Serrurerie - Métallerie

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1 FICHE MÉTIER Serrurerie - Métallerie LES EVOLUTIONS DU METIER Les architectes utilisent de plus en plus le métal comme élément d expression architecturale, tant en structure qu en décoration. Les ouvrages à réaliser sont souvent des pièces uniques et complexes. Mais pour les ouvrages ne répondant pas qu à la fonction décorative, bon nombre de normes et règlements les régissent, rendant trop souvent presque irréaliste le souhait tectural, ajoutées à cela les contraintes techniques liées archi- aux normes. Dans certains cas, les obligations de marquages ou de tests obligatoires ont des incidences fi nancières très fortes sur les produits réalisés à l unité. Une entreprise aura du mal dans le futur à concilier ces ouvrages d unités avec les obligations de marquages, certifications, auxquelles ils sont soumis. Ceci conduit naturellement des industriels à se positionner sur des produits bien défi nis, pour lesquels ils peuvent investir en contrainte et supporter le choc fi nancier. Dans ces conditions, et si elle veut rester conforme aux règles de l art, l entreprise traditionnelle ne pourra proposer que des produits marqués et donc industrialisés. Son activité sera donc recentrée sur un rôle d ensemblier auquel on confère le soin de répondre à une fonction. Ces recours obligatoires à la sous-traitance (justifi és aussi par la pénurie de main d œuvre) conduisent les entreprises à bâtir des documents de références très précis pour les approvisionnements. Il faut donc travailler le plus en amont possible, ce qui renforce l importance du bureau d études, importance justifi ée aussi par les obligations faites de fournir plans, détails et traçabilité des systèmes de construction ; toutes ces étapes devant s exécuter dans un respect total des normes et règlements en vigueur. Mais le métier de métallier restant un métier d excellence, la concurrence qu il subira n ira pas vers les projets complexes ; sa diffi culté commerciale portera plus sur le choix stratégique de marché et sur la capacité à l entreprise à vendre le vrai prix des ouvrages, compte tenu de toutes ces contraintes. Face aux exigences et à la précision des ouvrages, les métalliers devront imposer aux autres corps d état une qualité de support compatible avec les exigences auxquelles ils sont soumis. Il faudra donc que les entreprises maitrisent le relationnel. Toutes ces évolutions entraînent également un changement d organisation plus rationnel, où «l à peu près» n a pas sa place. Les procédures deviennent omniprésentes, relayées en cela par les nouvelles technologies de la communication et de l information. Tous ces éléments ne doivent pas faire oublier que la diffi culté de ce métier conduit à ce que l entreprise s octroie une dynamique d acquisition des compétences et garantisse le transfert et le maintien de son savoir-faire. Le problème de la maitrise de l enveloppe du bâtiment fait l objet d une fi che à part. 39

2 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR 1. BUREAU D ETUDES : MAITRISE, NORMES ET REGLEMENTS 2. LES OUTILS INFORMATIQUES GENERALISES 3. MAITRISE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE COMMUNICATION 4. LA NEGOCIATION COMMERCIALE ET RELATIONNELLE 5. LA DYNAMIQUE D ANIMATION DES ACQUISITIONS DES COMPETENCES 6. INSTITUER ET GERER L AUTOCONTROLE OBSERVATIONS LIGNE 1 : BUREAU D ÉTUDES. C est une fonction qui va prendre une grande place dans cette activité, peu de formations initiales répondent à la précision du métier de métallier, il faut donc envisager des techniques d acquisition de compétences pouvant s appliquer à des publics aux formations initiales variées. Certains outils informatiques sont maintenant généralisés à l ensemble de la profession, les formations qui leur sont affectées (essentiellement les fournisseurs) sont trop longues et trop coûteuses ; il faut donc réfl échir à des dispositifs plus concis. Le dessin sur ordinateur est devenu le moyen commun de traitement en bureau d études, il conviendrait d envisager un module simple d acquisition de cette technique pour rendre les supports communs et accessibles à tous. LIGNE 2 ET 3 : LES OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION. Il faut que la communication d entreprise s appuie sur les nouvelles techniques, de façon à rendre l ensemble du dispositif garant des procédures et permettant la traçabilité efficace des projets et de leurs contenus. LIGNE : LA FONCTION COMMERCIALE. Elle comporte deux objectifs : celui traditionnel de la vente, où la capacité à négocier est primordiale mais s exercera différemment suivant le secteur d activités choisi, et celui de la négociation permanente avec les partenaires, qui garantit des conditions optimum de travail pour l entreprise. LIGNE 5 : ACQUISITION DES COMPÉTENCES. Les entreprises doivent être aidées et formées au management d acquisition des compétences car elles seront le plus souvent confrontées à des publics démunis de formation initiale ou provenant d origines professionnelles différentes. C est aussi u moyen de garantir le transfert des compétences des salariés et de dynamiser le niveau de savoirfaire. LIGNE 6 : L AUTOCONTRÔLE. Exiger un rendu qualitatif te respectueux des règles ne peut se concevoir sans une délégation forte et une garantie sur la qualité d exécution de toutes les étapes du projet. Ors, il est inenvisageable de favoriser ou laisser procéder à des contrôles externes. Il faut donc pour l entreprise, acquérir une vraie compétence de gestion et d animation de l autocontrôle. 0

