Logiciel K Rea v3. Calcul des écrans de soutènement (simples et doubles) par la méthode aux coefficients de réaction

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Logiciel K Rea v3. Calcul des écrans de soutènement (simples et doubles) par la méthode aux coefficients de réaction"

Transcription

1 Logiciel K Rea v3 Calcul des écrans de soutènement (simples et doubles) par la méthode aux coefficients de réaction et avec prise en compte des vérifications selon la norme NF P V. Bernhardt V. Bernhardt / F. Cuira Page 1 Introduction Fonctionnalités de base du logiciel K Rea v3 Le cas des contre et doubles rideaux Présentation de la norme NF P et de sa mise en œuvre pratique dans K Rea v3 Page 2 1

2 Introduction Logiciel de dimensionnement des écrans de soutènement par la méthode aux coefficients de réaction, avec prise en compte des vérifications ELU selon la norme NF P Développement du logiciel : Interface développée par Terrasol (depuis 2002) Moteur de calcul aux coefficients de réaction développé par M. Roland Stenne depuis plus de 20 ans, et validé par plusieurs années d'utilisation Développements liés aux vérifications ELU effectués par Terrasol Commercialisation de la version v3 : fin fonctionnalités nouvelles : Les vérifications selon la norme NF P (norme française d application de l Eurocode 7 pour les écrans de soutènement) Les calculs de contre-rideaux et doubles-rideaux avec ancrages de liaison (en option) Page 3 Tour d horizon des fonctionnalités du logiciel i lk Rea v3 Le traitement des contre et doubles rideaux Présentation de la norme NF P et de sa mise en œuvre pratique dans K Rea v3 Page 4 2

3 Bases de la méthode de calcul L écran est considéré comme une poutre déformable sur appuis élasto-plastiques. Les couches de sol sont considérées comme des ressorts qui réagissent linéairement jusqu à atteindre des paliers plastiques. Les actions sont décomposées é en efforts agissant sur la poutre. La méthode de calcul consiste à trouver un équilibre entre les déformations de la poutre et l état des couches de sol. Page 5 Bases de la méthode de calcul Comportement élasto-plastique Loi de comportement des sols Pression des terres au repos p i = p 0 = k 0 σ v0 pour la première phase de calcul avec σ v0 : contrainte effective verticale au repos Poussée p a = k a σ v c a c Butée p p = k p σ v + c p c Module de réaction pente = k h + dk h. z avec k h : module de réaction du sol Page 6 3

4 Plastification et décollements Bases de la méthode de calcul Evolution de la loi de comportement en fonction de la plastification du sol Evolution de la loi de comportement en fonction du décollement du rideau Evolution de la loi de comportement en fonction des déchargements et rechargements : prise en compte de la consolidation par les coefficients kd et kr (argiles molles par exemple) Page 7 Les principaux types de données Définition des caractéristiques du projet Options globales du projet Caractéristiques des sols Caractéristiques de l écran Page 8 4

5 Options globales Données Choix valables pour tout le projet Page 9 Caractéristiques de sol Données Base de données des sols Caract. intrinsèques Les obliquités des contraintes saisies ici seront utilisées automatiquement par les assistants. Caractéristiques propres à la méthode de calcul Nombreux assistants pour la saisie de ces paramètres Page 10 5

6 Assistants Données / Caractéristiques de sol Assistants à la détermination des coefficients de poussée et butée Tables de Kérisel et Absi Méthode du coin de Coulomb Formules de Rankine Assistants à la détermination des coefficients de réaction Méthode de Balay Méthode de Schmitt Abaques de Chadeisson Page 11 Caractéristiques de l écran Données Possibilité de définir une rigidité cylindrique pour les écrans circulaires + assistant pour les parois continues, parois composites, et rideaux de palplanches Page 12 6

7 Définition du phasage Dans K-REA, le phasage de construction est entièrement défini via l interface utilisateurs : Création de nouvelles phases de calcul Définition des actions entreprises dans les phases Visualisation de ces actions au fur et à mesure Lancement des calculs Edition des résultats Page 13 1 ajout d une nouvelle phase de calcul Définition du phasage Cadre de gestion du phasage Page 14 7

8 Actions Définition du phasage Pour définir le phasage de construction à prendre en compte dans les calculs, K-Rea propose une vingtaine d actions classées en 6 catégories : Phase initiale Chargements-forces-couples Travaux Ancrages-paroi Caractéristiques des sols Hydraulique Page 15 Phase initiale tion du phasage / Actions Définit Ces actions ne peuvent être définies qu une seule fois Surcharge de Caquot (uniformément répartie, supprimée par des actions de type excavation ou remblaiement). Poussée réduite (pour les parois de type berlinoises, ramenée à 100 % après la pose du blindage). Pression maximale (pour les parois préfabriquées). Page 16 8

9 Chargements forces - couples tion du phasage / Actions Définit Surcharge de type Boussinesq (localisée, limitée) Surcharge de type Graux (localisée, limitée et diffusée) Moments extérieurs (couple fixe) Charges horizontales (trapézoïdales) Force linéaire Page 17 Travaux tion du phasage / Actions Définit 3 types d excavation : Simple (possibilité de modifier le niveau de la nappe et d appliquer une surcharge de type Caquot sur le fond de fouille en même temps). Avec risberme (à appliquer après une excavation simple). La risberme est simulée par des charges de Boussinesq «négative». Avec pose de blindage (à appliquer après une excavation simple). La pose de blindage suppose l utilisation de l option poussée réduite en phase initiale. Page 18 9

