Dimensions et abus de substance
|
|
- Albert Chassé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Dimensions et abus de substance Comment mieux évaluer et traiter les dimensions cognitive, anxieuse et liée à une substance Florence Chanut, MD, FRCPC 1
2 Conflits d intérêt Astra Zeneca Janssen 2
3 Usage de substances: une dimension qu on ne peut plus oublier! «In both medical and addictive disorder settings, the provision of comprehensive care for individuals with alcohol and other drug use disorders presents challenges to clinicians, who traditionally have been concerned only with issues reflecting their own training and perspectives» (Principles of Addiction Medicine, 4th ed.) Impact sur le diagnostic, le pronostic, le plan de traitement des autres troubles psychiatriques 3
4 L approche dimensionnelle dans le traitement des troubles associés à des substances C est tout naturel! Différentes substances, de modes d action très différents, provoquent des «grappes» de symptômes communs (dimensions) Qui ont peut-être une physiopathologie sousjacente similaire Le traitement doit nécessairement adresser ces dimensions, par priorités 4
5 5
6 DSM-V Les diagnostics d ABUS et de DÉPENDANCE sont abolis Une seule entité: «Trouble de l usage de la substance X» Regroupement des critères d abus et de dépendance avec: Retrait du critère des problèmes légaux récurrents (abus) Ajout du critère de «craving»: désir impérieux de consommer Continuum de sévérité: seuil diagnostique: 2/11 critères, sur 12 mois 6
7 DSM-IV TR DSM-V 7
8 DSM-V: critères proposés 1.Incapacité de remplir des obligations importantes 2.Usage lorsque physiquement dangereux 3.Problèmes interpersonnels ou sociaux 4.Tolérance 5.Sevrage 6.Perte de contrôle sur quantité et temps dédié 7.Désir ou efforts persistants pour diminuer 8.Beaucoup de temps consacré 9.Activités réduites au profit de la consommation 10.Continuer malgré Dx physique ou psy 11.«Craving», désir impérieux 8
9 Trouble lié à l usage d une substance 9
10 Quelques points en commun de diverses substances «addictives» 10
11 Pourquoi devient-on accro? Principalement p.c.q. les drogues agissent sur les circuits neuronaux de la motivation et de la récompense 11
12 Un neurotransmetteur incontournable... Mouvement Motivation Dopamine Images: NIDA Toxicomani e Récompense et bien-être 12
13 Apathie, anhédonie et dysphorie Sont associées à un dysfonctionnement du système de la récompense Communément retrouvés dans plusieurs maladies neuropsychiatriques, telles que: Dépression Maladie de Parkinson Schizophrénie Troubles liés à l usage d une substance, incluant usage chronique ou abstinence du cannabis, cocaïne, amphétamines etc. 13
14 Hypothèse de «saillance» motivationnelle (Acquas E., Carboni E., Leone P. & DiChiara G., Psychopharmacology, 1989) Suite à un stimulus externe, la dopamine serait le médiateur de la conversion neuronale d une information neutre en une entité aversive ou attractive («saillance») Système dopaninergique mésolimbique particulièrement impliqué Études humaines et animales confirment un impact d une dysfonction dopaminergique centrale principalement sur la MOTIVATION (i.e. apathie) plus que sur la capacité de ressentir du plaisir (Bresan & Crippa, 2005) 14
15 Circuits cérébraux impliqués dans la toxicomanie ACG: girus cingulaire antérieur, PFC: cortex préfrontal, OFC: cortex orbitofrontal, SCC: cortex sous-calleux, 15 Nac: nucleus accumbens, VP: pallidum ventral, Amyg: amygdale, Hipp: hippocampe
16 Les recherches scientifiques des dernières années arrivent à la conclusion que... L usage prolongé de drogues affecte profondément le cerveau de façon durable Que ces changements sont la fois structuraux et fonctionnels 16
17 Conséquences? Les changements neuronaux résultant de l usage prolongé de drogues peuvent compromettre les fonctions: Sensitives Motrices Cognitives Régulation de l humeur 17
18 Revenons à Éric Il ne travaille pas Il a abandonné l école en sec. IV Éric consulte à la demande de sa mère qui n en peut plus du fait qu il ne fait rien Le Ritalin l aidait à performer académiquement, mais il l a arrêté vers l âge de 15 ans Éric 18
