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1 La Revue Gesion e Organisaion 5 (2013) Conens liss available a ScienceDirec ScienceDirec journal homepage: Règle de Taylor dans le cadre du ciblage d inflaion : cas de la Tunisie Amiri Kaouher a, Talbi Besma b a Amiri Kaouher. Faculé des sciences économiques e gesion de Tunis, Universié El Manar. E mail : amirikaouher1@yahoo.fr b Talbi Besma. Ecole polyechnique de Tunisie, Universié 7 novembre Tunisie. E mail : besmaalbi@yahoo.fr A R T I C L E I N F O Aricle hisory: Received 30 Ocober 12 Acceped 28 June 13 Keywords: Ciblage d inflaion, Règle de Taylor sous la version dynamique, Règle de Taylor sous la version saique, Eude de saionnarié, L hééroscédasicié e l auocorrélaion des résidus. R É S U M É La sraégie de ciblage d inflaion es créée pour oriener la poliique monéaire vers la sabilié des prix. Elle dépend du degré d indépendance de la banque cenrale e de sa disposiion à éloigner ou ype d inerférences suscepibles d exprimer des pressions inflaionnises qui compliqueraien la gesion de la sraégie de ciblage. L insrumen de conduie de la poliique monéaire présené par Taylor suggère que la banque cenrale me en relaion le aux d inérê de cour erme avec l inflaion e le cycle économique. Cee règle es considérée comme un moyen adéqua de conduie des poliiques économiques. Nous allons esimer la règle de Taylor sous la version saisique puis la version dynamique afin de déerminer quelle spécificaion représene mieux la poliique menée par la banque cenrale de la Tunisie e conclure si cee banque ajuse graduellemen son aux d inérê xxxxxxxx. Holy Spiri Hosing Universiy by Elsevier of Kaslik. B.V. Hosing All righs by Elsevier reserved. B.V. All righs reserved. 1. Inroducion Le ciblage de l inflaion es une poliique monéaire qui prend pour principal objecif le conrôle de l'inflaion. En fai, l origine de l inflaion es aribuée à l excès de liquidié. Si la monnaie en circulaion augmene, les agens économiques augmenen leurs demandes de biens e de services. Si cee demande ne s accompagne pas d une augmenaion de producion, les prix haussen. Ainsi, beaucoup de ravaux de recherche on éé élaborés sur des variables pour sabiliser les prix. La plupar de ces ravaux se son concenrés sur le aux de change. En effe, enre la fin de la seconde guerre mondiale e le débu des années 70, le sysème de change fixe éabli par Breon Woods ( ) créai la maîrise de l inflaion aux Eas-Unis. C es le poin d ancrage de la sabilié des prix dans les aures pays. Après l effondremen de ce sysème enre 1971 e 1973, quelques pays y compris la plupar des pays en développemen, on coninué à appliquer un aux fixe.ils son servi pour maîriser l inflaion, en raachan leur monnaie à la monnaie d un aure pays à faible inflaion. Cee poliique présene ceraines difficulés. En effe, il es devenu plus difficile de saisfaire aux condiions nécessaires pour mainenir un aux de change fixe en raison de la croissance de l insabilié des flux des capiaux duran les dernières années, comme en émoignen les crises monéaires des années 90. En oure, cee sraégie limie la capacié de réacion de la banque cenrale face aux chocs. D aure par, d aures pays don la plupar des pays indusrialisés, on adopé un aux de change flexible. La règle de Taylor peu êre uilisée pour l évaluaion des poliiques monéaires ulérieures e pour la déerminaion des poliiques fuures. Elle monre une hausse du aux quand le aux d inflaion es au-dessus de son niveau cible e une baisse en cas de récession. Ainsi, la ransparence du ciblage de l inflaion encourage le cadre d efficience e donne une marge Corresponding auhor. Tel.: ; fax: address: besmaalbi@yahoo.fr Peer review under responsibiliy p y of Holy Spiri Universiy of Kaslik /$ see fron maer 2013 Holy Spiri Universiy of Kaslik. Hosing by Elsevier B.V. All righs reserved. hp://dx.doi.org/ /j.rgo

