QUIZZ N 1. Lire les questions attentivement, puis choisir la lettre correspondant à la ou les bonne(s) réponse(s)
|
|
- Charles Michel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 QUIZZ N 1 Madame E. Talonasarm, suite à une fracture, présente une escarre talonnière colonisée par un staphylocoque doré résistant à la méticilline (SARM). Lire les questions attentivement, puis choisir la lettre correspondant à la ou les bonne(s) réponse(s)
2 Définition du «SARM» Le staphylocoque doré ou Staphylococcus aureus résistant à la méticilline est de fait résistant à l ensemble des antibiotiques de la famille des bêtalactamines. Sa résistance à la méticilline en fait une bactérie multi-résistante aux antibiotiques (BMR) : il peut être sensible aux autres antibiotiques. Il n est pas plus pathogène qu un autre staphylocoque mais il ne faut pas le transmettre à d autres personnes car le traitement des infections à BMR est plus compliqué.
3 Conduite à tenir Mise en œuvre de lutte contre la constitution d escarres et son aggravation (décharge talonnière, alimentation hypercalorique et hyperprotéinée, traitement de la douleur, lit adapté). Rechercher des signes permettant de faire la distinction entre une infection et une colonisation. En faveur d une infection : arguments cliniques : douleurs, chaleur, rougeur, fièvre arguments biologiques : CRP élevée ou autres signes d inflammation, signes d infection des tissus sous-jacents (os, ) Appliquer les recommandations de la fiche «Peau»
4 Question 1 Une consultation en dermatologie est programmée ; pour le transport, il est nécessaire : A. de vérifier que le pansement est propre avant le départ. B. de faire un transport en ambulance en raison de la présence du SARM. C. de demander à la résidante de faire une friction hydro-alcoolique des mains avant de quitter sa chambre. D. que la résidante porte une surblouse à usage unique dès la sortie de la chambre. E. d informer le dermatologue avant la consultation.
5 Réponse 1 Une consultation en dermatologie est programmée ; pour le transport il est nécessaire : A. de vérifier que le pansement est propre avant le départ. B. de faire un transport en ambulance en raison de la présence du SARM. C. de demander à la résidante de faire une friction hydro-alcoolique des mains avant de quitter sa chambre. D. que la résidante porte une surblouse à usage unique dès la sortie de la chambre. E. d informer le dermatologue avant la consultation.
6 Question 2 Le dermatologue demande des soins quotidiens et conseille une mobilisation la plus fréquente possible : A. il faut absolument transférer cette résidante dans un centre de rééducation car ces types de soins chez une porteuse de SARM sont impossibles à mettre en place dans un EHPAD. B. la marche ne sera possible que dans la chambre. C. le kinésithérapeute devra porter une surblouse seulement en cas de contact avec la résidante. D. les soins ne pourront être réalisés que dans la chambre de la résidante. E. il est essentiel que toutes les personnes qui sortent de la chambre de la résidante réalisent une friction avec un produit hydro-alcoolique.
7 Réponse 2 Le dermatologue demande des soins quotidiens et conseille une mobilisation la plus fréquente possible : A. il faut absolument transférer cette résidante dans un centre de rééducation car ces types de soins chez une porteuse de SARM sont impossibles à mettre en place dans un EHPAD. B. la marche ne sera possible que dans la chambre. C. le kinésithérapeute devra porter une surblouse seulement en cas de contact avec la résidante. D. les soins ne pourront être réalisés que dans la chambre de la résidante. E. il est essentiel que toutes les personnes qui sortent de la chambre de la résidante réalisent une friction avec un produit hydro-alcoolique.
8 Question 3 Régulièrement Madame E. Talonasarm passe le week-end chez sa fille où elle peut profiter de sa petite-fille de 8 mois : A. le risque de dissémination au domicile étant trop important la résidante ne pourra plus aller chez sa fille. B. les sorties chez sa fille seront réalisées comme pour les autres activités de la maison de retraite. C. si Madame E. Talonasarm se frictionne les mains avec un produit hydro-alcoolique et que le pansement est propre, il n y a pas de risque de dissémination de la BMR au domicile de sa fille. D. Madame E. Talonasarm ne pourra plus être transportée dans la voiture de son gendre. E. la serviette de table utilisée chez sa fille pendant le week-end devra être à usage unique ou lavée selon le protocole de la maison de retraite.