3 FICHE MÉTIER Charpente métallique LES EVOLUTIONS DU METIER Historiquement centrée sur l activité du tertiaire et des grands ensembles, la structure métallique s adapte parfaitement à un développement en vue de l habitat individuel ou collectif. L usage de la structure métallique répond au développement de la filière sèche. Celle-ci permet de distinguer la structure de l enveloppe, permettant d intégrer sur la façade des produits performants thermiquement et énergétiquement. L exigence de conception et de traçabilité rend une fois de plus la filière sèche très bien adaptée, car elle permet un degré de précision et de suivi important. Par ailleurs, le développement de structure située en façade complémentaire du bâtiment pour accueillir des fonctions connexes (brise soleil, éléments de maintenance, sécurité) se réalise très aisément en métal. Tous ces éléments concourent à entrevoir une possibilité de déplacement des secteurs d activité traditionnels de la charpente métallique. L augmentation des normes et les contraintes environnementales touchent ce secteur. Les euro codes sont à intégrer dès à présent, et la sécurité incendie à prendre tout particulièrement en compte. S agissant des chantiers faible nuisance, la fi lière sèche offre l avantage d une rapidité d exécution et d une plus grande propreté durant les interventions lourdes. Le métier voit apparaître de plus en plus de sociétés n intégrant pas la fonction de fabrication dans leur organigramme, au même titre que des entreprises traditionnelles faisant le choix de se transformer en industriels. Ceci nécessite que les supports de communications et d informations soient très performants et le personnel rompu à ces usages. L informatique devient à tous les niveaux le vecteur de communication et de traçabilité commun. Le travail d atelier est de plus en plus complet, de façon à rendre les interrogations de montage les plus faibles possibles ; c est aussi un gage certain de suivi de la qualité d exécution. Une préparation très poussée en amont est donc nécessaire, avec pour effet de continuer à accroître le travail effectué en bureau d études et de méthodes, ceux-ci devant se tenir informés de toutes les évolutions normatives et règlementaires. La fonction commerciale est à repenser, conséquence directe d une concurrence plus agressive liée au développement de sociétés aux structures moins lourdes et à la présence grandissante de sociétés étrangères, ainsi que des choix de marchés plus variés. Le chargé d affaires qui hier offi ciait comme chef de projet, devra intégrer toutes les évolutions normatives, sécuritaires et managériales. Il faut s interroger, si dans ces conditions, la charge ne devient pas trop lourde et doit être scindée entre l action commerciale et le management du projet. Le recours à la sous-traitance de (fabrication), conduit à développer une fonction achats au travers de contraintes nouvelles (environnementales, sociétales, procédures, etc..). 1

4 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR BUREAU D ETUDES MAITRISE DES NORMES ET PROCESS FONCTION COMMERCIALE LA FONCTION D AUTOCONTROLE LE POSTE ACHATS ACQUISITION DE COMPETENCES ET MAINTIEN DES SAVOIR-FAIRE OBSERVATIONS BUREAU D ÉTUDES Cette compétence correspond à plusieurs critères : L obligation faite aux entreprises aujourd hui d intégrer toutes les évolutions normatives et réglementaires. De développer un travail le plus en amont possible. De préparer une méthode et des documents qui serviront de support et de relai pour toutes les informations dont le projet devra disposer durant son exécution De mettre en avant les meilleures solutions techniques internes ou externes pour répondre au projet. MAÎTRISE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE COMMUNICATION. Dans l optique défi nie plus haut, tous les éléments constituant un projet (informations, techniques règlementaires, procédurales) sont issus pour partie du bureau d études. Ils doivent participer à un suivi des informations, faciles à identifi er et à retrouver, le but étant de prévenir les confl its ultérieurs par une gestion de traçabilité cohérente et allégée par l usage des nouvelles technologies. FONCTION COMMERCIALE. Il s agit de prendre en compte un module plus fortement axé sur la vente et la performance de celle-ci, ainsi que l accompagnement au choix stratégique de marché. Jusque là, cette fonction était plus complexe car elle supposait aussi celle de chef de projets qui doit aujourd hui intégrer beaucoup de compétences complémentaires. L AUTOCONTRÔLE. La possibilité donnée à une entreprise de concevoir, bâtir et animer des dispositifs d autocontrôles, garantir à celle-ci des moyens préventifs face à des conflits ulterieurs ainsi qu une meilleure gestion de la qualité. LE POSTE ACHATS. L achat ne pourra pas, demain, se résumer à une fonction d approvisionnement. Les contraintes environnementales imposeront aux entreprises de pouvoir justifier leurs choix ; la culture du prix ne pourra plus être seule en vigueur. Cette fonction maîtrisée pourra aussi devenir une plus-value pour les entreprises. Savoir manager l acquisition des compétences et transmettre le savoir-faire de l entreprise sera demain un des facteurs principaux de la pérennité de l entreprise. 2

5 FICHE MÉTIER Peintures - Finitions LES EVOLUTIONS DU METIER Soumises depuis quelques temps au problème de la gestion des déchets et à la qualité sanitaire des produits, l activité peinture et finitions a subi de fortes évolutions. Résultant du problème des déchets, les techniques se développant font appel à des systèmes plus mécanisés, permettant de résoudre la contrainte de gestion de ces déchets par la technique d emballage des peintures. Ces techniques de mécanisation sont aujourd hui rentables et efficaces, y compris pour des chantiers de petite taille. Elles ont un effet direct sur les compétences au travail, d une part, par la nécessité de maîtriser la technique de ces appareils, d autre part, parce qu elles imposent un travail en équipe. Des compétences complémentaires liées à ces nouvelles situations de travail font leur apparition (organisation des tâches, programmations, approvisionnements, etc...) Elles offrent aussi l avantage de pouvoir répondre partiellement aux problèmes de pénurie de main-d œuvre. Autre évolution, celle concernant les produits qui passent d une phase solvanté à une phase aqueuse, ce qui modifi e sensiblement la technique d application. Cette évolution sur les produits risque de ne pas se limiter qu à ça. Dans le cas entre autre, du traitement des bois et compte tenu des exigences environnementales et sanitaires, certains types de produits ne pourront avoir cours. Il faudra donc que les entreprises acquièrent une parfaite connaissance au niveau des produits de traitement des supports. Le choix, la typologie des produits et des techniques doivent être parfaitement maîtrisés par l entreprise dans le but de garantir le respect des obligations normatives. Etre capable de conseiller les clients en tenant compte des point cités ci-dessus apportera à l entreprise une plus-value à son positionnement commercial. Toutes ces contraintes doivent en partie être maîtrisées par le personnel de chantier qui doit pouvoir effectuer, dans le respect des règles, la réalisation de son travail. Les contraintes liées au lieu de travail (sites industriels, règles dans les usines ou ateliers, travaux dans des locaux habités, usage des produits au regard de l environnement du public présent etc..) sont à prendre fortement en considération. Les fonctions de facility management sont à développer car elles correspondent directement aux souhaits des maîtres d ouvrages, qui visent à n avoir qu un seul interlocuteur. La fonction décoration est à entrevoir dans l optique d entreprises différenciées de l entreprise traditionnelle de peinture, car elle correspond réellement à une autre activité faisant appel à de compétences bien spécifiques. L isolation par l extérieur est depuis longtemps un secteur détenu par les entreprises de peinture avec le système ITE, mais il faut maitriser beaucoup plus qualitativement les techniques d isolation plus performantes et peut être s ouvrir à l usage de matériaux et de techniques d isolation par l extérieur différentes. 3

