Le bulletin du GDSA29

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1 Le bulletin du GDSA29 Dans ce bulletin: - N 10 - Mars Bulletin du GDSA-29 n 10-1 e trimestre 2005 PAGE 1 Editorial EDITORIAL Vraiment, ce bulletin joue à cache-cache avec ses lecteurs. Voilà PAGE 1 FAUT-IL TRAITER OU NE PAS presqu'un an qu'il n'a pas donné de ses nouvelles et voici que tout d'un coup, TRAITER il se réveille. Nous manquons de rédacteurs. C'est bizarre, les apiculteurs généralement loquaces aiment à faire partager leurs expériences. Mais je PAGE 3 A propos de Varroa pense qu'ils aiment moins écrire. Nous avons pourtant de quoi dire: les plaisirs que nous éprouvons devant une belle colonie, une belle récolte, la PAGE 4 GOULENNOU HA RESPONTOU cueillette d'un essaim, une dégustation de miel mais avant d'en arriver là, quels soins, quelles attentions il aura fallu: prévenir les risques de loque, PAGE 5 AETHINA TUMIDA lutter contre le varroa qui résiste de plus en plus, passer au travers des intoxications et maintenant il va falloir ouvrir l'œil et le bon car Aethina tumida nous arrivera bientôt, cette saison ou plus tard peut-être, mais souhaitons le, PAGE 7 RÉSULTATS DES TESTS le plus tard possible. A propos des traitements anti-varroa, le GDSA ne choisit d'efficacité des anti-varroas pas au hasard le produit qu'il propose chaque année, il utilise les résultats des observations d'apiculteurs dévoués qui chaque année participent aux LE Questionnaire sur l'hivernage tests d'efficacité des produits. Il faut les remercier. Alors à votre tour, aideznous à mieux comprendre la vie des ruchers finistériens et remplissez le est joint à ce bulletin. questionnaire sur l'hivernage, un questionnaire par rucher, n'hésitez pas à copier ce questionnaire, à le distribuer, à en redemander J.B. FAUT-IL TRAITER OU NE PAS TRAITER? APICULTEURS OU PASSIONNÉS PAR LES ABEILLES Nous avons en commun de posséder des ruches, si possible peuplées au sortir de l hiver. Pour certains d entre nous il s agit d un métier à plein temps, pour d autres il s agit d un loisir. Ces diverses catégories doivent cohabiter. Il est de plus en plus difficile d avoir des colonies robustes et saines sans faire appel à la pharmacopée disponible. S agissant de notre attitude à l égard des abeilles, diverses voies sont possibles : - laisser faire la nature, au sein de laquelle l abeille joue un grand rôle, - intervenir à tout prix pour ne pas hypothéquer la force de la colonie et sa rentabilité, - faire de l apiculture raisonnée, en Le bulletin du GDSA29 est distribué à tous les adhérents du Groupement de Défense Sanitaire Apicole du Finistère. Adresser toutes contributions à: Y. Layec, Coat-Laeroun Milizac ou à: J. Blaize, 27 rue du Fromveur Brest respectant autant que possible l abeille et son environnement. Veiller à sa pérennité, en transmettant aux générations futures le patrimoine génétique que nous ont légué nos ancêtres. L APICULTURE PRODUCTIVISTE : Traiter à tout va les diverses maladies ou parasitoses n est pas pérenne ( pérenne : se dit pour qualifier ce qui dure longtemps ou depuis longtemps). page 1 La maladie ou parasitose est masquée ou atténuée, sans disparaître toutefois. La médecine veille à maintenir en vie les malades, même si leur guérison est impossible. L apiculteur, lui, attend d une colonie d abeilles qu elle produise du miel, si son état sanitaire est mauvais elle n en produira pas, il sera plus sage de la supprimer : elle est improductive et probablement dangereuse pour les autres, par contagion. Les antibiotiques détruisent les bactéries au stade végétatif, non les spores ( les spores sont des «graines» de bactéries en sommeil). L exemple de cet apiculteur de Floride aux USA doit nous faire réfléchir. Régulièrement, comme nombre de ses collègues il administre une pâte sucrée supplémentée de tétracycline pour