2 La Revue Gesion e Organisaion 5 (2013) à la poliique monéaire pour qu elle puisse agir dans un sens large. De même, il fau signaler aussi que, la réussie d une sraégie de ciblage d inflaion dépend de manière imporane du degré d indépendance de la banque cenrale dans la conduie de la poliique monéaire. Ceci n implique pas une auonomie complèe (insrumens e objecifs) mais nécessie que les auoriés monéaires soien capables de raier libremen leurs insrumens pour réaliser les objecifs fixés. Ainsi, à parir de ces informaions, nous allons déerminer la naure de la règle qui reflèe le comporemen de la banque cenrale de la Tunisie en cas de ciblage d inflaion duran la période de janvier 2006 à Décembre 2012.Auremen di, l objecif de ce ravail es de déerminer si la banque cenrale de la Tunisie prend en considéraion les flucuaions du aux de change pour conduire sa poliique du ciblage d inflaion. En fai, le recours à l esimaion des foncions de réacion de ype de Taylor es dû à plusieurs raisonnemens. D une par, ces foncions prévoien le changemen de l insrumen poliique monéaire de la banque cenrale. D aure par, dans le conexe des modèles macroéconomiques, les foncions des réacions présenen un élémen imporan dans l évaluaion des poliiques des banques cenrales e dans l évaluaion des effes des chocs économiques. Nore objecif es de déerminer la règle opimale de ype Taylor e les variables qui doiven apparaîre dans cee règle dans le cas de l économie unisienne pour la conduie de la poliique économique. Ensuie, pour déerminer la règle opimale de conduie de la poliique économique, il s agi d esimer la règle de Taylor radiionnelle. C'es-à-dire en foncion du aux d inérê d équilibre, de l inflaion courane, de l écar d inflaion e du gap de producion sur des données annuelles duran la période 1988 à La sraégie de ciblage d inflaion Cee sraégie nécessie la présence d une relaion sable enre l inflaion e les insrumens de la poliique monéaire. Les auoriés monéaires doiven donc êre capables de préciser la dynamique de l inflaion e de générer des prévisions assez perinenes pour pouvoir servir dans le processus de décision. Elles doiven aussi disposer d insrumens efficaces pour influencer les variables macroéconomiques. Cependan, la valeur de référence de la cible d inflaion es un indicaeur rès imporan de la sraégie de ciblage d inflaion. Pour déerminer la cible d inflaion adéquae, les auoriés monéaires doiven commencer par éablir la sabilié des prix. [2] suggère un aux d inflaion faible e supérieur à zéro, an que l objecif d inflaion perme de garanir la sabilié des prix. [10] considère aussi qu un aux d inflaion compris enre 0 e 3% es préférable. D aures économises ajouen qu une cible d inflaion de 2% es ou à fai logique e que ous les pays, qui on publié des cibles d inflaion, on opé pour des aux légèremen supérieurs à zéro afin de enir compe des biais de mesure conenus dans l inflaion mesurée par les indices des prix à la consommaion. Avec la présenaion des sraégies de ciblage d inflaion parmi les pays émergens, la héorie économique ne concerne plus le régime de change opimal, mais la poliique monéaire opimale. Dans un régime de floemen, même si elle vise un ciblage de l inflaion, la poliique monéaire d un pays émergen doi enir compe des évoluions de aux de change. Nous pouvons dire que cee règle es une exension des éudes de [1]. Ils on monré l avanage permanen d'une cible réduie en maière d'inflaion. Par exemple, l'affaiblissemen des disorsions créées par l'élévaion du niveau des prix, dans un conexe où la plupar des insiuions (juridiques, conracuelles, fiscales, compables, ec.) prévoien une unié de compe sable. Ces disorsions son dues aux faceurs suivans : Les coûs créés par la modificaion des prix. La confusion qui exise enre les aux d'inérê réels e nominaux. Le recours généralisé aux valeurs nominales pour la présenaion des résulas financiers. Bien que la diminuion de ces disorsions réside dans: réducion du nombre d'opéraions financières réalisées en raison de la confusion des aux d'inérê réels e nominaux. décroissance de la variabilié des prix relaifs e de l'asymérie des modificaions de prix aribuable aux coûs enraînés par la modificaion des prix. augmenaion du nombre de