de Cournot 1. Le prix de vente de tous les producteurs de l oligopole est identique (ce sera toujours le prix qui solde le marché en équilibrant la quantité demandée à l offre) 2. Chaque offreur considère que la production des autres ne sera pas modifiée par ses décisions en matière de production. 3. Chacun considère qu il peut agir en monopole vis-à-vis de la partie de la demande que les autres lui laissent : il est un petit monopole
8 Le modèle d oligopole de Cournot La nature de l équilibre L équilibre de Cournot est la situation où chacun de ces petits monopoles produit une quantité compatible avec les politiques supposées des autres. Cet équilibre n assure pas le bien-être maximum, mais n en n est pas aussi éloigné que le monopole ; il occupe une position intermédiaire, et d autant plus près de la concurrence pure et parfaite que le nombre de firmes est élevé.
9 Le modèle d oligopole de Cournot Le modèle : hypothèses de base Dans un duopole, les entreprises maximisent leur profit, chacune de son côté. Elles connaissent la fonction de demande F (p), chacune croit que ses décisions ne provoqueront pas de modification dans le comportement des autres chaque producteur considère que la production de son concurrent restera au niveau qu il constate (hypothèse de conjectures nulles ) Le prix de marché est unique, et solde la production (la demande est toujours égale à l offre).
10 Le modèle d oligopole de Cournot Variables du modèle q 1, q 2 : niveaux de production des firmes 1 et 2 ; Q = q 1 + q 2 q 1, q 2 : niveaux de production de 1 et 2 conjecturés respectivement par 2 et 1. C 1 (q 1 ), C 2 (q 2 ) : les coûts de production des firmes 1 et 2 Cm 1 (q 1 ), Cm 2 (q 2 ) : les coûts marginaux des firmes 1 et 2 π 1 (q 1 ), π 2 (q 2 ) : les profits des firmes 1 et 2 p(q 1 + q 2 ) : le prix de marché (p(.) est la fonction de demande réciproque)
11 Le modèle d oligopole de Cournot Les profits Le profit de chaque producteur est donné par : π 1 (q 1, q 2 ) = q 1.p(q 1 + q 2 ) C 1 (q 1 ) π 2 (q 2, q 1 ) = q 2.p( q 1 + q 2 ) C 2 (q 2 )
12 Le modèle d oligopole de Cournot La maximisation des profits Les conditions de maximisation indépendante des deux profits sont données par : p(q 1 + q 2 ) + q 1 dp dq Cm 1(q 1 ) = 0 p( q 1 + q 2 ) + q 2 dp dq Cm 2(q 2 ) = 0
13 Le modèle d oligopole de Cournot Les fonctions de réaction Ces deux équations peuvent être considérées comme des fonctions implicites : la première définit q 1 en fonction de q 2, c est-à-dire qu elle exprime, pour chaque valeur que peut prendre q 2, la meilleure réponse de la firme 1 : c est la fonction de réaction de 1 ou q 1 = R 1 ( q 2 ). Il en est de même, en échangeant 1 et 2, de la deuxième équation qui est la fonction de réaction de 2 q 2 = R 2 ( q 1 ).
14 Le modèle d oligopole de Cournot Le producteur agit comme un petit monopole p q 2 p* D(p) DR= D(p) q 2 DRm q 1* Q=q 1 +q 2 q 1
15 Le modèle d oligopole de Cournot Les fonctions de réaction Definition On appelle fonction de réaction (ou de meilleure réponse) la fonction qui définit la meilleure politique de production d une firme à partir des niveaux de production supposés constants des autres firmes. q 1 = R 1 ( q 2 ) q 2 = R 2 ( q 1 )
16 Le modèle d oligopole de Cournot Les fonctions de réaction dans les axes q 1, q 2 q 2 C R 2 R 1 q 1
17 Le modèle de Bertrand Le modèle de Bertrand : un modèle plus concurrentiel Dans ce modèle les prix sont différenciés Ce peut être un oligopole différencié Les consommateurs achètent le produit le moins cher La baisse du prix est inéluctable L équilibre est réalisé quand le prix est égal au coût marginal
18 Le modèle de Bertrand Caractères de l équilibre de Bertrand L efficacité est maximale l incitation à l entente est maximale, puisque la marge prix-coût marginal est nulle à l équilibre.
