1.1 Quelles sont les sources de la croissance économique? CH2- Comment expliquer la croissance économique?
|
|
- Coraline Després
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1. Croissance, fluctuations et crises 1.1 Quelles sont les sources de la croissance économique? CH2- Comment expliquer la croissance économique? I/ Production et facteurs de production. A) La fonction de production (Doc. 1 p. 24 Q1 et Q3) Les mathématiques occupent une place importante dans les raisonnements économiques. Les différentes variables économiques souvents dépendantes les unes des autres peuvent être mises en équations. Ainsi, les économistes ont-ils pour habitude d écrire la fonction de production de la manière suivante : Y = f (K;L) Avec «Y» le niveau de la production (= les quantités produites) ; «K» le capital utilisé «L» le travail utilisé. Y = f(k ;L) peut donc se lire comme suit : «la niveau de la production (Y) est le résultat de la combinaison* d une certaine quantité de facteur de production capital* (K) et d une certaine quantité de facteur de production travail (L)». Remarque : La fonction de production permet d identifier les sources de la croissance économiques et de mesurer leur contribution dans le temps permet aux pouvoirs publics de faire des prévisions et de réaliser des choix en matière de politique économique B) Rappels de Première Les facteurs de production* désignent tous les éléments qui vont être combinés entre eux au cours du processus de production pour créer des biens et des services. Ils sont au nombre de 2 : - Le travail : On parlera de travail chaque fois qu un individu met en œuvre des moyens intellectuels et/ou physiques pour créer des biens des services en contrepartie d une rémunération. En d autres termes, en économie, le travail renvoie à l ensemble des activités rémunérées. Au sein de l économie, le facteur travail correspond en fait à la population active occupée* : c est à dire l ensemble des personnes qui exercent une activité rémunérée. Plus globalement, la population active* correspond à l ensemble des personnes qui exercent ou déclarent chercher à exercer une activité professionnelle rémunérée (elle inclue donc les chômeurs). Remarque : l augmentation de la population active peut donc contribuer à la croissance économique dans la mesure où on va pouvoir produire plus. Mais les caractéristiques du travail dans une économie ne sont pas uniquement liées à son volume (= quantité de main d œuvre disponible) ; il faut également tenir compte de sa qualité. On apprécie cette dernière en observant le niveau de qualification des actifs (mesuré par le plus haut niveau de diplôme obtenu par un individu). Il apparaît clairement que la qualité de l éducation, de la formation et l état de 1
2 santé de la population vont jouer un rôle primordial dans la croissance économique. La durée du travail ainsi que le taux d emploi (cf. définition p. 25) sont d autres facteurs déterminants. - Le capital («technique») : en tant que facteur de production désigne l'ensemble des moyens de production durables qui vont permettre de créer de nouveaux biens et de nouveaux services. Ce sont par exemple : les machines, les locaux, les terrains, les matériels de transport...). Remarque 1: le capital fixe a besoin d être augmenté et renouvelé régulièrement parce qu il faut s adapter à la demande et rester compétitif*. L opération qui consiste à acquérir du capital fixe s appelle l investissement (on parle alors de FBCF* ou encore d investissement matériel*). Mais, il existe également des investissements matériels* (EX : dépenses de R&D, formation du personnel, dépenses publicitaires, etc.). Remarque 2: les entreprises ne sont pas les seules à investir. Les ménages le font également lorsqu ils font l acquisition d un logement. De même que l'etat et les collectivités locales en réalisant des équipements collectifs (infrastructures : écoles, centres hospitaliers, routes, etc.), on parle alors d'investissement public*. Produire, c est combiner des quantités variables de travail et de capital «Combinaison productive*» : pour produire, chaque chef d entreprise décide de combiner une certaine quantité de travail et de capital pour réaliser sa production. Ce choix est influencé par le prix relatif des deux facteurs de production, leur degré de rareté et le type de production à réaliser. II/ Les sources de la croissance économique. A) 3 sources (Doc. 2 p. 24 Q1 et Q3 et Doc 3 p Q1) + Définitions p. 24 ACTIVITE : Traiter la question 1 ; «Aux USA, sur la période , le PIB a augmenté en moyenne de 2,6 % par an et la PGF de 1%». Additionnez les colonnes «facteur travail / facteur capital / et PGF». Que constatez-vous? La somme des données contenues dans les 3 colonnes donne le taux de croissance annuel moyen du PIB. Qu en déduisez-vous? La variation du facteur capital, du facteur travail et de la PGF expliquent la variation du PIB. On vient donc de mettre en évidence les éléments qui «expliquent» la croissance économique. (Contenu du doc. 2 p. 24) Bilan : les 3 éléments qui contribuent à l augmentation durable du PIB sont : 2