10 Travaux tion du phasage / Actions Définit Remblaiement (avec possibilité de décoller la base du remblai du fond de fouille et d appliquer une surcharge de type Caquot sur son toit). Page 19 Ancrages - Paroi tion du phasage / Actions Définit 3 types d ancrages sont applicables et superposables : Buton (mode unilatéral l ou bilatéral) Tirant (mode unilatéral ou bilatéral) Encastrement (permet de définir une raideur en rotation) Les ancrages activés peuvent être désactivés dans une phase ultérieure. Page 20 10

11 Ancrages - Paroi tion du phasage / Actions Définit Modification de la raideur de la paroi (indépendamment des sections définies et tenant compte des options de la paroi) Réhausse de la paroi (uniquement si la paroi est définie par son produit d inertie) Page 21 Caractéristiques des sols tion du phasage / Actions Définit Modification des paramètres des couches de sol (permet de modifier indépendamment chacun des paramètres définissant la couche et ce sur un seul côté de la paroi ou les deux). Page 22 11

12 Hydraulique tion du phasage / Actions Définit Gradient hydraulique (doit impérativement suivre une action Excavation-Eau). Exemple : Pour équilibrer les pressions d eau en pied de paroi, on applique une action «gradient hydraulique» côté fouille. Cette action permet de relier la courbe de pressions hydrostatiques correspondant au niveau rabattu à une courbe correspondant à la pression souhaitée. Z=3m Z=8m 5m p eau à l équilibre Page 23 Sur l écran principal : déplacements, moments, et efforts tranchants + rapport des butées Résultats 24 Page 24 12

13 Résultats détaillés (format graphique) Résultats La boîte de dialogue dédiée aux résultats reprend les courbes affichées sur la fenêtre principale en y ajoutant : Pressions des terres et d eau de part et d autre de l écran Efforts axiaux dans les ancrages Page 25 Résultats détaillés (format tableaux) Résultats Tous les résultats issus du calcul, c est-à-dire ceux représentés sur les graphiques, et en complément : Côté fouille et côté terre les états des cellules de sol les pressions verticales effectives les pressions maximales et minimales mobilisables en poussée et en butée les pressions de voûte pour un écran circulaire Page 26 13

14 Résultats détaillés Résultats D autres résultats sont disponibles dans K-REA, comme les courbes enveloppes (finales ou intermédiaires), ou la synthèse des efforts. Page 27 Impressions Un assistant sous forme de boîte de dialogue permet de : choisir les impressions à lancer configurer les impressions d envoyer les impressions aux imprimantes ou dans le presse-papiers papiers Windows Page 28 14

15 Exemples d impressions K-REA (envoi vers imprimantes ou génération de pdf) : les impressions des données et la synthèse graphique du phasage de construction. Impressions Page 29 Tour d horizon des fonctionnalités du logiciel i lk Rea v3 Le traitement des contre et doubles rideaux Présentation de la norme NF P et de sa mise en œuvre pratique dans K Rea v3 Page 30 15

16 K-Réa v3 Doubles rideaux Principes : Le calcul s applique aux géométries de type contre rideau ou doublerideau (jusqu à 2 ancrages de liaison au maximum) Les données (sol et écran) doivent être définies pour les 2 écrans (possibilité de copier les données d un rideau vers l autre) Page 31 K-Réa v3 Doubles rideaux Principes : Le calcul est itératif. L objectif est d atteindre une situation pour laquelle les efforts aux points d ancrage sur les écrans sont équilibrés pour chaque ancrage de liaison. Le critère de convergence porte sur l égalité des efforts au niveau des 2 rideaux. Les 2 écrans sont supposés interagir uniquement via les 2 ancrages de liaison (pas d interaction via le massif de sol) Page 32 16

17 K-Réa v3 Doubles rideaux Principes : Les vérifications ELU ne sont pas disponibles automatiquement pour les projets de type contre et double rideaux. Par contre, il est possible de convertir un projet double rideau en 2 projets simples rideaux, puis d effectuer les vérifications ELU sur chaque écran seul. Page 33 K-Réa v3 Doubles rideaux Données Page 34 17

18 K-Réa v3 Doubles rideaux Résultats Page 35 K-Réa v3 Doubles rideaux Résultats Page 36 18

19 K-Réa v3 Doubles rideaux Résultats Page 37 Tour d horizon des fonctionnalités du logiciel K Rea v3 Le cas des contre et doubles rideaux Présentation de la norme NF P et de sa mise en œuvre pratique dans K Rea v3 Page 38 19

20 La norme NF P NF P : norme nationale (française) d application de l EC7 pour la justification des ouvrages de soutènement S applique aux ouvrages de soutènement verticaux : parois moulées, rideaux de palplanches, rideaux mixtes, parois composites Fixe les mécanismes de ruine à examiner et l approche générale de calcul Présentation orientée en fonction de la mise en application dans K Rea v3 Page 39 Eléments de vocabulaire Notion de «valeur de calcul»: E d = m x E k Valeur de calcul Valeur caractéristique Pondération m 1 pour les actions, 1 pour les résistances Approche de calcul n 2 Page 40 20

