développement de l offre médico-sociale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "développement de l offre médico-sociale"

Transcription

1 développement de l offre médico-sociale Bilan 2012 Personnes âgées Personnes handicapées Personnes en difficultés spécifiques

2

3 SOMMAIRE I. L offre en faveur des personnes âgées Les installations de places nouvelles en Le renforcement de l offre existante en Spécialisation de l accompagnement des malades Alzheimer... en établissement Renforcement de la médicalisation des EHPAD L impact en création d emplois des installations L impact financier des installations Le cout de fonctionnement en crédits assurance maladie L aide à l investissement et les créations d emplois Les prévisions d installations en 2013 et sur la durée du SROMS Les prévisions d installations de places en Les prévisions d installations de places sur la durée du SROMS II. L offre en faveur des personnes handicapées Les installations de places nouvelles en La répartition des places installées par département et selon le public La répartition des places installées par type de déficiences La répartition des places installées par type de structures L impact de l installation des nouvelles places sur le taux d équipement Sur le taux d équipement enfants Sur le taux d équipement adultes Le nombre d emplois créés grâce aux installations L impact en effort financier et en aide à l investissement L effort financier réalisé par chaque département en La participation de l ARS aux investissements qui ont permis... les installations Les prévisions d installations Répartition des places qui seront installées en Les prévisions d installations de places sur la durée du SROMS... 22

4 III. L offre en faveur des personnes en difficultés spécifiques Offre PDS 2012 : atouts et faiblesses Le renforcement du dispositif médico-social en addictologie Le renforcement de l offre existante en ACT La pérennisation des dispositifs LHSS et LAM L impact financier de l offre en Les dotations régionales en addictologie Les dotations régionales en soins résidentiels... pour les personnes malades Perspectives et évolution IV. Annexes Cartographies du développement de l offre... médico-sociale en Personnes âgées Personnes handicapées Personnes confrontées à des difficultés spécifiques Glossaire... 36

5 L année 2012 a été marquée par la publication du projet régional de santé d Ile-de-France et de l ensemble des schémas et programmes qui le constituent. Un certain nombre d axes et d orientations ont été définis en termes de structuration et de développement de l offre médico-sociale francilienne, au premier rang desquels la poursuite du rattrapage par rapport aux taux d équipement constatés au niveau national et un rééquilibrage interdépartemental de l offre au profit de Paris et de la petite couronne 1. La dynamique actuelle des procédures d appel à projets lancées depuis 2011 au niveau de l ARS et le cas échéant, de certains conseils généraux d Ile-de-France témoigne de cette démarche de rattrapage nécessaire de l offre médico-sociale en fonction des crédits d assurance maladie qui sont alloués au niveau régional par la Caisse nationale de solidarité pour l autonomie (CNSA) ou la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) pour le champ des structures pour les personnes en difficultés spécifiques. Pour autant, dans la mesure où les appels à projets se basent sur les autorisations d engagements financiers issus des programmes interdépartementaux d accompagnement des handicaps et de la perte d autonomie (PRIAC) 2, il a semblé important d établir un bilan de la mise en service des équipements médico-sociaux effectivement créés en 2012 qui sont le fruit de programmations antérieures, mais qui intéressent concrètement les franciliens dont l état de santé et/ou de fragilité nécessitent un accompagnement médico-social. Au-delà de la création de structures et de places nouvelles, il est apparu également opportun de mettre en lumière les conséquences de la mise en service de ces nouveaux équipements, l impact financier tant en fonctionnement qu en investissement ainsi que les aspects de spécialisation de l offre dans le cadre de la mise en œuvre des plans nationaux (Plan Alzheimer , Plan Autisme , volet médicalisation du Plan Solidarité Grand Âge ). Enfin - et ce n est pas négligeable dans un contexte de crise économique et de renchérissement du chômage les conséquences en termes de création d emplois non délocalisables ont été analysées à l aune des nouveaux équipements effectivement installés en 2012 avec une extrapolation sur ceux prévus dans les années à venir. Bilan du développement de l offre médico-sociale en 2012, ce document a vocation à être analysé à l aune des orientations du schéma régional d organisation médico-sociale, l objectif étant de le réactualiser chaque année afin de donner une traduction concrète de la dynamique de création de places médico-sociales en cours en Ile-de-France. 1 Sauf sur le champ des structures pour les personnes en difficultés spécifiques 2 Pour les champs des personnes âgées et handicapées exclusivement

6

7 Personnes âgées I. L offre en faveur des personnes âgées Les enjeux en 2012 pour l ARS IDF ont été de poursuivre les créations de places, mais aussi d améliorer la qualité de l offre par un renforcement des établissements en personnel soignant, et par une spécialisation des accompagnements en direction des personnes atteintes de la maladie d Alzheimer. En effet, on constate encore à la fin de l année 2011 un retard important du niveau de l offre francilienne en EHPAD (établissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes) par rapport au niveau national : au 31 décembre 2011, le taux d équipement en EHPAD (accueil de jour et hébergement temporaire compris) était de 77 places pour mille personnes âgées de plus de 75 ans, contre 99 pour la France métropolitaine. En revanche, la situation de l offre en SSIAD (service de soin infirmier à domicile) est légèrement meilleure pour la région : 22 places pour mille personnes âgées de plus de 75 ans, contre 20 en France métropolitaine. Au cours de l année 2012, places nouvelles à domicile et en établissement ont été installées sur 98 sites géographiques différents. 1.1 Les installations de places nouvelles en 2012 La volonté de rattraper le retard d équipement de la région IDF a conduit depuis plusieurs années les services de l Etat, en collaboration avec les conseils généraux, à mener une politique offensive de création de places nouvelles en établissement médico-social. Le fruit de ce travail se concrétise particulièrement en 2012 avec l ouverture de 1791 places en EHPAD, dont les autorisations remontent à plusieurs années. Il convient de rappeler que le délai moyen d ouverture d un établissement à partir de son autorisation est de 4 ans en Ile-de- France. Répartition des places nouvelles installées par dispositif EHPAD SSIAD PA ESA HT RATTACHE AJ RATTACHE 3

8 Personnes âgées La grande majorité des 1640 places d EHPAD ont permis l ouverture de 18 nouveaux établissements, seules 15% d entre elles ont donné lieu à des extensions de places sur des EHPAD déjà installés. La politique de soutien de la vie à domicile se traduit par la création relativement modeste en 2012 de 353 places nouvelles auprès de SSIAD déjà existants, en raison de la priorité donnée au lancement d un appel à projets régional fin 2012 qui doit permettre l installation de plus de 500 places nouvelles en La spécialisation de l accompagnement à domicile des malades Alzheimer, introduite par le plan national Alzheimer , s est concrétisée par la création de 32 équipes (Equipes Spécialisées Alzheimer),représentant 320 places. Répartition des places installées selon le département et le type de dispositif EHPAD HT RATTA CHE AJ RATTAC HE SSIAD PA ESA Total général Paris Seine-et-Marne Yvelines Essonne Hauts-de-Seine Seine-Saint- Denis Val-de-Marne Val-d Oise Ile-de-France Les ouvertures massives de places en EHPAD se traduisent par une augmentation du taux d équipement régional de 2 points entre 2011 et 2012 ( ), avec un maximum de 6,5 points pour l Essonne. Cette progression est à rapprocher au volume des équipements déjà existants. Ainsi, l installation des 353 places de SSIAD représente une progression de cette offre à domicile de 2 % en 2012, alors que le taux d équipement n est impacté que de 0.5 points (21.1 en en 2012). La proportion de places installées selon le mode d accompagnement profite à hauteur de 33% pour la vie à domicile, dès lors que l on comptabilise les places de services intervenant à domicile (SSIAD,ESA) avec celles situées en institution qui concourent à faciliter la vie à domicile (accueil de jour et hébergement temporaire). 4

