Les titres en couleurs servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer sur la copie.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les titres en couleurs servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer sur la copie."

Transcription

1 Les titres en couleurs servent à guider la lecture et ne doivent en aucun cas figurer sur la copie. Introduction On distingue généralement deux fonctions propres au langage : par lui nous communiquons, et nous nous exprimons. La critique nietzschéenne du langage s attache à distinguer ces deux fonctions en mettant au jour le

2 caractère foncièrement déceptif d un langage qui rend commun, par nature, ce que nous voulons exprimer. Comment, alors, comprendre les autres, comment saisir intérieurement le sens de leurs paroles, dès lors que la singularité de leurs idées, de leurs sensations, de leurs sentiments, se trouve nécessairement captée et trahie par un langage qui a d abord vocation à communiquer et qui, pour cela, rend commun ce qui l est si peu? C est cette question de la compréhension mutuelle qu examine Nietzsche dans ce texte. S il nous est possible, par le langage, de communiquer, est-il pourtant possible de nous comprendre? Mais si le langage n est pas la condition première de la compréhension, s il s interpose entre deux intériorités impuissantes à échanger sans sa médiation, à quelle condition, alors, pouvons-nous comprendre les autres et nous faire comprendre? La démonstration se développe ici en deux temps. Dans un premier temps, il s agit de s interroger sur la nature même du langage afin de déterminer ce que nous nous efforçons, à travers lui, de traduire. Mais si la source de nos mots est dans la sensation, nous ne pouvons nous comprendre qu à condition que nos expériences soient communes. Ainsi, le langage ne précède pas la compréhension : comprendre les autres présuppose la formation d une sensibilité commune à travers des expériences répétées. 1. L origine du langage est dans la sensation A. De la sensation à l idée, puis au mot Dans un premier temps, Nietzsche s interroge sur la nature du langage : par lui, je communique, mais est-ce lui qui établit entre nous une réalité commune? «Commun» signifie à la fois ce que l on partage (une «vie commune»), et ce qui est banal (une personne «commune»). Mais alors, les mots que nous avons en commun nous permettent-ils de nous faire comprendre, c est-à-dire permettent-ils à l autre de saisir intérieurement ce que j ai à dire? Nietzsche esquisse alors une sorte de généalogie du langage. Il en décrit le processus de formation : ma parole n est que le résultat de ce processus par lequel un «groupe de sensations» devient une idée, qui elle-même devient un mot. Tout le problème réside ici dans ce «devenir», puisque des sensations peuvent difficilement devenir des idées, et les idées des mots. En réalité, le processus qui va de la sensation au mot est doublement médiat : l idée n est que le «signe» de la sensation, et le mot n est que le «symbole» de l idée. De l indistinction du «groupe de sensations» (ce que je ressens est toujours a priori confus : les sensations me parviennent «en groupes» et «simultanément») à la clarté du mot, deux étapes au moins sont nécessaires, deux médiations dont Nietzsche souligne l approximation.

3 B. Le langage est approximatif Le «signe», en effet, n est jamais que la manifestation extérieure de la chose à laquelle il renvoie, sans s y identifier et sans en capter la singularité. Le signe, par nature, est donc «plus ou moins précis». Le langage est bien ce processus par lequel je fais passer des sensations indistinctes dans une idée approximative, que je fais à nouveau passer dans un mot approximatif. Contrairement à ce qu affirme Aristote, le processus n est donc pas transparent : la chose ne se dépose pas intacte dans un concept qui se dépose dans un mot. Ce processus est marqué par une double déperdition : en me dégageant de la confusion originaire des sensations, je perds peu à peu leur exactitude, leur précision ; et ces sensations, une fois mises sous forme d idée puis de mot, ne sont plus que l ombre d elles-mêmes. À ce point du raisonnement, on pourrait se demander si une compréhension mutuelle est même possible. Oui, je communique (mes mots, même s ils faussent les sensations de départ, me permettent d échanger), mais puis-je faire comprendre ce que je ressens? Est-ce vraiment par ce langage doublement imprécis que l autre peut accéder intérieurement au sens de ce que je dis? [Transition] En réalité, si je peux me faire comprendre, c est en quelque sorte malgré le langage (que la compréhension suppose toutefois comme une sorte d outil), ou du moins, en deçà de lui. C est ce qu affirme Nietzsche en formulant alors son hypothèse majeure : pour accéder à une compréhension mutuelle, il faut d abord avoir des expériences en commun. 2. La compréhension se fonde sur l expérience A. La langue permet de communiquer, mais non de se comprendre Autrement dit, puisque le mot n est que le dérivé de sensations, et puisque comprendre c est saisir intérieurement, je ne pourrai comprendre l autre qu en accédant immédiatement à son intériorité, à ce qui est à l origine de son mot. Mais la question est alors la suivante : comment m est-il possible d accéder immédiatement à l intériorité de l autre? C est cette question qu examine Nietzsche dans un second moment, en prenant l exemple de la langue, c est-à-dire du moyen de communication propre à une communauté. Ce qui prouve que ce n est pas parce que nous partageons les mêmes mots que nous pouvons nous comprendre mutuellement, c est qu il est tout à fait possible de parler la même langue que quelqu un sans vraiment le comprendre. Ainsi, c est bien la communauté d expériences qui rend possible la compréhension mutuelle. Celui qui parle la langue de l autre peut communiquer avec lui, mais dès lors qu il ne partage

