Rapport du comité d'experts
|
|
- Corinne Robert
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Epidémiologie, Stratégies Thérapeutiques et Virologie Clinique dans l'infection à VIH UMR_S 720 de l'université Pierre et Marie Curie Mai
2 Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Epidémiologie, Stratégies Thérapeutiques et Virologie Clinique dans l'infection à VIH UMR_S 720 Université Pierre et Marie Curie mai 2008
3 Rapport du comité d'experts L'Unité de recherche : Nom de l'unité : Epidémiologie, Stratégies Thérapeutiques et Virologie Clinique dans l'infection à VIH Label demandé : UMR_S N si renouvellement : 720 Nom du directeur : Mme Dominique COSTAGLIOLA Université ou école principale : Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Autres établissements et organismes de rattachement : INSERM Date(s) de la visite : 20 mars
4 Membres du comité d'évaluation Président : M. Denis HEMON, Villejuif Experts : M. Asier SAEZ-CIRION, Paris Mme Josiane WARSZAWSKI, Villejuif Expert(s) représentant des comités d évaluation des personnels (CNU, CoNRS, CSS INSERM, représentant INRA, INRIA, IRD ) : M. Christian PRADIER, Nice, représentant du CNU Mme Hélène JACQMIN-GADDA, Bordeaux, représentant des CSS de l INSERM Observateurs Délégué scientifique de l'aeres : Mme Archana SINGH-MANOUX Représentant de l'université ou école, établissement principal : M. Jean CHAMBAZ, Université Paris 6 Représentant(s) des organismes tutelles de l'unité : Mme Josiane POGGIOLI, INSERM 4
5 Rapport du comité d'experts 1 Présentation succincte de l'unité Le projet de l unité " Epidémiologie, stratégies thérapeutiques et virologie cliniques dans l infection à VIH " est centré sur la problématique de vivre au long cours avec le VIH. Il s articule autour des questions que pose la recherche clinique sur le VIH depuis l avènement des multi- thérapies qui ont changé le cours de cette infection en 1996, et dans le contexte de l arrivée des 2 nouvelles familles d anti-rétroviraux, qui bloquent l'entrée du virus dans la cellule ou son intégration. Il est fondé sur l interaction entre des cliniciens, virologues, épidémiologistes et biostatisticiens qui collaborent étroitement depuis 10 ans. Les recherches seront organisées autour de 3 équipes travaillant en étroite collaboration sur des projets complémentaires : Epidémiologie clinique de l infection à VIH, de ses complications et de ses traitements Stratégies thérapeutiques dans l infection à VIH Résistance aux anti- rétroviraux Ces recherches s appuieront sur les cohortes et les essais cliniques coordonnés par l'unité (qui est l un des centres de méthodologie et de gestion des essais ANRS sur le VIH) et notamment sur la Base de données hospitalière française sur l infection à VIH. Cette base comprend les données relatives à plus de personnes dans 68 hôpitaux répartis sur tout le territoire français. Elles s intégreront au sein de projets européens financés (Cascade, Gisheal, réseau d excellence NEAT) ou soumis (Chain dans le cadre du FP7, Cohere dans le cadre du MRC) et de coopérations internationales (HIV-Causal Collaboration, NIH R01 AI A2 ; ART Cohort collaboration dans le cadre du MRC). L hôpital de la Pitié-Salpêtrière regroupe aussi des immunologistes au sein de l IFR "Immunité et infection", auquel participe l'unité et bénéficie d un fort recrutement clinique (environ 3000 patients suivis dans le service des maladies infectieuses, plus de au sein du Corevih Paris-Est), il est donc un site particulièrement bien adapté pour développer ce projet. L unité est constituée de 57 membres dont : 3 chercheurs statutaires 15 enseignants-chercheurs 28 ingénieurs et techniciens dont 7 statutaires 7 doctorants, tous financés Depuis Janvier 2004, 6 étudiants ont soutenu leur thèse, la durée moyenne d une thèse étant de 3 ans et demi. 4 membres de l unité sont titulaires d une HDR dont 3 supervisent des étudiants. 