9 Réponse 3 Régulièrement Madame E. Talonasarm passe le week-end chez sa fille où elle peut profiter de sa petite fille de 8 mois : A. le risque de dissémination au domicile étant trop important la résidante ne pourra plus aller chez sa fille. B. les sorties chez sa fille seront réalisées comme pour les autres activités de la maison de retraite. C. si Madame E. Talonasarm se frictionne les mains avec un produit hydro-alcoolique et que le pansement est propre, il n y a pas de risque de dissémination de la BMR au domicile de sa fille. D. Madame E. Talonasarm ne pourra plus être transportée dans la voiture de son gendre. E. la serviette de table utilisée chez sa fille pendant le weekend devra être à usage unique ou lavée selon le protocole de la maison de retraite.
10 Question 4 Madame E. Talonasarm aimerait aller chez le coiffeur avant de se rendre chez sa fille : A. ce n est pas elle qui ira au salon de coiffure, mais la coiffeuse qui viendra dans sa chambre car le risque de dissémination du SARM est trop grand. B. les ciseaux devront subir une procédure de désinfection habituelle avant d être réutilisés. C. la mise en place d une protection à usage unique pour le fauteuil de coiffure est indispensable. D. la coiffeuse devra porter un tablier à usage unique et un masque de soins. E. une séance de coiffure selon la procédure habituelle respectant les précautions «standard» est possible.
11 Réponse 4 Madame E. Talonasarm aimerait aller chez le coiffeur avant de se rendre chez sa fille : A. ce n est pas elle qui ira au salon de coiffure, mais la coiffeuse qui viendra dans sa chambre car le risque de dissémination du SARM est trop grand. B. les ciseaux devront subir une procédure de désinfection habituelle avant d être réutilisés. C. la mise en place d une protection à usage unique pour le fauteuil de coiffure est indispensable. D. la coiffeuse devra porter un tablier à usage unique et un masque de soins. E. une séance de coiffure selon la procédure habituelle respectant les précautions «standard» est possible.
12 Question 5 Que conseillez-vous à la fille de Madame E. Talonasarm pour le week-end si jamais une consultation en urgence est nécessaire? A. seul un médecin hospitalier peut prendre en charge Madame E. Talonasarm, il faudra donc impérativement aller dans un service d urgence. B. si le médecin n a pas de surblouse à usage unique, il ne doit pas examiner Madame E. Talonasarm. C. si le médecin ne défait pas le pansement, le risque de dissémination est très faible. Il peut donc se contenter d une hygiène des mains avec un produit hydro-alcoolique. D. si l examen est réalisé au domicile de la fille de Madame E. Talonasarm, il n y a aucune mesure à prendre. E. les précautions «standard» ne sont pas applicables en dehors d une collectivité donc il n est pas nécessaire de faire des recommandations particulières.
13 Réponse 5 Que conseillez-vous à la fille de Madame E. Talonasarm pour le week-end si jamais une consultation en urgence est nécessaire? A. seul un médecin hospitalier peut prendre en charge Madame E. Talonasarm, il faudra donc impérativement aller dans un service d urgence. B. si le médecin n a pas de surblouse à usage unique, il ne doit pas examiner Madame E. Talonasarm. C. si le médecin ne défait pas le pansement, le risque de dissémination est très faible. Il peut donc se contenter d une hygiène des mains avec un produit hydro-alcoolique. D. si l examen est réalisé au domicile de la fille de Madame E. Talonasarm, il n y a aucune mesure à prendre. E. les précautions «standard» ne sont pas applicables en dehors d une collectivité donc il n est pas nécessaire de faire des recommandations particulières.
14 Question 6 Une séance de pédicure comme tous les 3 mois est programmée. Que proposez-vous? A. il s agit d un soin à très haut risque, il est donc préférable de l annuler. B. si le pédicure applique les précautions «standard», entretien du matériel et de l environnement avec un détergent désinfectant, il n y a pas de risque. C. si ces soins ne sont pas indispensables, il est préférable de les différer. D. une séance de pédicure n est pas un soin infirmier, il n est donc pas contraint d appliquer les précautions «standard». E. le SARM est localisé sur la plaie et non sur les ongles donc il n y a pas de risque.
