TD T5 2/7. Les parties A et B sont totalement indépendantes. Partie B. Refroidissement de la salle de stockage
|
|
- Claudine Meloche
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 b) Une GP : masse en granurs m = 1 gmassiques d eau liqui h = cest p T à la pour température un GP ; transfo 50adiabatique C sous sa pression et réversible vapeur d un gaz saturante On la vaporise entièrement sous cette pression P sat = 0, 73 bar à température constante parfait : loi La Laplace vapeur d eau = est assimilée à un gaz parfait Calculer lors cette opération : (a) la variation d enthalpie l eau ; (b) sa variation d énergie interne ; (c) sa variation d entropie γ 1 Données : R = 8, 31JK 1mol 2 γ R Par le bilan établi en a on tire : wmachines ( x) = 1 ; masse molaire T ( 0) thermiques 1 ψ γ l eau : M eau = 18 gmol 1 ; masse volumique l eau liqui : ρ en considérant que w(0) 0 eau = 1000gL M γ 1 1 ; enthalpie vaporisation l eau à 50 C : eau H = 340 Jg 1 2 Puissance Ex-T63 d une pompe Un congélateur : Une machine frigorifique fonctionne réversiblement entre ux sources à 0 C et 20 C La source Une pompe chau Couplage aspire représente l eau d un moteur l atmosphère puits et -la pompe transvase et la source àdans chaleur froi un réservoir une sallepressurisé parfaitement avec calorifugée un débit massique dans laquelle constant D m Le niveau supérieur est stockée l eau dans lale glace réservoir qui est est maintenue à une altitu à 0z C s au grâce ssus à la machine celui du puits frigorifique et la pression y est égale à P 1, supérieure TD T5 1/7 Exercice 1: On veut Calculer réguler prix la température revient d un 1 tonne bungalow glace (c est-à-dire sachant que l eau la maintenir est introduite fixe) dans à la T 2 salle = 293 K en à la pression atmosphérique P o utilisant le frigorifique site où il se à latrouve température : air extérieur 20 C chaud à T 1 = 310 K et eau froi du lac à T 3 = 285 K On Données : c a) On néglige toute P = 4, 18 kjk viscosité : le flui 1 kg suit 1 ; L alors fus = 330 Jkg la relation entre 1 ; prix : 1 kwh = 0, 15 e et 1 m enthalpie massique et pression : 3 d eau dh = (1/ρ)dP où ρ est la utilise à cet effet un moteur ditherme réversible fonctionnant entre l air extérieur et le lac, fournissant = 3 e l énergiemasse nécessaire volumique à une pompe l eau Calculer à chaleur la puissance réversible P f fournie fonctionnant par la pompe entre au le flui bungalow et le lac En appelant Q 1 la chaleur Ex-T64 reçue Congélation l eau à l ai d un réfrigérateur par le moteur l air extérieur et Q 2 la chaleur réellement reçue par le bungalow, b) La viscosité est prise en compte : l écoulement du flui dissipe une énergie KD m /ρ par unité masse transvasée, où ρ est La la masse pression volumique atmosphérique du flui est et PK atm un = coefficient 1 bar Dans caractérisant un réfrigérateur le phénomène schématisé Calculer par la une nouvelle machine valeur P f ditherme fonctionnant façon réversible, le flui réfrigérant effectue s transferts thermiques avec une source chau et une source froi La source Q 1 chau est l atmosphère extérieure à la Réponses : a) P f =D m (gz s + (P 1 P o )/ρ) ; b) P f =D m (gz s + (P 1 P o )/ρ) + KD m ²/ρ température T c = 293 K constante et la source froi est l échantillon d eau à congeler, sa masse est m 0 = 10 kg et T F sa température variable 3 Réfrigérant La capacité : thermique massique l eau liqui est c = 4, 18 kjkg 1 K 1 L enthalpie massique fusion la glace à 0 C est fus H = 340 kjkg 1 La température fusion est notée T f De l air Dans chaud l état (P 1 = initial, 6 bar, Tl eau 1 = 500 estk) à la est température refroidi façon T c etisobare la puissance jusqu à constante la température fournietà o la = 300 machine K dans un échangeur thermique estparfaitement P = 500 W calorifugé Le flui réfrigérant est constitué d eau (capacité thermique massique c = 4180 JK -1 kg -1 ) qui entre 1) à la Exprimer température le temps θ e = 12 τ 1 C auet bout qui duquel sort à la l eau température commence θ s à geler, l échangeur en fonction Le débit d eau m 0, c, est T f d, = T C 100 g/s et celui l air est et P 6,5 Effectuer g/s On donne l application M air = 29 g/mol numérique et pour l air γ 1,4 Calculer θ s 2) Déterminer la durée τ 2 correspondant à la congélation toute la masse m 0 d eau, en fonction m 0, fus H, T f, T C et P Effectuer l application numérique 1 3) Pour un réfrigérateur fonctionnant manière quelconque, calculer la masse glace maximale m formée avec un kilowattheure d énergie électrique lors la congélation déterminer l efficacité thermique d un tel dispositif, e = Q 2 Exercice 2: Exercice 3: PCSI 2 Ex-T65 Machine thermique et changement d état Dans Exercices un cycle Thermodynamique machine à vapeur, la phase motrice est une détente la vapeur d eau dans un cylindre fermé par un piston mobile On supposera que cette détente est adiabatique et réversible L état initial I correspond à une vapeur saturante sèche (soit : x qadripcsi@aolcom http ://pcsi-unautreregardover-blogcom/ V I = 1) à la température 25 T 1 = 485 K et à la pression P 1 = Π(T 1 ) = 20 bars L état final F correspond à une vapeur saturante à la température T 2 = 373 K et à la pression P 2 = Π(T 2 ) = 1 bar On cherche à déterminer le titre en vapeur x V F dans l état final : 1) En utilisant les données la table ci-jointe : Liqui juste saturé : x V = 0 x V = 1 T P v L h L s L v V h V s V (K) (bar) (m 3 kg 1 ) (kjkg 1 ) (kjk 1 kg 1 ) (m 3 kg 1 ) (kjkg 1 ) (kjk 