ransacions réalisées sur des prix relaifs qui reflèen davanage les variables fondamenales. décisions d'invesissemen en capial fixe plus judicieuses de la par des enreprises. réducion des ressources consacrées à la prise en compe de l'inflaion e à la proecion conre celle-ci. meilleure affecaion économique des ressources en général e, par conséquen, élévaion du niveau de bien-êre économique. Malgré le caracère cerain de chacun de ces avanages, il s'es avéré difficile de les quanifier ou de les démonrer dans la praique. Cee difficulé a éé soulignée par [11]. Force es de reconnaîre qu'il n'a pas encore éé éabli de façon convaincane que les avanages d'une cible réduie en maière d'inflaion son suffisammen imporans pour jusifier le passage à une cible inférieure. De façon simple, le es de la règle de Taylor consise à vérifier si l évoluion des aux de cour erme peu êre reliée à des variables économiques fondamenales supposées influencer le niveau du aux d inérê. Lorsque les écars enre les aux observés e les aux calculés suivan la règle de Taylor son faibles voire nuls, la règle esimée peu êre considérée comme robuse. Touefois, d un poin de vue opéraionnel, la règle de Taylor ne peu êre appliquée de façon auomaique par les auoriés monéaires. Elle peu, cependan, êre uilisée comme un insrumen addiionnel à prendre en compe dans la marice des variables de décision de la Banque Cenrale Problème de la mesure des variables requises pour le calcul de la règle de Taylor En effe, l esimaion de la règle fai apparaîre cerains problèmes liés à la déerminaion de ceraines variables. L oupu poeniel es une variable inobservable. Pour l esimaion de cee variable, de nombreuses éudes on éé menées pour abouir à la meilleure méhode économérique permean une esimaion opimale de cee variable. Parmi les mesures d esimaion de l oupu poeniel adopé dans ceraines éudes nous disinguons les filres HP, les endances polynomiales (quadraique ou cubique) e l esimaion par modèle à composane inobservable (filer de Kalman). En oure, il exise plusieurs alernaives de déerminaion de l inflaion (elles que l uilisaion du GDP deflaor ou l uilisaion de l indice du prix à la consommaion ). Afin de ne enir compe pour le calcul du aux de Taylor à la dae que des données disponibles à cee dae, on reien la formule suivane : R R ( ) ( y y ) u (1) Où p lissée( 1) es le aux d inflaion calculé grâce à un lissage exponeniel du aux de croissance de l indice des prix à la consommaion.

3 178 La Revue Gesion e Organisaion 5 (2013) De façon générale, la règle de Taylor es rès sensible aux différens paramères requis pour son calcul. De même, Taylor n esime pas l équaion mais il me en place quelques hypohèses à ce modèle linéaire. Le niveau de la cible d inflaion p cible es supposé égal à 2%, le aux d inérê réel d équilibre es supposé égal à 2%. Taylor considère sa règle comme éan rès simple (réduisan les invesigaions économériques), mais en même emps, elle es capable de saisir les élémens esseniels des régimes que les banques cenrales prédisen e de relier les insrumens poliiques aux siuaions réelles des économies. 2. Les enjeux de la poliique monéaire en Tunisie Depuis 1987, les auoriés monéaires unisiennes on mis en oeuvre les prémisses d une poliique endan à assurer les exigences de la croissance économique e de la maîrise des pressions inflaionnises. La Tunisie a créé cee poliique sur la réforme du seceur financier. Cee réforme a consisé à modifier à la fois le cadre réglemenaire des aciviés financières inérieures e la conduie de la poliique monéaire [5]. En 1988, la réforme du sysème financier a commencé par la libéralisaion des aux d inérê e l éliminaion progressive des conrôles exercés sur le volume e la composiion des crédis. La libéralisaion de aux d inérê n a pas engendré des flucuaions ; ils son resés sables. En fai, la poliique monéaire en Tunisie a connu des muaions rès profondes. Le principal objecif des auoriés a consisé à remplacer les insrumens direcs e discréionnaires par des inervenions sur le marché monéaire ; comme