D epuis 2007, la FNOSAD

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1 Tests efficacité 2011 Médicaments AMM de lutte contre varroa par Jérôme VANDAME D epuis 2007, la FNOSAD coordonne des tests d efficacité des médicaments disposant d une Autorisation de Mise sur le Marché pour lutter contre l acarien Varroa destructor. Ces tests qui impliquent une forte mobilisation des apiculteurs ont été réalisés sur un total de 341 colonies réparties dans 17 dé - par tements de France métropolitaine. À l image de ce qui a été constaté lors des exercices précédents, les résultats font état d une importante hétérogénéité entre les régions, les ruchers mais Protocole

2 également au sein même d un rucher. Si cette hétérogénéité plaide en faveur d une grande vigilance dans l interprétation des résultats, il apparaît néanmoins que certaines solutions thérapeutiques procurent des résultats plus satisfaisants que d autres. Un protocole qui devra évoluer Simplifié à partir de 2010, le protocole impose aux apiculteurs de réaliser le traitement au moyen de la solution thérapeutique testée à l issue de la récolte de miel soit entre août et septembre. À l issue du traitement (10 se - maines pour Apivar, 8 semaines pour Apistan, ApiLife Var, Thymovar et Apiguard), du retrait des lanières, barquettes, plaquettes et d un temps de latence de 8 jours, les apiculteurs doivent procéder à un traitement de contrôle au moyen du médicament Taktic, par la méthode à froid dite d «évaporation» avec un minimum de 2 applications à 4 jours d intervalle. Facultativement, il était également proposé qu un traitement de contrôle par un dégouttement d une solution d acide oxalique soit entrepris. Ce protocole allégé tient compte des constats réalisés en 2009 qui avaient mis en évidence que, sur 105 colonies traitées à l Apivar, plus de 80 % des varroas résiduels étaient tombés au cours des deux premiers traitements de contrôle avec le Taktic sur un total de 3 ou 4 traitements de contrôle (3 traitements Taktic ou 3 traitements de Taktic + traitement acide oxalique). Cette simplification qui vise à augmenter le nombre de tests d efficacité, devra toutefois évoluer afin de répondre aux standards des tests d efficacité de l agence européenne du médicament vétérinaire (cf. article p. 289). Répartition des tests d efficacité par médicament. 278

3 Des tests réalisés sur un dispositif de 341 colonies Les cinq médicaments disposant d une AMM pour la lutte contre varroa ont été distribués et mis en test sur plus de 400 colonies après la récolte de l été Après analyse des résultats reçus, il ressort que le protocole a été respecté pour 341 colonies, à savoir 198 colonies testées avec Apivar, 71 colonies testées avec ApiLife Var et 46 colonies testées avec Apistan. Les résultats obtenus pour les médicaments Apiguard et Thymovar ne seront pas présentés ci-dessous en raison du nombre trop faible de colonies sur lesquelles ont porté les tests. réparties dans 17 départements La répartition géographique des tests d efficacité montre une bonne participation des OSAD de plusieurs départements des régions Bretagne, Normandie, Rhône-Alpes et de un ou deux départements d Auvergne, de PACA, de Bourgogne, de Picardie et de Poitou-Charentes. Il doit être souligné que, malgré la plus forte participation des apiculteurs aux tests coordonnés par la FNOSAD, il reste de nombreuses régions du Nord-Est et du Sud-Ouest de la France non couvertes (cf. carte p. 280), alors même que les contextes climatiques et les spécificités locales entraînent probablement des réponses différentes en terme d efficacité et de nombre de varroas résiduels. En 2011, une infestation plus forte que les 3 dernières saisons Ne disposant pas de méthode de mesure non destructive permettant de dénombrer précisément les varroas dans les colonies à un moment donné, il faut se contenter des niveaux d infestation calculés par addition des varroas comptés pendant le traitement et pendant le traitement de contrôle. Ce niveau d infestation est bien entendu approximatif puisqu il s agit d un cumul des chutes de varroas pendant toute la durée du traitement. Il intègre donc des varroas issus de reproduction et de ré-infestation. En outre, ce chiffre n intègre pas les varroas qui auraient pu se protéger contre les traitements acaricides et sous-évalue en conséquence le nombre d acariens dans les colonies. Néanmoins, cet indicateur, permet de comparer la pression parasitaire entre les différentes années et entre les différents ruchers. Atteignant en moyenne varroas sur les 341 colonies suivies en 2011, le niveau d infestation est important, nettement plus que celui des trois dernières années (respectivement en 2010, en 2009 et en 2008). mais très hétérogène Si elle est élevée en 2011, l infestation des colonies par varroa reste très 279