1 kg 1 ) , ,45 0, , , ,30 1, ,36 2) Sans utiliser ces données; mais en utilisant les enthalpies vaporisation massiques à T 1, l 1 = kjkg 1, et à T 2, l 2 = kjkg 1 ; ainsi que la capacité thermique massique l eau liqui : c = 4, 18 kjk 1 kg 1 MACHINES THERMIQUES Ex-T66 Distinction entre vapeur sèche et vapeur saturante On introduit 4 g d eau dans un récipient volume V = 10 L maintenu à 80 C 1) Quelle est la pression régnant dans le récipient s il était initialement vi d air? I A propos 2) du Onstockage porte les récipient déchets ànucléaires 100 C ; quelle est la nouvelle pression? Données : M(H 2 O) = 18 gmol 1 ; P l eau : 0, P a à 80 C ; P = 1, P a à Le stockage 100 s C ; R déchets = 8, 314 radioactifs JK 1 mol constitue 1 un problème majeur dans la poursuite du programme nucléaire s nations De nombreuses solutions sont à l étu Une d entre elles a pour but d enfouir, dans la roche, ces résidus inutilisables en les incorporant au béton On Ex-T67 se propose, Métho ici, d étudier simple un s problèmes détermination posés par cette l enthalpie métho : contrôle fusion la l eau production chaleur 1) Dans un calorimètre valeur en eau M = 20 g, on dispose une quantité d eau liqui masse m 1 = 200 g à la température Les parties ambiante A et B sont t totalement 1 = 25 C Puis indépendantes on ajoute une quantité d eau soli masse m 2 = 10 g à la température t 2, t 2 = 5 C Partie B Lorsque l équilibre thermique est réalisé, on repère la valeur la température finale, t f = 20, 4 C (a) On néglige les pertes du calorimètre, Refroidissement calculer la la valeur salle stockage l enthalpie fusion la glace On donne la chaleur massique l eau liqui : c (l) = 4, 18 Jg 1 K 1 et celle l eau soli Une installation c (s) = 2, frigorifique 1 Jg 1 Kassure 1 Onle suppose maintien ces la quantités cellule (ou constantes salle) stockage sur les intervalles s déchets à une températures modérée Un flui (fréon) permet, l expérience en décrivant un cycle supposé quasi-statique, prélever l énergie à l intérieur la salle et cér l énergie à une source (b) extérieure En déduire les variations d entropie chaque masse d eau au cours la transformation Lycée Thiers - MPSI3 Commenter leurs signes Exercice 4: Laure Sanau
2 nombreuses solutions sont à l étu Une d entre elles a pour but d enfouir, dans la roche, ces résidus inutilisables en les incorporant au béton On se propose, ici, d étudier un s problèmes posés par cette métho : le contrôle la production chaleur TD T5 2/7 Les parties A et B sont totalement indépendantes Partie B Refroidissement la salle stockage Une installation frigorifique assure le maintien la cellule (ou salle) stockage s déchets à une température modérée Un flui (fréon) permet, en décrivant un cycle supposé quasi-statique, prélever l énergie à l intérieur la salle et cér l énergie à une source extérieure A la sortie l évaporateur (radiateur échangeur) E, la vapeur sèche, tout juste saturante à la pression P 1 et à la température T 1 (état A), est entraînée dans le compresseur P où elle est comprimée jusqu à la pression P 2 et la température T 2 (état B) La compression AB est considérée comme isentropique Maintenu sous la pression constante P 2, le flui, entièrement gazeux, pénètre dans le connseur (radiateur échangeur) C où il se refroidit, puis se liquéfie totalement A la fin cette étape, l état du corps pur est caractérisé par les paramètres P 2 et T 2 (état C) Le liqui passe ensuite dans le détenur D, dans lequel il subit une détente isenthalpique (absence pièces mobiles) en se vaporisant partiellement : soit x le titre (ou fraction) massique en vapeur Au terme cette étape, l état du corps pur est caractérisé par les paramètres P 1 et T 1 (état D) Ce mélange liqui-vapeur pénètre ensuite dans l évaporateur E, où il achève, à pression constante, se vaporiser à l état vapeur saturante (état A) Hypothèses travail : Le groupe fonctionne en régime permanent L énergie cinétique du flui et l action la pesanteur sont négligées h est l enthalpie l unité masse (1 kg) ce corps pur (ou enthalpie massique) c l est le cœfficient thermique massique (constant) du fréon liqui P * (T) est la pression l équilibre liqui-vapeur du corps pur, ou pression vapeur saturante, à la température T La chaleur latente (massique) vaporisation du flui, à la température T, est notée L V (T) Le corps pur gazeux, masse molaire M, est supposé parfait Sa caractéristique énergétique γ = c p,m /c v,m (rapport s coefficients thermiques molaires, respectivement isobare et isochore) est constante Données : T (K) P * (T) (bar) 0,85 1,25 2,40 3,90 5,90 8,50 T 1 = 240 K L V (T 1 ) = 170 kjkg -1 P 1 = 0, Pa T 2 = 310 K L V (T 2 ) = 130 kjkg -1 P 2 = 8, Pa M = kgmol -1 γ = 1,20 c l = 1,00 kjk -1 kg -1 R = 8,31 Jmol -1 K -1 (constante s gaz parfaits) 1) Diagramme du corps pur a) Soit u le volume massique du corps pur Représenter l allure du cycle dans le diagramme P = f(u) du corps pur On y fera figurer la courbe saturation du flui, les isothermes, ainsi que les points A, B, C et D b) Représenter l allure du cycle dans le diagramme P = f(t) du corps pur On y représentera la courbe d équilibre P * (T) ainsi que les points A, B, C et D PCSI 2 2) Compression a) Exprimer, en fonction T 1, P 1, P 2 et γ, la température T 2 du fréon à la sortie du compresseur P 2013 b) Le 2014 travail massique w, reçu par l unité masse corps pur ayant transité dans le compresseur, est égal à la variation 1/12 d enthalpie massique Δh AB ce flui