19 Éric et la consommation Il a commencé à fumer du pot à peu près au même moment (14 ans) Il ne croit pas que le pot est un facteur dans son état Il a essayé quelques autres droguesspeed, cocaïne et l alcool mais sans s immerser Il fume actuellement 2 joints par jour Éric 19
20 Cannabis & cognition Déficits lors d intoxication aiguë et usage continu: impulsivité, selon certaines études récentes, mais résultats mixtes Mémoire de travail Mémoire épisodique Prise de décision: moins flexible QI: 4 pts chez grands usagers Attention sélective et soutenue Capacité d apprentissage Expression verbale Capacités mathématiques Vitesse psychomotrice d et al, 2002, Bolla et al.,2002, Jager et al. 2006, Gonzales et al,
21 Cannabis & cognition Déficits proportionnels à l intensité de l usage (i.e. chez grands usagers surtout, 1g/occ., 4-7j/sem) Sans que des corrélations fiables n ait été réalisées avec quantités précises ou taux sanguins: grande variabilité individuelle ed et al, 2002, Jager et al. 2006, Gonzales et al,
22 Cannabis & apathie: Éric Actuellement Éric se dit un peu maussade Il a peu d intérêt Il est parcimonieux de ses mots et élabore peu Il semble plutôt flegmatique Il n aime pas prendre la parole en public mais vu qu il reste chez lui à regarder la télé et jouer à des jeux vidéos, ceci ne l entrave pas dans sa vie Il gère ceci, nous dit-il, avec le pot 22
23 Syndrome amotivationnel? Ensemble de caractéristiques souvent associées à l usage chronique de cannabis: Apathie généralisée Manque d attention soutenue et de concentration Perte de productivité, léthargie Manque de persévérance dans les plans à long terme Controversé depuis plus de 40 ans Études initiales ( ) critiquées pour les nombreuses variables confondantes 23
24 Syndrome amotivationnel? Études récentes en laboratoire, chez ado/jeunes adultes, démontrent: Lorsque choix possible d un renforcement moindre sans effort: consommateurs optent plus rapidement pour cette option Peut être renversé par une récompense Donc effet présent, mais subtil Chez adultes, diminution de l implication au travail rapportée (étude longitudinale) Cherek et al., 2002, Lane et al., 2005 & 2007, Hyggen
25 Syndrome amotivationnel? Hypothèse: syndrome amotivationnel représenterait une perte de l efficacité des renforcements pour maintenir le comportement 25
26 Cannabis & cognition: Éric 9 mois plus tard, il reprend rendez-vous Il dit avoir cessé la consommation, ne fumant que rarement et dit pouvoir arrêter sans difficulté Il a noté une disparition de ses symptômes d inattention, mais se plaint de tristesse, anxiété, manque d intérêt, il se plaints d idées noires, il a des réveils nocturnes. Il a repris les études mais il risque l expulsion en raison d une irritabilité 26
27 Cannabis & cognition Après l arrêt complet: Pas d évidence convaincante d une persistance des déficits cognitifs aux tests neuropsychologiques au delà de la période d élimination complète (6 semaines ou plus pour grands consommateurs) Schémas d activation anormaux persistants à l IRMf témoignent d un recrutement compensatoire de zones cérébrales supplémentaires (p.ex. cortex pariétal supérieur G), combien de temps? Donc, pas d évidence d un effet neurotoxique permanent ber & Yurgelun-Todd, 1999, Jacobsen et al, 2004, Jager et al,
28 Toxicomanie et impulsivité: retour sur le 1 er cas Jonathan, 25 ans, insiste sur une humeur labile avec des moments d espoir et même d excitation alternant avec des périodes de pessimisme et d anxiété. Il se trouve aussi impulsif, impatient et irritable, supportant mal les frustrations et les délais. Il a pu être verbalement agressif, notamment sous l effet de l alcool Crunelle et al,
29 L impulsivité est, entre autres, associée à... Adolescence TDAH TP antisocial, limite MAB Troubles liés à l usage de l alcool Autres troubles liés à l usage de substances Crews & Boettiger, 2009, Congton & Canli, 2008, Evenden,
30 L impulsivité est un facteur de risque pour la toxicomanie Souvent associée avec une constellation d autres troubles du comportement TDAH Névrotisme, extraversion Trouble oppositionnel, des conduites Comportements antisociaux, non conformistes Début précoce de la toxicomanie (<25 ans) Pronostic du traitement de la toxicomanie plus sombre Swendsen & Le Moal,