4 Tests d efficacité 2011 : nombre de colonies par département. Département Nb de tests Répartition par départements. 280

5 hétérogène, comme le met en évidence l écart type (2 285). La configuration est donc proche de celle constatée en 2007 avec un pourcentage à peu près équivalent de colonies pour lesquelles l infestation soit ne dépasse pas 500 varroas, soit dépasse varroas. Signalons en particulier que pour 5 colonies toujours actives à l issue des tests, il a été dénombré plus de varroas. Le graphique ci-dessous illustre le caractère hétérogène de la distribution des colonies concernant ce taux d infestation, quelles que soient les années. La particularité de la saison 2011 repose dans le fait qu il yaun important pourcentage de colonies dans les classes de varroas élevés: respectivement 24 % et 13 % dans les classes «2000 à varroas» et «Supérieur à varroas». Ce profil moyen masque d importantes disparités au niveau départemental. Si l on retrouve également un pourcen - tage important de colonies dans les clas - ses d infestation élevée dans les départements des Bouches-du-Rhône, de l Ardè - che, du Finistère, de l Orne et du Puy-de- Dôme, ce n est pas le cas de départements voisins de certains listés précédemment. Ainsi par exemple dans le département de la Drôme (contigu de celui de l Ardèche), moins de 500 varroas ont été dénombrés sur plus des 2/3 des colonies. De même, en Lozère, près de la moitié des colonies testées avaient des infestations inférieures à 1000 varroas. Signalons par ailleurs et comme les années précédentes que l hétérogénéité des niveaux d infestation peut se retrouver au sein d un même rucher sur lequel les tests d efficacité ont été réalisés, alors même que par ailleurs les colonies choisies ont des profils similaires et des conduites homogènes. Hétérogénéité de l infestation. 281

6 Répartition des colonies par classe d infestation dans les départements participants. Ce constat met en évidence la difficulté du traitement du varroa et souligne la nécessité de surveiller les niveaux d infestation par le varroa des populations d abeilles à l issue du retrait des médicaments, pour être en mesure, en cas de forte pression parasitaire, d entreprendre un traitement complémentaire. Une efficacité pas toujours suffisante L efficacité des médicaments de lutte contre le varroa est appréciée par deux critères: k Le pourcentage de varroas détruits: il s agit du rapport entre le nombre de varroas tombés à l issue du traitement et le nombre total de varroas. Ce critère, qui sera dénommé «effica - cité» dans la suite de l article, n est pas suffisant, puisqu en cas d une forte infestation de varroas, un pourcentage d efficacité important laissera un nombre de varroas potentiellement dangereux pour la colonie. C est pourquoi le second critère d appréciation de l efficacité du traitement est également nécessaire. k Le nombre de varroas résiduels: ce sont les varroas tombés lors du traitement de contrôle. Au-delà du seuil de 50 varroas résiduels, les dommages causés par le parasite et les virus dont il est le vecteur sont tels que la colonie risque de 282