6 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR CONNAISSANCE DES PRODUITS SUIVANT LES SUPPORTS EFFETS DES CONTRAINTES ENVIRONNEMENTALES SUR LE METIER CHOIX DES PRODUITS, DES TECHNIQUES, DES USAGES ET DES ELEMENTS RESPECTES CONCEVOIR, REALISER ET GERER LE FACILITY MANAGEMENT L ORGANISATION DU TRAVAIL EN LIEUX SENSIBLES (PEINTURES INDUSTRIELLES) L ORGANISATION DU TRAVAIL AVEC LA MECANISATION DES OUTILS LES TECHNIQUES D ISOLATION PAR L EXTERIEUR LE ROLE DE CONSEIL DECORATION DANS L ENTREPRISE LA FONCTION COMMERCIALE ET SES EXTENSIONS AU PERSONNEL D EXECUTION 44

7 FICHE MÉTIER Plâtrerie - Isolation LES EVOLUTIONS DU METIER Il convient de distinguer deux types principaux d activité dans le métier de la plâtrerie isolation. : - La partie distribution qui concerne toutes les fonctions liées plus particulièrement aux travaux de cloisonne- ment et d aménagement intérieur des bâtiments. - La partie isolation assurant une grande partie de la performance thermique des parois des bâtiments. CONCERNANT LA PARTIE DISTRIBUTION ET AMÉNAGEMENT INTÉRIEUR : Le nombre de plus en plus important d éléments normatifs entrant en percussion avec les ouvrages nécessite que l ensemble des impacts soit pris en compte. Ces ouvrages sont impactés par les normes traitant de thermique, incendie, acoustique et accessibilité, ce qui conduit les entreprises à maîtriser parfaitement les bonnes pratiques qui rentrent en ligne de compte pour répondre à la fonction de l ouvrage. Le consommateur souhaitant de plus en plus n avoir recours qu à un seul interlocuteur, les entreprises de plâtrerie peuvent voir étendre leur champ d activité vers une notion d offre globale en aménagement. Ceci sera surtout vrai lorsqu il s agira de travaux de réaménagement de bâtiments dont la fonction distribution est le lot principal et lors de délais d interventions courts. L obligation faite aux hôtels de se mettre en conformité avec les règles d incendie va représenter pour ce métier un volume de travail considérable, d autant plus que sa réalisation est immédiate. Dans ce domaine aussi, le positionnement en offre globale peut apparaître comme une solution pour bon nombre de maîtres d ouvrages. CONCERNANT LA PARTIE ISOLATION : Les nouvelles dispositions normatives applicables en termes de performances énergétiques des bâtiments concernent au plus haut point la fonction isolation. Les options deviennent plus nombreuses et surtout plus variées (isolation intérieure, isolation intégrée dans la proie ou isolation par l extérieur ). Toutes ces options contribuent à la performance la mieux adaptée à la typologie de bâtiment concerné. Dans tous les cas, la qualité de réalisation et la possibilité de garantir celle-ci seront des éléments majeurs de positionnement des entreprises. CONCERNANT L ASPECT ISOLATION TRAITANT DE LA RÉNOVATION DES BÂTIMENTS : Le marché qui sera généré par ce type de travaux est très conséquent, l impact de l isolation dans la performance des bâtiments tout autant, car deux domaines majeurs contribuent au confort énergétique des bâtiments, à savoir : l enveloppe et les équipements. L obligation faite de garantir le résultat fi nal performant du bâtiment nécessitera une responsabilité unique sur l ouvrage ou, par fonction de macro lots majeurs (structure, enveloppe, équipements, aménagements). Ceci aura pour effet de voir apparaître des solutions de type offre globale dont la nature est encore à déterminer avec précision. Cette fonction sera accessible à toutes les entreprises ou groupements dès lors qu ils possèdent l ensemble des compétences requises. 5

8 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR CONNAISSANCES APPROFONDIES DES BONNES PRATIQUES RESULTANT DE L APPLICATION DES NORMES MAITRISE DES DIFFERENTS SYSTEMES CONSTRUCTIFS DE L ISOLATION LES METHODES RESULTANT DE CES TECHNIQUES CONSTRUCTIVES LES TECHNIQUES DE SUPPRESSION DES PONTS THERMIQUES DANS LA RENOVATION L OFFRE GLOBALE DES BATIMENTS OBSERVATIONS Les compétences relevant des lignes 1 et 2 correspondent à la mise à disposition pour les entreprises et les salariés des bonnes pratiques d exécution répondant aux exigences normatives et qualitatives. Il s agit donc au préalable d un très grand travail de recensement qui doit être porté par la profession, et qui sera ensuite diffusé aux entreprises en situation de travail. Les lignes 3 et 4 concernent plus les conduites de travaux et de chantiers et les bureaux d études ; ce sont des passages obligés à l acquisition des évolutions engendrées par les performances thermiques auxquelles doivent répondre les bâtiments. Ces acquisitions de compétences doivent être traitées en modules car certains d entre eux concernent tous les domaines de l entreprise. La conjonction de toutes ces lignes constitue un programme général d entreprise d adaptation volontaire et active aux évolutions du métier. La rubrique offre globale est naturellement divisée en trois parties, celles-ci correspondant aux secteurs d activité que peuvent choisir les entreprises : Offre globale en équipement énergétique. Offre globale enveloppe du bâtiment. Offre globale en rénovation énergétique des bâtiments. Ces compétences ont aussi la particularité d être communes à plusieurs lots et leur conception devra donc être faite de concert avec les corps d état concernés. Un point a aussi été évoqué relatif aux compétences à acquérir. Il concerne la décomposition des formations au travers de modules de compétences capitalisables. Cette situation permettrait d envisager la conception d un module de compétence correspondant aux primo accédants du métier, et favoriser de fait le recrutement et l intégration de publics en reconversion professionnelle ou n ayant pas fait l objet de formation initiale métier. 6