4 pas son vécu, il ne le comprendra pas. Un «peuple» n est pas avant tout une communauté de langue, mais une communauté d expériences. B. C est l expérience commune qui rend possible la compréhension Ces expériences dont Nietzsche dit qu elle fondent notre compréhension mutuelle relèvent plus précisément d un vécu ordinaire, quotidien, qui affecte essentiellement notre corps : le «climat», le «sol», les «dangers», les «besoins», le «travail» renvoient à un vécu sensible, physiologique, presque animal. En effet, nous l avons vu, la source de nos idées est dans la sensation, c est-à-dire dans le corps, dans les impressions indistinctes qu il produit en moi et dont je peine à rendre compte avec précision. Par conséquent, comprendre l autre suppose que nos corps soient affectés de la même manière : il faut avoir les mêmes sensations pour saisir intérieurement le sens de ce qu il me dit. Il faut que ce mot fasse écho à la même sensation : c est à cette seule condition que la compréhension peut avoir lieu, puisqu elle semble déjouer, alors, la double approximation du langage. Comprendre l autre serait donc accéder immédiatement (c est-à-dire pardelà la médiation du signe, de façon intuitive) à son intériorité, ce qui suppose d avoir une intériorité en commun. La formation de cette intériorité commune, et donc de cette sensibilité, correspond en réalité à la formation d un «peuple», cette «chose qui se comprend», pour reprendre les termes de Nietzsche, qui souligne par cette expression étrange l ambiguïté du terme. Car comprendre, c est à la fois saisir intérieurement le sens («je comprends ce que tu dis»), et englober dans une unité («la table est comprise dans le lot»). La possibilité d une compréhension mutuelle repose donc sur l appartenance au même groupe, groupe qui «naît» d une sensibilité commune, elle-même produite par une communauté de vie. En somme, il faut être compris (être à l intérieur de) pour comprendre (saisir le sens de). C. C est l habitude de l expérience commune qui rend possible et limite la compréhension En somme, puisque le processus de formation du langage s accompagne d une perte de sens, d une perte des nuances de nos sensations puis de nos idées, on peut dire que le langage «abrège» une première fois. Dans ces conditions, la compréhension mutuelle n est pas rendue possible par le langage, mais conditionnée par la formation d une sensibilité qui nous est commune. Mais c est là, précisément, qu intervient la deuxième «abréviation». En effet, non seulement le langage échoue à capter la singularité de mes sensations originaires, mais même à l état de langue, à l intérieur d un

5 «peuple», il n en saisit que les plus fréquentes, c est-à-dire celles que nous avons pris l habitude de ressentir. La distinction entre «expériences rares» et «expériences fréquentes» témoigne ainsi d une nouvelle limite de la compréhension mutuelle. En effet, la sensibilité commune nécessaire à la compréhension ne peut se former que dans le temps, à travers des expériences répétées. Cette sensibilité est faite de caractères primitifs transmis par l hérédité, caractères constituant l atavisme d un peuple là encore, c est la singularité (singularité de mes expériences) qui échappe au langage. Conclusion En définitive, l «histoire du langage» (et par histoire il faut entendre ici le processus de formation du langage, qui nous fait passer des sensations au mot), se fait donc selon une double réduction. Le mot ne rend compte que très partiellement des impressions qu il est censé refléter, et d autre part, ce mot ne peut rencontrer un écho chez celui à qui je parle qu à condition qu il renvoie à une expérience habituelle, commune. La condition première d une compréhension mutuelle ne se trouve donc pas dans le langage, mais dans une sensibilité commune, acquise au fil du temps par la répétition d expériences, et par conséquent limitée. Pour cette raison, on peut dire que comprendre l autre ne sera jamais nouer avec lui un dialogue d intériorité à intériorité : la généalogie nietzschéenne du langage m interdit d espérer une saisie intuituive pure de l autre.