9 Personnes âgées Répartition des places installées selon le département Val-de-Marne 12% Val-d'Oise 7% Paris 12% Seine-et-Marne 12% Seine-Saint- Denis 17% Yvelines 3% Hauts-de-Seine 9% Essonne 28% La répartition des places créées en 2012 est équilibrée entre la grande couronne et Paris et la petite couronne. Même si la priorité devrait être donnée à Paris et à la petite couronne au regard de leur sous-équipement en comparaison avec les autres départements franciliens, la faible disponibilité du foncier et la prévision d une augmentation de la population âgée bien moindre sur cette zone, conduit l ARS à renforcer également l offre en EHPAD dans les départements de grande couronne, et plus particulièrement en Essonne. 1.2 Le renforcement de l offre existante en 2012 L amélioration du service rendu aux personnes âgées en perte d autonomie passe également par le renforcement de la qualité de l accompagnement, par une plus grande spécialisation face à l augmentation des maladies neurodégénératives telle que la maladie d Alzheimer, et un accroissement du nombre de professionnels intervenant en institution Spécialisation de l accompagnement des malades Alzheimer en établissement Dans le cadre du Plan Alzheimer , ont été introduits au sein des EHPAD de nouveaux dispositifs visant à mieux accompagner les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparentées ayant des troubles du comportement. 5

10 Personnes âgées Ainsi, les Pôles d Activités et de Soins Adapté (PASA) et les Unités d Hébergement Renforcées (UHR) offrent des lieux de vie dotés d un environnement adapté et identifié par rapport au reste de la structure, proposant des activités sociales et thérapeutiques en journée, dans le cadre d une approche non médicamenteuse. Le PASA s adresse aux malades ayant des troubles du comportement modérés tandis que l UHR est réservée aux malades ayant des troubles sévères. En 2012, 17 PASA de 12 ou 14 places ont été installés, pour un total de 230 places, ainsi que 3 UHR de 14 places chacune, pour un total de 42 places. Dans le cadre du Plan Alzheimer, une solution d accompagnement des aidants familiaux de malades Alzheimer a été proposée : les plateformes d accompagnement et de répit. Il s agit d un dispositif qui offre une palette diversifiée de solutions de répit pour les aidants de malades Alzheimer. A ce titre, en 2012, 3 nouvelles plateformes d accompagnement et de répit ont été mises en place, venant s ajouter aux 9 déjà existantes. Répartition des places installées (PASA, UHR) selon le département et le type de dispositif PASA UHR Total général Paris Seine-et-Marne Yvelines Essonne Hauts-de-Seine Seine-Saint- Denis 0 Val-de-Marne Val-d Oise Ile-de-France Renforcement de la médicalisation des EHPAD Les crédits destinés à la médicalisation des EHPAD permettent de recruter du personnel soignant et ainsi d augmenter les ratios de soins pour une meilleure prise en charge des personnes âgées dépendantes. Aujourd hui, ces moyens financiers sont alloués en fonction des points obtenus par chaque établissement basés sur une évaluation du besoin de soins (PMP) conjugué à la dépendance moyenne de la population hébergée (GMP). 6

11 Personnes âgées Concernant le financement, l ARS alloue des crédits médicalisation sur la partie relative aux soins, le conseil général contribue au financement de la dépendance via l APA et peut également contribuer en fonction du niveau de ressources des résidents à l hébergement, via sa politique d aide sociale. En 2012, ce sont près de 11,9 millions d euros qui ont été attribués aux EHPAD au titre de la médicalisation, représentant 124 établissements soit 19 % des EHPAD franciliens. 1.3 L impact en création d emplois des installations 2012 En Ile-de-France, le secteur de l accompagnement des personnes âgées en perte d autonomie emploie actuellement près de équivalents temps plein de personnels soignants. Les places installées durant l année 2012 ont généré la création d environ 700 équivalents temps plein (ETP) de personnels soignants. Sur les 700 ETP, 73 % sont des emplois créés pour une prise en charge des personnes âgées en institution (en EHPAD, dans les PASA ou UHR) et 27 % pour une aide médicalisée à domicile (en SSIAD, ESA) ou contribuant à l amélioration de la vie à domicile (AJ ou HT). Près de 36 % des ETP créés sont des emplois d aides-soignants, ces professionnels étant les plus représentés parmi les nouveaux personnels soignants. Viennent ensuite les aides médico-psychologiques et les infirmiers qui comptent respectivement 25 % et 20 % des nouveaux emplois. Répartition des emplois créés selon la catégorie de personnel 7

12 Personnes âgées Assistants de Médecin soins en coordonnateur gérontologie 2% 12% Ergopsychomotricien 5% Infirmiers diplômés d'etat 20% Aides médicopsychologiques 25% Aides soignants 36% 53 % de ces ETP sont situés en grande couronne. Répartition des emplois créés selon le département et le mode de prise en charge (en %) Institution Domicile Ensemble Paris 5,9 22,7 10,7 Petite couronne Grande couronne 37,0 34,2 36,2 57,2 43,1 53,1 Ile-de-France

13 Personnes âgées 1.4 L impact financier des installations Le coût de fonctionnement en crédits assurance maladie Crédits assurance maladie alloués par département (en euros) DEPARTEMENT TOTAL % Paris ,8 Seine-et-Marne ,7 Yvelines ,2 Essonne ,5 Hauts-de-Seine ,4 Seine-Saint-Denis ,5 Val-de-Marne ,1 Val-d Oise ,8 Ile-de-France Les places installées en 2012 représentent un coût de fonctionnement annuel au titre des crédits assurance maladie de plus de 27 millions d euros L aide à l investissement et les créations d emplois Pour les seules places installées et ouvertes en 2012, l ARS Ile-de-France a alloué d aides à l investissement (dont K au titre du PAI 3 et k en CNR ). Ces aides ont contribué à financer six projets de création d EHPAD représentant quelques 518 places d hébergement permanent et temporaire, dont le coût moyen à la place est de Ainsi, l ARS a contribué à hauteur de 13.25% du cout total des travaux engagés, qui s élèvent à Si l on considère que la durée moyenne d un chantier dure 2 ans, l estimation de travaux générés par an est de 33,2 millions d euros (valeur 2009). 3 Plan d Aide à l Investissement 4 Crédits Non Reconductibles 9

14 Personnes âgées Ainsi, le nombre d emplois créés ou confortés est de 600 emplois par an pendant deux ans dans le secteur du BTP et connexes. 1.5 Les prévisions d installations en 2013 et sur la durée du SROMS Les prévisions d installations de places en 2013 Le développement de l offre médico-sociale en faveur des personnes âgées se poursuit en 2013, avec une installation prévisionnelle d environ places 5 nouvelles d ici la fin de l année. A l instar de 2012, l année 2013 sera marquée par l installation d une majorité de places d hébergement permanent en EHPAD (64%), avec la création de 25 nouveaux établissements sur la région. Concernant l accompagnement à domicile des personnes âgées, une hausse de 18% des places installées est attendue. En effet, ce sont 517 places de SSIAD qui devraient être installées suite à l appel à projet régional lancé en novembre 2012, auxquelles s ajouteront 280 places spécialisées Alzheimer au sein des SSIAD, soit un total de près de 800 places. Par ailleurs, les alternatives à l institutionnalisation à temps complet représenteront près de 500 places d AJ et d HT en EHPAD. La spécialisation de l accompagnement des malades Alzheimer en établissement se traduira en 2013 par de nouvelles installations de places de PASA et d UHR. Enfin, 4 plateformes d accompagnement et de répit ouvriront leur porte cette année. 15 % des nouvelles places seront installées à Paris, 40 % en petite couronne et 43 % en grande couronne Les prévisions d installations de places sur la durée du SROMS Le schéma régional d organisation médico-sociale fixe les orientations pour les 5 ans à venir ( ). Ainsi, à l horizon 2017, ce sont plus de places qui seront installées, dont places nouvelles concourant à augmenter les capacités de l offre médicosociale régionale et places déjà existantes qui seront spécialisées sur la pathologie Alzheimer ou les troubles apparentés. Parmi les places nouvelles, on compte 34 % de places dédiées à l accompagnement des personnes âgées à domicile et 66 % de places en EHPAD pour un hébergement complet. 5 Source : extraction SELIA 10

