Une double problématique pour les ouvrages souterrains

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1 Une double problématique pour les ouvrages souterrains Protection des falaises : 3 temps d intervention Le risque chute de blocs a été pris en compte dès la conception du projet, les 3 sites de travaux ont été sécurisés par la pose de filets en falaise lors de travaux préliminaires pendant les années 2010 et 2011 Sur le lot galerie, pour se protéger de la chute d un bloc (C40) de plusieurs milliers de m3, un premier merlon est construit en 2012, après instrumentation et déplacements significatifs Après les pluies torrentielles de juillet 2013 (événement avec un délai de retour > 10 ans) : la DREAL prend un arrêt administratif qui oblige EDF à renforcer les dispositifs déjà réalisés sur le site des Ponants (fenêtre d entrée des tunneliers) pour se protéger des chutes de blocs dont la décision de construire un merlon supplémentaire (Combe Blanche) Un risque amiante naturelle Le projet est situé dans le massif cristallin de Belledonne qui peut comme tous les massifs cristallins (Alpes, Pyrénées, etc ) contenir de l amiante naturelle Si la présence potentielle d amphiboles (cristal) avait été identifiée pendant les études du projet, le risque amiante naturelle est une problématique nouvelle qui se pose pour les travaux utilisant des matériaux issus de massifs cristallins (carrière, tunnel et travaux routiers) Tous les acteurs de la profession sont en attente des décisions qui vont être prises sur le projet Gavet en terme de techniques employées et de mesures de prévention et de protection. Ce dispositif fera jurisprudence pour les travaux dans les massifs cristallins Diapo 1

2 Merlon Combe Blanche Une conception et une réalisation non maîtrisée par le GME EDF confie fin 2103 au GME Spie TPCI les études et la réalisation de cet ouvrage provisoire Les relations entre EDF et le GME sont déjà conflictuelles (non fourniture des études) Il aurait dû être terminé pour mai 2014 mais connaît en avril 2014 des désordres très importants liés à une mauvaise conception Les dommages directs sont pris en compte par le GME et ses assureurs Depuis cette date, une réparation est entreprise par le GME, achevé en janvier 2015 Diapo 2

3 L amiante naturelle : actinote asbestiforme et aciculaire Actinote : seule amphibole (cristal) pouvant être présente dans le massif qui peut générer de l amiante Actinote aciculaire : pas de l amiante, elle est de forme bi ou multi dimensionnelle Actinote asbestiforme : amiante de forme uni dimensionnelle (fibre) Diapo 3

4 L amiante naturelle : Fentes Alpines Les fibres d amiante naturelle sont présentes en remplissage de fractures, fentes alpines ou fentes de tension amiantifères. La caractérisation de l aléa des zones géologiques est réalisée par le BRGM Zone aléa 1 (nul à quasi-nul) : il n y a pas de suspicion de genèse d amiante au sein de fentes alpines. La présence de fentes alpines amiantifères revêt un caractère encore plus «rare» et «exceptionnel» qu estimé début Pour autant, un suivi géologique détaillé à l avancement reste indispensable pour confirmer ce niveau d aléa. Zone aléa 2 (faible à très faible) : la genèse d amiante au sein de fentes alpines est considérée comme possible localement lorsque les 3 précurseurs géologiques sont réunis. La «Présence de fibres d amiante naturelle» peut s anticiper par des levés géologiques à l avancement. Aléa 1 Unité de Séchilienne OS2 Site de Gavet OS1 Site des Ponants Zones de travaux actuelles Galerie d environ 10 km OP Site de Livet Unité de Rioupéroux Unité de Livet Unité d Allemont Aléa 1 Aléa 2 Aléa 2 Suite aux travaux avec le BRGM, élaboration d une méthodologie pour la détection par anticipation des fentes alpines amiantifères. Les levés à l avancement sont orientés vers la recherche de trois précurseurs géologiques: Présence massive d amphiboles Signes de circulations hydrothermales Forte densité de fentes de tension Diapo 4

5 Chantier de démonstration Aléa 2 Dans galerie de reconnaissance de Livet OBJECTIF : en aléa 2, confirmer la pertinence des mesures de protection et de préventions proposées, à partir d une meilleure appréhension : du niveau d empoussièrement lors de la traversée d une fente alpine de l émissivité potentielle de fragments de clivage lors de la traversée d un encaissant riche en actinote aciculaire (ou autre faciès) Attaque de la roche avec 6 outils représentatifs utilisés pour les travaux souterrains (carottage, meulage, perçage, forage, havage, BRH - 3 à l humide, 3 à sec) Diapo 5

