LA CHARTE ALCOOL ASSISTANCE

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1 LA CHARTE ALCOOL ASSISTANCE

2 STATUTS Article premier) L association dite «Alcool Assistance la Croix d Or», fondée en 1901, a pour but de grouper toutes les personnes désirant, par leur engagement personnel, œuvrer efficacement pour la prévention et le traitement de l alcoolisme, maladie physique, psychologique, sociale et spirituelle. Indépendante de toute organisation politique ou confessionnelle, elle s inspire dans son action du respect de le dignité et de le liberté de la personne humaine. Article 2) «Alcool Assistance-la Croix d Or» s efforce de réaliser autour des malades alcooliques la mobilisation de toutes les bonnes volontés, de toutes les compétences et de tous les secours afin d aider à se libérer puis de se réadapter à la vie. Elle veut faire des malades de l alcool, des abstinents tout à la fois heureux et utiles.

3 ACTION MILITANTE 1/ Le vécu de la maladie alcoolique et l expérience qu ils en ont retiré font de nos militants les acteurs aptes à accueillir, écouter, comprendre et accompagner les personnes en difficulté avec l alcool. 2/ Le vécu et l expérience seuls ne sont pas suffisants pour aborder le problème dans sa globalité. Nos statuts précisent que la maladie alcoolique est physique, psychologique, sociale et spirituelle. Il est donc nécessaire d acquérir par la formation des connaissances sur l alcool - la maladie - l entourage - les partenaires et l action militante. 3/ Les personnes en difficulté avec l alcool, malades et entourages doivent trouver accueil chaleur sympathie - écoute, en un mot tout ce que leur situation ne leur permet pas de trouver dans un environnement habituel. 4/ Après le premier contact, le militant s efforcera de faire comprendre au malade qu il n est pas un cas particulier et que sa situation est très similaire à celle que lui-même a vécue. Ce processus d identification réciproque permettra au malade de reconnaître sa maladie, de s intégrer au groupe et de commencer à envisager une possibilité de changement.

4 5/ Cette intégration progressive conduira à créer une situation optimale pour le rétablissement de la communication, depuis si longtemps perdue et dans laquelle sans être questionné le malade pourra aborder tous les sujets qu il souhaite, sans ressentir le poids d un jugement. 6/ Dans la communication rétablie, le militant conduira le malade à devenir l acteur de son rétablissement et le décideur du mode de soins qu il va choisir parmi ceux qui lui sont proposés. 7/ Le groupe ou la section devront offrir toutes les conditions d un climat de confiance, d échanges, d amitié pour que le nouvel arrivant renoue avec les habitudes de la vie en commun. 8/ Les militants s engagent à la plus stricte confidentialité. 9/ Après cette période de réadaptation le ou les militants devront passer la main et accompagner ou recommander le malade à son ou un médecin ou à une équipe soignante pour le sevrage et le suivi psychothérapeutique adaptés à sa situation.

5 10/ les visites des militants en cours de soins sont une preuve d attention qui augmentent significativement l expérience durée dans l abstinence. 11/ La sortie des soins est une période difficile qui doit être préparée par le militant tant pour le nouvel abstinent qui va retrouver son environnement «d avant» que pour l entourage qui doit être préparé aux conditions psychologiques de ce retour. 12/ L abstinence n est pas un but ni une contrainte mais le moyen essentiel de la liberté retrouvée pour être heureux. Il appartient aux militants de faire faire aux nouveaux abstinents le bilan des bénéfices de l abstinence pour consolider le succès des soins. 13/ Le soutien psychologique du malade par le groupe peut être long pour parvenir à un nouvel équilibre psychique et à la réinsertion sociale, familiale et professionnelle. Il faut laisser le temps au temps. Le malade aura longtemps besoin de s occuper de lui (aides-toi, le ciel t aidera). 14/ Puis peut être un jour viendra le temps de l engagement qui est celui d aider soi-même en aidant les autres.

6 ENTOURAGE Ceux qui entourent le malade alcoolique de près ou de loin, conjoints, enfants, amis, collègues, patrons. Tous sont à un moment concernés. 1/ On peut être malade de l alcool sans jamais avoir bu c est le «mal de voir boire». 2/ L entourage ressent une impression de honte, de culpabilité, d impuissance, d isolement. 3/ Il faut lui réserver le même accueil confiant, chaleureux, ouvert et lui offrir la possibilité d exprimer son propre mal être. 4/ L entourage doit être informé de tout ce qu il ne sait pas et ne peut comprendre de l alcool et de l alcoolisation. Il faut qu il apprenne et accepte la progressivité de l intoxication et le processus de la dépendance. 5/ Il convient de lui faire chasser les contre vérités sur le vice de boire, le manque de volonté pour dédramatiser sa relation à l être cher et lui apprendre à le regarder comme un malade.