3 - L augmentation de la quantité et de la qualité du facteur travail (ce que les économistes appellent le capital humain* c'est-à-dire l ensemble de l expérience et des compétences accumulées qui ont pour effet de rendre les travailleurs plus productifs ; - L augmentation de la quantité et de la qualité du stock de capital (physique) ; Et comme tout ou partie de la croissance de la production ne peut être attribuée seulement aux 2 précédents éléments ce qui reste, le «résidu» correspond à - L augmentation de la productivité globale des facteurs* elle-même due au progrès technique. On peut résumer les relations qui existent entre tous ces éléments à l aide du schéma suivant : - Voir Fiche ANNEXE 1 PROGRES TECHNIQUE et CROISSANCE ECONOMIQUE - Voir Fiche ANNEXE 2 LA PRODUCTIVITE Manuel du professeur Hatier, 2012 B) Des sources d importances inégales (Doc. 3 p. 25 Q3 et Q4) Question 3 - La part de la croissance économique qui est imputable au progrès technique est très importante pour la Finlande, l Allemagne et le Japon (ce sont respectivement 85,8 %, 81,9 % et 75 % de l accroissement du PIB qui sont dus au progrès technique), importante pour la Corée du Sud et la France (respectivement, 62,3 % et 57,9 %), modeste pour les États-Unis (seulement 38,5 %) et très faible pour l Espagne (13,8 %). La croissance est donc «intensive» pour les cinq premiers pays (l augmentation du PIB y provient, pour l essentiel, d une utilisation plus efficace des facteurs de production existants) et «extensive» pour les deux derniers (l accroissement du PIB y résulte, pour l essentiel, de l augmentation des quantités de travail et de capital utilisées). Question 4 - Apparemment, de bonnes performances en termes de PGF ne suffisent cependant pas à garantir l obtention d une croissance économique élevée (cas de la Finlande). Symétriquement, de mauvaises ou, à tout le moins, de médiocres performances en termes de PGF peuvent très bien s accompagner d une forte croissance économique (cas de l Espagne). C) Des facteurs de croissance qui interagissent entre eux (Illustration du doc. 4 p. 25) Le contenu du document doit être mis en relation avec celui des fiches 1 et 2. 3
4 III/ La croissance : un processus auto entretenu qui suppose un environnement particulier. Les théories de la croissance ont été profondément renouvelées depuis le début des années 80. Le changement réside dans la manière d expliquer l origine de la croissance économique. A) Un peu d histoire 1) Dans les années 60. Les approches traditionnelles. Pour les approches traditionnelles dont fait partie l approche néoclassique, la croissance de longue période proviendrait essentiellement - D une augmentation de la quantité de capital ; - D une augmentation de la quantité de travail disponible dans l économie (cela découle de l accroissement démographique) ; - Et du progrès technique*. (Ce dernier serait une «manne céleste») 2) Les années 80. Les théories de la croissance endogène. «La croissance génère la croissance» Pour ces théories plus récentes, la croissance est un phénomène économique qui résulterait des investissements réalisés par les différents agents économiques. Autrement dit, la croissance économique trouve donc sa source dans l accumulation de différentes formes de capitaux (R&D, expérience et savoirfaire, éducation et formation professionnelle, infrastructures publiques...) mis en œuvre par 2 agents économiques essentiels que sont les entreprises et l Etat. Ces théories montrent que la croissance économique, une fois amorcée, est en mesure de s autoalimenter. B) Les mécanismes de la croissance endogène L accumulation du capital physique et technologique. Ici, c'est l'innovation et la recherche-développement qui constituent les stimulants de la croissance : plus les efforts de recherche-développement sont importants, plus la croissance est forte ; plus la croissance est forte, plus les efforts de recherche-développement peuvent être importants. Sans oublier que le stock de connaissances, de savoir-faire et d équipement accumulés par les générations précédentes permettent d augmenter le potentiel des générations d aujourd hui. Les choix et les stratégies des entrepreneurs en matière de recherche et développement (R&D) et d'investissement jouent un rôle important dans la croissance. Ainsi, en investissant aujourd'hui, l'entreprise prépare la production de demain. Pour autant les résultats ne sont pas garantis car il est difficile d apprécier précisément l évolution de la demande future. John-Maynard KEYNES a montré que, les entrepreneurs, conscients des risques et obligés de faire des prévisions, ont un rôle essentiel, car dès qu'ils décident d'investir et de produire, ils enclenchent les mécanismes vertueux de la croissance. 4