7 souffrir, voire de s effondrer avant le prochain traitement contre varroa. L analyse des résultats du premier critère d efficacité obtenus avec les trois médicaments Apivar, Apistan et ApiLife Var laisse entrevoir de grandes différences. Une bonne efficacité d Apivar pour plus de 2 colonies sur 3 Avec 77 % des colonies pour lesquelles l efficacité dépasse 95 % et 70 % pour lesquelles le seuil de 50 varroas n est pas dépassé à l issue du traitement, Apivar reste le médicament vétérinaire qui présente la meilleure efficacité pour lutter contre le varroa et qui permet d obtenir une efficacité moyenne de 98 % à l issue de 70 jours de traitement. Toutefois, face à ce résultat moyen qui paraît satisfaisant, il est important de mettre en exergue plusieurs points: s Sur les 198 colonies du dispositif de test du médicament Apivar en 2011, le taux d efficacité du médicament n a pas atteint le seuil de 95 % dans 23 % des cas, soit 45 colonies. Tenant compte du fort niveau d infestation des colonies par le varroa au cours de l été 2011, ce sont 60 colonies qui, à l issue du traitement, comptaient plus de 50 varroas résiduels et qui n étaient pas suffisamment protégées par une monothérapie. s Les résultats doivent être mo - dulés suivant les départements. Ainsi dans les départements bretons, le taux d efficacité était supérieur à 95 % pour 8 colonies sur 10 alors qu en Lozère et en Seine-Maritime, ce taux ne concernait que respectivement 44 % et 60 % des colonies. À noter aussi que l efficacité mesurée sur les 7 colonies mises en test en Savoie, n a pas dépassé 80 %. s La courbe cinétique de chute montre que l efficacité moyenne de Apivar: 198 colonies Efficacité Varroas résiduels Répartition des colonies par classe d efficacité et de varroas résiduels pour les tests réalisés avec Apivar. 283

8 Évolution de l efficacité d Apivar au cours des 70 jours de traitement. 98 % n est atteinte qu à la dixième semaine de traitement. Après six semaines de traitement (durée minimale d application prévue dans le cadre de l AMM), l efficacité moyenne atteint tout juste 80 %. Cela signifie que durant toute la période de traitement, les colonies subissent un haut niveau de parasitisme ce qui souligne l importance d entreprendre des traitements précoces. Avec Apistan, une efficacité satisfaisante dans moins d 1 cas sur 2 Les résultats obtenus en 2011 avec le médicament Apistan confortent ceux observés lors des exercices précédents à savoir: u Moindre efficacité qu avec Api - var: à l issue des 8 semaines de traitement, la valeur moyenne obtenue sur les 46 colonies testées est de 90 %. u De façon plus détaillée, l illustration page 285 montre qu une effica - cité supérieure à 95 % n a été obtenue que pour 54 % des colonies ce qui se traduit par le fait qu à l issue de la pé - riode d application de 8 semaines, 26 co lonies ont plus de 50 varroas rési - duels (soit 57 % des colonies). Cela met clairement en évidence que, si Apistan reste une alternative précieuse au traitement à base d Apivar, dans les départements où le tau-fluvalinate n a pas été utilisé depuis 3 ou 4 ans, son emploi implique un suivi très rigoureux et la nécessité d envisager un traitement complémentaire en tout début de saison apicole. 284

9 Apistan: 46 colonies Efficacité Varroas résiduels ApiLife Var: 58 colonies Efficacité Varroas résiduels Répartition des colonies par classe d efficacité et de varroas résiduels pour les tests réalisés avec Apistan et ApiLife Var. ApiLife Var, des résultats nettement moins satisfaisants qu en 2010 Concernant les résultats obtenus avec le médicament ApiLife Var, force est de constater qu ils sont nettement moins satisfaisants que ceux observés en Ainsi si l on tient compte des 58 colonies sur lesquelles 4 applications d ApiLife Var ont été réalisées 1 : ^ L efficacité moyenne calculée est proche de 88 %. ^ Ce sont donc 59 % des colonies pour lesquelles ApiLife Var ne permet pas de détruire plus de 95 % des varroas. Soulignons que l efficacité n a pas même dépassé 80 % pour 10 des 15 colonies testées en Saône-et-Loire et pour 7 des 14 colonies testées dans la Drôme. ^ En conséquence le seuil de 50 varroas résiduels est dépassé dans une très grande majorité des colonies mises en test avec ApiLife Var (67 % des 58 1 Pour 13 colonies du dispositif, seules 3 applications d ApiLife Var ont été réalisées, en raison d un niveau d infestation qui restait élevé à l issue des 3 applications et qui laissait craindre pour la survie des colonies. 285