6 Chantier de démonstration Aléa 2 Dans galerie de reconnaissance de Livet En sous-section 4 niveau 3 10 semaines (novembre et décembre 2014) Pilotage par un BE externe (SETEC) Suivi par le comité d experts amiante Les institutionnels impliqués (DREAL, DIRECCTE, CARSAT) avec le GME et le BRGM Représentativité du chantier de démonstration reconnue CONCLUSIONS Pas d émission de fibre pour les processus à l eau Confirmation de l efficacité de la brumisation ou de l arrosage Sauf BRH à sec : émission de fragments de clivage (90 f/l) Evolution de la note EDF «Modalités de creusement» Diapo 6

7 L amiante naturelle : Fragments de clivage C est une deuxième configuration où la roche ne contient pas d amiante proprement dite mais des minéraux pouvant générer par action mécanique sur la roche (broyage, éclatement de la roche) des fibres assimilables à de l amiante 2 conditions Présence de minéraux potentiellement amiantifères : Existe-t-il des minéraux potentiellement amiantifères dans la masse rocheuse? Emission de fibres : Ces minéraux forment-ils des fibres (critères de l OMS) lors du broyage de cette masse rocheuse (minage, forage, tunnelier, )? Les données collectées sur site sont nombreuses Seules des traces d actinote aciculaire (pas amiante) ont été décelées en peu d endroits Aucun fragment de clivage décelé à l issue de mesures nombreuses et variées Des mesures de protection ont été définies en 2012 et sont déployées sur les tunneliers Sur cette base, il est légitime de considérer que le risque d engendrer des taux d empoussièrement supérieur au seuil de la santé publique (5 fibres/l) peut être écarté EDF a engagé un chantier de démonstration impliquant les institutionnels, le GME et le BRGM pour encore compléter le jeu de données dans les zones d aléa 2 Le risque fragments de clivage a été levé avec le chantier dit de contrôle Diapo 7

8 Chantier de contrôle Aléa 1 Le chantier dit de «contrôle» proposé par le groupement d entreprises et accepté par EDF se situe dans un contexte géologique d aléa 1, donc uniquement avec un risque fragments de clivage issus d une présence d actinote Zone de contrôle : 30 m Zone neutre : 50 m Tunnelier aval Les dispositifs testés dans la zone de contrôle sont : Arrosage de la tête de coupe du tunnelier, Brumisation de la poutre, Ventilation et aspiration au front installées sur le tunnelier, Rideau de brumisation entre la tête de coupe et la cabine de pilotage permettant de circonscrire le périmètre de la zone de contrôle, Port des Equipements de Protection Individuelle de niveau de protection 1 amiante, Arrosage / brumisation du tapis convoyeur sur le linéaire. Diapo 8

9 CONCLUSIONS DU CHANTIER DE CONTRÔLE ALÉA 1 Le chantier de contrôle achevé le 17 juillet 2015 a permis de vérifier l efficacité des protections collectives installées dès la conception du tunnelier (arrosage de la tête de coupe du tunnelier, brumisation de la poutre, ventilation et aspiration au front installées sur le tunnelier, arrosage / brumisation du tapis convoyeur sur le linéaire). La présence d actinote a été confirmée par les géologues, toutefois en faible proportion (environ 1 %). Tous les processus utilisés lors des excavations ont été testés. L ensemble de la chaine du creusement a fait l objet d une métrologie complète encadrée par un laboratoire certifié : Prélèvement d air sur opérateurs et sur points fixes, Prélèvement d échantillon de cuttings, d eau, de poussière, Les résultats ne révèlent aucun fragment de clivage répondant aux critères de l OMS. Ce constat a été partagé avec les institutionnels le 6 août 2015 et aux CHSCT du Titulaire et des entités EDF. Reprise du creusement par les tunneliers (aval le 31/08/15, amont 1/10/05). Diapo 9

10 L amiante naturelle : synthèse Trois années d études avec le BRGM, organisme de référence dans le domaine de l amiante naturelle mandaté par le ministère, sur un sujet à la frontière de la recherche, l amiante naturelle n avait jamais été considérée avec ce niveau d analyse sur aucun chantier. Compte tenu des investigations conduites depuis 3 ans par EDF et ses experts (TEGG), avec le BRGM et le GME, EDF considère que le risque amiante naturelle est de plus en plus maîtrisé, il peut être pris en compte dans le cadre du marché moyennant des modes opératoires adaptés Une position EDF présentée aux institutionnels (DREAL DIRECCTE CARSAT) qui devrait faire référence pour la prise en compte du risque amiante naturelle dans les travaux souterrains Diapo 10

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