15 Réponse 6 Une séance de pédicure comme tous les 3 mois est programmée. Que proposez-vous? A. il s agit d un soin à très haut risque, il est donc préférable de l annuler. B. si le pédicure applique les précautions «standard», entretien du matériel et de l environnement avec un détergent désinfectant, il n y a pas de risque. C. si ces soins ne sont pas indispensables, il est préférable de les différer. D. une séance de pédicure n est pas un soin infirmier, il n est donc pas contraint d appliquer les précautions «standard». E. le SARM est localisé sur la plaie et non sur les ongles donc il n y a pas de risque.
16 Question 7 Madame E. Talonasarm depuis son intervention sur la hanche est désorientée. A. dans ces conditions, il faut fermer la porte de sa chambre à clé afin d éviter toute déambulation dans l établissement. B. une demande d admission dans un service de psychiatrie doit être réalisée au plus vite. C. si tous les intervenants appliquent les précautions «standard», le risque de dissémination est limité y compris avec une mauvaise coopération de Madame E. Talonasarm. D. comme il s agit d une colonisation, il n y a pas de risque de dissémination. E. le linge ne doit pas subir de traitement particulier car il n est pas en contact avec un produit biologique contaminé.
17 Réponse 7 Madame E. Talonasarm depuis son intervention sur la hanche est désorientée. A. dans ces conditions, il faut fermer la porte de sa chambre à clé afin d éviter toute déambulation dans l établissement. B. une demande d admission dans un service de psychiatrie doit être réalisée au plus vite. C. si tous les intervenants appliquent les précautions «standard», le risque de dissémination est limité y compris avec une mauvaise coopération de Madame E. Talonasarm. D. comme il s agit d une colonisation, il n y a pas de risque de dissémination. E. le linge ne doit pas subir de traitement particulier car il n est pas en contact avec un produit biologique contaminé.
18 Question 8 Concernant l entretien de l environnement de Madame E. Talonasarm : A. la belle armoire en noyer et la table de nuit en merisier non lessivables doivent être sorties de la chambre pendant toute la période de colonisation à SARM. B. une procédure particulière d entretien de la chambre devra être affichée à l entrée de la chambre. C. il est intéressant de profiter de son départ en week-end chez sa fille pour pratiquer une désinfection terminale de la chambre, car le bionettoyage habituel ne permet pas d atteindre le plafond et le lustre. D. la procédure de nettoyage habituelle doit être poursuivie car les BMR ne sont résistantes qu aux antibiotiques et non aux désinfectants. E. un entretien à la javel du chariot de ménage est la mesure essentielle, ainsi il n est pas nécessaire de respecter une chronologie particulière pour l entretien des chambres.
19 Réponse 8 Concernant l entretien de l environnement de Madame E. Talonasarm : A. la belle armoire en noyer et la table de nuit en merisier non lessivables doivent être sorties de la chambre pendant toute la période de colonisation à SARM. B. une procédure particulière d entretien de la chambre devra être affichée à l entrée de la chambre. C. il est intéressant de profiter de son départ en week-end chez sa fille pour pratiquer une désinfection terminale de la chambre, car le bionettoyage habituel ne permet pas d atteindre le plafond et le lustre. D. la procédure de nettoyage habituelle doit être poursuivie car les BMR ne sont résistantes qu aux antibiotiques et non aux désinfectants. E. un entretien à la javel du chariot de ménage est la mesure essentielle, ainsi il n est pas nécessaire de respecter une chronologie particulière pour l entretien des chambres.
20 Question 9 La chaise roulante de Madame E. Talonasarm : A. devra être détruite lorsque Madame E. Talonasarm ne sera plus colonisée car il s agit d un réservoir de germes trop difficile à décontaminer. B. ne doit pas être prêtée à d autres résidants. C. en l absence d un entretien régulier, il faut la considérer comme étant contaminée. D. doit être entretenue au même titre que tout le mobilier de Madame E. Talonasarm. E. ne doit pas sortir de la chambre ou, doit être décontaminée à la vapeur avant.
21 Réponse 9 La chaise roulante de Madame E. Talonasarm : A. devra être détruite lorsque Madame E. Talonasarm ne sera plus colonisée car il s agit d un réservoir de germes trop difficile à décontaminer. B. ne doit pas être prêtée à d autres résidants. C. en l absence d un entretien régulier, il faut la considérer comme étant contaminée. D. doit être entretenue au même titre que tout le mobilier de Madame E. Talonasarm. E. ne doit pas sortir de la chambre ou, doit être décontaminée à la vapeur avant.