15 Personnes âgées Par ailleurs, au titre du plan Alzheimer, plus de places de PASA et près de 170 places d UHR supplémentaires en EHPAD seront installées au bénéfice des personnes atteintes de la maladie Alzheimer avec des troubles du comportement. Au total, les prévisions d installation de places sur la période 2013 à 2017 donneront lieu à la création d environ équivalents temps pleins de personnels soignants. Pour plus d information rendez-vous sur notre site : 11

16 Personnes handicapées II. L offre en faveur des personnes handicapées Dans le cadre du Programme Régional de Santé et plus particulièrement du SROMS, l ARS a concentré son effort sur le développement de l offre existante et sur la programmation de places nouvelles en orientant notamment son action vers un rééquilibrage des taux d équipement. Trois départements sont particulièrement déficitaires sont concernés : Paris, la Seine-Saint-Denis et le Val d Oise. Si le bilan des installations 2012 est axé sur l état des lieux de la mise en œuvre des autorisations antérieures et donc de la «résorption» du stock de places autorisées, l état prévisionnel des installations 2013 viendra conforter ces régularisations mais il apportera surtout une vision plus claire sur les grandes orientations de la programmation qui s inscrit dans la période de 2013 à Les installations de places nouvelles en 2012 Du 1 er janvier au 31 décembre 2012, il y a eu 20 opérations de créations ou extensions de structures sur le secteur adulte et 14 sur le secteur enfant pour un total de 700 places. L effort financier a été de Les 700 places installées en 2012 ont été financées par des enveloppes allouées antérieurement aux notifications 2011 et Les installations et l effort financier ont majoritairement concerné le secteur adulte. Néanmoins, il faut se garder de faire des corrélations «évidentes» entre le nombre de places installées et l effort financier. En effet entrent en jeu, le rythme des installations (début d année ou fin d année), le type de déficiences accueillies par la structure (polyhandicap ou déficients intellectuels), le mode d accueil pratiqué (internat ou semi internat, mais aussi le type de structure - établissements ou services) et le financement (double tarification ou tout à charge de l Assurance Maladie (AM)). Nb de places créées Répartition des places créées Effort financier Répartition de l'effort financier Enfants % % Adultes % % TOTAL % % 12

17 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées La répartition des places installées par département et selon le public (enfants/adultes). Le nombre de places installées, ainsi que la répartition enfants / adultes varie fortement d un département à l autre. Ainsi le Val-de-Marne n a installé que 15 places (soit 2% des places), tandis que Paris, la Seine-Saint-Denis et la Seine-et-Marne ont respectivement installé chacun 150 (21% des places), 142 (20% des places) et 126 (18% des places). Les nouvelles installations à Paris et en Seine-Saint-Denis permettent de combler une partie du déficit de places de ces départements, qui a été mis en évidence dans le diagnostic du SROMS (taux d équipement inférieur à la moyenne régionale dans ces deux départements). Si globalement sur la région, 66% des places installées l ont été pour des adultes certains départements, comme les Hauts-de-Seine n ont installé que des places pour enfants. Places créées enfants / adultes par département Enfants Adultes D75 = 21% D77 = 18% D78 = 10% D91 = 16% D92 = 8% D93 = 20% D94 = 2% D95 = 5% 13

18 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées La répartition des places installées par type de déficiences : Répartition des 235 places enfants par déficiences TCC = 59 25% Déf. Intellectuelles = 42 18% Déf. Auditive = 9 4% Autistes = 45 19% Polyhandicap = 50 21% Toutes déficiences = 30 13% Les enfants ayant bénéficié majoritairement des nouvelles installations en 2012, sont dans l ordre ceux souffrant : de troubles du comportement de la conduite, de polyhandicap et les enfants avec autisme. Les 30 places notées toutes déficiences correspondent à des places de CAMSP. 14

19 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées 2012 Répartition des 465 places adultes par déficiences Déf. Visuelles = 11 2% Déf. Psychique = % PHV = 35 8% Déf. Intellectuelles = % Polyhandicap = % Déf. Motrices = 5 1% Toutes déficiences = 8 2% Globalement ce sont majoritairement les adultes souffrant de troubles psychiques, de polyhandicap et de déficiences intellectuelles qui ont bénéficié des nouvelles installations. Les 8 places notées «toutes déficiences» correspondent à des places de SSIAD La répartition des places installées par type de structures Toute population confondue, ce sont majoritairement des places d établissement qui ont été installées (75%). Cette démarche s est inscrite dans un objectif de réajustement des taux d équipement des établissements sur la région Ile-de-France, sachant que la part actuelle des services dans l offre francilienne est proche de l objectif fixé par la Caisse Nationale de Solidarité pour l'autonomie (CNSA). 15

20 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées 2012 Répartition des places installées en 2012 par type de structures enfants SESSAD = 55 23% CAMSP = 30 13% Etab. Expérimental = 34 15% ITEP = 22 9% IES auditifs = 9 4% IME = 85 36% Les places nouvellement installées pour les enfants le sont à 64% dans les établissements. Répartition des places installées en 2012 par type de structures adultes SSIAD = 8 2% SAMSAH = % FAM = % MAS = % 74% des places nouvellement installées pour les adultes l ont été en établissement en

21 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées 2012 On peut noter que dès 2012 s est engagé un processus qui tend à développer les structures bénéficiant d un co-financement, permettant ainsi d amorcer pour la région Ile-de-France un réajustement conforme aux objectifs nationaux fixés par la CNSA, à savoir 35% de Maisons d Accueil Spécialisées (MAS) et 65% de Foyers d Accueil médicalisés (FAM). 2.2 L impact de l installation des nouvelles places 2012 sur le taux d équipement : Sur le taux d équipement enfants : Les taux d'équipement indiqués ci-dessous ont été calculés par rapport à la population 2010 (INSEE, Projection de population à l'horizon Scénario central, enfants de 0-19 ans) DEPARTEMENT PLACES ENFANTS INSTALLEES AU 31/12/2011 Taux d'équipement 2011 PLACES ENFANTS INSTALLEES AU 31/12/2012 Taux d'équipement , , , , , , , , , , , , , , , ,74 IDF , ,29 L installation de 235 places en 2012 pour enfants impacte faiblement le taux d équipement régional, puisqu il passe de 7.21 en 2011 à 7.28 places pour 1000 enfants de moins de 20 ans. La progression du taux d équipement est très disparate entre les départements. Ceux qui connaissent la plus forte augmentation sont la Seine-et-Marne (0.14), les Hauts-de-Seine (0.14) et la Seine-Saint-Denis (0.12). Bien qu en progression le taux d équipement francilien en 2012, 7.29 reste très en deçà du taux national qui s élève à 9.49 places pour 1000 enfants de 0 à 19 ans en France métropolitaine (Sources : Drees, STATISS 2012 ; DGEFP). 17

22 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées Sur le taux d équipement adultes Les taux d'équipement indiqués ci-dessous ont été calculés par rapport à la population 2010 (INSEE, Projection de population à l'horizon Scénario central, adultes de ans) DEPARTEMENT PLACES ADULTES INSTALLEES AU 31/12/2011 Taux d'équipement 2011 PLACES ADULTES INSTALLEES AU 31/12/2012 Taux d'équipement , , , , , , , , , , , , , , , ,29 IDF , ,52 L installation de 465 places pour adultes impacte également faiblement le taux d équipement régional qui passe de 4,45 à 4,52 places pour 1000 habitants adultes. La variation la plus significative même si elle reste timide se situe dans le département de l Essonne avec une augmentation de 0,15 places pour 1000 habitants adultes L écart entre le taux d équipement national et le taux régional adulte est moindre que celui relevé pour les enfants, puisque le taux national adulte est de 4.81 pour 1000 adultes âgés de 20 à 59 ans (Sources : Drees, STATISS 2012 ; DGEFP). 18