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s

L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s L E C O U T E P r i n c i p e s, t e c h n i q u e s e t a t t i t u d e s Stéphane Safin Psychologue - Ergonome Lucid Group -

Plus en détail

COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION

COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Stephen Wang COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Mariage, sacerdoce, vie consacrée, diaconat permanent, célibat «Petits Traités Spirituels» Série III «Bonheur chrétien» éditions des Béatitudes Ava n t-p r o

Plus en détail

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr

Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Peut-on faire confiance à une personne démente? olivier.drunat@brt.aphp.fr Actualités en Médecine Gériatrique, Paris 17 juin 2015 Conflit d intérêt Remerciements au Dr O. Faraldi Une réponse triviale?

Plus en détail

RESSOURCEMENT SUR MESURE

RESSOURCEMENT SUR MESURE RESSOURCEMENT SUR MESURE Le Centre Assomption de Lourdes propose d avril à octobre la formule innovante du RESSOURCEMENT SUR MESURE La nouvelle équipe d animation, composée de sœurs et de laïcs, répond

Plus en détail

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est

Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française

Plus en détail

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à : Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du

Plus en détail

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne

OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions

Plus en détail

Un contrat de respect mutuel au collège

Un contrat de respect mutuel au collège Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en

Plus en détail

La clause pénale en droit tunisien 1

La clause pénale en droit tunisien 1 La clause pénale en droit tunisien 1 Frej LOKSAIER Maître-assistant à la Faculté de Droit de Sousse La clause pénale est considérée en droit tunisien comme étant une convention accessoire par laquelle

Plus en détail

Comores. Modalités de gestion et d administration des sociétés à capitaux publics

Comores. Modalités de gestion et d administration des sociétés à capitaux publics Modalités de gestion et d administration des sociétés à capitaux publics Décret n 07-151 [NB - Décret n 07-151 de 2007 fixant certaines modalités de gestion et d administration des sociétés à capitaux

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques

Plus en détail

Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007

Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Assises de l Enseignement Catholique Intervention de Paul MALARTRE Paris Cité des Sciences de La Villette 8 juin 2007 Quand je pense à ces nouveaux Chefs d établissement qui me disaient récemment avoir

Plus en détail

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ

STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ Société de Réassurance mutuelle régie par le Code des Assurances Siège Social : 65, rue de Monceau - 75008 PARIS STATUTS TITRE PREMIER CONSTITUTION ET OBJET DE LA SOCIÉTÉ ARTICLE PREMIER - FORMATION -

Plus en détail

TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian

TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian Compte rendu de Raphaël Boublil TP Service HTTP Serveur Apache Linux Debian Tout au long du tp, nous redémarrons le service apache constamment pour que les fi de configuration se remettent à jour - /etc/init.d/apache2

Plus en détail

Enseignement des habiletés sociales au secondaire

Enseignement des habiletés sociales au secondaire 1 Enseignement des habiletés sociales au secondaire Groupe 1 : Habiletés sociales de base Habileté 1 : Se présenter Par Sandra Beaulac Fiche de planification Habileté sociale : SE PRÉSENTER Type d atelier

Plus en détail

NOTIONS DE PROBABILITÉS

NOTIONS DE PROBABILITÉS NOTIONS DE PROBABILITÉS Sommaire 1. Expérience aléatoire... 1 2. Espace échantillonnal... 2 3. Événement... 2 4. Calcul des probabilités... 3 4.1. Ensemble fondamental... 3 4.2. Calcul de la probabilité...

Plus en détail

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables

Leçon N 4 : Statistiques à deux variables Leçon N 4 : Statistiques à deux variables En premier lieu, il te faut relire les cours de première sur les statistiques à une variable, il y a tout un langage à se remémorer : étude d un échantillon d

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq

à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque

Plus en détail

LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ

LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ JEUX DU COMMERCE 2008 CAS COMPTABILITÉ FINANCIÈRE LA FERME À MATURIN INC. ÉNONCÉ Éric Déry, CA, MBA Département des Sciences comptables Université du Québec à Trois-Rivières 2007 Toute reproduction, en

Plus en détail

CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE

CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE CHARTE DU CORRESPONDANT MODELE TYPE CHAPITRE 1: CONDITIONS DANS LESQUELLES LE BUREAU LUXEMBOURGEOIS ACCORDE, REFUSE OU RETIRE SON AGREMENT A UN CORRESPONDANT 1.1 Comment remplir la fonction de correspondant

Plus en détail

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base

Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Office DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen

Plus en détail

Dans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)

Dans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris) 1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins

Plus en détail

Conditions générales

Conditions générales Conditions générales Article 0 Conditions générales Etant donné que RELI opère dans un environnement commercial, technologique et règlementaire qui change constamment, RELI peut toujours adapter les présentes

Plus en détail

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss

Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Projet de loi RSA et politiques d insertion Observations et propositions d amendements de l Uniopss Modalités d attribution des droits connexes au RSA Instaurer une automaticité de fait et non de droit

Plus en détail

L OAN aussi diversifié que le canton de Berne

L OAN aussi diversifié que le canton de Berne L OAN aussi diversifié que le canton de Berne Direction de l économie publique du canton de Berne OAN Office de l agriculture et de la nature Vision Mission La conception et la mise en réseau de l agriculture,

Plus en détail

«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2

«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2 «POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2 (V, 20) C est pour Christ que nous sommes en ambassade, puisque c est Dieu qui appelle par nous. Nous vous (le) demandons pour Christ, réconciliez-vous

Plus en détail

COMMUNAUTE DE COMMUNES DE MONTREVEL EN BRESSE Place de la Résistance BP 69 01340 MONTREVEL EN BRESSE Tél: 04 74 25 68 98 Fax : 04 74 30 85 42

COMMUNAUTE DE COMMUNES DE MONTREVEL EN BRESSE Place de la Résistance BP 69 01340 MONTREVEL EN BRESSE Tél: 04 74 25 68 98 Fax : 04 74 30 85 42 COMMUNAUTE DE COMMUNES DE MONTREVEL EN BRESSE Place de la Résistance BP 69 01340 MONTREVEL EN BRESSE Tél: 04 74 25 68 98 Fax : 04 74 30 85 42 REGLEMENT INTERIEUR DES PROCEDURES ADAPTEES Article 28 du Code

Plus en détail

V- Manipulations de nombres en binaire

V- Manipulations de nombres en binaire 1 V- Manipulations de nombres en binaire L ordinateur est constitué de milliards de transistors qui travaillent comme des interrupteurs électriques, soit ouverts soit fermés. Soit la ligne est activée,

Plus en détail

GROUPE HNZ INC. POLITIQUE EN MATIÈRE D OPÉRATIONS D INITIÉS

GROUPE HNZ INC. POLITIQUE EN MATIÈRE D OPÉRATIONS D INITIÉS GROUPE HNZ INC. POLITIQUE EN MATIÈRE D OPÉRATIONS D INITIÉS La présente politique fournit des lignes directrices aux administrateurs, aux dirigeants, aux employés et aux consultants de Groupe HNZ Inc.

Plus en détail

Chapitre 1 Qu est-ce qu une expression régulière?

Chapitre 1 Qu est-ce qu une expression régulière? Chapitre 1 Qu est-ce qu une expression régulière? Les ordinateurs n ont pas du tout la même conception des textes que nous : pour nous, un texte est un ensemble d idées couchées sur papier. Nous nous en

Plus en détail

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris)

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) Samedi : 10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) La séance a commencé par un tour de table afin de présenter chaque association

Plus en détail

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE

QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE QUELQUES CONSEILS AU PROFESSEUR STAGIAIRE POUR ASSEOIR SON AUTORITE Le premier contact avec vos élèves est déterminant, il y a de nombreux éléments à prendre en compte pour le réussir. Un professeur doit

Plus en détail

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23.

«Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. «Si quelqu un veut venir après moi qu il renonce à lui-même, qu il se charge chaque jour de sa croix et qu il me suive» Luc 9 : 23. Pour faire suite au récit des disciples sur le chemin d Emmaüs et pour

Plus en détail

RentaSafe La rente garantie à vie

RentaSafe La rente garantie à vie RentaSafe La rente garantie à vie Information des consommateurs et conditions contractuelles générales Edition 2011 Votre sécurité nous tient à cœur. 2 Information des consommateurs Information des consommateurs

Plus en détail

Danseur / Danseuse. Les métiers du spectacle vivant

Danseur / Danseuse. Les métiers du spectacle vivant Les métiers du spectacle vivant Filière : artistique Domaine : art chorégraphique Appellations voisines : artiste chorégraphique Autres métiers du domaine : chorégraphe, maître de ballet, notateur Danseur

Plus en détail

Le point sur les compléments alimentaires

Le point sur les compléments alimentaires Le point sur les compléments alimentaires Médecin du Comité Régional et Sportif d Ile-de-France, Médecin de l Antenne Médicale de Prévention du Dopage d Ile-de-France Les compléments alimentaires doivent

