Retard mental et génétique Déficience intellectuelle / déficience mentale. F Devillard
|
|
- Armand Garon
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Retard mental et génétique Déficience intellectuelle / déficience mentale F Devillard
2 Introduction Maladie neurodéveloppementale regroupe un panel de maladies incluant des syndromes connus dont la cause est une mutation génique ou une anomalie chromosomique mais aussi des pathologies tq schyzophrénie / spectre autistique/ épilepsie / DM Beaucoup d anomalies peuvent survenir dans le développement du cerveau humain La complexité de celui-ci nécessite l interaction de nombreux gènes
3 Introduction L exploration à visée étiologique d 1 DM permet : D évaluer le pronostic D adapter la prise en charge De formuler le conseil génétique Définition Déficit associé des aptitudes intelectuelles et des capacités d adaptation Trouble neurodéveloppemental caractérisé par QI < 70 (et déficits dans au moins 2 comportements ayant trait aux capacités d adaptation)
4
5 Chez l enfant évalué par le QD : Quotient de Développement Chez l adulte par le QI : Quotient Intellectuel (moyen =100) Difficultés d apprentissage DM légère DM moyenne DM sévère DM profonde
6 Introduction Evaluation du QI par échelle de Wechsler QI verbal QI performance QI global De 0 à 30 mois : echelle de développement de la première enfance Brunet Lézine révisé Etudie 4 domaines : Moteur ou postural Coordination oculomotrice langage (expression compréhension) relations sociales QD global et partiel pour chaque domaine
7
8
9 Introduction Prévalence de DM : 2 à 3% (varie de 1-8%) Présente dans toutes les classes socio culturelles Sex-ratio : 3 fois + de garçons que filles variable en fonction de l importance de DM sex-ration plutot plus important dans Déficiences légères sex-ration diminue avec diminution du QI Pour QI <50 la plupart des études s accordent sur une fréquence de 0,3 à 0,5 % DM peuvent être regroupées en DM syndromiques ou non syndromiques en fonction de la présence ou non de signes cliniques associés (malformations/ variants morphologiques..)
10 Epidémiologie La cause d une DM est retrouvée dans environ 50% des cas des formes modérées à profondes et 20 à 25 % des formes légères Cause T21 et autres chromosomiques Monogénique Syndromes Multifactoriel Culturofamilial Facteur périnatal <20 ans 10,5% 9,6% 24% 3,6% 3% 5% 8% 28% Inconnu 40%
11 Epidémiologie DM de cause environnementales Anténatal Rechercher épilepsie ttt par Dépakine éthylisme chez la mère phénylcétonurie Infections intrutérines responsables de 3à 8% des DM (toxo rubéole CMV..) Périnatales D origine ischémique : souffrance fœtale aigue (SFA) environ 5% Postnatales : 3 à 15 % des DM dont la moitié par traumatisme et 1/3 par infection Un environnement culturel défavorable est rarement la cause exclusive d 1 DM
12 Epidémiologie Part de la génétique dans les DM La part de la génétique est estimée à % des DM de cause connue Part de la génétique augmente avec la sévérité Ropers (2010) : les anomalies chromosomiques et réarrangements submicroscopiques représentent 25% les gènes sur le X sont responsables de 10 à 12% des DM chez garçons Les nouvelles techniques de séquençage devraient permettre d identifier plus de causes
13 Epidémiologie Depuis l utilisation des GWAS (genome-wide association studies) et CGH array : Beaucoup de CNV les plus communs et certaines mutations ne sont pas associés à une pathologie spécifique mais prédisposent à de nombreuses pathologies -> étiologies communes à des pathologies très différentes cliniquement Larges études épidémiologiques : comorbidité entre schyzophrénie / troubles spectre autisme / épilepsie/ troubles de l attention H hyperactivité / DM Les mutations sont donc caractérisées par une pénétrance incomplète et expressivité variable
14 Epidémiologie Les cause de variabilité sont des facteurs génétiques additionnels et non génétiques (environnementaux ), le contexte (l environnement génétique) a aussi une large influence sur le phénotype Mutation 1 Mutation2 Mutation 3 Hte genetic modifiers interaction Pénétrance Phénotype spécifique phénotype variable Phénotype +/- sévère Sporadique mode de transmission complexe
15 1-Anomalies chromosomiques
16 1-Anomalies chromosomiques Trisomie 21 Prévalence de 1/700 à 1/800 Forme de DM génétique la plus fréquente Variants morphologiques Malformations Déficience moyenne à profonde