2 masquer ( non éliminer) la loque américaine. L un de ses ruchers situé dans les Everglades (zone marécageuse infestée de caïmans) n avait pas reçu sa visite après plusieurs années. Il s attendait à y trouver un rucher vide d abeilles, mais à sa grande surprise, ces colonies étaient les plus belles de son cheptel, en l absence de traitement antibiotique systématique. L APICULTURE SOFT, QUI LAISSE FAIRE LA NATURE «LET ALONE NATURE» : Elle fait confiance en l abeille et à ses facultés d adaptation face aux défis de son environnement naturel : maladies, parasitoses, conditions climatiques (en supposant bien évidemment la flore non gavée de Gaucho ou autres cocktails dont le nom termine en cide, et de ruchers voisins conduits de la même façon). A longue échéance c est la seule conduite respectueuse de l abeille et pérenne. Mais, sur 100 colonies livrées à elles-mêmes, dispersées dans la campagne, combien survivraient? Fort peu probablement les premières années. Mais au bout de quelques années, la sélection naturelle agissant, des colonies à même de faire face et de tolérer un niveau de parasitose bénin s affirmeraient. L acariose a décimé les colonies en Bretagne dans les années soixantes (?), des abeilles incapables de voler jonchaient le sol. Les traitements au Folbex se sont révélés aléatoires, par contre des colonies résistantes à la parasitose sont apparues. Cette même acariose a récemment fait des ravages aux Etat-Unis, où elle était auparavant inconnue. Afin de lutter contre cette parasitose, des colonies d abeilles écossaises résistantes aux acariens ont été importées, pour servir de base à des élevages futurs. La graphiose qui détruisait les ormes semble elle aussi jugulée par la plante elle-même. L APICULTURE RAISONNÉE : Elle se veut intermédiaire entre les précédentes. Elle essaie de respecter autant que possible l abeille et son environnement, dont la ruche et son contenu. Comment : - en utilisant des produits ayant une AMM ( Autorisation de Mise sur le Marché) des services vétérinaires français auxquels nous devons faire confiance. Ces autorisations sont différentes au sein des pays de la CE, bien qu une harmonisation soit envisagée dans un proche avenir. - en sélectionnant les colonies les plus remarquables du rucher en vue d élevages futurs. Tout apiculteur peut seul ou au sein d un petit groupe élever ses reines ou produire ses essaims. Ne pas hésiter à s inscrire aux stages proposés par le Rucher-Ecole du Finistère. - en respectant le rythme biologique des colonies. Ne pas les inciter à élever du couvain trop tôt, par des temps à ne pas mettre une abeille dehors. Si les provisions sont suffisantes, laissons les moduler leur activité sur le cycle de la végétation du milieu ambiant. - en évitant d acheter des essaims ou colonies extérieurs à la régions et possibles vecteurs de parasites, dont Aethina tumida. Les meilleurs fruits se récoltent aux arbres de votre verger ( pas chez le voisin). Les meilleures reines se font à partir de vos meilleures colonies. En permettant aux apiculteurs petits et grands d avoir une juste rémunération de leur investissement. Ce n est pas toujours le cas. J.P. page 2

3 A PROPOS DE VARROA A ce jour l acarien Varroa destructor constitue le fléau le plus dévastateur auquel les abeilles ont eu à faire face. Il faudrait détruire le parasite (varroa) sans nuire ni à l hôte (l abeille) ni à son environnement immédiat ( la ruche). La lutte contre l acarien est complexe, car il devient rapidement résistant aux acaricides utilisés comme le fluvalinate (APISTAN ), le coumaphos (CHECK-MITE ) ou l amitraze (APIVAR ). Des études menées sur d autres traitements possibles de remplacement comme l acide formique ou le thymol (APIGUARD ) sont encourageantes, mais leur efficacité dépend de la température, du temps consacré à leur application, de la nécessité d intervenir plusieurs fois, avec des résultats très variables. En Irlande les traitements se font en utilisant le BAYVAROL (lanières de polyéthylène imprégnées de 3,6mg de fluméthrine). Cet acaricide par contact tue sélectivement les varroas. La plupart des acaricides sont liposolubles et s accumulent dans les cires. Les seuils de contamination sont Liposoluble: soluble dans les graisses. Métabolites: substances provenant de la décomposition d une molécule complexe. quantifiables par chromatographie. Les miels sont peu contaminés, il n en est pas de même des cires. Les ciriers ne parviennent pas à éliminer les résidus des cires ( produits de traitements divers et leurs métabolites). Mais l utilisation seule d acaricides contribue à créer