19 Le modèle meneur-suiveur (Stackelberg) Le modèle meneur-suiveur de Stackelberg : des producteurs un peu plus intelligents En partant des hypothèses de Cournot, Stackelberg imagine qu une des firmes est capable de deviner comment les autres réagiront à ses actions. Elle connaît les fonctions de réactions, et retire des profits supplémentaires de cette connaissance. Sa fonction de réaction disparaît. Les suiveurs sont des firmes à la Cournot.
20 Le modèle meneur-suiveur (Stackelberg) Reformulation du profit À partir du modèle de Cournot, il suffit de réécrire les équations du profit en remplaçant pour la firme 1 la conjecture q 2 par la fonction vraie q 2 = R 2 (q 1 ). Cela devient : π 1 (q 1, R 2 (q 1 )) = q 1.p(q 1 + R 2 (q 1 )) C 1 (q 1 ) π 2 (q 2, q 1 ) = q 2.p( q 1 + q 2 ) C 2 (q 2 )
21 Le modèle meneur-suiveur (Stackelberg) Le jeu meneur-suiveur q 2 Lignes d isoprofit de 1 Π 1 C Π 2 S R 2 Profit croissant Π 3 q 1
22 Le modèle meneur-suiveur (Stackelberg) L équilibre meneur-suiveur q 2 Lignes d isoprofit de 1 Π 1 C Π 2 S R 2 Π 3 q 1
23 Le modèle meneur-suiveur (Stackelberg) Intérêt du modèle de Stackelberg Stackelberg a su tirer un plus grand parti de l interaction stratégique, dans sa compréhension des marchés d oligopole. La mise en scène d un agent qui a intégré dans sa stratégie les stratégies de ses concurrents est très suggestive et préfigure des modèles modernes comme ceux de la théorie de l agence.
24 Les ententes oligopolistiques La solution de l entente Le Français Colson, les Américains Chamberlin et Fellner, ont considéré que la solution la plus probable dans les oligopoles est la colllusion ou entente entre les firmes, c est-à-dire un prix fixé d un commun accord qui pourrait être assez proche du prix de monopole et éviterait les difficultés que pose la concurrence dans le contexte de l oligopole. On sait que les ententes existent effectivement (quoiqu elles soient interdites) mais ce n est pas une solution universelle.
25 Les ententes oligopolistiques Un exemple d entente Le géant néérlandais de l industrie chimique, Akzo Nobel Chemicals BV, a accepté le 27 juin 2001 de plaider coupable et de payer une amende pénale de $12 millions pour avoir participé à une conspiration internationale en vue de fixer les prix et de répartir les parts de marché sur le marché de l acide monochloroacétique (MCAA) Erik Anders Broström, cadre supérieur d Akzo Nobel et citoyen suédois, a accepté de plaider coupable, de subir une peine de trois mois d emprisonnement aux États-Unis et une amende de $20,000
26 Les ententes oligopolistiques Selon l accusation d un tribunal fédéral de San Francisco, Akzo Nobel et Broström ont conspiré avec divers producteurs de MCAA pour supprimer et eliminer la compétition dans l industrie MCAA de 1995 à En se mettant d accord sur les prix à pratiquer aux États-Unis et sur les parts de marché sur le marché U.S. ils ont effectivement éliminé la concurrence por leurs clients.