22 Question 10 Pour les repas : A. la vaisselle à usage unique est la solution la plus sûre. B. la vaisselle habituelle doit être traitée à la javel avant de sortir de la chambre. C. il est nécessaire de respecter le circuit habituel de la vaisselle mais il n est pas nécessaire de changer le produit lessiviel. D. Madame E. Talonasarm peut prendre ses repas avec les autres résidants. E. lors de la distribution des repas, une friction avec un produit hydro-alcoolique est nécessaire si le soignant mobilise la résidante ou a un contact avec son environnement.
23 Réponse 10 Pour les repas : A. la vaisselle à usage unique est la solution la plus sûre. B. la vaisselle habituelle doit être traitée à la javel avant de sortir de la chambre. C. il est nécessaire de respecter le circuit habituel de la vaisselle mais il n est pas nécessaire de changer le produit lessiviel. D. Madame E. Talonasarm peut prendre ses repas avec les autres résidants. E. lors de la distribution des repas, une friction avec un produit hydro-alcoolique est nécessaire si le soignant mobilise la résidante ou a un contact avec son environnement.
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailLes Mesures Additionnelles aux Précautions Standard
Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailLIVRET D'ACCUEIL. EHPAD Valle Longa 0495532200 www.vallelonga.fr 20117 Cauro
LIVRET D'ACCUEIL EHPAD Valle Longa 0495532200 Sialare www.vallelonga.fr 20117 Cauro LE MOT D ACCUEIL Madame, Monsieur, Nous vous souhaitons la bienvenue à la résidence Valle Longa de Cauro. Valle Longa,
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailPrécautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux
Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailRecommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation
Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation
Plus en détailENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES
1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailService Privé d ambulances 2010
FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Service Privé d ambulances Codification NAA : 85.16 Codification ONS : 85.17 Codification Agriculture : / Codification Artisanat : / Codification CNRC
Plus en détailLA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012
LA NORME RABC EN BLANCHISSERIE NOYONS SEPTEMBRE 2012 SOMMAIRE La norme RABC, qu est-ce que c est? Les grandes lignes La blanchisserie et la Fonction linge - incidences sur l application de la méthode Les
Plus en détailLes Quatre Saisons. Appartement gérontologique. 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64
Livret d accueil Les Quatre Saisons Appartement gérontologique 36 rue Trevet 93300 Aubervilliers Tél. : 01.48.39.98.64 Présentation La résidence Les Quatre Saisons est un appartement d accueil, non médicalisé,
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailRapport d hygiène pour le département du service d ambulance
Rapport d hygiène pour le département du service d ambulance Dans le cadre des exigences de qualité posées, l on aimerait savoir dans quelle mesure le nettoyage et la désinfection des ambulances suffisent
Plus en détailPrise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire
Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire GUIDE POUR LES PARENTS 514-412-4400, poste 23310 hopitalpourenfants.com/trauma Le fémur est l os le plus long du corps humain : il
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailBILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY
Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailPrévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME
Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE
Plus en détailCentre SSR - EHPAD La Chimotaie B.P. 10014 85613 CUGAND Montaigu Cedex
Centre SSR - EHPAD 85613 CUGAND Montaigu Cedex SSR (orientation en rééducationréadaptation) SSR (orientation en cancérologie et soins palliatifs) SSR polyvalents Secrét. Médical : 02.51.45.68.23 Secrét.
Plus en détailEstival et court terme
Service de logement- Estival et court terme Description des logements Résidence Lafrance Studios individuels (pour un client) : Laveuses et sécheuses payantes sur chaque étage; Deux s aménagés pour personnes
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailREGLEMENT DE FONCTIONNEMENT
RESIDENCE LES TILLEULS 15 RUE MONTALEAU 94370 SUCY EN BRIE Tél : 01 49 82 93 50 Fax : 01 49 82 93 59 Email : residence.lestilleuls.sucy@orange.fr Site internet : maisonderetraitelestilleuls.fr REGLEMENT
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailRéseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006
Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des
Plus en détailOuverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailde hanche Votre chirurgien vous a posé une prothèse de hanche...
Prothèse de hanche Votre chirurgien vous a posé une prothèse de hanche... Afin de limiter les risques de luxation de prothèse, vous devez éviter certains gestes, pendant une durée minimum de trois mois.
