Essayer de lutter contre le phénomène de pauvreté

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1 Colloque «Pauvreté : mieux la comprendre pour mieux agir» - 9 mars 2010 Essayer de lutter contre le phénomène de pauvreté Table des matières 1. Anne-Catherine GUIO p. 2 Chercheur à l I.W.E.P.S. 2. Marcellin KOFFI p. 8 Coordinateur de l Observatoire communal liégeois de la Pauvreté et de la Santé 1

2 Anne-Catherine GUIO - Institut Wallon de l Evaluation, de la Prospective et de la Statistique (I.W.E.P.S.) Mesure de la pauvreté : faits et limites de la mesure L approche monétaire : la question du seuil Pour identifier les personnes pauvres, on utilise un seuil minimal en dessous duquel la personne est considérée comme pauvre. Comment définir ce seuil? Quel est le niveau minimal acceptable? Cela implique inévitablement un jugement de valeur. Le seuil de pauvreté monétaire : relatif ou absolu? Ce seuil doit-il varier selon le niveau de richesse moyen d une société (seuil relatif)? - Appliqué en Europe Ou être fixé sur base du coût d un panier de biens jugé comme minimal (approche absolue) : choix normatif de consommation (le choix des biens, leur quantité ) - dicté par des nutritionnistes pour l alimentation ; - plus difficile pour les vêtements, les loisirs, le confort ; - un exemple belge. L approche monétaire relative : le seuil Le seuil est défini en fonction du revenu médian. Il peut être plus ou moins généreux (40 %, 50 %, 60 % du revenu médian), ce qui est arbitraire. En Belgique, le seuil (60 % du revenu médian) équivalait à un revenu annuel de 900 /mois ( /an), pour un isolé, en 2008 et 1888 /mois pour un couple avec deux enfants ( /an). (Source : EU-SILC- 2008). En Belgique, ce seuil est supérieur à la plupart des minima sociaux. Le taux de pauvreté monétaire relatif En 2008, il valait 15 % en Belgique (19 % en Wallonie, 11 % en Flandre). Cela signifie que 15 % de la population vivait dans un ménage dont le revenu disponible équivalent était inférieur à 60 % du revenu médian belge. Pas de discontinuité entre «pauvres» et «non pauvres», un continuum de situations. Le taux est très sensible au seuil retenu, voici les chiffres pour la Wallonie : 2

3 au seuil de 40 %, le taux vaut 4 % ; au seuil de 50 %, le taux vaut 10 % ; au seuil de 70 %, le taux vaut 29 %. (Source : EU-SILC 2008). Pauvreté monétaire EU Quels sont les groupes les plus à risque? Le travail : un rempart contre la pauvreté, mais qui reste imparfait Le fait de ne pas avoir d emploi multiplie le risque de pauvreté car bon nombre de minima sociaux restent inférieurs au seuil de pauvreté monétaire : les chômeurs ont un taux de pauvreté 8 fois supérieur à celui des travailleurs ; 74 % des Belges qui vivent dans des ménages avec enfants où personne ne travaille sont pauvres (77 % en Wallonie). Mais le fait d avoir un emploi ne constitue pas toujours une garantie contre la pauvreté : 4 % des travailleurs belges sont pauvres (6 % en Wallonie) ; 1 pauvre sur 6 travaille. (Source : EU-SILC- 2008). Les groupes à risque (Analyse bivariée) les familles monoparentales (39 % en Belgique, 49 % en Wallonie) ; les isolés ont un risque plus élevé (21 % en Belgique, 27 % en Wallonie) ; les personnes âgées, surtout si ce sont des isolés de plus de 65 ans (25 % en Belgique, 29 % en Wallonie) ; 3

4 les femmes (16 % en Belgique, 21 % en Wallonie) ; les locataires (28 % en Belgique, 38 % en Wallonie) (10 % de pauvreté parmi les propriétaires belges, 14 % en Wallonie) ; peu de variations selon la densité de la population ; inégalité : les 20 % les plus pauvres ont 4 fois moins de revenu que les 20 % les plus riches. Source : EU-SILC Mesures alternatives? Un indicateur de privation matérielle 12% des Belges font face à au moins trois des neufs difficultés financières suivantes (6 % en Flandre ; 18 % en Wallonie) : ne pas avoir les moyens financiers : - d éviter des arriérés (loyer, factures, mensualités de location-vente) ; de se permettre une semaine de vacances par an hors de chez soi ; de se permettre de chauffer convenablement le logement ; de se permettre un repas composé de viande/poulet/poisson tous les deux jours ; de faire face à une dépense non prévue (de l ordre de 900 ) ; d avoir une télévision si désirée ; d avoir une voiture si désirée ; d avoir une machine à laver si désirée ; d avoir un téléphone, si désiré. Les personnes déprivées monétairement? sont-elles classés parmi les personnes pauvres Les «pauvres» sont plus «déprivés» que le reste de la population (42 % d entre eux sont déprivés, contre 7 % pour les «non pauvres»). Mais les deux mesures ne se recoupent pas parfaitement : 79 % de la population n a aucun problème ; 6 % cumulent les deux problèmes ; 9 % sont pauvres selon le critère monétaire, mais pas déprivés ; 6 % sont déprivés, mais non «pauvres monétairement». Ce faible regroupement des mesures n invalide pas l une ou l autre mesure, mais met en lumière l intérêt de multiplier les approches et les indicateurs. (Source : EUSILC 2007) Privation matérielle : Personnes à risques Trois quarts des familles monoparentales ou des ménages sans emploi avec enfants cumulent au moins deux difficultés financières. Mais aussi les locataires, les chômeurs, les inactifs, les ménages dont l intensité en emploi n est pas maximale, les isolés (de moins de 65 ans, surtout s il s agit de femmes). 4

