Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète
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- Nadine Eliane Lafontaine
- il y a 8 ans
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1 Cabinet de Mme la Ministre Nicole Maréchal Ministre de l'aide à la Jeunesse et de la Santé Centre de Recherche Opérationnelle en Santé Publique Section d'epidémiologie Institut de Santé Publique Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète Résultat de la réunion des groupes de travail le 3 octobre 2000 Publication, le 13 novembre 2001 Complété par un groupe de travail restreint le 12 février 2002 Un texte de consensus a été réalisé et approuvé par un groupe de professionnels sélectionnés pour leur expertise et leur compétence dans le domaine de la prévention et du dépistage ciblé du diabète. Il est important que ce texte soit communiqué aux autorités politiques et administratives ainsi qu'aux acteurs de santé ; qu'il soit agréé et traduit dans des actions concrètes. Ci-dessous les résultats d'une consultation par méthode Delphi et Groupes Experts, Le consensus concernant la définition des groupes de population à dépister, la fréquence du dépistage et les méthodes à utiliser a été réalisé par un groupe de travail plus restreint mais représentatif. 1. Prévention : 2. Dépistage : 3. Population cible et modalités du dépistage 4. Recommandations pour une action concrète 5. Participants / signataires ayant marqué leur accord Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 1/8
2 1. Au niveau de la prévention : Il est possible, de prévenir (ou de retarder) l apparition d un diabète de type 2 par des mesures hygiéno-diététiques, au moins dans une partie de la population. Les mesures les plus citées sont une augmentation de l activité physique, le contrôle du poids et une alimentation équilibrée. Des interventions dans ce domaine sont réalisables mais leur mise en application pratique n est pas toujours évidente, puisqu elles nécessitent un changement d attitude et une participation active de la population (à risque). Puisque ces facteurs de risque sont, en grande partie, les mêmes que pour les maladies cardio-vasculaires, la prévention primaire du diabète de type 2 ne peut se concevoir que dans le cadre d'une stratégie globale de prévention de ces facteurs de risque (y compris d autres facteurs de risque tels que le tabagisme, l alcool, etc...). 2. Au niveau du dépistage : - Le dépistage du diabète est justifié, mais uniquement dans le cadre d'une approche globale des problèmes de santé. La réduction des facteurs de risque ainsi qu un meilleur suivi des diabétiques connus semblent plus importants que le dépistage précoce. - Le dépistage organisé du diabète n'est pas justifié sauf s il est ciblé sur des populations à risque bien définies et s'il est associé à un dépistage plus global des facteurs de risque cardio-vasculaire. Il n'est pas justifié si la prise en charge des patients détectés ne peut pas être assurée. - Un large consensus existe sur les modalités du dépistage ciblé. Toute occasion lors d un contact avec un médecin doit être saisie pour le "dépistage occasionnel" (= "case finding"). Donc chaque médecin (généraliste, spécialiste, médecin du travail, ) a la responsabilité professionnelle de vérifier, lors d un contact quelconque, si son patient appartient à l'un des groupes à risque pour lesquels il est indiqué de proposer un examen de dépistage ciblé du diabète. Un "dépistage ciblé organisé" pourra être envisagé 1 ; c est alors clairement le médecin généraliste qui doit en être le maître d œuvre. Ce programme de dépistage ciblé s inscrira dans une approche globale du dépistage des facteurs de risque cardio-vasculaire. Il comprendra une centralisation de l information via le dossier médical global, informatisé, et un système d invitation organisé par le médecin généraliste. Cette approche est toutefois difficilement réalisable sans réorganisation préalable de la profession et sans révision de la nomenclature. - Un consensus existe sur le fait qu il existe des contraintes dans le système de santé actuel pour l organisation efficace et intégrée du dépistage ciblé du diabète. Il est indispensable que ces contraintes soient levées. Les problèmes les plus importants sont l organisation et le financement de la prévention au premier échelon. Il faut donc : 1 on ne peut assimiler cette détection précoce au dépistage de certains cancers. Ce dernier s'adresse à la population totale dans certains groupes d'âge. Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 2/8
3 Envisager une réorganisation financière pour mieux structurer les activités dans le domaine de la prévention et assurer l accessibilité au dépistage et au traitement par le premier échelon. Favoriser la communication de l information entre les divers professionnels de la santé. Promouvoir une stratégie globale de prévention des facteurs de risque. L ensemble de ces activités doit enfin faire l objet d un pilotage sérieux et d un suivi des programmes à mettre en place. La sensibilisation des médecins généralistes à la problématique de la prévention et du dépistage ciblé s impose. L introduction du dossier médical global est une opportunité importante pour mieux assurer la prévention et le dépistage des problèmes de santé. Cette démarche devrait être renforcée. Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 3/8