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailLa découverte et l utilisation
GRAND ANGLE TC 151 Antibiorésistance et conséquences en santé au travail pour les soignants en résumé AUTEURS : R. Vincent, C. Le Bâcle, département Études et assistance médicales, INRS Le développement
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailDen Alter liewen. Centre Bei der Sauer Diekirch
FR Den Alter liewen Centre Bei der Sauer Diekirch Bienvenue au centre «Bei der Sauer» à Diekirch Vous-même ou l'un de vos proches êtes peut-être à la recherche d un logement qui combine sécurité, prestations
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailCONTRAT DE SÉJOUR *** HÉBERGEMENT PERMANENT
CONTRAT DE SÉJOUR *** HÉBERGEMENT PERMANENT Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes Rue du Coguen - 56920 NOYAL-PONTIVY : 02 97 38 31 62 Fax : 02 97 38 30 62 Email : mdrnoyalpontivy@yahoo.fr
Plus en détailL'assurance santé en toute simplicité
L'assurance santé en toute simplicité C'est en accompagnant chaque jour des millions d'assurés que Generali a compris qu'il était important d'offrir une gamme de produits santé pour chaque moment de la
Plus en détailLE DOSSIER PARTAGE DU PATIENT A DOMICILE
LE DOSSIER PARTAGE DU PATIENT A DOMICILE Dans le cadre du CLIC du CCAS de la ville de NICE. Etablit en partenariat entre : Le CCAS de la ville de Nice Le CHU de Nice Les établissements hospitaliers et
Plus en détaillivret d accueil s ervice d o ncologie vous informer, c est aussi notre rôle
s ervice d o ncologie livret d accueil vous informer, c est aussi notre rôle centre hospitalier de tourcoing - 135, rue du président coty - 59208 tourcoing cedex www.ch-tourcoing.fr DSIO - Qualité - Communication
Plus en détailLiaison Bac Pro ASSP - BTS
Brigitte Rougier IEN SBSSA Sandrine Martinez PLP STMS Sarah Zemmouri PLP STMS L élaboration du plan de formation en Baccalauréat professionnel Liaison Bac Pro ASSP - BTS Baccalauréat professionnel «Accompagnement,
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailPOUR BIEN VIEILLIR CHEZ MOI, MON DOMICILE EN TOUTE SÉCURITÉ
POUR BIEN VIEILLIR CHEZ MOI, MON DOMICILE EN TOUTE SÉCURITÉ Ce livret est offert par la Carsat Nord-Picardie à : Nom, prénom :... Adresse :......... Pour bien vieillir chez moi, mon domicile en toute
Plus en détailProcédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)
Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)
Plus en détailCHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité
Plus en détailFICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI
Date : 21/05/2014 FICHE D AVERTISSEMENT ET PRECAUTIONS D EMPLOI Produits impliqués : Table de Verticalisation Top Niveau Réf TF1-2860 / TF1-2861 Tables fabriquées en 2012 (2860 10 12 01 et 2860 10 12 02)
Plus en détailHAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1
Référentiel d évaluation des centres de santé HAS / Service Qualité de l Information Médicale / Février 2007 1 Sommaire Introduction p. 3 et 4 Référentiel d évaluation p. 5 à 8 Référentiel d évaluation
Plus en détailVers un monde accessible GAMME PARTICULIERS PROFESSIONNELS DE SANTÉ
Vers un monde accessible GAMME PARTICULIERS PROFESSIONNELS DE SANTÉ AXSOL importe et distribue des solutions alternatives d accessibilité et de sécurité et intervient auprès des commerces, collectivités,
Plus en détailAblation de sutures. Module soins infirmiers
Ablation de sutures Module soins infirmiers Equipe enseignante de l IFSI du Centre Hospitalier de ROUBAIX Diaporama réalisé par : Stéphane Dubus, Formateur I. Définition Il s agit d ôter les sutures cutanées
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailCENTRE HOSPITIER DE BRETAGNE SUD UNITES DE SOINS DE LONGUE DUREE-EHPAD ROZ AVEL KERBERNES - PLOEMEUR CONTRAT DE SEJOUR
CENTRE HOSPITIER DE BRETAGNE SUD UNITES DE SOINS DE LONGUE DUREE-EHPAD LE QUIMPERO HENNEBONT ROZ AVEL KERBERNES - PLOEMEUR CONTRAT DE SEJOUR Délibéré et adopté par le Conseil d'administration en sa séance