elle a adopé un disposiif de ciblage de la monnaie au sens large (M3) don la cible opéraionnelle es la monnaie cenrale. En 2010, le conseil d adminisraion de la BCT a décidé de poursuivre l adopion d une poliique monéaire visan la maîrise de l inflaion, ou en assuran le financemen adéqua de l économie pour le mainien inchangé du aux d inérê direceur de la BCT, e de coninuer le suivi de l évoluion de la conjoncure inernaionale e ses évenuelles répercussions sur l économie naionale e l équilibre de la balance des paiemens, en pariculier. Pour déerminer la règle opimale de conduie de la poliique économique, il s agi, ou d abord, d esimer la règle de Taylor radiionnelle. C'es-àdire en foncion du aux d inérê d équilibre, de l inflaion courane, de l écar d inflaion e du gap de producion sur des données annuelles de la Tunisie duran la période de 1987 à L équaion ou la règle sera: R R ( ) ( y y ) u À parir de cee esimaion, nous allons conclure si la règle Taylor radiionnelle explique la poliique menée par la banque cenrale de la Tunisie ou bien, si elle adope d aure règle de ype Taylor. C es-à-dire, si nous concluons que le modèle représenan la règle de Taylor radiionnelle n es pas rop explicaif (R 2 es faible), nous passons à esimaion des modèles de ype Taylor (foncions de réacions de la banque cenrale). Nous essayons d esimer deux ypes de foncions des réacions de ype Taylor, l une sous une version saique e l aure sous une version dynamique. La deuxième équaion perme d inroduire le erme de lissage ou d ajusemen pariel du aux d inérê. Dans le bu de vérifier si la banque cenrale de la Tunisie ajuse graduellemen son aux d inérê afin de préserver une ceraine crédibilié au sein de sa poliique. (2) Ainsi, nous allons comparer ces deux foncions à l aide des crières des Akaike e Schwarz pour savoir quel es le modèle opimal à garder e donc qui représene mieux la siuaion économique. La règle dynamique à esimer s écri comme sui : R R y y )] u 1 (1 )[ R ( ) ( (3) Avec ρ es le coefficien d ajusemen pariel du aux d inérê réel. Dans ce cadre, nous pouvons dire que la foncion de réacion es en foncion des données couranes d inflaion e d oupu gap. Elle es décrie en ermes d ajusemen pariel du aux d inérê. Mais, vu des criiques avancées, nous allons esimer la règle de Taylor sous la version Forward-Looking. Auremen di, il fau remplacer les données de l inflaion courane e de l oupu couran par leurs prévisions. Dans ce cas, la règle à esimer es la suivane : i i (1 )[ E( ) ( y y)] 1 4) Nous allons vérifier la règle de Taylor qui reflèe mieux le comporemen de la banque cenrale de la Tunisie. Nous essaierons de vérifier une nouvelle hypohèse e voir si cee banque cenrale prend en considéraion les flucuaions du aux de change. L équaion à esimer es celle de Lubik e Schorfeide qui on apprécié le rôle du aux de change au sein des poliiques monéaires menées par la nouvelle Zélande, l Ausralie, l Angleerre e le Canada. Nous allons l appliquer dans le cas de la Tunisie. Dans ce cas la règle à esimer es la suivane : R R 1 ( 1 )[ ( 1) ( y y) u Les variables son : le aux d inérê du marché monéaire, le produi inérieur bru, le aux de change réel effecif, l indice du prix à la consommaion, l inflaion cible, e le aux d inflaion anicipé.par ailleurs, d aures variables son à consruire els que : le aux d inérê d équilibre, le gap de producion e d inflaion. Les données son prises de la base des données de l insiu du fond monéaire inernaionale (FMI). L oupu gap L oupu gap es la variaion du logarihme de l oupu observé de sa endance poenielle. Oupu gap = 100 (oupu réel / esimaion de l oupu poeniel) Cee variable es une mesure de la performance économique e du développemen financier. Elle es une variable non observable que nous allons déerminer au cours de cee éude par la méhode de filrage de Hodrick e Presco (HP Filer). Cee méhode aboui à une bonne esimaion de l oupu poeniel car elle perme de minimiser les flucuaions auour de sa composane endancielle. Ensuie, nous allons abouir à la méhode de HP Filer pour consruire l oupu poeniel. Une fois cee variable es déerminée, nous déerminons en moyenne l oupu gap de l équaion (1) ci- dessus. Cee méhode de HP aboui à une série saionnaire e effecuan le es de saionnarié, ce qui conclu que la série de l oupu gap es saionnaire. (5)