5 Aujourd'hui, rester compétitif impose de développer des produits nouveaux et de mettre en place de nouvelles méthodes de fabrication. Cette compétition permanente pousse les entreprises à engager, parfois, d importantes dépenses de R&D (Recherche et Développement : ensemble de procédures qui permettent la conception, la mise au point et la fabrication d un nouveau produit Petit Larousse Ed. 2000). Elles y consacrent donc une part importante de leurs moyens et cherchent ainsi à réaliser des profits! Pour info La technologie est un bien qui se diffuse L investissement de chaque firme a non seulement pour effet d accroître sa propre productivité, mais aussi d accroître la productivité des autres firmes du fait des externalités technologiques. En effet, une découverte, un savoir, ne peut être approprié par la firme qui le produit : il se diffuse inévitablement aux autres firmes. Ainsi, par le biais de l'apprentissage, on va assister à la communication, la maîtrise, l'adaptation voire même l'amélioration des technologies. Une firme génère une externalité* positive pour les autres agents lorsqu'elle leur fait bénéficier «malgré elle» d'un avantage gratuit alors même qu'elle a supporté seule la dépense d'investissement. La technologie est pour partie de l'information (ensemble de connaissances et de savoir-faire dans un domaine), c'est à dire un ensemble de données facilement transposables ce qui fait qu'une même technique peut être partagée et utilisée simultanément par un nombre quelconque d'agents. En effet, les connaissances une fois produites, sont disponibles pour tous. Ce qui peut poser un problème de rentabilité pour l entreprise C est à ce niveau que l Etat peut soutenir l innovation (Doc 2 p. 26) : Le «rendement privé» de la recherche se matérialise par les profits que les firmes ont retirés (ou vont pouvoir retirer) de leurs dépenses de R&D, alors que son «rendement social» est constitué par tous les gains qui en résulteront (ou pourraient en résulter) pour la collectivité tout entière (en termes de niveau de vie et d emploi mais également de santé, de liberté, de bonheur, etc.). Si le premier rendement est inférieur au second, cela implique que, faute de rentabilité suffisante, les firmes vont devoir renoncer à certains projets, ce qui privera la collectivité de l ensemble des gains auxquels elle aurait pu prétendre en l absence de ces renoncements. Afin de résoudre ce problème, l Etat dispose de plusieurs moyens d action : Investir lui-même dans la recherche publique. Il peut, ainsi, combler le déficit en recherche. On repère ce soutien à la recherche à travers les données contenues dans le document 3 p. 27. Ainsi, on constate qu il réalise plus d 1/3 des dépenses intérieures de R&D (les 2/3 étant réalisés par les entreprises). Cette forte intervention de l Etat est encouragée par le fait qu il semble exister une corrélation positive entre niveau des dépenses publiques en matière de R&D et taux de croissance économique. En effet, dans le document 5 p. 29, on constate qu en général, plus la part des dépenses publiques de R&D dans le PIB sont importantes et plus le taux d accroissement annuel moyen du PIB sur la période est élevé (cf. la «droite en pointillés»). - Il peut encourager les dépenses de recherche des entreprises à travers des subventions ou des avantages fiscaux ; - Il peut agir sur les imperfections du marché à travers une politique de concurrence, une législation sur les brevets. L investissement en capital humain (Doc 3 p. 29) Le capital humain* désigne l'ensemble des connaissances qui peuvent être utilisées et valorisées dans l'économie et dont sont porteurs les individus. La valeur de ce capital humain peut être appréhendée par le biais du niveau de qualification, mais aussi l'état de santé, la nutrition et l'hygiène de la population. Autant 5
6 d'éléments qui déterminent l'efficacité du travail ainsi que la capacité de l individu à intégrer le progrès technique, et conditionnent par là même l'amélioration de la productivité globale des facteurs. C est la raison pour laquelle des dépenses en formation du personnel peuvent largement contribuer à la maîtrise et à la diffusion des technologies qui agissent en retour sur le niveau de la production et la croissance économique. Les investissements publics Parmi les dépenses publiques, on retrouve l'ensemble des services fournis ainsi que les dépenses engagées par les pouvoirs publics (subventions pour la recherche rôle du CNRS, INRA, CEA, etc. en France, efforts en faveur de l'éducation et de la formation, financement de grandes infrastructures comme les ports, les aéroports et les routes...) qui contribuent directement ou indirectement à la croissance économique. En effet, il se met