17 1-Anomalies chromosomiques Autres aneuploïdies autosomes : T18 / T13 habituellement non viables sauf mosaïsue T8 T9 toujours en mosaïque Anomalies de structure déséquilibrées De façon générale tout anomalie visible Sur le caryotype et déséquilibrée : Malformation variants morpho retard mental Risque de récurrence facilement identifiable DPN 1/2 anomalie de structure déséquilibrée provient d 1 remaniement équilibré parental
18
19
20 2-microremaniements chromosomiques Syndrome de Williams Beuren Variants morphologiques Grand front, joues pleines, hypoplasie malaire, œdème périorbitaire, grande bouche avec lèvre inférieure éversée, long philtrum, pointe du nez bulbeuse
21 2-microremaniements chromosomiques DM prononcée masquée par performances verbales (QI moyen 56), Aisance sociale Malformation cardiaque Fish : microdélétion 7q gène de l élastine 25 à 30 gènes dans la zone délétée
22
23 2-microremaniements chromosomiques Microdélétion 22q11.2 Syndrome de DiGeorge / syndrome vélocardio-facial Cardiopathies congénitales Fente palatine (10 %), Insuffisance vélaire (+++), palais ogival, luette bifide Malformation rénale (35 %) Hypocalcémie néonatale Aplasie ou hypoplasie du thymus et des parathyroïdes
24 Oreilles bas implantées malformées Hypertélorisme Fentes palpébrales étroite Racine du nez large, pointe du nez bulbeuse et bifide, ailes du nez hypoplasiques Philtrum court Micrognathie
25 2-microremaniements chromosomiques Microdélétion (environ 3 Mb et 30 gènes) retrouvée Conseil génétique difficile en raison de la pénétrance incomplète et de l'expressivité variable Syndrome Prader Willi / Angelman Smith Magenis délétion 17p / Potocki Lupski duplication 17p
26
27 CGH-array Technique de choix pour la détection des délétions et duplications CNV : copy number variants Selon résolution CNV potentiellement pathogènes chez 15% patients avec DM idiopathique Certains CNV associés à un phénotype spécifique Limites : Pas de fréquence fiable pour les CNV impliqués dans DM Certains CNV observés chez des porteurs sains
28 Délétion 9p22.3-9p23 3,28 Mb maternelle
29 Délétion 13q
30
31
32 3-DM liée à l X Les DM liées au sexe sont les + fréquentes des causes héréditaires de DM Déficits modérés à sévères Historiquement : Fréquence des DM chez les garçons + importante Grandes familles avec transmission liée à l X Identification d un marqueur : X fragile Syndrome X fragile est la + fréquente des formes de DM liée au sexe
33 DM liées au sexe touchent environ 1 garçon sur garçons 75 Déficients mentaux 6 trisomies 21 1 X Fragile 5 autres DM liées au sexe
34 3-DM liée à l X Autres formes de DM liées au sexe Spécifiques du fait de signes morphologiques ou neurologiques associés Environ 91 gènes identifiés Non spécifiques : DM cliniquement isolé (environ 2/3 cas) Pas toujours de séparation nette entre formes syndromiques et non syndromiques
35
36 Syndrome X Fragile
37 SYNDROME CLINIQUE Fréquence : Environ 1sujet masculin / 4000 Retard mental léger ou moyen chez 1 femme / 6000 Retard mental Constant mais variable Troubles du langage 90% QI entre 20 et 60 Troubles du comportement Hyperactivité / Faible contact visuel / stéréotypies Troubles du langage Autisme / Syndrome convulsif Dysmorphie faciale Visage allongé Hypoplasie de l étage moyen Oreilles grandes et décollées Bouche
38 SYNDROME CLINIQUE Macroorchidie 90 % Post pubertaire Bilatérale +/- macrogénitosomie Puberté normale / fertilité normale Phénotype en fonction de l age - Avant 3ans : Diagnostic difficile Avance staturo- pondérale Macrocéphalie Hypotonie - 3 à 12 ans : Troubles du comportement Retard de langage - Ado / adultes : Dysmorphie faciale Macroorchidie Retard mental
39 BIOLOGIE MOLECULAIRE clonage moléculaire du locus X fragile - Mécanisme de mutation instable Mutation : Expansion instables d une répétition CGG dans le 1er exon du gène FMR1 Répétition polymorphique dans la population générale Insertion associée à un méthylation anormale chez les sujets atteints : mutation Etat intermédiaire : prémutation
40 BIOLOGIE MOLECULAIRE Sujet normal 6 à 50 répétitions CGG le gène s exprime (CGG ) 6 à 50 FMR1 Sujet prémuté 50 à 190 répétitions CGG Le gène s exprime (CGG ) 50 à 190 FMR1 Femmes conductrices / hommes transmetteurs sains
41 BIOLOGIE MOLECULAIRE Mutation complète > 200 répétitions CGG Méthylation anormal Inhibition d expression du gène (CGG ) > 200 FMR1 Chez Garçon : Tableau clinique complet Retard Mental Dysmorphie Macroorchidie m Chez fille : Dans 50% des cas Tableau clinique atténué