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

Le monitoring des médias

Le monitoring des médias Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l Information & de la Communication 2012 Chapitre 10 Le monitoring des médias 221 Rapport Général de l Instance Nationale pour la Réforme de l

Plus en détail

FICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56)

FICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56) Pack de conformité - Assurance 14 FICHE N 2 LA GESTION COMMERCIALE DES CLIENTS ET PROSPECTS POUR LE SECTEUR DES ASSURANCES (NS 56) LES TRAITEMENTS DE DONNÉES PERSONNELLES AU REGARD DE LA LOI I&L Finalités

Plus en détail

Présentation du langage et premières fonctions

Présentation du langage et premières fonctions 1 Présentation de l interface logicielle Si les langages de haut niveau sont nombreux, nous allons travaillé cette année avec le langage Python, un langage de programmation très en vue sur internet en

Plus en détail

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE

ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE ATELIER DROIT DES CONTRATS, DE LA CONSOMMATION ET DU COMMERCE ELECTRONIQUE Présidence : Martine Behar-Touchais, professeur à l Université Paris Descartes (Paris V) Les clauses abusives à l épreuve de la

Plus en détail

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION

QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également

Plus en détail

Questionnaire de sondage: de la communication interne dans l organisation

Questionnaire de sondage: de la communication interne dans l organisation Cours 7 Audit : Exemple de questionnaire Questionnaire de sondage: de la communication interne dans 1. Votre organisation s est-elle dotée officiellement d une stratégie, d un programme ou d une politique

Plus en détail

RÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires

RÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires RÈGLEMENT sur la collaboration avec les intermédiaires Fédération Internationale de Football Association Président : Joseph S. Blatter Secrétaire Général : Jérôme Valcke Adresse : FIFA FIFA-Strasse 20

Plus en détail

Chapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé

Chapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données

Plus en détail

O I L V I E V R AIME SA FM

O I L V I E V R AIME SA FM OLIVER AIME SA FM «Les livres «Oliver l enfant qui entendait mal» et «Oliver aime sa FM» sont dédiés à mon frère, Patrick, qui est malentendant, à notre famille, à nos amis et aux professionnels qui s

Plus en détail

Les avantages en nature / avantages anormaux ou bénévoles

Les avantages en nature / avantages anormaux ou bénévoles Mise à jour : 23/01/2015 Parc scientifique Einstein - Rue du Bosquet 8A - B-1348 Louvain-La-Neuve Téléphone : +32 (0)10/811 147 Fax +32 (0)70/401 237 - info@filo-fisc.be Les avantages en nature / avantages

Plus en détail

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante? Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle

Plus en détail

L'identité de l'entreprise

L'identité de l'entreprise L'identité de l'entreprise ACT Formation 181 à 203 avenue Jean Jaurès 69007 Lyon Tél. 33 00/4 72 73 48 79 Fax 33 00/4 72 73 11 20 email : info@actformation.fr www.actformation.fr ACT Formation SA 1 route

Plus en détail

CONTRAT CLIP ( Contrat de Location Informatique Pure ) John Dow entreprise de location-vente, réparation informatique et graphisme numérique.

CONTRAT CLIP ( Contrat de Location Informatique Pure ) John Dow entreprise de location-vente, réparation informatique et graphisme numérique. CONTRAT CLIP ( Contrat de Location Informatique Pure ) Résumé du contrat : Le Loueur (la société JOHN DOW) s engage à louer du matériel informatique au Client en l échange du payement d une somme mensuelle

Plus en détail

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe.

Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Différencier, d accord oui mais comment organiser sa classe. Quand on est convaincu que l on ne peut pas travailler tout le temps avec toute sa classe en même temps et que l on souhaite mettre en place

Plus en détail

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 7 bis du 15 septembre 2006 C2006-36 / Lettre du ministre de l économie, des finances et de l industrie du 9 août

Plus en détail

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1

Modulo Bank - Groupe E.S.C Chambéry - prérequis à la formation - doc. interne - Ecoute active.doc Page 1 Généralités, l'écoute active : présentation et techniques... 3 Introduction... 3 Plan... 3 La présentation de l'écoute active... 4 Définition... 4 Fondement... 4 Application... 4 de l'écoute active...