21 Eléments de vocabulaire Modèles de calcul «reconnus» MEL : modèle aux équilibres limites o Equilibres limites = travail avec les poussées/butées limites (mobilisables) o Idéal pour un pré dimensionnement (jusqu à un niveau d ancrage) o Ne prend pas en compte la souplesse de l écran => pas de déplacements Poussée F a z n Butée F ΔU b z n : niveau de «transition» Fc a Contre poussée z α.fc b nécessaire disponible Contre butée Page 41 Eléments de vocabulaire Modèles de calcul «reconnus» MISS : modèle d interaction sol structure o MISS K : méthode aux coefficients de réaction o MISS F : méthode aux éléments finis ou différences finies p h p b p 0 p a Ressorts juxtaposés élasto plastiques d h Milieu continu E, ν, c,φ Page 42 21

22 Liste des vérifications Vérifications ELU 1. Stabilité générale 2. Défaut de butée 3. Résistancedela structure 4. Stabilité du fond de fouille 5. Equilibre vertical 6. Stabilité du massif d ancrage (Kranz) 7. Résistance de l ancrage 8. Stabilité hydraulique Vérifications ELS 1. Déplacements 2. Durabilité 3. Fluage des ancrages Page 43 Mise en œuvre dans K-Réa v3 Calcul sans vérifications ELU Calcul avec vérifications ELU Calcul de Base Calcul ELS Calcul ELU Phase(s) où l écran est ancré Phase(s) où l écran est en console Modèle «MISS» (sans pondération) Modèle «MISS» (sans pondération) Modèle «MISS» (avec 1,11 sur les surcharges variables) Modèle aux équilibres limites «MEL» (pondéré) Résultats de base Pressions mobilisées Déplacements Efforts (V M) Résultats ELS Pressions mobilisées Déplacements Efforts (V, M) Modèle «Kranz» Résultats ELU Pressions mobilisées Déplacements Efforts caract. (Vk, Mk) Efforts de calcul (Vd, Md) Vérifications ELU Défaut de butée Equilibre vertical Stabilité massif d ancrage Résultats ELU Pressions mobilisées Efforts de calcul (Vd, Md) Vérifications ELU Défaut de butée Equilibre vertical Page 44 22

23 Données complémentaires dans K-Réa v3 Données : définitions des coefficients partiels Modèle MISS général Modèle MEL Equilibre vertical Kranz Page 45 Données complémentaires dans K-Réa v3 Phasage : définition du type de la phase Nature de la phase (provisoire / définitive) Caractère de l écran à la phase considérée (auto-stable / ancré) détection automatique Page 46 23

24 Données complémentaires dans K-Réa v3 Phasage : exemple de définition d actions Surcharge sur le massif de sol : permanente ou variable Surcharge appliquée sur l écran Page 47 Défaut de butée Principe de la vérification S assurer que la butée disponible est supérieure, avec une sécurité suffisante, à la butée nécessaire à l équilibre des moments Pour un sstème système «isostatique» (écran auto stable ou aec avec un seul niveau d appui), un défaut de butée équivaut à une fiche insuffisante Modèles de calcul Ecran auto stable : MEL est obligatoire (2) Ecran ancré : MEL ou MISS. L utilisation de MEL demeure néanmoins limitée à un seul niveau d appui Page 48 24

25 Défaut de butée Cas d un écran «ancré» (un ou plusieurs niveaux d ancrage).b a t,k B m,k b Modèle MISS Butée mobilisée Butée limite B m,k B t,k Poussée (mobilisée) Page 49 Défaut de butée Cas d un écran «ancré» (un ou plusieurs niveaux d ancrage) a.b t,k B m,k b γ a γ b Phase provisoire i 135 1, ,10 Phase définitive 1,35 1,40 Pratique française (approche 2) : les termes B t,k et B m,k sont issus d un calcul de type MISS mené en appliquant 1,50/1,35 = 1,11 sur les valeurs caractéristiques des surcharges variables. a x b =1,50pour une phase provisoire (sécurité globale) a x b = 1,90 pour une phase définitive (sécurité globale) Page 50 25

26 Défaut de butée Cas d un écran auto stable (ou «en console») Modèle aux équilibres limites (MEL) Poussée F a Butée F ΔU z b n z n : niveau de «transition» Fc a Contre poussée z α.fc b nécessaire disponible Contre butée Page 51 Défaut de butée Cas d un écran auto stable (ou «en console») Modèle MEL = travail avec les valeurs de calcul! Poussées (F a, Fc a ) : valeurs de calcul = 1,35 x valeurs caractéristiques Butées (F b, Fc b ) : valeurs de calcul = 1/ b x valeurs caractéristiques b = 1,40 si phase définitive b = 1,10 si phase provisoire Surcharges : valeurs de calcul = q x valeurs caractéristiques Nature de la surcharge Favorable Défavorable Permanente 1,00 1,35 Variable 0,00 1,50 Page 52 26

27 Défaut de butée Cas d un écran auto stable (ou «en console») Vérification de la fiche fb 1,20 f 0 Pression différentielle f b : fiche «disponible» sous le point de pression différentielle nulle (O) O f 0 f 0 : fiche minimale permettant d atteindre l équilibre des moments (point C, également appelé «point critique») R C C P f b z Page 53 Défaut de butée Cas d un écran auto stable (ou «en console») Vérification de la contre butée Poussée F a Butée F ΔU z b n z n : niveau de «transition»? Fc a Contre poussée α.fc b nécessaire Contre butée z disponible Page 54 27