42 - Gène 38 kb 17 exons Le GENE FMR1 - Le messager correspondant s exprime à un taux élevé durant le développement et s exprime à l âge adulte dans le cerveau, les testicules, les lymphocytes, le placenta - Code pour une protéine de 70 kd : FMRP Absente chez les sujets atteints Dans le cytoplasme et les dendrites des neurones Rôle : régulation du transport intracellulaire de mrna impliqués dans la fonction synaptique - Diagnostic direct en biologie moléculaire par Southern Blot Double digestion avec enzymes de restrictions
43 BIOLOGIE MOLECULAIRE Phénotype chez les sujets prémutés Hommes transmetteurs sains Asymptomatiques :Pas de RM Récemment : FXTAS =Tremblements /Ataxie Perte des capacités intellectuelles La pénétrance augmente avec l âge Retrouvé chez 75% des hommes prémutés de + de 80 ans Femmes conductrices Chez environ 1/3 : POF = ménopause précoce Survient avant l âge de 40 ans
44 3-DM liée à l X Gènes jouant un rôle dans : Développement neuronal Formation et fonction des synapses Autres processus tq régulation de la transcription Actuellement on admet que chez les garçons DM liée à l X représente 10 à 12 % des formes L excès de DM chez les garçons n est pas seulement due aux gènes localisés sur le chromosome X
45 Autosomique Dominante 4-Génopathies autosomiques Les formes sévères de DM autosomiques dominantes sont presque toujours dues à des mutations de novo Beaucoup de patients avec DM idiopathique sont porteurs de CNV Certains syndromes bien connus tq neurofibromatose / sclérose tubéreuse / Steinert Souvent associés à une DM variable
46 4-Génopathies autosomiques Autosomique récessive Un grand nombrede gènes se transmettent en récessivité Familles de petites taille et peu de consanguinité Il est donc difficile d isoler des gènes dans les DM autosomiques récessives non syndromiques La plupart des maladies du métabolisme sont autosomiques récessives et représentent environ 1% des patients avec DM non syndromique Combien de gènes? Environ 90 gènes des DM liées à l X DM liée à l X en cause chez 10 à 12 % des garçons Il y aurait donc 800 à 850 gènes de DM autosomique récessive (+? )
47 Mécanismes impliqués La compréhension des mécanismes pathogénique est fondamentale Multiplication cellulaire insuffisante -> microcéphalie Migration neuronale anormale / trouble de la gyration Anomalie de la différenciation cellulaire myélinisation imparfaite Accumulation de produits Développement de thérapeutique Mis à part FMR1 la fonction de la plupart des gènes impliqués reste inconnue (sauf maladies métaboliques) De plus identification de nouvelles voies de développement et interaction de gènes Importance des nouvelles techniques de séquençage
48 Exploration d une déficience intellectuelle Histoire prénatale / grossesse accouchement TTT maternels / éthylisme Histoire postnatale Hypotonie néonatale Epilepsie Progressivité Comportement Troubles de la communication Signes physiques Retard ou avance staturale Microcéphalie Variants morphologiques (visage / mains / pieds) Taches cutanées.. Parfois difficile
49 Exploration d une déficience intellectuelle Histoire familiale Consanguinité Atcd familiaux Explorations complémentaires Ophtalmologique Radios du squelette Echographie cardiaque / abdominale IRM Biologiques Bilan maladies métaboliques
50 Choix des techniques Séquençage Paire de bases ATGCACTGATGAATGCATGCAAT MLPA Exon: 50 à 1000 pb CGH-array Gène moyen: pb FISH Caryotype Résolution Sous-bande: pb Chromosome: pb
51 Exploration d une déficience intellectuelle Caryotype MLPA CGH-array Biologie moléculaire En fonction de l orientation clinique Evolution Plusieurs consultations
52 Conclusion Les formes de DM modérées sont plutot multifactorielles alors que les formes sévères sont plutot dues à des défauts génétiques Certains pensent que les gènes responsables des DM et les gènes déterminant le QI sont les mêmes et que les facteurs de risque pour les DM modérés pourraient être des variants allèliques de ces gènes
L agénésie isolée du corps calleux
L agénésie isolée du corps calleux Agénésie calleuse Dysgénésie du corps calleux La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus
Plus en détailLe syndrome de Noonan
Le syndrome Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailDéveloppement de l intelligence, aspects normaux et pathologiques
1 ère partie : Modules transdisciplinaires - Module 3 : Maturation et vulnérabilité - Objectif 32(g) : Développement de l intelligence, aspects normaux et pathologiques Rédaction : C Aussilloux - Relecture
Plus en détailMÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS
MÉDICAMENTS CONTENANT DU VALPROATE ET DÉRIVÉS GUIDE À DESTINATION DES MÉDECINS PRESCRIPTEURS Ce guide est remis dans le cadre des mesures de minimisation du risque mises en place pour le valproate, dans
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSyndrome de Smith-Magenis
Encyclopédie Orphanet du handicap Syndrome de Smith-Magenis microdélétion 17p11.2 Cette fiche rassemble des informations susceptibles d aider les professionnels du handicap dans leur travail d évaluation
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailNeurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen
Neurofibromatose 1 Maladie de Von Recklinghausen La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailBiométrie foetale. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 01/071011. - Support de Cours (Version PDF) -
Biométrie foetale Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 01/071011 Table des matières I Techniques de biométrie...3 I.1 Mesure de la longueur cranio-caudale...3 I.2 Mesure
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLe cavernome cérébral
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le cavernome cérébral.
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DU NOURRISSON ET JEUNE ENFANT 0-6 ANS DE QUELS MOYENS DISPOSE-T-ON? EXAMEN CLINIQUE + QUESTIONS des grandes étapes du développement de l'enfant dans les domaines de : Acquisition
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailF us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou
Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant
Plus en détailLe s t r o u b l e s d u
Le s t r o u b l e s d u spectre de l,autisme l,évaluation clinique Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des psychologues du Québec janvier 2012 L illustration de la couverture
Plus en détailLa sclérose tubéreuse de Bourneville
La sclérose tubéreuse de Bourneville La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec : les situations de handicap au quotidien En savoir plus
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailDystrophie musculaire
Définition Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence et l affaiblissement progressif
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailDépistage drépanocytose. Édition 2009
Dépistage drépanocytose Édition 2009 ÊTre hétérozygote et alors Madame, Monsieur, Comme tous les nouveau-nés, votre bébé a eu un prélèvement de sang au talon. Ce prélèvement a été réalisé dans le cadre
Plus en détailAlcool et grossesse :
Alcool et grossesse : comment en parler? Actualisation des connaissances Repères pour la pratique professionnelle pour : une démarche d information auprès de toutes les femmes un accompagnement des femmes
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailLe syndrome CHARGE. La maladie. l Qu est-ce que le syndrome CHARGE? l Combien de personnes sont atteintes de ce syndrome?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome CHARGE.
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailLES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES
LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement
Plus en détailLe syndrome de Digeorge présentation actuelle de la maladie
Le syndrome de Digeorge présentation actuelle de la maladie Yves Alembik Pédiatre PH en génétique médicale au CHU de Strasbourg 24.09. 2005 Genève 1 Définitions de mots Syndrome de DiGeorge Syndrome vélocardiofacial
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailLe déficit en MCAD. La maladie. Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD. Qu est-ce que le déficit en MCAD?
Le déficit en MCAD Déficit en acyl-coa déshydrogénase des acides gras à chaîne moyenne MCADD La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec
Plus en détailDéfinitions et classifications
1 Définitions et classifications ANALYSE Il n existe pas de définition unique du handicap ou des déficiences. La recherche d une définition du handicap d origine périnatale répond au moins à deux objectifs
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLa rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa
Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLa transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement
La transplantation rénale avec donneur vivant Aspects particuliers dans le cadre des maladies rénales transmises génétiquement n Professeur Michel Broyer. Hôpital Necker Enfants malades, Paris Membre du
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailAvertissement. La pagination du fichier PDF est ainsi demeurée en tous points conforme à celle de l original.
