Compte rendu animation du réseau CATZH n 4 et session développement durable. «Les étangs : réglementation, gestion, restauration en zones humides»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Compte rendu animation du réseau CATZH n 4 et session développement durable. «Les étangs : réglementation, gestion, restauration en zones humides»"

Transcription

1 Compte rendu animation du réseau CATZH n 4 et session développement durable «Les étangs : réglementation, gestion, restauration en zones humides» La-Chapelle-Montbrandeix et Marval (87) Le 22 janvier 2015 Etabli par : Guillaume Deyzac animateur de la Cellule d Assistance Technique Zones Humides (CATZH) Périgord- Limousin Objet : Intervention en salle sur la réglementation des étangs puis visite d un étang effacé et d un étang aménagé Intervenants : M. GATET (Centre de Recherches Interdisciplinaires en Droit de l Environnement de l Aménagement et de l Urbanisme), M. PICHAUD (Chargé de mission «étang» au PNR Périgord-Limousin), M. DEYZAC (animateur de la CATZH PL) Personnes présentes Participants : 63 personnes : 14 adhérents ; 42 élus ; 7 autres structures Excusés : 17 Cette demi-journée s intègre dans les animations réalisées par la Cellule d Assistance Technique Zones Humides (CATZH) Périgord-Limousin. L objectif est de mettre en réseau les différents adhérents de la CATZH, afin de partager des informations communes sur les bonnes pratiques de gestion des zones humides et milieux annexes. Cette demi-journée d informations a été ouverte aux élus du territoire sous la forme d une session Développement Durable. Ordre du jour Suite à des demandes des adhérents de la CATZH, cette animation a été axée sur la thématique des étangs. Le programme de la journée était le suivant : 1) 14h 15h30 : Présentation en salle des aspects règlementaires liés aux étangs (mise aux normes, vidange, existence légale,...) Intervenant : Antoine Gatet CRIDEAU 2) 15h45 17h15 : Visites sur sites pour découvrir des aménagements, un effacement d étang et la restauration en zones humides Intervenant : Marc Pichaud et Guillaume Deyzac Parc naturel régional Périgord-Limousin humides 1

2 1) Réglementation concernant les étangs Salle comble pour cette intervention sur les aspects réglementaires liés aux étangs Cette première partie en salle a été consacrée à faire le point sur : - Le droit des étangs : entre propriété privée et protection d un bien commun - Les étangs depuis 1992 : une problématique liée à la politique nationale de l eau - Les étangs depuis 2000 : les nouveaux enjeux de la reconquête de la qualité des milieux - La réglementation en matière de cours d eau et de zones humides La présentation est annexée à ce document. Questions - Réponses : Q : Est-ce qu'il faut déclarer son étang? R : S il est situé en barrage de cours d'eau, il faut faire une déclaration auprès de l administration et constituer un dossier complet. Pour les autres, en fonction de la superficie, de leur emplacement, cette déclaration est à évaluer au cas par cas. humides 2