Donner, en fonction T 1, T 2, M, R et γ, l expression w c) Application numérique : calculer T 2 et w 3) Refroidissement et liquéfaction dans le connseur (B C) a) Donner la température d apparition la première goutte fréon liqui b) Exprimer, en fonction T 2, T 2, M, R, γ et L V (T 2 ), l expresssion la variation d enthalpie massique Δh BC du flui c) Application numérique : calculer Δh BC 4) Détente isenthalpique (C D) a) Le fréon entre liqui à la température T 2 dans le détenur D, et en sort sous forme mélange liqui-vapeur à la température T 1 La détente est isenthalpique Soient h liq et h vap les enthalpies massiques du corps pur, respectivement liqui et vapeur Donner la relation entre h liq (T 2 ), h liq (T 1 ), h vap (T 1 ) et x b) Le liqui étant volume massique constant, il n échange que la chaleur avec l extérieur : la variation d enthalpie du liqui est approximativement égale à la variation d énergie interne Pour cette détente, quelle relation peut-on écrire entre Δh liq,cd, c l, T 1 et T 2? c) Exprimer, en fonction c l, T 1, T 2 et L V (T 1 ), la fraction massique vapeur x à la sortie du détenur d) Application numérique : calculer x 5) Fin la vaporisation (D A) a) Donner, en fonction x et L V (T 1 ), la quantité chaleur Δh DA reçue par 1 kg corps pur au cours cette étape b) Application numérique : calculer Δh DA Laure 6) Bilan Sanau énergétique du cycle a) Vérifier, numériquement, le bilan enthalpique du cycle Lycée Thiers - MPSI3
3 c) Application 4) Détente numérique isenthalpique : calculer (C T D) 2 et w a) Le fréon entre liqui à la température T 3) Refroidissement et liquéfaction dans le connseur (B 2 dans le détenur D, et en sort sous forme mélange liqui-vapeur à la C) TDa) T5 température T 1 La détente est isenthalpique Soient h liq et h vap les enthalpies massiques du corps pur, respectivement Donner la température d apparition la première goutte fréon liqui 3/7 liqui et vapeur Donner la relation entre h b) Exprimer, en fonction T 2, T 2, M, R, liq (T γ et 2 ), h L V (T liq (T 2 ), 1 ), h l expresssion vap (T 1 ) et x b) Le liqui étant volume massique constant, il n échange la que variation la chaleur d enthalpie avec massique l extérieur Δh BC : la du variation flui d enthalpie du c) Application liqui numérique est approximativement : calculer Δh BC égale à la variation d énergie interne Pour cette détente, quelle relation peut-on écrire entre Δh liq,cd, c l, T 1 et T 2? 4) Détente c) isenthalpique Exprimer, en (C fonction D) c l, T 1, T 2 et L V (T 1 ), la fraction massique vapeur x à la sortie du détenur a) Le fréon d) Application entre liqui numérique à la température : calculer x T 2 dans le détenur D, et en sort sous forme mélange liqui-vapeur à la température T 1 La détente est isenthalpique Soient h liq et h vap les enthalpies massiques du corps pur, respectivement liqui et vapeur 5) Fin Donner la la vaporisation relation entre (D h liq (T A) 2 ), h liq (T 1 ), h vap (T 1 ) et x b) Le liqui a) Donner, étant en fonction volume massique x et L constant, il n échange que la chaleur avec l extérieur : la variation d enthalpie du liqui est approximativement égale à la V (T variation 1 ), la quantité chaleur Δh d énergie interne Pour DA reçue par 1 kg corps pur au cours cette étape cette détente, quelle relation peut-on écrire entre b) Application numérique : calculer Δh Δh liq,cd, c l, T 1 et T 2? DA c) Exprimer, en fonction c l, T 1, T 2 et L V (T 1 ), la fraction massique vapeur x à la sortie du détenur 6) Bilan énergétique du cycle d) Application numérique : calculer x a) Vérifier, numériquement, le bilan enthalpique du cycle b) Définir l efficacité frigorifique ε 5) Fin la vaporisation (D A) fr l installation c) Application numérique a) Donner, en fonction x et L V (T 1 ), la quantité chaleur Δh DA reçue par 1 kg corps pur au cours cette étape α) Calculer ε b) Application numérique fr : calculer Δh DA β) Pour maintenir, en régime stationnaire, une cellule stockage déchets à température constante, il est nécessaire prélever une puissance thermique 10 5 W Calculer la puissance mécanique moyenne à fournir au flui 6) Bilan énergétique du cycle γ) Calculer la valeur correspondante D a) Vérifier, numériquement, le bilan enthalpique du cycle m, débit massique moyen du fréon, dans le circuit b) Définir l efficacité frigorifique ε fr l installation c) Application numérique P γ Réponse α) Calculer : T ' 2 = εt fr 1 γr 1 ; w = β) Pour maintenir, P 2 en régime ( stationnaire, γ 1)M T ' 2 T γr ( 1) ; Δh BC = ( une cellule stockage ( γ 1)M T 2 T ' 2) L V ( T 2 ) ; déchets à température constante, il est nécessaire prélever une puissance thermique 10 5 W Calculer la puissance mécanique moyenne à fournir au flui x[ h γ) vap Calculer ( T 1 ) h liq la ( T valeur 1 )] + h correspondante liq ( T 1 ) h liq ( T 2 ) = D 0 ; x = c l ( T 2 T 1 ) m, débit massique moyen ; Δh L du fréon, dans le circuit V ( T 1 ) DA = ( 1 x)l V ( T 1 ) ; ε fr = Δh DA w = 2,14 ; P méca = 46,65 kw ; D m = 1 kgs -1 P γ Réponse : T ' 2 = T 1 γr 1 ; w = ( P 2 ( γ 1)M T ' 2 T γr 1) ; Δh BC = ( ( γ 1)M T 2 T ' 2) L V ( T 2 ) ; II L objectif ce problème est l étu du fonctionnement stationnaire d une machine ditherme réfrigération Exercice 5: [ ] + h liq T 1 ( ) x h vap ( T 1 ) h liq ( T 1 ) ( ) h liq ( T 2 ) = 0 ; x = c l T 2 T 1 ; Δh L V ( T 1 ) DA = ( 1 x)l V ( T 1 ) ; ε fr = Δh DA Le cycle représenté, dans un diagramme Clapeyron, par la figure ci-contre w = 2,14 ; P méca = 46,65 kw ; P constitue D m = 1 kgs -1 un modèle fonctionnement d une machine réfrigération dans Courbe laquelle une masse m flui frigorigène subit les transformations suivantes : saturation A B : compression adiabatique dans le compresseur D B B D : refroidissement et liquéfaction isobares la vapeur dans le P II L objectif ce problème est l étu du fonctionnement stationnaire d une machine 2 ditherme réfrigération connseur Le cycle représenté, D dans E : détente un diagramme adiabatique Clapeyron, et isenthalpique par la dans figure le détenur ci-contre constitue un modèle E A : fonctionnement vaporisation isobare d une dans machine l évaporateur P réfrigération dans Courbe laquelle Les une sources masse m froi flui Σ F (intérieur frigorigène l enceinte subit les transformations à réfrigérer) et suivantes chau Σ: C (milieu P 1 saturation A ambiant) A B : sont compression assimilées adiabatique à s thermostats dans le compresseur températures respectives T F et T C E constantes D B B D : refroidissement et liquéfaction isobares la vapeur dans le P 2 connseur Les D variations E : détente d énergie adiabatique cinétique et isenthalpique et d énergie dans le potentielle détenur du flui sont négligeables O V E A : vaporisation isobare dans l évaporateur Les sources Données froi : Σ F (intérieur m = 1 kg l enceinte à réfrigérer) T F = 278 et K chau Σ T C (milieu C = 293 K P 1 A ambiant) PCSI Enthalpies 2 sont assimilées massiques à s du thermostats flui frigorigène températures dans les états respectives représentés T F et par T les points A, B et D : C E constantes h A = 390,2 kjkg -1 ; h B = 448,6 kjkg -1 ; h D = 286,4 kjkg -1 A Performances l installation Les variations d énergie cinétique et d énergie potentielle du flui sont négligeables A-1 Un système fermé subit une transformation isobare qui le fait évoluer O l état initial i à l état final f Au cours V cette /12 Données transformation, : le m système = 1 kg reçoit les quantités T F = 278 d énergie K Q i f par T C transfert = 293 K thermique et W i f par transfert mécanique (travail) Enthalpies A-1-1 massiques Appliquer du le flui premier frigorigène principe dans la Thermodynamique les états représentés à par cette les transformation points A, B et D : A-1-2 Etablir la relation entre la variation h A = 390,2 d enthalpie kjkg -1 ; hδh B = 448,6 kjkg -1 ; h D = 286,4 kjkg -1 i f du système et Q i f A-2 On désigne par Q F et Q C les quantités d énergie reçues par le flui, par transfert thermique, respectivement au contact la source froi et au contact la source chau, au cours du cycle défini ci-ssus A-2-1 Exprimer Q F et Q C en fonction s données 2013 A Calculer Q F et Q C 2/12 A-3 On désigne par W l énergie reçue par le flui, par transfert mécanique (travail), au cours d un cycle A-3-1 Exprimer W en fonction s données A-3-2 Calculer W A-4 On désigne par S F et S C les valeurs algébriques s entropies échangées par le flui, respectivement avec la source froi et la source chau au cours du cycle A-4-1 Exprimer S F et S C en fonction s données A-4-2 Calculer S F et S C A-4-3 Calculer l entropie S p créée au cours du cycle Conclusion A-5 Calculer l efficacité µ cette installation A-6 Sachant que la puissance P F à extraire la source froi pour maintenir sa température constante est 500 W, calculer le débit massique q m que l on doit imposer au flui frigorigène Laure Sanau B-Etu la compression la vapeur Lycée Thiers - MPSI3 La vapeur issue l évaporateur est comprimée la pression P 1 = 2,008 bar (état A) à la pression P 2 = 16,810 bar (état B) Dans cette partie du problème, on admettra que l on peut assimiler la vapeur à un gaz parfait dont le rapport γ s capacités thermiques
4 massique A-4-1 Exprimer q m que l on S F et doit S C imposer en fonction au flui s données frigorigène A-4-2 Calculer S F et S C A-4-3 Calculer l entropie S TD T5 p créée au cours du B-Etu cycle Conclusion la compression la vapeur 4/7 A-5 Calculer l efficacité µ cette installation A-6 La vapeur Sachant issue que la puissance l évaporateur P F à est extraire comprimée la source la pression froi pour P 1 = maintenir 2,008 bar sa (état température A) à la pression constante Pest 2 = 16, W, bar calculer (état B) le débit massique Dans cette q m partie que l on du problème, doit imposer on au admettra flui frigorigène que l on peut assimiler la vapeur à un gaz parfait dont le rapport γ s capacités thermiques conserve une valeur constante égale à 1,14 dans le domaine étudié On envisage le cas où cette compression pourrait B-Etu être supposée la compression adiabatique la et vapeur réversible B-1 Etablir la relation que vérifieraient les variables température T et pression P La vapeur B-2 Sachant issue que l évaporateur T est comprimée la pression P 1 = 2,008 bar (état A) à la pression P 2 = 16,810 bar (état B) A = 263 K, calculer la température T que l on atteindrait en fin compression Dans cette partie du problème, on admettra que l on peut assimiler la vapeur à un gaz parfait dont le rapport γ s capacités thermiques conserve une valeur C-Détermination constante égale à s 1,14 conditions dans le domaine fonctionnement étudié permettant d obtenir l efficacité maximale On envisage le cas où cette compression pourrait être supposée adiabatique et réversible B-1 Etablir la relation que vérifieraient les variables température T et pression P C-1 Préciser la nature du cycle réversible que vrait décrire le flui afin parvenir à l efficacité maximale µ B-2 Sachant