9 FICHE MÉTIER Revêtements de sols techniques LES EVOLUTIONS DU METIER Les contraintes environnementales et en particulier la gestion des déchets affectent tout particulièrement ce corps d état. En effet, les produits de revêtement de sols étant pour partie importante constitués de revêtements plastiques, la maîtrise de gestion et de recyclage de ces produits est essentielle. Les entreprises devront intégrer toutes les composantes de la gestion des déchets et sur toute la fi lière de l approvisionnement aux évacuations, en mettant en place des procédures de traçabilité. Les industriels développent leurs produits, donnant des possibilités nouvelles aux fonctions : douches, cuisines collectives etc Ils développent aussi toute une série de produits à dominante développement durable ; un accent particulier est mis sur le parquet stratifi é ou contrecollé. Bien qu une grande partie de ces produits soit distribuée par la GSB, la technicité de certains d entre eux est une voie de développement pour les entreprises de revêtement de sols. De fait, du fort développement technique sur les produits, l entreprise a obligation de maîtriser et de défendre les bons procédés de construction. La sinistralité de ce corps d état tient souvent à la qualité des supports ; l esprit plus procédurier qui anime aujourd hui les consommateurs conduit l entreprise à savoir organiser sa défense. Les marchés se modifi ent. Plusieurs types d activité s offrent aux entreprises car même si l arrivée d éléments préfabriqués est en augmentation, le lot revêtement de sols est souvent traité après installation. La quasi disparition des formations initiales de ce métier conduit à traiter le problème du recrutement et de la formation nécessaire par une attitude dynamique et offensive des professionnels 7

10 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR MAITRISE DES PRODUITS TECHNIQUES Revêtements douches, cuisines collectives, laine tendue, parquets etc. TRAITEMENT ET GESTION DES DECHETS Choix des produits à mettre en œuvre, valorisation des déchets, procédures de gestion et de traçabilité MAITRISE DES TEXTES, NORMES ET REGLES DE L ART Savoir réceptionner un support Connaître les bonnes pratiques d exécution, en tenant compte des normes LES APTITUDES COMMERCIALES ET RELATIONNELLES DANS L ENTREPRISE Gestion des confl its (entreprises, maîtrise d œuvre, maîtrise d ouvrage) Etre capable de valoriser son savoir-faire. Aptitude à identifi er et s ouvrir à de nouveaux marchés. Les techniques de vente et de négociation INTEGRATION DE L HYGIENE ET SECURITE DANS LES METHODES DE TRAVAIL DEVELOPPER L AUTONOMIE DES EQUIPES D EXECUTION OBSERVATIONS L ensemble des éléments qui composent les lignes 1, 3 et pour partie 4 (gestion des confl its) n ont pour but que de tendre vers une autonomie affi rmée des équipes d exécution. Ce type d acquisition de compétences se prêtera parfaitement à une division en modules, qui sont d ailleurs déjà défi nis et repris par la profession au travers des CQP. De la qualité d information ou de formation du personnel d exécution reposera la performance productive des entreprises, car l autonomie ainsi assurée aura pour but d économiser du temps d encadrement et des confl its futurs (réception des supports). Concernant ce corps d état, les compétences nécessaires sont déjà bien identifi ées. Pour la partie technique, la réponse formation en partie validée sur le contenu, c est son contexte financier qui pose problème. Le type de formations à promouvoir (externe ou interne) sera directement lié aux dispositifs d acquisition de compétences retenues, mais dans tous les cas, la recherche de productivité sera exigée. Le reste des compétences relevant des attitudes comportementales ou de l information, un dispositif de formation attractif pour les entreprises devra être réfl échi, d autant que les modules de chantier des revêtements de sols sont constitués de petites équipes (1à 2 personnes) La fonction commerciale abordée par modules identifi és devra s appuyer sur un tronc commun à plusieurs métiers. La sensibilisation des entreprises sur l importance relative de ces compétences à acquérir est encore à faire ; la sensibilisation proviendra en grande partie de la cohérence globale du dispositif concourant au plan de carrière des salariés et à la performance des entreprises. Travail de réfl exion qui, sur ces aspects, pourrait être conduit avec d autres corps d état, de l aménagement et de la fi nition concernés par cette problématique. 8

11 FICHE MÉTIER Constructeurs bois LES EVOLUTIONS DU METIER Les performances énergétiques souhaitées pour le bâtiment mettent les filières sèches et en particulier les systèmes constructifs bois en position de leader. Rajoutez à cela pour le bois, l utilisation d un matériau rentrant dans la catégorie des matériaux renouvelables auxquels les consommateurs sont attachés. Ces deux phénomènes concourent à donner aux systèmes constructifs bois une progression très importante dans les années à venir. Mais il s agit d organiser la totalité de la fi lière et de conduire les entreprises vers une véritable révolution de métier, car sans adaptation, ce qui apparait pour certaines comme une aubaine, (compte tenu du volume de travaux) risque fort de les exclure des marchés futurs. Dans ce métier comme dans tous les autres, «l à peu près» doit disparaître. Ceci sera vrai pour la partie technique (maîtrise des technologies) mais aussi pour tout le professionnalisme lié au secteur d activité choisi par l entreprise (organisation de marché, sectorisation, organisation commerciale, management, etc.) Soit les constructeurs bois souhaitent rester des techniciens fabricants et ou installateurs, soit ils veulent récupérer la totalité de la fi lière en devenant des constructeurs de maisons à ossature bois et en prenant le rôle de constructeur de maisons individuelles. TROIS FILIÈRES D ÉVOLUTION DE MÉTIERS PEUVENT ÊTRE IDENTIFIÉES : Le choix industriel est clairement fait par certains et cette place risque d être occupé par de vrais industriels aux moyens imposants et qui, en terme de produits élaborés, vont répondre à la demande de la filière. D autres compléteront leur activité de charpentier par la maîtrise des systèmes constructifs bois au service d architectes en restant des fabricants installateurs. Pour La fi lière constructeur de maisons individuelles, l entreprise devra être dotée de compétences : commerciales, bureaux d études, conception, distribution installation. Certaines entreprises ayant les moyens choisiront de répondre aux trois fi lières mais il faut remarquer que chacune d elles devra faire preuve d un véritable professionnalisme pour s imposer et se pérenniser. La maîtrise des solutions techniques (même si elle comporte de nombreux domaines), ne posera pas de problème majeur d assimilation. L essentiel de l effort doit porter sur la constitution de la fonction commerciale ainsi que sur la stratégie globale de l entreprise Face aux augmentations de volumes pressentis, il est indispensable que la fi lière traite de façon objective le problème du recrutement, tout particulièrement sur la fonction installation et montage. Concernant la livraison de produits de plus en plus élaborés, les progrès qui seront fait en atelier conduiront à modifi er les compétences dévolues aux monteurs installateurs. Ceux-ci devront être constitués de véritables équipes autonomes, n ayant pas obligatoirement comme formation d origine celle de charpentier bois traditionnel. Savoir manager l ensemble de ces contraintes (installation en conformité avec le souhait du client et dans un cadre normatif respecté) devient une fonction à part entière. 9