3 Q : Les petits agriculteurs du secteur (éleveurs) sont maintenant très embêtés par rapport à la gestion des cours d eau, des zones humides, des étangs. Ils ne peuvent plus créer de petites réserves d eau pour l abreuvement. Ils n ont plus le droit de rien faire, alors que les céréaliers sur les territoires à l aval réalisent des retenues sans aucun problème, avec des financements. Des barrages comme celui de Mialet, les lacs de Haute-Charente ont été réalisés pour eux. Qu en est-il de cette différence de traitement entre les agriculteurs et du coup les territoires? R : En effet, c est un point qui a déjà été soulevé, qui est connu et qui montre l incohérence entre la Politique Agricole Commune (PAC) et la Directive Cadre sur l Eau (DCE) qui sont deux politiques européennes, déclinées à l échelon français. Le lobbying agricole est très puissant et fait sauter des verrous, notamment à ce niveau-là. Le constat est réciproque et malheureux à la fois. Q : Est-ce que la réglementation avant 1956 existait? R : Oui. La question du droit de la pêche et des régimes piscicoles n a pas été abordée, mais un grand nombre d'ouvrages étaient concernés par des obligations de déclarations ou d'autorisations préalables, comme à des obligations d'équipements liés à la gestion piscicole. La loi de 1992 sur l'eau a également un ancêtre au travers d'un régime juridique obligeant à déclarer des ouvrages interceptant l'eau courante, dès Q : Dans les réglementations qui ont été présentées, pourquoi n a-t-il jamais été évoqué le droit de propriété? R : Avant, la réglementation favorisait les intérêts individuels. Aujourd hui, de plus en plus de règles favorisent l intérêt général qui peut aller à l encontre de celui d un particulier. C est notamment le cas pour l environnement qui est assez dégradé et bénéficie donc de plus en plus de politiques publiques en faveur de biens communs. Q : Pourquoi on n aide pas les agriculteurs qui sont les principaux gestionnaires de milieux naturels à mieux gérer les cours d eau, les zones humides, notamment à travers la PAC et les MAE? R : Cela soulève une nouvelle fois l incohérence entre la PAC et la DCE, où 90 % des aides de la PAC sont versées aux agriculteurs sur le premier pilier, soit les aides à la productivité. Alors que la DCE propose tous les dispositifs nécessaires à la bonne gestion des masses d eau. Ces deux réglementations s entrechoquent et ne vont pas forcément dans le même sens. Néanmoins, il est noté que certains agriculteurs bénéficient de MAE favorables à la ressource en eau. Q : Pourquoi le revenu cadastral pour un étang est 3 fois supérieur à celui d une surface labourée équivalente? Alors que ce premier n apporte aucun revenu, bien au contraire. R : Car il y a une désinformation totale auprès des propriétaires. Il n est même pas tenu compte de la légalité de l étang alors que cet élément est primordial. Du coup, même un étang qui n est pas aux humides 3

4 normes est considéré comme un bien avec beaucoup de valeur, alors que ça n est plus le cas au vu des niveaux d exigence demandés pour la mise aux normes. Q : Pourquoi un bien public, comme l étang de la Pouge (36 ha), ne montre pas l exemple? Il n a pas de dérivation et impacte ainsi fortement le cours du Gorret. R : Les études sont en cours pour équiper cet étang qui appartient au conseil départemental de la Haute-Vienne. Il est en effet relevé que les collectivités doivent être exemplaires. Néanmoins, pour ces ouvrages, les investissements sont colossaux et mobilisent des fonds publics. Q : Les périodes de vidange autorisées ne sont pas appropriées au remplissage. R : Il est rappelé, que les vidanges sont en effet interdites du 1 er décembre au 31 mars pour les cours d eau de 1ére catégorie piscicole, car cette période correspond à la reproduction des espèces de première catégorie et notamment la truite fario. Le territoire étant prioritairement constitué de ce type de rivière, il est impératif de respecter les périodes autorisées. A ce sujet, il est rappelé qu il est conseillé de vidanger son étang à peu près tous les 5 ans. L administration demande les équipements nécessaires (pêcheries, bassin de décantation) à la bonne réalisation de la vidange. Q : Comment fait-on pour savoir quels aménagements sont nécessaires pour la régularisation des étangs? R : Le problème est posé à l envers. Ce ne sont pas les services de l état qui doivent dire ce qu il est nécessaire de faire. Ils doivent juger si les aménagements proposés répondent aux exigences réglementaires. Pour cela, il est nécessaire de s attacher les services de bureaux d études ou faire directement les études nécessaires à la mise en œuvre de ces aménagements. De plus, les SAGE et les SDAGE donnent une solution de base qu il faut compléter par des aménagements qui préviennent les incidences du plan d eau en question. Pour les aménagements à réaliser, deux points essentiels sont à prendre en compte : - La sécurité : Il est rappelé que les arbres sont interdits sur les digues et menacent la stabilité des étangs. Egalement, en fonction des hauteurs de digue, une réglementation spécifique pour la sécurité des biens et des personnes s appliquent aux ouvrages. Le déversoir de crue doit également être suffisamment dimensionné pour permettre à la crue centennale d être évacuée avec une revanche de 40cm (la digue doit être plus haute de 40cm par rapport à ce niveau de crue pour garantir la sécurité de la digue). - La réduction des impacts des étangs : Nécessité de mettre en œuvre un système d évacuation d eau du fond (par exemple : moine), une dérivation lorsque l étang est en barrage sur le cours d eau, un bassin de décantation pour les vidanges et une pêcherie. humides 4