5 Toutefois, les personnes âgées, considérées comme plus à risque que la population totale en termes monétaires, encourent moins de difficultés financières que la population totale. Par contre, 13 % des travailleurs sont pointés par cette approche (contre seulement 4 % dans l approche monétaire). Les indépendants sont nettement moins à risque selon l approche «déprivation» que selon l approche monétaire. Au niveau local Les enquêtes ne sont pas représentatives au niveau local. On utilise des données administratives MAIS la plupart d entre elles sont individuelles (pas d information au niveau du ménage) SAUF les données fiscales et les données BIM (qui ont également des lacunes). Les données fiscales elles ne prennent pas en compte l ensemble de la population (personnes non enrôlées) ; l unité d analyse est le ménage fiscal (c est-à-dire la (ou les) personne(s) qui remplit(remplissent) une déclaration fiscale commune) et non le ménage au sens sociologique ; elles mesurent le revenu imposable et non le revenu disponible du ménage (le revenu imposable ne reprend pas les revenus non taxables, comme les allocations familiales, les revenus immobiliers, le revenu d intégration sociale et défalque des coûts et charges qui donnent lieu à des déductions fiscales). Part des déclarations fiscales de moins de

6 Les données sur les B.I.M. (Bénéficiaires de l Intervention Majorée) Le statut B.I.M. est accordé automatiquement aux personnes qui perçoivent : le revenu d intégration sociale sans interruption depuis au moins trois mois (ou aide sociale équivalente) ; une allocation liée à un handicap ; la Grapa (Garantie de Revenus Aux Personnes Agées) ; les enfants qui sont atteints d une incapacité physique ou mentale d au moins 66 %. Depuis avril 2007, bénéficient également de l intervention majorée, les personnes à charge d un B.I.M., son conjoint ou partenaire de vie, ainsi que les personnes à sa charge. Le statut BIM est accordé aux personnes qui le demandent et pour autant que les revenus annuels bruts imposables du ménage ne dépassent pas ,94 ( ,33 euros par personne à charge (montants en vigueur depuis le 1er mai 2008) et qu elles fassent partie de l une des catégories suivantes : les pensionné(e)s, veuves et veufs, orphelin(e)s, bénéficiaires d une indemnité d invalidité ; les chômeurs de longue durée : chômeurs complets depuis plus d un an, âgés de 50 ans au moins et qui perçoivent des allocations de chômage ; les personnes handicapées ; les résident(e)s ayant atteint l âge de 65 ans ; les membres de l ancien personnel du secteur public en Afrique qui ont atteint l âge de 65 ans ; les agents des services publics mis en disponibilité pour cause de maladie ou d infirmité depuis 1 an ; les membres des communautés religieuses. Le statut OMNIO (depuis avril 2007) étend le bénéfice de l intervention majorée en soins de santé à de nouvelles catégories de personnes à revenus modestes. 6

7 La part des bénéficiaires de l intervention majorée (BIM + OMNIO) dans la population totale Les mesures de la pauvreté : bien des questions à approfondir Meilleure analyse des déterminants de la pauvreté et des liens entre emploi, santé, logement, éducation, formation, capital social dans une approche décloisonnée et causale. Analyse conjointe des notions monétaires et non monétaires, dont la privation matérielle. Mobilisation des données des administrations et des acteurs de terrain. Meilleure prise en compte du vécu des personnes défavorisées. Meilleure appréhension des groupes exclus dans les enquêtes (sans-abris, ménages collectifs ). 7