27 Les ententes oligopolistiques Les techniques utilisées Akzo Nobel et Broström ont utilisé les moyens suivants : 1. Participation à des meetings et des conversations pour discuter les prix et les parts de marché du MCAA vendu aux USA et ailleurs dans le monde ; 2. Mise au point d accords, pendant ces meetings et conversations, en vue de fixer les prix à certains niveaux... ; 3. Mise au point d accords, pendant ces meetings et conversations, en vue de répartir les parts de marché entre les principaux producteurs de MCAA aux États-Unis et ailleurs dans le monde ; 4. Annonces des modifications de prix en fonction des accords intervenus ; 5. Échanges d informations sur les ventes de MCAA sur les marchés concernés, en vue du respect des accords sur les prix et les parts de marché.
28 Les ententes oligopolistiques Définition générale Au-delà de ces formes très variables, il est possible de proposer la définition générale suivante : Definition Une entente est un mécanisme de coopération entre entreprises en vue d organiser un ou plusieurs marchés, dans le sens d une atténuation de la concurrence, voire de sa disparition.
29 Les ententes oligopolistiques L incitation à l entente On peut mesurer l incitation à l entente par l augmentation des profits que permettrait une entente. Si l entente permet des profits de monopole, que permettent l oligopole de Cournot et celui de Bertrand en l absence d entente? Mesurons cet effet par la différence de la marge relative, d une part dans le cas du monopole, d autre part dans les situations d oligopole. Cette marge est le pouvoir de monopole (indice de Lerner)
30 Les ententes oligopolistiques Mesures du pouvoir de monopole Monopole : Cournot : Bertrand : p M Cm = 1 p M ɛ (p O Cm) = 1 p O n ɛ p B Cm = 0 p B Le gain en pouvoir de monopole sera plus important en partant d un oligopole de Bertrand.
31 Les ententes oligopolistiques L incitation à s entendre dans les o. de Cournot et Bertrand µ MARGES DE L EQ. DE COURNOT µ 0 MARGES DE L EQ. DE BERTRAND n
32 Les ententes oligopolistiques Catégories d ententes Ententes légales ou illégales Ententes explicites ou implicites Ententes plus ou moins parfaites Ententes oligopolistiques (cartels), verticales, de marchés publics
33 Les ententes oligopolistiques Degrés de perfection d une entente explicite L entente parfaite permet de maximiser le profit total des entreprises concernées. La seconde modalité que les entreprises peuvent adopter si l entente parfaite se révèle irréalisable, est l entente en prix avec maintien des parts de marché. La troisième modalité, la moins contraignante, consiste simplement pour les entreprises à se mettre d accord sur un prix de vente de leurs produits : entente en prix.
34 Les ententes oligopolistiques Entente parfaite Le profit total d un ensemble d entreprises s écrit de la manière suivante : π T (q 1, q 2,..., q i,... q n ) = Qp(Q) n C i (q i ) où Q = n i=1 q i. Toutes les entreprises doivent fonctionner avec le même coût marginal. Ce profit est maximum quand : π q i = 0 i=1
35 Les ententes oligopolistiques Mise en place d une entente implicite Des entreprises ne peuvent pas ou ne veulent pas communiquer entre elles ; est-il possible qu elles aboutissent malgré cette impossibilité à pratiquer un prix élevé et à limiter ou annihiler leurs tendances à se concurrencer? Firme I II Prix Faibles Élevés - Faibles (6000 ;6000) (1200 ;25000) - Élevés (25000 ;1200) (15000 ;15000)
36 Les ententes oligopolistiques Les pratiques favorables Les pratiques favorables sont des comportement que les firmes adoptent pour inciter leur concurrents à penser qu elles ne chercheront pas à jouer un jeu fortement concurrentiel, mais qu au contraire elles souhaitent une forme de collusion. Les plus souvent citées sont : Les annonces de prix Les méthodes de calcul Les clauses de révision des prix Clause NPF Clause anglaise
37 Les ententes oligopolistiques Le fonctionnement et la stabilité des ententes Une fois que l entente a été mise au point, se pose la question de son fonctionnement et de sa stabilité. En effet, il existe des facteurs susceptibles de fragiliser les ententes. Les facteurs externes Firmes hors entente Les entrants potentiels Les facteurs internes
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