4 3. Population cible et modalités du dépistage : 3 A Indications pour le dépistage d une hyperglycémie par le généraliste 3 B Tests à employer pour le dépistage et la confirmation 3 C Fréquence des mesures de dépistage 3 A Indications pour le dépistage d une hyperglycémie par le généraliste On distingue trois groupes d âge : moins de 45 ans ; de 45 à 64 ans ; 65 ans et plus: Parmi la population de moins de 45 ans, à statut diabétique inconnu : Il est indiqué de demander une glycémie en cas de : Histoire de diabète de grossesse Troubles antérieurs de la glycémie (IFG 2 ou IGT ou hyperglycémie constatée à l occasion d une intervention, hospitalisation,...) Ou si deux des conditions suivantes sont réunies : Histoire d accouchement d un bébé de 4 kg ou plus Diabète dans la parenté au premier degré BMI >= 25 kg/m² Circonférence abdominale >=88 cm (femmes) ou >=102 cm (hommes) Hypertension artérielle traitée Parmi la population de ans : Les mêmes conditions que ci-dessus, mais une seule suffit. De plus, à l occasion d une prise de sang à jeun, pour une raison quelconque (p. ex un bilan) il faut demander une glycémie. Parmi la population de 65 ans et plus : Un examen est indiqué pour tous, même en l'absence d'un des facteurs de risque repris ci-dessus. 3 B Tests à employer pour le dépistage et la confirmation Le test de dépistage se fait par une prise de sang veineux à jeun (au moins huit heures sans apport calorique). Le sang veineux est analysé au laboratoire. Des valeurs supérieures ou égales à 110 mg/dl doivent mener à une autre prise de sang à jeun, pour confirmation. Le test de confirmation du diagnostic se fait également par une prise de sang veineux à jeun, analysé au laboratoire. A partir de 126 mg/dl la personne est considérée comme diabétique. Des valeurs entre 110 et 125 mg/dl indiquent une anomalie du métabolisme glucidique. 2 IFG : «Impaired Fasting Glucose» : glycémie à jeun anormale : 110 mg/dl >= glycémie à jeun <126 mg/dl IGT : «Impaired Glucose Tolerance» : intolérance relative à la surcharge glucidique : glycémie >= 200 mg/dl 2 h deux heures après une surcharge glucidique Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 4/8
5 La prise de sang au hasard (pas à jeun) n est pas indiquée comme test de dépistage. Il peut arriver que le clinicien décide quand même de demander une glycémie chez une personne non à jeun, p.ex. parce qu il pense que cette personne ne se représentera pas. Dans ce cas il/elle fera un prélèvement de sang veineux et demandera l analyse au laboratoire. Comme pour la prise de sang à jeun, des valeurs de 110 mg/dl ou plus doivent mener à un test de confirmation par une prise de sang à jeun. Les mesures de sang capillaire, testées au cabinet à l aide d un appareil réflectométrique seront réservés au suivi des patients. Ils ne conviennent pas pour le dépistage ni pour le diagnostic. 3 C Fréquence des mesures de dépistage Si la glycémie est dans les limites de la normale, l examen sera répété tous les trois ans. Si on constate une anomalie (IFG ou IGT) ou en cas de diabète de grossesse dans les antecedents personnels, il faut répéter la mesure chaque année. Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 5/8
6 4. Recommandations pour une action concrète Un consensus important existe dans un groupe de professionnels sélectionnés pour leur expertise et leur compétence dans le domaine de la prévention et du dépistage ciblé du diabète. Il est important que ce consensus soit communiqué aux autorités politiques et administratives ainsi qu'aux acteurs de santé ; qu'il soit agréé et traduit dans des actions concrètes. Un consensus existe sur la nécessité d'améliorer à la fois la couverture en matière de détection précoce du diabète et des facteurs de risque cardiovasculaire. Il existe également un consensus sur la nécessité de développer une stratégie globale de prévention des facteurs de risque. Les contraintes qui empêchent actuellement la mise en place d un programme de dépistage ciblé intégré et efficace sont de caractère technique et administratif ou politique : - Contraintes techniques : pour le développement d une proposition concrète pour le programme de prise en charge du diabète, il faut les éléments suivants : - Développement d une stratégie globale de prévention des facteurs de risque cardio-vasculaire (= prévention primaire) - Organisation des modalités du dépistage ciblé (responsabilités, échéancier, activités, outils nécessaires, etc ) - Développement d une stratégie d information. - Contraintes administratives et/ou politiques : pour lever les contraintes administratives et/ou politiques, il faut obtenir, par une décision politique : - Le renforcement de l introduction du