2 Déroulement de l'évaluation Tous les exposés (présentations générales et par équipe, par les coordonnateurs des équipes et par des doctorants) ont eut lieu en présence de l'ensemble des personnels et ont donné lieu à des échanges scientifiques multiples avec tous les membres du groupe d'expertise. Les documents écrits et exposés ont présenté de façon parfaitemment claire les problématiques abordées, questions posées, démarches adoptées, instruments d'observations développés, résultats obtenues à ce jour et nouvelles questions ouvertes. Une rencontre a eut lieu avec les personnels ingénieurs, techniciens et administratifs (titulaires et contractuels) en présence des seuls experts et observateurs, puis avec les doctorants dans la même configuration. A l'occasion de ces échanges le groupe de visite a très positivement apprécié la dynamique d'ensemble de l'unité et l'implication de la totalité des personnels de l'unité (directeur, coordonnateurs des équipes, chercheurs, inténgieurs techniciens et administratifs) dans toutes les dimensions de la vie scientifique de l'unité. Les délibérations du groupe d'expertises ont eu lieu à huis clos, en présence des membres observateurs mais sans 5
6 intervention de leur part. La durée de ces délibérations, environ 1h30 a assuré une analyse approfondie des différents aspects du projet d'unité. 3 Analyse globale de l unité, de son évolution et de son positionnement local, régional et européen Cette unité, créée en janvier 2005, demande sa reconnaissance pour un nouveau mandat quadriennal ( ). Son projet de recherche est parfaitement structuré à partir des éléments suivants sur lesquels s'articulent de façon systématique et particulièrement cohérente les problématiques, questions, approches, projets et méthodes. Dix ans après l introduction en 1996 des toutes premières trithérapies, le nombre de patients dont la réplication virale est contrôlée a progressivement augmenté jusqu à atteindre près de 85% des patients sous traitements, conduisant à une augmentation de la survie que l on peut estimer maintenant de plusieurs décennies. Cependant : Ces succès ne sont obtenus qu au prix d un maintien constant du traitement antirétroviral (ARV) sous peine de reprise de réplication immédiatement après interruption du traitement ; L absence de restauration immunitaire anti VIH sous traitement ARV, ou même celle modeste que l on peut obtenir après immunothérapie, ne permet pas de s affranchir même transitoirement du traitement ARV ; Les causes de morbidité et de mortalité deviennent plus diverses (pathologies vasculaires, rénales, osseuses, cancers classant ou non SIDA), en grande partie en raison du vieillissement de la population infectée par le VIH, de la fréquence importante des facteurs de risque pour les maladies cardiovasculaires et le cancer, des effets de l infection elle-même et de l effet des traitements antirétroviraux. Il existe un risque permanent de développement de résistance virale en cas de réplication virale même minime, variable selon les différentes classes thérapeutiques, obligeant au maintien quasi absolu d une charge virale plasmatique sous le seuil minimal de détection. 4 Analyse équipe par équipe et par projet Equipe 1 : Epidémiologie clinique de l'infection à VIH, de ses complications et de ses traitements L équipe 1 a travaillé sur les thèmes suivants depuis 2003 : Pronostic clinique et réponse immuno- virologique au traitement ; Échec thérapeutique, résistance au anti- rétroviraux ; Restauration immune et pathologies opportunistes ; Complications associées à la maladie ou aux traitements ; Surveillance épidémiologique. Les objectifs scientifiques généraux de son projet sont les suivants : Etudier l histoire clinique de la maladie et mettre en relation les résultats biologiques et cliniques des combinaisons antirétrovirales (cart) ; Etudier la morbi-mortalité chez les patients naïfs et les patients traités et en particulier étudier la survenue de pathologies rares susceptibles d être liées à l exposition aux traitements et/ou à l infection à VIH, notamment les cancers classants et non classants SIDA et les pathologies métaboliques et vasculaires ; Contribuer à la surveillance épidémiologique de l infection à VIH en France, via la modélisation. 6
