Le gaspillage alimentaire : Quels enjeux? Quelles solutions?

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1 Le gaspillage alimentaire : Quels enjeux? Quelles solutions? Eric Birlouez ingénieur agronome et sociologue de l alimentation Le gaspillage alimentaire (GA) est un phénomène aux responsabilités multidimensionnelles qui couvre l ensemble des acteurs de la production aux consommateurs. Dans les pays du sud, il se situe plutôt au moment de la récolte par manque de capacités de stockage et d infrastructures de transport suffisantes. Dans les pays du nord, il est dû au calibrage des fruits et légumes. Les normes ont ainsi conduit à éliminer 30 à 40 % de la production des circuits de distribution. Exemple : pour 9 pêches produites, 3 sont sorties du marché parce qu elles ne répondent pas au critère de calibrage ; 3 sont éliminées car elles sont trop abimées pour être commercialisées (en cause le transport et la manipulation dans les magasins) ; 1 est gaspillée par le consommateur et 2 sont réellement mangées. Il faut également tenir compte du facteur de surproduction qui, pour éviter l effondrement des cours des récoltes, mène à la destruction des surplus. Toutefois, il n est pas aisé de connaître précisément l ampleur du gaspillage alimentaire et le rôle de chacun des acteurs. Bien que l on sache que 20 kg d aliments non consommés par an et par personne sont jetés (soit 7 kg de produits alimentaires encore emballés et 13 kg gaspillés). Ce qui, rapporter à la journée ne représente plus que 55 g par personne et par jour (étude de l ADEME). Et ramené au niveau mondial, en termes de terres cultivables, cela représente 1.3 milliards de tonnes jetées à la poubelle, soit 1/3 de la production mondiale, 28 % des terres cultivables et 250 km 3 d eau (source : la FAO 11/09/2013). Le phénomène de gaspillage alimentaire s explique par le fait que la valeur de l alimentation a fortement évolué au cours des années. Traditionnellement l alimentation se rapporte à 4 valeurs : - La valeur vitale : la nourriture nous est indispensable. - La valeur économique : si dans les années 60 le budget consacré à l alimentation représentait 30 %, elle ne représente plus aujourd hui que

2 - 15 %. Les raisons en sont que se nourrir coûte moins cher de nos jours, que nous n avons pas connu de période de pénurie et que nous évoluons dans une société de surconsommation. - La valeur humaine : le lien avec la production agricole s est perdu. Aujourd hui, les produits que nous consommons sont pour beaucoup transformés sans que l on sache vraiment par qui et comment ils ont été fabriqués. - La valeur sacrée : toutes les religions confèrent à la nourriture un caractère sacré. Celui-ci s est lui aussi perdu. Les valeurs attachées traditionnellement à l alimentation sont en déclin, ce qui explique le fort pourcentage de gaspillage aujourd hui et son acceptation par la société. Autre aspect de l évolution de la société, concourant au gaspillage alimentaire : l accélération du rythme de vie de nos concitoyens qui ne prennent plus le temps de cuisiner, notamment de cuisiner les restes. Eric Birlouez s est également intéressé au gaspillage alimentaire en milieu scolaire. Il s avère qu en moyenne 30 % des denrées dans les cantines sont jetées. Pour appréhender ce phénomène il est nécessaire de l aborder à la fois d un point de vue sociologique mais aussi de travailler en parallèle sur le terrain (prendre des mesures, mise en place d actions, évaluation des résultats et enquêtes de perception des collégiens). Il en ressort que si un lien humain a été créé entre les élèves et les équipes de cuisine et de service, le gaspillage sera moindre. Les élèves prennent conscience que derrière l alimentation il y a des hommes. Il est assez facile de mettre en œuvre des actions pour réduire ce gaspillage. Plusieurs leviers possibles : - communiquer sur ce thème via les élèves, - réfléchir en amont sur la gestion des élèves, des stocks, des commandes - travailler sur l environnement des repas car le facteur bruit est un facteur aggravant. Plus l atmosphère est apaisée lors d un repas, moins il y aura de gaspillage. En conclusion, pour lutter contre le GA, il existe de nombreuses solutions techniques à mettre en œuvre ; toutefois il faut redonner du sens, de la valeur à l alimentation.