12 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR FONCTION COMMERCIALE Pouvoir doter l entreprise d une totale stratégie commerciale en sachant identifi er les fonctions nécessaires, les procédures à suivre et l analyse qualitative du dispositif. Savoir être à l écoute du client en identifi ant ses désirs, afi n de permettre d adapter l offre technique et commerciale à la demande. Créer l argumentaire de vente en y intégrant les points forts de l entreprise au regard des attentes clients. BUREAU D ETUDES CONCEPTION CONSTRUCTION Compétence visant à traduire par des systèmes constructifs performants techniquement et économiquement, le projet commercial contractualisé. LES CONTRAINTES ENVIRONNEMENTALES SUR LA CONCEPTION Module visant à intégrer dans la conception réalisation des ouvrages, les nouvelles contraintes résultant des performances attendues dans les domaines : thermique, acoustique, étanchéité à l air, environnement, etc LA FONCTION DES GESTIONNAIRE DE CHANTIER Etre capable d assurer une parfaite coordination des tâches sur chantier, dans le respect des normes, des règlements en vigueur, et des règles environnementales. Savoir gérer l ensemble de ces contraintes dans un cadre contractuel et économique déterminé. MONTEURS INSTALLATEURS Déterminer la fonction de monteur installateur sur chantier, qui pourrait se diviser en trois modules de compétences : - Monteur structure enveloppe : assure la réalisation du clos couvert. - Installateur équipement : assure l installation des équipements (électriques chauffage, sanitaire, etc..). - Aménagement fi nition : assure tous les travaux relevant de l aménagement fi nition (plâtrerie, peinture, revêtements de sols - Ces deux derniers modules sont a l heure actuelle souvent sous-traités ; ce sera peut- être le cas dans le futur. Le premier module est lui, directement rattaché au métier et répond à un vrai besoin identifi é, qui ne fera que croître dans l avenir. MAITRISE DES TECHNIQUES DE LEVAGE Les produits issus des ateliers de fabrication sont de plus en plus élaborés et complets techniquement. De ce fait, ils rendent leur installation obligatoire ace des outils de levage. La maîtrise des techniques de levage permettra à l entreprise une autonomie de fonctionnement, ce qui n est pas toujours le cas lorsque ces travaux sont sous-traités. OBSERVATIONS Construire une vraie fi lière de métier provoque l émergence de compétences nouvelles, et c est parfaitement le cas avec les constructeurs bois. Nous savons les besoins de la fi lière importants dans l avenir il faudra donc maintenant entamer un travail plus approfondi sur l identifi cation des modules de compétences. Mais il convient au préalable de fi xer avec les professionnels les fonctions de l entreprise qui doivent être traitées. 50

13 FICHE MÉTIER Sécurité incendie LES EVOLUTIONS DU METIER Nous sommes confrontés à l apparition d un métier qui était autrefois réparti entre plusieurs corps d état : électricité, fumisterie, menuiserie, etc C est encore le cas aujourd hui, mais de plus en plus, et du fait de l augmentation des normes et des techniques liées à la détection, l installation et la maintenance incendie, les entreprises délèguent cette fonction à des opérateurs spécialisés. Tous les métiers sont concernés par les règles et normes de l incendie, mais le travail résultant de la détection de l installation de systèmes et de la maintenance est un travail de spécialiste. Les responsabilités prises par les entreprises sur ces fonctions sont lourdes de conséquences, et les différents accidents survenus ces derniers temps n arrangent rien à l affaire. Il est donc normal que cette fonction soit de plus en plus détenue entre les mains de spécialistes. Mais le handicap majeur provient de l absence totale de formation initiale. La formation continue est donc le seul moyen pour répondre à la formation des salariés recrutés. L origine du personnel qui peuple les entreprises de sécurité incendie est très varié ; la preuve est donc faite de l adaptation d un grand public à ce métier. Ces entreprises vont prendre dans le futur une ampleur importante. Il est donc tout à fait naturel de s en préoccuper fortement. Cette activité est aussi fortement impactée par le lobbying que peuvent mettre en œuvre assureurs et industriels. Pour y répondre, les qualifi cations défi nies par la profession ou en cours de défi nition impacteront les compétences exigées dans les entreprises. L activité de ce métier pourrait être distinguée en plusieurs grandes familles de fonctions, servant de socle aux définitions des compétences. Le désenfumage : - Défi nition et conception des systèmes. - Installation des dispositifs. - Equipement d ouvrages existants. - Maintenance. La détection incendie : - Conception et organisation. - Gestion technique centralisée. - Etablissements de procédures. La mise en sécurité : - Installation des équipements de détection. - Dispositifs actionnés de sécurité. - Installations d équipements complets (blocs portes, trappes coupe feu, clapets... Au dessus de ces fonctions, il en est une plus globale répondant au rôle de prescripteur, car la maîtrise d œuvre devra aussi compter avec des spécialistes de ce métier pour concevoir au mieux (techniquement et fi nancièrement) la mise en sécurité des bâtiments. 51