7 Cette équipe est constituée de 2 chercheurs statutaires, 2 enseignants-chercheurs et de 2 praticiens hospitaliers représentant un total de 2 ETP. 2 des membres de cette équipe sont titulaires d une HDR. L équipe bénéficie également de 8 ingénieurs, techniciens et personnels administratifs dont 3 sont titulaires. De Janvier 2002 à Septembre 2007, les membres de cette équipe ont publié 128 publications originales dont 17 en premier auteur et 34 en dernier auteur. 95 articles scientifiques originaux ont été publiés dans des revues du meilleur niveau du domaine : revues spécialisées et généralistes : notamment : Antiv Ther / AIDS / J Infec Dis / Br J Haematol / J Acquir immune Defic Syndr / Clin Infec Dis / J Clin Oncol / Stat Med / Infection / J Clin Microbiol / Arch Int Med / The Lancet). Au total l'équipe 1 présente une excellente production scientifique , un excellent projet scientifique , centré sur des problématiques parfaitement pertinentes. Equipe 2 : Stratégies thérapeutiques dans l'infection à VIH Cette équipe est constitué de 3 chercheurs statutaires, 1 enseignant-chercheur et de 6 praticiens hospitaliers représentant un total de 2,7 ETP. Un membre de cette équipe est titulaire d une HDR. L équipe bénéficie également de 15 ingénieurs, techniciens et personnels administratifs dont 1 est titulaire. L équipe 2 a travaillé sur les thèmes suivants depuis 2003 : Echec thérapeutique et nouvelles molécules antirétrovirales ; Complications des traitements anti- rétroviraux et de l infection VIH ; Nouvelles stratégies thérapeutiques ; Restauration immunitaire et stratégies d immuno-intervention ; Coinfection par les virus des hépatites C et B ; Traitements antirétroviraux dans les Pays en développement. Les objectifs scientifiques généraux de son projet sont les suivants : Complications des traitements antirétroviraux et de l infection VIH ; Nouvelles stratégies antirétrovirales ; Co-infection par les virus des hépatites C et B ; Prise en charge de l infection à VIH dans les pays en développement. De Janvier 2002 à Septembre 2007, les membres de cette équipe ont publié 182 publications originales dont 15 en premier auteur et 18 en dernier auteur. 142 articles ont été publiés dans des revues du meilleur niveau du domaine, notamment : Antiv Ther, AIDS, Hepatology, Clin Infec Dis, Nat Rev Immunol, HIV Clin Trials, Vaccine, J Med Virol. Au total l'équipe 2 présente une excellente production scientifique , un excellent projet scientifique , centré sur des problématiques parfaitement pertinentes. Cette équipe a centré son activité et son projet scientifiques sur les essais cliniques. Elle est encouragée à accroître ses activités d'encadrement de doctorants (ce qui implique, comme elle l'indique, que les établissements considèrent comme pertinent de proposer des positions permanentes aux cliniciens ayant une formation doctorale dans ce domaine de recherche). Equipe 3 : Résistance aux anti- rétroviraux Cette équipe est constitué de 2 chercheurs statutaires, 4 enseignants-chercheurs et de 1 praticien hospitalier représentant un total de 3 ETP. Un membre de cette équipe est titulaire d une HDR. L équipe bénéficie également de 8 ingénieurs, techniciens et personnels administratifs dont aucun n est titulaire. 7
8 L équipe 3 a travaillé sur les thèmes suivants depuis 2003 : Identification des mutations de résistance aux antirétroviraux et lien avec la pharmacologie ; Méthodologie de la construction des règles d interprétation des tests génotypiques ; Epidémiologie de la résistance aux antirétroviraux. Les objectifs scientifiques généraux de son projet sont les suivants : Identification des mutations de résistance ; Méthodologie de la construction d algorithmes génotypiques ; Résistance aux antirétroviraux et pays du sud. De Janvier 2002 à Septembre 2007, les membres de cette équipe ont publié 111 publications originales dont 41 en premier auteur et 14 en dernier auteur. 109 articles ont été publiés dans des revues du meilleur niveau du domaine, notamment : Antiv Ther, AIDS, J Acquir immune Defic Syndr, J Med Virol, HIV Med, Blood, Antimicrob Agents Chemother, J Clin Microbio, J Inf Dis, N Engl J Med, Stat Med. Au total l'équipe 3 présente une excellente production scientifique , un excellent projet scientifique , centré sur des problématiques parfaitement pertinentes. 