3 Les pouvoirs publics se sont également intéressés à cette problématique, et ont initié avec Monsieur Guillaume Garot, alors Ministre délégué à l agroalimentaire, une politique anti gaspillage qui a aboutit à l instauration en juin 2013 d un pacte national de la lutte contre le gaspillage alimentaire. Cette démarche non coercitive, s appuie sur une prise de conscience, une volonté commune d agir qui vise à réduire par deux le gaspillage alimentaire d ici mesures ont été engagées et ont permis de faire émerger des projets innovants tels que celui d Eqosphère. Le pacte national a eu un impact sur la valeur économique via les réductions d impôt, mais cela a aussi été une ouverture vers la création de valeur sociale et environnementale. Il a également mis en relation des acteurs d horizons différents et permis d identifier les freins et la mise en œuvre de solutions concertées dans les groupes de travail, qui à ce jour, continuent de se rencontrer et de travailler sur ce sujet. LES SOLUTIONS 1 ère solution proposée par l entreprise sociale EQOSPHERE Xavier Corval, Directeur et fondateur Eqosphère a pour objectif de détourner de la poubelle les surplus alimentaires et non alimentaires des distributeurs et de les revaloriser grâce à sa plateforme collaborative en ligne permettant de les redistribuer. Leur approche non culpabilisante amène les acteurs de la distribution à adopter de nouveaux comportements. De plus, il propose des solutions de valorisation des surplus et des déchets pérennes (recyclage, dons alimentaires aux associations, dons de déchets aux zoos, ) modifiant ainsi en profondeur les process internes. La conduite de changement d Eqosphère passe par : * une phase d observation au sein de l entreprise pour connaître leur habitude de traitements des invendus dans la zone de tri ; * une phase de proposition de nouvelles pratiques ; * une phase de communication : afin de faire partager à tous les ambitions de l entreprise. Les collaborateurs reçoivent un livret de sensibilisation à la revalorisation des produits décommercialisés et incommercialisables ; * une phase de solutions pratiques. Cette méthode permet d obtenir des résultats intéressants puisque 50 % des produits sont détournés de la poubelle, au profit d associations caritatives, par rapport au mois précédent leur intervention.

4 L intérêt pour le distributeur : - réduire ses frais de destruction qui s élève aujourd hui à 125 euros la tonne ; - réduction des frais de stockage et de manutention ; - réduction d impôt ; L article 238 bis du code général des impôts permet aux entreprises de réduire leur impôt à hauteur de 60 % de la valeur en stock des produits s ils sont donnés à des structures associatives ; - offrir à l entreprise la possibilité de mettre en œuvre de la RSE par la réduction de leur impact négatif sur le plan social et environnemental. Résultat, le projet devient un projet managérial qui implique fortement les collaborateurs et les rendent fières de l initiative mise en œuvre. 2 ème solution proposée par l Association Nationale de Développement des Epiceries Solidaires (ANDES) Guillaume Bapst, Directeur et fondateur L aide alimentaire est considérée comme un geste de charité. Or, ANDES a choisi de mettre en application le principe de don et contre don. C est-à-dire qu accepter un don engendre une contrepartie ce qui permet au bénéficiaire de ne pas se sentir redevable. Principe de fonctionnement : les gens font leurs courses dans les épiceries solidaires et s acquittent d une légère compensation financière (20 % du prix réel des articles). Ils sont alors libérés de cette dette morale. ANDES a fait le choix de privilégier les produits frais, tels que les fruits et légumes, les poissons et les produits laitiers, car ce sont ceux qui font le plus défaut à l aide alimentaire en raison de leur difficulté de gestion. Ils sont présents sur les marchés de gros (les MIN de RUNGIS et de Perpignan) et implanter dans de nombreuses villes de France et d ailleurs ; ils travaillent avec des personnes en insertion ; et les fruits et légumes non commercialisables sont récupérés. 55 % de ces aliments sont utilisés. Pour une part des 45 % restants, ANDES a mis en place une unité de transformation afin de fabriquer des soupes fraiches (commercialisées dès septembre dans les Simply Market, Monoprix et Carrefour). Leur objectif est de gagner 2 % de part du marché français. Les bénéfices seront reversés à un fond de dotation pour le réapprovisionnement des épiceries solidaires. Ces initiatives ne vont par résoudre les problèmes du manque de nourriture pour les publics précaires par la diminution du gaspillage alimentaire, mais

5 elles vont y contribuer. Le risque toutefois est de créer d autres types de problématiques liées à l alimentation. En termes d impact, lorsque l on redonne envie à ce public défavorisé de consommer et de cuisiner des produits frais de qualités, le taux de consommation de fruits et légumes augmente de façon significative (passe de 1.2 % à 6.4 %). L action d ANDES permet d augmenter la consommation de fruit de 50 % et de légumes de 30 %. Autre initiative entreprise et expérimentée dans un premier temps en Poitou Charente par ANDES en travaillant aussi sur cette thématique en amont. ANDES a répertorié les besoins des épiceries solidaires, et en parallèle, a contacté des petits producteurs locaux en difficultés ou en cours d installation. En réunissant des représentants de la FNSEA, de la Confédération paysanne, les chambres d agriculture et de la MSA, ils ont ensemble défini l offre de chacun des producteurs par rapport aux besoins, puis déterminé quel était le juste prix de ces produits. ANDES s est ensuite adressé aux pouvoirs publics (Conseil Général, les régions par exemple) et proposé qu ils financent 60 % et ANDES 40 % de la production de denrées sur une période de 2 ans. Ce système permet d une part d assurer l approvisionnement en produits frais les épiceries solidaires et d autre part de contribuer à la survie des petites exploitations locales.

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