des phénomènes de résistance chez les varroas. Les traitements de substitution possibles pourraient concerner: - le type de plancher utilisé, - l écart séparant le bas des rayons et le fond de la ruche, - l emplacement de la sortie des abeilles ( par un plancher où s accumulent les détritus ou par un trou en façade de ruche), comme c est souvent le cas dans l habitat d une colonie sauvage, - l emploi de thymol ou d acide formique ( très dangereux lors de sa manpulation) ou d acide oxalique, - la suppression du couvain de mâles ( qu en pensent les reines?). [ndlr: les reines pensent-elles?] Tous ces traitements font appel à l intervention de l apiculteur. L emploi d autres moyens comme les planchers grillagés, la destruction périodique du couvain de mâles permet de réduire l infestation, mais reste insuffisante pour assurer la survie des colonies. EVOLUTIONS POSSIBLES : L apiculture fait de plus en plus appel à la pharmacie vétérinaire, au risque d entraver l apparition de colonies résistantes, avec le risque de proposer des miels «pollués» au public. L apiculture se veut raisonnée, avec des expérimentations de ruchers conduits avec des moyens exclusivement naturels, où devraient apparaître une sélection naturelle de colonies remarquables. A partir de ce potentiel biologique, aussi large que possible (conserver la diversité génétique de l espèce locale) les élevages de reines sont possibles. De telles expériences se généralisent dans diverses régions dont le Finistère. Peut-être vous-mêmes pratiquez vous de tels essais. Comme nos amies les abeilles, groupés en essaim nous sommes plus efficaces. Dans le Finistère des colonies naturelles (nichées dans des arbres creux) survivent depuis plusieurs années sans intervention extérieure. Aux dires d apiculteurs très crédibles, rares sont les colonies qui survivent au-delà de 3 ans. Dans le cadre du Rucher Ecole de la Sarthe, les responsables estiment que le seuil de tolérance se manifeste à partir de 5 ans, entre temps les colonies subissent une forte dépopulation avec de nombreuses abeilles atrophiées, mais aussi des varroas mutilés (ce qui indique que les abeilles se sont défendues contre le parasite). Toutes ces colonies sont suivies de très près en cas de maladies annexes comme la loque américaine, auquel cas elles sont détruites. J.P. page 3

4 QUESTION: En observant mes cadres, j ai trouvé du couvain dans lequel on voyait des nymphes formées, les yeux étaient teintés, mais les cellules n étaient pas operculées. Est-ce normal? RÉPONSE: UNDERGROUND Pour répondre à cette question, je ne vais pas m étermiter sur l affaire, mais, une colonie d abeilles, cet être dont le corps se sépare de l esprit, (et ce n est pas un mythe ), mérite qu on y consacre un peu de temps. J emprunte ici le titre du film UNDERGROUND, du réalisateur Emir Kusturica, car si l appellation «le couvain chauve» laisse penser à la tête, c est d un problème de fond dont il s agit. Revenons 30 ans en arrière. L homme proposait aux abeilles un abri en paille, patiemment tressé et ligaturé avec des écorces de ronces évidées et séchées. En forme de coupole, ce logis faisait le bonheur des abeilles, la paille respire, isole du froid et du chaud. Une fois le lieu occupé avec une totale liberté commence la construction des rayons de cire que l abeille étire de haut en bas. Dans l obscurité de la grappe, les alvéoles prennent forme avec une parfaite régularité. Les édifices à peine commencés sont occupés par du nectar et visités par la reine qui y dépose un œuf par alvéole. les uns des autres d une distance égale au niveau du nid à couvain. Peut-être Saint Ambroise saurait-il là encore au nom de quelle formule? L homme a ensuite copié la distance pour la conception des ruches à rayons mobiles. Cependant une équation reste en suspend : équation liée à la profondeur de la cellule, à la grandeur de la larve, à l énormité due à l irrégularité des opercules qui remettrait en cause la satisfaction du travail bien fait ou du théorème précédent sur les bases fondamentales de l architecture. En tous cas, un perturbateur existe. C est la larve de la petite teigne qui ronge la base de l alvéole, la partie médiane entre les 2 faces du rayon. Dérangée par