que T A = 263 K, calculer la température T que l on atteindrait en fin compression max la machine réfrigération On indiquera avec précision la nature et le rôle s différentes transformations subies par le flui au cours ce cycle C-2 Sachant qu au C-Détermination cours ce cycle s la conditions variation d entropie fonctionnement massique permettant ΔS C du flui d obtenir au cours l efficacité la transformation maximale qu il subit au contact la source chau est 0,416 kjk -1 kg -1, calculer les quantités d énergie Q F et Q C reçues, par transfert thermique, par 1 kg C-1 flui Préciser frigorigène, la nature au cours du cycle ce réversible cycle, respectivement que vrait décrire au contact le flui afin la source parvenir froi à et l efficacité au contact maximale la source µ chau max la machine réfrigération C-3 Exprimer On l efficacité indiquera µ avec max en précision fonction la s nature températures et le rôle s T F différentes et T C et calculer transformations µ max subies par le flui au cours ce cycle C-2 Sachant qu au cours ce cycle la variation d entropie massique ΔS C du flui au cours la transformation qu il subit au contact Réponse la source : Qchau est 0,416 kjk -1 kg -1, calculer les quantités d énergie Q F et Q C reçues, par transfert thermique, par 1 kg if = Δh if ; Q F = h A h D ; Q C = h D h B ; W = h B h A ; S F = h A h D ; S C = h D h B ; S p = 180,2 JK -1 kg -1 ; flui frigorigène, au cours ce cycle, respectivement au contact la source T F froi et au contact T C la source chau C-3 Exprimer l efficacité µ max en fonction s températures T F et T C et calculer µ max µ = 1,78 ; q m = 4,8 gs -1 ; k = γ a 1 a ; Q C = -122 kjkg -1 ; Q F = 116 kjkg -1 ; µ max = 18,53 Réponse : Q if = Δh if ; Q F = h A h D ; Q C = h D h B ; W = h B h A ; S F = h A h D ; S C = h D h B ; S p = 180,2 JK -1 kg -1 ; T F T C Exercice III Propulsion µ = 1,78 ; q6: d un m = 4,8 gs -1 avion ; k = γ a 1 a ; Q C = -122 kjkg -1 ; Q F = 116 kjkg -1 ; µ max = 18,53 1) Moteur à explosion En 1890, un avion a pu décoller pour la première fois grâce à la seule poussée son moteur : Clément Ar avait équipé l Eole III Propulsion d un moteur d un à vapeur avion 20 CV, actionnant une hélice quadripôle construite avec s cannes bambou Dans la recherche la légèreté, le moteur à combustion interne et à pistons, le plus souvent à quatre temps, supplanta rapiment le moteur à vapeur 1) Dans Moteur un moteur à explosion à explosion, le flui supposé parfait décrit un cycle Beau Rochas en quatre temps : En 1890, un (1) avion : L air a pu est décoller admis dans pour le la cylindre première à fois travers grâce une à soupape la seule poussée d admission son dans moteur un volume : Clément V 1 ; Ar avait équipé l Eole d un moteur (2) à vapeur : (2a) Alors 20 CV, que actionnant les soupapes une sont hélice fermées, quadripôle mélange construite subit avec une s compression cannes bambou isentropique Dans jusqu au la recherche volume la V 2 ; légèreté, le moteur (2b) à combustion Il y a alors interne explosion et à pistons, du mélange le plus {carburant, souvent à quatre air} et temps, échauffement supplanta isochore rapiment jusqu à le moteur l état à (3) vapeur (P 3, V 3, T 3 ) ; Dans un moteur (3) : à les explosion, soupapes le restent flui supposé fermées parfait et les décrit produits un cycle la combustion Beau Rochas subissent quatre une détente temps : isentropique jusqu à l état (4) (1) (P : L air est admis dans le cylindre à travers une soupape d admission dans un volume V 1 ; 4, V 4, T 4 ) ; (2) (4) : : La (2a) soupape Alors que d échappement les soupapes sont s ouvre, fermées, le flui le mélange subit subit un refroidissement une compression isochore isentropique jusqu à jusqu au l état volume initial V 2 Le ; piston (2b) Il y a alors explosion du mélange {carburant, air} et échauffement isochore jusqu à l état (3) (P 3, V 3, T 3 ) ; refoule alors les gaz brûlés (3) : les soupapes restent fermées et les produits la combustion subissent une détente isentropique jusqu à l état (4) PCSI 2 a) Représenter le cycle dans le diagramme (P, V) (P 4, V 4, T 4 ) ; b) Exprimer le renment théorique η (4) : La soupape d échappement s ouvre, th ce cycle en fonction du taux compression α = V le flui subit un refroidissement isochore jusqu à l état 1 /V 2 Calculer la valeur du initial Le piston renment théorique refoule alors dans les le gaz cas brûlés où le taux compression est 6 Le gaz considéré est l air pour lequel γ = 1,4 a) Représenter le cycle dans le diagramme (P, V) /12 2) Turbine b) Exprimer à gaz le renment théorique η th ce cycle en fonction du taux compression α = V 1 /V 2 Calculer la valeur du Une turbine à gaz fonctionne suivant le cycle théorique Joule (ou cycle Brayton), composé ux adiabatiques et ux isobares Une unité masse d air, gaz supposé parfait, subit les transformations suivantes : Etape 1 : L air, dans l état (1) (P 1, V 1, T 1 ) est aspiré dans le compresseur qui l amène dans l état (2) (P 2, V 2, T 2 ) par 3/12 une compression isentropique On néglige les vitesses d écoulement On notera w 1 le travail utile massique fourni par le compresseur L air est initialement à la pression P 1 = 1 bar et à la température T 1 = 280 K Le compresseur le porte à la pression P 2 = 10 bar Etape 2 : Dans la chambre combustion, l air subit un échauffement isobare jusqu à l état (3) (P 3, V 3, T 3 ) On note q 2 le transfert thermique massique fourni à l air dans cette étape L échauffement est limité par