14 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR ENCADREMENT ET BUREAU D ETUDES : MAITRISE DES NORMES Concerne la maîtrise et la mise à jour de la connaissance des normes de sécurité incendie. COMPETENCE EN CONCEPTION DE : Traite des différents thèmes évoqués ci-dessus et relevant de la compétence en conception de : Désenfumage, détection incendie, installation des systèmes, organisation de la mise en sécurité, gestion technique centralisée, etc TECHNICIENS D EXECUTION EN : Désenfumage, installation systèmes de détection, installation d équipements, installation des dispositifs actionnés de sécurité, etc MAINTENANCE DES SYSTEMES Savoir traiter la maintenance des différents systèmes et fonctions relevant de la sécurité incendie. AUDIT DES DISPOSITIFS EXISTANTS Diagnostiquer l existant, préconiser les interventions de conception de mise en sécurité (mise en sécurité des bâtiments existants, type hôtels, etc ) INGENERIE MISE EN CONFORMITE DES BATIMENTS Compétence d ingénierie répondant aux problèmes de coordination, suivi, etc.., occasionnés lors de mise en conformité de bâtiments traités en offre globale. OBSERVATIONS L enjeu sur ce métier est, nous le voyons, très important et le deviendra de plus en plus, car les responsabilités que génère cette activité feront que les entreprises non spécialisées sous- traiteront les tâches à des professionnels. Pour mener à bien les travaux sur l identifi cation des compétences et leur mise en pratique par la formation, il faut : Déterminer avec les professionnels les fonctions essentielles qui définissent leurs secteurs d activité. Traiter chacun d entre eux en modules de compétences répondant à : «être capable de». Identifi er ce travail sur trois catégories de salariés : - Bureau d études et conception. - Conduite travaux et suivi réalisation. - Techniciens d exécution : installateurs mainteneurs. Si le travail de base à réaliser est important, il est indispensable qu il soit effectué, sans quoi l énorme quantité de textes normatifs à intégrer rendra tout espoir de formation efficace irréalisable. 52

15 FICHE MÉTIER Etanchéïté LES EVOLUTIONS DU METIER Les toitures terrasse sont de plus en plus utilisées et contribuent aux fonctions du bâtiment, membranes photovoltaïques, terrasses végétalisées, platelages bois sur étanchéité, etc Ces techniques sont donc à maîtriser tant dans leur installation que sur les entretiens qu elles génèrent. Il faut traiter plus particulièrement les platelages bois sur étanchéité, pour lesquels il n existe pas de règle sionnelle. profes- Le lot étanchéité fait partie intégrante de l enveloppe du bâtiment. Historiquement attachée uniquement aux toitures terrasses, son activité s est développée vers la pose de bardages en façades. Les entreprises pourront décider de pousser cette activité vers l offre globale enveloppe du bâtiment en y associant les compétences défi nies par ailleurs. Tous les domaines traitant de la sécurité, des conditions de travail et des contraintes environnementales sont à intégrer dans les organisations de chantiers. Toutes ces nouvelles technologies et contraintes qui voient le jour exigent que soit renforcée la compétence de conduite de travaux et de bureau d études pour lesquels un cruel besoin de recrutement se fait ressentir. La garantie qualitative des ouvrages ne pourra être assurée que si des dispositifs d autocontrôle avec traçabilité sont mis en place. 53

16 IDENTIFICATION DES COMPETENCES A ACQUERIR ADAPTATION AUX NOUVELLES TECHNIQUES ET TECHNOLOGIES Cela correspond aux compétences nécessaires pour traiter : toitures végétalisées, membranes photovoltaïques, etc Certaines techniques sont déjà maîtrisées, mais il serait souhaitable de constituer pour chacune d elles des fiches de bonnes pratiques, regroupant ce qu il est indispensable de savoir. Les moyens de diffuser aux salariés ces bonnes pratiques doivent être envisagés, en utilisant les outils qui doivent être mis en place pour les mêmes raisons dans les autres corps d état. LA TECHNIQUE DES PLATELAGES BOIS SUR ETANCHEITE Du fait de l absence de règles professionnelles sur ce thème, il faut défi nir un contenu de la compétence d exécution et ce, en partenariat avec les professionnels de la filière bois Une fois ces règles défi nies, il faudra déterminer le moyen le mieux adapté à l acquisition de cette compétence. MAITRISE DES DISPOSITIFS D AUTOCONTROLE ET DE TRACABILITE Définition d un dispositif d autocontrôlé efficace et des procédures de traçabilité qui lui sont affectées. Une partie de cette compétence sera commune à plusieurs métiers. Un module spécifi que étanchéité devra être défini par les professionnels. LES ECHANGES THERMIQUES DES PAROIS Module consistant à donner tous les moyens de connaissance des règles thermiques applicables aux parois du bâtiment et des normes qui les concernent. MAITRISE DES NORMES ET BONNES PRATIQUES PROFESSIONNELLES POUR LA CONDUITE DE TRAVAUX ET DE BUREAU D ETUDES Compte tenu du défi cit de personnel lié à cette fonction et en prenant en compte tous les dispositifs techniques et normatifs applicables, défi nir un module de formation permettant de recruter et former pour ces postes de travail. OBSERVATIONS La notion de modules de compétences semble bien s adapter à ce métier ; leur défi nition est donc prioritaire. En partant des bonnes pratiques professionnelles et des cadres normatifs qui s y appliquent, il sera possible de définir une approche commune aux différentes fonctions de l entreprise, ce qui aura pour effet de rendre plus lisible et plus compréhensible tout dispositif d organisation, de contrôle, de traçabilité et de management ainsi que de permettre à du personnel d exécution, de postuler à des fonctions d encadrement. 5