31 L exposition prénatale à la cocaïne ou à l alcool augmente le risque d impulsivité Chez le singe rhésus, l exposition prénatale à la cocaïne augmente l impulsivité à l âge adulte Chez l humain, l exposition prénatale à l alcool cause de nombreux déficits neuropsychologiques, dont l impulsivité (et augmente le risque d alcoolisme) Nader et al, 2011; Bertrand,
32 Toxicomanie et impulsivité: un mélange explosif Adultes toxicomanes sans autre Dx axe 1: Impulsivité toxicomanes > témoins Adultes avec TDAH avec/sans dépendance cocaïne: Impulsivité TDAH + cocaïne > TDAH > témoins Adultes avec MAB type 1 (en phase euthymique): Impulsivité MAB + toxicomanie > MAB > témoins Crunelle et al,
33 Stades de changement et impulsivité Crews & Boettiger,
34 Pistes de traitement Réduction de l impulsivité: Dimension importante du traitement chez patients comorbides ou toxicomanes Priorité en début de traitement Dangerosité Observance au traitement (RV, Rx) Stabilisation du milieu de vie Stabilisateurs de l humeur, antipsychotiques, etc. Adresser la toxicomanie comme un problème primaire 34
35 Que faire avec Éric? On lui recommande d entreprendre un traitement pour la dépendance aux substances avant de lui prescrire le Ritalin Il ne comprend pas puisqu il fumait du pot, prenait du Ritalin et se portait bien lorsqu il était enfant 35
36 Traitement de la toxicomanie: interventions générales et spécifiques Nicotine Thérapie de remplacement de la nicotine Bupropion Varenicline APA, 2007 Cannabis Opiacés Methadone Buprenorphine Naltrexone Intervention nonspécifiques Entretien motivationnel Prévention de la rechute(tcc) Groupe de soutien (AA, NA) Psychothérapies psychodynamique et familiale Cocaïne Amphéta- mines Alcool Naltrexone Acamprosate Disulfiram 36
37 Un peu d entretien motivationnel (EM)? Approche humaniste, néanmoins directive, visant à explorer et résoudre l ambivalence au changement Destinée aux personnes ambivalentes (i.e. en contemplation ou pré-contemplation) 37
38 Pertinence de considérer la motivation Past Year Perceived Need for and Effort Made to Receive Specialty Treatment among Persons Aged 12 or Older Needing But Not Receiving Treatment for Illicit Drug or Alcohol Use: 2007 SAMHSA,
39 Adresser la toxicomanie comme un problème primaire Alcool: Sevrage sécuritaire: orientation Maintien de la rémission: Acamprosate Naltrexone Disulfiram TCC (prévention de la rechute) Entrevue motivationnelle Préparation aux 12 étapes (AA) Thérapie familiale/couple Suivi! 39
40 Naltrexone et impulsivité La naltrexone (50 mg X 1 dose) produit une activation du cortex orbito-frontal Crews & Boettiger,
41 Adresser la toxicomanie comme un problème primaire Cocaïne et stimulants Sevrage sécuritaire: idées suicidaires, comorbidités médicales Pas de Rx ou vaccin encore... Chez patients avec TDAH associé probable Choix de la Rx (plus faible potentiel d abus possible) Suivi étroit et précautions Psychothérapies: TCC Gestion des contingences 41
42 L abstinence prolongée favorise le rétablissement De la transmission dopaminergique Des circuits neuronaux impliqués dans le contrôle comportemental De la toxicomanie > 1 an: taux de rechute 44% > 5 ans: taux de rechute 14% Volkow et al., 2001, NIDA,
43 Traiter la toxicomanie réduit l impulsivité L abstinence prolongée amène des poussées de neurogénèse La motivation est liée au fonctionnement du cortex frontal (en particulier les aires préfrontales et cingulaires) Psychothérapie (TCC, entrevue motivationnelle) tend à activer les fonctions exécutives du cortex frontal: attention dirigée, planification d actions, motivation Ce qui mène à: Impulsivité Prévention de la rechute Crews & Boettiger, 2009; Bonelli & Cummings,
44 En conclusion aborder la toxicomanie avec une approche dimensionnelle Permet de mieux comprendre les effets communs des différentes substances Mieux saisir les vulnérabilités individuelles Se sentir moins dépassé par la myriade de problèmes: Permet de prioriser le traitement En fonction des domaines les plus atteints 44
LE JEU EXCESSIF. Dr Christine Davidson M.Philippe Maso. Décembre 2011