5 Q : Certains étangs existent depuis très longtemps et ne posaient pas de problème par rapport à la gestion des sédiments. Aujourd hui, ça devient compliquer de vidanger un étang par rapport à cette problématique des sédiments. Quel est le problème et où vont ces sédiments? R : Ils vont d étangs, en cours d eau, en étang et jusqu à l océan. Les sédiments deviennent problématiques quand il n y a plus de gestion justement. Avant, les ouvrages (seuils de moulin, étangs) étaient régulièrement vidangés. De plus, les gens venaient prélever directement du sable dans les retenues pour maçonner les murs en pierre ou autre. Du coup, à chaque vidange, les quantités n étaient pas celles d aujourd hui où des ouvrages n ont pas été vidangés depuis plus de 30 ans. Egalement, il est précisé qu il existe deux types de sédiments : - De la matière organique : Si le cours d eau est bien oxygéné, la matière organique se dégrade. - Du minéral (sable, limon) qui constitue le transport solide du cours d eau. Ce transport solide joue un rôle important dans l équilibre hydrodynamique des cours d eau (en lien avec la continuité écologique des sédiments). Les retenir et / ou trop les prélever pose un problème de déséquilibre : érosion régressive, déstabilisation d ouvrage, ensablement excessif, colmatage des frayères Q : Le cas de la Monnerie abonde la question précédente où il ne faudrait pas toucher au sédiment car ils sont très pollués. R : C est un cas particulier. Les sédiments sont pollués par une activité industrielle qui n existe plus maintenant. Il a été décidé de supprimer le barrage de la Monnerie car le barrage est en mauvais état et présente un risque de rupture. La solution choisie est de supprimer progressivement l ouvrage pour pouvoir contrôler les départs de sédiment et de pouvoir les extraire du bassin de décantation pour les traiter au fur et à mesure. Seul les sédiments présents dans le lit de la Tardoire seront remobilisés et traités. La majeur partie des sédiments restera dans l ancien plan d eau et se végétalisera naturellement. La pollution restera bloquée dans les sédiments. Q : Existe-t-il des aides pour gérer les zones humides? R : Oui. En fonction du territoire, les partenaires financiers ne seront pas les mêmes. Les principaux financeurs pour ces actions de gestion conservatoires des zones humides sont les agences de l eau. L Europe, les Conseils Départementaux et la Région peuvent également financer. Le territoire du Parc est couvert au Sud par l agence de l eau Adour-Garonne et plus au Nord par l agence de l eau Loire- Bretagne. Pour un accompagnement dans ces démarches, il est nécessaire de se rapprocher de la CATZH et des syndicats de rivière compétents sur le territoire. Dans le cas présent, le demandeur étant de Rochechouart, le Syndicat Mixte Vienne Gorre et le Parc sont les interlocuteurs pour l aider dans cette démarche. En effet, ces 2 structures se sont rapprochées en 2015, pour intervenir dans un cadre commun sur les zones humides via le Contrat Territorial Milieu Aquatique (CTMA) Vienne Médiane. humides 5