8 Marcellin KOFFI coordinateur de l'observatoire communal liégeois de la Pauvreté et de la santé Comment mesurer la pauvreté au niveau local sans stigmatiser? Lorsque par l arbitraire d un chiffre, d une moyenne, on catégorise un groupe, une commune ou une personne comme étant pauvre, la question que je me pose est «que peuvent ressentir les personnes concernées?» Lorsqu on écoute la parole des personnes vivant ou ayant vécu des situations de pauvreté, les sentiments qui dominent chez ces personnes sont : la honte ; le rejet des autres ; l exclusion. Or la finalité de mon travail n est pas de jeter le discrédit sur des individus (comme vous et moi), ni d étiqueter des entités territoriales comme Liège (qui se veut une métropole dynamique, propre, attrayante tant pour les touristes que pour les investisseurs). Cependant, (vous conviendrez avec moi) que sans une traduction des situations de précarité et de pauvreté en chiffres, il ne peut y avoir ni moyens, ni politique réelle pour enrayer le phénomène. Partout et pour tout, les moyens sont octroyés en fonction des besoins ; les besoins sont évalués, calculés, budgétisés. Madeleine GRAWITZ, Professeur émérite sur les méthodes des sciences sociales à l Université de Paris 1 a dit, «Mesurer, c est savoir». Qui pourrait envoyer une fusée sur la lune ou sur Mars, sans de savants calculs au préalable? Il en va de même pour les politiques sociales en matière de lutte contre la pauvreté. Ce travail de calcul, de mesure, c est un peu la même mission, à un autre niveau bien sûr, que celle de l Observatoire communal liégeois de la Pauvreté et de la santé. La création de l Observatoire communal liégeois de la Pauvreté et de la Santé a été initiée en 2000, au départ des moyens attribués à la Ville de Liège dans le cadre du Plan Fédéral pour les Grandes Villes (P.F.G.V. ). Au lendemain des élections législatives de juin 1999, les négociateurs pour la formation du «nouveau gouvernement» souhaitaient développer, avec la coopération des entités fédérées, une politique globale susceptible d apporter des solutions réelles aux difficultés spécifiques de la plupart des grandes métropoles. Difficultés qui sont, entre autres, l exode urbain, la paupérisation des habitants, la dégradation du bâti, l insécurité... Le Collège des Bourgmestre et Échevins en a approuvé la création et lui a notamment assigné pour mission de recueillir, traiter, analyser et diffuser des 8

9 informations relatives à la pauvreté à Liège. Autrement dit, constituer un tableau de bord du social devant servir d outil d aide à la décision. Ainsi, chaque année depuis sa création, l Observatoire : rédige un rapport statistique des données socio-économiques repris en partie dans le «Tableau de bord de la population liégeoise» ; alimente le tableau de bord stratégique de la Ville de Liège. En 2003, l Observatoire a mené une enquête pour dresser le profil sociologique des personnes demandeuses d'aide auprès des services sociaux liégeois spécialisés dans l'accueil et l'aide aux plus démunis. Les résultats de cette étude «Regards sur la pauvreté à Liège» sont, aujourd hui encore, constamment sollicités par les professionnels de terrain dans leurs pratiques au quotidien. Que ce soit les chiffres du chômage, de la population, du Revenu d intégration social, des logements sociaux, toutes ces données, auparavant éparpillées dans les différentes administrations, sont aujourd hui regroupées en un seul lieu pour permettre une vision intégrée du phénomène de précarité et de pauvreté au sein de la commune. Le travail de l Observatoire s adresse au Collège communal d abord, aux chefs de projets P.F.G.V. des quartiers prioritaires, à tous les acteurs sociaux de terrain, bref, à tous nos concitoyens. Ce travail de recueil, d analyse et de diffusion de données statistiques, j en conviens, est loin d être absolu. La mesure de la pauvreté par les seules données statistiques est insuffisante. Car, il est clair que derrière la froideur des nombres, l impersonnalité d une moyenne, on escamote la souffrance et la révolte des uns, l indifférence et l égoïsme des autres. Voilà pourquoi j en appelle à chacun d entre vous : experts, professionnels de terrain, homme et femme politique, futur travailleurs sociaux, commerçant, magistrat, syndicaliste, force de l ordre, entrepreneurs, journaliste, bref, à chaque citoyen : pour, dans un premier temps, échanger, partager, croiser nos regards et nos observations en vue de dégager une vision plus qualitative, plus réaliste et donc, plus humaine du phénomène. Un des objectifs poursuivis par l Observatoire est la rédaction d un rapport annuel sur l état de la pauvreté à Liège, au départ de ces données ; dans un second temps, j en appelle à vous pour soulager les souffrances de ces personnes qui se cachent derrière les statistiques, les soutenir, les accompagner dans leur parcours d insertion socioprofessionnelle, bref, les aider à retisser le lien social inexistant ou rompu, que dis-je, à retrouver tout simplement, leur dignité de personne! Car la lutte contre la pauvreté est l affaire de tout un chacun! 9

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