28 Défaut de butée Cas d un écran auto stable (ou «en console») Vérification de la contre butée Approche F (usuelle en France) Simplification : point de transition = point critique C R C.Fc b Fc a ΔU inf Contre butée suffisante 1 R C C C = point de transition Fc a α.fc b ΔU inf P nécessaire disponible Page 55 Défaut de butée Cas d un écran auto stable (ou «en console») Vérification de la contre butée Approche D (plus élaborée) Le point de transition z n etle facteur de mobilisation «α» sont recherchés simultanément pour assurer à la fois l équilibre global des efforts et des moments => deux équations, deux inconnues (,z n ) z n F b F a ΔU Contre butée suffisante 1 Fc a α.fc b α.fc b P nécessaire disponible z Page 56 28

29 K-Réa v3 Simples rideaux Résultats : Vérifications ELU / défaut de butée Phase auto-stable => modèle MEL Page 57 Résistance de l écran Calcul des efforts ELU Cas d un modèle MISS (écran ancré) o Moment : M d = 1,35 x M k o Effort tranchant : V d = 1,35 x V k Cas d un modèle MEL (écran auto stable) o Calcul par intégration des pressions régissant l équilibre limite de l écran o Conduit directement aux valeurs de calcul des efforts o Seule l approche «D» permet une intégration sur toute la hauteur de l écran o Pour l approche «F», intégration jusqu au point critique seulement Vérification de la résistance de l écran => EC 3 ou 2 selon matériau Page 58 29

30 Résistance de l écran Efforts ELU (calcul MISS K) 59 Page 59 Résistance de l écran Efforts ELU (calcul MEL) 60 Page 60 30

31 K-Réa v3 Simples rideaux Résultats : tableaux détaillés, courbes enveloppes, tableaux de synthèse, etc Page 61 Bilan des efforts verticaux Objectifs Evaluer la résultante verticale => vérification du soulèvement, justification de la portance en pointe Juger de la pertinence des inclinaisons supposées pour les efforts de poussée/ butée Si soulèvement d origine non structurelle => ajustement des inclinaisons des pressions des terres (poussée, butée et contre butée) Portance en pointe à vérifier selon la norme «fondations» (en cours de rédaction) Principe général : Rv d P0 Pv d Fv d Tv d Rv d : résultante verticale P 0 : poids propre de l écran Pv d : résultante verticale des pressions des terres Fv d : résultante verticale des surcharges appliquées directement sur l écran Tv d : résultante verticale des efforts des ancrages Page 62 31

32 Bilan des efforts verticaux Résultats : Vérifications ELU / équilibre vertical Page 63 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Principe général S assurer que la longueur libre est suffisante pour éviter tout report des efforts d ancrage sur l écran lécran écran Equivaut à justifier la stabilité du massif d ancrage «ABCDA» = modèle de Kranz Modèle de Kranz simplifié = surface de rupture plane (CD) : D : point d effort tranchant nul C : point td d ancrage effectif (milieu du scellement ou base du contre rideau) E D A α β tirant B C Page 64 32

33 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Equilibre limite du massif d ancrage A B F P 1 θ 1 E F e W R c T α C P 2 θ 2 P 1 : réaction de l écran P 2 : poussée amont F e : charges extérieures W : poids «net» T : effort d ancrage R f : résistance frottement R c : résistance cohésion φ : angle de frottement D β R f φ Rc Rf W Fe P1 P2 T 0 Page 65 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Présence d un multicouche => discrétisation en sous blocs A Bloc 1 Bloc 2... Bloc n B Couche 1 X Couche 2... C Couche i 0 Couche i D Couche i 0 +n Z Page 66 33

34 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Equilibre d un «bloc isolé» Bloc «k» F e (k) V 1 (k) H 1 (k) W (k) V (k) 2 H (k) 2 C k R (k) c Hypothèse de Bishop V (k) 1 = 0 et V (k) 2 = 0 D k R f (k) φ k Page 67 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Résolution de l équilibre général Résolution par «équilibres successifs» : 3n 1 équations, 3n 1 inconnues P2 T T dst Fe 3 +W 3 Rc 3 +Rf 3 H 2/2 =H 1/3 Fe 2 +W 2 Rc 2 +Rf 2 H 2/1=H 1/2 Fe 1 +W 1 Rc 1 +Rf 1 Action/Réaction H 1 (k) = H 2 (k 1) P1 Page 68 34

35 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Principe de vérification T dsb,dd ref, d Tdsb,k 110 1,10 T 1,35 T ref T ref, d T dsb,d T dsb,k : valeur caractéristique de l effort déstabilisant T ref,k : valeur caractéristique de l effort d ancrage Page 69 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Cas de plusieurs tirants A B 2 B 3 B 1 écran α 1 α 2 α 3 C 2 C 1 C 3 D Page 70 35

36 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Cas de plusieurs tirants (exemple) A B 1 α 1 Situation 1 α 2 T 2 T 1 α C 2 3 Les trois tirants sont pris en compte T 3 C 1 C 3 D Page 71 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Cas de plusieurs tirants (exemple) A B 2 α 1 Situation 2 α 2 T 2 Seul le tirant 2 est pris en compte α 3 C 2 C 1 C 3 D Page 72 36