6 Q : Comment concilier gestion des milieux naturels et monument historique, qui sont parfois contradictoires? R : La question est vaste. Mais, il est en général possible de concilier les deux. Le cas du château de Montbrun est assez édifiant à ce sujet. En effet, un conflit existait entre la DDT et la DRAAC pour la gestion de ce site. Puis, ils se sont mis autour d une table et ont exposé chacun leurs exigences. Ils ont ensuite trouvé un accord pour la gestion de la propriété. Q : Est-ce que les normes sont identiques pour un étang de loisirs et une réserve incendie? R : Par rapport à la loi sur l eau, les exigences sont les mêmes. Néanmoins, pour les réserves incendie, des contraintes supplémentaires s appliquent. Ce sont les SDIS (Service Départemental d Incendie et de Secours) qui préconisent les aménagements. En général une convention est passée entre les propriétaires et le SDIS soit pour un simple accès (possibilité de pomper sur le plan d eau en cas d incendie sans aménagement particulier), soit pour un accès consolidé (pour les plans d eau stratégiques) avec mise en place de plateformes de retournement, colonne de pompage 2) Visite de sites Après cette présentation en salle, l assemblée a pris la direction du lieu-dit «la souchère» à Marval, pour visiter un étang aménagé et un étang effacé. Description des travaux d effacement d étang Etang avant effacement Vidange par siphon humides 6

7 Etang vidangé Travaux d arasement de la digue Les matériaux de la digue servent à re-profiler les berges du cours d eau et le vallon Végétalisation de l ancienne emprise de l étang humides 7

8 Etang après effacement Visite du site Cet étang faisait environ 4000m² et servait à l abreuvement des vaches. La vanne de vidange était cassée et la digue montrait quelques faiblesses. Le propriétaire de l étang s est donc engagé dans une démarche volontaire d effacement, avec en compensation une création de points d abreuvement de substitution. Les travaux ont été réalisés, il y a environ 1 an et demi. Le coût total des travaux était de euros euros ont été consacrés à la suppression du plan d eau et 5000 à la mise en place des points d abreuvement, à la mise en défens du cours d eau et la pose d un ouvrage de franchissement. Le propriétaire a bénéficié de 80% de financement de l Agence de l Eau Adour Garonne sur la totalité des travaux (8800 ). Lors de la vidange, il est précisé que les eaux issues de l étang doivent respectées la limite de 1g/L de Matière En Suspension (MES). L effacement de l étang a engendré la restauration de zones humides. Initialement, les étangs étaient construits en lieu et place de ces milieux. La zone humide restaurée remplit des fonctions que ne jouait plus l étang : stockage de l eau en période hivernale, restitution de l eau l été, filtre naturel qui améliore la qualité de l eau, zone très riche pour la biodiversité. De plus, sur le site, des végétations tourbeuses semblent ressortir et mériteront des prospections estivales. En général, les étangs du Parc ne présentent pas d intérêts d un point de vue avi-faunistique. Ils n ont pas de diversité propre. Les berges sont abruptes. Il n y a pas d étagement de végétations bien structurées. Les zones humides autour sont peu étendues. Malgré tout, quelques libellules et amphibiens sont présents au niveau de ces étangs et apportent un peu de biodiversité. Seuls quelques étangs de plus grandes étendues sur le territoire présentent un intérêt pour les oiseaux d eau. Car, ils sont construits depuis très longtemps. Ils se sont donc ensablés petit à petit et présentent des berges en pente douce favorables aux zones humides, et de ce fait à la nourriture ainsi qu à la tranquillité des oiseaux d eau. De plus, ils se trouvent sur un axe migratoire majeur. La problématique sur le territoire est le chapelet d étangs sur les cours d eau. Ce n est pas un étang isolé mais la myriade de plans d eau qui a des effets cumulatifs importants : cyanobactéries, ensablement, évaporation humides 8