10 colonies qui ont reçu 4 applications ApiLife Var). Ces résultats doivent être relativisés au regard de la forte infestation des colonies notée cette année, ce qui peut expliquer la situation nettement moins satisfaisante que celle constatée en En outre, comme signalé précé - demment, sur 13 colonies, les tests ont été réalisés avec 3 applications d Api - Life Var seulement alors que les conseils d utilisation inscrits sur l emballage stipulent la réalisation de «3 ou 4 passages pour un traitement complet». La réalisation d une quatrième application aurait probablement amé - lioré le niveau d efficacité globale, mais en l occurrence, les apiculteurs inquiets face au nombre de varroas résiduels constatés à l issue de la troisième application, ont souhaité organiser le traitement de contrôle à base Taktic au plus vite. Rapidité et durée d action des traitements Les courbes cumulant les chutes moyennes de varroas tout au long des traitements mettent en évidence des différences de cinétique. Ainsi l action des médicaments Apistan et ApiLife Var est plus efficace que celle d Apivar pendant les 5 et 7 premières semaines respectivement. Après ces temps d applications, les 2 médicaments perdent en efficacité et approchent le seuil de 90 % d efficacité, sans le dépasser. Apivar, par contre, reste efficace audelà de la septième semaine et jusqu à la dixième semaine pendant - laquelle une chute moyenne de 50 varroas est encore comptabilisée. Évolution de l efficacité des traitements Apivar, Apistan et ApiLife Var. 286

11 Évaluer le taux d infestation des colonies Les résultats des tests d efficacité réalisés en 2011 mettent à nouveau en évidence qu aucune solution thérapeutique de lutte contre le varroa n est tout à fait satisfaisante permettant de protéger rapidement l ensemble des colo - nies traitées contre le varroa et ses effets pathogènes. Néanmoins le recours aux cinq médicaments AMM disponibles sur le marché français reste indispensable pour limiter la pression parasitaire de l acarien par un traitement approprié en fin d été. Dans les semaines qui suivent le retrait des médicaments, il est aussi important de surveiller le niveau d infestation des colonies par le varroa et d organiser un traitement complémentaire, dès lors que la pression du varroa est trop importante 2 et préjudiciable pour la colonie. Tenant compte des résultats présentés précédemment, il est vraisemblable que l utilisation des médicaments Apistan, ApiLife Var, mais également des médicaments Apiguard et Thymo var, impliquent une stratégie de lutte bithérapeutique, conduisant les apiculteurs à entreprendre un nouveau traitement contre le varroa en période hors couvain ou au début du printemps. Les tests d efficacité 2012 La FNOSAD remercie vivement les 17 OSAD et les nombreux apiculteurs qui ont contribué à réaliser les tests d efficacité en 2011, ce qui permet d avoir une idée plus précise concernant l impact des médicaments AMM sur l acarien Varroa destructor. Les remerciements de la FNOSAD vont également vers les entreprises Véto-Pharma, Vita Europe et Chemicals Laïf pour leur contribution dans la défi nition des protocoles et la fourniture des médicaments testés. En 2012, la FNOSAD organisera à nouveau des tests d efficacité des médicaments AMM en tenant compte d une part des résultats obtenus concernant la résistance du varroa aux subs - tances actives acaricides et d autre part des lignes directrices proposées par l Agence Européenne du Médicament au sujet de l efficacité des médicaments de lutte contre Varroa destructor (cf. article p. 289). Vous serez donc à nouveau sollicités pour participer aux tests réalisés en fin d été Vous pouvez dès à présent vous manifester auprès des coordinateurs de la FNOSAD pour notifier votre intérêt pour la participation à ces tests. n 2 Voir l article Évaluation du taux d infestation LSA 243 pp

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