37 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Cas de plusieurs tirants (exemple) A B 3 α 1 Situation 3 α 2 T 2 Les tirants 2 et 3 sont pris en compte α 3 C 2 T 3 C 1 C 3 D Page 73 Stabilité du massif d ancrage (Kranz) Résultats : Vérifications ELU / Kranz Page 74 37

38 Contact Merci pour votre attention TERRASOL Pôle Logiciels Immeuble Central Seine 42/52, quai de la Râpée PARIS CEDEX 12 FRANCE Tél : Fax : logiciels@terrasol.com Site Internet : Page 75 38

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment : INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points

Plus en détail

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement

Plus en détail

Essais de charge sur plaque

Essais de charge sur plaque Page No.: 1 L essai de charge sur plaque est exécuté entre autres dans des galeries d exploration ou dans des puits, mais il peut aussi être exécuté à la surface en appliquant un poids mort ou en chargeant

Plus en détail

Problèmes sur le chapitre 5

Problèmes sur le chapitre 5 Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire

Plus en détail

Les mesures à l'inclinomètre

Les mesures à l'inclinomètre NOTES TECHNIQUES Les mesures à l'inclinomètre Gérard BIGOT Secrétaire de la commission de Normalisation sols : reconnaissance et essais (CNSRE) Laboratoire régional des Ponts et Chaussées de l'est parisien

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers

Plus en détail

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS?

COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? COMMENT FAIRE DES ESCALIERS? Conception et mise en œuvre GUIDE TECHNIQUE 2012 Union des Métalliers C O L L E CT I O N R E C H E R C H E D É V E LO P P E M E N T M É T I E R 4 INTRODUCTION 13 PARTIE I GÉNÉR

Plus en détail

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels

Guide de conception. Sécurité incendie des halls industriels Projet mené grâce au financement du programme de recherche Research Fund for Coal & Steel RFS2 CR 2007 00032 Sécurité incendie des halls industriels Guide de conception Sommaire 1. Introduction... 2 2.

Plus en détail

LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES

LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES LES VASES DE LA LOIRE : MODELISATION DE L EFFET DE LA CONSOLIDATION SUR DES INFRASTRUCTURES EXISTANTES THE SILTS FROM THE LOIRE RIVER: MODELLING OF CONSOLIDATION EFFECTS ON EXISTING INFRASTRUCTURE Sébastien

Plus en détail

Le point de vue du contrôleur technique

Le point de vue du contrôleur technique Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle

Plus en détail

Comment insérer une image de fond?

Comment insérer une image de fond? COMMUNICATION VISUELLE Mise en page à l aide d un traitement de texte Comment insérer une image de fond? Image Plein papier ou au Format utile qu est-ce que cela veut dire? La mise en page d un document

Plus en détail

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Voyez la réponse à cette question dans ce chapitre. www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof Une échelle est appuyée sur un mur. S il n y a que la friction statique avec le sol, quel est l angle minimum possible entre le sol et l échelle pour que l échelle ne glisse pas et tombe au sol? www.hometownroofingcontractors.com/blog/9-reasons-diy-rednecks-should-never-fix-their-own-roof

Plus en détail

PROFIS Installation. Module 4: Module 3D Design

PROFIS Installation. Module 4: Module 3D Design PROFIS Installation Module 4: Module 3D Design Ce module de formation est basé sur un cas réel construit en gamme MI. Ce cas permet de présenter toutes les fonctions du module 3D design. 1 Comment utiliser

Plus en détail

Ajustement. Titre l environnement normatif

Ajustement. Titre l environnement normatif Ajustement de Titre l environnement normatif Comité de pilotage Ad AP du 14 janvier 2015 Nantes Présenté par la délégation ministérielle à l accessibilité Eric Heyrman Ministère de l'écologie, du Développement

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian

EPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian 1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul

Plus en détail

ConSolidation de talus en béton

ConSolidation de talus en béton données techniques ConSolidation de talus en béton SolutionS par passion 4 Consolidation de talus en béton 4 Introduction 5 Sols meubles et sols rocheux 5 Types de sols 5 Talus naturels / Glissements

Plus en détail

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement

Plus en détail

Prise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation.

Prise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation. Prise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation. Projet de Fin d Etude Auteur : GODARD Sandy Elève ingénieur en

Plus en détail

NORMES FRANÇAISES. I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public

NORMES FRANÇAISES. I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public NORMES FRANÇAISES I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation et établissements recevant du public II. Garde-corps pour terrasses techniques inaccessibles au public I. Garde-corps pour bâtiments d'habitation

Plus en détail

24h/24 et 7j/7, les cours de formation en ligne sur les logiciels ONAYA

24h/24 et 7j/7, les cours de formation en ligne sur les logiciels ONAYA Disponibles 24h/24 et 7j/7, les cours de formation en ligne sur les logiciels ONAYA sont un un outil idéal de formation rapide sur des thématiques précises. Catalogue des FORMATIONS AQUITAINE INFORMATIQUE

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

ESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%

ESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7% ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S

Concours EPITA 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette BMW K1200S Concours EPIT 2009 Epreuve de Sciences Industrielles pour l ingénieur La suspension anti-plongée de la motocyclette MW K1200S Durée : 2h. Calculatrices autorisées. Présentation du problème Le problème