9 Description des travaux de mise aux normes de l étang La visite se poursuit avec l étang de M. LHOMME qui est en train de réaliser des travaux de réduction d impact de l étang sur le milieu aval. Ces aménagements sont réalisés à la demande de la Direction Départementale des Territoires pour régulariser le plan d eau. Ils sont le fruit d une réflexion partagée par le propriétaire et un bureau d étude pour définir les aménagements nécessaires. Le Parc naturel régional Périgord-Limousin est intervenu auprès de M. LHOMME pour des missions de conseils et d aides ainsi que pour monter le dossier financier pour la réalisation des opérations. Les travaux consistent à : - Redimensionner le déversoir de crue pour qu il puisse évacuer la crue centennale avec une revanche de 40 cm - Mettre en place un répartiteur et une dérivation enterrée du cours d eau pour garantir le débit réservé et la continuité de l écoulement - Mettre en place une pêcherie permettant de récupérer le poisson de l étang - Mettre en place un bassin de décantation - Mettre en place un Système d Evacuation des Eaux de Fonds. Les témoignages de M. LHOMME montre bien les difficultés que rencontrent les propriétaires d étangs avec les services de l état. Le cheminement est long et fastidieux entre l injonction de l administration et la réalisation des travaux, sans parler de l aspect financier. M. LHOMME a décidé de réaliser les travaux pour donner une plus-value à l étang et pour en faire profiter sa descendance par la suite. Pour la réalisation des travaux dont le coût est d environ TTC, une étude a été réalisée par un Bureau d étude et coûte environ Un dossier financier a été déposé et accepté par de l Agence de l Eau Adour Garonne qui prend en charge le répartiteur et la dérivation, la pêcherie, le bassin de décantation et le système d évacuation des eaux de fonds à hauteur de 30%. La subvention accordée est de l ordre de 4500 TTC. Le déversoir de crue n a pas été pris en compte par l agence de l eau (organe structurel du plan d eau et non pas organe de réduction d impact de l étang). Un bélier hydraulique est également présent sur le plan d eau. Il permet de remonter l eau jusqu à un bassin au niveau de la maison de M. LHOMME (plus de 15m de dénivelé). Ce dernier se sert de l eau principalement pour l irrigation. humides 9

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est

Plus en détail

Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau

Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,

Plus en détail

CISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro

CISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique

Plus en détail

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le

Plus en détail

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes

Plus en détail

Le Plan Départemental de l Eau

Le Plan Départemental de l Eau de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages

Plus en détail

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité

Plus en détail

LIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON

LIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON Prix 2013 «Infrastructures pour la Mobilité et Biodiversité» LIDO DU PETIT ET DU GRAND TRAVERS A MAUGUIO-CARNON Aménagement et renaturation d un site naturel remarquable Psammodrome d Edwards Une dégradation

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création

Plus en détail

Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne

Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation

Plus en détail

VANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS

VANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE. Branchement. d eau potable

GUIDE PRATIQUE. Branchement. d eau potable GUIDE PRATIQUE Branchement d eau potable Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser un branchement d eau potable SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel Qui sont vos interlocuteurs

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

NOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT

NOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée

Plus en détail

Révision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube

Révision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube Révision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube Prise en compte du SDAGE Seine-Normandie BRGM/RP-60867-FR Version 2 - décembre 2012 M. CHABART, Y. THUON Avec la collaboration de M. LANSIART Étude

Plus en détail

Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux du Clain --- Commission de travail "Gestion et valorisation des milieux aquatiques" N 2 ---

Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux du Clain --- Commission de travail Gestion et valorisation des milieux aquatiques N 2 --- Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux du Clain --- Commission de travail "Gestion et valorisation des milieux aquatiques" N 2 --- Compte-rendu de la réunion du 24 mai 2011 - Vivonne Présents Collège

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT

ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT STATISTIQUES ÉCOLOGIE, ENVIRONNEMENT REPERTOIRE D EMPLOIS Sur les 78 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 66 ont répondu au questionnaire soit un