5 Analyse de la vie de l'unité En termes de management : L'Unité est apparue comme bénéficiant d'un directeur et de coordonnateurs d'équipes : particulièrement compétents sur le plan scientifique et ayant une excellente visibilité internationale, ayant mis en place des outils d'observation ou d'expérimentation d'envergure sur leur problématique, capables de mobiliser les importantes ressources humaines et financière nécessaires au développement de leurs travaux, sachant parfaitement animer sur le plan humain leurs Unité et Equipes. En termes de ressources humaines : L'Unité est apparue comme disposant des ressources lui permettant de réaliser son projet de recherche, aussi bien du fait de la qualification de l'ensemble de ses membres (chercheurs, ingénieurs techniciens doctorants et post-doctorants), que du fait de leur nombre et de l'efficacité de l'organisation de leurs travaux. En termes de communication : L'Unité joue un rôle central au niveau national et international dans l'acquisition des connaissances nouvelles sur la population des personnes infectées par le VIH et aussi sur leur transfert aux autorités de santé et partenaires des problématiques liées à l'infection au VIH. 8
9 6 Conclusions Points forts : Importance de la problématique générale abordée et des contributions scientifiques antérieures sur celle-ci ; Importance des outils d'observation épidémioloiques et cliniques d'envergure mis en place ; Qualité de l'équipe de direction de l'unité et des Equipes et de l'ensemble des personnels impliqués dans le projet ; Excellente visibilité internationale de l'équipe de ses projets et contributions scientifiques ; Importance qualitative et quantitative des contributions scientifques antérieures qui place cette unité au meilleur niveau de son domaine de recherche sur le plan international ; Rôle leader de l'unité au sein de plusieurs projets scientifiques d'envergure nationale et européenne dans le domaine et qualité des partenaires scientifiques extérieurs de l'unité. Points à améliorer : Cette unité a un fort potentiel d'encadrement de thèses et pourrait renforcer encore son activité dans ce domaine, notamment, comme elle le projette, en accroissant son nombre d'hdr et de doctorants. Recommandations : Le comité recommende de renforcer le potentiel d encadrement de doctorants en incitant les membres des 3 équipes à soutenir une HDR. En conclusion, les membres du comité de visite ont un avis très positif sur cette unité. 9
10 Epidémiologie clinique et traitement de lʼinfection à VIH Directeur : D. Costagliola1 Réf : AER_P06_057-UMRS720-ASM-V1 Paris, le 13 mai 2008 J ai bien reçu le rapport d évaluation de l AERES concernant notre unité de recherche UMR- S 720 Epidémiologie, Stratégies Thérapeutiques et Virologie Clinique dans l'infection à VIH et je vous signale que ce dernier n appelle aucune observation de ma part ou de celle des autres responsables d équipe. Dominique COSTAGLIOLA Directeur de l UMR-S 720 Correspondance : INSERM U Boulevard Vincent Auriol BP PARIS Cedex 13 - FRANCE Tel : (33-1) Fax : (33-1) Dominique.costagliola@ccde.chups.jussieu.fr
Rapport du comité d'experts
Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Centre du droit de l entreprise, EA 3397 de l'université Strasbourg 3 avril 2008 Section des Unités de recherche Rapport
Plus en détailRapport du comité d'experts
Section des Unités de recherche Rapport du comité d'experts Unité de recherche : Centre de Recherche sur l Espagne Contemporaine (CREC) EA 2292 de l'université Paris 3 Sorbonne Nouvelle février 2008 2
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailSection des Unités de recherche. Rapport d évaluation. Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS
Section des Unités de recherche Rapport d évaluation Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS Mars 2009 Section des Unités de recherche Rapport d'évaluation Unité de recherche
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailRapport de l AERES sur la structure fédérative : sous tutelle des établissements et organismes : «Du malade à la molécule» Université Aix Marseille 2
Section des Unités de recherche Rapport de l AERES sur la structure fédérative : «Du malade à la molécule» sous tutelle des établissements et organismes : Université Aix Marseille 2 Juin 2011 Section des
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailLa prise en charge médicale des patients atteints