Plus en détail

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2008 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE POUR CAMPING-CAR

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2008 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE POUR CAMPING-CAR BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SÉRIE SCIENCES ET TECHNIQUES INDUSTRIELLES GÉNIE ÉLECTROTECHNIQUE SESSION 2008 ÉPREUVE: ÉTUDE DES CONSTRUCTIONS Durée: 4 heures Coefficient : 6 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE

Plus en détail

Construire. Statique. Styled by Smou. SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240

Construire. Statique. Styled by Smou. SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240 Construire Statique Styled by Smou SEMA France SARL: 50, avenue d Alsace F-68027 Colmar Tél. +49-8304-939-0 Fax +49-8304-939-240 Manuel d'application - Calcul statique -- Ferme et pannes à devers Page

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Les Cheminements piétons

Les Cheminements piétons Les Cheminements piétons 2 Les cheminements Le cheminement usuel doit être le plus court possible. Il lie entre eux tous les maillons de la vie sociale. Domicile Services publics Écoles Transports Travail

Plus en détail

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile

Muret Laurentien MC. Classique et Versatile Muret Laurentien MC Classique et Versatile Le muret Laurentien par son look classique s agence à toutes nos gammes de pavé. Qualités et caractéristiques Intégration particulièrement harmonieuse du muret

Plus en détail

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE

>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières Terminologie Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie

Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13 42501 Le Chambon Feugerolles Cedex France Tel : 04 77 40 54 38 Fax : 04 77 40 54 41 Mail : securite@somain.fr Fiche technique Ligne de vie SECURIFIL industrie ZI de Monterrat B.P.13

Plus en détail

INBTP-TECHNOBAT-LECON_011

INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 CIRCULATIONS VERTICALES INBTP-TECHNOBAT-LECON_011 1 PROGRAMME LECONS LECON_001 [T] Présentation Notions de Technobat LECON_002 [T] Technobat Tropicale Les classes énergétiques LECON_003 [T] Les matériaux

Plus en détail

Acoustique et thermique

Acoustique et thermique Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule 2. Étude de systèmes constructifs 29 Chapitre 3 Acoustique et thermique 1. Préambule Les bonnes solutions thermiques n améliorent pas forcément l acoustique!

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité : Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite

Plus en détail

Designer d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR. Stair Designer-1

Designer d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR. Stair Designer-1 Designer d escalier GUIDE DE L UTILISATEUR Stair Designer-1 Stair Designer-2 Designer d escalier Le Designer d escalier rend facile la réalisation et la mise en place d escaliers sur mesure dans votre

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

27 cm. 17 cm. Grand Cru. Tuile Grand Moule du Nord 14 tuiles au m 2. Lambert Guiraud. TBF Lahera

27 cm. 17 cm. Grand Cru. Tuile Grand Moule du Nord 14 tuiles au m 2. Lambert Guiraud. TBF Lahera cm 7 cm Tuile Grand Moule du Nord 4 tuiles au m 2 Lambert Guiraud TBF Lahera T u i l e G r a n d M o u l e d u N o r d Coloris : Sablé Bourgogne Vraie richesse des couleurs Proposée en 4 teintes nuancées,

Plus en détail

Note de cours. Introduction à Excel 2007

Note de cours. Introduction à Excel 2007 Note de cours Introduction à Excel 2007 par Armande Pinette Cégep du Vieux Montréal Excel 2007 Page: 2 de 47 Table des matières Comment aller chercher un document sur CVMVirtuel?... 8 Souris... 8 Clavier

Plus en détail

Guide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP

Guide Technique Pour la Charpente de Mur. LSL et LVL SolidStart LP Conception aux états limites LSL et LVL SolidStart LP Guide Technique Pour la Charpente de Mur 1730F b -1.35E, 2360F b -1.55E and 2500F b -1.75E LSL 2250F b -1.5E and 2900F b -2.0E LVL Veuillez vérifier

Plus en détail

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes

Plus en détail

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme * Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats

Plus en détail

Conception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire

Conception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire Octobre 2009 Conception de bâtiments d habitation adaptés aux personnes âgées Aide-mémoire L intégration de personnes âgées ou souffrant d un handicap est une tâche importante de notre société. Les personnes

Plus en détail

Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois

Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Concevoir et réaliser des systèmes constructifs ossature bois Cette vous permettra d appréhender les principes fondamentaux du système constructif ossature bois selon les normes et DTU en vigueur. Elle

Plus en détail

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.