cet intrus, la larve d abeille quitte le fond de l alvéole et s approche du bord, empêchant ainsi la construction de l opercule par l abeille. Dans les alvéoles atteintes, il n est pas rare de voir des nymphes d abeilles pratiquement évoluer jusqu à l insecte parfait, mais naîtront-elles? On peut remarquer les ébauches d opercules cylindriques dépassant l uniformité du reste du couvain : elles resteront ouvertes. Afin d éviter la propagation de ce parasite, il est nécessaire de supprimer le cadre infesté. Termité. On pourrait s arracher les cheveux à chercher le théorème mathématique que depuis des décennies l abeille s emploie à transmettre pour la réalisation des hexagones de cire : première énigme. La deuxième énigme est encore plus pertinente : si elles trouvent la verticalité en se suspendant les unes aux autres, ce qu on appelle la chaîne cirière, ces techniciennes du vide s emploient à occuper l espace de leurs multiples rayons séparés page 4

5 AETHINA TUMIDA On parle beaucoup de Aethina tumida ces derniers temps, ici et dans les revues apicoles. Qu est-ce? Comment est-ce arrivé? Et qu est-ce qu on risque encore? Suite aux événements de l automne dernier, le ministère de l agriculture, la D.G.Al. (direction générale de l alimentation) plus exactement a décidé de diffuser auprès de tous les apiculteurs une petite plaquette informative. Celle-ci devrait «normalement» vous parvenir rapidement via la Direction des Services Vétérinaires. Voici en quelques mots de quoi il s agit. 1) DESCRIPTION Aethina tumida est un coléoptère de la famille des nitidulidae. Les méligèthes du colza appartiennent aussi à cette famille, ainsi que bien d autres coléoptères. Il porte suivant les pays ou les écrits les appellations suivantes : -> Small Hive Beetle -> C hwillig Ruskennou -> Petit coléoptère des ruches. Adulte, c est un insecte, noir avec des reflets bruns, de 6 à 7 mm de long sur 3 à 4 mm de large; soit environ 2 fois plus gros que les méligèthes (qui sont noirs à reflets bleus) et 2 fois plus petits que les cétoines (qui ont des reflets verts). Comme beaucoup d insectes il est assez «fidèle» à une source de nourriture : la colonie d abeilles (ruche ou nid d abeilles). Les œufs, plus petits que les œufs d abeilles sont regroupés en tas pointés vers le haut, dans les fissures, crevasses des planchers, parois ou cadres et même dans les cellules. Les larves sont caractéristiques. Elles mesurent 10 à 12 mm, intermédiaires entre celles de la petite teigne et celles de la grosse teigne. Elles ont 3 paires de pattes du côté de la tête et une sorte de piquants sur le dos. Il vous faudra savoir les reconnaître (ce ne sera pas difficile!!) 2) DÉVELOPPEMENT La femelle fécondée dépose ses œufs dans un endroit «calme», un peu à l écart des abeilles. La ponte aura donc lieu le plus fréquemment dans les colonies insuffisamment peuplées : colonies faibles, ou bien désorganisée après une visite un peu longue, lors de divisions, dans des colonies ayant essaimé, mais aussi dans les piles de hausses non extraites ou immédiatement après l extraction surtout si elles ont contenu du couvain. Au bout de quelques jours, les œufs donnent naissance à des larves. C est le stade le plus destructeur. Ça mange des protéines, c est à dire le pollen, les cadres ayant contenu du couvain, les larves d abeilles et aussi un peu de miel (comme la fausse teigne, avec laquelle il ne faudra pas confondre). Ça digère. Les excréments de ces larves donnent un mauvais goût au miel (oranges pourries) et le font fermenter. Même les abeilles ne le consomme plus. Ayant fini leur développement, les larves vont se transformer en nymphes. Pour cela, elles sortent de la ruche, recherchent un endroit favorable, dans un terrain souple. Elles peuvent pour cela parcourir quelques mètres ou, si besoin, quelques dizaines de mètres. La nymphose doit se passer dans le sol. C est un de leurs points faibles. Mais aussi une des difficultés. Comment les détruire alors qu elles se sont enfouies parfois assez loin du nid d abeilles? Et ensuite, c est un insecte parfait qui naît, qui vole (ben oui, c est un insecte avec des ailes) jusqu à 5 km voire plus. Ça vole aussi avec les essaims. Une jeune fille rencontre un jeune homme.. et la femelle intègre l intérieur d une ruche attirée par les odeurs dégagées par les abeilles, les cires, le couvain, les provisions. Et là page 5