dossier médical global et de son utilisation effective; ceci nécessite une volonté politique ainsi qu une adaptation de la nomenclature médicale - La sensibilisation de tous les acteurs de santé, et spécialement les médecins généralistes à la problématique de la prévention et du dépistage ciblé - Une stratégie globale de prévention des facteurs de risque cardio-vasculaire (ainsi qu une adaptation de la nomenclature médicale pour les activités préventives du médecin généraliste, pour la consultation diététique et pour le remboursement des prestations préventives) - Désigner l organisme responsable de la gestion du programme de dépistage ciblé du diabète et de la prévention de ses complications (mise à jour régulière des critères et suivi de son application) - Définir les modalités de dépistage ciblé (statut du médecin généraliste comme maître d œuvre du dépistage) - Finaliser le choix des interventions et des groupes-cible pour la prévention primaire du diabète et des maladies cardio-vasculaires Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 6/8
7 - Le financement et l organisation de la prévention (y compris le dépistage ciblé) est un problème à résoudre entre l INAMI, le ministère Fédéral de la Santé et les Communautés ; c est un problème fondamental lié à l organisation de nos structures (Autorités Fédérales et Communautaires) et qui dépasse la prévention du diabète ; une décision politique s impose sur l organisation de la prévention en Belgique. En outre, une adaptation de la nomenclature est nécessaire ainsi qu une réforme structurelle qui permettrait au médecin généraliste de consacrer une partie de son temps à aborder sa patientèle sous l angle de la santé publique. Il est indispensable que les autorités politiques et administratives mandatent officiellement un (ou plusieurs) groupe de travail pour développer des propositions concrètes à ces deux niveaux. Il serait opportun d associer à ce groupe de travail, les initiatives existantes telles que le groupe de travail maladies chroniques à l INAMI et l ABD, et d y inclure les professionnels de santé et les acteurs du terrain (promotion à la santé, soins de première ligne, ). Une révision de ce consensus actuel devra être publiée pour Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 7/8
8 Experts Participants / signataires ayant marqué leur accord L. BERGHMANS Observatoire de Santé du Hainaut B. BOLAND UCL / Saint Luc / Ecole de Santé Publique J. BOLY Mutualités Chrétiennes M. BOUTSEN Mutualités Socialistes Institut de Santé Publique / Centre de Recherche Opérationnelle en F. CAPET Santé Publique E. COUTURIER Association Belge du Diabète C. DE BOCK Conseil Supérieur de Promotion de la Santé J. DE ROUBAIX Administration CFWB P. DRIELSMA Fédération des Maisons Médicales J. GERARD ULg / Sart-Tilman M. GILBERT Ecole de Santé Publique / UCL M. GUILLAUME Observatoire de Santé de la Province du Luxembourg G. KRZENTOWSKI Hôpital Civil de Charleroi / Association Belge du Diabète R. LAGASSE Ecole de Santé Publique / ULB P. LEGAT Société Scientifique de Médecine Générale A. LEVEQUE Ecole de Santé Publique / ULB F. NOBELS Vlaamse Diabetes Vereniging D. PAULUS Centre Universitaire de Médecine Générale / UCL M. ROLAND Fédération des Maisons Médicales A. SCHEEN ULg - Sart-Tilman B. SEYS Institut Pharmaco-épidémiologique Belge A. STROOBANT Institut de Santé Publique / Service d'epidémiologie Institut de Santé Publique / Centre de Recherche Opérationnelle en J. TAFFOREAU Santé Publique E. VANDEMEULEBROUCKE Registre Belge du Diabète A. VANDENBROUCKE Unité de Prévention et de Dépistage du Cancer / UCL K. VERMEYLEN Institut Belge d'economie de la Santé / NOVO-Nordisk M. DUJARDIN * Ecole de Santé Publique / ULB M. HERMANS * INAMI - Groupe de Travail Maladies Chroniques Experts participant au consensus sur les modalités du dépistage et la définition de la population cible J. BOLY Mutualités Chrétiennes M. BOUTSEN Mutualités Socialistes Institut de Santé Publique / Centre de Recherche Opérationnelle en F. CAPET Santé Publique J. DE ROUBAIX Administration CFWB R. GERARD Société Scientifique de Médecine Générale G. KRZENTOWSKI Association Belge du Diabète / Hôpital Civil de Charleroi F. NOBELS Vlaamse Diabetes Vereniging A. SCHEEN Center for Evidence Based Medecine / Diabétologie ULg - Sart-Tilman Institut de Santé Publique / Centre de Recherche Opérationnelle en J. TAFFOREAU Santé Publique J. WENS Wetenschappelijke Vereniging voor Vlaamse Huisartsen Experts contactés, mais n ayant pas pu participer à cette réunion, participation à distance L. BERGHMANS Observatoire de Santé du Hainaut J.C. DAUBRESSE, Endocrinologie - CHU Charleroi M. HERMANS * INAMI - Groupe de Travail Maladies Chroniques / Diabétologie - UCL ISP / Amélioration de la qualité en médecine générale sur base H. VANDENBERGHE d enregistrement J. VAN KALCK Centre Universitaire de Médecine Générale UCL Déclaration finale de la concertation sur l'opportunité et les modalités d'un dépistage du diabète 8/8
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