LE JEU EXCESSIF Dr Christine Davidson M.Philippe Maso Décembre 2011 Qu est-ce qu un Joueur Occasionnel? Joue pour le plaisir Accepte de perdre l argent misé. Ne retourne pas pour se refaire. Joue selon
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailNouvelles addictions. Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie
Nouvelles addictions comportementales Dr Marie VERSCHAVE Praticien hospitalier Service de médecine interne E et addictologie Item N 77. Addictions comportementales Diagnostiquer, évaluer le retentissement
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détail«Les jeux en ligne, quelle influence en France?»
Les multiples facettes du jeu Québec, 30 mai 2012 «Les jeux en ligne, quelle influence en France?» M. Grall-Bronnec, G. Bouju, M. Lagadec J. Caillon, J.L. Vénisse Le contexte des jeux de hasard et d argent
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailLa dépression qui ne répond pas au traitement
La dépression qui ne répond pas au traitement Mise à j our Wilfrid Boisvert, MD Présenté dans le cadre de la conférence : À la rencontre de l humain, Collège québécois des médecins de famille, novembre
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailLes cyberaddictions. Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE. Service d addictologie
Les cyberaddictions Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE Centre collaborateur OMS pour la recherche sur les addictions Agenda C est quoi une addiction? L addiction
Plus en détailProgramme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises
1 Programme intercantonal de lutte contre la dépendance au jeu (PILDJ) Actions neuchâteloises Luca Fumagalli Adjoint au chef du Service des établissements spécialisés et délégué du canton au groupe d accompagnement
Plus en détailTrouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée
Trouble bipolaire en milieu professionnel: Du diagnostic précoce àla prise en charge spécialisée Dr G. Fournis Service de Psychiatrie et d Addictologie CHU Angers Faculté de Médecine Angers 1 Introduction
Plus en détailLe bilan neuropsychologique du trouble de l attention. Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009
Le bilan neuropsychologique du trouble de l attention Ania MIRET Montluçon le 4-12- 2009 Introduction L attention est une fonction de base dont l intégrité est nécessaire au bon fonctionnement cognitif
Plus en détailTROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS. Damien FOUQUES ET Lucia ROMO
Conférence Argos 2001 du 27/01/2011 au FIAP (30 rue Cabanis - 75014 Paris) TROUBLES BIPOLAIRES ET ADDICTIONS Damien FOUQUES ET Lucia ROMO Psychologues cliniciens, maîtres de conférences à l Université
Plus en détailL expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté
L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailLes mécanismes de la récupération neurologique. PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007
Les mécanismes de la récupération neurologique PPradat-Diehl DU de Rehabilitation neuropsychologique 2007 Introduction Plasticité cérébrale / Récupération après lésion cérébrale Récupération spontanée
Plus en détailGuide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite
Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTrouble de l usage avec ou sans substances Dépendance
Option psychologie clinique Mme Amélie Dentz Trouble de l usage avec ou sans substances Dépendance On en parle pour tout trouble de l usage avec ou sans abus de substances. Elle n est pas liée à la quantité
Plus en détailSNAP-IV Instructions pour la cotation
SNAP-IV Instructions pour la cotation La SNAP-IV est une version modifiée du questionnaire de Swanson, Nolan & Pelham (SNAP ; Swanson et al., 1983). Les items du DSM-IV (1994) du Trouble Déficitaire de
Plus en détailI) Généralités. Plusieurs formes de dépression :
La Dépression Dr S. Bartolami Faculté des Sciences de l Université Montpellier II 214 I) Généralités Plusieurs formes de dépression : Dépression unipolaire (principale) 13% population Dépression bipolaire
Plus en détailL approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement.