6 au calme elle pond. 600 œufs Soit en comptant les pertes il peut bien en naître 100 nouvelles femelles fécondées qui commenceront à pondre après le cycle de développement ci-dessus soit en gros 2 mois plus tard. 3) STADE DESTRUCTEUR On l a vu le stade le plus destructeur est le stade larvaire. Espérons qu on n en arrivera pas là. 4) OÙ LE TROUVE-T-ON? C est un insecte originaire d Afrique du Sud. Il a été observé en 1867 par un certain Murray. On n entend plus parler de lui jusqu en 1940 lorsque Lundie, un étudiant en entomologie Africain fait une thèse et étudie sa biologie d un peu plus près. De nouveau silence radio jusqu en 1998 où il est découvert aux Etats-Unis où il fait de gros dégâts. Il serait (c est ce qu on dit ) arrivé un peu plus tôt au sud des Etats Unis par bateau, dans des caisses de fruits. Il est découvert en Australie en Et comme partout dans le monde on achète des reines, des paquets d abeilles venant des Etats Unis et d Australie, c est un vent de panique. On en a parlé lors d une assemblée générale du GDSA-29 (la pointe de l information!) le 7 mars Depuis on en trouvé au Canada en Egypte, et bien sûr dans la plupart des pays sub-sahariens. 5) LE PROBLÈME ACTUEL? En Europe, en France, et ailleurs un gros commerce de reines a lieu. Jean-François Odoux lors de son intervention à une de nos A.G. avait parlé de reines importées par an en France. Etait-ce exagéré? Au Portugal, en septembre dernier, en examinant des cages ayant contenu des reines on a trouvé quelques larves (des mortes et des vivantes). Toutes les ruches ayant reçu ces 125 reines ont été détruites. Or en France, importées en 2004 de chez le même éleveur ce sont 3292 reines qui ont été distribuées à 117 apiculteurs dans 56 départements. Et que dire des reines importées en 2002, en 2003? Il semble que le contrôle sanitaire ait été pour le moins défectueux (!!!) au départ des USA et à l arrivée en France. Autrement dit on ne sait pas s il y avait des coléoptères ou non, on ne sait pas si les reines ont été changées de cagettes ni ce que sont devenues les accompagnatrices, on ne sait pas si les cagettes ont été examinées à l arrivée. Le problème est donc qu il POURRAIT avoir été importé, mais on n en sait rien. 6) LE CHERCHER, LE REPÉRER Le coléoptère adulte dans la ruche recherche les coins obscurs. Donc ouvrir la ruche. La lumière entre par le haut dans la ruche (du moins si vous ne le faites pas de nuit). La bestiole descend donc et se réfugie au bas des cadres et sur le plancher. Soulever le corps et le poser de côté. Scruter les débris sur le plancher. Pour les larves cela se verra très facilement sur les cadres ou sur le plancher lorsqu elles sortent de la ruche pour la nymphose. 7) QUE FAIRE? Pour l instant il n y a pas grand chose. Le piégeage? A l état adulte, de larves? dans la ruche? En dehors de la ruche? Les produits chimiques? Encore d autres produits! Pour l instant ceux que l on connaît avoir une certaine efficacité présentent un certain nombre d inconvénients pour les abeilles, les produits de la ruche, l environnement, et n ont pour l instant pas d A.M.M. en France. Mais on essayera de vous tenir informés des solutions, des meilleures solutions s il y en a. Y.L. Si vous naviguez sur le web, allez voir sur ce site: Regardez dans les archives d'octobre 2004 «Le pire ennemi de l abeille» (10 octobre 2004) - En 1997, un apiculteur américain découvre de petits insectes dans une de ses 500 ruches. Quelques mois plus tard, toutes ses abeilles étaient mortes. Le tueur est le petit coléoptère de la ruche, un parasite originaire du sud de l Afrique, débarqué par accident aux États-Unis dans des cargaisons de fruits exotiques. Juste dans le sud-est américain, le petit coléoptère de la ruche a tué des dizaines de milliers d abeilles. Ce parasite rend aussi le miel immangeable. Il a envahi certains États au nord du pays, en bordure du Canada. Il faudra combien de temps avant qu il ne traverse la frontière (entre Etats-Unis et Canada -ndlr)? page 6

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