Plus en détail

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale 2 Définitions Définitions Banque Bureau de l ombudsman Ombudsman Client Client commercial Client particulier Décision d affaires Décision

Plus en détail

Les outils de communication

Les outils de communication FICHE DE SYNTHÈSE Module 8 Les outils de communication - MODULE SEMAINE 8 - SOMMAIRE : I) Les différents média de communication...2 II) Savoir tirer parti des réseaux sociaux...2 1/6 I) LES DIFFÉRENTS

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / La France a un incroyable talent 2011»

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / La France a un incroyable talent 2011» REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / La France a un incroyable talent 2011» ARTICLE 1 La société M6 WEB, 89, avenue Charles de Gaulle, 92575 NEUILLY-SUR-SEINE Cedex, organise à l occasion de la

Plus en détail

Police Protection Niveau de vie pour les professionnels

Police Protection Niveau de vie pour les professionnels Stéphane a 40 ans et il touche une rémunération nette de 125 000 $ par année. Il est sur le point de devenir allergique au latex......ce qui lui coûtera plus de 4,5 millions de dollars. Police Protection

Plus en détail

Cégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques. Projet WebCSL : Guide de rédaction web

Cégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques. Projet WebCSL : Guide de rédaction web Cégep de Saint Laurent Direction des communications et Direction des ressources technologiques Projet WebCSL : Laurence Clément, conseillère en communication édimestre Marc Olivier Ouellet, webmestre analyste

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Un trésor dans votre maison 40»

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Un trésor dans votre maison 40» REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Un trésor dans votre maison 40» ARTICLE 1 La société M6 WEB, 89, avenue Charles de Gaulle, 92575 NEUILLY-SUR-SEINE Cedex, organise à l occasion de la diffusion

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Qui est la taupe»

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Qui est la taupe» REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Qui est la taupe» ARTICLE 1 La société M6 WEB, 89, avenue Charles de Gaulle, 92575 NEUILLY-SUR-SEINE Cedex, organise à l occasion de la diffusion de l émission

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l

Plus en détail

COP MESSAGGIO 2014/2015 MESSAGGIO COP 2014 / 2015

COP MESSAGGIO 2014/2015 MESSAGGIO COP 2014 / 2015 MESSAGGIO COP 2014 / 2015 1 Monsieur le Secrétaire Général, Par cette lettre, j ai l honneur de vous confirmer que messaggio soutien les 10 principes du Pacte des Nations Unies concernant les droits de

Plus en détail

Évaluation et implémentation des langages

Évaluation et implémentation des langages Évaluation et implémentation des langages Les langages de programmation et le processus de programmation Critères de conception et d évaluation des langages de programmation Les fondations de l implémentation

Plus en détail

Mise sur le marché des engrais en Europe. Paris, le 9 septembre 2009. Vincent Delvaux

Mise sur le marché des engrais en Europe. Paris, le 9 septembre 2009. Vincent Delvaux Mise sur le marché des engrais en Europe Paris, le 9 septembre 2009 Vincent Delvaux Implémentation pratique des Articles 28 et 30 et 95 du Traité CE Législation harmonisée garantit que les produits sont

Plus en détail

Marketing - Relation commerciale - Communication Exemples de formation

Marketing - Relation commerciale - Communication Exemples de formation Marketing - Relation commerciale - Communication Exemples de formation Marketing - Le marketing dans la stratégie d'entreprise - Bâtir son plan d'action marketing Vente - Techniques de vente en face à

Plus en détail

Mise en sécurité des ascenseurs. Guide d aide à la décision

Mise en sécurité des ascenseurs. Guide d aide à la décision Mise en sécurité des ascenseurs Solutions techniques pour répondre à l obligation réglementaire de précision d arrêt et maintien à niveau des ascenseurs Utilisation des variateurs électriques de vitesse

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER

RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER RESEARCH TEAM RAPPORT TECHNIQUE JOURNALIER LIMITATION DE RESPONSABILITE & TRANSPARENCE Veuillez lire les clauses de limitation de responsabilite et de transparence en fin de rapport EUR / USD Se consolide.

Plus en détail

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.

DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d

Plus en détail

Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture

Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Dilemme»

REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Dilemme» REGLEMENT DU JEU-CONCOURS «Audiotel - SMS / Dilemme» ARTICLE 1 La société M6 WEB, 89, avenue Charles de Gaulle, 92575 NEUILLY-SUR-SEINE Cedex, organise à l occasion de la diffusion de l émission «Dilemme»

Plus en détail

Comprendre les différentes formes de communication

Comprendre les différentes formes de communication Chapitre 2 Communiquer de façon professionnelle 2. Lisez la mise en situation ci-dessous. Ensuite, nommez les attitudes favorisant la communication qui n ont pas été mises en pratique et expliquez votre

Plus en détail

Cours n 3 Valeurs informatiques et propriété (2)

Cours n 3 Valeurs informatiques et propriété (2) Cours n 3 Valeurs informatiques et propriété (2) - Les Bases De Données - Le multimédia - Les puces et topographies - La création générée par ordinateur 1 LES BASES DE DONNEES Depuis 1998, les Bases De