Plus en détail

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS

OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2 CHAPITRE OBLIGATION D INSTALLATION D UN GARDE-CORPS 2.1. CAS GÉNÉRAL L installation d un garde-corps est obligatoire lorsque la hauteur de chute comptée à partir de la zone de stationnement normal (ZSN)

Plus en détail

centre d Etudes techniques maritimes et fluviales Pathologies des ouvrages portuaires : méthodes d investigation

centre d Etudes techniques maritimes et fluviales Pathologies des ouvrages portuaires : méthodes d investigation centre d Etudes techniques maritimes et fluviales Pathologies des ouvrages portuaires : méthodes d investigation Notice n P 08-02 Septembre 2008 AVANT-PROPOS Ce guide, élaboré principalement par l équipe

Plus en détail

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.*

Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* Accessibilité ERP Guide des obligations liées à l accessibilité des personnes handicapées dans les bâtiments ERP existants.* *Application de l arrêté du 21 mars 2007, de l arrêté du 1er août 2006 et de

Plus en détail

VII Escaliers et rampes

VII Escaliers et rampes VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son

Plus en détail

LOT 02 CHARPENTE BOIS / BARDAGE

LOT 02 CHARPENTE BOIS / BARDAGE LOT 02 CHARPENTE BOIS / BARDAGE - page 1/5 LOT 02 CHARPENTE BOIS / BARDAGE IMPORTANT LOT 00 : Les entrepreneurs doivent impérativement prendre connaissance des prescriptions communes (lot 00) ainsi que

Plus en détail

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS

DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS RECO DU COMITÉ TECHNIQUE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS Pose, maintenance et dépose des panneaux solaires thermiques et photovoltaïques en sécurité Guillaume J.Plisson - pour l'inrs Des préconisations

Plus en détail

Archivage des pièces comptables

Archivage des pièces comptables SITEL Archivage des pièces comptables Documentation utilisateurs (comptables) Service informatique et télématique E-mail: hotline.sitel@unine.ch Téléphone : +41 32 718 20 10 www.unine.ch/sitel Historique

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008

Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Introduction Dans

Plus en détail

Nous fabriquons sur mesure selon vos besoins Avantages Caractéristiques générales 17m 7 arrêts 400 Kg 5 personnes 700 x 625mm

Nous fabriquons sur mesure selon vos besoins Avantages Caractéristiques générales 17m 7 arrêts 400 Kg 5 personnes 700 x 625mm Nous fabriquons sur mesure selon vos besoins Ascenseur privatif vertical ayant une vitesse jusqu à 0,15 m/s, conçu pour le transport de passagers aux différents niveaux d un immeuble (résidences individuelles,

Plus en détail

Lexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE

Lexique. -- Lycée GABRIEL -- Architecture et habitat - Argentan - Orne - L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE MINISTÈRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE ACADÉMIE DE CAEN L Y C É E POLYVALENT GABRIEL ARGENTAN Lexique Abside Extrémité d'une église, en demi-cercle ou polygonale, entourant le chœur, où se plaçait le clergé.

Plus en détail

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2. Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3

Plus en détail

Utilisation de l'outil «Open Office TEXTE»

Utilisation de l'outil «Open Office TEXTE» PRESENTATION / FORMATION Utilisation de l'outil «Open Office TEXTE» Présentation générale : OpenOffice Texte est un traitement de texte assez similaire à celui proposé par Microsoft ; il est d'ailleurs

Plus en détail

HUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation

HUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation Janvier 2009 SIMPLE HUMAIN aménager ACCUEILLANT LYON FACILE A TOUS ACCeSSIBLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL ACCESSIBILITE LOGEMENT COLLECTIF Les clés de la réglementation www.lyon.fr Nos enjeux

Plus en détail

ESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES

ESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION

Plus en détail

ACCESSIBILITÉ AFEB COMMISSION PROFESSIONNELLE RECAPITULATIF DES EXIGENCES APPLICABLES AUX ESCALIERS EN BOIS

ACCESSIBILITÉ AFEB COMMISSION PROFESSIONNELLE RECAPITULATIF DES EXIGENCES APPLICABLES AUX ESCALIERS EN BOIS ACCESSIBILITÉ RECAPITULATIF DES EXIGENCES APPLICABLES AUX ESCALIERS EN BOIS Le présent document établi par la Commission Professionnelle de l'afeb récapitule et précise certaines exigences applicables

Plus en détail

EXCEL PERFECTIONNEMENT SERVICE INFORMATIQUE. Version 1.0 30/11/05

EXCEL PERFECTIONNEMENT SERVICE INFORMATIQUE. Version 1.0 30/11/05 EXCEL PERFECTIONNEMENT Version 1.0 30/11/05 SERVICE INFORMATIQUE TABLE DES MATIERES 1RAPPELS...3 1.1RACCOURCIS CLAVIER & SOURIS... 3 1.2NAVIGUER DANS UNE FEUILLE ET UN CLASSEUR... 3 1.3PERSONNALISER LA

Plus en détail

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008)

Examen optimisation Centrale Marseille (2008) et SupGalilee (2008) Examen optimisation Centrale Marseille (28) et SupGalilee (28) Olivier Latte, Jean-Michel Innocent, Isabelle Terrasse, Emmanuel Audusse, Francois Cuvelier duree 4 h Tout resultat enonce dans le texte peut

Plus en détail

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE II Le toit / Leçon 4 : La charpente 19. Voir Leçon 5. 20. Pour les solins, voir p. 38. LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE On s alarme souvent de la courbe d un arbalétrier ou d un entrait

Plus en détail

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation

MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure, normalisation COMITÉ FRANÇAIS DE MÉCANIQUE DES SOLS Journée «HYDRAULIQUE» du 23-01-2002 MESURES DE FAIBLES PERMÉABILITÉS (in-situ et en laboratoire) liées aux projets de décharges: Principales techniques de mesure,