Plus en détail

EAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012

EAU ET MILIEUX AQUATIQUES. Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 EAU ET MILIEUX AQUATIQUES Les 9 es programmes d intervention des agences de l eau 2007-2012 Janvier 2007 9 es 2007-2012 programmes des agences de l eau «L Europe s est dotée d un cadre communautaire pour

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche

25/02/2013. Le SIBV de la Seiche. Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche Le SIBV de la Seiche Commission Professionnelle Agricole (CPA) Réunion n 1 22 février 2013 Piré-sur-Seiche 1 PROGRAMME D ACTIONS Collectivités Particuliers Gestion des eaux pluviales Actions Industriels,

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS

Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Lavogne : abreuvoir pour les troupeaux établi sur une couche d'argile imperméable. Naturelles à l'origine, elles sont souvent empierrées

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

La Chapelle de la Ferme d Ithe

La Chapelle de la Ferme d Ithe La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une

Plus en détail

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du

Plus en détail

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau

Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin

Plus en détail

EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80

EPLEFPA LES SARDIERES 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES

Plus en détail

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation

Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion

Plus en détail

COMPTE-RENDU. Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV

COMPTE-RENDU. Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV COMPTE-RENDU Réunion du Bureau de la CLE SAGE BLV Mardi 20 janvier 2015 à 16h00 à Beaurepaire Ordre du jour de la réunion 1. Approbation du compte-rendu du Bureau de la CLE du 1 er décembre 2014 2. Préparation

Plus en détail

Guide de création d une maison d assistants maternels (MAM)

Guide de création d une maison d assistants maternels (MAM) 2013 (MAM) Édito Le Conseil général et la Caisse d allocations familiales du Finistère favorisent le développement des modes d accueil de la petite enfance Le Conseil général du Finistère et la Caisse

Plus en détail

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable

Plus en détail

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2 Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:

Plus en détail

INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10

INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10 Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre

et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre 3 3 Comment gérer et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre 75 Préambule Bonnes ou mauvaises pratiques d entretien, Comment s y retrouver? L entretien d une rivière

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

Bureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014

Bureau de la Commission Locale de l Eau. Olivet le 25 novembre 2014 Bureau de la Commission Locale de l Eau Olivet le 25 novembre 2014 1. Portage du contrat territorial 2. Projets 2015 / Formations 2015 3. Points divers Ordre du jour 1. Portage du contrat territorial Portage

Plus en détail

ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z

ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

Création d une base de données sur les ouvrages hydrauliques à l échelle du bassin versant de la Vilaine

Création d une base de données sur les ouvrages hydrauliques à l échelle du bassin versant de la Vilaine UNIVERSITE RENNES 2 HAUTE-BRETAGNE Département de Géographie Master 2 Géographie et Aménagement Spécialité Gestion Spécialité de Gestion l Environnement de l Environnement Création d une base de données

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d

Plus en détail

SAGE Marque-Deûle. Commission Thématique n 2 : Reconquête et mise en v aleur des milieux naturels. Réunion n 1

SAGE Marque-Deûle. Commission Thématique n 2 : Reconquête et mise en v aleur des milieux naturels. Réunion n 1 SAGE Marque-Deûle Commission Thématique n 2 : Reconquête et mise en v aleur des milieux naturels Réunion n 1 Vendredi 11 mars 2011, 16h00, locaux de Lille Métropole Communauté urbaine, Salle des Conférences

Plus en détail

Schéma Directeur d Aménagement et de Gestion des Eaux 2016-2021 Bassin Artois-Picardie Districts ESCAUT ET SAMBRE

Schéma Directeur d Aménagement et de Gestion des Eaux 2016-2021 Bassin Artois-Picardie Districts ESCAUT ET SAMBRE Direction Régionale de l'environnement de l'aménagement et du Logement Nord Pas de Calais Délégation de bassin Artois Picardie Schéma Directeur d Aménagement et de Gestion des Eaux 2016-2021 Bassin Artois-Picardie