en place un processus cumulatif. Les dépenses publiques en matière d infrastructures permettent d augmenter la croissance, ce qui fait augmenter les recettes publiques et favorise en retour la dépense publique facteur de croissance BILAN sur la croissance endogène - Grâce à différents types d investissements, différents types de capitaux vont augmenter (Capital physique, capital technologique, capital humain, capital public), contribuant à favoriser la croissance économique. - Les progrès déjà obtenus grâce à ces différents types d investissements vont ouvrir la voie à d autres progrès, sources de croissance supplémentaire car cette «accumulation de capitaux» va générer de nombreuses externalités positives. - L accumulation de ses différents types de capitaux ne dépend pas de la seule initiative privée (c est-à-dire les entreprises). Une intervention de l Etat par le biais des dépenses publiques (dans les infrastructures de transport, l Education, la Santé, la Recherche, etc.) est nécessaire. Mais l Etat peut également créer un environnement légal et politique approprié qui sera favorable à la croissance. C) La croissance a besoin d un environnement légal et politique approprié (Doc. 1 p. 26). Le rôle des pouvoirs publics en matière de croissance ne se limite pas aux «dépenses publiques». En effet, les institutions politiques peuvent être plus ou moins favorables à la croissance économique. Dans les empires ou les dictatures, les gouvernants empêchent l'apparition de fortunes qui pourraient menacer leur monopole du pouvoir et préfèrent les confisquer à leur profit. Dans ces conditions, les entrepreneurs et les innovateurs sont rares car on leur confisque injustement le fruit de leurs efforts. Au contraire, les régimes démocratiques tolèrent les initiatives et permettent l'enrichissement. L'existence d'un État de droit, où le respect des contrats et de la propriété (cf. droit de propriété* -cours de 1 ère + encadré «Le saviez-vous?» p. 26) est garanti, est un point spécialement important. Un État prédateur, qui opère sur l'activité économique privée des prélèvements importants et arbitraires ou encore l existence d une forte instabilité politique, découragent les initiatives et freinent la croissance. 6
7 En guise d ouverture (Doc. 4 p. 27). Certains traits culturels, repérés par un système de valeurs peuvent constituer un frein ou au contraire un stimulant à la croissance. P. Bailly 09/
Financement du sport, crise économique et politique sportive
Conférence SNEP: «Sport demain, enjeu citoyen», Créteil, 30-31 mars 2012 Financement du sport, crise économique et politique sportive Wladimir ANDREFF * * Professeur émérite à l Université de Paris 1 Panthéon
Plus en détailPOINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE
POINTS DE REPÈRE SUR LA FÉVRIER 2015 PRODUCTIVITÉ EN FRANCE MESURER LA PRODUCTIVITÉ Productivité du travail : valeur ajoutée / stock d heures travaillées. Elle est simple à calculer et facilement compréhensible.
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailEpargne : définitions, formes et finalités.
Epargne : définitions, formes et finalités. 1) Définitions de l épargne. Le dictionnaire Larousse définit l épargne comme une «fraction du revenu individuel ou national qui n est pas affectée à la consommation»,
Plus en détail3e question : Qui crée la monnaie?
3e question : Qui crée la monnaie? INTRO : Sensibilisation Vidéo : Comprendre la dette publique en quelques minutes (1min à 2min 27) http://www.youtube.com/watch?v=jxhw_ru1ke0&feature=related Partons de
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailPremière partie : Mobilisation des connaissances
Première partie : Mobilisation des connaissances 1. Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 points) Ci-dessous un corrigé : comparez-le à votre réponse, surlignez
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détail- Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui
Plan du cours : - Introduction : la globalisation commerciale d hier et d aujourd hui - I. Les théories du commerce international - les avantages comparatifs (Ricardo) - les dotations de facteurs (HOS)
Plus en détailLES ETAPES DE LA CREATION
LES ETAPES DE LA CREATION LES ETAPES DE LA CREATION DE VOTRE ENTREPRISE L ELABORATION DU PROJET p. 13 A/ L étude commerciale p. 13 B/ L étude financière p. 18 C/ L étude juridique p. 27 LES FORMALITES
Plus en détailCONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE. Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii
CONSOLIDER LES DETTES PUBLIQUES ET RÉGÉNÉRER LA CROISSANCE Michel Aglietta Université Paris Nanterre et Cepii Consolider les dettes publiques: un processus au long cours Les dysfonctionnements européens
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détailCorefris RAPPORT ANNUEL 2011. Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France?