L approche de collaboration: une voie de contournement des facteurs entraînant les troubles graves de comportement. Présenté par: Lyne Roberge, chef en réadaptation Rina Dupont, coordonnatrice clinique
Plus en détailLes recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA
Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des
Plus en détailiceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen
iceps 2015 Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Joel Swendsen, Ph.D. CNRS 5287 CNRS / Université de Bordeaux / EPHE Sorbonne Objectifs de la Présentation Tapez
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailAddictologie. Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes
Addictologie Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes Définition addiction Conduites de consommation de substances psychoactives Physiopathologie simplifiée Les différents produits Définition de
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailTDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE
DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques
Plus en détailLa chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation.
1 La chronique de Katherine Lussier, psychoéducatrice M.Sc. Psychoéducation. Édition d avril 2009 Thème : Le trouble déficitaire de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) Références : www.comportement.net
Plus en détailLA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent)
LA PRISE EN CHARGE COGNITIVE ET COMPORTEMENTALE DU JOUEUR PATHOLOGIQUE (Jeux de hasard et d argent) Colloque Européen et International THS 10, le 14 octobre 2011 Marthylle LAGADEC Marie GRALL-BRONNEC,
Plus en détailTDAH et adaptations scolaires - niveau primaire et secondaire-
Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est un problème neurologique qui peut entraîner des difficultés à moduler les idées (inattention), les gestes (bougeotte physique),
Plus en détailEn 1949, Camel, une marque de
L arrêt tabagique Claude Patry, M.D. En 1949, Camel, une marque de cigarettes, produisait une publicité télé montrant un médecin fort occupé à faire ses visites à domicile. De retour à son bureau, il s
Plus en détailEVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME
EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.
Plus en détailLe trouble oppositionnel avec. provocation ou par réaction?
Le trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? Emmanuelle Pelletier, M.Ps., L.Psych. Psychologue scolaire Octobre 2004 Trouble oppositionnel avec provocation ou par réaction? La personne oppositionnelle
Plus en détailUne échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier
Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens
Plus en détail9.11 Les jeux de hasard et d argent
9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,
Plus en détailLe DSM 5 et les troubles de la personnalité
Thinking about PD style Le DSM 5 et les troubles de la personnalité ou Attachez vos tuques! Suzane Renaud, MD, CRCP(P), DFAPA, FCPA-APC Programme THAI Clinique des troubles bipolaires et troubles de personnalité
Plus en détailÉvaluation et traitement de l insomnie associée au cancer
Évaluation et traitement de l insomnie associée au cancer Josée Savard, Ph.D. Professeure titulaire École de psychologie, Université Laval Centre de recherche du CHU de Québec et Centre de recherche sur
Plus en détailUNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee. Arrêter, c est possible!
UNIVERSITÉ DE GENÈVE Antenne santé 4, rue De-Candolle www.unige.ch/unisansfumee Arrêter, c est possible! Pour en finir avec la cigarette Un pari difficile L Université de Genève est déclarée territoire
Plus en détailDifférents facteurs impliqués dans l addiction
Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité
Plus en détailRéponse et temps de réponse aux items en psychométrie. R. Trouillet M.C.F. H.D.R. Lab. Epsylon EA4556
Réponse et temps de réponse aux items en psychométrie R. Trouillet M.C.F. H.D.R. Lab. Epsylon EA4556 Thérapies psychodynamiques Levy & Ablond (2009). Handbook of Evidence-Based Psychodynamic Psychotherapy..