4 La Revue Gesion e Organisaion 5 (2013) Fig.1 : Taux de croissance du PIB Cee figure représene le aux de croissance du PIB duran la période de 1990 à La croissance du PIB s'es accélérée, passan de 1.77 % en 2002 à 5,07 % en 2006 grâce à l augmenaion de la producion agricole, à l'expansion de l'indusrie manufacurière hors exile e à l'essor des services. La croissance robuse des revenus e l'abondance de liquidié on simulé la demande inérieure. Duran les deux dernières années, l'économie unisienne a monré une grande capacié d'adapaion face à la monée des cours du pérole e à d aures maières premières imporées, affichan ainsi une croissance relaivemen fore ou en mainenan la sabilié macroéconomique. Cee gesion efficiene de l'économie a permis d'assurer une croissance relaivemen fore ou en préservan la sabilié macroéconomique plaçan par la même la Tunisie parmi les pays les plus performans de la région. Cee performance a éé reconnue par les insances inernaionales comme le Forum de Davos qui a classé en 2007 la Tunisie comme le pays le plus compéiif de la région. Mais, en 2009, la présence d une chue brusque 3,13% en 2009 e 3,7% en 2010 par rappor aux aures années, le ryhme de croissance économique dans le pays a enregisré une nee baisse au cours du premier rimesre de l'année L inflaion Des poliiques monéaires on défini l inflaion comme le pourcenage du changemen annuel de l indice du prix à la consommaion: IPC. Fig.2 : Évoluion mensuelle du aux de l inflaion L'inflaion a éé maîrisée après avoir connu un sursau en mois d Aoû 2006 (4.490%) du fai de la monée des cours inernaionaux du pérole, des périodes d'excédens de liquidié e de déérioraion des ermes de l'échange. Cependan, elle s'es rapidemen reculée suie au resserremen monéaire fai par la Banque Cenrale de Tunisie (BCT), pour descendre à 2 %, en glissemen annuel, en mois de Mai Les perspecives on éé posiives en 2007: la croissance du PIB réel s es s'accélérée pour passer à environ 5 % en 2007, noammen en raison d'une expansion du seceur agricole e d'une reprise du seceur exile. Cee accéléraion de la croissance es confirmée par une fore croissance des imporaions de biens d'équipemen e de maières premières en fin de 2006 e au débu de Malgré cela, l'inflaion moyenne annuelle a avoisiné 3 % bien que le solde budgéaire ai peu changé par rappor à 2006, le solde exérieur s es un peu creusé en 2007, suie à une légère augmenaion du défici des ransfers courans. Comme, nous pouvons indiquer d après le graphique que la variaion moyenne de l indice des prix à la consommaion pour le deux derniers mois de 2011 es de 4,43% e 4,17% respecivemen, en comparaison avec la fin du mois de Février 5,15%, la endance de l inflaion a éé haussière oue l année Le aux d inérê Le aux moyen du marché monéaire consiue la référence pour les banques dans la déerminaion de leurs aux d inérê débieurs e crédieurs. Les aux d inérê son libremen fixés par les banques. Duran la fin de 1994 e au débu de 1995, le aux du marché monéaire es en moyenne de 8%. Par la suie, nous remarquons que le aux d inérê diminue de 8%à presque 5%. La banque cenrale de Tunisie (BCT) a décidé de mainenir le aux d'inérê inchangé de 2002 à 2007 à presque 5%, ou en insisan sur la nécessié d'assurer un suivi coninu de la conjoncure inernaionale e de ses évenuelles reombées sur l'évoluion de l'économie Tunisienne. La diminuion du aux moyen de marché monéaire es en parallèle avec la diminuion du aux d inflaion. Ceci s explique par la présence d une poliique monéaire efficace. Cee poliique a permis de réduire l inflaion de 4.49% en 2006 à 2.4% en 2007, mais des pressions inflaionnises son réapparues. Les flux imporans d'invesissemens direcs érangers e la dépréciaion du dinar par rappor à l'euro peuven conribuer à l'inflaion.