Plus en détailSoins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains
Soins Soins d'hygiène corporelle de l'adulte : Aide à la toilette partielle au lavabo et au lit du visage et des mains LP Louis Blériot 2 BAC Pro ASSP Situation professionnelle Situation n 6 Fonction Compétence
Plus en détailGESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3. Référentiels des pratiques
GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3 Référentiels des pratiques Juillet 2009 EHPAD 1 = Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes MAS 2 = Maison d accueil spécialisé
Plus en détailCONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES SERVICES DE L AUTOMOBILE
CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES SERVICES DE L AUTOMOBILE Accord Paritaire National instituant un Régime Professionnel Complémentaire de Santé (RPCS) 1 SERVICE COLLECTIF Veille sociale, juridique et
Plus en détailCommunauté de Communes du Pays de Livarot
Rue des Frères Lumière 14120 MONDEVILLE 02 31 35 64 35 02 31 35 64 36 Email : contact@inea-be.com Communauté de Communes du Pays de Livarot Aménagement de l ancienne usine Leroy en un Pôle de Santé Libéral
Plus en détailFICHE D ETAT DES LIEUX
FICHE D ETAT DES LIEUX Chambres I 1 I 2 I 3 - I 4 I 5 I 7 Logement N : Nom du locataire : Nom du vérificateur lors du départ : Date : NATURE DU MOBILIER TBE = Très Bon Etat BE = Bon Etat EU = Etat d Usage
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES. Transports sanitaires
Marché de service CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES Transports sanitaires - Etablissement contractant : CENTRE HOSPITALIER 858 rue des Drs. Devillers 02120 GUISE 03.23.51.55.55 03.23.51.55.35 Procédure
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailprocessus cliniques et administratifs en santé
Centre de santé et de services sociaux Du Nord de Lanaudière Les principes de la pensée LEAN appliqués s aux processus cliniques et administratifs en santé Marcelle Lajoie Directrice des programmes multiclientèles
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailCODERPA 89 RAPPORT COMMISSION INTERNET ET COMMUNICATION. du mercredi 8 octobre 2008
du mercredi 8 octobre 2008 Etaient présents : Mme BEAUCHEMIN M. DEFOSSEZ M. HUTIN M. OURCEYRE M. SAPIN. Absents : M. KRASNOPOLSKI. Mise au point sur le rapport qui sera lu au cours de la Séance Plénière
Plus en détailvous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou territoriale,
Vous êtes un professionnel du corps médical ou des services sociaux, vous travaillez au sein d un établissement spécialisé, vous êtes en charge des services sociaux auprès d une collectivité locale ou
Plus en détailConférence-débat Place des aides techniques et de l adaptation du logement dans le cadre de l assurance dépendance
Journée nationale de l assurance dépendance Conférence-débat Place des aides techniques et de l adaptation du logement dans le cadre de l assurance dépendance Modérateur: Barbara Strauch Rapporteur: Nico
Plus en détailHygiène des véhicules de transport sanitaire
2 0 0 4 Hygiène des véhicules 2 0 0 4 de transport sanitaire Sommaire Les fiches d enregistrement sont insérées dans le rabat en 3 ème de couverture. Préambule... 3 Étude préliminaire, objectifs... 3 Recommandations
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailauremar - Fotolia.com
auremar - Fotolia.com Bien vivre chez soi Différents dispositifs permettent aux seniors giffois de rester chez eux avec des repas à domicile, des aides ponctuelles comme le ménage, le repassage, les courses
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailLOT 1 - PARIS. Salles de Bureaux. Circulations Ascenseurs dépôts à réunion l'étage (740 m²) (80 m²) (200 m²) (4 m²) (10 m²) (12 m²) (70m²) 1
Ref. Ares(2014)4124941-09/12/2014 SN : si nécessaire - : 1x par jour - : 1 x par semaine - 2M : 2 x par mois - : 1 x par mois - 4A : 1 x par trimestre - 2A : 1 x tous les six mois - 1A : 1 x par an techni
Plus en détailse renseigner, se préparer.