17 Détails des compétences par métier COLONNE A Classe de 1 à 10 le degré d importance d acquisition de cette compétence COLONNE B Classe le type de mode d acquisition des compétences : COLONNE C 1 : pour une action d information ou d auto acquisition 2 : pour une formation en entreprise en situation de travail 3 : pour une formation externe Classe de 1 à 5 le degré de priorité d acquisition de cette compétence 1 ère COLONNE 1 pour : les techniques de l autocontrôle 2 pour : la dynamique du transfert du savoir et des compétences 3 pour : l utilisation des nouvelles techniques d information 4 pour : offre globale bâtiment 5 pour : maitrise normes en bureau d études 6 pour : maitrise normes en exécution et bonnes pratiques 7 pour : fonction commerciale 8 pour : maîtrise des contraintes environnementales liées au métier 9 pour : offre équipements énergétiques du bâtiment 10 pour : les techniques de l enveloppe 11 pour : compétences techniques propres à un métier 55

18 AGENCEMENT A B C 5 Maitrise des normes et règlements en bureau d études Maitrise des bonnes pratiques en exécution en regard des normes et règlements en vigueur (concerne particulièrement les équipes de chantier) Professionnalisation ou création du poste achats Maitrise des contraintes environnementales : portant essentiellement sur : Incidence des dispositions chantiers faibles nuisances sur l organisation Accompagnement au choix stratégique du secteur d activité CARRELAGE MOSAÏQUE A B C 6 Maitrise de l exécution dans le respect des normes et règles de l art Effectuer les choix techniques adaptés aux situations Savoir négocier la relation client, entreprise, partenaire Capacité d autonomie au niveau de l exécution : consiste a doter le personnel d exécution des éléments permettant la prise de décisions ou le transfert 7 Fonction commerciale : essentiellement axée sur : Capacité a choisir son secteur d activité Capacité a négocier et valoriser son travail dans le rôle affirmé de conseil CHARPENTE MENUISERIE PARQUETS A B C 5 Maitrise des normes en bureau d études : Thermique, acoustique, incendie, accessibilité 6 Assimilation de bonnes pratiques correspondant à des situations de travail en intégrant les normes et règlements (blocs portes, habillages muraux etc.) 10 Connaissance des échanges thermiques en parois de bâtiment : Maitrise des coefficients, calculs de parois, bonnes pratiques, calculs de RDM) 8 Maitrise des contraintes environnementales liées au choix des matériaux (bois, etc.) et la gestion de la traçabilité 3 Module spécifiques charpente pour bureau d études (connaissances informatiques, systèmes constructifs, relation CAO, PAO, etc.) 3 Maitrise machines commandes numériques Fonction commerciale, plus particulièrement : savoir vendre sa plus-value (rôle de conseil réaffirmé de l entreprise). La gestion relationnelle du conflit

19 COUVERTURE A B C 6 Techniques et bonnes pratiques des rénovations de toiture intégrant toutes les contraintes thermiques actuelles Techniques de levages liées aux grands panneaux Gestion des contraintes (chantiers faible nuisance) sur chantiers en rénovation Maîtrise des risques liés aux éléments actifs du bâtiment Maîtrise es interventions futures en SAV : intégrant tout particulièrement les éléments actifs de type capteurs solaires ou photovoltaïques Gérer et animer l autocontrôle dans l entreprise PLOMBERIE A B C 6 Contraintes liées à la récupération des eaux de pluie : gestion des disconnecteurs, maîtrise de séparation des réseaux. 5.6 Maitrise de l eau chaude sanitaire par l usage des chauffe- eau solaires : Chauffe eau solaire habitat individuel. Chauffe eau solaire habitat collectif Techniques de maintenances des chauffe -eau solaire en collectif Techniques de réutilisation des eaux grises (eaux de salles de bain vers toilettes) Intégration des bonnes pratiques professionnelles DÉMOLITION A B C 11 Intégration des contraintes environnementales portant sur : gestion des chantiers faible nuisance (cas différent des autres métiers car il porte sur des compétences plus complexes compte tenu de la fonction démolition, qui peut engendrer des nuisances qui lui sont propres Gestion des déchets, évacuation, valorisation, traçabilité Connaissances des produits (maîtrise tri sélectif, et valorisations) Techniques de mécanisations et de radio guidage Gestion des problèmes de pénibilité, de sécurité appliquée à l organisation Compétences techniques complémentaires aux postes de secrétaires intégrant : Les compétences résultant des dispositions environnementales (traçabilité, documents administratifs d appel d offres etc )

20 FERMETURES PROTECTIONS SOLAIRES A B C 11 Techniques de pose de menuiserie stores et fermetures : intégrant les bonnes pratiques professionnelles en s appuyant sur les normes et DTU et intégrant les incidences des contraintes thermiques et environnementales. 6 La gestion des éléments actifs des menuiseries et le contrôle solaire La motorisation des éléments (stores, volets, portails, etc...) Les techniques d autocontrôle et de traçabilité de l exécution Compétences en rénovation de bâtiment pour conducteurs de travaux et métreurs comprenant : Les incidences thermiques, énergétiques, ventilation, en rénovation des bâtiments sur le domaine de l enveloppe : correspond au module offre globale spécialité enveloppe. 7 Fonction commerciale : Module technique actualisé appliqué aux vendeurs génie climatique A B C 9 Adaptation aux techniques et technologies des nouvelles énergies : solaire, géothermie, aérothermie, biomasse, bois, cogénération, technique de captage des polluants etc 9 Adaptation aux nouvelles technologies de matériel et de systèmes : Chaudières à condensation, appareils en cogénération, chauffage thermodynamique, ventilation double flux, pompes à chaleur, les différents types de climatisation etc 9 Offre globale spécialité équipements énergétiques du bâtiment : conduit à une compétence correspondant à l obtention de la meilleure efficacité énergétique des équipements. 4 Offre globale rénovation énergétique des bâtiments La maintenance des équipements dans un cadre de performance énergétique Maitrise des techniques et contraintes de la ventilation, appliquée au confort, à la performance énergétique la sécurité du bâtiment Maitrise de l hygiènisation des réseaux de ventilation Bonnes pratiques professionnelles conception et exécution des réseaux La maintenance des systèmes et des réseaux