23 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées Le nombre d emplois créés grâce aux installations 2012 (extensions ou créations) Les installations 2012 ont permis la création d environ 545 emplois. La répartition par catégorie de personnel met en évidence une forte proportion de personnel socio-éducatif et notamment des AMP. Catégorie de personnel ETP prévisionnel Répartition Personnel de direction adm., services généraux % Personnel socio-éducatif % dont Educ Spé 54 22% dont AMP % Personnel Médical 8 2% dont psychiatre 6 78% Personne paramédical % dont psychologue 11 8% Personnel d'encadrement sanitaire et social (IDE, cadres de service, puéricultrices, ) 25 5% Total % 2.4 L impact en effort financier et en aide à l investissement L effort financier réalisé par chaque département en Crédits consommés Répartition des dépenses par département Paris % Seine-et-Marne % Yvelines % Essonne % 19

24 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées 2012 Hauts-de-Seine % Seine-Saint-Denis % Val-de-Marne % Val-d'Oise % TOTAL % Hormis le département de Seine-et-Marne dont les crédits consommés sont importants compte tenu de l installation de places pour enfants et adultes polyhandicapés, on constate que les deux départements (75 et 93) sur lesquels s est porté l effort financier sont des départements diagnostiqués comme prioritaires La participation de l ARS aux investissements qui ont permis les installations 2012 Pour les seules places installées et ouvertes en 2012, l ARS IDF a alloué d aides à l investissement (dont au titre du PAI). Ces aides ont contribué à co-financer 6 projets (dont deux de façon très ponctuelle) représentant 66 places nouvelles (en ITEP ou IME avec internat) dont le coût des travaux à la place est de , soit un total de travaux générés de Si l on considère que la durée moyenne d un chantier dure 2 ans, l estimation en million d valeur 2009 est de travaux générés par an. On peut estimer le nombre d emplois générés et confortés dans le BTP et secteurs connexes, par an pendant deux ans à Les prévisions d installations 2013 En 2013 Il est prévu d installer 1273 places, 412 pour les enfants (32% des places) et 861 (68% des places) pour les adultes. Ces places nouvelles résulteront soit d extensions de capacité, soit de créations. Elles seront réparties dans 45 structures pour enfants et 74 pour adultes. Ces installations s effectueront tout au long de l année Le financement de ces places est assuré par des notifications antérieures à 2010 et par les CP 2013 des AE 2011 et Il n y aura pas de création ex nihilo issue des notifications , ces dernières étant prévues à partir de l exercice 2014 dans le cadre de la procédure d appels à projets. 20

25 L offre en faveur des Personnes personnes handicapées 2012 Places à installer Effort financier Enfants % % Adultes % % TOTAL % % L effort financier pour la création des places 2013 est Répartition des places qui seront installées en 2013 Prévision d'installations de places en 2013 enfants adultes = 25% 77 = 3% 78 = 13% 91 = 8% 92 = 16% 93 = 7% 94 = 18%95 = 11% On constate comme pour les installations 2012, que les prévisions d installations 2013 sont très variables d un département à l autre et que Paris installera 25% des nouvelles places. Les places installées en 2013 seront à 68% à destination des adultes handicapés. En Seine-Saint-Denis par contre ce sont majoritairement des places pour enfants qui seront installées, conformément aux préconisations du SROMS. La répartition des places par déficience Chez les enfants l installation de nouvelles places concernera l autisme et les troubles envahissants du développement, ainsi que les troubles de la conduite et du comportement. Si depuis la mise en œuvre du plan autisme , l offre d accueil a considérablement augmenté, le nombre de places pour accompagner les personnes avec autisme doit encore progresser pour couvrir l ensemble du territoire. 21

26 Personnes handicapées Chez les adultes, ce sont majoritairement les personnes souffrant de déficiences psychiques, de polyhandicap et les personnes handicapées vieillissantes qui bénéficieront des places nouvelles. La répartition des places par type de structure Les places qui seront installées en 2013 seront à 81% des places en établissement. Ce renforcement résulte de la mise en œuvre de fins d opérations ou de projets autorisés avant la nouvelle procédure d appel à projet et s inscrit de surcroit dans la démarche de réajustement du taux d équipement en Ile-de- France toujours très bas en établissement notamment pour les enfants Les prévisions d installations de places sur la durée du SROMS Il est prévu d installer places sur la durée du SROMS. Ces places seront financées grâce aux notifications antérieures à 2010 et grâce aux notifications 2011 et places seront issues de création (dont par appel à projet), 396 places sont issues d extension et 110 de transformation. 22

27 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées 2012 III. L offre en faveur des personnes en difficultés spécifiques Le développement de l offre médico-sociale en faveur des personnes confrontées à des difficultés spécifiques s est poursuivi en 2012, dans le respect des orientations nationales (notamment, Plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies , Plan de prise en charge et de prévention des addictions , Plan pour l amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de maladies chroniques , Plan national de lutte contre le VIH et les IST ) et régionales inscrites dans le Schéma régional d organisation médico-sociale. L exercice 2012 est marqué par : - un renforcement des structures d addictologie (CAARUD, CSAPA, CT) dans un objectif d amélioration de la structuration et de la qualité de l offre ; - la création de 28 places d appartements de coordination thérapeutique (ACT) ; - la stabilisation du dispositif Lits Halte Soins Santé (LHSS) ; - la pérennisation des Lits d Accueil Médicalisé (LAM). 3.1 Offre PDS 2012 : atouts et faiblesses Le champ des personnes confrontées à des difficultés spécifiques (PDS) est composé d une part de la prise en charge médico-sociale en addictologie regroupant les dispositifs Centre de Soins, d Accompagnement et de Prévention en Addictologie (CSAPA), Centre d Accueil et d Accompagnement à la Réduction des Risques pour Usagers de Drogues (CAARUD) et Communauté Thérapeutique (CT) et d autre part des dispositifs de soins résidentiels pour les personnes malades en situation de précarité et de vulnérabilité regroupant les dispositifs Appartement de Coordination Thérapeutique (ACT), Lits Halte Soins Santé (LHSS) et Lits d Accueil Médicalisés (LAM). L Ile-de-France dispose d une offre globale, diversifiée qui regroupe, au sein du périmètre régional, l ensemble des ressources et des compétences. Cela étant, l ensemble des dispositifs est réparti de manière hétérogène et inégale. Par ailleurs, fin 2011, il est encore constaté des taux d équipement inférieurs aux moyennes nationales pour les CAARUD, les CSAPA et les Consultations Jeunes Consommateurs (CJC), ainsi qu une offre en soins résidentiels insuffisante au regard des besoins identifiés, avec des départements très faiblement ou non dotés. L objectif prioritaire de l année 2012 pour la région francilienne est de mieux répartir l offre au niveau régional afin de réduire les écarts territoriaux et d assurer une accessibilité de proximité, diversifiée, une approche graduée, cohérente, 23