Annexe 3 : La hausse des prix de l immobilier est-elle associée à une «bulle» de crédit en France? (DGTrésor) 1. Indépendamment de facteurs d offre et de demande, qui jouent indéniablement sur les prix,
Plus en détailTC12 : Protection sociale et solidarités collectives
TC12 : Protection sociale et solidarités collectives 1 Etat providence et protection sociale 11 L apparition de l Etat providence DOC 1 Q1 Qu est-ce que la société libérale? C est une société dans laquelle
Plus en détailFrais et systèmes nationaux d'aides financières aux étudiants dans l'enseignement supérieur en Europe
Frais et systèmes nationaux d'aides financières aux étudiants dans l'enseignement supérieur en Europe 2014/2015 Eurydice Faits et chiffres Education et formation Problématiques clés Introduction La question
Plus en détail2014-2015 DS n 3 Chap 1-2h. Épreuve composée
Épreuve composée Pour la partie 3 (Raisonnement s appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat de traiter le sujet : en développant un raisonnement ; en exploitant les documents du
Plus en détailÀ quoi le Québec ressemblera-t-il en 2030?
À quoi le Québec ressemblera-t-il en 2030? Nicholas-James Clavet (CIRPÉE) Jean-Yves Duclos (CIRPÉE, CIRANO) Bernard Fortin (CIRPÉE, CIRANO) Steeve Marchand (CIRPÉE) 1 / 23 De grandes questions En quoi
Plus en détailChap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE
I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailOBSERVATOIRE DE L EPARGNE EUROPEENNE
Conférence de presse du 22 juin 2001 Fiscalité des produits d épargne: une comparaison internationale Il n existe pas de véritable point de vue européen en matière de fiscalité des produits d épargne.
Plus en détailL i c e n c e. www.univ-paris13.fr. Mention «Économie et de gestion» Diplôme Bac + 3. Parcours. Contacts. contact :
Diplôme Bac + 3 Parcours - - Contacts UFR des Sciences Economiques et de Gestion contact : Contact formation continue (Adultes en reprise d'études, Financement / VAE): tél.:01 49 40 37 64 acc-cfc@univ-paris13.fr
Plus en détailINTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre
INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le
Plus en détailMARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES
MARKETING INTERNATIONALES DES PRODUITS AGRICOLES Sommaire Introduction au marketing international Types de marketing international La stratégie d internationalisation La politique internationale du produit
Plus en détailChapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR ÉPREUVE DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES BOITIER PHARMA La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés
Plus en détailEpargner en période de crise : le dilemme
Epargner en période de crise : le dilemme L épargne tient souvent l actualité en ce début d été 2013. Plusieurs chiffres laissent interrogateurs en cette période de très faible croissance (rappel : - 0.2%
Plus en détailCHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE»
CHAPITRE «CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE» I ) SOURCES DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE : La croissance économique est d abord une réalité quantitative. Généralement, on mesure cette croissance avec
Plus en détailI) L ouverture des économies à l international
L autarcie s oppose au système du libreéchange. I) L ouverture des économies à l international A) La mesure des échanges de biens et services. La balance des transactions courantes. Cette balance retrace
Plus en détailRAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT
RAPPELS DU COURS PRÉCÉDENT PIB + M = CF+ FBCF + S + X Demande intérieure Valeur 2006 en milliard s d'euros ) Évolutions en volume au prix de l'année précédente Évolutions en volume au prix de l'année précédente
Plus en détailLe rôle de l état de santé chez les seniors de plus de 50 ans
Rencontre de la Chaire Transition démographique «PEUT-ON RÉFORMER LES RETRAITES SANS REPENSER LE TRAVAIL DES SENIORS?» Université Paris Dauphine, vendredi 19 février Le rôle de l état de santé chez les
Plus en détailChapitre 3. La répartition
Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations
Plus en détailPremière installation : comment réussir en temps de crise?