21 installation électrique A B C 11 Maitrise des évolutions techniques et technologiques. Connaissance des techniques appliquées aux nouvelles énergies. Maîtrise des techniques innovantes. 5 La gestion technique des bâtiments. Maîtrise des dispositifs de gestion technique de confort des bâtiments. 9 Offre globale d équipement énergétique des bâtiments. Capable de choisir et conseiller les meilleurs systèmes de chauffage ou de climatisation (alternativement module bâtiment neuf et ancien). Capable de maîtriser et gérer les différents acteurs concernés. 4 Offre globale en rénovation énergétique des bâtiments : Maîtriser toutes les étapes de la rénovation énergétique des bâtiments en intégrant les compétences relevant : des équipements et de l enveloppe, de la capacité à diagnostiquer, préconiser, gérer la réalisation pour garantir la performance globale du bâtiment. 7 Fonction commerciale. Savoir valoriser et vendre l activité de service. Maîtriser la fonction commerciale auprès des particuliers Savoir choisir son marché et ses orientations Savoir travailler en réseau MAçONNERIE - GROS ŒUVRE A B C 11 Adaptation aux évolutions techniques et technologiques Pour le personnel d exécution : Joints minces, béton autoplaçant, mélange matériaux bois chanvre etc., techniques de revêtements de façades, reprise en sous œuvre, positionnement des armatures Encadrement : Commande et contrôle des bétons, l assainissement non collectif, fondations hors gel. 5 Maitrise des normes règlements et règles de l art. (euro codes, accessibilité des personnes a mobilité réduite, contraintes environnementales, la RT dans le gros œuvre, les DTU en dallage, etc 5.6 Méthode et organisation de chantier. Savoir gérer les chantiers faible nuisance. La gestion des chantiers au travers des nouvelles contraintes règlementaires Les coûts de l inorganisation sur les chantiers. 7 La fonction commerciale. Accompagnement du choix stratégique de l entreprise Développement de la fonction commerciale en fonction du secteur d activité. Animation et motivation des équipes. Accompagner et garantir l appropriation du projet d entreprise Combattre la perte des savoirs et favoriser l acquisition des compétences. 4 Maîtrise de l offre globale

22 SERRURERIE - CHARPENTE - MÉTALLERIE A B C 5 Maitrise des normes et règlements en bureau d études Les outils informatiques généralisés : Consiste à assurer la maitrise à tous niveaux d une base d outils informatiques communs et généralisés dans l entreprise. 3 Maîtrise des nouvelles techniques et technologies de communication. Mettre a disposition de l organisation, du management et du fonctionnement de l entreprise les nouvelles techniques de l information et de la communication. 7 La négociation commerciale te relationnelle. Savoir disposer des atouts de négociation à tous les stades de la relation de l affaire. 2 Assurer une dynamique du transfert du savoir et de l acquisition des compétences Instituer et gérer l autocontrôle Instituer la fonction achats. Développer cette fonction en maitrisant les techniques approfondies de cette fonction, qui prennent en compte les positionnements et choix liés aux contraintes environnementales et relationnelles PEINTURE FINITIONS A B C 11 Connaissance des produits suivant les supports Effets des contraintes environnementales sur les métiers Savoir effectuer le choix des produits, techniques et usages le mieux adaptés à la situation et ce, dans le cadre de bonnes pratiques professionnelles Concevoir réaliser et gérer le facility management Organisation du travail en milieux sensibles (type industriel, etc.) Organisation du travail en fonction de la mécanisation des outils Les différentes techniques d isolation par l extérieur Le rôle de conseil en décoration dans l entreprise La fonction commerciale te ses extensions au personnel d exécution PLATRERIE ISOLATION A B C 5.6 Connaissance approfondie des bonnes pratiques résultant de l application des normes : thermique, incendie, acoustique, accessibilité Maîtrise des différents systèmes constructifs de l isolation. Isolation intérieure, isolation intégrée, isolation extérieure. Les méthodes résultant de ces techniques constructives. Organisation de chantier, travail en hauteur, approvisionnements, contrôles Les techniques de suppression des ponts thermiques dans la rénovation L offre globale bâtiment. Spécialité enveloppe. Offre globale rénovation énergétique des bâtiments

23 REVÊTEMENTS DE SOLS TECHNIQUES A B C 11 Maitrise des produits aux techniques élaborées : Revêtements douches, cuisines collectives, laine tendue, parquets etc. 8 Traitement et gestion des déchets (choix des produits à mettre en œuvre, valorisation des déchets, procédures de gestion et de traçabilité). 5.6 Maitrise es normes et règles de l art : Savoir réceptionner un support. Connaître les bonnes pratiques d exécution en tenant compte des normes. 7 La fonction commerciale et relationnelle dans l entreprise. Gestion des conflits (entreprise, maîtrise d œuvre, maîtrise d ouvrage). Etre capable de valoriser son savoir faire. Aptitude à identifier et s ouvrir à de nouveaux marchés. Les techniques de vente et de négociation Intégration de l hygiène et la sécurité dans les méthodes de travail Développer l autonomie des équipes d exécution CONSTRUCTEURS BOIS A B C 7 Fonction commerciale : Savoir être à l écoute du client et identifier ses désirs. Savoir bâtir une vraie stratégie commerciale, en utilisant les points forts et l adaptation de l entreprise au marché. 5 Bureau d études : conception construction permettant de traduire en méthode qualitative performante techniquement et économiquement, les projets des clients Les incidences des nouvelles contraintes environnementales sur la conception et la réalisation des ouvrages (thermique, étanchéité à l air, etc.) La fonction de gestionnaire de chantier : (être capable d assurer une parfaite coordination des taches, dans le respect des normes et règlements en vigueur, et des contraintes environnementales) Maitrise des domaines : techniques environnementaux, sécurité, économique, relation clientèle). 11 Monteurs poseurs de systèmes constructifs bois : pouvant se diviser en trois. Monteur structure enveloppe. Installateur équipements Equipe aménagement finition. 11 Maîtrise des techniques de levage

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