5 180 La Revue Gesion e Organisaion 5 (2013) A ce effe, la banque cenrale a réagi en poran son coefficien de réserves obligaoires de 3,5 % à 5 % à la fin du mois de novembre En fai, l objecif racé de la BCT en maière de poliique monéaire vise à garanir la sabilié des prix. A ce effe, elle uilisera le aux d inérê comme insrumen de base qui en régulan son niveau, perme d agir sur celui des prix. Cee idée es vérifiée par la baisse du niveau de TMM de Janvier à novembre Le aux d inérê réel d équilibre r Il exise différenes approches pour calculer ce aux. Kozicki e Smes on considéré ce aux comme éan une valeur consane égale à la moyenne de la différence enre le aux de marché monéaire e le aux d inflaion cible. (La moyenne de la différence enre le TMM e la valeur moyenne de l inflaion es égale à 3.29%). Le aux de change Nous remarquons que le aux de change réel effecif diminue de Janvier 2002jusqu à Ocobre 2011.Cee diminuion du aux de change peu êre aribuée à la diminuion du aux d inérê duran cee période. Le aux d inérê e le aux d inflaion on diminué afin d abouir à une ceraine sabilié. Dans ce cadre, il s agi de déerminer la spécificaion de ype Taylor qui répond mieux aux objecifs de la BCT. 3. Quelques spécificaions de la règle de Taylor : cas de la Tunisie Le bu éan de présener une sraégie monéaire perinene permean à la Tunisie de faire face aux différens changemens inernaionaux. Une poliique, qui nécessie un sysème financier sable e solide. Le aux d inérê devien l insrumen favorisé de la conduie de la poliique monéaire, e exige un aux de change flexible. Le ciblage de l inflaion es une règle de décision qui vise à accroîre la ransparence auour de la poliique monéaire menée par la Banque cenrale. Il s agi de canaliser les anicipaions des agens économiques en annonçan clairemen le niveau d inflaion ciblée. En fai, l objecif c es de déerminer la règle de ype Taylor opimale indiquan le comporemen de la banque cenrale de la Tunisie. Ainsi, pour mere en place la poliique de sabilié du prix e donc du ciblage d inflaion, le aux appliqué à la règle de Taylor es le aux de marché monéaire. Dans ce cadre, nous adopons l idée de [3] appliquée sur la zone euro, pour choisir la foncion de réacion de la banque cenrale en Tunisie du ype de Taylor. Le bu es de déerminer la méhode de conduie de la poliique monéaire e économique pour abouir à la sabilié des prix e par conséquen réussir la poliique du ciblage d inflaion. i r y y (6) i Représene le aux du marché monéaire, : Le aux d inflaion couran, r es le aux d inérê réel d équilibre, es le aux d inflaion cible e ( y - y ) mesure la variaion moyenne de l indice de la producion indusrielle. Le résula d esimaion de cee règle es décri dans le ableau ci-dessous: Variable Coefficien Sd. Error -Saisic Prob. CONS INFL OUT Tableau 1-résula de l esimaion La saisique de Durbin Wason(DW) es de 0.66, d où présence d auocorrélaion des résidus. La saisique de DW n es pas de l inervalle [d 2= 1.54, 4-d 2= 2.46].Nous consaons qu il s agi d une auocorrélaion posiive. Par conséquen, nous passons à l esimaion par les variables insrumenales ou GMM. D après le es d hééroscédasicié de Whie, nous avons remarqué que les erreurs son hééroscédasiques : F-abulé = 8.48>F-calculé = Une fois que nous avons corrigé l hééroscédasicié e de l auocorrélaion des résidus, il ne rese qu à vérifier l hypohèse H 3 :E(H 3)=0. Cee hypohèse es vérifiée par la saionnarié des résidus de l esimaion. Tableau 2- résulas de l esimaion de la règle de Taylor radiionnelle Variable Coefficien -Saisic CONS INFL OUT Les résulas de l esimaion de la règle de Taylor radiionnelle pour la Tunisie aboui aux coefficiens suivans : pour l écar d inflaion, CONS = TIReq + inf. Ces coefficiens son saisiquemen significaifs. De même, l oupu gap es saisiquemen significaif, mais, il agi négaivemen sur le aux moyen de marché monéaire. Nous remarquons que la Tunisie donne de l imporance à l inflaion e à l oupu gap. Ceci implique que l inérê de la Tunisie es oriené vers la sabilié des prix e la sabilié de l acivié économique. Le coefficien d ajusemen (R 2 = 0.56) qui mesure le degré de la variance du aux d inérê de cour erme, expliqué par les deux faceurs l écar d inflaion e l oupu gap, es moyenne; donc la règle esimée a un pouvoir explicaif. Comme, il fau faire inervenir d aures foncions que nous appelons les foncions de réacion. Le bu de ces foncions de réacions de ype Taylor es de déerminer la règle opimale pour la banque cenrale de la Tunisie. 4. Les foncions de réacion de ype de Taylor Le passage à l esimaion des foncions de réacion du ype de Taylor es dû à plusieurs raisons. D une par, ces foncions prédisen le changemen