7 6/ Lui apprendre à rendre du recul, à ne pas culpabiliser, ce n est pas lui le responsable, l aider à redonner un sens à sa vie pour le maintien de son couple et la structure de la cellule familiale. 7/ L entourage doit reprendre espoir en sachant que la maladie de l alcool n est pas une fatalité mais se soigne. 8/ Lui donner espoir d une solution et l associer au projet. L entourage doit obligatoirement faire partie de l accompagnement psychothérapeutique à long terme du malade. 9/ Lui faire une place, sa place au sein du groupe «entourage» mais aussi du groupe de la section. 10/ Préparer avec lui «les bonnes conditions psychologiques» du retour à la maison. 11/ L associer ensuite à toutes les manifestations, réunions pour lui redonner à lui aussi le goût à la vie.

8 INFORMATION-SENSIBILISATION SUR LES RISQUES D UNE CONSOMMATION EXCESSIVE D ALCOOL Au-delà du rôle d accompagnant les militants par leur comportement exemplaire doivent montrer que l on peut «vivre heureux sans alcool» et faire connaître les risques d une consommation excessive par : 1/ Rencontres, soirées, fêtes, repas sans alcool pour les nouveaux abstinents et leurs familles. 2/ Organisation de séances publiques d information. 3/ Participation aux journées associatives. 4/ Information sur l alcool, l alcoolisation, l alcoolodépendance, leurs risques et conséquences dans les Ets scolaires, les entreprises, les services publics. 5/ Le témoignage d un ancien buveur est toujours porteur de dialogue, c est une ouverture à la communication avec tous les public. 6/ Se servir des documents et outils d information de l association nationale

9 ORGANISATION FONCTIONNEMENT ASSOCIATION NATIONALE SECRETARIAT DOCUMENTATION Les 13 associations régionales Association régionale Les associations départementales Association départementale Les zones (groupement de sections) Zone Les 461 sections locales Section Les antennes Antenne

10 ORGANISATION FONCTIONNEMENT 1/ Apprendre son association - ses objectifs, ses statuts sa hiérarchie, son fonctionnement, sa communication. 2/ Lire, comprendre et transmettre les comptes-rendus pour une bonne information à tous les adhérents. 3/ faire connaître les actions - manifestations et événements locaux pour qu ils enrichissent le capital commun de l association 4/ Participer à l action, au fonctionnement 5/ Savoir se répartir les rôles et les taches en fonction des compétences et savoir de chacun. 6/ Respecter les obligations statuaires de l association : permanences -réunions -bureaux - conseils -A.G -élections. 7/ Ne pas hésiter à questionner, se renseigner, se documenter auprès du secrétariat national.

11 FORMATION On ne peut parler que de ce que l on connaît bien - vécu et expérience sont personnels et ne suffisent pas pour être accompagnant - aidant - apprenant. 1/ Demander à participer aux stages de formation où l on apprend : - gestion associative et fonctionnement, - approche du malade, - animation de groupe et communication - alcoologie 2/ Apprendre à ne pas faire seul et privilégier le travail en équipe.

12 TRAVAIL EN RESEAU RELATIONS EXTERIEURES LES PARTENAIRES PROFESSIONNELS 1/ Établir de nouvelles relations médecins-pharmaciens, infirmiers (ères) assistantes et travailleurs sociaux, enseignants, gendarmes, juges, les autres associations, etc. 2/ Notre relation avec eux est inévitable, car nous ne pouvons pas tout faire seuls, mais souhaitable dans l esprit du soutien que nous devons aux malades que nous accompagnons et aux compétences que nous devons leur faire connaître. 3/ Entretenir un carnet d adresses de tous ces intervenants. 4/ Multiplier les occasions de rencontres. 5/ Faire connaître l association, son savoir-faire, sa disponibilité.

13 6/ Créer des réseaux, sans hiérarchie, où tous ces intervenants apprécieront d être utiles dans leur compétences à nos côtés. 7/ Respecter le savoir et l autonomie des autres. 8/ Le travail en réseau formalise les relations avec les différents partenaires 9/ Il mutualise les savoirs et compétences 10/ Le réseau permet d identifier en commun les sujets qui devront faire l objet d une évaluation

14 LES PARTENAIRES INSTITUTIONNELS 1/ Ils sont nos financeurs, DDASS, CPAM, MSA, conseils généraux, régionaux, mairies etc. 2/ Les subventions émanent de l argent public. Elles ne sont pas un dû. Elles doivent présenter les comptes-rendus d une activité réelle et vérifiable accompagnée d un bilan financier. Elles doivent être libellées en terme de projets d actions. Les comptes-rendus doivent donner une évaluation précise des actions menées avec les fonds perçus. 3/ Toutes les règles et obligations de la loi de 1901 doivent être respectées et appliquées à l égard des administrations et services publics dont dépend l association.

15 L association Alcool Assistance est garante du respect de la présente charte. Elle peut et doit en redéfinir la pensée pour autant que sa stratégie l exige. L assemblée générale est souveraine en la matière. Alcool Assistance 10, rue des Messageries Paris Tél : Télécopie :

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