Plus en détail

Chapitre 15. La vie au camp

Chapitre 15. La vie au camp Chapitre 15. La vie au camp Chapitre 15. La vie au camp 227 1. Intensité de la vie du camp 230 2. Loin de la maison 230 A. Sentiment de sécurité 230 B. Les coups de cafard de l enfant 231 227 Un camp,

Plus en détail

MNG360 Rapport 360. de M. John DOE

MNG360 Rapport 360. de M. John DOE MNG360 Rapport 360 de M. John DOE Evaluation réalisée MNG360 Date de création vendredi 19 juin 2009 12:23 Date de début vendredi 19 juin 2009 12:31 Date de fin vendredi 19 juin 2009 12:45 Temps de passation

Plus en détail

Conseil Diocésain de Solidarité et de la Diaconie. 27 juin 2015. «Partager l essentiel» Le partage est un élément vital.

Conseil Diocésain de Solidarité et de la Diaconie. 27 juin 2015. «Partager l essentiel» Le partage est un élément vital. 27 juin 2015 Le partage est un élément vital. Notre démarche Notre chemin Dans un premier temps, nous sommes partis de mots qui expriment ce qui est essentiel pour nous, indispensable pour bien vivre.

Plus en détail

II. LE PRINCIPE DE LA BASE

II. LE PRINCIPE DE LA BASE II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas

Plus en détail

Objet du marché : REGLEMENT PARTICULIER DE LA CONSULTATION

Objet du marché : REGLEMENT PARTICULIER DE LA CONSULTATION Objet du marché : Voyage Linguistique et Culturel En Angleterre : Devon Sur la piste des grands détectives anglais REGLEMENT PARTICULIER DE LA CONSULTATION Procédure de consultation utilisée : Procédure

Plus en détail

Constat. Nicole DAUSQUE, dausque@urec.cnrs.fr CNRS/UREC

Constat. Nicole DAUSQUE, dausque@urec.cnrs.fr CNRS/UREC Utilisation de produits de simulation d intrusions Nicole DAUSQUE, dausque@urec.cnrs.fr CNRS/UREC Bon nombre des 1 250 unités du CNRS communiquent sur l Internet pour l ordinaire : messagerie électronique,

Plus en détail

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?

COMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS? Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont

Plus en détail

Accueil familial de jour

Accueil familial de jour Département de la formation, de la jeunesse et de la culture Service de protection de la jeunesse Directives pour l accueil de jour des enfants Accueil familial de jour Cadre de référence et référentiels

Plus en détail

ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA)

ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA) ASSURER DES FORMATIONS DE QUALITE: Quelques pistes l expérience d UPLiFT, partenaire d Inter Aide à Manille, Philippines (anciennement appelé NBA) Paul Hibon * Donner aux bénéficiaires envie d acquérir

Plus en détail

QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL DIALOGUE SOCIAL MOTIVATION ET ENGAGEMENT PRÉVENTION DU STRESS ET DU RISQUE PSYCHOSOCIAL COMPÉTITIVITÉ

QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL DIALOGUE SOCIAL MOTIVATION ET ENGAGEMENT PRÉVENTION DU STRESS ET DU RISQUE PSYCHOSOCIAL COMPÉTITIVITÉ QUALITÉ DE VIE AU TRAVAIL DIALOGUE SOCIAL MOTIVATION ET ENGAGEMENT PRÉVENTION DU STRESS ET DU RISQUE PSYCHOSOCIAL COMPÉTITIVITÉ AUTANT DE SUJETS QUI RENVOIENT À LA DIMENSION HUMAINE OU ORGANISATIONNELLE

Plus en détail

Microsoft CRM, pilier du service support et de la gestion de GS1

Microsoft CRM, pilier du service support et de la gestion de GS1 Microsoft CRM 3.0 Microsoft CRM, pilier du service support et de la gestion de GS1 Overview Pays: Belgique Secteur: Informatique Profil GS1, ex-ean International, est la société qui se cache derrière les

Plus en détail

Les missions déterminent les orientations stratégiques et opérationnelles de Symbiose ingénierie internationale et influences le choix des membres :

Les missions déterminent les orientations stratégiques et opérationnelles de Symbiose ingénierie internationale et influences le choix des membres : REGLEMENT INTERIEUR de Symbiose ingénierie internationale : Le présent règlement intérieur a été élaboré conformément au processus établi par les Statuts de l association. Il précise des points des statuts

Plus en détail

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,

Plus en détail

Résultats. 1 Quelle est votre tranche d âge?