6 La Revue Gesion e Organisaion 5 (2013) de l insrumen poliique monéaire de la banque cenrale ; d aure par, dans le conexe des modèles macroéconomiques, les foncions des réacions présenen un élémen imporan dans l évaluaion des poliiques des banques cenrales e dans l évaluaion des effes des chocs économiques. Ainsi, plusieurs éudes on esimé de différenes spécificaions des foncions de réacion : foncion de réacion saique (sans ajusemen pariel du aux d inérê) e foncion dynamique incluan l ajusemen pariel du aux d inérê en foncion des données couranes d inflaion e de l oupu gap Esimaion de la foncion de réacion saique Pour esimer la foncion de réacion sous sa version saique on adope l idée de Gerdesmeier e Roffia appliquée sur la zone euro, mais nous allons appliquer au cas de la Tunisie : TMM = a 0 + a π π + a y y g + ε (7) Tableau 3-esimaion de la funcion de réacion Variable Coefficien -Saisic C INF OUT D après le résula de l esimaion de cee foncion de réacion, nous avons abouir à la présence d auocorrélaion des erreurs : DW = 0.66 (la présence d une auocorrélaion posiive). La présence d une auocorrélaion supérieure à 1(nous allons esimer par la méhode de GMM). Une fois nous avons corrigé l hééroscédasicié e l auocorrélaion des résidus, il nous rese à vérifier mainenan l hypohèse H 3 : E (ε ) = 0, pour dire que le modèle es bien spécifié. La vérificaion de cee hypohèse es jusifiée, soi, par l éude de la saionnarié, soi par le graphique des résidus. La méhode d esimaion la plus adéquae es l esimaion par les variables insrumenales ou GMM. Tableau 4- résulas d esimaion par la méhode de GMM Variable Coefficien -Saisic C TMM(-1) LINF OUT Les variables insrumenales inf(-1) inf(-2) inf(-3) inf(-4) oupugap(-1) oupugap(-2) oupugap(-3) oupugap( -4) SCR 2k 41,461 4 Ln( ) Ln( ) n n AIC 0,990 (8) SCR kln( n) 41,461 2Ln(19) Ln( ) Ln( ) n n SC 1,089 (9) D après le résula de l esimaion de cee foncion de réacion nous pouvons conclure que le poids accordé à l inflaion es de En effe ; d après Gerdesmeier e Roffia, «Un paramère de l inflaion supérieur à 1 implique que le aux d inérê de cour erme doi augmener quand le aux d inflaion augmene, ceci exerce un effe de sabilisaion sur l inflaion». Le coefficien de l oupu gap es de 0.560, il es significaif à 5 % e à 10%. Ces résulas confirmen que l objecif principal de la banque cenrale de la Tunisie es maîriser le niveau de prix. Ce dernier agi négaivemen sur le TMM Esimaion de la foncion de réacion dynamique L objecif de cee parie es de déerminer si la banque cenrale de la Tunisie adope un ajusemen pariel de son aux d inérê ou non. C es à-dire, nous allons inroduire sur la spécificaion précédene une variable supplémenaire qui es celle du aux d inérê décalé d une période. D où, la foncion de réacion (dynamique) avec lissage du aux d inérê qui s écri sous la forme suivane : R R 1 ( 1 )[ ( 1) ( y y) u Le lissage par de l hypohèse qu une banque cenrale a endance à lisser les modificaions du aux d inérê afin d évier une insabilié des aux pouvan enamer la confiance des agens économiques. Ainsi, l inérê de ce ajusemen graduel du aux d inérê es d augmener la sabilié de l économie e d assurer une ceraine crédibilié sur sa poliique monéaire. La foncion de réacion es alors décrie en ermes d ajusemen pariel du aux d inérê. Celui-ci s ajuse, à chaque période, à la moyenne pondérée du aux d inérê désiré e du aux d inérê réalisé lors de la période précédene. Pour esimer cee foncion de réacion, nous abouissons à la méhodologie de Gerdesmeier e Roffia sur la zone euro e Mayes e alsur la nouvelle Zélande, en écrivan l équaion en erme de variables réalisables comme sui : TMM a0 a ayyg (11) a 0 es une consane elque a 0 = [(r + π) a ππ] a π =(1-ρ)α e a y = (1-ρ)β ρ Coefficien d ajusemen pariel du aux d inérê el que 0 <ρ< 1. Tableau 5- esimaion de funcion de reacion dynamique Variable Coefficien -Saisic C TMM(-1) LINF OUT Ainsi nous déduisons les coefficiens de l équaion Tableau 6- esimaion des coefficiens de l équaion i= aπ = ay = Consane= i = 0.77 α= β=0.374 Consane= )