28 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées 2012 articulée et continue en garantissant la coordination du parcours des personnes, de la prévention à la réinsertion sociale et/ou professionnelle, en incluant l éducation pour la santé, le repérage, l intervention précoce, la réduction des risques et des dommages, la prise en charge médicale, psychologique, sociale et éducative. C est en cela que la nécessaire articulation entre les différentes structures et acteurs importe que le champ PDS se situe pleinement à la croisée des secteurs social, médico-social et sanitaire. Concernant les structures d addictologie, pour l année 2012, les efforts se sont concentrés sur le renforcement de l existant et l amélioration de la qualité de l offre, notamment sur les compétences médicales, psychiatriques, psychologiques, sociales et éducatives. La poursuite d expérimentations régionales a également constitué une priorité. Concernant la prise en charge en soins résidentiels pour personnes malades, la région Ile-de-France a bénéficié d une dotation de crédits pour la création de 28 places d ACT. Les LHSS n ont pas fait l objet de création mais d une évaluation au niveau national et d une réflexion régionale sur son organisation et le suivi d activité. Les LAM ont été quant à eux en dernière phase d expérimentation des 24 places Le renforcement du dispositif médico-social en addictologie. Avec une offre composée de 70 CSAPA autorisés, l Ile-de-France apparaît comme moins bien dotée que la moyenne nationale en matière de taux d équipement des CSAPA (IDF : 2,89 CSAPA pour habitants vs France : 3,29 CSAPA pour habitants). La mise en place des CSAPA, leur positionnement en «centres ressources» pluridisciplinaires et de proximité confortent la reconnaissance du dispositif d addictologie et contribuent à consolider la place du secteur médico-social dit «spécialisé» situé au carrefour et en complémentarité des acteurs sociaux, hospitaliers et de la médecine de ville. Avec 20 CAARUD autorisés, l Ile-de-France est aussi moins bien dotée que la moyenne nationale en matière de taux d équipement des CAARUD (IDF : 0,89 CAARUD pour habitants vs France : 1,1 CAARUD pour habitants). Poursuivre et développer la politique de réduction des risques et des dommages constituent une priorité inscrite dans le SROMS. Les objectifs 2012 visent, dans la continuité de ceux de 2011, au renforcement du dispositif médico-social en addictologie, à l amélioration de sa structuration, tant au niveau de son organisation, de son fonctionnement, du service rendu que de son implantation territoriale. 24

29 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées 2012 L effort a porté sur : - Le renforcement des compétences médicales (dont psychiatriques), paramédicales, psychologiques, sociales et éducatives dans les CSAPA et CAARUD dans un but de pluridisciplinarité voire d interdisciplinarité des équipes et d amélioration de la qualité des prises en charge et des soins. Cette mesure se traduit par le financement de postes supplémentaires et le recrutement de professionnels formés (ou à former) en addictologie ; - Le développement des Consultations Jeunes Consommateurs (CJC). Le renforcement des CJC et la création d une CJC montrent cette volonté de réduire les écarts et d apporter une réponse adaptée et de proximité ; - La poursuite de la consolidation des CSAPA en milieu pénitentiaire et l amélioration de la continuité des soins ; - L extension des dispositifs de soins résidentiels en addictologie par la création de places en appartements thérapeutiques dans le Val de Marne ; - La poursuite et la mise en place d expérimentations régionales et locales ; - Le financement de certaines charges comme le surcoût de loyer, le changement de convention collective, ou d autres liées à une augmentation de l activité Le renforcement de l offre existante en ACT. Au 31 décembre 2012, l Ile-de-France compte 743 places d ACT autorisées. L enjeu est de structurer et de développer l offre en ACT. L objectif est de mieux prendre en charge les patients atteints de pathologies chroniques sévères, en situation de fragilité psychologique et sociale et nécessitant des soins et un suivi médical. Au regard des indicateurs de précarité, épidémiologiques et de taux d équipement, la région Ile-de-France a été estimée comme prioritaire : 28 places (sur 38 au niveau national) ont été allouées pour le renforcement du dispositif ACT francilien. Sur la base de la réduction des inégalités sociales et territoriales et d extensions non importantes, 23 places nouvelles ont ainsi été autorisées dont 5 orientées pour les personnes sortant de prison. 25

30 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées 2012 Places nouvelles 2012 Places autorisées au 31/12/2012 Répartition Paris ,8 % Seine et Marne ,3 % Yvelines ,4 % Essonne ,9 % Hauts de Seine ,7 % Seine Saint Denis ,3 % Val de Marne ,7 % Val d Oise ,7 % TOTAL % La pérennisation des dispositifs LHSS et LAM Créés à partir de 2006, les LHSS offrent un hébergement, des soins médicaux et paramédicaux, un suivi thérapeutique, un accompagnement social auprès des usagers en grande précarité. Leur mission est d offrir, aux personnes sans domicile vivant à la rue, une suite et une alternative à l hospitalisation ou un soin ne relevant pas de l hôpital, et ce quelle que soit la pathologie. L Ile-de-France compte 385 LHSS, répartis entre les départements de Paris, Seine-et-Marne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne. La programmation nationale n a pas permis la création de nouveaux LHSS en L année 2012 a été consacrée à l évaluation du dispositif LHSS et du plan de création (évaluation nationale) qui a abouti à la création de 1171 LHSS (France entière). Développer l offre en LHSS est une action du SROMS. L objectif d assurer une suite ou une alternative à l hospitalisation aux personnes sans domicile sur l ensemble de la région signifie une offre en LHSS sur les huit départements franciliens. De l éventuelle nouvelle programmation nationale dépendra la création de nouvelles places. Les LAM sont un dispositif médico-social expérimental (cf. arrêté du 20 mars 2009 portant agrément d une expérimentation d actions médico-sociales en faveur de personnes en situation de précarité). 26

31 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées 2012 Commencée en 2009, l expérimentation s applique à une capacité de 45 lits, dont 24 à Paris. D une durée de trois ans, elle devait notamment permettre d identifier les parcours des personnes accueillies, leurs pathologies, leurs besoins, etc. L évaluation positive a permis la pérennisation des LAM qui sont désormais considérés comme une nouvelle catégorie d établissement médico-social. 3.2 L impact financier de l offre en Les dotations régionales en addictologie (inclus MN 2012 et hors CNR). CSAPA CAARUD CT TOTAL Paris Seine-et-Marne Yvelines Essonne Hauts-de-Seine Seine-Saint-Denis Val-de-Marne Val-d'Oise TOTAL En 2012, la dotation régionale (mesures nouvelles) pour le renforcement ou la création de structures médico-sociales d addictologie est fixée à euros (valorisation sur 6 mois) (cf. circulaires interministérielles relatives à la campagne budgétaire des établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes confrontées à des difficultés spécifiques du 7 juin 2012 et du 22 novembre 2012) Les dotations régionales en soins résidentiels pour les personnes malades (inclus MN 2012 et hors CNR). 27

32 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées 2012 ACT LHSS LAM TOTAL Paris Seine-et-Marne Yvelines Essonne Hauts-de-Seine Seine-Saint-Denis Val-de-Marne Val-d'Oise TOTAL A l exception de la Seine-et-Marne (25 places), l ensemble des places LHSS sont implantées à Paris et en grande couronne. A l inverse, les Yvelines, l Essonne et le Val-d Oise ne disposent pas de LHSS. Ces départements, et notamment le Val d Oise, demandeurs de LHSS depuis plusieurs années, seront prioritaires dans l hypothèse de futures créations de places. 3.3 Perspectives et évolution. Le secteur PDS de prise en charge médico-sociale en addictologie et en soins résidentiels pour personnes malades en situation de précarité et de vulnérabilité doit poursuivre sa structuration, tant au niveau de son organisation, que de son implantation territoriale afin que toute personne puisse trouver une réponse pluridisciplinaire, adaptée, de proximité,, quelle que soit sa situation (personnelle, administrative, sociale, sanitaire, etc ),. La mise en œuvre de ce principe requiert une approche graduée, cohérente, décloisonnée et articulée du système d accompagnement et de soins pour s assurer de la continuité de prise en charge entre les dispositifs médico-sociaux, sociaux, sanitaires et de médecine de ville. Ce travail de planification se poursuit avec le Schéma régional d organisation médico-sociale (SROMS) qui fixe les orientations pour les cinq prochaines années, et en transversalité avec notamment les Schémas régionaux de prévention (SRP) et d organisation des soins (SROS) et du Programme régional d accès à la prévention et aux soins (PRAPS). Concernant le dispositif de prévention, de prise en charge et de soins en addictologie, trois objectifs fondamentaux visant à assurer les conditions et l organisation d une prise en charge continue, adaptée et de proximité sont identifiés : 28