Plus en détail

HUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation

HUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation Janvier 2009 SIMPLE HUMAIN aménager ACCUEILLANT LYON FACILE A TOUS ACCeSSIBLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL ACCESSIBILITE LOGEMENT COLLECTIF Les clés de la réglementation www.lyon.fr Nos enjeux

Plus en détail

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage

UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

Thèmes et situations : Personnel et législation sociale dans l entreprise. Fiche pédagogique

Thèmes et situations : Personnel et législation sociale dans l entreprise. Fiche pédagogique Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Activité pour la classe : DFA1 Crédit : Joelle Bonenfant, Jean Lacroix Thèmes et situations : Personnel et législation sociale

Plus en détail

Mesures Agro-Environnementales

Mesures Agro-Environnementales 02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro

Plus en détail

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc? Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie

Plus en détail

PREFECTURE DE HAUTE-SAVOIE

PREFECTURE DE HAUTE-SAVOIE λ siège Alpes du Nord : P arc Pré Millet 38330 M ONTB ONNO T tél 04 76 52 41 20 fax. 04 76 52 49 09 E m ail = i m s @ i m s r n. c o m agence Alpes du Sud Nice : tél. 04 92 29 11 10 fax. 04 92 29 11 20

Plus en détail

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

Réglementation ERP et IGH

Réglementation ERP et IGH PENSE Bête : Réglementation ERP et IGH Réalisé par Alexandre MOREAU 01.69.45.73.06 06.99.44.60.36 Mail : securiteincendie.idf@gmail.com Site : securiteincendie-idf.com A) DEFINITION : (R 123.2) 1 ) Définition

Plus en détail

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014

LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET. Restitution - 13 octobre 2014 LES RETOMBÉES ÉCONOMIQUES DE LA PÊCHE DE LOISIRS DANS LE SECTEUR DU LAC DU BOURGET Restitution - 13 octobre 2014 ATTENTION Ne pas cumuler! LE DISPOSITIF D ÉTUDE Evaluer la contribution à l économie locale

Plus en détail

NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX?

NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX? NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX? Mars 2011 Crédit photos : F. Abraham, F. Barratier, A. Cabot, L. Cadilhac, C. Lasnier, R. Lengereau, T. Marguet, M. Martini, B.

Plus en détail

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE

Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE Réhabilitation de la Maison de Radio France LA MISE EN SECURITE INCENDIE DE LA MAISON DE RADIO FRANCE ETUDE DE L EXISTANT CONSTRUCTION STRUCTURE (Références photos du chantier- 1960) LA GRANDE COURONNE

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel

Plus en détail

Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat

Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat 2012 Construction éco-citoyenne : l intérêt de chacun, un bienfait pour tous! La Région Martinique a renforcé

Plus en détail

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux

Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux Étude sur la localisation et la densité de 4 professions de santé : médecins généralistes libéraux infirmiers libéraux chirurgiens dentistes libéraux masseurs kinésithérapeutes libéraux 1 sommaire p 3

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006

SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006 SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006 1- Marché de services pour l entretien courant des cours d eau du Boulonnais (2007-2009)... page 2 2- Etude de définition des aménagements de prévention

Plus en détail

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Volet eau potable Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour

Plus en détail

FICHE SANTERRE INITIATIVES / TRAIT VERT

FICHE SANTERRE INITIATIVES / TRAIT VERT FICHE SANTERRE INITIATIVES / TRAIT VERT Sommaire 1 Santerre Initiatives / Trait Vert...2 1.1 Démarche territoriale et planification (éléments de cadrage)...4 1.1.1 Pays...4 1.1.2 Gestion locale des problématiques

Plus en détail

Feuille de route du copropriétaire

Feuille de route du copropriétaire Feuille de route du copropriétaire Que vous soyez déjà copropriétaire dans un immeuble géré par le cabinet IFNOR ou que vous veniez juste de faire l acquisition d un bien immobilier, nous avons voulu au