Personnes âgées Entrer en maison de retraite : se renseigner, se préparer. Livret 2 L entrée en maison de retraite (EHPAD*) Une solution? Pour qui? Pourquoi? Pour quand? * EHPAD : établissement d Hébergement
Plus en détailOrganisation - Organisatie. Avantages - Voordelen
Organisation - Organisatie Mutualité socialiste et syndicale du Luxembourg 323 Place de la Mutualité 1 6870 SAINT-HUBERT Tél. : (061) 23 11 11 Fax : (061) 61 28 67 Acupuncture Aide familiale Avantages
Plus en détailEntretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD. MISSIONS de l ARLIN Bretagne
Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD MISSIONS de l ARLIN Bretagne Conseils et assistance aux ES et aux EHPAD FAM MAS Animation
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailL ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE
LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire
Plus en détailC.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX
2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 23 C.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 2.1 Classification des locaux par zone 2.2 Fréquence du nettoyage par local
Plus en détailREPRESENTACION PERMANANTE DE ESPAÑA ANTE LA UNION EUROPEA
CAHIER DES PRESCRIPTIONS TECHNIQUES SERVICE D ENTRETIEN DES LOCAUX DE LA REPRESENTATION (BRUXELLES) 1. LOCAUX À ENTRETENIR Les bâtiments à nettoyer sont ceux situés : Bd. du Régent 50 à 1000 Bruxelles:
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailSOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR
1 SOMMAIRE I.DUREE DU SEJOUR II.PRESTATIONS ASSUREES PAR L ETABLISSEMENT 2.1 description du logement et du mobilier fourni par l établissement 2.2 restauration 2.3 le linge et son entretien 2.4 animation
Plus en détailFAIRE FAIRE DES ECONOMIES A VOTRE ETABLISSEMENT:
FAIRE FAIRE DES ECONOMIES A VOTRE ETABLISSEMENT: supprimer l inutile, valoriser les actions, chiffrer, négocier.. Dr O. BELLON Centre hospitalier de Brignoles Centre gérontologique g départemental d de
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailCENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE
REPUBLIQUE FRANÇAISE CENTRE COMMUNAL D ACTION SOCIALE Ville de Cagnes-sur-Mer LOGEMENT-FOYER «LA FRATERNELLE» Livret d accueil Vous avez choisi le Logement Foyer «La Fraternelle». Nous vous remercions
Plus en détailRetours d expériences ATELIER EQUILIBRE. Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes
Retours d expériences ATELIER EQUILIBRE Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes Soirée- Débat Sport-Santé - DRJSCS Poitou-Charentes 23/02/2012 viviane.granseigne@gmail.com
Plus en détailMATÉRIEL MÉDICAL ORTHOPÉDIE SANTÉ BIEN-ÊTRE CONFORT
MATÉRIEL MÉDICAL ORTHOPÉDIE SANTÉ BIEN-ÊTRE CONFORT Le meilleur pour votre santé à domicile RETROUVEZ VOTRE MAGASIN : 265 route de La Ciotat - 13400 Aubagne Confort et bien-être RÉÉDUCATION ET DÉTENTE
Plus en détailGENERALI MUTUELLE SANTE
GENERALI MUTUELLE SANTE AVANTAGES DU CONTRAT MUTUELLE SANTE GENERALI Notice d'information Generali : Notice 1 cliquez ici - - - Notice 2 cliquez ici Demandez nous un devis : Cliquez ici Des garanties adaptées
Plus en détailPublicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé
Publicité Une nouvelle vision de la complémentaire santé Swiss santé, Ma formule Édito Swiss santé, Ma formule Créez votre complémentaire santé personnalisée Rester en bonne santé est ce qu il y a de plus
Plus en détailHygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012
Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de
Plus en détailContrat de séjour EHPAD 1
Contrat de séjour EHPAD 1 Centre Hospitalier Eugène Jamot SOMMAIRE I- CONDITIONS D ACCUEIL II- PRESTATIONS ASSUREES PAR L ETABLISSEMENT 1- Logement a) Description du logement et des équipements fournis
Plus en détailGrille d'évaluation. Nom:... Prénom:...
Grille d'évaluation Nom:... Prénom:... AMMA ASSURANCES a.m. Association d assurance mutuelle à cotisations fixes conformément à l article 2, 2 de la Loi du 25.06.1992 (M.B. 20.08.1992) agréée sous le code
Plus en détail