33 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées L égalité d accès aux soins en travaillant à une implantation territoriale équilibrée des dispositifs de prévention, de réduction des risques, de prise en charge et de soins ainsi qu à un bon maillage entre les dispositifs et les intervenants (logique de complémentarité), qu à des partenariats réels et efficaces ; - La qualité de l accompagnement, de la prise en charge et des soins, qui intègre à la fois les préoccupations de sécurité et d expertise des prises en charge et des soins, l amélioration des pratiques professionnelles, la mise en place de stratégies d intervention innovantes, etc. ; - La continuité de la prise en charge et des soins c est-à-dire la coordination du parcours du patient de la prévention à l insertion ou la réinsertion sociale, en incluant l éducation pour la santé, le repérage, l intervention précoce, la réduction des risques et des dommages, la prise en charge médicale, psychologique/psychiatrique, sociale et éducative. Concernant les dispositifs d accompagnement médico-social et de soins résidentiels des personnes malades en situation de précarité et de vulnérabilité, plusieurs objectifs sont posés : - L amélioration de l accès à la prévention et aux soins aux personnes en situation de précarité, sans domicile et présentant des besoins spécifiques ; - L amélioration de la qualité des prestations en garantissant un accueil adapté aux évolutions des besoins et à la diversité des publics (jeunes, femmes/familles, personnes sortant de prison, pathologies chroniques sévères, résidents vieillissants, pratiques addictives, etc.) ; - L amélioration des sorties du dispositif médico-social dédié aux personnes confrontées à des difficultés spécifiques vers les autres dispositifs sociaux, médico-sociaux ou le logement par un accompagnement adapté, l organisation de la complémentarité des acteurs sur le territoire et améliorer la lisibilité du dispositif. Le développement de l offre médico-sociale en faveur des personnes confrontées à des difficultés spécifiques se poursuit en 2013, avec toujours le renforcement de l existant et la structuration de l offre PDS sera notamment caractérisé par : - Le renforcement de la prise en charge des joueurs excessifs ou pathologiques dans les CSAPA : répartition des mesures nouvelles 2012 et 2013 ; - La désignation des CSAPA «de référence» (financement d un temps éducateur pour assurer la continuité des soins après détention) ; - La mise en place d expérimentations régionales et locales en matière de réduction des risques et des dommages Il continuera sur toute la durée du SROMS, avec une programmation définie en fonction des futurs plans nationaux. 29

34 L offre en faveur Personnes des personnes L offre en en difficultés en faveur des spécifiques personnes handicapées 2012 Les priorités porteront notamment sur : - Le renforcement de l offre en CAARUD et CSAPA pour atteindre les valeurs cibles fixées dans le SROMS (exemple : au moins deux CAARUD par département) ; - Le renforcement de l offre en ACT dans chaque département en tenant compte de l évolution des profils et des besoins (notamment des pathologies chroniques sévères) ; Le développement de l offre en LHSS et LAM pour assurer une couverture régionale/territoriale s inscrivant dans l objectif de réduire les inégalités sociales et territoriales de santé. 30

35 ANNEXES IV. Annexes 4.1 Cartographies du développement de l offre médicosociale en Personnes âgées 31

36 ANNEXES 2012 ANNEXES 32

37 ANNEXES 2012 ANNEXES Personnes handicapées 33

38 ANNEXES 2012 ANNEXES Personnes confrontées à des difficultés spécifiques 34

39 ANNEXES 2012 ANNEXES 35

40 ANNEXES 4.2 Glossaire ACT AE AJ rattaché AMP ARS BTP CAARUD CAMSP CG CNR CSAPA CT DT EHPAD EMS ESA ETP FAM HT rattaché IDE IDF IME INSEE ITEP Appartement de coordination thérapeutique Autorisation d Engagement Accueil de jour rattaché à un EHPAD Aide Médico-Psychologique Agence Régionale de Santé Bâtiments et Travaux Publics Centre d accueil et d accompagnement à la réduction des risques pour usagers de drogues Centres d Action Médico-sociale Précoce Conseil Général Crédits non reconductibles Centre de soins, d accompagnement et de prévention en addictologie Communauté thérapeutique Délégation Territoriale Etablissement d hébergement pour personnes âgées dépendantes Etablissement médico-social Equipe spécialisée Alzheimer Equivalent Temps Plein Foyer d Accueil Médicalisé Hébergement temporaire rattaché à un EHPAD Infirmière Diplômée d Etat Ile-de-France Institut Médico-Educatif Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques Institut Thérapeutique, Educatif et Pédagogique 36

41 ANNEXES 2012 ANNEXES LAM LHSS MAS MN PA PAI PASA PH PHV PFR Lits d accueil médicalisés Lits halte soins santé Maison d Accueil Spécialisée Mesures nouvelles Personnes âgées Plan d Aide à l Investissement Pôle d activité et de soin adapté Personne Handicapée Personne Handicapée Vieillissante Plateforme d accompagnement et de répit PRIAC Programme Interdépartemental d Accompagnement des handicaps et de la perte d autonomie PRS SAMSAH SELIA SESSAD SROMS SSIAD TCC TED TSL UHR Programme Régional de Santé Service d Accompagnement Médico-social pour Adultes handicapés Suivi en Ligne des Installations et Autorisations de places nouvelles Services d Education Spéciale et de soins à Domicile Schéma Régional de l Organisation Médico- Sociale Service de soins infirmiers à domicile Trouble de la Conduite et du Comportement Troubles Envahissants du Développement Troubles Spécifiques du Langage Unité d hébergement renforcé 37

Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social

Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social 4 juin 2013 1 Déroulement des campagnes PA-PH dans un cadre préservé Progression de l ONDAM médico-social 2013 : Taux le plus élevé des sous objectifs

Plus en détail

«Politique des ARS pour les seniors»

«Politique des ARS pour les seniors» «Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service

Plus en détail

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire

Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un

Plus en détail

PROJET d actualisation du PROGRAMME INTERDEPARTEMENTAL D ACCOMPAGNEMENT DES HANDICAPS ET DE LA PERTE D AUTONOMIE (PRIAC)

PROJET d actualisation du PROGRAMME INTERDEPARTEMENTAL D ACCOMPAGNEMENT DES HANDICAPS ET DE LA PERTE D AUTONOMIE (PRIAC) PROJET d actualisation du PROGRAMME INTERDEPARTEMENTAL D ACCOMPAGNEMENT DES HANDICAPS ET DE LA PERTE D AUTONOMIE (PRIAC) 2014-2018 Document soumis à concertation 1 SOMMAIRE DU PRIAC 2014-2018 DE LA REGION

Plus en détail

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements

Plus en détail

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010

Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Bilan de l activité d accueil de jour et d hébergement temporaire en direction des personnes âgées dépendantes en 2010 Le suivi de l activité des établissements ayant une activité d accueil de jour et

Plus en détail

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE

CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d

Plus en détail

Livret. Maison. handicapées. Maison. de prestations. des personnes. départementale

Livret. Maison. handicapées. Maison. de prestations. des personnes. départementale Livret de prestations Maison départementale des personnes handicapées Vous informer, vous orienter, évaluer vos besoins, suivre vos prestations Maison départementale des personnes handicapées PYRÉNÉES-ATLANTIQUES

Plus en détail

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique

Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme

Plus en détail

1. Procédure d admission

1. Procédure d admission Direction générale de l action sociale SD2/SD3 Document de travail MESURE 18 : HEBERGEMENT DES MALADES JEUNES ADMISSION D UNE PERSONNE AGEE DE MOINS DE 60 ANS DANS UN ETABLISSEMENT POUR PERSONNES HANDICAPEES

Plus en détail

+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009.

+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009. Chiffres clés 21 Créée en 24, la CNSA contribue au financement des politiques d aide à l autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées. Elle consacre en particulier une grande part de son

Plus en détail

Proyecto Telemedicina

Proyecto Telemedicina Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional

Plus en détail

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux

Plus en détail

Autisme : ce que nous attendons des Agences Régionales de Santé

Autisme : ce que nous attendons des Agences Régionales de Santé Autisme : ce que nous attendons des Agences Régionales de Santé La mise en place du plan autisme 3 met au premier plan les ARS qui vont devoir le mettre en œuvre en région. Elle a vite fait apparaître

Plus en détail

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce

3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce 3 ème plan autisme : Point d étape, un an après son annonce «Le 3 ème plan autisme vise à répondre à la faiblesse criante de la prise en charge de l autisme en France tout en laissant le choix aux familles

Plus en détail

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.

Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012

Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES

Plus en détail

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.

Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V. Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)

sociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT) Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets

Plus en détail

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP

Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE

Plus en détail

l hébergement temporaire

l hébergement temporaire Dossier technique État des lieux et préconisations sur l hébergement temporaire des personnes âgées et des personnes handicapées Octobre 2011 II Ce dossier technique rend compte de l atelier pratique organisé

Plus en détail

Hôpitaux de Jour. Accueils de Jour. Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour. «Un programme pour la Gériatrie»

Hôpitaux de Jour. Accueils de Jour. Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour. «Un programme pour la Gériatrie» Hôpitaux de Jour Accueils de Jour B. Durand-Gasselin Capacité de Gériatrie Janvier 2007 Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour Hôpitaux de Jour Historique Définition Les HJ en France : l AP HJ PA Preuves

Plus en détail

Ministère de l économie et des finances Ministère des affaires sociales et de la santé

Ministère de l économie et des finances Ministère des affaires sociales et de la santé Ministère de l économie et des finances Ministère des affaires sociales et de la santé Direction générale de la cohésion sociale Sous-direction des affaires financières et de la modernisation Bureau gouvernance

Plus en détail

ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES

ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée

Plus en détail

ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL

ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL ASSOCIATION ARISSE INSTITUT MEDICO-EDUCATIF ARMONIA Avec prise en charge de jour et d internat séquentiel LIVRET D ACCUEIL Directeur: Chef de Service Éducatif Assistante de Direction Accueil - Secrétariat

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé

2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Atelier n 11 Monter un parcours de soins sur une approche territoriale ciblée 2 ans du Pôle Autonomie Santé Information en Essonne : Un GCSMS au service d un projet coopératif de santé Françoise ELLIEN,

Plus en détail

Calendrier des formations INTER en 2011

Calendrier des formations INTER en 2011 Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement

Plus en détail

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre

La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,

Plus en détail

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE

AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE AVIS D APPEL A PROJETS MEDICO-SOCIAL RELEVANT DE LA COMPETENCE DE L AGENCE REGIONALE DE SANTE D ALSACE RELATIF A LA CREATION DE PLACES DE SERVICES DE SOINS INFIRMIERS A DOMICILE (SSIAD) ARS Alsace Cité

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,

DOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,

Plus en détail

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts

Plus en détail

RAPPORT DEFINITIF Mars 2008

RAPPORT DEFINITIF  Mars 2008 ETAT DES LIIEUX DE L EMPLOII ET DE LA FORMATIION DANS LES SECTEURS SANIITAIIRES ET MEDIICO--SOCIIAL RAPPORT DEFINITIF Mars 2008 SOMMAIRE SOMMAIRE AVANT PROPOS... 3 INTRODUCTION... 4 CHAPITRE I : SYNTHESE

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

dans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR

dans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR DES PROFESSIONNELS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE proches de chez vous Roanne 31-33 rue Alexandre Raffin 42300 Roanne Autonomie 53 rue de la République 42600 Montbrison 23 rue d'arcole 42000 Montbrison

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

I. Qu est ce qu un SSIAD?

I. Qu est ce qu un SSIAD? 1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation

Plus en détail

Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2013

Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2013 Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2013 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france LA POLITIQUE REGIONALE POUR LES PERSONNES EN SITUION

Plus en détail

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.

La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne

CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une

Plus en détail

Edito NUMERO 31 G R O U P E P O L Y H A N D I C A P F R A N C E JUILLET 2014

Edito NUMERO 31 G R O U P E P O L Y H A N D I C A P F R A N C E JUILLET 2014 G R O U P E P O L Y H A N D I C A P F R A N C E 11 bis, rue Théodore de Banville - 75017 PARIS Tél: 09 53 66 97 39 Fax 09 58 66 97 39 gpf.secretariat@free.fr - @GPFpolyhandicap NUMERO 31 JUILLET 2014 Edito.

Plus en détail

Construire une société ouverte aux différences Édition 2009

Construire une société ouverte aux différences Édition 2009 Schéma d orientation médico-social en faveur des personnes en situation de handicap Construire une société ouverte aux différences Édition 2009 Sommaire Construire une société ouverte aux différences Schéma

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes

Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes Association La vie pour Christie Section «On devient moins petit» Les chemins de L Isle-84800 Lagnes QUESTIONNAIRE D ENQUETE SUR LES BESOINS RELATIFS A L ACCUEIL DES ENFANTS DEFICIENTS INTELLECTUELS Ce

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE

CE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE CE QU IL FAUT SAVOIR POUR GUIDER NOS INTERLOCUTEURS DANS LE DOMAINE DE LA SANTE SE SOIGNER A MOINDRE FRAIS... 2 La CMU de BASE... 3 LA CMU COMPLEMENTAIRE... 5 L ACS... 7 TABLEAU... 8 L'AME... 9 LE CMP...

Plus en détail

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays

2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe

Plus en détail

FOURNISSEURS ET PRESTATAIRES DE SERVICES Matériels, aides techniques : venez choisir vos interlocuteurs!

FOURNISSEURS ET PRESTATAIRES DE SERVICES Matériels, aides techniques : venez choisir vos interlocuteurs! FOURNISSEURS ET PRESTATAIRES DE SERVICES Matériels, aides techniques : venez choisir vos interlocuteurs! Vous trouverez dans cette rubrique une large sélection d entreprises spécialisées dans les secteurs

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Les Groupements de coopération

Les Groupements de coopération Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre

Plus en détail

NOTE D INFORMATION sur la formation sociale préparatoire au Diplôme d Etat d AIDE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE

NOTE D INFORMATION sur la formation sociale préparatoire au Diplôme d Etat d AIDE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE Ce.F Centre de Formation au Travail Sanitaire et Social Place du Marché Couvert - BP 414-24104 BERGERAC CEDEX Tél : 05 53 22 23 00 Fax : 05 53 23 93 05 Email : cef@johnbost.fr Site : www.johnbost.org/cef

Plus en détail

M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex

M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex ÉDITO «La loi rappelle que le pouvoir de décision en matière

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

FOIRE AUX QUESTIONS. Le Conseil Général de l Oise précise qu à ce jour, aucune donnée chiffrée n est disponible pour répondre à cette question.

FOIRE AUX QUESTIONS. Le Conseil Général de l Oise précise qu à ce jour, aucune donnée chiffrée n est disponible pour répondre à cette question. FOIRE AUX QUESTIONS Appel à projets relatif à la création et/ou à l extension importante d un FAM (Foyer d Accueil Médicalisé) sur le département de l Oise L objet de la présente «Foire aux Questions»

Plus en détail

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Enfants/Jeunes (0-20 ans)

Formulaire de demande(s) auprès de la MDPH Enfants/Jeunes (0-20 ans) Tampon dateur de la Formulaire de demande(s) auprès de la Enfants/Jeunes (0-20 ans) Vous formulez une demande auprès de la pour votre enfant Nom de naissance : I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I I

Plus en détail

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en

d infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de

Plus en détail

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DGAS - DIRECTION GENERALE DE L ACTION SOCIALE 14 avenue Duquesne 75350 PARIS 07 SP

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DGAS - DIRECTION GENERALE DE L ACTION SOCIALE 14 avenue Duquesne 75350 PARIS 07 SP MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DGAS - DIRECTION GENERALE DE L ACTION SOCIALE 14 avenue Duquesne 75350 PARIS 07 SP DESCRIPTION DE L ACCUEIL EN ETABLISSEMENTS ET SERVICES DES PERSONNES AVEC DES

Plus en détail

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE

Lépine Providence DOSSIER DE PRESSE Lépine Providence L E S E N S D E L A V I E DOSSIER DE PRESSE Réunir & innover au service des personnes âgées Depuis 2010, la Ville de Versailles est titulaire du label Bien vieillir. Véritable récompense