Plus en détail

Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja

Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres

Plus en détail

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES

LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o

Plus en détail

ESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%

ESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7% ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,

Plus en détail

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet

Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet Commission Locale de l Eau SAGE de l Odet Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux de l Odet III- Enjeux, objectifs et actions 2. Plan d Aménagement et de Gestion des Eaux Novembre 2005 Le Schéma d

Plus en détail

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC

LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC LES ORIENTATIONS DU 10 ème PROGRAMME D INTERVENTION DE L AGENCE DE L EAU RMC Accroître les soutiens aux projets de territoire Budget total du 10 e programme : 3 653 M dont 3561 M pour le bassin Rhône Méditerranée,

Plus en détail

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides

Plus en détail

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF

Présenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté

Plus en détail

LGV SEA : Un projet pas comme les autres. Par Aurélien NEAU LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013. Environnement Page 8.

LGV SEA : Un projet pas comme les autres. Par Aurélien NEAU LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013. Environnement Page 8. LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013 LGV SEA : Un projet pas comme les autres Par Aurélien NEAU Environnement Page 8 Emploi Page 5 Travaux Page 10 SOMMAIRE Le magazine d information de la LGV

Plus en détail

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES

Plus en détail

BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau

BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau BNPE, Banque Nationale des Prélèvements d Eau un outil fédérateur pour la connaissance des pressions quantitatives sur la ressource en eau L. Chery 1, C. Nowak 2, A. Mauclerc 1, B. Hypolyte 3, S. Bareyre

Plus en détail

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage :

QUESTIONNAIRE PARTICULIER POUR DEMANDE D'AUTORISATION. BATIMENT SIS : Commune : Localité : Article cadastral : Rue et n : Affectation de l'ouvrage : Secteur prévention Etablissement cantonal d'assurance et de prévention Place de la Gare 4, Case postale, 2002 Neuchâtel Tél. 032 889 62 22 www.ecap-ne.ch Fax 032 889 62 33 ecap.prevention@ne.ch QUESTIONNAIRE

Plus en détail

Le Cassaïre Restauration écologique et physique d un marais et d une dune fluviatile. Décembre 2010

Le Cassaïre Restauration écologique et physique d un marais et d une dune fluviatile. Décembre 2010 Université de Provence Master Gestion des Eaux et des Milieux Aquatiques Option Zones Humides Méditerranéennes - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Le Cassaïre Restauration écologique

Plus en détail

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment : INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points

Plus en détail

SOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3

SOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3 SOMMAIRE 1. CONSIDERATIONS GENERALES... 3 1.1 PORTEE DU PPR... 3 2. EXPLICATIONS CONCERNANT LES REGLES DE CONSTRUCTION UTILISEES DANS LE REGLEMENT... 5 2.1 FAÇADES EXPOSEES... 5 2.2 HAUTEUR PAR RAPPORT

Plus en détail

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe

Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe «Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter

Plus en détail

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost

Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de

Plus en détail

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013 Dossier de presse Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013 19 Mars 2013 Contacts presse : Myra Frapier-Saab 06 70 10 82 24 1 Les enjeux Le nombre croissant de personnes

Plus en détail

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT

LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT LE GUIDE LOI PINEL 2015 OU COMMENT SE CONSTITUER UN PATRIMOINE IMMOBILIER À MOINDRE EFFORT L investissement Pinel, un Investissement immobilier Le site est édité par un groupement de conseillers en gestion

Plus en détail

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin

Fiche de renseignements accompagnant la demande de permis de construire en zone agricole dans le Haut-Rhin Nom - Prénom (ou Nom de la société) : Adresse permanente : Téléphone : Email : Date de naissance: Statut juridique : s exploitation individuelle s GAEC s EARL s Autre (à préciser) Nom et Prénom du Chef

Plus en détail