FACULTES DE PHARMACIE DE PARIS V ET PARIS XI Première installation : comment réussir en temps de crise? Animation par Philippe BECKER (Fiducial) Joffrey BLONDEL (Astera) 1 Olivier DUPAYS (Pharmacie de
Plus en détailUn cadre d action pour une croissance verte
Nathalie Girouard est coordinatrice de la Stratégie croissance verte de l OCDE, et membre du Conseil économique pour le développement durable (CEDD). Un cadre d action pour une croissance verte Un cadre
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailCIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle. VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser
CIHEAM-IAMM - Janvier 2002 Synthèse documentaire - C. Adamolle VEILLE STRATEGIQUE & RESEAU INTERNET des outils et méthodes à maîtriser 2 PLAN : 1 ère Partie : L information : un outil de gestion stratégique
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailPartie 5 : La consommation et l investissement
Partie 5 : La consommation et l investissement Enseignant A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès France Cours de macroéconomie suite La troisième partie a exposé les théories
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailLes contrats retraite en Loi Madelin
Les contrats retraite en Loi Madelin Une retraite obligatoire insuffisante Par rapport à un salarié, le travailleur indépendant est un peu "le parent pauvre" du système de protection sociale français.
Plus en détailComité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)
F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ
Plus en détailQuelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?
Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.
Plus en détailRégimes publics de retraite État de la situation. Perspectives des différents régimes publics de retraite. Plan
Régimes publics de retraite État de la situation Perspectives des différents régimes publics de retraite 79 e congrès de l ACFAS 10 mai 2011 Plan Portrait des régimes publics de retraite La pression démographique
Plus en détailCREDIT D'IMPOT RECHERCHE MODELE DE DEMANDE D'AVIS PREALABLE
CREDIT D'IMPOT RECHERCHE MODELE DE DEMANDE D'AVIS PREALABLE QUESTIONNAIRE RELATIF A LA MISE EN ŒUVRE DE LA GARANTIE PREVUE AU 3 DE L'ARTICLE L 80 B DU LIVRE DES PROCEDURES FISCALES Vous voudrez bien apporter
Plus en détailPGE 2 Fall Semester 2015. Purchasing Track. Course Catalogue. Politique, Stratégie & Performance des Achats p. 2
PGE 2 Fall Semester 2015 Purchasing Track Course Catalogue Politique, Stratégie & Performance des Achats p. 2 Méthodes Outils associés au Processus Opérationnel des Achats p. 3 Gestion d un Projet Achat
Plus en détailAPPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES
4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION
Plus en détailPerspectives de l économie Internet de l OCDE 2012 Principales conclusions
Perspectives de l économie Internet de l OCDE 212 Principales conclusions Conçu à l origine comme un moyen de relier différents ordinateurs par le réseau téléphonique, l Internet connecte aujourd hui des
Plus en détailCas 9 - Le rôle de l Etat et de l environnement légal
Cas 9 - Le rôle de l Etat et de l environnement légal Objectif : comprendre le rôle de l Etat dans l économie et son influence sur les décisions de production des entreprises. Introduction Théorie néoclassique
Plus en détaildéveloppement innovation
phases d un projet de recherche développement innovation Programme, projet et opération Programme : un ensemble de projets concourant à un même objectif. Projet : un ensemble finalisé d activités et d
Plus en détailPropension moyenne et marginale
Propension moyenne et marginale Les ménages utilisent leur revenu soit pour consommer (tout de suite), soit pour épargner (et consommer plus tard). On appelle propension moyenne à consommer (PMC) la part
Plus en détailBELGIQUE. 1. Principes généraux.
BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.