Résultats. 1 Quelle est votre tranche d âge? 84 réponses Afficher toutes les réponses Résultats 1 Quelle est votre tranche d âge? 10-11 3 4 % 11-12 8 10 % 12-13 21 25 % 13-14 19 23 % 14-15 24 29 % 15 et plus 9 11 % TELEPHONE PORTABLE 2 Disposez-vous

Plus en détail

FileZilla. Sauvegarder son site Guppy à l aide de. Sommaire:

FileZilla. Sauvegarder son site Guppy à l aide de. Sommaire: FileZilla http://filezilla.sourceforge.net/ Sauvegarder son site Guppy à l aide de Sommaire: P. 2 Téléchargement et installation P. 3 Paramétrage du transfert P. 3 L'environnement de Filezilla P. Sauvegarde

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS N 47 DU 19 AVRIL 2012 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES INSTRUCTION DU 17 AVRIL 2012 8 M-3-12 PLUS-VALUES IMMOBILIERES ET PLUS-VALUES SUR BIENS MEUBLES. AMENAGEMENT

Plus en détail

PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS DE VANCOUVER

PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS DE VANCOUVER PRESENTATION DES RECOMMANDATIONS DE VANCOUVER Voici une présentation des recommandations de Vancouver. Ces recommandations ont pour objet d uniformiser la présentation des références bibliographiques dans

Plus en détail

WIPO/GRTKF/IC/7/3 ANNEXE I

WIPO/GRTKF/IC/7/3 ANNEXE I ANNEXE I RESUME DU PROJET D OBJECTIFS DE POLITIQUE GENERALE ET DE PRINCIPES FONDAMENTAUX CONCERNANT LA PROTECTION DES EXPRESSIONS CULTURELLES TRADITIONNELLES OU EXPRESSIONS DU FOLKLORE La présente annexe

Plus en détail

GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS

GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité MEDIATION INFORMATIONS GROUPE DE CONFIANCE protection de la personnalité INFORMATIONS MEDIATION La médiation fait partie du dispositif de protection de la personnalité des membres du personnel de l'etat de Genève et des institutions

Plus en détail

Conditions Générales d utilisation de l Application «Screen Mania Magazine»

Conditions Générales d utilisation de l Application «Screen Mania Magazine» Conditions Générales d utilisation de l Application «Screen Mania Magazine» Les présentes Conditions Générales d Utilisation régissent l ensemble des différentes utilisations de l APPLICATION tablettes

Plus en détail

Si on parlait de culture

Si on parlait de culture Si on parlait de culture «... les humains ne sont pas seulement eux-mêmes ; ils sont aussi le milieu où ils sont nés, le foyer dans la ville ou la ferme où ils ont appris à faire leurs premiers pas, les

Plus en détail

REGLEMENT DU JEU «CONCOURS SOLID R»

REGLEMENT DU JEU «CONCOURS SOLID R» REGLEMENT DU JEU «CONCOURS SOLID R» ARTICLE 1 ORGANISATEUR La Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel de La Réunion, Société coopérative à capital variable, agréé en tant qu établissement de crédit,

Plus en détail

La bonne gouvernance et le leadership du conseil d administration Favoriser et maintenir la confiance. ACCAU 2015 Montréal Sheila A. Brown, Ph. D.

La bonne gouvernance et le leadership du conseil d administration Favoriser et maintenir la confiance. ACCAU 2015 Montréal Sheila A. Brown, Ph. D. La bonne gouvernance et le leadership du conseil d administration Favoriser et maintenir la confiance ACCAU 2015 Montréal Sheila A. Brown, Ph. D. Plan de la présentation 1. La définition de la confiance

Plus en détail

ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ

ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ ECVET GUIDE POUR LA MOBILITÉ 2 GUIDE POUR LA MOBILITÉ ECVET «Le système européen de crédits d apprentissage pour l enseignement et la formation professionnels (ECVET) est un cadre technique pour le transfert,

Plus en détail

Politique d'enregistrement en.paris

Politique d'enregistrement en.paris POLITIQUE D ENREGISTREMENT EN.PARIS 1 Politique d'enregistrement en.paris Sommaire 1. L acceptation de la présente Politique d'enregistrement 2. L enregistrement de Votre nom de domaine en.paris 2.1 Les

Plus en détail

Fonds d investissement Tangerine

Fonds d investissement Tangerine Fonds d investissement Tangerine Prospectus simplifié Portefeuille Tangerine revenu équilibré Portefeuille Tangerine équilibré Portefeuille Tangerine croissance équilibrée Portefeuille Tangerine croissance

Plus en détail