la température maximale que peut supporter la turbine : T 3 = K Etape 3 : L air parvient alors dans la turbine où il subit une détente isentropique jusqu à l état (4) (P 4, V 4, T 4 ) On néglige les vitesses d écoulement aussi bien à l entrée qu à la sortie la turbine On note w 3 le travail utile massique reçu par l air dans cette transformation A la fin cette détente : P 4 = P 1 Etape 4 : L air est rejeté dans l atmosphère extérieure où il subit un refroidissement isobare jusqu à l état (1) a) Représenter le cycle Joule dans les diagrammes (P, V) et (T, S) b) Etape 1 : Etablir les expressions T 2 et w 1, puis les calculer c) Etape 2 : Etablir l expression q 2, puis calculer sa valeur d) Etape 3 : Etablir les expressions T 4 et w 3, puis les calculer 3) Turbopropulseur On étudie le cas où le réacteur étudié entraîne une hélice propulsive ainsi que le compresseur (turbopropulseur) a) Quel est le travail massique disponible pour faire tourner l hélice? b) Exprimer l efficacité ce moteur en fonction du taux compression α = V 1 /V 2 Comparer l efficacité ce moteur avec celle du moteur à explosion étudié à la question 1), pour un même taux compression α = 6 Quel peut être l intérêt du cycle Joule par rapport à celui Beau Rochas? Comparer le résultat obtenu avec le renment du cycle Carnot c) Le rapport s températures T 3 /T 1 a une valeur imposée En revanche, le taux compression peut être adapté Pour quel taux compression α m obtient-on un travail maximal? Exprimer ce travail maximal AN : γ = 1,4 ; M = 29 gmol -1 Réponse : η = 1 α P Laure Sanau; T 2 = T 1 1 P 2 γ ; w' 1 = γr M ( γ 1) T γr ( 2 T 1 ) ; q 2 = M ( γ 1) T P ( 3 T 2 ) ; T 4 = T 2 3 P 1 γ Lycée ; Thiers - MPSI3
5 PCSI 2 TD T5 5/7 l ( ) + l v ( T 2 ) ; q cond = T 1 ( s o s 3 ) ; q cond = T v ( T 2 ) 1 ; Réponse : η C = 1 T F T C = 47% ; η = 1+ q cond q GV ; q GV = c l T 2 T 1 η = 38,8% < η C ; x 3 = 64% ; h 3 = 1687kJ /kg ; η = 40,5% ; x' 3 = 79% ; h' 3 = 2046kJ /kg ; η'= 42,8% Exercice 7: + c l Ln T 2 T 2 VII La centrale nucléaire produit l'électricité par l'intermédiaire d'un alternateur couplé aux turbines à vapeur T1 et T2 Le flui caloporteur est l'eau A la sortie s turbines, l'eau se refroidit dans le connseur (l'échange d'énergie thermique peut se faire avec l'eau pompée dans une rivière) Dans l'évaporateur E', les échanges thermiques peuvent s'effectuer avec un circuit primaire d'eau qui récupère l'énergie thermique libérée au cœur du réacteur par la fission l'uranium enrichi L'eau du circuit secondaire décrit le cycle représenté sur la figure ci-ssous : * Les transformations A B et C D sont supposées adiabatiques réversibles et corresponnt au passage dans les turbines haute pression (T1) et basse pression (T2) * Entre les ux turbines, l'eau subit une surchauffe B C en repassant dans l'échangeur E' T 1 m vap On note T, P, x, température, pression et titre en vapeur (soit x = ) m totale On désigne plus par h et s les enthalpie et entropie massiques du flui On prendra h = 0 et s = 0 pour le liqui dans l'état Po = 1 atm et To = 273 K (0 gré Celsius) On négligera les variations volume l'eau liqui avec la température et la pression On donne : θ A = 287 C et P A = 70 atm (θ : température Celsius) P B = 10 atm; θ C = 270 C; P D = 0,05 atm C l = 4,18 kjk -1 kg -1 (capacité thermique l'eau liqui, supposée constante) 1) Déterminer les expressions h E, h F, s E et s F en fonction C l, T E, T F et To 2) Dresser un tableau où figurent les valeurs h, s, θ, P et x pour les différents points A, B, C, D, E, F A cet effet, on s'aira du diagramme Mollier présenté en fin d'énoncé (h est exprimé en kjkg -1 et s en kjk -1 kg -1 ) 3) Calculer les valeurs numériques s énergies thermiques "reçues" par le flui : q FA, q BC, q DE et q EF En déduire le travail par unité masse w1 fourni par la centrale au cours d'un cycle, l'énergie thermique q1 fournie par la source chau pour 1 kg flui, le renment thermique η = w 1 q 1 4) Exprimer le travail utile wu produit par les turbines lorsqu'elles sont traversées par 1 kg flui Comparer wu et w1 5) La puissance électrique la centrale est P = 1300 MW Quel doit être la valeur du débit massique flui dans le circuit secondaire? /12 Laure Sanau Lycée Thiers - MPSI3
6 TD T5 PCSI Laure Sanau 6/7 9/12 Lyce e Thiers - MPSI3
Premier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailCOURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES
I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détail1 Thermodynamique: première loi
1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailOptimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique
Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR
Plus en détailAthénée royal Jules Delot, Ciney Energie Thermique
6G3 - Energie thermique page 1 Athénée royal Jules Delot, Ciney Energie Thermique Physique 6ème Générale 3h/semaine Ir Jacques COLLOT 1 6G3 - Energie thermique page Energie Thermique 1. Calorimétrie 1.1
Plus en détailde l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur
de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailChauffage à eau chaude sous pression
Chauffage à eau chaude sous pression par René NARJOT Ingénieur de l École Centrale des Arts et Manufactures 1. Généralités... B 2 425-2 1.1 Domaine d utilisation de l eau chaude sous pression... 2 1.2
Plus en détailChapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES
Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailSynthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne
Synthèse sur les réglementations et permis relatifs à l installation et à l exploitation de pompes à chaleur en Région wallonne Version 1 28 mai 2009 Synthèse sur les réglementations et permis relatifs
Plus en détailCIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010
CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration
Plus en détailStockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique
Stockage de chaleur solaire par sorption : Analyse et contrôle du système à partir de sa simulation dynamique Kokouvi Edem N TSOUKPOE 1, Nolwenn LE PIERRÈS 1*, Lingai LUO 1 1 LOCIE, CNRS FRE3220-Université
Plus en détailEau chaude Eau glacée
Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailDESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS
DESCRIPTION DES DOCUMENTS TECHNIQUES REQUIS Volet sur mesure - Nouveau bâtiment ÉnerCible Volume 1, numéro 1 Mars 2012 Liste des documents à transmettre Afin que nous puissions effectuer l analyse technique
Plus en détail6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR
6 CYCLES DE PRODUCTION D'ÉLECTRICITÉ À VAPEUR Nous présentons dans ce chapitre les principaux cycles utilisés dans les installations motrices à vapeur, qui servent aujourd'hui essentiellement à la production
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailSCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures. L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. CHIMIE
Banque «Agro-Véto» Technologie et Biologie AT - 0310 SCIECES PYSIQUES Durée : 3 heures L usage d une calculatrice est interdit pour cette épreuve. Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailGLEIZE ENERGIE SERVICE
GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 1 sur 17 #/ -#0/.1# 2 1# 11 - " 1 GLEIZE ENERGIE SERVICE -1 " " #/ / &3 %$". 1! "#$$ %" & "# '%# () *+, -". GLEIZE ENERGIE SERVICE Page 2 sur 17 SOMMAIRE 1. Introduction - Rappel...
Plus en détailL offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC)
L offre DualSun pour l eau chaude et le chauffage (SSC) SSC signifie : Système Solaire Combiné. Une installation SSC, est une installation solaire qui est raccordée au circuit de chauffage de la maison,
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailSite : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ
Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailSARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine
Revue des Energies Renouvelables Vol. 11 N 4 (2008) 587 594 SARM: Simulation of Absorption Refrigeration Machine S. Kherris 1*, M. Makhlouf 1 et A. Asnoun 2 1 Laboratoire des Matériaux et des Systèmes
Plus en détailDaikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie
Pompes à chaleur Air / Eau DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif Inverter 1 ère MONDIALE Daikin» Economies d énergie» Faibles émissions de CO2» Flexible» Technologie
Plus en détailChapitre 7: Dynamique des fluides
Chapitre 7: Dynamique des fluides But du chapitre: comprendre les principes qui permettent de décrire la circulation sanguine. Ceci revient à étudier la manière dont les fluides circulent dans les tuyaux.
Plus en détail1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE
CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailSCIENCES TECHNOLOGIES
R essources MICHEL WAUTELET SCIENCES TECHNOLOGIES et SOCIÉTÉ Questions et réponses pour illustrer les cours de sciences De Boeck Introduction générale 5 Sciences, technologies, société 1. Quels sont les
Plus en détailREPÈRE DE FORMATION À LA PRÉVENTION DES RISQUES LIÉS À L UTILISATION DES FLUIDES FRIGORIGÈNES ATTESTATION D APTITUDE
REPÈRE DE FORMATION À LA PRÉVENTION DES RISQUES LIÉS À L UTILISATION DES FLUIDES FRIGORIGÈNES ATTESTATION D APTITUDE 1 SOMMAIRE 1)- CHAMP DE L ÉTUDE 2)- EVOLUTION DE LA LEGISLATION 3) CATEGORIES D ATTESTATIONS
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailL énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère
LE CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE L énergie de l air extérieur pour une eau chaude sanitaire naturellement moins chère LES PERFORMANCES DE TANÉO C EST L ASSURANCE : > DE 75 % D ÉNERGIE GRATUITE > D UN FONCTIONNEMENT
Plus en détailIncitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne
Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be
Plus en détailThermostate, Type KP. Fiche technique MAKING MODERN LIVING POSSIBLE
MAKING MODERN LIVING POSSIBLE Fiche technique Thermostate, Type KP Les thermostats de type KP sont des commutateurs électriques unipolaires dont le fonctionnement est lié à la température (SPDT). Un thermostat
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailInfos pratiques. Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique. Solution confort. Les chauffe-eau solaires
Infos pratiques Choisir sa solution de production d eau chaude sanitaire (ECS) Solution économique La production d eau chaude instantanée concerne principalement les chaudières murales à gaz. Lors d un
Plus en détailTRAITEMENT D'AIR DES PISCINES COUVERTES
PISCINES CHAUFFAGE DESHUMIDIFICATION TRAITEMENT D'AIR DES PISCINES COUVERTES Une piscine couverte doit être considérée comme un ouvrage spécifique dont les critères diffèrent de ceux d'un ouvrage classique
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détailPhysique, chapitre 8 : La tension alternative
Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailUnités: m 3. 1,3 kg m 3 * V = πr 2 h.