Presse Med 2003; 32: 299-303 2003, Masson, Paris C ONTRIBUTIONS P. Pugliese 1,L.Cuzin 2, P. Enel 3,R.Agher 4, S.Alfandari 5,E.Billaud 6, P. Druard 3,C.Duvivier 4, M. Perez 2,D. Salmi 7, C. Pradier 8 NADIS
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailRapport de l AERES sur l unité :
Section des Unités de recherche Rapport de l AERES sur l unité : CEL (Centre d études linguistiques) sous tutelle des établissements et organismes : Université Jean Moulin Lyon 3 Mai 2010 Section des Unités
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailÉvaluation du HCERES sur l unité :
Entités de recherche Évaluation du HCERES sur l unité : Centre de Recherche en Management CRM sous tutelle des établissements et organismes : Université Toulouse 1 Capitole - UT1 Centre National de la
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailCERTIFICATION MÉDICALE RAPPORT MÉDICAL POUR LE DROIT DE SÉJOUR
Prévu à l article L313-11 11 du Code de l entrée et du séjour des étrangers et du droit d asile (Ceseda), le droit au séjour pour raison médicale concerne les étrangers atteints de maladie grave qui ne
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailMALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux
ETUDE DE DEUX CAS D ECHEC VIROLOGIQUE AUX ANTIRETROVIRAUX A L INSTITUT D HYGIENE SOCIALE (IHS) DE DAKAR Study of two cases of virological failure of the antiretroviral in the Institute of Social Hygiene(ISH)
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailSoutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie
APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailRapport d évaluation. de l'ehess et ENS. Unité de recherche PSE (Paris-Jourdan Sciences Economiques)
Section des Unités de recherche Rapport d évaluation Unité de recherche PSE (Paris-Jourdan Sciences Economiques) de l'ehess et ENS Avec annexe sur l évaluation spécifique à la demande expresse de l INRA
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailRapport de l AERES sur l unité :
Section des Unités de recherche Rapport de l AERES sur l unité : Centre de Recherches en Management (CRM) sous tutelle des établissements et organismes : Université Toulouse 1 Mai 2010 Section des Unités
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailLes défibrillateurs cardiaques implantables
Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailService d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages
Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49
Plus en détailCONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:
CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail
Plus en détailLES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé
SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailÉvaluation de l AERES sur l unité :
Section des Unités de recherche Évaluation de l AERES sur l unité : Centre d'études et de Recherches Juridiques en Droit des Affaires CERJDA sous tutelle des établissements et organismes : Université des
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailOFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR
OFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION / PHARMACIE Sous réserve d accréditation (Licences et Masters) LISTE DES FORMATIONS
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailSeuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien
14 15 octobre 2010 Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien Bruno Hoen 1 Plan de la discussion Quelle(s) définition(s)? Quelle réalité épidémiologique? Quelle
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Les recours possibles pour les patients OBTENIR DES EXPLICATIONS Si un patient
Plus en détailDroits des patients et indemnisation des accidents médicaux
Droits des patients et indemnisation des accidents médicaux Etablissement public sous la tutelle du Ministère chargé de la santé Lorsqu il estime avoir été victime, de la part d un établissement ou d un
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailL UFR des sciences pharmaceutiques
Séance délocalisée de l Académie nationale de Pharmacie Bordeaux 4 & 5 avril 2014 L UFR des sciences pharmaceutiques L UFR des Sciences pharmaceutiques L une des 5 composantes du Collège Sciences de la