Plus en détail

LOIS ET REGLEMENTS DU SECTEUR SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL FAISANT REFERENCE A LA NOTION

LOIS ET REGLEMENTS DU SECTEUR SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL FAISANT REFERENCE A LA NOTION LOIS ET REGLEMENTS DU SECTEUR SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL FAISANT REFERENCE A LA NOTION P R O J E T D ETABLISSEMENT O U D E S E R V I C E Ce tableau récapitule l ensemble des lois, règlements (décrets, arrêtés)

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION

DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION EHPAD SAINT-FRANÇOIS Tél : 0262 90 87 69 Fax : 0262 90 87 52 E mail : : secdirection.mdr@asfa.re B. P. 840 97476 Saint-Denis Cedex DOSSIER DE DEMANDE D ADMISSION Etablissement d Hébergement pour Personnes

Plus en détail

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale

Plus en détail

- Evaluation de la situation sur dossier ou à domicile (vous pouvez être amené à rencontrer différents professionnels)

- Evaluation de la situation sur dossier ou à domicile (vous pouvez être amené à rencontrer différents professionnels) Maison Départementale des Personnes Handicapées du Haut-Rhin CG 68 - Direction de la Communication - Dessins réalisés par des usagers des établissements pour personnes handicapées du Haut-Rhin Qu est-ce

Plus en détail

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Elaboration du Schéma Régional des Formations Sanitaires et Sociales

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Elaboration du Schéma Régional des Formations Sanitaires et Sociales Assistance à Maîtrise d Ouvrage Elaboration du Schéma Régional des Formations Sanitaires et Sociales Table des matières Note de cadrage Groupe 1 : Dépendance et aide à domicile Propos liminaires : l élaboration

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

ASSEMBLEE GENERALE URAPEI ALSACE

ASSEMBLEE GENERALE URAPEI ALSACE Avril 2015 ASSEMBLEE GENERALE URAPEI ALSACE A l AFAPEI de Bartenheim RAPPORT D ACTIVITE EXERCICE MARS 2014 A MARS 2015 Urapei Alsace Rapport d activité exercice mars 2014 à mars 2015 AG 2015 PREAMBULE

Plus en détail

Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé?

Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Guide méthodologique Améliorer la coordination des soins : comment faire évoluer les réseaux de santé? Octobre 2012 Direction générale de l offre de soins Sommaire Synthèse... 2 Introduction... 3 Partie

Plus en détail

P atients S anté T erritoires

P atients S anté T erritoires H ôpital P atients S anté T erritoires L exercice regroupé dans les services de santé Une action coordonnée des professionnels en faveur des patients De plus en plus de professionnels de santé ont depuis

Plus en détail

CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan

CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan CHAPITRE I Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan 2 Plan d Action et Développement 2011-2015 : l heure du bilan Depuis le début des années 2000 3 domaines d actions : Les hébergements

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Guide pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés

Guide pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés Guide pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés Avant-propos Une nouvelle loi, de nouveaux principes La loi du 11 février 2005 relative à l égalité des droits et des chances, la participation

Plus en détail

LES CENTRES-MEDICO-PSYCHO-PEDAGOGIQUES (CMPP)

LES CENTRES-MEDICO-PSYCHO-PEDAGOGIQUES (CMPP) CREAI CENTRE LES CENTRES-MEDICO-PSYCHO-PEDAGOGIQUES (CMPP) EN REGION CENTRE EN 2008 Volet 1 l activité des CMPP FICHES PAR DEPARTEMENT Etude réalisée par le CREAI Centre : Séverine DEMOUSTIER, Conseillère

Plus en détail

Introduction :... 5. Première partie : la prise en charge de la personne... 9

Introduction :... 5. Première partie : la prise en charge de la personne... 9 1 Sommaire Introduction :... 5 Première partie : la prise en charge de la personne... 9 B. Le traitement des demandes auxquelles il ne peut pas être répondu de manière immédiate.... 10 C. Le traitement

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE. Mesdames et Messieurs les directeurs généraux des agences régionales de santé

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE. Mesdames et Messieurs les directeurs généraux des agences régionales de santé Direction générale de la cohésion sociale Sous-direction de l autonomie des personnes handicapées et des personnes âgées dominique.telle@social.gouv.fr Tel : 01 40 56 85 82 MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES

Plus en détail

DESTINATION LONDRES 2012

DESTINATION LONDRES 2012 DESTINATION LONDRES 2012 Présentation L IME André Coudrier Les jeunes et le sport Projet «London 2012» L IME André Coudrier La structure La mission et le projet L IME et l APAJH Le personnel encadrant

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DE BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES

RECOMMANDATIONS DE BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES RECOMMANDATIONS DE BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES PERSONNES HANDICAPÉES PERSONNES ÂGÉES Le soutien des aidants non professionnels Une recommandation à destination des professionnels du secteur social

Plus en détail

Les disparités territoriales d offre et d organisation des soins en psychiatrie en France : d une vision segmentée à une approche systémique

Les disparités territoriales d offre et d organisation des soins en psychiatrie en France : d une vision segmentée à une approche systémique Reproduction sur d autres sites interdite mais lien vers le document accepté : www.irdes.fr/recherche/rapports/558-les-disparites-territoriales-d-offre-et-d-organisation-des-soins-en-psychiatrie-en-france.pdf

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP

Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» MSP Centre Régional de soins Psychiatriques «Les Marronniers» EDS CHS MSP MSP «La Traversée» Anémones 1 - Anémones 2-45 lits 30 lits Chênes - 45 lits Dont - Circuits de soins internés 25 lits - Circuit de

Plus en détail

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap

LIVRET D ACCUEIL. Solidarité Doubs Handicap LIVRET D ACCUEIL POLE MEDICO-SOCIAL Services Accueil de Vie Services Habitat et Social Animation Socio-Culturelle POLE TRAVAIL PROTEGE Edition du 30 juin 2014 Solidarité Doubs Handicap SOLIDARITE DOUBS

Plus en détail

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

Dép. 75 «Enfant présent»

Dép. 75 «Enfant présent» Dép. 75 «Enfant présent» PRESENTATION DE L ACTION Intitulé, ancienneté et lieu d implantation Créée en 1987, l association Enfant Présent, dispositif multi-accueil à caractère préventif, dispose de plusieurs

Plus en détail

Numéro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1

Numéro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1 hinfooct2014_hinfo 09.10.14 13:30 Numéro Spécial octobre 2014 t St Laurent du Pon ospitalier H e r t n du C e nal r u jo Le Enquête sur La satisfaction au travail U n questionnaire, préparé par la DRH,

Plus en détail

Emploi et Formation Secteur Publicité

Emploi et Formation Secteur Publicité Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

Code emploi statutaire de la fonction publique hospitalière (NEH) Emplois non-médicaux

Code emploi statutaire de la fonction publique hospitalière (NEH) Emplois non-médicaux emploi statutaire de la fonction publique hospitalière (NEH) Emplois non-médicaux Rubriques S40.G10.08.002.004 / S40.G10.10.002.004 / S40.G10.25.002.004 Table incluant les codes fournis par la Direction

Plus en détail

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL

ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et

Plus en détail

Etude de besoin en vue de la création en Dordogne d une structure médico-sociale pour adultes atteints d autisme et de troubles assimilés

Etude de besoin en vue de la création en Dordogne d une structure médico-sociale pour adultes atteints d autisme et de troubles assimilés Etude de besoin en vue de la création en Dordogne d une structure médico-sociale pour adultes atteints d autisme et de troubles assimilés CREAHI 103 ter rue Belleville 33063 BORDEAUX CEDEX Tél : 05 57

Plus en détail

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.

2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76. 2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire

Plus en détail

Secteur social et médico-social : zoom sur quatre métiers qui recrutent

Secteur social et médico-social : zoom sur quatre métiers qui recrutent Métiers... Secteur social et médico-social : zoom sur quatre métiers qui recrutent Le secteur social et médico-social est constitué d une large gamme d organismes et de services qui offrent des services

Plus en détail