7 182 La Revue Gesion e Organisaion 5 (2013) Le coefficien de l oupu gap (0.139) es saisiquemen significaif, il agi posiivemen sur la poliique monéaire. Ceci suggère que la producion réelle joue un rôle dans les considéraions des poliiques monéaires, alors que le coefficien accordé à l inflaion es de e il es saisiquemen significaif. Nous abouissons à ce que la densié accordée à l oupu gap es supérieure à celle accordée à l inflaion. En effe, le paramère d ajusemen es rès significaif, il es égal à 0,629. Nous remarquons une amélioraion de R 2.R 2 = à R 2 = 0.949e 2 2 R = à R =0.941.Ceci es peu êre dû à l ajou de la variable du aux d inérê décalé d une période. Le crière de maximisaion de R 2 consise à reenir le modèle ayan le R 2 le plus élevé ; or, l inconvénien de ce crière es de ne pas arbirer enre la pere de degrés de liberé du modèle e l ajusemen qui en résule. C es pourquoi, on doi avoir recours aux crières d Akaike ou de Schwarz afin de comparer des modèles impliquan un nombre différen de variables explicaives _ on reien le modèle qui minimise la foncion d Akaike ou Schwarz. D après les crières d Akaike e de Schwarz, nous remarquons que le modèle saique minimise ces deux foncions. Ainsi, c es le modèle saique qui représene le mieux la foncion de réacion de la réserve banque de la Tunisie. La fore significaivié de coefficiens de l inflaion e de la significaivié de l oupu gap couran, nous amène à inclure d aures variables dans la foncion pour fournir des informaions addiionnelles. Par exemple : éudier l effe de aux de change sur une elle règle L effe de aux de change sur une elle règle L objecif de cee éude es de déerminer si l insrumen de la poliique monéaire doi agir sur les flucuaions du aux de change ou bien il es suffisan d agir sur les indicaeurs domesiques els que l inflaion e l oupu réel. Dans ce cadre, nous sommes en présence d un effe direc e d un effe indirec : l exisence d effe indirec du canal du aux de change si les poliiques monéaires ne réagissen pas direcemen aux flucuaions du aux de change. Ce effe indirec a des avanages en comparaison avec l effe direc car il résule des flucuaions imprévisibles du aux d inérê. Nous allons esimer la règle de Taylor avec anicipaion d inflaion e voir l effe des flucuaions du aux de change sur la poliique économique. Nous verrons si cee variable agi direcemen sur la poliique monéaire de la Tunisie ou bien c es l effe indirec uniquemen qui règne sur cee relaion comme il éai monré par Taylor. La règle à esimer e la même esimée par Lubik e Shorfheide, mais dans un éa saique, es la suivane : mm a 0 yg e (12) Tableau 7- aux de change réel Variable Coefficien -Saisic C LINF OUT LTCER Les variables insrumenales inf(-1) inf(-2) oupugap(-1) oupugap(-2) TCER(-1) TCER(-2) D après ces résulas d esimaion, nous remarquons que le coefficien accordé au aux de change réel effecif es de (-15,631) e ce coefficien es foremen significaif. Ainsi, nous pouvons conclure que saisiquemen la variable du aux de change inervien dans la conduie de la poliique monéaire, l ajoue d une variable améliore l esimaion ; auremen di, la banque cenrale de la Tunisie répond expliciemen aux flucuaions du aux de change. Nous pouvons dire que l effe du canal direc du aux de change es présen e il a un effe sur le choix de l insrumen de conduie monéaire. En oure, la variable TCER fourni des informaions addiionnelles sur l allure de l inflaion e de l oupu. AIC = 3,197 e SC = 3,394 : ces deux crières reflèen le choix du modèle. En oure, la sélecion du modèle opimal - foncion Akaike e Shwarz- suggère qu il faudra reenir le modèle saique. 5. Conclusion Nous avons oriené nore recherche à la déerminaion de la règle opimale du ype Taylor e les variables qui doiven apparaîre dans cee règle dans le cas de l économie unisienne pour la conduie de la poliique économique. L esimaion es basée sur les foncions des réacions saiques e dynamiques. Elles son présenées comme un élémen imporan dans l évaluaion des poliiques des banques cenrales e dans l évaluaion des effes des chocs économiques. Le résula de l esimaion de la foncion de réacion sous sa version saique où sous sa version dynamique confirme l hypohèse selon laquelle la Tunisie se condui vers une poliique de la mairise de l inflaion. Ainsi, les crières d Akaike e de Schwarz monren que le modèle saique représene mieux la foncion de réacion de la réserve de la banque de la Tunisie. 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