1. Masse volumique Définition: La masse volumique ρ est définie comme étant la masse M par unité de volume V: ρ = M V Unités: kg ou éventuellement 3 m g cm 3. Ordres de grandeur: Matière Eau Air * Aluminium
Plus en détailPage : 1 de 6 MAJ: 01.03.2010. 2-10_Chaudieresbuches_serie VX_FR_010310.odt. Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol :
Page : 1 de 6 Gamme de chaudières VX avec régulation GEFIcontrol : Référence article 058.01.250: VX18 Référence article 058.01.251: VX20 Référence article 058.01.252: VX30 Chaudière spéciale à gazéification
Plus en détail27/31 Rue d Arras 92000 NANTERRE Tél. 33.(0)1.47.86.11.15 Fax. 33.(0)1.47.84.83.67
Caractéristiques standards MODELE Puissance secours @ 50Hz Puissance prime @ 50Hz Moteur (MTU, 16V4000G61E ) Démarrage électrique, alternateur de charge 24 V, régulation Elec Alternateur (LEROY SOMER,
Plus en détailPrésentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC
Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température
Plus en détailExemples d application
1 Exemples d application Sommaire de l ouvrage Partie A Éléments de mécanique des fluides Chapitre 1 Notions générales sur les fluides Chapitre 2 Écoulement des fluides Partie B Déplacement des liquides
Plus en détailSérie Sciences et Technologie de Laboratoire PHYSIQUE DE LABORATOIRE ET DE PROCÉDÉS INDUSTRIELS
PLPI 12 CONCOURS GÉNÉRAL DES LYCÉES SESSION DE 2012 Série Sciences et Technologie de Laboratoire PHYSIQUE DE LABORATOIRE ET DE PROCÉDÉS INDUSTRIELS ÉPREUVE THÉORIQUE DURÉE : 6 heures A IMPRIMERIE NATIONALE
Plus en détailLe confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire
Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailTours de refroidissement Technologie environnementale
Tours de refroidissement Technologie environnementale Nos points forts Technologie et environnement Surfaces d échange adaptées à chaque besoin : applications industrielles ou tertiaires Propreté et résistance
Plus en détail1 Savoirs fondamentaux
Révisions sur l oscillogramme, la puissance et l énergie électrique 1 Savoirs fondamentaux Exercice 1 : choix multiples 1. Quelle est l unité de la puissance dans le système international? Volt Watt Ampère
Plus en détailPRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DU MOTEUR 4 TEMPS
PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT DU MOTEUR 4 TEMPS I:PRINCIPE DE BASE. 1-1:Situation problème. Lorsque nous voulons déplacer un véhicule manuellement, il est plus facile de le déplacer en créant une force sur
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailCAMPING-CAR. La chaleur douce et silencieuse
CAMPING-CAR La chaleur douce et silencieuse Une technologie écologique pour votre bienêtre. Le système Alde à eau caloporteuse vous procure un confort inégalé. Au-delà d'une chaleur homogène et silencieuse,
Plus en détailK16 CARACTERISTIQUES GENERALES PUISSANCES ENCOMBREMENT VERSION COMPACT ENCOMBREMENT VERSION INSONORISEE DEFINITION DES PUISSANCES
Réf. moteur Réf. Alternateur Classe de performance KDW1603 AT00470T G2 CARACTERISTIQUES GENERALES Fréquence (Hz) 50 Tension de Référence (V) 400/230 Coffret Standard APM303 Coffret en Option TELYS PUISSANCES
Plus en détailAutomobile & Mécanique agricole. Sources CNIDEP, IBGE
Automobile & Mécanique agricole Sources CNIDEP, IBGE I. Etapes de la fabrication (ou du service) et procédés utilisés L essentiel de l activité d une carrosserie consiste à réparer puis à remettre en peinture
Plus en détailSérie M Echangeurs thermiques à plaques
. kypour le chauffage et le refroidissement de votre installation Série M Echangeurs thermiques à plaques Applications Les échangeurs thermiques à plaques d Alfa Laval peuvent être utilisés pour le chauffage
Plus en détailDatacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité
Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité La climatisation des salles informatiques: compréhension et état des lieux Charles Vion, Responsable Service Projet Sylvain Ferrier,
Plus en détailChaudières et chaufferies fioul basse température. Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000
Olio 1500, 2500, 3500, 4500, 7000 Chaudières et chaufferies fioul basse température 2 Chaudières et chaufferies fioul basse température Olio 1500 F. La qualité et la robustesse au meilleur prix. Les chaudières
Plus en détailGénie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité
Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre
Plus en détailComment optimiser la performance énergétique de son logement?
Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies
Plus en détailLe séchage des ateliers :
Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailPhysique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR
hysique EMÉRAURE, CHALEUR rof. André errenoud Edition mai 8 Andre.errenoud (at) heig-vd.ch HEIG-D / AD A B L E D E S M A I E R E S AGE. INRODUCION.... NOIONS DE EMÉRAURE E DE CHALEUR.... LES ÉCHANGES
Plus en détailCe dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.
FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même
Plus en détailChap 2 : Noyaux, masse, énergie.
Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailCrédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015
Crédit impôts énergie renouvelable développement durable 2015 Depuis la loi de finances pour 2005, a été créé un crédit d'impôt dédié au développement durable et aux économies d'énergie. S inscrivant dans
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailLYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES ETUDE D UN TRAITEMENT DE SURFACE
TP. TET LYCEE TECHNIQUE PIERRE EMILE MARTIN - 18 026 BOURGES GENIE ELECTROTECHNIQUE Durée : 3 heures Tp relais statique 10-11 RELAIS STATIQUE S.T.I. Pré-requis : Laboratoire des systèmes Cours sur les
Plus en détail