Avertissement Pour faciliter la consultation à l écran, les pages blanches du document imprimé (qui correspond à la page 4) ont été retirées de la version PDF. On ne s inquiétera donc pas de leur absence
Plus en détail2011-2014. Plan national maladies rares. Axes, Mesures, Actions. Qualité de la prise en charge, Recherche, Europe : une ambition renouvelée
2011-2014 Plan national maladies rares Qualité de la prise en charge, Recherche, Europe : une ambition renouvelée Axes, Mesures, Actions 1 Axe A : Améliorer la qualité de la prise en charge du patient
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailLes adultes souffrant d autisme ou de syndromes apparentés pris en charge par les établissements médico-sociaux
Ministère de l emploi, du travail et de la cohésion sociale Ministère de la santé et de la protection sociale L enquête ES 2001 recensait environ 5 000 personnes atteintes d autisme ou de syndromes apparentés,
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailLa dystrophie myotonique de Steinert
La dystrophie myotonique de Steinert La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailMaladie neuromusculaire
Définitions Maladie neuromusculaire Les maladies neuromusculaires font référence à un groupe de maladies qui affectent la motricité. Ces maladies se manifestent à des degrés divers par la dégénérescence
Plus en détailExercices de génétique classique partie II
Exercices de génétique classique partie II 1. L idiotie phénylpyruvique est une maladie héréditaire dont sont atteints plusieurs membres d une famille, dont voici l arbre généalogique : 3 4 5 6 7 8 9 10
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailINFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE
Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées
Plus en détailDEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps
DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLa mobilité dans les cohortes RaDiCo maladies rares.
en partenariat avec La mobilité dans les cohortes RaDiCo maladies rares. Jérôme Weinbach Directeur S&O Iskender Akhoune Responsable Recherche en Systèmes d Information Forum sur les NTIC et les maladies
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détail1 les caractères des êtres humains.
Quelques rappels des classes précédentes ACTIVITÉ livre pages 8 et 9 : apprendre le bilan de la page 9 Les êtres vivants sont répartis en espèces. Chaque être vivant est formé de cellules. schéma d une
Plus en détailLE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED)
LE DÉVELOPPEMENT PSYCHOMOTEUR DE L ENFANT DEPISTAGE DE L AUTISME (TROUBLES ENVAHISSANTS DU DÉVELOPPEMENT OU TED) DÉPISTAGE ENTRE 18 MOIS ET 2 ANS COMMENT REPERER L'AUTISME INFANTILE AVANT 3 ANS troubles
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailPsoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?
Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLes difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire»
Les difficultés scolaires, ou «l Echec scolaire» Par le Dr Stéphane BURLOT Plan : Les chiffres de l échec scolaire La spirale de l echec Les points d appels des difficultés scolaires Les Origines «médicales»
Plus en détailConférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»
Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé
Plus en détailRemerciements. A Cyrill, mon frère. A mes parents, A mes amis,
1 Remerciements Je tiens à remercier le Pr. Vincent des Portes pour avoir encadré ce travail de thèse et pour ses conseils et sa confiance. Je remercie chaleureusement le Pr Jacques Gregoire et le Pr Jean
Plus en détailLa recherche ne manque pas de chien
La recherche ne manque pas de chien Depuis une dizaine d années, le chien dans la recherche n est plus un animal de laboratoire parmi d autres. Avec le séquençage de son génome en 2005, il est devenu un
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailIntroduction générale
Introduction générale Touchant près de 600 nouvelles personnes chaque année en France, la leucémie myéloïde chronique est une maladie affectant les cellules du sang et de la moelle osseuse (située au cœur
Plus en détailPlace de la PSP et des AMS. «Parkinson plus!» Ce qui doit alerter. Paralysie supra-nucléaire progressive (PSP) Ce qui doit alerter
«Parkinson plus!» Pr Marc Verny Centre de Gériatrie, pav. M. Bottard Hôpital de la Salpêtrière Place de la PSP et des AMS Maladie de Parkinson : diagnostic clinique et certitude neuropathologique. Etude
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailLupus systémique monogénique
Lupus systémique monogénique B.Bader-Meunier LES systémique pédiatrique Rare:15-20% LES Sexe ratio: 1/5 à 1/8 Plus sévère que chez l adulte :atteintes rénales, neurologiques LES systémique pédiatrique
Plus en détailQuelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?
Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr
Plus en détailLA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME
LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailAssociation France - DFT
Association France - DFT Dégénérescences Fronto-Temporales Pour nous contacter Nous écrire Association France - DFT 41, rue de Richelieu 75001 Paris Nous adresser un mail Le site internet www.dft-france.org
Plus en détailÀ compter de 2010 les codes du chapitre XVI ne doivent plus être employés au-delà de 2 ans. Créé le 1 er Mars 2011
FASCICULE VI AFFECTIONS DU NOUVEAU-NÉ Emploi des codes du chapitre XVI Le chapitre XVI est celui de Certaines affections dont l origine se situe dans la période périnatale. La définition de la période
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détail