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailEntités de recherche. Centre de Recherche Astrophysique de Lyon CRAL
Entités de recherche Évaluation du HCERES sur l unité : Centre de Recherche Astrophysique de Lyon CRAL sous tutelle des établissements et organismes : Université Claude Bernard Lyon 1 - UCB École Normale
Plus en détailSection des Unités de recherche. Thérapie Génique et Contrôle de l Expansion Cellulaire
Section des Unités de recherche Évaluation de l AERES sur l unité : Thérapie Génique et Contrôle de l Expansion Cellulaire sous tutelle des établissements et organismes : Université Paris-Sud Institut
Plus en détailPERSONNEL RETRAITE AYANT UNE ACTIVITE BENEVOLE A L UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE
PERSONNEL RETRAITE AYANT UNE ACTIVITE BENEVOLE A L UNIVERSITE PIERRE ET MARIE CURIE Dossier à transmettre à la Direction des Affaires Générales A l attention de Mme Valérie Guillet Tour Zamansky- 19 ème
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détail12-13/06/2013 C.COLIN / MA. BLOCH
Réunionn du Conseil Scientifique de l EHESP 11 juin 2013 Compte rendu synthétique et relevé de décisions Référence Révision Date d application Version CS _juin_2013 Validation Rédigé Date 11/06/2013 Prénom
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailAppel à Projets. Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie. Action 3.1 et 23.2
Appel à Projets Constitution de bases clinicobiologiques multicentriques à visée nationale en cancérologie Action 3.1 et 23.2 Soumission en ligne: http://www.e-cancer.fr/aap/bcb11 Date limite de candidature
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique
ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &
Plus en détailPrise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH
Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH 2004 Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH Rapport 2004 Recommandations du groupe d experts Sous la direction
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLes Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales
Aix 11 Septembre 2006 Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales «Sciences de la Vie» Jean-François DHAINAUT Président du Pôle de Recherche et Enseignement Supérieur «Université Paris-Centre»
Plus en détailPLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE
Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailsous tutelle des établissements et organismes : Ingénierie Recherche Intervention Sport Santé Environnement IRISSE Université de la Réunion
Section des Unités de recherche : Ingénierie Recherche Intervention Sport Santé Environnement IRISSE sous tutelle des établissements et organismes : Université de la Réunion Janvier 2014 Section des Unités
Plus en détailExpert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior)
1.1.1 Experts principaux Ces termes de référence définissent les profils requis pour les experts principaux. Le soumissionnaire doit fournir une déclaration d'exclusivité et de disponibilité pour les experts
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailL adhésion au traitement: les clés du succès
L adhésion au traitement: les clés du succès Dr Marie P. Schneider, pharmacienne Policlinique Médicale Universitaire Lausanne CHUV avril 005 Mme W.M. 970 Patiente d origine angolaise, en Suisse depuis
Plus en détailBourse doctorale Edition 2015 Préambule :
Bourse doctorale Edition 2015 Préambule : Objet - Définition Engagé dans le soutien à la recherche scientifique et pour approfondir la compréhension de la mémoire et les moyens de prévention, l Observatoire
Plus en détailMASTER 2 SCIENCES DU MEDICAMENT
MASTER 2 SCIENCES DU MEDICAMENT RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation La vocation de ce diplôme est d'apporter une formation
Plus en détailAvis 6 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailÉvaluation de l AERES sur l unité :
Section des Unités de recherche Évaluation de l AERES sur l unité : Mathématiques et Informatique Appliquées MIA sous tutelle des établissements et organismes : AgroParisTech Institut des Sciences et Industries
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détail