Plus en détailPlan de la présentation Introduction présentation La réalité virtuelle pour le jeu pathologique
Le monde virtuel au service de la prévention de la rechute du jeu pathologique Stéphane Bouchard, Ph.D., Lucie Laniel, Lynda Poirier Isabelle e Cyr, Josée Dostie, Geneviève e emorency oe cyet Cathy Tétreault
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailTROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC)
TROUBLES ENVAHISSANTS DU COMPORTEMENT (TEC) Comprendre, prévenir et prendre en charge la clinique du mouvement et de l agir de l enfant Pierre Delion 1. Actualité Les enfants sont préoccupants sur ce point
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailTroubles du comportement liés aux différents types de sevrage rencontrés aux urgences ou à l UHCD
Chapitre 5 Troubles du comportement liés aux différents types de sevrage rencontrés aux urgences ou à l UHCD G. BROUSSE*, T. CHARPEAUD, E. GOUTAIN, M. GARNIER, C. TIXERONT, J. GENESTE, J. SCHMIDT Points
Plus en détailSophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral
Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique
Plus en détailProgramme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit de l attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H)
UNIVERSITÉ PAUL SABATIER FACULTÉ DE MÉDECINE TOULOUSE RANGUEIL INSTITUT DE FORMATION EN PSYCHOMOTRICITÉ Programme d entrainement aux processus temporels chez des enfants présentant un trouble du déficit
Plus en détailSOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE?
SOUFFREZ-VOUS D UN TROUBLE BIPOLAIRE? Les changements de l humeur constituent un phénomène normal de la vie. Cependant, dans la maladie bipolaire, ces changements sont hors de proportion avec les énervements.
Plus en détailQuelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents?
Quelles sont les principales difficultés sociales que rencontrent les enfants et les adolescents? Questions courantes sur la cognition sociale et les capacités des personnes atteintes du SVCF Par le Dr
Plus en détailTroubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19. Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003
Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum Q19 Psychiatrie adulte Module D Pr Jean Louis Senon Année universitaire 2002-2003 Plans et objectifs Pendant la grossesse Troubles mineurs, dépressions
Plus en détailComment la proposer et la réaliser?
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme
Plus en détailLa migraine chronique
La migraine chronique - Céphalées chroniques quotidiennes -Abus médicamenteux Avec le soutien des laboratoires Novartis Un concept en évolution 1ère classification IHS 1988 : pas de mention 1982: Mathew
Plus en détailVires-tu L? Du bon usage de l ordinateur à la cyberdépendance...
Vires-tu L? Du bon usage de l ordinateur à la cyberdépendance... Professeur Jean-Marc TRIFFAUX, Hôpital de jour Universitaire «La Clé» 07/04/2011 www.hjulacle.be 04-342 65 96 Personnes de contact : Ariane
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailQu est-ce que la maladie de Huntington?
Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée
Plus en détailLa schizophrénie est une maladie évolutive; elle comporte 5 phases, qui se succèdent souvent dans l ordre 2 :
Qui peut être atteint de schizophrénie? La schizophrénie est une maladie mentale qui touche environ 1 % de la population canadienne. Elle frappe autant les hommes que les femmes, et se déclare généralement
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailDangers potentiels d Internet et des jeux en ligne
Le Conseil fédéral Dangers potentiels d Internet et des jeux en ligne Rapport du Conseil fédéral en réponse aux postulats Forster-Vannini (09.3521) du 9.6.2009 et Schmid-Federer (09.3579) du 10.6.2009
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailEfficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement
Efficacité de la réalité virtuelle pour faciliter la prévention de la rechute auprès de joueurs en traitement Stéphane Bouchard*, Ph.D. Département de Psychoéducation et de Psychologie Université du Québec
Plus en détailPrévalence et utilisation des services. la consommation des substances. du jeu de hasard
ANDRÉ NGAMINI NGUI chercheur, Centre de réadaptation en dépendance de Montréal Institut universitaire (CRDM-IU) et Université du Québec à Montréal Prévalence et utilisation des services dans le domaine