Plus en détailLA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007
LA FINANCE EST-ELLE DEVENUE TROP CHERE? ESTIMATION DU COUT UNITAIRE D INTERMEDIATION FINANCIERE EN EUROPE 1951-2007 Les notes de l IPP n 10 Juin 2014 Guillaume Bazot www.ipp.eu Résumé La finance a pris
Plus en détailREGLEMENT DES JEUX CHAT SMS 4040
REGLEMENT DES JEUX CHAT SMS 4040 ARTICLE I : ORGANISATION : ORANGE-RDC, immatriculée au registre de commerce sous le 50.009, à l identification nationale sous le 01-73-N36.340N, dont le siège social est
Plus en détailLA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES
LA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES. Définition... 2. Qu'est-ce que la contrefaçon?... 2. Un fléau mondial... 2. Ses dangers... 3. Comment la déceler?... 4. Lutter contre la contrefaçon... 4. Qui est en
Plus en détailChapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)
Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,
Plus en détail52 53 L état de l Enseignement supérieur et de la Recherche n 4 [édition 2010]
21 Le financement de la recherche nationale par des crédits budgétaires absorbe en 0,75 % des moyens budgétaires de l État à travers les établissements publics de R&D et les mesures d aide et d incitation
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailBerne, mai 2007. Questions fréquentes au sujet de l aide sociale
1 Berne, mai 2007 Questions fréquentes au sujet de l aide sociale 2 Pourquoi la CSIAS en tant qu association privée peut-elle établir des normes en matière d aide sociale? La CSIAS est l association professionnelle
Plus en détailMINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE
cerfa N 50078#10 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1
ÉCONOMIE GÉNÉRALE FIIFO1 2000-2001 MÉRÉ Aurélien AMC Economie - Page 1 INTRODUCTION GENERALE 3 NATURE DE L ACTIVITE ECONOMIQUE 3 L OBJET DE LA SCIENCE ECONOMIQUE 4 LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailLe financement de l économie Jézabel Couppey- Soubeyran PSE Université Paris 1. Journée PAF, académie de Versailles
Le financement de l économie Jézabel Couppey- Soubeyran PSE Université Paris 1 Journée PAF, académie de Versailles Plan de la présenta-on 1. Financement : no
Plus en détailL impact de l économie numérique. Président du comité économie numérique du Medef,
L impact de l économie numérique ENTREPRISE Philippe Lemoine Président du comité économie numérique du Medef, Benoît Lavigne Direction recherche innovation et nouvelles technologies (Medef), Michal Zajac
Plus en détailTHÈME 1. Ménages et consommation
THÈME 1 Ménages et consommation 1 Comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? SENSIBILISATION Étape 1 D où provient l argent des ménages? Revenus «primaires» Du travail
Plus en détailCHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 6. LES FONCTIONS MACROÉCONOMIQUES PLAN ET RÉFÉRENCES Plan du chapitre I. Circuit et équilibre macro-économique II. La consommation et l épargne III. L investissement Références Généreux (2) Mankiw
Plus en détailRèglement. Article 1 : Association organisatrice
Article 1 : Association organisatrice 1.1. La LDH, association loi 1901, dont le siège social est situé au 138, rue Marcadet 75018 Paris, organise un concours gratuit intitulé «Une photo pour les droits
Plus en détailSéminaire d analyse économique
Séminaire d analyse économique QUELLE RÉGULATION POUR LA SANTÉ? UN REGARD COMPARATIF. Bruno PALIER (chercheur CNRS au Cevipof - Sciences Po) COMMUNICATION AU SÉMINAIRE MESPI MARDI 16 NOVEMBRE 2004 Séminaire
Plus en détailLa théorie keynésienne : le rôle du système bancaire
La théorie keynésienne : le rôle du système bancaire Le rôle du système bancaire Un rôle fondamental Dans une économie moderne, les banques ont pour principale fonction de créer la monnaie. Aristote définissait
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détailChapitre 17 Action publique et régulation
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 16 novembre 2014 à 19:40 Chapitre 17 Action publique et régulation Introduction Pourquoi les pouvoirs publics interviennent-ils dans les économies contemporaines?
Plus en détailAssurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques
Assurance maladie publique et «Opting out» - Réflexions théoriques Carine Franc CREGAS INSERM - U 537 Une définition de «l opting out» «to opt out» : choisir de ne pas participer ; [hopital, school] choisir
Plus en détailNOTE D INFORMATION : LA FISCALITE DES FRANÇAIS ETABLIS HORS DE FRANCE ETAT ACTUEL ET EVOLUTIONS EN COURS
Joëlle Garriaud- Maylam Sénateur représentant les Français établis hors de France NOTE D INFORMATION : LA FISCALITE DES FRANÇAIS ETABLIS HORS DE FRANCE ETAT ACTUEL ET EVOLUTIONS EN COURS Au 31 décembre
Plus en détailComment va la vie en France?