Plus en détail

Lutter contre les virus et les attaques... 15

Lutter contre les virus et les attaques... 15 Lutter contre les virus et les attaques... 15 Astuce 1 - Télécharger et installer Avast!... 17 Astuce 2 - Configurer la protection de messagerie... 18 Astuce 3 - Enregistrer Avast!... 20 Astuce 4 - Mettre

Plus en détail

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

SYSTEME D ALARME. Etude d un objet technique : Centrale d alarme. LP Porte d Aquitaine - Thiviers Page 1/13

SYSTEME D ALARME. Etude d un objet technique : Centrale d alarme. LP Porte d Aquitaine - Thiviers Page 1/13 Etude d un objet technique : Centrale d alarme? Page 1/13 Mise en situation : 1/ Présentation du système : Le nombre de cambriolages étant en constante progression, de nombreux établissements publics,

Plus en détail

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F)

PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) PROGRAMME D HABILETÉS EN FAUTEUIL ROULANT (WSP-F) LIGNES DIRECTRICES POUR LE PARCOURS À OBSTACLES VERSION 4.1 CANADIENNE-FRANÇAISE Les activités d entraînement et d évaluation du WSP-F 4.1 peuvent se dérouler

Plus en détail

Manuel utilisateur. Version 1.6b

Manuel utilisateur. Version 1.6b Manuel utilisateur Version 1.6b Table des matières Table des matières... 2 1. Introduction... 3 a. But de ce document... 3 b. Objet de ce document... 3 c. Remarques et commentaires... 3 2. Premiers pas

Plus en détail

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010

Contenu de la présentation Programme 28.10.2010 Fire Safety Day 2010 28 octobre 2010 - Leuven Note d information technique NIT 238 L application de systèmes de peinture intumescente sur structures en acier Source: Leighs Paints ir. Y. Martin CSTC/WTCB

Plus en détail

II - 2 Schéma statique

II - 2 Schéma statique II - 2 Schéma statique Philippe.Bouillard@ulb.ac.be version 7 septembre 2006 Schéma statique Définition Appuis et liaisons [Frey, 1990, Vol. 1, Chap. 5-6] Éléments structuraux Sans références Les dias

Plus en détail

accessibilité des maisons individuelles neuves

accessibilité des maisons individuelles neuves accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel

Plus en détail

SOLUTIONS COMMANDES À DISTANCE

SOLUTIONS COMMANDES À DISTANCE www.sih.fr DOCUMENT N 54304-06-15 SOLUTIONS COMMANDES À DISTANCE ORGANES DE COMMANDE La mise en place d un dispositif de commandes à distance est un impératif pour le bon fonctionnement d un Système de

Plus en détail

RAPPORT DE CLASSEMENT. RAPPORT DE CLASSEMENT n EFR-14-002348

RAPPORT DE CLASSEMENT. RAPPORT DE CLASSEMENT n EFR-14-002348 Voie Romaine F-57280 Maizières-lès-Metz Tél : +33 (0)3 87 51 11 11 Fax : +33 (0 3 87 51 10 58 n EFR-14-002348 Selon les normes EN 15650 : 2010 et EN 13501-3 : 2007 Concernant Une gamme de clapets type

Plus en détail

Cloisons de distribution Caroplatre

Cloisons de distribution Caroplatre 04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Echafaudages Caractéristiques générales

Echafaudages Caractéristiques générales Echafaudages Caractéristiques générales Mise à jour Octobre 2009 Echafaudage multidirectionnel, multiniveaux 12 7 22 20 14 11 23 21 6 15 13 10 4 5 18 17 16 19 3 9 8 2 1 1 Cale-bois 2 Socle réglable 3 Poteau

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE

KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie :

Plus en détail

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE S.I.C.A. HABITAT RURAL DE LA SAVOIE 40, rue du Terraillet 73190 SAINT BALDOPH Tél. 04 79 33 06 94 Fax 04 79 85 69 92 E-mail : info@sica-hr.com Dossier 1918-2011 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE ST OFFENGE CREATION

Plus en détail

SALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO

SALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO SALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd expérience sur les cogénérations du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO GEG Profil d entreprise Une société anonyme d économie mixte locale

Plus en détail

UNE TECHNOLOGIE INNOVANTE AUX MULTIPLES APPLICATIONS Rapide Économique Écologique Sans béton

UNE TECHNOLOGIE INNOVANTE AUX MULTIPLES APPLICATIONS Rapide Économique Écologique Sans béton www.krinner.ch BÂTIMENTS TEMPORAIRES ET CONSTRUCTIONS MODULAIRES SIGNALISATION ET PUBLICITÉ MOBILIER URBAIN CLÔTURES CONSTRUCTION BOIS UNE TECHNOLOGIE INNOVANTE AUX MULTIPLES APPLICATIONS Rapide Économique

Plus en détail

>I Maçonnerie I Escaliers

>I Maçonnerie I Escaliers ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale

Plus en détail

RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I

RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES. Ecole de MIRANGO I RAPPORT MISE A L ACCESSIBILITE DE 6 ECOLES PRIMAIRES Ecole de MIRANGO I Vincent DAVID Le 21 décembre 2010 Table des matières 1- Les outils d accessibilité principalement utilisés 1-1 Les rampes d accès

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2B RENDRE MON RESTAURANT ACCESSIBLE

KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2B RENDRE MON RESTAURANT ACCESSIBLE KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2B RENDRE MON RESTAURANT ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie

Plus en détail