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailLA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI
LA MÉTHAMPHÉTAMINE LE CRYSTAL C EST QUOI? LA MÉTHAMPHÉTAMINE est un produit stupéfiant illicite, synthétisé à partir de substances chimiques, également connu sous le nom de «crystal» ou «crystalmet», «ice»,
Plus en détailProjet de coordination de la prise en charge des personnes souffrant d addiction aux drogues illégales et à l alcool 1
Direktion für Gesundheit und Soziales GSD Route des Cliniques 17, 1701 Fribourg T +41 26 305 29 04, F +41 26 305 29 09 www.fr.ch/dsas Projet de coordination de la prise en charge des personnes souffrant
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailAssociation Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité
accompagner Association Suisse romande de Parents d Enfants et d adultes concernés par le trouble du Déficit d Attention / Hyperactivité préface table des matières 1 / Définition P. 4 2 / Manifestations
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLa relation mutuelle avec nos proches: une voie de prévention. COLLOQUE SANTÉ DES MÉDECINS «UN VIRAGE VERS LE CHANGEMENT» 1er et 2 octobre 2009
La relation mutuelle avec nos proches: une voie de prévention COLLOQUE SANTÉ DES MÉDECINS «UN VIRAGE VERS LE CHANGEMENT» 1er et 2 octobre 2009 1 PRÉSENTATIONS Christine Motheron, md, UMF Maizerets et CHUQ,
Plus en détailTrouble d anxiété généralisée
Les troubles anxieux Le choix d une thérapie simple ou combinée est un choix personnel. Pour faire un choix éclairé, adapté à votre condition actuelle et répondant à vos besoins, oser poser toutes vos
Plus en détailLes drogues POUR EN SAVOIR PLUS. 1. L avis du psychologue. 2. Les risques et leur prévention. Quelques chiffres
Les drogues POUR EN SAVOIR PLUS 1. L avis du psychologue La consommation de drogues, qu elles soient licites (alcool, tabac) ou illicites (cannabis, crack, etc.), fait partie des conduites à risques fréquemment
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDéfinition. Recherche sur Internet. Quelques chiffres. Stress et enseignement. Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress
Stress et enseignement Symptômes 3 catégories de causes Le burn out Gestion du stress Recherche sur Internet Moteur de recherche: GOOGLE Mots-clés: + stress + enseignement Nombre de pages francophones
Plus en détailUn poste à votre mesure!
Titre du poste : INFIRMIÈRE PRATICIENNE EN SOINS DE PREMIÈRE LIGNE (IPSPL) Direction : Direction des soins infirmiers Statut : Temps complet - 35 heures/semaine Quart : Jour LIBELLÉ DU TITRE D EMPLOI Personne
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailGRAMFC. TDAH et prise en charge. Pr Patrick Berquin Service de Neurologie Pédiatrique
GRAMFC TDA/H TDA/H Inserm U1105 Groupe de Recherche sur l Analyse Multimodale de la Fonction Cérébrale TDAH et prise en charge Pr Patrick Berquin Service de Neurologie Pédiatrique Centre de Référence des
Plus en détailPermis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes
Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailPROGRAMME D INTERNAT en psychologie et neuropsychologie
Doctorat en psychologie PROGRAMME D INTERNAT en psychologie et neuropsychologie DONNER L ESPOIR, INSPIRER L EXCELLENCE TABLE DES MATIÈRES ACCUEIL ET RENSEIGNEMENTS 1 Introduction 2 Mission 2 Programmes
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détailLES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»
LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART 251-2 pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8 Code de vie du «137» Bienvenue parmi nous! Ce code de vie est conçu pour expliquer le fonctionnement du «137». Étant donné que cet
Plus en détailIntroduction. Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... Chapitre 1
" Table des matières Introduction Pourquoice livre?... Comment utiliser ce livre?... Que contient ce manuel?... 7 8 8 Chapitre 1 Connaître les bases de l'affirmation de soi et de la communication Les comportements
Plus en détailTROUBLES PSYCHIQUES. Troubles addictifs. www.psycom.org
TROUBLES PSYCHIQUES Troubles addictifs www.psycom.org Troubles addictifs SOMMAIRE Quelques définitions p. 02 Diagnostic des troubles addictifs p. 03 Addiction aux drogues illicites p. 04 Addiction aux
Plus en détail