Comment va la vie en France? L Initiative du vivre mieux, lancée en 2011, se concentre sur les aspects de la vie qui importent aux gens et qui ont un impact sur leur qualité de vie. L Initiative comprend
Plus en détail«La France d après», c est un clin d œil au slogan de Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007. Il ne s agira pas cependant ici de
Introduction Le pire n est pas sûr «La France d après», c est un clin d œil au slogan de Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007. Il ne s agira pas cependant ici de revenir en détail
Plus en détailGuidance de Statistique : Epreuve de préparation à l examen
Guidance de Statistique : Epreuve de préparation à l examen Durée totale : 90 min (1h30) 5 questions de pratique (12 pts) 20 décembre 2011 Matériel Feuilles de papier De quoi écrire Calculatrice Latte
Plus en détailIV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu. Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond
IV. Les nécessités d une grande réforme : propositions pour une assurance générale de revenu Ruth Gurny, Denknetz Traduction : Sabine Dormond Pour une protection solidaire et équitable : l assurance générale
Plus en détailVI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE
VI. TENDANCES DE L INVESTISSEMENT DIRECT ÉTRANGER DANS LES PAYS DE L OCDE Introduction L investissement direct étranger a des effets bénéfiques sur l économie L investissement direct étranger (encadré
Plus en détailTPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?
TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté
Plus en détailMétriques, classements et politique scientifique des Etablissements
Métriques, classements et politique scientifique des Etablissements Michel Blanc Bayesté Leclaire Ecole polytechnique, Palaiseau Quelques références clés Rapport au Sénat sur le défi des classements dans
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détail3La charge fiscale effective induite par les. 3Les pouvoirs publics consacrent déjà plus. 3Si nous voulons garantir la compétitivité
Quote-part fiscale de la Suisse : des apparences trompeuses dossierpolitique 21 février 2011 Numéro 2 Quote-part fiscale. Dans la statistique annuelle de l OCDE, la Suisse affiche une quote-part fiscale
Plus en détailUV DIRECT MODALITÉS DU COMPTE
UV DIRECT MODALITÉS DU COMPTE Les pages suivantes contiennent des renseignements importants au sujet de votre compte UV DIRECT dont vous devez prendre connaissance. Si vous avez des questions, nous serons
Plus en détailLES ELUCUBRATIONS DE L' INVESTISSEUR
LES ELUCUBRATIONS DE L' INVESTISSEUR L analyse fondamentale cherche à dresser un portrait le plus exact possible d une société. Deux approches complémentaires sont utilisées : on examine l entreprise
Plus en détailLes écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats
Les écoles de la CCI Réunion récompensent leurs lauréats Dossier de presse Remise de diplômes EGC Réunion et Ecole d Ingénieurs BTP Vendredi 28 novembre 2014, Pôle Formation Nord de la CCI Réunion Les
Plus en détailLe crédit d impôt innovation (CII)
Le crédit d impôt innovation (CII) Plan de la présentation I. Les grandes lignes de la mesure II. Le champ des activités éligibles III. Les dépenses éligibles IV. L'imputation du crédit d'impôt innovation
Plus en détailLes baisses d'impôts annoncées par Nicolas Sarkozy : priorité juste ou mal choisie?
Page 1 sur 9 Les baisses d'impôts annoncées par Nicolas Sarkozy : priorité juste ou mal choisie? 2894 avis exprimés Question 1 : D'après ce que vous savez, les mesures contenues dans le "paquet fiscal"
Plus en détail10. L épargne, l investissement et le système financier
10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement
Plus en détail2.8. État des lieux de la protection sociale complémentaire d entreprise
2.8. État des lieux de la protection sociale complémentaire d entreprise La généralisation de la complémentaire santé d entreprise prévue par l accord national interprofessionnel (ANI) à compter du 1 er
Plus en détailCIRSEE POLE INFORMATIQUE TECHNIQUE. Support et service après vente.
CIRSEE POLE INFORMATIQUE TECHNIQUE Support et service après vente. Lyonnaise des Eaux - CIRSEE Pôle Informatique Technique Jean-Marc Ponté 59 Avenue Emile Thiébaut 78110 Le Vésinet Tél : 01 30 15 40 00
Plus en détailDemande d ouverture d un Rabo Business Account pour une association de fait
Demande d ouverture d un abo Business Account pour une association de fait Données de l association de fait: Dénomination sociale: Date de création: Objet de l association: N TVA ]]]]]]]]] ]]]]]]]]] ]]]]]]]]]
Plus en détailENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES
Objectif(s) : ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Connaître les conventions et principes comptables. Modalité(s) : Comptes, Bilans, Activité, Trésorerie. TABLE DES MATIERES Chapitre 1. INTRODUCTION....
Plus en détail